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[ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !)
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Message(#) Sujet: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyMar 9 Déc - 0:44


Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Les vacances avaient enfin montré le bout de leur nez, oui enfin !!!!!!! Ça faisait un petit bout de temps que je les attendais celles-là ! Bon, ok, Noël n’avait rien à voir avec un moment en famille pour moi, mais la magie de cette période était quand même là… même je me foutais totalement de voir la joie envahir les couloirs de Poudlard. A la base, je devais retourner chez mon oncle, juste pour qu’on passe un peu de temps ensemble. Mais en fait, non, il avait beaucoup de travail et n’étant pas un fana de Noël, il m’avait proposé de se retrouver une journée à Pré-au-Lard à la taverne d’Idiya, ce qui était surement mieux pour le moment. Ce que j’avais cru comprendre par rapport aux paroles de mon oncle et aussi d’Aygaus, c’était que Tobias avait quelques soucis en ce moment avec des opposants et qu’il ne préférait mieux pas que je sois impliquée. Ca me mettait en rogne de ne rien pouvoir faire pour l’aider mais bon, je leur faisais confiance et me disais qu’ils m’en parleraient réellement tôt ou tard… en espérant que ce soit plus tôt que tard.

Bref, rester à Poudlard n’était pas du tout un problème pour moi étant donné que la plupart de mes potes y restaient aussi. Du coup, deux semaines pour s’amuser, profiter et honorer les fêtes de fin d’année comme cela se devait ! Et puis, c’était une occasion de passer un peu de temps avec Franz… ok ok, depuis deux mois il fallait avouer que c’était toute une organisation. On aurait pu s’en lasser, s’éloigner et tout arrêter. Mais nan, c’était tout le contraire. Tout ça avait un côté « excitant » qui rendait le quotidien à l’école de sorcellerie encore plus intéressant. Enfin, intéressant et suicidaire aussi. Depuis la soirée d’Halloween, avec Franz rien n’avait changé. Bon, c’était un mensonge, des choses avaient changé mais ce qui s’y était passé ne nous avait pas séparé, c’était tout le contraire en fait. Avant, on était complices, mais depuis cette complicité n’était plus vraiment amicale… elle était malicieuse et attentionnée. C’était très agréable mais en même temps depuis deux mois on ne s’était pas retrouvés juste tous les deux. Comme si on nous faisait payer ce rapprochement et qu’on nous évitait de partager un moment tous les deux, évitant ainsi une situation similaire à celle de la soirée… enfin, en pire (ou mieux, tout dépendait du point de vue). Traiter Niedi juste comme un ami devant les autres, et surtout Jenni, était loin d’être évident. L’attirance que j’avais pour lui était déjà présente avant mais depuis son baiser, c’était encore pire. Quand je le voyais je me souvenais du goût de ses lèvres et de la chaleur de ses mains… une torture !
Ce qu’il s’était passé n’était pas encore parvenu aux oreilles de notre amie blonde, et heureusement ! J’aurai pu être mal à l’aise et tout arrêter, éviter ces regards aguicheurs, ces sourires espiègles, ces petits gestes et mini caresses affectueuses quand quelques secondes se présentaient à nous… en bref, éviter une sorte de « relation secrète » qui blesserait la jolie blonde. Etait-ce égoïste de ma part de profiter de Franz alors que je savais qu’elle aussi avait des sentiments pour lui ? Oui, possible, mais j’étais égoïste. Je ne voulais pas la blesser. J’avais essayé de mettre mon attirance de côté pour lui laisser mener le jeu. Mais voyant que cette attirance était réciproque – bien que, je n’étais pas idiote, j’avais bien conscience qu’il était aussi attiré par Jenni… j’espérais juste au fond de moi que ce ne soit pas similaire – je n’avais pu me contrôler. Parfois, je me disais que j’allais tout stopper… mais quand je le voyais, je ne pouvais pas. Il fallait le dire, ce mec me faisait craquer et j’avais une confiance aveugle en lui.

Les vacances étaient arrivées et la possibilité de le voir un peu seul à seul aussi. Bon, y avait pas à dire, je n’étais ni une sentimentale, ni une émotive et encore moins une romantique. Mais j’avais besoin de me retrouver avec lui et de voir ce que ça donnerait. Sachant que de mon côté, je savais que j’avais du mal à lui résister, et c’était difficile à accepter ! Je n’étais dépendante de personne, voir que je perdais le contrôle face à quelqu’un, même si c’était un de mes plus proches « amis », m’était très compliqué à encaisser. Mais voilà, j’étais attirée…
Voulant être certaine de le retrouver sans qu’aucune oreille ou qu’aucuns yeux ne traînent, je lui avais glissé un petit mot dans sa main ce matin, au petit déjeuner, pour qu’il vienne me rejoindre en fin d’après-midi dans le couloir du Balcon du Monde. J’avais hésité avec la salle sur demande, mais je m’étais dit que ce premier était mieux car on pourrait faire découvrir nos pays et aller où bon nous semble, tout en étant certains de ne pas être déranger. J’avais besoin d’intimité avec lui, j’espérais juste que c’était toujours le cas pour ce cher Niedi aussi…

J’étais à l’heure et je l’attendais calmement. Pas d’appréhension, pas de peur, non j’avais juste hâte. Peut-être qu’il ne viendrait pas, je ne savais pas tellement en fait, mais au fond de moi je savais qu’il serait là. E effectivement… j’entendis des pas s’approcher et je le vis non loin de moi. Avec un sourire qui se voulait malicieux, je lui lançai :

« Obligée de te fixer un rendez-vous Niedi pour être sûre de te trouver seul… c’est triste ! » Je souris de nouveau en montrant d’un signe de tête vers la porte du Balcon du Monde : « Ça te dit un petit voyage aux Pays-Bas ? Je connais quelqu’un là-bas qui a besoin de te voir… » Je le fixai, lui signifiant bien que cette personne était moi. J’attendais son accord pour rentrer en sa compagnie… à moins qu’il ne soit venu juste pour me dire que tout ça était idiot et qu’on reprenait notre amitié de base. Après tout, je le comprendrais et je l’accepterais. Il y avait des raisons de prendre cette décision n’est-ce pas ?!


©BlackSun


Dernière édition par Aniek E. Frowein le Mer 4 Fév - 18:29, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyMer 10 Déc - 11:44



" ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ "

"Let's have a trip together, to remember where two perfects peoples used to be born"


~ Les vacances, enfin. J'avais hâte de sortir un peu de la routine habituelle. Pour moi, Noël n'a jamais été un excellent petit moment familial puisque chaque année, je passe ce moment à Poudlard, en compagnie Jennifer, la plupart du temps. Je n'ai jamais été très "familial" moi-même. Les décorations de cette fête, partout à travers le château, ne me faisaient même pas ciller des yeux. Pourquoi prendre ça tant à cœur ? Je n'ai jamais compris pourquoi les moldus et les sorciers adorent tant cette fête, si banale à mes yeux. On y mange de l'excellente nourriture, certes, mais ce n'est pas une raison pour qu'elle ait une certaine importance.

~ En tout cas, ces vacances allaient être sympathiques et j'allais pouvoir profiter d'un peu de repos mais aussi de la présence de mes amis, particulièrement une fille avec qui je m'étais très rapproché depuis la soirée d'Halloween, soit Aniek Frowein, une jolie Néerlandaise avec qui j'avais une excellente complicité. Je ne regrettais aucunement d'avoir goûté à sa bouche malgré que je savais très bien que si Jennifer apprenait, jamais elle n'en reviendrait, surtout qu'elle est largement attirée par moi-même et ce fut réciproque avant la conclusion de la fête. Faut croire que la danse avec Aniek avait changé la donne et m'a fait voir plus loin que ce que ma meilleure amie m'avait fait voir. Du coup, nous avions dû entamer tout ça en secret afin de ne pas éveiller ses soupçons, donc éviter de nous voir tous les deux, seuls, en quelque sorte. Les vacances est une occasion idéale quant au fait de se retrouver un peu plus intimement, sans nos habituels amis. La voir, son sourire malicieux à ses lèvres, la douceur de ses mains ainsi que le goût de ses lèvres, j'ai constamment ça en tête, lorsque je suis en sa compagnie. Avec Jennifer à côté, nous devions faire en sorte que ça n'avait jamais existé et c'était une situation que je n'appréciais pas vraiment et je doute que ce soit le cas d'Aniek également. Pour conserver l'amitié de la blonde, nous n'avions pas le choix...

~ J'aimerais avoir Schöna me tenant la main, nous promenant librement dans les couloirs en inspirant la crainte et le respect en même temps. Comme l'année passée où nous, Serpentards, avions tout le pouvoir de l'école grâce à l'ancien préfet. Avec Aniek, ça aurait été encore plus amusant, cette année mais seulement s'il n'y avait pas Jennifer dans l'équation, m'empêchant de faire tout ça, sans compter lui donner quelques marques d'affections régulières. Un moment donné, nous n'aurions pas le choix de faire face à la Néo-Zélandaise parce que ce genre de truc ne peut pas se cacher indéfiniment, surtout pas à Poudlard où l'école est remplie d'imbéciles et de faux-culs. Est-ce que ça vaut la peine de continuer ou tout arrêter ? Ça, je ne le pouvais pas. Mon attirance envers Jennifer avait, en plus, semblé s'estomper petit à petit. Peut-être que la jolie Frowein n'en était pas l'unique facteur. Peut-être était-c parce que Jennifer était trop brute et que je ne veux pas perdre son amitié qui m'est chère depuis notre enfance à Reading. C'est difficile mais je n'y peux rien...

~ Ce matin-là, au petit-déjeuner, j'avais reçu un mot subtil en main, de la part de Schöna, voulant me retrouver dans le couloir, près du Balcon du Monde en fin d'après-midi. Évidemment, je n'allais pas manquer ce rendez-vous. J'ai donc passé le restant de la matinée et après-midi à glander ici et là, impatient de la retrouver. J'étais dans mon dortoir, enfilant une chemise émeraude. Je n'avais pas l'intention d'arriver en retard, alors j'ai pris ma baguette et je suis sorti de la salle commune. Jennifer n'était pas dans les parages. Il me semblait qu'elle traînait avec Sky, en ce moment. Depuis quelques mois, les deux filles sont très proches et pour ma part, bien que j'aime bien la Milbury, j'évite de l'approcher de trop près puisqu'il me semble ressentir quelque chose en sa présence et non, ce ne sont pas des sentiments ni rien touchant tout ça. Quelque chose de magique dans l'air, qui me force à l'admirer mais je ne saurais dire ce que c'est. Il faudrait que je pratique mon Legilimens dessus pour découvrir ce qui cloche...

~ Je me suis donc dépêché de monter les marches du sous-sol pour ensuite passer dans le hall jusque dans escaliers mouvantes pour me rendre au troisième étage, où se situait l'endroit pour le rendez-vous. Évidemment, je faisais le plus possible pour que l'on ne me remarque pas. J'étais enfin rendu, et de justesse puisque l'escalier avait commencé à bouger quatre secondes après avoir mis le pied sur l'étage. C'est en marchant que j'ai continué mon ascension dans le couloir afin de me rendre vers la fille qui m'attirait. C'est là que je la vis au loin, magnifique comme toujours ou du moins, particulièrement depuis Halloween où je la remarque bien plus qu'avant. J'avais envie de la serrer contre moi mais je devais m'en abstenir pour l'instant. Je m'approchais d'elle où un sourire malicieux perlait à mes lèvres. Elle me lançait :

« Obligée de te fixer un rendez-vous Niedi pour être sûre de te trouver seul… c’est triste ! » Je n'ai pu m'empêcher de lui lancer un sourire malicieux, pendant qu'elle continuait le sien, désignant la porte. « Ça te dit un petit voyage aux Pays-Bas ? Je connais quelqu’un là-bas qui a besoin de te voir… » Je lui fis un petit clin d'oeil, en continuant mon approche, voyant parfaitement où elle voulait en venir. Une petite visite de son pays natal, pourquoi pas ! J'étais bien curieux sur ce que pouvais me montrer cette jolie vipère, ne connaissant pas grand chose des Pays-Bas moi-même. J'ai beaucoup lu dans mes temps perdus, particulièrement sur l'histoire mais aussi un peu sur la géographie. Le reste, ce sont tous des trucs magiques. À quelques pas d'elle, j'ai répondu :

« C'est triste, effectivement mais faut croire que ce moyen n'a jamais de faille. » Dis-je, en lui lançant un clin d'oeil. « Néanmoins, je vais t'avouer être plutôt impatient de rencontrer cette personne dont tu parles, surtout dans ton pays natal... Je suppose que c'est une vipère très charmante mais qui a un caractère terrible, je me trompe ? » Dis-je, moqueur, avant d'arriver à elle, où je l'ai serré contre moi. J'ai ensuite lâché l'étreinte, la prenant par la main, ouvrant la porte où je l'ai laissé prendre les devants. « À toi de me faire découvrir ton enfance, Schöna... » Un sourire perlait à mes lèvres, pendant que je la suivais à l'intérieur, fermant la porte, sans lui lâche la main.

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Message(#) Sujet: Re: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyJeu 11 Déc - 0:06


Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


J‘attendais, patiemment, me demandant s’il arriverait à me consacrer un peu de temps seul à seul. Dire que j’étais en manque de lui était un bien grand mot vu que nous nous voyions quotidiennement, mais ne pas être entouré des autres et le voir tout seul était une envie qui me rongeait de plus en plus.
Je savais au plus profond de moi que ce n’était pas réglo vis-à-vis de Jennifer ce que je faisais, mais devais-je me sentir coupable de mes attirances pour Franz ?! Bien sûr que non, surtout que j’en avais pris conscience bien avant de savoir qu’elle aussi ressentait quelque chose pour son meilleur ami. Chaud… oui, mais je ne regrettais pas. Je pensais m’abstenir, bien souvent, mais impossible de le faire en concret. Niedi partageait les mêmes valeurs que moi, il ne me jugeait pas et on avait beaucoup plus en commun qu’on pouvait l’imaginer. Alors non, je ne culpabilisais pas (ou peut-être un peu… la jolie blonde était mon amie tout de même !) et je profitais de ces moments avec le jeune homme… comme si cela devait s’arrêter du jour au lendemain, bien que cela soit secret et soit très (trop) ponctuel !

Alors que j’étais perdue dans mes pensées, j’entendis des pas non loin et j’eus le plaisir de remarquer l’arrivée de Franz. Bon, au moins il avait répondu présent, et étrangement je me sentais comme soulagée et bien contente de le voir… ce que j’essayais de masquer un peu pour ne pas avoir l’air d’une nana en manque qui avait besoin d’affection. Surtout que ce n’était pas vraiment le cas, mais là j’avais juste envie de plus que sous-entendus et d’une petite caresse sur la main du bout des doigts. Ouais, qui aurait pu croire que la jeune Frowein aurait soif d’affection ? Et bien voilà, avec des personnes particulières, elle en demandait plus, qu’y avait-il de mal à ça ?
Je le regardais s’approcher, un petit sourire espiègle sur les lèvres, le scrutant de la tête aux pieds. Ouais… il était vraiment charmant, à craquer. Si j’étais le genre de nana qui ne se maîtrisait pas et qui n’avait aucun contrôle de soi, je fonderais sur place rien qu’en le voyant sourire et en me noyant dans ses yeux. Ok, trop romantique à mon goût ! Ce qui était étrange, c’était qu’il y avait encore quelques mois, j’étais loin d’avoir ce ressentiment en le regardant. Que s’était-il passé ? Aucune idée, je ne pouvais l’expliquer, les hormones peut-être, mais c’était bien plaisant.

Je le charriai alors, comme d’habitude. Ce n’était pas le fait que nous étions proches d’une façon différente qui nous changeait l’un par rapport à l’autre, bien au contraire. De toute façon, et comme toujours, il ne se fit pas prier pour me répondre :

« C'est triste, effectivement mais faut croire que ce moyen n'a jamais de faille. » Pas faux, de toute façon je n’avais pas trouvé meilleure façon de le retrouver seul à seul. « Néanmoins, je vais t'avouer être plutôt impatient de rencontrer cette personne dont tu parles, surtout dans ton pays natal... Je suppose que c'est une vipère très charmante mais qui a un caractère terrible, je me trompe ? » Je roulai des yeux tout en faisant une petite moue, haussant les épaules. « Hum… on peut voir ça comme ça ! C’est surtout une personne qui en a marre de faire semblant et qui a besoin de plus… » Dis-je, mi-malicieuse, mi-sérieuse. Car oui, tout cela était dit sur le ton de l’humour, mais au fond c’était vrai. Se cacher, ça avait quelque chose « d’excitant », c’était certain, mais ne pas pouvoir me blottir dans ses bras et lui voler un baiser quand je le désirai était quelque chose qui me pesait. Mais bon, j’étais forte et j’arrivais à prendre sur moi… surtout pour ne pas blesser Jenni. Il s’approcha alors un peu plus de moi et me serra tout contre lui. Sans m’en rendre compte, j’expirai fortement, me sentait bien à cette place, même si cela ne dura que quelques mini secondes. Il me prit alors par la main et me fit passer devant : « À toi de me faire découvrir ton enfance, Schöna... ». Tout en gardant nos mains nouées, nous nous engagions dans la salle. Franz ferma la porte dernière nous et je me retournai vers lui, un petit sourire sur le coin des lèvres. Je l’attirais alors au milieu de la pièce, tournant sur moi-même tout en regardant les 4 coins de l’endroit. Je fermai alors les yeux, repensant à ce petit coin de paradis chez mes grands-parents, au Pays-Bas. Avant que le décor change du tout au tout, je coupai mes pensées, ouvrant les yeux et plongeant mon regard dans celui du beau jeune garçon. Oui, je voulais lui faire découvrir mon pays, mais avant toute autre chose, c’était lui que je voulais.

J’entrelaçai mes doigts avec les siens et je m’approchais un peu plus « dangereusement » de lui. Je lâchai une de ses mains et passai mes doigts sur sa joue, le fixant droit dans les yeux. Je lui souris et, tout en gardant ma main sur son beau visage, je posai mes lèvres sur les siennes, intensifiant le baiser, l’embrassant langoureusement. Après quelques secondes, je me reculai quelque peu : « Ca faisait tellement longtemps que j’avais envie de… ça ! » Et bien plus… mais ça, je le gardai pour moi, je ne voulais pas lui faire peur non plus avec mes pulsions. Ses lèvres étaient vraiment un régal, plus j’y goutais plus je les voulais… et pourtant cela faisait trop longtemps que j’avais dû m’abstenir ! Pourrions-nous vivre tout le temps ainsi ? Je ne me posai pas vraiment la question à ce moment –là, j’étais trop occupée à passer du temps avec lui, sans me poser de questions. Je m’assis alors en tailleur au beau milieu de la place puis, tout en attendant que le serpent me rejoigne, je mis ma tête dans mes mains et fermai de nouveau les yeux. Les images se mettaient petit à petit en place dans mon esprit, ces jolis paysages, je ressentais même la douceur de la brise de mars. Ah… ce pays était le meilleur qu’il m’était donné de connaître. Je voyais ce grand jardin, ce ciel bleu, je sentais cette fraîcheur envahir mon corps. Tout autour, des arbres, des paysages vastes et verts… et des architectures magnifiques au loin. Là, en plein milieu de la place centrale du village de mes grands-parents, la joie sur le visage des gens et cette euphorie dans les rues. Je n’osai pas ouvrir les yeux, me demandant si je verrai vraiment sur les murs de la pièce ce que j’avais dans mes pensées… la déception, je n’aimais pas ça, et je voulais partager ce bel endroit avec Niedi. Pour cela, il me faudrait ouvrir les yeux… n’est-ce pas ?!


©BlackSun

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Message(#) Sujet: Re: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyMar 16 Déc - 16:43



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"Let's have a trip together, to remember where two perfects peoples used to be born"


~ En arrivant, mon impatience quant à retrouver la Néerlandaise était bien présente, surtout après cette banale journée dont la longueur avait été sans merci. Quand ce fut le temps du rendez-vous donné au petit matin par Aniek, je m'étais précipité pour la rejoindre, discrètement. Nous gardions tout ça, secret, afin que Jennifer ne s'aperçoive de rien. Ça me faisait un peu mal qu'elle soit dans l'ignorance mais la connaissant, ça pourrait lui porter un coup grave. Lorsqu'elle le découvrirait, notre amitié pourrait en prendre un énorme coup. Ce qu'elle ne comprenait pas est que je suis libre de ma vie et des choix que je fais par celle-ci. Le bal d'Halloween avait été déterminant quant à mon choix et ça aurait pu tomber sur elle si elle n'avait pas quitté la salle. Aniek avait accepté de m'accompagné sur la piste de danse et c'est ainsi que nous avions pu commencer cette histoire...

~ Une fois dans les couloirs, je l'aperçus au loin et un sourire vint à mes lèvres, satisfait de la retrouver là. J'étais ponctuel et j'arrivais jamais en retard pratiquement, hormis si j'avais une urgence quelconque. J'étais jamais trop à l'avance également, simplement à l'heure. J'avais hâte de voir ce qu'elle avait prévu, Schöna, dans cette salle. Je devinais un peu, surtout que l'on avait peu l'occasion de se voir ainsi. Profiter était le mot idéal. On ne sait jamais ce qui peut arriver quant à nos proches, particulièrement Jennifer... Lentement, je m'étais rendu à elle, où je lui avais répondu que le moyen de fixer un rendez-vous n'avait pas de faille en étant impatient de rencontrer la personne dont elle me parlait et je savais, évidemment, qu'elle parlait d'elle-même, en disant que c'était une charmante vipère avec une sale caractère. Ces derniers mots, je l'avais dit d'un ton moqueur, évidemment. Schöna fit une petite moue, roulant des yeux en haussant des épaules pour me répondre : « Hum… on peut voir ça comme ça ! C’est surtout une personne qui en a marre de faire semblant et qui a besoin de plus… » Dit-elle, mi-malicieuse, mi-sérieuse. J'ai hoché de la tête en lui signifiant que c'était pareil pour moi. Je lui ai répondu : « C'est tout à fait réciproque, ma chère... Nous n'aurons plus besoin de faire semblant, bientôt. » Dis-je, sérieusement, avant de la prendre dans mes bras. Ce contact me fit énormément du bien. J'avais envie de goûter à ses lèvres mais ici, dans le couloir, ce n'était peut-être pas l'idéal. Je ne m'étais contenté que de cette action. Je lui avais ensuite tendu la main en l'amenant vers la porte, lui disant de me faire découvrir son enfance. Je l'ai ensuite fait entrer en premier, sans toutefois lâcher le contact de sa main. J'aimerais bien avoir la possibilité de faire ce genre d'action dans les couloirs et comme elle, j'en ai absolument marre...

~ Une fois tous les deux dans la salle, j'ai refermé la porte afin que l'on ne soit pas dérangés. Le but d'être ici n'était pas seulement de montrer un paysage quelconque mais bien de passer un temps profitable entre tous les deux. Schöna se retourna vers moi, le sourire aux lèvres, avant de m'attirer au centre de la pièce. Évidemment, je ne pus lui refuser ce petit mouvement, je la suivis au centrer, toujours sa main nouée dans la mienne. Elle ferma les yeux afin de s'imaginer l'endroit voulu, me demandant ce qui allait apparaître devant mes yeux et devais-je dire que j'étais assez curieux sur ce que ressemblait l'endroit où avait vécu la Néerlandaise. Peu avant, mon regard se plonge de nouveau dans celui de Schöna qui entrelaçait ses doigts dans les miens en s'approchant un peu plus de moi...

~ Elle me lâcha une main en mettant la sienne sur ma joue, ce qui me fit sourire tout comme elle. Je ne pouvais m'empêcher de la trouver très jolie, surtout de cet angle. Je devinais ses intentions et c'est exactement ce dont j'avais besoin. Elle approcha sa bouche de la mienne et je fis le mouvement. Ce fut un baiser langoureux et dois-je dire que je le voulais. Je me sentais comme emporté dans un autre monde, ayant mis mes mains sur ses épaules, en intensifiant le contact. Après ces quelques secondes, trop courtes à mon avis, elle se recula un petit peu en me disant :

« Ca faisait tellement longtemps que j’avais envie de… ça ! » Je lui ai souri, sans cesser de la regarder dans les yeux. J'ai répondu, doucement : « Je ne vais pas te cacher que j'étais sur le point de te le faire... » Je continuais de lui sourire.

~ Je ne regrettais aucunement d'avoir fait ce premier baiser lors d'Halloween puisque je sentais vraiment quelque chose entre tous les deux et surtout que sa compagnie me faisait du bien. Dois-je dire que mon attirance vis-à-vis Schöna a porté ses fruits. Ce moment, je ne voulais pas qu'il soit rare mais bien à une bonne fréquence. Au final, la seule personne dans le château qui m'inquiétait à ce niveau-là était Jennifer. Le reste, je m'en fichais, que ce soit Maximilien, Sky, les Potter, Kavanagh et ainsi de suite. Aniek se mit donc à s'asseoir en tailleur, sur le sol, à l'endroit où nous étions. Je fis de même en m'asseyant à ses côtés, la regardant se mettre la tête dans ses mains afin de s'imaginer le paysage voulu. Le paysage changea du tout au tout, démontrant un beau ciel bleu. Des arbres nous entouraient avec des paysages vastes et verts, sans compter les architectures qui étaient resplendissants. On voyait le sourire sur le visage de la population qui s'y trouvait ainsi que la joie de vivre. C'était donc dans ça qu'avait eu l'occasion de vivre Schöna ? Elle avait eu pas mal de chance contrairement à moi-même. J'étais un peu médusé par ce que je voyais. J'aurais aimé vivre dans un tel paysage, en Allemagne mais j'ai dû subir l'orphelinat dans une ambiance lugubre et froide. Je lui montrerai peut-être plus tard. Je préférais largement ce que je voyais actuellement. Tournant mon regard vers la jolie brune, qui avait toujours les yeux fermés. J'ai souri, déposant ma main sur sa cuisse, je lui ai dit, doucement :

« Je pense que tu peux ouvrir les yeux. Et ce que je vois-là... C'est, comment dire, magnifique... » J'ai pris sa main, à l'aide de ma main sur sa cuisse, en la regardant. « Aussi magnifique que toi... » J'ai de nouveau approché ma bouche de la sienne pour de nouveau goûter à ses douces lèvres avant de les retirer. Elle était devenue une drogue, en quelque sorte et ma tête me disait que j'avais bien plus envie qu'un simple baiser. « Je ne dirais pas non pour visiter ce petit coin de pays en ta compagnie... Mmmmh... Je pense que ce Noël est simplement parfait, surtout quand il s'agit de deux personnes parfaites... »
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Message(#) Sujet: Re: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyJeu 18 Déc - 15:54


Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Nous étions enfin rentrés dans la salle. Franz venait de fermer la porte et désormais plus personne ne pouvait nous voir ou nous espionner… nous étions tous les deux et juste tous les deux, sans devoir se cacher, sans devoir se contenir, et ça c’était ce que j’attendais depuis la soirée d’Halloween ! Oui oui, évidemment que je pensais à Jenni, je ne pouvais d’ailleurs pas m’en empêcher, mais là je voulais me consacrer entièrement à Franz, je voulais profiter de sa présence et ne pas en culpabiliser. Du coup, je mis la vipère dans un coin de mon cerveau et me dis que je devais vivre cet instant qu’on pouvait enfin partager tous les deux.
J’avais choisi cet endroit car, déjà, personne ne pouvait nous déranger. Mais aussi parce que voyager dans nos pays d’origine était agréable, ça faisait bien trop longtemps que je n’étais pas retournée chez moi. Bien sûr, en y pensant, je ne voyais que de belles images… malheureusement ce n’était pas ce qui avait rythmé mon quotidien là-bas, quand je vivais encore chez mes parents. De mon côté, je ne voulais me souvenir que des beaux endroits, et c’était ceux-là que je voulais montrer à Niedi. J’aurai pu lui montrer là où j’avais vécu la plupart du temps mais je ne cherchais pas à me faire plaindre, je voulais lui montrer à quel point les Pays-Bas était un magnifique pays.
Je l’amenai alors au centre de la pièce, gardant une pression rassurante sur sa main. J’entrelaçai alors mes doigts avec les siens et je m’approchai, attendant depuis bien trop longtemps de refaire… ça. J’embrassai alors de nouveau le beau serpent, prenant plaisir de poser de nouveau mes lèvres contre les siennes, soupirant de satisfaction. Il intensifia le baiser et ce n’était que meilleur.

« Je ne vais pas te cacher que j'étais sur le point de te le faire... » Me dit-il en souriant. Je posai alors de nouveau ma main sur sa joue, acquiesçant d’un signe de tête, un petit sourire sur le coin des lèvres.

Puis, je m’assis au centre de la pièce. Franz fit de même, se demandant surement ce qui allait apparaître autour de nous. Je mis ma tête dans mes mains, pensant fort à cet endroit que je voulais lui faire découvrir. Je ne savais si le décor avait fait son apparition, mais je n’osais ouvrir les yeux pour le moment. Je sentais que Niedi s’agitait à mes côtés, posant une main rassurante sur ma cuisse. Peut-être que les images étaient présentes ?! Surement, mais espérons que c’était bien l’image agréable du pays et non le quotidien que j’avais eu dans le domaine familial. Je la voyais tellement bien, cette architecture parfaite et colorée sous un ciel bleuté magnifique. Une légère brise, très fraîche oui, mais tellement agréable. Du vert, beaucoup de vert, des fleurs et des scintillements aux fenêtres. Les gens étaient heureux, les magasins étaient animés et les fontaines s’agitaient joyeusement autour des sculptures. Oh, cette petite ville était mon meilleur souvenir, je rêverai d’y retourner… Mais qui disait retourner là-bas, disait voir mes parents, et je ne voulais ni pouvais pas, c’était hors-de-question. Pourtant, ce que mon pays me manquait… C’est alors que j’entendis la voix posée du jeune homme :

« Je pense que tu peux ouvrir les yeux. Et ce que je vois-là... C'est, comment dire, magnifique... »

Il prit alors ma main et je relevai ma tête, ouvrant les yeux et regardant tout autour de nous. Petit à petit, mon sourire s’agrandit… Oui, c’était exactement ça, c’était magnifique, c’était comme dans mes souvenirs. Je soufflai, heureuse de voir de nouveau ce paysage sous mes yeux. Je serrai la main de Franz, juste parce que je me sentais bien et que j’étais ravie qu’il partage ça avec moi ?

« Aussi magnifique que toi... »

A ses mots, je me retournai vers lui, souriante. Il avait les mots pour faire du bien, pour réchauffer ce qui pouvait me servir de cœur, bien que je le protégeais le plus souvent. Je me pinçai les lèvres, le regardant droit dans les yeux comme pour lui faire comprendre que cela me faisait plaisir et que je lui en étais reconnaissante. Il approcha de nouveau ses lèvres des miennes, et j’attendis ce contact patiemment, voulant encore et encore sentir cette douceur et ce plaisir. Au moment où nous allions nous embrasser, il les retira. Je le regardai, levant un sourcil interrogateur. Qu’y avait-il ? Ne me dites pas qu’il pensait à Jennifer à ce moment-là car ça, vraiment, je ne le prendrais pas bien. Je me demandai pourquoi il avait stoppé cette action et je le regardais de nouveau droit dans les yeux, cherchant une réponse à ma question. Je ne savais pas ce qu’il avait en tête, mais moi j’avais envie de contact avec lui… enfin, j’en avais désormais besoin !

« Je ne dirais pas non pour visiter ce petit coin de pays en ta compagnie... Mmmmh... Je pense que ce Noël est simplement parfait, surtout quand il s'agit de deux personnes parfaites... »

Je continuai de le regarder intensément. Au vu de ses mots, ce n’était pas qu’il n’avait pas envie… je ne pus alors m’empêcher de lui sourire de nouveau. Je me glissai alors tout contre lui, jusqu’à me retourner pour lui faire face, me mettant à genoux, plongeant mon regard dans le sien. Je ne savais pas ce qu’il cherchait, ce qu’il voulait, mais moi j’avais besoin de plus, d’affection, de geste, d’attention. Je le voulais et j’avais désormais envie d’autres choses que de simples baisers. Mais voilà, je n’avais pas conscience de ses envies à lui… alors je devais le tester.
Face à lui, je posai mes mains sur les siennes, les amenant sur mes cuisses.

« Je suis totalement d’accord. Ensemble, tout ne peut qu’être parfait… et je t’assure que cet endroit est parfait. Avant de te faire découvrir mon petit coin de paradis, c’est de toi que j’ai envie… » Lui dis-je avec un petit sourire malicieux, le regard intense.

Je pris ses mains et les posai sur mes hanches, me collant un peu plus à lui. J’approchai mes lèvres des siennes, les laissant à quelques millimètres l’une de l’autre. Je me mordis la lèvre inférieure tout en regardant ses lèvres si tentantes. Je posai doucement mes lèvres sur les siennes et attrapa délicatement sa lèvre inférieur avec mes dents avant de passer ma langue dessus comme pour l’apaiser, cette dernière continuant son chemin plus langoureusement, poursuivant en un baiser intense, alors que je posais une main innocente sur son torse habillé. De mon autre main, j’effleurai la peau de son cou. Je me redressai alors, souriant malicieusement, et lui dis : « Tu n’aurais jamais dû me laisser goûter à tes lèvres Niedi… ».


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Message(#) Sujet: Re: [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) [ANNEE 2020 - 2021] ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ [Franz / Aniek] (+18 ! Be Careful !) EmptyMar 23 Déc - 16:49



" ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ "

"Let's have a trip together, to remember where two perfects peoples used to be born"


~ Une fois entré dans la salle, je savais qu'Aniek et moi-même avions le libre arbitre quant à nos faits et gestes où nous n'avions aucunement besoin de nous cacher. Jennifer n'était pas au courant que nous étions ici et elle devait probablement être encore avec Sky qui était devenue une de ses meilleures amies. Pour ma part, c'était une amie mais quelque chose me disait que je ne devais pas toujours l'approcher vu qu’involontairement, mon regard se posait sur elle, comme si une force invisible m'en obligeait. Je préférais largement être en compagnie de la Néerlandaise avec qui je pouvais profiter de cette relation "secrète". Avec elle, j'oubliais Jennifer, en quelque sorte et du fait qu'elle mangerait un coup si elle apprenait. Ça n'a pas d'importance pour le moment, vaut mieux profiter de ce moment avec la brunette...

~ Schöna m'avait donc amené au centre en m'empoignant la main, entrelaçant ses doigts dans les miens, contact que je ne pouvais m'empêcher d'aimer et de ne pas simplement vouloir à le faire dans une telle situation mais quand bon on le voulait. C'est à cet instant que je pus sentir la douceur de ses lèvres contre les miennes, prolongeant ce baiser en l'intensifiant. J'éprouvais une grande satisfaction à chaque moment qu'on pouvait établir ce genre de contact ensemble. Était-ce devenu une sorte de drogue ? J'en ai bien peur. Sauf que c'est une peur très positive dans mon cas. C'est donc que suite à ce baiser, je lui avais avoué être sur le point de lui faire, ce qui était vrai parce que j'en avais ressenti un besoin et elle l'avait comblé plus vite que moi. Schöna avait posé sa main sur ma joue en acquiesçant d'un signe de tête avec un sourire en coin, ce qui me fit faire le même sourire, la regardant directement dans les yeux.

~ Suite à ce contact, Aniek m'a invité à m'asseoir quand elle le fit elle-même, au centre de la pièce. Elle avait commencé la démarche concernant le changement de décors afin de me montrer dans quel paysage elle avait vécu son enfance avant l'Angleterre, sûrement plus beau que mes souvenirs de l'Allemagne où je n'ai pratiquement vu qu'un misérable orphelinat. Je ne sais pas si je devais lui montrer ou simplement laisser ce qui s'apprêtait à se dévoiler devant nos yeux. Pour le moment, la vipère avait toujours ses mains devant ses yeux afin de s'imaginer parfaitement ce dont elle voulait. Le décor changea magnifiquement où je ne pus m'empêcher d'être émerveillé par cet endroit si pur, si magnifique... En même temps, j'avais déposé ma main sur la cuisse de la jolie brune, tout juste à côté. Elle mettait du temps à ôter ses mains de ses yeux, me demandant pourquoi. Peut-être que plusieurs souvenirs lointains surgissaient de sa mémoire ou un truc du genre. Je lui avais donc fait part de ma perception du paysage, en lui prenant sa douce main. Elle me la serra davantage, avant que je ne la complimente en la comparant au magnifique paysage qui se trouvait devant nos yeux. Elle se retourna vers moi, avec un beau sourire, ne pouvant m'empêcher de dévorer son regard de mes yeux. J'avais envie d'elle... J'ai donc approché, une nouvelle fois, ma bouche de la sienne mais j'ai retiré au dernier moment. J'avais souhaité lui dire d'autres trucs avait, espérant qu'elle ne le prenne pas mal du fait que j'aie stoppé l'action...

~ Après mes dires, elle continua de me regarder avec intensité avant de se mettre à genoux devant moi, souriante. Nos regards continuaient d'être dans celui de l'autre. Pour ma part, je me suis tourné directement vers elle. Je l'ai laissé poser mes mains contre les siennes, qui les amenaient sur ses cuisses où je souriais. Je pouvais percevoir qu'elle voulait plus que de simples baisers, tout comme moi. Elle me répondit alors :

« Je suis totalement d’accord. Ensemble, tout ne peut qu’être parfait… et je t’assure que cet endroit est parfait. Avant de te faire découvrir mon petit coin de paradis, c’est de toi que j’ai envie… » Dit-elle, avec un petit sourire malicieux, toujours avec un regard intense. J'ai hoché de la tête, pendant que je la laissais poser mes mains sur ses hanches, en se collant davantage à moi. Je ne pus m'empêcher de lui murmurer : « Tu lis dans mes pensées... » Je ne cessais de la fixer, voulant d'elle de plus en plus. Hypnotisé par elle, j'ai approché mes lèvres, comme elle l'avait fait, pendant que je l'attirais encore plus vers moi, à l'aide de mes mains, toujours sur ses hanches. Nos bouches se frôlèrent, où j'ai pu sentir ses dents attraper mes lèvres inférieures, avec délicatesse avant de passer sa langue dessus. Je continuais de sourire, appréciant ce nouveau contact malgré cette légère douleur dont j'ignorais. Sa langue "perça" mes dents avant de continuer ce nouveau baiser langoureux où je prolongeais avec bonne intensité, sentent poser sa main sur mon torse, en même temps. Je ne la lâchais pas encore, savourant ce délicieux moment. Je sentais également le contact de sa main contre l'épiderme de mon cou, ce qui me fit faire un gentil frisson, appréciant largement ce touché. Malheureusement, Schöna retira ses lèvres, en se redressant, me disant d'un sourire malicieux :

« Tu n’aurais jamais dû me laisser goûter à tes lèvres Niedi… »

~ Un sourire malicieux vint à mes lèvres, mettant doucement ma main sur sa joue. Je lui ai dit : « Dois-je dire qu'elles sont bonnes ? Parce que les tiennes sont parfaites... Néanmoins, il n'y a pas que mes lèvres auxquelles tu as le droit... » Dis-je, sans cesser mon précédent sourire, retirant ma main de sa joue pour ensuite enlever doucement sa main de mon torse. J'ai commencé à détaché ma chemise, la retirant complètement en la lançant un peu plus loin. Je me suis donc retrouvé torse nu, la regardant dans les yeux pour dire : « Est-ce mieux ? » Dis-je, en continuant mon sourire, prenant de nouveau sa main en l'amenant contre mon torse, tout en l'attirant encore contre moi...

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Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Etre ici était-ce une simple excuse pour me retrouver seul à seul avec Franz ou était-ce vraiment l’occasion de lui montrer mon pays natal ? Je pouvais largement avouer que c’était un petit mélange des deux. Tout ce temps à jouer un paraître, à faire semblant… ce n’était tellement pas mon caractère ! J’étais toujours moi-même, me moquant royalement de ce que pensaient les autres. J’assumais mes actes, mes paroles et mes idées. Là, j’étais obligé de cacher une chose qui semblait importante, et pourquoi ? Pour protéger l’égo et le cœur d’une amie… Depuis quand j’avais cette bonté au fond de moi ?! Enfin, derrière cette protection se cachait une belle dose d’égoïsme, que j’assumais aussi entièrement. Oui, je connaissais les sentiments de Jenni pour Franz, et oui j’avais depuis quelque temps une forte attirance pour lui. Mais surtout, oui, j’avais trahi mon amie pour être auprès de celui qui me plaisait. Culpabilité ? J’aurai pu en éprouver, mais non. Bien que je respectais mon amie et qu’à la base je ne voulais pas de cette relation avec Niedi, pour elle, j’optais pour le fait de penser un peu à moi… après tout, c’était ce que mon oncle m’avait toujours conseillé. Il fallait s’entourer des bonnes personnes, quitte à blesser des gens que l’on apprécie en retour.

Alors que le paysage se dessinait autour de nous, je me tournai vers Franz, le regardant avec intensité pendant que je me mettais à genoux devant lui. Le retrouver là était très agréable, je ne voulais pas en louper une miette ! J’apportai ses mains sur mes cuisses, tout en lui montrant que j’avais besoin d’affection… oui, moi Aniek Frowein avait besoin de ça, juste un peu, pour se sentir bien. Ses mains se posèrent sur mes hanches, m’approchant de lui, et il me murmura tout en me fixant : « Tu lis dans mes pensées... ». Ce à quoi je souris. Etre en accord était déjà une bonne chose, mais si je n’avais jamais pensé auparavant que je puisse vivre une telle situation avec le beau jeune homme. Et oui, selon moi il était épris de Jenni… espérons juste que ce ne soit pas le cas, sinon je pourrais carrément l’avoir mauvaise celle-là, je n’étais pas le genre docile à aimer que l’on profite de moi, surtout que je ne me donnais pas à quelqu’un souvent… j’avais confiance en lui, qu’il ne la trahisse pas, ma colère et rancune pourraient être terribles !

Nos lèvres furent alors attirées l’une vers l’autre, machinalement. Elles se frôlèrent, s’appelèrent, s’aguichèrent… et j’en profitai pour jouer avec. Nous intensifions alors le contact, rendant le baiser langoureux et très attractif, le genre de baiser que tu ne voulais pas terminer, appréciant la douceur de ses lèvres. J’arrêtai tout de même ce contact pour le charrier un peu, lui disant que tout ça était de sa faute, il n’aurait pas dû me laisser goûter à tout ça. Maintenant, je ne pouvais y résister !
Il posa sa main sur ma joue et mes lèvres s’étirèrent légèrement, un petit sourire sincère se dessinant.
« Dois-je dire qu'elles sont bonnes ? Parce que les tiennes sont parfaites... Néanmoins, il n'y a pas que mes lèvres auxquelles tu as le droit... »

Je ne pus m’empêcher de rire. Mais de quoi parlait-il… oh, bien bien, je comprenais. Mon sourire était largement dessiné alors que je l’observais. Il avait enlevé ma main doucement posée sur son torse et commençait à détacher sa chemise. Un spectacle que je suivais avec beaucoup d’attention. Puis, il la retira, la lançant un peu plus loin, me laissant la chose de me rincer l’œil sur son torse… ça, c’était très agréable ! Désormais torse-nu, il me regarda avec son petit sourire qui me faisait chavirer : « Est-ce mieux ? » Je me mordis alors là lèvre inférieure tout en le regardant avec beaucoup d’intensité. « C’est juste parfait… ». Et même parfait était un mot faible pour ce que j’avais la chance d’avoir sous les yeux.
Il prit alors ma main et l’amena contre son torse, si chaud, si doux, si alléchant. Puis, il m’attira totalement contre lui. Je laissais ma main gauche posée, caressant son torse du bout de mon pouce, appréciant ce contact. Puis de mon autre main, je passais un doigt qui partit de sa nuque, jusqu’à descendre sur son torse, terminant son chemin à son nombril. Je plongeai mon regard dans le sien et me pencha à son oreille, lui murmurant malicieusement : « J’ai le droit à un beau spectacle ! Et tu commences à me donner chaud Niedi… ». J’attrapai alors son lobe du bout de mes dents, déposant un baiser au creux de son cou.


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" ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ "

"Let's have a trip together, to remember where two perfects peoples used to be born"


~ Nous étions tous les deux, très près, l'un de l'autre, devant ce magnifique paysage imaginé par Aniek qui était, en fait, celui de son enfance. Je savais qu'on trahissait Jennifer, d'une certaine manière, mais au final, nous étions libres de nos choix. Depuis le bal d'Halloween, tout a changé. Ça aurait pu être autrement si Jennifer n'avait pas quitté la salle mais par la suite, je n'ai pu me contrôler, voyant Schöna, seule, je n'ai pu me retenir de lui offrir cette danse puis... ce baiser... J'y pensais souvent, surtout qu'ensuite, par respect pour Jennifer, nous nous fréquentions en secret, ne voulant pas lui faire mal. Je suis aussi un peu en froid avec elle parce que j'ai refusé d'aller plus loin lorsqu'on s'est vus dans la classe de potions...

~ Bref, il était inutile que j'y pense. En ce moment, c'était la Néerlandaise et personne d'autre, ainsi que mes pensées. La belle brune était à genoux, devant moi. Si belle... et en plus, j'en avais envie... Je la sentis prendre mes mains pour les amener sur ses cuisses. Mes hormones étaient sur le point d'être en "feu" et faut croire que c'est la première fois à ce niveau-là. Par la suite, j'ai posé mes mains sur ses hanches, lui murmurant qu'elle lisait dans mes pensées, lu arrachant un sourire. Oh non, je ne pensais plus à Jennifer, simplement à Schöna. C'était elle ou rien. J'avais envie d'elle. C'est donc que nos lèvres se sont touchées, encore une fois jusqu'à ce que le baiser devienne plus "intensif", allant de manière langoureuse, cadeau d'Aniek, ce qui me fit continuer le mouvement. C'était agréable et parfait, je ne saurais décrire en d'autres mots. Sa proximité était devenue comme une drogue à mes yeux. L'humidité de ses lèvres me rappelait la fraîcheur d'une brise de vent, quelque chose que j'appréciais fortement. Et devant ce paysage magique, quoi demander de mieux ? Dois-je dire que j'aurais voulu continuer ce contact plus longtemps mais nos lèvres se séparèrent l'une de l'autre, sentant la douce main de la belle Néerlandaise sur ma joue, qui avait un joli sourire, me faisant faire de même. J'étais définitivement "addicté" par elle... C'est donc, d'une certaine façon, que je lui avais avoué en traitant ses lèvres de parfaites et du fait qu'elle n'avait pas uniquement le droit à cela, ce qui lui fit lâcher un petit rire.

~ Schöna continuait de sourire pendant que j'avais commencé à retirer ma chemise, détachant les boutons, afin de me trouver en torse pour la lancer plus loin. J'étais conscient que j'étais plutôt bien sculpté et que plusieurs filles en avait envie mais pour moi, seule Aniek y avait le droit. Je la laissais donc me regarder autant qu'elle le voulait, la dévorant déjà des yeux pour ma part, ayant envie de bien plus, moi aussi. Sentant la vipère me regarder avec une bonne intensité, je l'entendis dire : « C’est juste parfait… » Je continuais de sourire, lui prenant la main pour l'amener contre mon torse, en l'attirant davantage contre moi. Je la laissais caresser mon torse, à l'aide de son doigt, contact auquel je ne pouvais qu'apprécier. Je sentis son autre main faire de même en partant de ma nuque, jusqu'au nombril. Nos regards s'entrecroisèrent, une nouvelle fois. Ces contacts... J'avais vraiment envie d'elle... Mon sentiment, à l'heure actuelle, était complexe à répondre. J'avais envie que ça aille plus que de simples baisers et ainsi de suite. Je ne savais pas pourquoi mais mes pensées le voulait. Peu importe Jennifer ou les autres. Nous étions tous les deux seuls, dans cette pièce, à Noël. Je sentis donc un murmure de la part de la belle Néerlandaise à mes oreilles, de manière malicieuse : « J’ai le droit à un beau spectacle ! Et tu commences à me donner chaud Niedi… » Je ne pouvais qu'approuver en hochant de la tête, pendant qu'elle attrapa le lobe de mon oreille pour ensuite commencer à donner un baiser au creux de mon cou. Mes hormones étaient en feu... Il ne manquait qu'un petit truc... Mes pensées voulaient qu'elle fasse de même. Eh oui, peut-être pouvait-on dire que j'étais pervers (je ne l'étais pas) mais j'avais fortement envie de l'admirer en entier. Je lui ai donc murmuré, à mon tour : « Eh bien, c'est réciproque, Schöna... » Je me suis mis, à mon tour, à viser son cou, le frôlant de mon nez, lentement, descendant près de la base du cou. Elle avait toujours son haut et je n'avais qu'une envie à ce niveau. Je me suis donc vaguement décollé d'elle, l'aidant à retirer son haut. Eh oui, je n'avais pas attendu son approbation. C'est ce que j'avais envie. Suite à cela, j'ai continué de l'attirer contre moi, l'embrassant une nouvelle fois, avant de descendre ma bouche de son menton jusqu'à sa poitrine avant de remonter en lui disant, à un pouce de son visage : « Tu es parfaitement sublime... » Je me suis "jeté" sur elle, reposant mes lèvres contre les siennes...

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Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Depuis plusieurs semaines, j’attendais de me retrouver seule avec Franz, juste pour passer du temps ensemble quelque part où l’on était certains que personne ne pourrait nous voir. J’avouais que le balcon du monde était peut-être l’un des meilleurs endroits pour être en toute intimité, surtout avec ce petit souvenir que j’avais des Pays-Bas qui me faisait chaud au cœur. Au final, je voulais lui faire découvrir les beaux côtés de ma vie hollandaise. Je n’avais pas beaucoup de bons souvenirs là-bas, mais pour ceux que j’avais, je faisais en sorte que ce soit ceux-là que je montre à mes proches, ayant horreur de me faire plaindre. Donc voilà, un paysage magnifique pour un moment privilégié avec ce cher Niedi… et pour dire vrai, actuellement, je préférai profiter de ce que j’avais sous les yeux plutôt que du décor !

Les choses venaient de s’accélérer. De la proximité, de la tendresse et de l’envie… le genre de choses que je n’avais jamais vraiment demandé auparavant, mais avec le jeune homme qui se trouvait là, c’était juste un pur délice. J’avais envie d’aller plus loin avec lui, tout devenait fusionnel et passionnel, et je ne pouvais m’arrêter tant le beau garçon m’était plaisant ! Depuis la soirée d’Halloween, tout avait changé. D’accord, depuis quelques mois je sentais bien que j’avais besoin de plus que de l’amitié avec Franz, mais je ne m’attendais pas à ce que ce soit la même chose de son côté. Depuis que l’on s’était embrassé pour la première fois, je me disais que j’avais de la chance de pouvoir être avec un mec comme lui… et croyez-moi, pour moi c’était dur à admettre, j’avais horreur de me dire « dépendante » de quelqu’un, j’aimais la liberté et me dire que je ne devais compter que sur moi-même. Cependant, je devais avouer que j’avais une confiance aveugle en Niedi et que c’était surement ce qu’il pouvait m’arriver de mieux… le petit ami qui me correspondait le mieux, ça il n’y avait pas de doute !

L’embrasser, de plus en plus intensément et langoureusement, provoquait en moi un tourbillon d’émotions, et j’adorais ça. Je sentais cette chaleur grandissante dans mon ventre, une sensation qui me poussait à être de plus en plus proche de lui. Et son regard… Tellement brûlant et avide d’autre chose, je craquais complètement ! D’un geste qui aurait pu me faire tourner la tête, il retira sa chemise et j’eus un arrêt net en contemplant son torse si attrayant. Si je ne m’étais pas retenue, il aurait été fort probable que je bave tant son corps avait quelque chose qui me tentait extrêmement ! Je glissais ma main sur sa peau et je savourais ce moment en me disant qu’être la seule à pouvoir faire ça avait quelque chose de très satisfaisant, je ne pouvais m’en plaindre. Je sentais que j’avais de plus en plus de mal à contrôler mes gestes envers lui, j’avais tellement envie de lui que je ne maîtrisais pas mes actes à la perfection. J’étais subjuguée et, même si cela pouvait rester assez nouveau pour moi… enfin, d’aller si loin avec un garçon, j’avais confiance et je me laissais aller sans aucune appréhension. Il me murmura quelques mots et je me sentis frissonner. Quoi qu’il fasse, j’étais arrivée à un point où je m’émoustillais de tout venant de lui.

Il descendit alors doucement et délicatement tout au long de mon cou. Je fermai alors les yeux, basculant légèrement ma tête en arrière pour savourer cette proximité. Il se décolla quelque peu de moi et je compris dans son regard ce qu’il recherchait. Ceci me fit sourire alors que le fixais avec un regard rempli d’envie. Après tout, j’avais envie de la même chose… être collée à lui, peau contre peau. Avec l’aide de Niedi, je retirai mon haut et le laissai tomber derrière moi alors que le beau garçon m’attirait tout contre lui. Une fois de plus, je frissonnais de désir, appréciant que mon corps touche le sien, bien que j’avais toujours mon soutien-gorge qui créait une petite distance. Si peu. Pouvoir déjà apprécier ce contact était un pur plaisir, et je me doutais que je ne tarderais pas à enlever cette couche supplémentaire. Cependant, c’était la première fois, et faire cela par étape était plutôt important pour que je ne perde pas totalement le contrôle de la situation. Mais, il fallait dire ce qu’il était… j’avais tout de même hâte de retirer ce tissu, de plus que j’aimais ce regard plein de désir que le charmant jeune homme posait sur moi. Nos lèvres s’abandonnèrent une nouvelle fois les unes aux autres et je n’avais qu’une envie : être tout contre lui. De nouveau, je basculai ma tête en arrière, me cambrant légèrement, quand il descendit sa bouche de mon menton jusqu’au haut de ma poitrine. Je frissonnais, j’avais vraiment très chaud, je respirais plutôt fort et je ressentais une chaleur au niveau du bas de mon ventre… clairement, je me sentais bien. Il remonta alors et me dit des mots qui me firent sourire, et oui, encore. « Tu es parfaitement sublime... ».

Je me redressai alors face à lui alors qu’il m’embrassait langoureusement. Je m’approchais encore plus de lui, goutant à ses lèvres avec fougue, ma langue se perdant avec la sienne. Je posai mes mains de chaque côté de son visage, me décollant un peu de lui et plongeant mon regard plein d’envie dans le sien. « Tu me fais craquer Niedi… je perds le contrôle avec toi, tu sais que je déteste ça ! » Lui dis-je d’une vois langoureuse. Sans le lâcher du regard, je passais mes deux mains derrière mon dos et dégrafais mon soutien-gorge, le laissant glisser tout doucement contre ma peau alors que je le fixai, appréciant ses réactions et ses regards.


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~ Eh oui, cette soirée serait mémorable à mes yeux et sûrement aux yeux d'Aniek aussi. J'étais seul, avec elle, dans cette salle qu'était le balcon du monde, devant un paysage majestueux, celui de l'enfance de la Néerlandaise. Quoi de mieux que d'être en sa compagnie dans ce genre d'ambiance. Nous trahissions Jennifer mais nous n'y pouvions absolument rien. Le baiser au bal d'Halloween avait changé la donne. Jennifer restait toujours importante à mes yeux et je ne voulais pas perdre son amitié à cause du fait que j'aime une autre fille qu'elle. Son gros problème est qu'elle est ultra-possessive et qu'elle refuse presque j'aie ce genre de relation. Or, Schöna n'est pas autant possessive et c'est peut-être ce fait qui m'a davantage attiré vis-à-vis sa personne à ce niveau-là. Je n'oubliais pas mon enfance commune avec la Neo-Zélandaise où on a pu s'amuser sans bon sens à tous les sujets. Faut-il croire que ce temps est révolu...

~ En tout cas, je n'y pensais plus trop pour le moment. Ce n'était que Schöna, Aniek et Frowein, actuellement. Sa présence me rendait mieux, heureux... J'avais confiance en elle, ce qui était au tout. Bien que je n'aie jamais eu de copine auparavant, je savais qu'un couple sans confiance était voué à l'échec. À ce propos, je devrai avouer mes secrets à la Néerlandaise sur mon Fourchelangue qui pourrait être très mal vu si su en public ainsi que le fait que j'ai pu apprendre, en secret, la Legilimancie. Ça, seuls Asling et Jennifer le savait. Personne de ma famille adoptive n'était au courant de ces deux pratiques. Je ne voulais pas que Maximilien l'apprenne. Surtout pas lui. Ce petit crétin ingrat sans aucune valeur morale. Lui et sa petite copine de Poufsouffle, Cooper. Deux êtres inutiles à ce château... Tout cas, peu importe pour le moment, il y a plus intéressant à l'heure actuelle...

~ Sentir les lèvres de la brunette contre les miennes provoquait quelque chose de positif en moi. On aurait dit que j'avais envie de plus. J'étais un peu comme obsédé par cette proximité. Embrasser la belle Néerlandaise langoureusement et intensité me faisait oublier tout ce qui était autour. En gros, elle m'excitait et c'est là que j'avais retiré ma chemise, dévoilant mon torse bien sculpté, afin de lui faire plaisir, ce qui a marché. Je sentais le doux contact de la peau de sa main frôler ma peau, me faisant frissonner vaguement. Elle pouvait continuer autant qu'elle le voulait. Je lui avais murmuré quelques mots, sentant toujours sa main contre la peau de mon torse. Ce fut à mon tour de m'approcher d'elle, visant son cou, pendant qu'elle bascula la tête derrière, jusqu'à ce que, avec son aide, je retire son haut. Eh oui, je voulais voir plus. La belle brune laissa tomber son haut derrière elle, où je pus tomber en presque-transe. Elle était juste parfaite. Mes hormones étaient en feu ce soir et je ne voulais surtout pas perdre le contrôle afin de faire un truc complètement stupide. Je devais tout de même me contrôler à un certain niveau. C'était difficile devant elle, surtout que mon regard la dévorait des yeux et pas seulement là... Un peu plus bas aussi... Sa poitrine... Je n'étais aucunement une personne perverse mais en ce genre de situation, je ne pouvais m'empêcher de regarder là où il y a de l'intérêt bien que Schöna en entier a de l'intérêt. Simplement discuter avec elle est intéressant alors le reste... Je ne savais pas pourquoi mais j'avais envie de tenter de lui retirer son soutient-gorge... Je ne savais pas comment cependant... Bref, je m'étais encore plus collé contre elle, pleins de désirs. J'ai donc rappliqué, une nouvelle fois, bouche contre bouche. Puis, je m'étais mis à descendre le long de son cou jusqu'à la poitrine, avec mon menton et nez, pendant qu'elle se cabrait en arrière. *Je dois me contrôler, je dois me contrôler. * Pensais-je. En même temps, ma main droite frôla la peau de ses hanches nues, descendant près du bas. J'avais vraiment chaud et plus ça continuait, plus ça montait. J'ai ensuite remonté, la voyant sourire quand je lui dis qu'elle était sublime, ce qui était parfaitement vrai. Elle n'était pas seulement jolie du visage mais du corps. Son caractère aussi ne laisse aucune indifférence. Elle est parfaite... Bien sûr, je savais qu'elle n'était pas parfaite à beaucoup de niveaux mais à mes yeux, elle l'est...

~ Mes yeux remontèrent vers les siens, pendant qu'elle se redressait. J'en avais profité pour l'embrasser langoureusement. De nouveaux frissons de "désir" emplirent mon corps pendant que ma langue était contre la sienne. Nous nous embrassions avec fougue, une nouvelle fois. Je profitais pleinement, elle aussi. Nous ne pouvions faire ça en public donc ici, c'est l'idéal. Récupérer le temps perdu en quelque sorte... Là, je la fixais encore dans les yeux, me forçant pour ne pas "admirer" sa poitrine une nouvelle fois, toujours couverte par son soutien-gorge. Je sentis ses mains se poser sur chacune de mes joues, où elle décolla un peu sa bouche de la mienne. J'avais encore envie de goûter à ses lèvre humide mais je me suis abstenu puisqu'elle me dit, d'une voix langoureuse : « Tu me fais craquer Niedi… je perds le contrôle avec toi, tu sais que je déteste ça ! » Un petit sourire passionné perçait mes lèvres. Je la voyais mettre ses deux main derrière son dos. Je devinais ce qu'elle faisait. Je lui ai répondu, pendant ce temps-là : « Tu es sûre de détester ça ? Parce que je ne déteste pas moi... » En effet, je n'avais pas à me plaindre qu'elle perde le contrôle avec moi, sachant que je le perdais aussi. Surtout que là, elle était en train de dégrafer son soutien-gorge. C'était la première fois que je vivais cette expérience en plus. Je mis doucement une main contre sa joue pendant qu'elle laissait glisser doucement sa brassière contre sa peau. Mon réflexe premier fut de baisser les yeux directement là où la pièce de vêtement venait de disparaître, soit sa poitrine nue, désormais. Je regardais ses formes, de plus en plus excité. J'avais eu raison de dire qu'elle était sublime. Ses formes l'étaient tout autant. Schöna est parfaite dans son ensemble. Je pouvais vraiment le dire maintenant. Mes pensée "bavaient" littéralement. J'ai remonté mes yeux bleus vers les siens, retirant ma ceinture en l'embrassant pour ensuite baisser un peu plus bas, vers sa poitrine...

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Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Pour être franche, je ne pensais pas vivre ce moment avec Franz en lui donnant rendez-vous au balcon du monde, mais je devais avouer que ça m’allait très bien. Nous nous connaissions plutôt bien à la base, sachant pas mal de choses sur notre enfance. Enfin, pas tout, c’était certain. Je pensais bien ne pas tout savoir de lui, et c’était important aussi de ne pas connaître parfaitement une personne, on en apprenait toujours l’un sur l’autre. Pour ma part, il y avait certaines choses qu’il ignorait de mon passé, et je ne pouvais pas lui avouer comme ça. Je ne pouvais pas lui dire certaines actions que j’avais eu avec mon oncle, ni ce qui s’était passé dans ma tendre enfance, appuyant le fait que les moldus n’avaient rien à voir avec des personnes charmantes. Mais bon… j’étais plutôt discrète sur ma vie privée. Et même si j’avais une grande confiance en Franz, je ne pouvais me confier comme ça. En bref, le temps fera son travail.

Je savais que j’avais besoin de proximité avec Niedi, j’avais envie d’être dans ses bras, de goûter à ses lèvres et de toucher sa peau. Ce qui était appréciable, c’était qu’il me rendait bien. Je sentais le désir monter en moi, et voir que Franz semblait ressentir la même chose était d’autant plus motivant et attirant. Je ne pouvais me lasser de le dévorer des yeux, un vrai régal ! Je ressentais des choses que je n’avais jamais ressenti auparavant… tentation, désir, plaisir, des émotions qui ne m’étaient pas connues ainsi mais que je trouvais très intéressantes à partager avec ce cher serpent. Je croisais son regard et cela me perturbait tant il était intense. Je déposais mes lèvres sur les siennes, laissant mes mains vagabonder sur son corps, et j’attendais de la proximité, beaucoup de proximité.
Partager ce moment avec lui était tout simplement jouissif, j’étais bien et à l’aise, je ne voulais pas que ce moment s’arrête car c’était plus que plaisant ! Je le regardais et je me disais que j’avais beaucoup de chance, appréciant ce contact avec lui. Son corps, son visage, sa peau… pffff j’en devenais totalement folle. ‘Manquait plus que je devienne accro à lui… c’en était pas loin ! Je ne voulais dépendre de personne mais lui, c’était différent, il me faisait totalement craquer et sa façon d’être me faisait d’autant plus fondre !

Je lui confiai alors que je perdais le contrôle et, qu’en temps normal, j’avais horreur de ça. Sa réponse me fit sourire alors que je le regardais droit dans les yeux de façon aguicheuse. « Tu es sûre de détester ça ? Parce que je ne déteste pas moi... ». En réalité, moi non plus, avec lui je pouvais me permettre de ne pas tout maîtriser parfaitement… c’était encore mieux ainsi. Tout en mettant mes mains derrière mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge, je lui murmurai : « En fait… nan, j’aime ça… ». Je laissai alors glisser mon soutien-gorge le long de mes hanches jusqu’à ce qu’il s’échoue sur le sol alors que j’observais la réaction de ce si craquant Niedi. Je souris en voyant la direction que prit son regard, ce qui me faisait ressentir quelque chose de contradictoire : un mélange de gêne avec de l’excitation et du contentement. J’étais boostée par son regard plein de désir, regard que je lui renvoyais tout en posant de nouveau ma main sur son torse qui m’appelait.

Son regard recroisa de nouveau le mien et je me retenais pour ne pas fondre sur lui. Tout en me fixant, il retirait sa ceinture et ce simple geste m’émoustillait. De nouveau, il m’embrassa langoureusement et je lui rendis son baiser, me livrant à lui, perdant vraiment totalement le contrôle de mes émotions. Par la suite, il descendit quelque peu sur mon cou, ce qui me fit pencher ma tête sur la droite, le laissant faire. Puis, peu à peu, il descendit jusqu’à ma poitrine et je me sentis frémir de désir face à ce contact où ma tête bascula cette fois-ci en arrière. J’étais en feu et je sentais que je voulais plus avec Franz, appréciant ses initiatives. Je posai alors mes mains sur sa ceinture, qu’il avait commencé à retirer, et lui enleva doucement, détachant quelques boutons de son bas. Alors que le jeune homme me procurait beaucoup de plaisir du côté de ma poitrine, je fis glisser délicatement ma jupe jusqu’à la laisser de côté afin de me retrouver en shorty, pressée de voir Niedi en sous-vêtements… voire un peu moins vêtu.


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~ Cette journée commençait à être chaude. Je ne regrettais aucunement de me retrouver en cette endroit avec une fille aussi magnifique qu'Aniek Frowein. Elle n'est pas seulement jolie, elle a aussi un sacré caractère et c'est bien ce que j'aime chez elle. Auparavant une bonne amie, maintenant, c'est bien plus. Partager ce genre de moment change complètement ce lien d'amitié. Désormais, c'était plus. Goûter à ses lèvres, l'avoir dans mes bras, peu importe... Ce sont des choses qui me viennent constamment en tête quand je croise son regard. Je ne me lassais pas d'elle. En plus, c'était tout nouveau puisque je n'avais jamais vécu ce genre de chose avec une fille. Avant, c'était envers Jennifer dont je rêvais de tout ça mais le baiser à Halloween avait changé la donne... Aujourd'hui, je la désirais...

~ J'étais torse nu, à l'instant-même, pendant que Schöna m'embrassait, passant ses mains sur mon corps, ce qui m'avait donné un frisson plus que positif, appréciant ce doux contact. Je ne pouvais nullement me plaindre face à ma proximité avec elle. J'étais en train de devenir accro à cette fille. Petit à petit et pourtant, j'étais très loin d'être une personne dépendante d'autrui. En gros, je suis dépendant de personne mais allais-je le devenir vis-à-vis la Néerlandaise ? Une partie de moi ne voulait pas être dépendante d'elle sauf que l'autre, c'était tout le contraire. De toute façon, à l'instant présent, j'étais totalement dépendant d'elle avec cette proximité ainsi que ces baisers et approches. Je ne saurais m'en plaindre. En plus, je ne pensais à rien d'autre qu'à elle en ce moment. Peu importe les cours, les victimes amusantes, les potes ou encore Jennifer. Je n'avais pas le temps de penser à tout ça, de toute façon et Schöna en valait bien plus la peine... En plus de tout ça, j'avais la vue directement sur le corps de la belle Néerlandaise qui n'avait plus son haut où je pouvais voir sa poitrine, encore parée de son soutien-gorge. Je sentais mon excitation montée et j'avais peur de perdre totalement mon contrôle. Vraiment... cette fille est juste parfaite...

~ C'est donc que je lui avais répondu, face à ses paroles, si elle était sûre de détester perdre le contrôle où moi, je ne détestais pas... Dois-je dire que c'était réciproque, perdre le contrôle n'était pas de mon ressort... sauf avec elle... Et je ne m'en plaignais pas du tout. Même le contraire. Elle me murmurait, pendant que je la voyais mettre ses mains dans son dos pour faire quelque chose qui allait commencer à littéralement "exploser" mes hormones, soit dégrafer son soutien-gorge : « En fait… nan, j’aime ça… » Je ne pus répondre rien à ces paroles puisqu'elle venait de glisser sa pièce de vêtement le long de ses hanches. J'étais subjugué par ce que je voyais. En fait, c'est la première fois de ma vie que j'avais le droit à ce genre de vision qui était bien réelle, pas dans mes rêves. Mes yeux étaient directement pointés sur sa poitrine dénudée. Je le relevais vers son joli visage, d'un regard rempli de désir. Je mis un doigt près de son cou en frottant doucement sa peau jusqu'à poitrine avant de le retirer. Je murmurais, d'un ton remplit de désir : « Je ne retire pas mes paroles, tu es sublime... » Et pendant ce temps-là, je sentais sa main contre mon torse, augmentant mon excitation du moment...

~ Nos regards étaient de nouveau l'un dans l'autre, Schöna me médusait totalement. Que ce soit par ses yeux ou par sa poitrine, peu importe. Cette fille était parfaite, simplement. J'avais donc retiré ma ceinture afin de commencer à faire un mouvement de plus. Après ce court geste, j'ai de nouveau "sauté" sur sa bouche en l'embrassant langoureusement, sentant sa langue contre la mienne. Puis, j'ai lentement baisser ma bouche pour filer vers sa jolie poitrine, pendant qu'elle bascula sa tête sur la derrière (elle l'avait fait à droite peu avant). Je donnais un petit baiser près de ses poitrines, pendant que je sentais la belle brune retirer doucement ma ceinture en détachant quelques bouton de mes pantalons. Je la laissais faire puisque j'étais concentré vers sa poitrine. Du coup, je la vis commencer à retirer sa jupe en la glissant à côté, se retrouvant en sous-vêtement. C'était le top là, c'était simplement indescriptible. Cette action me donnait de plus en plus envie d'elle... Je la désirais de plus en plus... Je savais ce qu'il me restait à faire. Je me suis décollé d'elle, me levant doucement debout avant de retirer mes pantalons en les laissant à côté, reprenant place près de la belle brunette. J'étais maintenant en boxer devant Schöna qui était en shorty, sans soutien-gorge, tout pour mettre mes hormones en feu. Je lui ai mis les deux mains sur ses épaules en descendant jusqu'à ses mains, en la regardant dans les yeux pour lui murmurer : « Le spectacle n'est pas fini... » Je me suis vaguement retiré d'elle, avant de commencer à retirer mes sous-vêtements... Je ne me contrôlais plus... C'était plus fort que moi, j'avais envie d'elle...

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Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


Je ne me doutais pas que notre moment juste tous les deux tournerait ainsi, mais ça me convenait très bien. Cette intimité, cette proximité… ce n’était pas rien pour moi et ça pouvait représenter beaucoup. Je n’étais pas du genre tendre ou affectueuse, si je l’étais avec quelqu’un cela voulait dire énormément. J’avais une confiance aveugle en Franz, et quand je le regardais je me disais que j’étais plutôt chanceuse. Un garçon charismatique comme lui, intéressant, avec un caractère bien trempé et des valeurs que je partageais… sans parler qu’il était vraiment so sexy ! Bref, j’avais beau aller juste sur mes 16ans, je me sentais bien en sa compagnie et j’avais envie de plus. Etait-ce un peu jeune ?! peut-être, mais en cet instant je m’en moquais royalement, je voulais juste profiter de ce moment avec Niedi !

En quelques minutes, cet instant devenait de plus en plus intense. Mon cœur s’accélérait, mes envies étaient différentes et mon sang bouillonnait de désir. Je l’observais et j’avais chaud, très chaud. J’avais envie d’être près de lui et que l’on s’occupe l’un de l’autre. De plus, ce que je voyais dans son regard m’émoustillait encore plus… je ne pouvais lui résister, c’était totalement impossible. Comme je venais de lui dire : je perdais le contrôle, et tout comme lui, dans ce genre de situation et seulement avec lui, j’adorais ça !
Il était torse-nu et je n’en pouvais plus de le voir ainsi. Vraiment, il était à tomber, je bavais devant son corps et je ne me privais pas d’y passer des doigts qui en demandaient plus. Je le regardais d’un œil aguicheur, en profitant pour l’embrasser langoureusement et enlevant une éventuelle distance qu’il pouvait y avoir entre nous. Pour dire vrai, depuis quelques minutes, il n’y avait que de la proximité, que des gestes affectueux et remplis de désir. Mes pensées n’étaient dirigées que vers le beau garçon, je ne voyais que lui et tout ce qu’il pouvait se passer au quotidien m’importait peu en ce moment. J’avais retiré mon haut ainsi que mon soutien-gorge, laissant dévoiler ma poitrine. C’était la première fois que je me dénudais devant un garçon et cela signifiait beaucoup pour moi. Mais en réalité, devant Niedi, ça me semblait naturel, j’avais envie de ça et j’attendais la suite avec impatience !

Son regard sur moi me boostait et m’excitait d’autant plus. J’avais presque envie de sauter sur lui mais je me retenais, je voulais prendre un peu mon temps pour contrôler un minimum mon désir. Nos regards échangés voulaient tout dire, et je voulais être dans ses bras, collés corps contre corps sans une éventuelle pièce de tissu. Mon cœur s’accéléra beaucoup plus quand Franz posa un doigt assuré près de mon cou. Je me sentis m’enflammer, remarquant que juste une légère pression de sa part sur mon corps dénudé me donnait beaucoup de plaisir… la suite risquait d’être passionnée ! Il descendit alors délicatement son doigts jusqu’à ma poitrine avant de le retirer. J’avais envie de lui crier de le laisser, appréciant ce geste, mais ses paroles eurent pour effet d’accentuer une nouvelle fois mon désir. « Je ne retire pas mes paroles, tu es sublime... ». Je souris alors et lui murmurai : « Et toi tu me fais craquer Niedi, je n’peux pas te résister… » Lui lançai-je avec un petit sourire provocateur alors que je passais ma main sur son torse, appréciant ses abdominaux jusqu’à arriver en bas de son ventre et de le caresser doucement, du bout des doigts.

Alors c’était ça, l’excitation, le désir, avoir envie d’un homme… j’adorais ça, et y gouter me faisait penser que je ne pourrai plus m’en passer. Franz me faisait énormément d’effet, je me sentais petite face à lui à cet instant, il me charmait simplement mais intensément ! Il commença à retirer sa ceinture et, le voyant faire, je ne pus m’empêcher de me mordre la lèvre inférieure, essayant de calmer mes ardeurs. Alors que je me délectais de chacun de ses gestes, Franz m’embrassa de nouveau avec envie, et je lui rendis avec beaucoup de désir. Le plus naturellement possible, sa bouche descendit le long de mon cou jusqu’à arriver au niveau de ma poitrine. Je frissonnai de plaisir. J’avais extrêmement chaud et ma respiration était forte et rapide. Je basculai ma tête en arrière, profitant de cette tendresse que le charmant garçon m’offrait. Il déposa de légers baisers près de mes seins et je trouvai ça on-ne-peut-plus agréable, c’était tellement satisfaisant ! J’en profitai pour enlever complètement sa ceinture et lui détacha quelques boutons de son pantalon. De le faire m’excitait énormément. Lui s’occupait de ma poitrine et je n’en pouvais plus, j’étais tellement sensible à ses caresses !
Souhaitant plus de proximité avec Niedi, je retirai doucement ma jupe, me retrouvant juste en shorty devant lui.
Par la suite, il se décolla de moi et je m’en sentis désolée, voulant le garder près de moi. Cependant, je ne regrettai pas longtemps qu’il se soit éloigné de moi quand je le vis se lever et retirer son pantalon, reprenant ensuite place auprès de moi. Hum, il était juste en boxer devant moi et j’en bavais de le voir ainsi. Vraiment là c’était trop, le voir ainsi m’émoustillait et je ne pouvais plus me retenir de lui sauter dessus pour encore plus de proximité.
Je le regardai, subjuguée par son charme. Il mit alors ses deux mains sur mes épaules, les descendant avec douceur jusqu’à mes mains. Chacune de ses caresses me faisait un effet fou, j’adorais ça ! Il me fixa droit dans les yeux et me murmura : « Le spectacle n'est pas fini... ». Oh, j’avais hâte de voir ça ! Alors qu’il se retira de moi, je le regardai avec beaucoup d’intensité, sans tourner la tête. Il retira alors la dernière couche qu’il avait sur lui et je ne pouvais m’empêcher de le fixer, la bouche légèrement entrouverte. Alors là, c’était exquis ! J’étais totalement dépendante de ce corps, de ce charme, je ne pouvais plus me contrôler. Il était tellement sexy ce mec, je ne pouvais plus nier avoir grandement envie de lui !! Continuant de le regarder, j’acquiesçai alors ses dires d’un signe de tête. « Je vois ça… j’aime ce spectacle ! ». J’étais comme hypnotisée par Niedi et, comme si mon corps réagissait naturellement sans que je ne réfléchisse, je me levai alors et enlevai à mon tour la dernière pièce de tissu que j’avais sur le corps.
Nous étions désormais nu, l’un comme l’autre, et j’étais très excitée par la situation. Le désirant plus que tout, je m’approchai alors de lui. Il était assis sur le sol et je me mis à califourchon sur lui, passant mes bras autour de son cou et l’embrassant avec passion. Nos corps nus se touchaient, certaines parties de nos corps étaient en contact pour la première fois et cela me donnait vraiment très chaud. J’aimais ce contact et… mon corps le faisait sentir. Je mouillais énormément et mon excitation ne pouvait être cachée. Je sentais tout contre mon corps son excitation à lui… un moment que je n’oublierai jamais, si alléchant !


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~ J'étais actuellement dans un rêve et pas avec n'importe quelle fille. Une fille qui avait éveillé un sentiment, jusqu'ici, inconnu dont je pensais développer avec Jennifer. Désormais, c'est elle qui a aidé à augmenter celui-ci. Non, je ne suis pas dépendant d'elle mais sa présence m'est plus que bénéfique et je ne dis jamais non à passer du temps en sa compagnie que j'apprécie. J'ai toujours apprécié sa compagnie du fait que je peux m'amuser ou encore parler de tout et de rien, avec elle. J'ai confiance en elle, ce qui fait d'elle une des rares personnes à ce niveau-là. Notre approche a, cependant, changé depuis le bal d'Halloween où on est devenus plus proches l'un de l'autre, avec un baiser non-prévu. Je n'avais pu me retenir, bien que je me suis sentit mal de trahir Jennifer mais au final, c'était ma vie et je décidais de son destin. Ce ne sont pas les autre qui me le dictent. Cette soirée en est la preuve puisqu'elle était plutôt spéciale où j'expérimentais quelque chose pour la première fois de ma vie... Je n'avais que 15 ans, j'approchais de mes 16, mais peu importe, vaut mieux en profiter quand l'opportunité nous vient, n'est-ce pas ?

~ À l'instant présent, j'étais tout sauf dans mon état "normal". Je vivais une scène à laquelle je n'aurais jamais pensé il y a quelques mois de cela. Être avec Schöna dans cette salle, sous un paysage magnifique, était une chose mais la voir ainsi, avec si peu de vêtements... Dois-je dire que j'étais hypnotisé en quelque sorte. Je la désirais de plus en plus, voulant aller plus loin encore. Son regard aguicheur me donnait envie de continuer et continuer, avec un baiser langoureux. Je m'étais aussi mis torse nu, surtout que par la suite, elle fit de même où j'ai pu admirer sa poitrine qui ne tarda pas à être à totalement à découvert, augmentant ainsi ma chaleur corporelle. Elle n'avait pas simplement de magnifiques yeux et un beau sourire, son corps également... Je vivais un rêve... Je m'étais donc mis à mettre mon doigt sur la peau de son cou, descendant jusqu'à sa poitrine où mes yeux y trouvaient une excellente vision, si je puis ainsi le définir. Je lui avais avoué, en même temps, que je ne retirais pas mes paroles et qu'elle était sublime. C'était totalement véridique. La belle Néerlandaise me sourit, en me murmurant : « Et toi tu me fais craquer Niedi, je n’peux pas te résister… » Je lui souriais, murmurant à mon tour : « C'est la même chose de mon côté... Simplement ton regard me fait craquer... » Lui dis-je, en continuant de sourire, sans cesser de la regarder dans les yeux où je pouvais sentir sa main jouer contre mon torse, le caressant, jusqu'à arriver au bas de mon ventre. J'appréciais et je la laissais totalement faire. Elle pouvait continue aussi longtemps qu'elle le voulait. Le simple contact de sa main contre ma peau de cette manière-là, m'excitait.

~ Je voulais aller plus loin... J'ai commencé à retirer ma ceinture, sans cesser de la regarder, si belle et si magnifique. Je ne pensais à rien d'autre qu'elle. C'était Aniek, Frowein et Schöna. Peu importe quelle action qu'elle pouvait entreprendre, actuellement, ça me faisait de l'effet. Encore une fois, ma bouche s'était tenue contre la sienne, un baiser pleins de désir. Sa bouche était si bonne... Je m'étais ensuite mis à descendre ma bouche jusqu'à sa poitrine. Je ne savais pas si je me contrôlais à l'instant présent mais ça m'était égal. Tout ce que je voulais, c'était elle, rien qu'elle. Je pouvais sentir que la chaleur corporelle de la belle brune était chaude et c'était aussi mon cas. Sa tête bascula en arrière, où j'ai profité pour donner des baisers près de ses seins... Pendant ce temps, elle enleva entièrement ma ceinture, détachant quelques boutons de mon pantalon. La laissant encore faire, je continuais d'être vers sa poitrine... Je vis ensuite la belle Schöna retirer sa jupe, se retrouvant en shorty, chose qui a continué de faire "bouger" mes hormones, déjà très actives à l'heure actuelle. Je l'avais regardé faire, l'admirant de bas en haut. Je m'étais, peu après, éloigné vaguement, me décollant d'elle, afin de retirer mon pantalon où j'ai repris de la proximité face près d'elle. On aurait dit que j'avais subi un Imperium et que je ne contrôlais pas mes actions. Or, peu importe les actions que j'entreprends, je ne peux dire simplement que j'adore et que ce genre de moment, je voudrais le vivre plus souvent même si je sais que ça ne sera pas possible. Il faut donc en profiter au maximum. Actuellement, nous étions tous les deux en sous-vêtements et une folle envie de me jeter sur elle me vint à l'esprit. Pas lui sauter pour lui faire du mal ou quoi que ce soit... De l'autre façon, un peu plus "corporelle"...

~ La magnifique Néerlandaise me regardait, pendant mis mes deux mains sur ses épaules totalement nues, en les descendant, doucement, jusqu'à ses mains. Sa peau était si douce, si parfaite... Je lui avais murmuré que le spectacle n'était pas terminé. Je me suis retiré de sa douce proximité où j'ai retiré la dernière couche de vêtement que j'avais, soit mes boxers. J'étais désormais nu en entier, dévoilant ma partie génitale à Schöna qui ne détourna nullement la tête de moi. Elle avait la bouche légèrement entrouverte, pendant que je la fixais, un regard remplit de désir dans les yeux. Elle sembla hypnotisée où elle acquiesça de la tête peu après mes précédentes paroles, en me disant : « Je vois ça… j’aime ce spectacle ! » Je continuais de la regarder, du même sourire que précédemment, se voulant aguicheur. Je la vis enlever la dernière pièce de vêtement de son corps... Je la regardais faire, ne pouvant détourner mon regard, à mon tour. C'était définitif, cette fille était parfaite en tout point... Je m'imaginais déjà mon corps contre le sien... En fait, je le voulais... Très excité, mon pénis ne voulait qu'une chose...

~ Je m'étais assis sur le sol, où elle s'était mis à califourchon sur moi... Oh oui... Pendant ce temps, elle passa ses bras autour de mon cou, en m'embrassant avec passion. Je prolongeais le baiser avec ardeur. Nos corps étaient l'un contre l'autre... C'était à ce moment-là que mon sexe pénétra le sien où j'avais décollé ma bouche de la sienne. Je me sentais "venir". Une chance que j'avais pensé à mettre une protection afin qu'il n'arrive aucun "accident". La sensation n'était que trop agréable. J'y allais doucement, entrant et sortant. Je ne voulais pas y aller trop fort à moins qu'elle ne me le dise de le faire. Cette première fois n'était que trop bien... Ressortant, je me suis mis de nouveau à l'embrasser sur la bouche, la collant davantage contre moi en mettant mes mains sur ses hanches... Elle était toujours à califourchon sur moi, ce qui facilitait tout ça... Je continuais de l'embrasser langoureusement avant de lui murmurer : « J'aimerais que ce moment dure... Schöna... Joyeux anniversaire... »

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Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre.

Franz / Aniek


C’était particulier ce que l’on vivait actuellement avec Franz, et surtout c’était nouveau pour moi. Je ne savais pas si pour lui c’était pareil, pour dire vrai nous n’en avions jamais discuté auparavant, l’important était de profiter pleinement en ce moment !
J’étais dans un autre état, totalement envoûtée par le garçon mais, quelque part, j’appréhendais, ce n’était pas si facile de se donner à quelqu’un, même quand on était sûre de lui. Je lui faisais confiance mais je ne pouvais m’empêcher d’avoir quelques craintes. L’excitation, le plaisir et l’envie arrivaient à me faire passer cette émotion mais elle était toujours présente en moi, après tout c’était normal nan ?!

Sous mes yeux, j’avais désormais un Franz torse-nu qui ne me laissait clairement pas indifférente. Je devais l’avouer, il était vraiment beau comme mec, mes yeux ne se lassaient pas de parcourir son corps. Ses gestes, ses caresses étaient mesurées et j’appréciais ça. C’était agréable, cette approche était respectueuse tout en étant remplie d’envie… cela ne faisait qu’intensifier mon plaisir. Alors qu’il parcourait de son doigt une partie intime de mon corps, il me murmura : « C'est la même chose de mon côté... Simplement ton regard me fait craquer... ». Je posai ma main tout contre son torse et lui souris. Je perdais totalement le contrôle face à lui. Son regard me faisait beaucoup d’effet et ses actes encore plus ! Je n’avais jamais ressenti ça auparavant et c’était juste addictif ! Je laissai alors ma main se diriger doucement jusqu’au bas de son ventre, le regardant malicieusement, un petit sourire en coin. Je voulais que ce moment dure, encore, longtemps. J’étais si bien en cet instant, je ne pensais à rien d’autre qu’à lui et au plaisir que nous nous procurions l’un à l’autre… un régal !

J’avais chaud, extrêmement chaud. Il commença à retirer sa ceinture et je me retins de ne pas lui sauter dessus pour le faire rapidement. J’étais éprise d’une forte envie de me retrouver coller à lui et de profiter pleinement ! Cette excitation, je la ressentais pour la première fois et j’adorais tout bonnement ça ! Je le regardais dans les yeux et il devait voir tout le désir que j’éprouvais en ce moment. Son regard… jamais je ne pourrais ma lasser de m’y plonger. Je n’étais pas du genre romantique ou sentimentale, mais avec Niedi je me sentais bien et je savais que j’avais des sentiments pour lui. Ce n’était pas une faiblesse mais bien une force, avec lui je pouvais me le permettre. Après tout, ce n’était pas n’importe qui, on partageait énormément. Cependant, je ne pensais pas à ce qui nous unissait à cet instant, mais bien au fait de le posséder, tout de suite et maintenant, lui et moi, juste nous deux, se satisfaisant l’un de l’autre… je le voulais !

Sa bouche dansait sur ma poitrine et je me mordais la lèvre de plaisir. C’était vraiment bon, je ne pourrai surement plus me passer de ça dans le futur ! Cette proximité était alléchante, je n’étais pas gênée de ma nudité avec lui, surtout que son regard me le rendait bien ! Cette nouveauté était plaisante, pour le moment je ne pouvais me plaindre, j’étais au paradis. Ma tête bascula en arrière, tout naturellement, et je profitai de ses caresses. J’avais saisi l’occasion pour lui retirer totalement sa ceinture, en profitant pour détacher quelques boutons de son pantalon. Oui, vraiment, je voulais plus. Rapidement, je me redressai et enleva ma jupe, me retrouvant ainsi en shorty face au jeune homme. Il m’observa de haut en bas et je ne pus m’empêcher de sourire, appréciant son regard sur moi. A son tour, il retira son pantalon et je le regardai faire avec beaucoup d’attention, appréciant de voir son corps dénudé et sacrément attirant !

Franz se rapprocha de nouveau de moi et j’aimais sentir son corps chaud tout près de moi. La chaleur qu’il dégageait me faisait de l’effet, je rêvais de me réfugier dans ses bras… et bien plus ! Alors que je profitais de sa tendresse, que j’espérais qu’il n’avait qu’avec moi, le serpent se décolla de moi et retira la dernière couche de tissu qu’il portait. Wah ! Ca c’était une première mais j’appréciais énormément le spectacle. Je ne pouvais m’empêcher de fixer son sexe, me mordant la lèvre inférieure. C’était très tentant tout ça et ça me donnait beaucoup plus chaud qu’il y avait quelques secondes… autant dire que j’étais en totale ébullition. Tout ça était nouveau pour moi, je n’avais jamais été si loin avec un garçon. Pourtant, je me sentais à l’aise et entre de bonnes mains. Je le fixai. Nos regards se croisèrent et je lui avouai que j’aimais ce spectacle. Historie d’être à égalité, je fis comme lui, retirant mon shorty et étant désormais totalement dénudée. Je le regardais de façon aguicheuse, un petit sourire sur les lèvres. Il me fixait à son tour et son regard était tout simplement valorisant.

Très vite, je m’étais retrouvée à califourchon sur lui. Nus, tous les deux, ça aussi c’était une première, et je ne savais pas tellement si cela me ferait mal ou non. En fait, je n’y pensais pas tellement car j’étais bien et que je voulais que l’on aille encore plus loin tous les deux. Afin de ne pas réfléchir trop à la situation et à laisser mon plaisir ne pas perdre le contrôle, je l’embrassai passionnément, me collant encore plus à lui. Il prolongea le baiser et je sentis son sexe dur sous moi. Je n’eus pas le temps d’y penser que ce dernier me pénétra. Je me crispai légèrement, ressentant une douleur en moi. Je fermais les yeux, baissant la tête et agrippant avec plus de force sa nuque. Je ne dis rien, respirant fortement alors que Franz faisait en sorte d’y aller doucement, ce que j’appréciais. La douleur était présente mais, étrangement, cela n’avait pas calmé mes ardeurs et mon excitation. D’ailleurs, en plus de ce « mal », je ressentais aussi beaucoup de plaisir… c’était une sensation inconnue que je ne maîtrisais pas le moins du monde. Niedi continuait son mouvement et, seconde après seconde, je ressentais de moins en moins la douleur et de plus en plus le plaisir. Il m’embrassa de nouveau et je le lui rendis avec encore plus d’intensité. C’était un rêve, je prenais vraiment mon pied. Je posai une main sur son épaule, me penchant vers lui et lui murmurant dans un souffle : « Tu peux… accélérer… si tu veux… ». Je savais que cela ne pourrait qu’amplifier mon plaisir qui était déjà bien présent ! Je me cambrai de plus en plus au fur et à mesure de ses va-et-vient. Je me retenais de ne pas faire de bruit, du coup ma respiration était très forte. Cependant, je n’arrivais pas à dissimuler quelques petits gémissements de pure plaisir. Il mit ses mains contre mes hanches et je me cambrai un peu plus, laissant échapper une exclamation de désir.
Les mots de Franz virent à mon oreille et je lui souris, posant une main affectueuse sur sa joue.

« J'aimerais que ce moment dure... Schöna... Joyeux anniversaire... »

Je déposai mes lèvres tout contre les siennes, sentant que j’étais au maximum de mon plaisir, me sentant dans un état étrange mais très très appréciable. Je lui répondis avec un sourire : « C’est le meilleur cadeau que je pouvais rêver… » Et c’était vrai ! « Merci ! ». Je ne pouvais en dire plus, étant essoufflée comme pas possible. Je sentais le plaisir grandir en moi avec beaucoup d’intensité jusqu’à atteindre son paroxysme. Là, je ne pus plus me retenir et j’émis un fort gémissement, le suppliant de ne pas s’arrêter. Je tremblais, une sensation de bonheur et de plaisir intense m’avait envahi et j’adorais ça. Peu à peu, je sentis cette sensation s’atténuer. Je soufflai alors, souriante, embrassant passionnément Niedi avant de poser ma tête sur son épaule et de lui murmurer : « S’il te plaît, me dis pas qu’on devra se passer de ça dans l’avenir… c’était vraiment bon ! » J’embrassai sa nuque, respirant fort et fermant les yeux, laissant mes doigts vagabonder sur son corps.


©BlackSun


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" ¤ Rester, c'est exister ; mais voyager, c'est vivre. ¤ "

"Let's have a trip together, to remember where two perfects peoples used to be born"

~ Le moment actuel était juste trop magique, surtout que c'était la première fois que je le vivais tout comme Schöna. Tout était si soudain que j'avais peur de ne pas avoir de contrôle sur moi-même mais au final, je me contrôlais plutôt bien en profitant largement de ce moment entre tous les deux qui, disons-le, était plus que bénéfique. Je me rendais compte à quel point Aniek m'attirait, que ce soit niveau caractère ou corporel. Cette fille était juste trop bien et je ne regrettais pas de l'avoir embrassé le soir d'Halloween. La seule chose que je regrettais, de tout ça, était de ne rien avoir dit à Jennifer et je sentais le pire à venir la concernant. M'enfin, l'important, pour le moment, était le fait que je sois bien avec elle et surtout, profiter de l'instant présent qui se révélait à être plutôt savoureux à tous les niveaux.

~ Je pouvais admirer le corps de la jolie Frowein, étant en soutien-gorge devant moi, pendant que j'étais moi-même torse-nu. Je m'étais mis à faire quelques gestes intensifiant mon plaisir, passant près de sa poitrine qui me faisait plutôt de l'effet, dois-je avouer. Le pire fut lorsqu'elle a retiré son soutien-gorge. Je ne voulais pas perdre le contrôle, même si c'était tentant. C'était la première fois que je vivais ce genre de situation et je voulais absolument rien manquer. J'avais mis mon doigt de son cou jusqu'à sa poitrine, lui avouant que simplement son regard me faisait craquer, ce qui était vrai. Je ne pouvais le nier, Schöna avait des yeux tout simplement magnifiques. Il n'y avait pas que les yeux, de magnifiques, c'est sûr... J'avais ensuite sentit sa main se poser contre mon torse, me faisant frissonner de plaisir, admirant son visage souriant jusqu'à ce qu'elle descende au bas de mon ventre. Simplement la sensation de sa douce main contre ma peau, j'aimais. Je la laissais faire.

~ J'ai, peu après, commencé à retirer ma ceinture puisque je voulais plus. Nos bouches retrouvèrent le chemin de l'une vers l'autre, appréciant de nouveau ce contact. En tout cas, chose sûre, je ne pourrai jamais dire que ce moment fut pitoyable et affreux. J'allais sûrement en rêver longtemps. Nos yeux ne cessaient de s'engouffrer l'un dans l'autre, ne me lassant pas de ce regard-là. Elle était bien la seule personne avec qui je pouvais agir ainsi, surtout que je ne suis pas du genre à aimer les trucs romantiques et sentimentales mais elle, ça ne me dérange pas. Chose sûre, je ne veux pas que l'on devienne des bisounours comme Asling et sa copine. Bref, ce moment était absolument délectable, peu importe ce qui se passait au château à l'heure actuelle.

~ J'ai commencé à m'approcher de sa poitrine, avec ma bouche, appréciant chaque instant de cette proximité. Je sentais le plaisir monter dans mon fort intérieur et plus je continuais, plus je voulais que ça avance. Étais-je en train rêver ? Impossible, puisque je pouvais profiter de chaque millième de secondes de chaque instant. J'étais hypnotisée par Schöna qui était à moitié nue où je continuais les caresses où elle prit une occasion pour retirer ma ceinture, détachant les boutons de mon pantalon. Je la laissais, bien évidemment, faire à sa guise, continuant ce que je lui faisais. La belle Néerlandaise fit ce que j'espérais dans ma tête, elle retira sa jupe pour se retrouver en shorty, où je pus la regarder de haut en bas, appréciant encore davantage le délicieux spectacle dont j'étais témoins et dont je participais, en fait. Son corps était définitivement parfait et je ne m'en plaindrai jamais. Je m'étais donc mis, à mon tour, à y aller un peu plus loin où j'ai retiré mon pantalon, me retrouvant en sous-vêtement moi-aussi. Je pouvais la voir admirer la totalité de mon corps, avec un sourire malicieux. Elle semblait y prendre parti, tout comme moi avec elle !

~ Je m'étais approché de la belle Aniek, me sentant de plus en plus chaud. Sentir le souffle de sa respiration et son regard pesé sur moi, rien de plus bénéfique. Surtout que ça me lançait un message comme quoi je pouvais retirer ma dernière couche de vêtement. Je me suis décollé d'elle, sans cesser de la regarder et d'admirer son corps en entier où j'ai enfin retiré mes sous-vêtements. Schöna semblait y prendre encore plus plaisir et je n'allais pas m'en plaindre. Surtout qu'elle fixait mon sexe. C'était la première fois que je vivais ce genre d'expérience, autant y aller jusqu'au bout ! Est-ce que je me contrôlais ? Difficile à dire. Mais bon, peu importe le contrôle ou pas, l'important était le plaisir du moment où je sentais constamment la chaleur monter en mon corps. J'avais de plus en plus envie d'elle, de lui sauter doucement dessus et d'avancer vers la dernière étape... Pour une première fois, c'est le mieux non ? Je me sentais de plus en plus à l'aise, dans la situation actuelle, en plus. Nos regards se croisèrent de nouveau où elle avoua aimer le spectacle jusqu'à ce qu'elle aussi retire la dernière couche de vêtement, soit son shorty. Comme elle précédemment, je me suis mis à fixer son sexe, ayant une envie optimale de passer à la dernière étape sur le moment. J'avais ensuite levé les yeux vers son beau visage qui me fixait de façon aguicheuse. Son petit sourire me fit faire de même. Nous étions, tous les deux, totalement dénudés de la tête aux pieds...

~ La partie la plus intéressante de la soirée était sur le point de se produire. Notre position changea totalement où Schöna se mit à califourchon sur moi. Le temps était arrivé. Nous allions officiellement le faire pour la première fois et j'en étais impatient. J'attendais ce moment depuis l'instant où elle avait commencé à se dénuder. Elle avait commencé à m'embrasser, pendant que nous nous collions de plus en plus l'un contre l'autre. Je continuais de sentir sa bouche contre la mienne pendant que le mouvement à l'intérieur de son sexe commença. J'y allais lentement, ne voulant pas lui faire mal. Je la sentais se crisper un peu, continuant. En même temps, nos bouches restaient collées l'une contre l'autre. Si j'avais cru que je vivrais ce genre de moment cette année, je ne l'aurais pas cru. J'adorais, tout simplement. Je sentais la jolie brune agripper ma nuque, pendant que je continuais le mouvement à l'intérieur de son sexe. Je me sentais tellement excité que je ne voulais pas m'arrêter. Je ne voulais toujours pas aller plus vite dans mes va-et-vient, à moins qu'elle ne le veuille. Je ne voulais pas lui faire mal. Je jouissais totalement du moment actuel. Nous nous étions de nouveau embrassés, en même temps, avec intensité. Cette fille était une vraie drogue, bordel ! Du coup, je sentis sa main se poser sur l'épiderme de mon épaule, me murmurant dans un souffle, tout en se penchant vers moi, cessant le va-et-vient : « Tu peux… accélérer… si tu veux… » J'ai obéi à ses dires, recommençant le mouvement vers son sexe, plus rapidement. Pas trop, quand même. Ça me faisait incroyablement du bien vu que c'était excitant et plaisant à la fois. Plus je continuais, plus Schöna se cambra, où je l'entendais gémir en ayant une forte respiration en même temps. J'ai ensuite mis mes mains contre ses hanches, la laissant se redresser un peu. Eh bordel, ce moment était juste trop parfait et magique. Ce qui venait de se produire... Je ne souhaitais pas arrêter... C'est donc que je lui avais chuchoté en lui avouant que je voulais que ce moment dure où je lui ai souhaité joyeux anniversaire. En même temps, elle me souriait tout en mettant sa douce main contre ma joue...

~ J'ai de nouveau sentit ses lèvres contre les siennes où j'ai prolongé en la collant plus à moi, grâce à mes mains qui venaient de se poser sur ses hanches. Elle décolla donc sa bouche pour ensuite me répondre, d'un sourire : « C’est le meilleur cadeau que je pouvais rêver… Merci ! » J'eus un sourire satisfait, remarquant qu'elle était essoufflée, ce qui pouvait être compréhensible dans son cas. C'était réciproque mais pas autant, en fait, mais je ne le démontrais pas. Je mis une main sur sa joue, lui murmurant : « Ça fait plaisir, surtout que c'est à moi de te dire merci... » Nous avions continué, où elle émit un fort gémissement, me suppliant de ne pas m'arrêter. Je l'ai écouté. Elle était un peu comme ma maîtresse en ce moment-même... M'enfin, ça voulait aussi dire que lui obéir définissait le fait que j'étais accro à elle et qu'elle ne cessait de me prodiguer un bonheur qui m'avait été inconnu jusqu'ici. J'ai donc laissé la jolie brune souffler où elle, souriante, m'embrassa de nouveau avec un baiser de passion. Sa bouche était si bonne... C'était toujours meilleur que notre premier baiser bien que celui-ci fut particulièrement spécial et soudain pour en être comparé. Elle posa sa têt contre mon épaule en me murmurant alors : « S’il te plaît, me dis pas qu’on devra se passer de ça dans l’avenir… c’était vraiment bon ! » Puis, elle embrassa ma nuque où elle ferma les yeux d'une forte respiration en laissant ses doigts se promener sur mon corps. J'ai, pour ma part, passé doucement ma main dans ses cheveux en restant contre elle. Il n'y avait donc qu'avec elle que je pouvais être affectueux. Je ne le ferais avec personne d'autre et je ne vois pas pourquoi, surtout que ce n'est pas mon genre. Je me suis ensuite mis à frotter sa peau, allant jusqu'à ses cuisses. Je lui ai murmuré : « Bon ? C'était parfait... » Dis-je, en mettant ma bouche sur un de ses seins avant de continuer en relevant ma tête vers la sienne. « Ça dépend de ce que tu entends par "on devra se passer de ça dans l'avenir" mais tu oublies que nous sommes maîtres de soi et nous faisons ce que nous voulons... » Dis-je, d'un sourire malicieux avant de rester contre elle, l'embrassant une nouvelle fois. « On reste ici autant de temps que l'on veut, nous ne sommes pas pressés... » Murmurais-je, une nouvelle fois, avec un petit sourire. Je ne souhaitais pas que ce moment s'arrête. L'important était de profiter au maximum, surtout que ce genre de moment ne peut pas se réaliser tous les jours de l'année. En plus, ce soir, j'allais sûrement manger avec elle, dans la grande salle, face à face. Il ne fallait juste pas que Jennifer ne s'aperçoive de quoi que ce soit pour le moment et puis, j'en avais marre que l'on doive se cacher. Un moment donné, on devra briser cette glace...
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