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[DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY]
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Message(#) Sujet: [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] EmptyMar 20 Jan - 17:59

Encore une retenue, alors qu’elle avait toujours dit qu’elle n’en aurait jamais. Bailee peinait à y croire. Elle s’était toujours montrée respectueuse envers ses enseignants, faisait ses devoirs correctement, attachait beaucoup d’importance à sa scolarité et mettait un point d’honneur à avoir toujours les meilleures notes possibles. Pourtant, toutes les matières qu’elle étudiait en ce moment ne lui serviraient pas pour son avenir puisqu’elle voulait devenir écrivain et pas autre chose. Toutefois, ses parents l’avaient habituée à être une compétitrice et réussir ce qu’elle entreprenait lui paraissait plus que primordial. Jusque-là, ça lui avait bien servi, elle ne s’était démarquée que par ses résultats scolaires et ça lui convenait parfaitement. Bon, en toute honnêteté, elle reconnaissait qu’il n’y avait pas que ses notes qui l’avaient fait connaitre mais aussi son caractère bien trempé dont elle gratifiait non pas ses professeurs qu’elle respectait bien trop pour ça mais surtout ses pauvres camarades de classe qui préféraient bien souvent fuir plutôt que de lui adresser la parole. Bailee le comprenait un peu, elle l’avait bien cherché finalement et même si la solitude lui pesait un peu elle ne regrettait rien, trop heureuse d’avoir pu éloigner les sales petits profiteurs qui peuplaient les couloirs. Pour elle, accorder sa confiance ou son amitié était très difficile et elle trouvait normal que ses camarades rament pour l’obtenir. Sauf que la réciproque n’était pas tout à fait vrais et les autres élèves avaient tout simplement préféré abandonner pour se tourner vers d’autres personnes un peu plus sympathiques et ouvertes. Mais avant que la Serdaigle comprenne que son comportement lui nuisait plus qu’autre chose, il risquait de s’écouler de longues années.

Toutefois, ses défauts de comportements envers ses pairs n’expliquaient pas cette fameuse heure de retenue qu’elle devait pourtant effectuer cet après-midi même dans le bureau du professeur Lyard où elle se rendait actuellement. Elle se montrait en effet très respectueuse envers les membres du corps enseignant et n’avait pas obtenu la moindre mauvaise note durant cette première partie de l’année. Les soupçons de triche ne se portaient en général pas sur elle, elle n’avait jamais blessé personne et aucun élève n’avait porté plainte contre son comportement agressif. Non, la raison était plus bête que ça et Bailee était encore irritée par la façon dont s’étaient déroulés les événements. Avec le recul, elle aurait aimé avoir une réaction totalement différente mais ne disposant pas de retourneur de temps, elle n’en aurait pas la possibilité. Sa mésaventure avait eu lieu il y a deux ou trois jours à peine, alors qu’elle était très en retard à son cours de métamorphoses parce qu’elle ne s’était pas réveillée à temps. Jusqu’ici, pas le moindre problème mis-à-part qu’elle risquait d’être exclue de la salle de classe et devoir rattraper les cours, chose qu’elle ne supporterait pas. Sauf qu’en tournant un peu trop brusquement, elle avait heurt le professeur Lyard qui marchait, un café à la main. Bien entendu, elle s’était répandue en excuses, rouge comme une tomate, proposant presque de lécher sa chemise pour la nettoyer. Mais le ténébreux bonhomme n’avait rien voulu entendre et c’est assez froidement qu’il l’avait collée. Sous le choc, Bailee n’avait rien répondu, acceptant la sentence telle qu’il la lui soumettait, comprenant qu’elle allait devoir subir la première retenue ou presque de sa scolarité.

Mais désormais, elle avait envie de crier à l’injustice. Elle avait pu prendre un peu de recul sur la situation et c’était de cette manière qu’elle s’était aperçue que les choses ne s’étaient pas déroulées de la meilleure façon possible. Cette punition était plus qu’abusive, tout ceci n’était qu’un regrettable accident et elle n’aurait pas dû être collée pour ça. Par chance, elle n’avait fait perdre aucun point à sa maison, mais tout de même, elle ne méritait pas d’être traitée de cette façon. Pour qui se prenait-il ? Ce n’était pas parce qu’il était professeur qu’il devait se croire tout permis, un enseignant devait certainement avoir un code à respecter, une sorte de règlement intérieur qui devait être mis en place comme pour les élèves. Bailee était donc bien décidée à lui dire ce qu’elle pensait de son odieux comportement et alors qu’elle s’approchait d’un pas assuré du bureau de l’enseignant, elle ressassait encore et encore les paroles qu’elle comptait lui dire et qu’elle avait répété plusieurs fois la veille, devant son miroir. Son discours était normalement bien ficelé et elle était sûre que son argumentation ferait mouche. Seulement, maintenant que la porte du bureau de son professeur se trouvait dans son champ de vision, elle peinait à conserver toutes ces certitudes et sentait sa volonté flancher légèrement. La Serdaigle avait l’habitude d’avoir des opinions bien arrêtées et son caractère très affirmé lui permettait de parler haut et fort sans qu’elle se soucie de l’opinion qu’on pourrait avoir d’elle. Sauf que c’était valable avec ses camarades et non pas avec ses professeurs. C’est donc en se dégonflant totalement qu’elle frappa timidement à la fameuse porte, attendant une réponse avant de pouvoir pénétrer dans la pièce. Lorsqu’elle se retrouva véritablement face à son professeur, elle sut pertinemment qu’elle n’aurait jamais le courage de lui faire face, mais tant pis, au moins elle en avait eu l’idée.

« Bonjour professeur Lyard. » Dit-elle d’une voix rendue aigue par l’appréhension. « Je viens effectuer ma retenue. »

Non sans blague… Il allait sûrement lui rire au nez pas ça n’avait pas d’importance, elle se montrait correcte et cordiale comme le lui avaient toujours appris ses parents. Au pire, s’il agissait de manière déplacée, elle pourrait toujours essayer de s’en plaindre auprès des préfets de sa maison, elle était sûre qu’Erwan serait très à l’écoute de ce genre de problème et s’il se rendait compte qu’elle n’était pas la seule à avoir subi les foudres injustifiées du professeur Lyard, peut-être parviendraient-ils à remonter tous ces problèmes à la direction de l’école ? Bailee savait que ça risquait d’être compliquée, la parole d’un élève ne représentait pas grand-chose malheureusement, mais elle se forçait tout de même à positiver. Ce n’était qu’une heure, une toute petite heure…
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Message(#) Sujet: Re: [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] EmptyJeu 29 Jan - 15:03

Miss Café

La maladresse est pécheresse


Perdu dans ma lecture, je faillis ne pas entendre le faible « toc toc » qui résonnait contre la porte, d’une manière tellement timide qu’il en devint presque inaudible. Je ne relevais pas le regard lorsque la jeune femme entra, la laissant venir d’elle-même jusqu’à mon bureau. Une fois devant, je restais encore un moment plongé dans ma lecture dont l’intitulé était :

« L’eugénisme : Un mal pour un bien ? »

J’étais assez passionné par ce que je lisais, aussi je ne pus décrocher le regard qu’au – moment où la voix féminine s’éleva dans la classe. Je me retrouvais alors devant la jeune brunette, et souris.

Je savais que j’avais une heure de colle avec un élève, mais j’avais oublié les circonstances d’attribution de ladite colle. Mais de voir son visage me fit rappeler ce qui s’était passé, et je ne pus retenir un rictus.

« Miss Café… »

Dis-je simplement, alors que je fermais mon livre et le rangeais dans un tiroir sous mon pupitre, sans détacher mon regard de la Poufsoufle.
Je lui fis signe de s’asseoir, me rendant compte que je n’avais pas encore réellement réfléchi à une colle…

Je n’étais pas un expert des colles ennuyantes, et d’un intérêt culturel nul… Je détestais faire bêtement recopier des phrases qui ne s’enregistraient jamais dans les têtes de nœuds que j’avais en face de moi, aussi, je préférais la majorité du temps faire des dissertations, ou discuter d’actualité. J’adorais écouter la version des élèves, ou comment ils pressentaient le monde dans lequel ils vivaient. Cela me donnait une bonne idée de la mentalité de cette époque Post-Mangemort, et me fit prendre conscience que Poudlard était à part….

Partout dans le monde des sorciers on discutait des changements au Ministère, des attaques perpétrées contre les moldus par des groupuscules de jeunes, et de moins jeunes… Les gens avaient peur… Pas tous, certains se réjouissaient, affichaient des images de propagande, organisaient des séances « politiques » en prévoyant la réorganisation du monde… Une fois l’idéologie eugéniste des Mangemorts devenue Loi.

Mais à Poudlard… c’était silence radio. Sans doute le lieu était – il trop imprégné de son Histoire, de ce qui s’était passé ici, de l’endroit-même où le Sombre Lord avait chuté… A Poudlard, les Potterhead se croyaient invincibles, pensaient leur précédente victoire acquise… se croyaient dans un monde de… Paix… Alors qu’une terrible guerre, une guerre de sous-sols, de l’ombre, dissimulée dans les hautes sphères du Ministère se livrait…


Mais quand je croisais le regard de la jeune fille, dont j’ignorais le nom et que j’allais certainement surnommer Miss Café le restant de sa vie, j’étais peu inspiré pour lui attribuer une telle colle. Sans doute parce que le contexte de la punition était passé de mode. J’étais en colère ce jour-là, pressé, j’avais eu peu de temps, j’avais hâte de m’asseoir à mon bureau et siroter mon café… Et là, dans toutes son adresse naturelle, était venue la jeune femme, me rentrant dedans. Détruisant mon mince espoir de café tranquille, ainsi que l’esthétique parfaite de mon pull du jour.

Elle s’en était bien sortie.

J’aurais pu lui ôter des points.

Mais la colère ayant passé, et ayant pu rattraper le café perdu depuis, je me voyais mal me montrer trop cruel avec elle. De plus, elle semblait courtoise et polie, et elle ne m’avait jamais marqué en cours. Preuve qu’elle devait bien faire son travail, et devait figurer parmi les têtes irréprochables de Poudlard. Elle n’était pas de Gryffondor, ne s’appelait pas Potter, et était bonne élève. Que pouvais-je faire contre ça ?

Aussi, je soupirais, croisais les bras et regardais mon interlocutrice dans le blanc des yeux.

« Comme punition je vous propose une série de coups de fouets. »

Je me relevais, et allais chercher quelque chose dans mon armoire, se situant derrière moi.

Je mettrais bien évidemment un foulard sur votre bouche pour vous éviter de faire trop de bruit. Cela serait gênant, si vous incommodiez les élèves qui révisent leur BUSES.

Je saisis alors l’objet de ma convoitise, et me retournais alors en direction de la jeune femme, me réinstallant à mon bureau. J’avais l’objet caché derrière mon dos, de façon à ce qu’elle ne sache ce que je tenais fermement dans ma main.

Une fois en face d’elle, je m’appuyais contre le bureau et observais la demoiselle dans le blanc des yeux, une pointe de malice brillant dans mes yeux.

Je peux compter sur votre discrétion… ?

Mes yeux la fixaient tout autant intensément, et un silence de plomb régnait dans mon bureau, comme si l’espace temps s’était soudainement arrêté…

Je continuais mon observation du visage de la jeune femme, ravissante, je devais le reconnaître, encore quelques secondes, sans que la sournoiserie ne quitte mes traits.

Puis, au bout de quelques temps, je souris, et sortis l’objet de derrière mon dos, le posant avec force contre le bois du pupitre.

Une cafétière.

Avec du café.

Je plaisante. Vous voulez un café ?


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Message(#) Sujet: Re: [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] [DILEMME] Quand la vie refuse de vous tendre un citron [Lyard XY] EmptySam 21 Fév - 20:14

Attendre bêtement à la porte ? Entrer dans le bureau ? La question valait la peine d’être posée, Bailee ne savait pas quel comportement elle était censée adopter avec ce professeur qui était clairement quelqu’un de très particulier. Qui collait un élève parce qu’il avait fait preuve d’un tout petit peu de maladresse ? Elle n’avait jamais vu ça auparavant et elle n’était pas certaine d’être très à l’aise avec ça. Un professeur qui abusait de son autorité pouvait cacher bien d’autres secrets qu’un simple petit abus de pouvoir et la Serdaigle n’était pas assez stupide pour ne pas se montrer un minimum méfiante. Mais elle avait fini par y parvenir, elle était entrée dans ce bureau et faisait face à son enseignant et tentait tant bien que mal de déceler sur son visage une quelconque trace de… De quoi d’ailleurs ? Que cherchait-elle au juste ? C’était juste un professeur dans son bureau, qu’allait-elle s’imaginer ? Il fallait qu’elle arrête les romans policiers, ils commençaient sérieusement à lui nuire.

« Miss Café… »

Une grimace fit une brève apparition sur son visage fermé, le surnom lui déplaisait mais une fois de plus elle n’avait pas son mot à dire et elle resta muette, suivant du regard le geste de son professeur lorsqu’il lui indiqua un siège sur lequel elle devait vraisemblable aller s’assoir. Elle s’exécuta, bien sûr, qu’aurait-elle pu faire d’autre de toute façon ? Elle n’était pas une révolutionnaire, elle aurait voulu s’indigner pour cette punition imméritée mais n’en avait ni la force, ni le courage, ni la volonté. La vie d’une adolescente n’était pas forcément toujours évident surtout lorsque, comme Bailee, on avait un caractère fort qui ne demandait qu’à s’exprimer. S’écraser n’était pas dans ses habitudes et jouer les marionnettes lui déplaisait fortement, mais tant pis. Le dos droit, prenant garde à ne pas reposer son dos dans le fond de la chaise, elle croisa les jambes et croisa les bras, non sans avoir lissé sa jupe au préalable. Une petite poupée de porcelaine, sage et obéissante.

« Comme punition je vous propose une série de coups de fouets. »

La porcelaine se brisa et le signal d’alarme auquel elle s’attendait depuis qu’elle avait frappé à la porte du bureau de l’enseignant s’alluma dans sa tête, provoquant un bruit strident qui se répandit dans tout son corps. Pas un seul instant elle s’imagina que ça puisse être des paroles en l’air, et pourtant, même si l’expression de son visage s’était métamorphosée, laissant place à une crainte mal dissimulée, elle ne bougea pas, restant à l’endroit qui lui avait indiqué comme si ce simple fait pouvait suffire à la protéger de ce qui aurait pu lui arriver. Des coups de fouets ? Sérieusement ? Elle n’avait jamais entendu le moindre élève se plaindre du comportement du professeur Lyard auparavant et même si elle le trouvait particulièrement étrange et même un peu effrayant, jamais elle n’aurait pu imaginer qu’il lui fasse subir une chose pareille.

« Je mettrais bien évidemment un foulard sur votre bouche pour vous éviter de faire trop de bruit. Cela serait gênant, si vous incommodiez les élèves qui révisent leur BUSES. »

Le bruit strident dans sa tête prit une ampleur différente, lui ordonnant de bouger, maintenant et pas dans dix jours. Elle ne pouvait pas obéir à un enseignant qui abusait autant de son pouvoir vis-à-vis de ses élèves, mais Bailee avait beaucoup de mal à réagir, parce qu’elle détestait aller à l’encontre des règles édictées par des personnes qu’elle avait toujours placées au-dessus d’elle dans sa hiérarchie personnelle mais aussi parce qu’elle craignait les représailles et se savait ne pas être en sécurité actuellement. Mais lorsque le professeur Lyard se retourna, une main dans son dos, cachant probablement l’objet dont il parlait depuis tout à l’heure, elle se leva d’un bon et alla se positionner instinctivement derrière la chaise, s’agrippant au dossier des deux mains comme si ce petit objet pouvait réussir à la protéger d’un sort funeste. Fuir ? Elle aurait probablement dû y penser mais elle ne voulait pas tourner le dos à l’enseignant, qui sait ce qu’il pouvait avoir envie de faire.

« Je peux compter sur votre discrétion… ? »

Sa bouche s’était asséchée sans qu’elle s’en rende compte et elle déglutit difficilement, tentant de retrouver une possession pleine et entière de ses moyens, elle avait envie de parler, de lui dire que non, il était complètement malade et elle avait envie de se barrer au plus vite, mais elle ouvrit et referma la bouche sans produire le moindre son. Ses doigts refermés autour de la chaise étaient devenus blancs tant ils étaient crispés, l’enseignant eut le culot de faire durer le suspense encore de longues secondes, instants durant lesquels ils se regardèrent sans rien dire, deux adversaires prêts à rentrer sur le terrain de combat. Bailee était aux aguets, craignant à chaque instant le prochain mouvement du professeur et se félicitant intérieur d’avoir persévérer à apprendre la legilimencie.

« Je plaisante. Vous voulez un café ? »

La cafetière avait résonné avec un bruit sourd sur le bureau de l’enseignant et Bailee avait failli s’évanouir rien qu’en le voyant sortir sa main de derrière son dos. Elle pouvait au moins lui reconnaitre une qualité, il était doué pour l’effet théâtrale, tellement doué qu’elle mit un instant à réaliser que ce n’était qu’une vaste plaisanterie probablement destiné à la faire flipper plus qu’autre chose, elle mit encore un moment avant de savoir quel comportement adopté et c’est tout naturellement qu’elle retourna s’assoir, faisant comme si elle n’avait pas été morte de trouille quelques instants plus tôt. Ce n’est qu’une poignée de secondes plus tard qu’elle put enfin lui apporter une réponse à sa question, ayant pleinement retrouvé l’usage de la parole et de ses facultés mentales.

« Non merci, professeur. » Répondit-elle poliment, se gardant bien de mentionner son sens de l’humour complètement naze. « Je n’en raffolais déjà pas auparavant, mais je crois que je vais définitivement bannir ce mot de mon vocabulaire. »

Elle peinait à croire ce qui venait réellement de se produire, plus jamais elle ne voulait entendre parler de café, si c’était sa manière à lui de lui donner une bonne leçon, elle était retenue et il pouvait dès maintenant la laisser partir. Elle allait raser les murs, ne jamais courir et éviter tous les endroits où il pourrait se trouver. Ce type était malade.
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