Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -35%
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue ...
Voir le deal
64.99 €

Partagez
 
Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee.
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Empty
Message(#) Sujet: Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. EmptyLun 26 Jan - 12:24



❝JAMES X CHLEO

♡ la malice familiale.

Il en était ainsi. Je sortais du Poudlard Express, Albus était dans un autre wagon et j’allais devoir le retrouver après. J’ai passé de drôles de vacances sans compter ce que j’avais fait juste avant ça. C’était comme si j’avais décidé de me dire que j’avais plus à gagner qu’à perdre. Le pire c’est que c’était vrai mais disons que ça m’aurait quand même embêté d’y perdre quelque chose. Je l’avais fait, je l’avais embrassé. Je ne me suis pas empoisonné avec cette histoire pendant les vacances. Le seul truc qui m’avait bien emmerdé c’est Lily. Je n’étais mais vraiment pas pressé.

Depuis qu’on a refait nos bagages à Godric’s Hollow pour se rendre directement au train avec Albus. Sur le chemin je me suis remémoré en tête les points positifs qui faisaient en sorte que je devais revenir avec le sourire. Marlow ? Oui c’est une bonne raison. Après il y avait la magie, une chose qui m’avait particulièrement manqué. Je l’avoue. Mais quand je vois les poisons de cette école on peut dire que ça calme toute une joie de vivre. Les poisons ? Comme Lyard, ce professeur de merde.

Avec lui je sais quoi faire pour le titiller tout en restant dans le cadre du respect. Il n’est pas le cadet de mes soucis, mais je tenterai d’encaisser à nouveau. Et en revenant sur Lily, sa mentalité de chiotte avait bien failli foutre en l’air nos vacances de noël. Comment ça ? Cette sale gosse a décidé de rester à Poudlard pour un caprice vraiment con. Maman n’a juste pas voulu lui accorder un cadeau trop cher, alors à force d’insister elle a fait sa tête de lard et a décidé de ne pas rentrer. Ce n’est pas faute d’avoir demandé à mes parents d’aller la chercher mais que ce soit eux ou Lily ils ont décidé de laisser tomber pour ces vacances.

Alors quand je verrai Lily je la dégoûterai bien avec le cadeau que j’ai reçu pour lui faire comprendre qu’elle avait raté quelque chose. Après je suis sûr qu’elle appréhendera et qu’elle s’excusera. Ce n’était qu’une petite crise d’ado je présume, pas de quoi en faire tout un plat. Je prenais ma valise puis mon balais, La Flèche d’Argent encore emballée. J’avais hâte de l’essayer à vrai dire. Regardant autour de moi je me rendis compte qu’Albus devait être bien à l’avant de tout ces élèves qui marchaient vers les charrettes pour qu’elles les emmènent devant le château.

Soufflant, je me pris la route lentement en marchant et trainant mes affaires vers les moyens de locomotion. J’étais parmi les derniers à être descendu du train vu que les autres prenaient leur temps. Regardant autour de moi je finis par marcher quand j’ai vu la dernière charrette arriver. J’avais vraiment eu de la chance, je n’aurai pas assumer devoir marcher avec mes affaires jusqu’au château.


❝ retribution. ❞
made by MISS AMAZING.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Empty
Message(#) Sujet: Re: Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. EmptyLun 2 Mar - 0:05


Ce qui est fait n'est plus à faire ~


Et voilà. Je venais de passer mes vacances de Noel ici, à Poudlard. Les cours reprenaient demain et j’étais restée enfermée dans ma prison dorée, comme je pourrai l’appeler. Je parle bien évidemment de Poudlard. J’y suis depuis septembre et je ne suis nullement autorisée à quitter cette école. A peine ai-je des nouvelles de ma mère. Elle m’en a brièvement donné une semaine avant les vacances pour m’annoncer sinistrement que je devrai impérativement rester à l’école et que je n’étais en aucun cas autorisée à rentrer à la maison. Première année sans fêter noël en famille, je vous assure que ça casse le moral. Surtout pour une fille comme moi aussi attachée à ses valeurs. C’est ancré en moi, comme les puissantes racines de mon arbre généalogique imposant. Beaucoup pensent que les fêtes de famille sont barbantes à souhait et rêverait de s’en débarrasser, mais pas moi. Les fêtes de familles des de Rochechouart sont assez particulières. Déjà, nous sommes parés de nos plus beaux atours et sommes sur notre 31. Nous savons pertinemment que des paparazzis peuvent nous surprendre et nous nous devons d’être parfaits, mais plus que cela encore, c’est une question d’image de la famille. C’est ainsi et pas autrement. Ensuite, défilent sur la table un nombre incroyable de mets, de boisson et de sauces de qualité, concocté par le cuisinier de ma grand-mère. Des animations venaient évidemment rythmer les repas qui commençaient dès midi et se terminaient aux alentours de minuit. Et dans celles-ci, il y avait inévitablement moi qui jouais ou chantais, en solo ou avec des cousins. Nous écoutions aussi des professionnels, montions à cheval l’après-midi, dansions des valses ou autres danses que l’on nous apprenait depuis notre tendre enfance. Nous ouvrions bien sur nos merveilleux cadeaux, récitions des poèmes et j’en passe. La journée passait à une vitesse folle dans le Limousin. Parce que oui, c’est là bas que nous nous retrouvions, sur la terre de mes ancêtres dans la grande demeure familiale. Cependant … Cette année tout cela m’était interdit. Je doute même que cette journée soit d’ailleurs organisée à cause de la menace qui plane sur notre famille. En effet, il serait idiot de tous nous rassembler dans un endroit connu, non loin de là où je me suis faite agressée, alors que des psychopathes seraient dans le coin. Cependant, bien que sachant que la fête n’aurait pas lieu cette année, le petit mot de ma mère, tenant dans une demi feuille et en cinq lignes à tout casser, avait quelque chose de blessant. Parce qu’après tout, c’est la seule chose qu’elle a été capable de me dire depuis octobre. Alors certes cela me prouvait qu’elle était en vie et en mesure de me répondre, mais cela était vite expédié. Elle ne prenait même pas de mes nouvelles ! Ne m’a même pas informée de l’avancée de la situation ! Si vous ne trouvé pas cela offensant vous ! Je me suis donc retrouvée coincée à Poudlard pendant deux semaines, voyant des amis partir pour aller chez eux. J’aurais pu aller chez la famille de Marlow si je l’avais souhaité, mais ma mère m’avait bien spécifié dans son bref message que je devais impérativement resté à Poudlard où j’étais le plus en sécurité. Rabat joie, ça c’est clair ! Heureusement, certaines personnes étaient restées. Et début janvier, peu avant la rentrée, j’ai eu la surprise d’atterrir chez les Serpentards. Nouvelle étrange, ça c’est certain, mais pas forcément totalement déplaisante. M’éloigner des Poufsouffles me fait du bien. Et je peux ainsi me rapprocher d’Aniek qui m’est chère. Ainsi que de Snow, qui m’intrigue. Malheureusement je me retrouve dans la maison de Drake et du gars étrange qui me fait peur, mais bon … Je suis très forte dans l’art de la disparition et de je-t’ignore, je devais donc m’en sortir.

Aujourd’hui donc, c’est le retour du Poudlard express. Le retour donc inévitablement des petits chanceux qui ont pu aller fêter Noël en famille. Et parmi ces chanceux, j’avais un ami à qui j’avais envie de faire la surprise d’aller le chercher à la gare. Ce n’était rien comme geste, mais cela me permettait au moins de me dégourdir les jambes et de m’éloigner un brin du château, tout en restant dans le périmètre de protection de l’école de magie. Au moins tenais-je ainsi la promesse faite à ma mère. Comme nous sommes en Janvier, les températures sont assez basses et le sol est couvert de neige. Je sors donc vêtue d’une cape au dessus de mon pull en laine, les cheveux détachés, et une chaude écharpe autour du cou. Seulement, un petit quelque chose inhabituel vient agrémenter cette tenue relativement banale pour un élève de Poudlard : les couleurs vertes et argent que j’arbore depuis maintenant deux jours ainsi que l’écusson propre aux serpents. Je ne m’y suis pas encore faite d’ailleurs et j’ai l’impression que quand je marche dans les couloirs, tous les regards se tournent dans ma direction et me dévisagent. Ce n’est pas forcément vrai, mais c’est la terrible impression que cela me fait. Je suis allée jusqu’à la gare à pied. Ça m’a fait une longue marche, mais j’en avais bien besoin pour me changer les idées, penser à autre chose et réfléchir. Heureusement je ne me suis pas perdue –on ne dira pas que ma baguette ma servie de boussole, ce n’est qu’un détail insignifiant. Lorsque j’arrive sur le quai, le train fumant semble tout juste arriver comme de élèves me dépassent, bavardant. Je scrute les visages pour éviter de manquer ma cible. Ce serait bête d’avoir fait tout ce trajet pour le manquer. Plus les visages défilent, plus l’inquiétude monte en moi à l’idée que je l’ai déjà raté. Je me laisse sans résistance transportée par le flux d’élèves jusqu’aux carrosses où je m’écarte légèrement pour continuer de dévisager les nouveaux arrivants. Non, je ne peux pas l’avoir raté, je l’aurais reconnu tout de même. Comme il est grand, il ne passe pas inaperçu ! Et au pire, si je l’ai raté, je prendrai le dernier carrosse, je suis stratégiquement bien positionnée au moins, je n’aurais pas à refaire tout le trajet à pied alors que mes pieds me brulent déjà.

La densité d’élève se fait de moins en moins importante et je me surprends à croiser les bras pour me tenir chaud et à taper du pied. Je commence à être congelée et mes dents commencent à claquer. C’est la fin. Pourtant enfin je le vois. Là, tout derrière, en dernier, trainant avec difficulté sa valise et semblant la tête dans les nuages, flâneur. A mesure qu’il s’approche, un sourire illumine mon visage et alors qu’il est à une quinzaine de mètres, je ne peux plus me contenir. « JAAAAMES ! » Je l’appelle d’une voix chantante en sautillant jusqu’à lui et en lui faisant des grands signes de la main, pour qu’il me remarque. Au cas où il serait sourd. Ne sait-on jamais. Il doit me prendre pour une folle mais cela m’importe peu. Arrivée à sa hauteur, je lui claque la bise pour l’embêter. Je sais que cette habitude de français est parfois considérée comme nulle pour les anglophones, mais je ne m’en départis pas. « P… Pourquoi est-ce que tu es à la traine ? J… Je me les pèle moi ! Il doit faire -15° là ! G… Grouille ou je vais me transformer en statue de glace, on parlera dans le carrosse. » Je me retourne vivement, telle une tornade, avant de me saisir de ma baguette magique, de lancer un Wingardium Leviosa à sa valise pour la faire léviter, et de me diriger à grand pas vers le carrosse avec la valise flottant derrière moi.


Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Empty
Message(#) Sujet: Re: Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. EmptySam 7 Mar - 17:56



❝JAMES X CHLEO

♡ la malice familiale.

Il y avait des choses dont je n'étais pas pressé de retrouver. Comme le professeur Lyard, et je pesais mes mots en pensant que ce dernier n'était pas quelqu'un mais quelque chose. C'était l'espèce de tumeur qui squattait notre corps. Le mouton égaré. Mais ça de toute façon... c'était prévu que je pense comme ça. C'était su d'avance que ce brin de déception me passerait par la tête quand je rentrerai des vacances. J’en avais marre. Depuis combien de temps cette enflure allait continuer ? Je ressentais cette colère en lui, elle puait à des kilomètres. Et ce qui m’empêchait d’en parler ? C’était le risque qu’il s’acharne sur Albus et Lily. Déjà que je ne connais pas leur seuil de tolérance, j'ignore tout autant ce qu'il peut leur faire subir comme torture morale. Mais la moindre blessure à leur égard, et je risquerai de quitter cette insolence verbale dans laquelle je m'étais enlisée. Ted m'avait trop bien appris à assumer le rôle de grand frère malgré tout ça, alors je ne supporterai pas que cet raclure avec sa pseudo fierté vienne maltraiter ma famille. Déjà qu’il a bien commencé à faire cela, la logique aurait voulu que je lui fasse payer.

Mais mon arrogance n’égalait pas encore sa fourberie. Il représentait assez bien la maison qui était sous son égide finalement. Je n’avais que faire de ses avis, bien que des fois il arrivait à toucher la corde sensible en parlant de mon père. Mais je faisais tout pour pouvoir riposter en restant dans le cadre du respect. Sa dissertation par exemple. « Pourquoi mon père est-il un héros ? ». En y repensant c’était sacrément osé de sa part d’éveiller cette part de lui-même. N’empêche que cet écrit m’a fait comprendre une chose, il n’est pas aussi fidèle que ça à certains principes de l’école. Et s’il croyait que je ne me doutais de rien, que je restais le fauteur de trouble de l’école avec mes farces et attrapes… Non, il se fourrait clairement le doigt dans l’œil.

C'est une voix familière qui m'arracha à mes pensées, me rappelant que le monde n'était pas toujours aussi noir que rose. Sursautant légèrement car je ne m'attendais pas à être apostrophé ici, je regardais dans la direction de la voix et c'est à ma grande surprise que c'est Chleofee qui s'était manifestée. A quelle occasion ? Je n'en sais rien, mais elle était là et elle m'avait vu. Je mentirai en disant que je n'étais pas content de la voir, alors autant jouer la sincérité. Lui adressant un agréable sourire de retour, ce dernier avait comme banni ces pensées négatives vis-à-vis du bourreau, et ce même si j'avais en face de moi son élève préférée. Me raclant la gorge quand cette idée me passa par la tête, voilà qu'elle emboita sa salutation à la française par une phrase et un sortilège sans me laisser le temps de répliquer. Je gardais une certaine surprise en effet à l'idée de ne pas avoir pu m'exprimer plus qu'à travers un simple sourire.

«Dis donc Chleo, profites de l'air frais ! Je viens juste d'arriver.»

Lui lançais-je en gardant un petit sourire, bien que cela était légèrement ironique. Il était vrai que le temps n'était pas le meilleur pour marcher lentement et avoir une discussion. Donc tant que l'on peut avoir un moyen de locomotion. Cela ne me dérangeait pas du tout. Nous nous installions dans la cariolle, le sortilège de la Poufsouffle s'estompant, je calais ma valise dans un coin pour qu'elle ait la place de s'asseoir comme moi. Me mettant dans un coin, et m'accoudant au rebord derrière moi je la regardais en continuant à parler:

«C'est vrai qu'il fait froid, tu aurai certainement dû t'habiller plus chaudement, ça t'aurai évité de te plaindre ! Une vraie française je te jure.»

Un petit rire emboita cette remarque qui jouait sur un cliché démontrant que les français se plaignaient souvnet, bien entendu elle devait connaitre mon ironie et savoir que je n'étais pas sérieux du tout.


❝ retribution. ❞
made by MISS AMAZING.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé



À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Empty
Message(#) Sujet: Re: Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Ce qui est fait n'est plus à faire. • ft. Chleofee.
Page 1 sur 1

Sauter vers: