Je ne pensais pas un jour te revoir... Surtout ici. ~Idiya

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Se réveiller en sueur et en cris. Arthur se réveilla se matin une nouvelle fois dans ces conditions. Il ne faisait pas des rêves de monstres qui veulent manger tous sur leur passage, ni même de choses qui pourrait lui faire véritablement peur. Non à chaque fois il revoyait les mots d'une certaine personnes, les mots de départ de la personne dont il était tombé amoureux. Si on lui avait qu'il serait comme cela quelque semaines auparavant, Arthur n'y aurait pas cru. Ce n'est certainement pas quelqu'un de méchant, bien au contraire, mais jamais il ne s'était pris la peine de vraiment tomber amoureux. Oh il avait eu quelque relation, par ci par là, souvent sérieuse, mais de là a voir la vie avec cette personne, non. Alors penser qu'il était amoureux de cette jolie brune avec qui on l'avait vu souvent traîné était impensable, jusqu'à ce qu'il se rapproche petit à petit d'elle, et maintenant qu'elle l'avait laissé tomber amoureux d'elle, elle s'en allait. Attention, il était heureux pour elle qu'elle ai enfin trouvé sa voix, mais anéantit d'être tombé amoureux d'elle c'était certain. Mais revenons au moment présent, il repris peu à peu sa respiration et souffla doucement quand il posa son regard sur la table de nuit, la fameuse lettre s'y trouvait, légèrement chiffonnait, on pouvait voir qu'elle avait été lu et relu pour avoir la certitude que ce n'était pas le fruit de son imagination.

Il secoua légèrement la tête et se leva d'une traite en direction de sa douche. Son colocataire, Josh était sûrement partis en mission de Journalisme, ainsi le blond avait l'appartement pour lui tout seul. Il mit de la musique à fond et pris une douche qui lui fit un bien fou, puis s'habilla avant de regarder un peu autour de lui. Ses derniers temps le jeune homme avait beaucoup moins de cours afin de pouvoir laisser les étudiants réviser leur futurs examens donc avait bien plus le temps pour lui et avait fait aujourd'hui tout son rangement ce qui le peinait un peu, lui qui avait besoin de se changer les idées. Il aurait très bien pu décider d'aller retrouvé ses amis, mais il se doutait que si lui n'avait pas vraiment à réviser avant ce soir, ce n'était pas pareil pour les filles, quand à sa sœur elle devait sûrement travailler. Il décida alors de sortir dans Prés au Lard, peut être qu'arriver sur place il trouverait quelque chose à faire, mais au moins il allait mettre le nez dehors, chose qui ne pourrait que lui faire du bien.

Il pris alors sa baguette, son porte feuille, écharpe et manteau et quitta son appartement en prenant bien soin de fermer derrière lui. Ce n'était pas qu'il tenait à ses affaires mais tout de même, il n'avait pas spécialement envie que quelqu'un vienne squatté dans son appartement ou vienne faire du magasinage. Ce soir quand il rentrerait chez lui, il aurait vraiment besoin d'un lit et peut être bien de toute sa cuisine, il était déprimé certes, mais il avait toujours besoin de manger et de dormir, surtout de dormir, ça faisait passer le temps. Malgré son état d'âme, le jeune homme gardait sa bonne humeur, même si il arrivait difficilement à sourire avec sincérité, après tout il ne fallait pas trop lui en demander quand même. Mais il ne baissait pas les bras, il s'était donné deux à trois semaines pour se remettre sur pied, et avait préparé un voyage pour être sur d'y arriver.

Il arriva dans le village quelque minute après, le transplanage rendait les choses nettement plus facile c'était certain et posa son regard sur le grand lit blanc que lui offrait ce magnifique paysage neigeux. Les gens autour de lui semblait heureux, ou alors nettement stressé par les achats de noël, oui on sentait que les fêtes arrivait et Arthur eu un petit sourire, jusqu'à ce qu'il souvienne que noël il le passerait sans Zora. Un soupir passa la barrière de ses lèvres et il laissa ses pieds le guider où ils voulaient allait. C'est alors que soudainement la clarté disparu et il se retrouva dans l'obscurité. Il relava alors le visage et fronça les sourcils, se disant que ce n'était pas encore la nuit, cela ne se pouvait pas. Il regarda autour de lui, et remarqua qu'il s'était sans le vouloir embarqué dans l'allée des embrume, ne voulant pas d'ennuis il regarda rapidement les boutiques autour de lui et fonça dans la petite taverne qu'il vit au loin pour ne pas attirer les soupçons sur lui, tout le monde savait que cette allée était plus ou moins mal fréquenté.

Une fois à l’intérieur, il se retourna vers la petite taverne et parut émerveillé de voir à quel point cet endroit lui paraissait chaleureux comparé aux reste des boutique qui se trouvaient à côté, il haussa alors les épaules et se dirigea vers une petite table vide non loin Il s'y installa et attendit patiemment que quelqu'un vienne le servir. Voilà ce qu'il allait faire de sa journée, boire pour en quelque sorte oublier.

HJ:

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Arthur & Idiya

Je venais de finir ma dernière plaque de cup-cake pour ce matin. Je recouvris le plat qui contenait les restes de pâtes pour le poser au frigo, tendis que par magie je fis sortir la fourrée précédente du four pour la remplacer par la nouvelle. Je sortis ces petits gâteau de la plaque pour les disposer sur un présentoir à cup-cake pour les laisser refroidir, me tournant ver un autre présentoir où des gourmandises du même type avaient déjà refroidies. Je m'emparais de la poche contenant de la crème au beurre avec des noisettes, pour commencer à décorer le dessus. Je rajoutais deux petite feuilles de menthes en sucre sur le dessus accompagné d'une noisette entière. J'adorais m'occuper de mes pâtisseries, de les décorer avec soins et finesse. La seconde fourrée qui avait également refroidie, fut elle décorée d'une crème au beurre goût vanille, par dessus laquelle j'avais laissé couler un peux de coulis de cerises, tout en complètent on œuvre avec une cerise entière sur le dessus. La troisième et dernière fourrée eut l'honneur d'être couverte de sauce au chocolat noir, surplombé d'un carré de chocolat blanc. Une fois mon travail finit, j'apportais les deux présentoir devant sur le comptoir, au vue des clients. Je vérifiais que tout était en place, entre les différentes tartes, gâteaux, pains sucrés et pâtisseries que je proposais, pour ensuite aller ouvrir à ma clientèle. Un coup de baguette magique et les volets et rideaux s'ouvrirent, laissant filtrer la lumière, un autre coup de baguette et le menu du jour s’inscrivait avec des lettres gracieuse sur un tableau. Je rajoutais une bûche au feux qui avait déjà réchauffé la pièce, le temps dehors s'étant refroidis, pour déjà saluer les premiers clients.

La matinée s’écoulât doucement et sans encombres, jusqu'à ce un beau jeune homme entra dans ma taverne. Il n'était certainement plus élève à Poudlard vu sa carrure. Je lui donnais dans les 23-34 ans. Un petite mine, mais qui ne ternissait pas son beau visage. Il était mignon. Les cheveux certainement décoiffés par le temps qu'il faisait. Je l'observais à la dérobée un instant, me faisant gronder par une veille au comptoir. Je roulais des yeux en allant prendre une bouteille de vin chaud, pour la lui vendre. Partenariat avec un petit commerçant voulant promouvoir son produit. J'avais goutté ce vin et il était délicieux. Je m'avançais finalement vers le beau jeune homme qui avait pris place et mis mon plus beau sourire.

Je n'étais pas fille facile qui couchait avec tout ce qui bouge, mais je savais reconnaître un bel homme quand j'en voyais un et tenter ma chance. Une fois arrivée je l'accostais :

« Bonjour ! Qu'est ce que je te sers mon beau ? »

Lorsque je posais mon regard sur lui je fus perturbée un instant. Je le connaissais. J'en suis certaines j'ai déjà vu ces yeux... Mais où ? Je détestais reconnaître des gens mais ne pas savoir de où ni qui ils étaient. D'habitude je ne faisais que les éviter, mais bon là c’était un client que je me devais de servir. Pitiez faites qu'il ne se souvienne pas de moi, ou qu'il me dise qui il est dés sa première phrase. Les situations embarrassantes dés le matin sont souvent douées pour vous pourrir la journée.

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹
Si Arthur avait pris deux seconde pour regarder dans la direction de la jeune femme qui tenait la taverne, aurait il vu un visage familier ? Après tout si lui depuis ses 11 ans avait extrêmement changé, cela pouvait être bien plus différent pour Idiya. Et si Arthur n'excellait pas dans les cours, sa memoire était intact quand une personne l'avait touché psychologiquement dans le passé, même si ça revenait à des années, aussi lointaine soient elle. Mais Arthur n'avait pas cherché à relevé la tête, son regard lointain, il attendait seulement qu'on le serve et qu'il - si il le pouvait - puisse boire sans se soucier du lendemain. Peut être qu'il allait se réveiller demain avec une belle migraine, peut être que ça viendrait aux oreilles d'Avril mais qu'est ce qu'il en avait à faire ? après tout c'était lui le grand frère, il n'avait pas besoin qu'on lui fasse la moral.

« Bonjour ! Qu'est ce que je te sers mon beau ? » Cette phrase retentit aux oreilles du jeune homme mais s'étant pas attendu à entendre une voix féminine et si jeune, il sursauta légèrement relevant alors le regard vers la personne qui s'était adressé à lui. Quand son regard se posa dans le regard glacial mais pourtant si chaleureux de la jeune femme, un flot de souvenir revint en la mémoire du jeune homme, il savait que cette jeune femme n'était pas une inconnue, mais qui était elle ? Il fallait rapidement qu'il s'en souvienne, et c'est à force de cherché qu'il se rendit compte qu'il n'avait pas spécialement répondu à Idiya. Il secoua un peu la tête et fronça légèrement les sourcils.

« Vous avez quelque chose de fort ? même extrêmement fort ? » Il n'avait pas spécialement relevé le " mon beau " faut dire qu'il avait été ailleurs jusqu'à là et maintenant il était plus que perturbé. Il retracé peu à peu son passé, ce regard, il l'avait déjà vu quelque part et ça l'ennuyait de ne pas savoir d'où. Malheureusement en plus il n'était pas trop en forme pour trouver quoi que se soit. il s'adossa à son siège et avant que la jeune femme parte, il s'adressa à elle.

« Excusez moi, je suis sur de vous avoir déjà vu quelque part, mais j'ai comme un trou de mémoire. Avez vous été à Poudlard auparavant ou alors avez vous un quelconque rapport avec l'université ou encore un rapport avec la famille June ? » Il cherchait toute les possibilité de où il l'avait vu. Arthur ne pouvait pas l'avoir vu autre part que les endroits qu'ils venait d’énoncer, si elle n'avait été qu'une fille de passage, il n'aurait pas ce sentiment de la connaitre bien plus que cela.

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Arthur & Idiya

Je détestais ça. Ne pas savoir où j'avais déjà croisé cet homme. C’était horrible comme sentiment. Surtout qu'il était plus tôt mignon. Durant un instant une tonne de scénarios défilèrent dans ma tête. Une ancienne conquête ? Un harceleur ? Quelqu'un que j'aurais envoyé dans les roses après qu'il est fait des avances ? Un ancien élève de Poudlard ? Un fournisseur pour ma taverne ? Un des hommes qui avaient installé la nouvelle chaudière dans le manoir ? Terrible ce trous de mémoire !

Je revins à la réalité lorsqu'il passa commande. Quelque chose de fort. Whisky pur feux quoi. Qu'est ce que les gens avaient à boire ça dés le matin ? Surtout qu'il n'était même pas 11h30. Lorsqu'il avait posé son regard sur moi pour passer commande j'y avais vu une lueur mais terne. Il semblait malheureux. Depuis que je tenais ce bar, j'adorais aider mes clients. Écouter les cœurs brisés, les amitiés finies, les trahisons. Pourquoi ? Parce que j’adorais donner le sourire au gens. Leurs donner de l'espoir. Les aider. Je décidais donc de troquer son whisky pur feux par un bon chocolat chaud dans ma tête. Je lui souris poliment et allait repartir lorsqu'il repris la parole.

Je me retournais alors vers lui, un sourire désolé aux lèvres.

« J'ai eu le même soucis, vous avez un air familier mais j'arrive juste pas à... Attendez June ? Comme dans Avril June ? »

S’enchaînent alors par eux même, les éléments se mirent en place dans mon esprit.

« Attends... Arthur ? »

Je restais bouche bée un instant. Bordel ça c'était une surprise ! Je me souvenais maintenant. Durant ma septième année j’avais aidé un petit garçon à s'intégrer. Il était aussi à Poufsoufle et je l'avais pris sous mon aile, l'aidant avec les cours, à trouver des amis, à s'en sortir dans le château. Nous étions encore resté en contact via des lettres durant deux ans, après que j'ai quitté Poudlard, mais les réponses se faisaient de plus en plus rare. La rénovation de la taverne me prenait tout mon temps et lui avais ses cours. Nos horaires étaient moins calés. Les lettres avaient finalement cessées et je n'avais plus eu de nouvelles de lui depuis ... Oh lala depuis bien des années ! Un grand sourire se dessina alors sur mes lèvres! Ça faisais toujours plaisir de revoir un ami. Même s'il avait six ans de différence d'âge.

« Oh mon dieu Arthur, mais qu'est ce que tu as changé ! Tu te souviens de moi ? Idiya Lyard ! Oh lala ! »

Je n'en revenais toujours pas que ce soit lui. Je me retournais un instant vers le comptoir. La salle était quasiment vide, et les clients servis, et personne au comptoir. Je décidais alors de prendre un peu de temps pour parler avec lui.

« Tu permets que je me joigne à toi ? Je vais vite te chercher ta commande et je reviens ! »

Me retournant alors pour de bon, je me hâtais de préparer non pas un, mais deux chocolats chauds. J'ajoutais du coulis de cerise, des copeaux de chocolat blanc et une vrai cerise sur ma crème fraîche tendis que je répandais des copeaux de chocolat brun, de la poudre de cacao et un petit carré de chocolat brun sur la sienne. Je me redirigeais alors vers sa table, désposais sa boisson devant lui et m'installais, croisant mes jambes. Je le regardais dans un les yeux, lui souriant. Je n'en revenais toujours pas ! Le petite Arthur s'était littéralement métamorphosé en bel apollon ! Qui aurait pu prévoir ça !

« Alors racontes moi tout ! Tu deviens quoi depuis le temps ? Combien d'années ça doit faire ? 5 ? 6 ? »

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹
Oui, il n'avait pu être patient, faut dire qu'Arthur patient ça ne s'était jamais vu et encore moins depuis qu'il était à l'université et qu'il avait un nouveau poste au sein de la BDE, maintenant c'était un grand hyperactif qui ne faisait plus dans la dentelle, toujours en train de faire quelque chose. Alors Attendre ? Non ce n'était absolument pas son fort et attendre de savoir d'où il avait déjà vu la jeune femme était encore moins son fort. Alors il lui avait demandé et il ne fut pas vraiment surpris de la réponse que lui donna celle ci.

« J'ai eu le même soucis, vous avez un air familier mais j'arrive juste pas à... Attendez June ? Comme dans Avril June ? » Au moins il n'était pas fou, elle l'avait un peu connu aussi ou alors ça venait de sa soeur, car quand elle prononça le nom d'avril, le visage d'Arthur s'éclaira un peu, oui peut être était elle seulement une amie de sa soeur, qu'il avait du voir une fois ou deux avec elle, ce qui était surprenant car la seule amie d'Avril à ce jour qu'il se rappelait c'était Yasha et là encore , c'était une personne proche de lui. Alors une ami inconnu de sa sœur qui avait eu cet effet là sur lui, était inexplicable mais soit. Il allait hocher la tête pour dire qu'il avait compris d’où il l'avait vu quand elle prononça autre chose qui l'interloqua légèrement. « Attends... Arthur ? » Comment elle connaissait son prénom. Ok il arrivait souvent qu'Avril face des allusions à lui comme lui le fasse aussi mais de là a ce que la personne le dise aussi familièrement, non il y avait anguille sous roche. D'avantage quand il voyait la tête de la brune face à lui qui paraissait choqué, abasourdie. Enfin comme si ils se connaissaient depuis longtemps. Arthur était mal luné aujourd'hui, comme depuis quelque jours par un manque de sommeil intensif, il allait répliqué quelque chose quand elle pris assez rapidement la parole, l'évitant ainsi d'être plus ou moins désagréable. Bah quoi ? Il n'aime pas être regardé comme ça, on ne pouvait pas lui en vouloir. si ?

« Oh mon dieu Arthur, mais qu'est ce que tu as changé ! Tu te souviens de moi ? Idiya Lyard ! Oh lala ! » Alors là Arthur restait sans voix, dans l'incompréhension total. Comme il avait changé, mais attend depuis quand elle le connaissait, et pourquoi il avait changé, Arthur ne comprenait plus rien et comme si ça suffisait pas, elle lui donna son nom. Comme si ça allait l'aider, il ne savait toujours pas qui elle était. Il chercha un peu, après tout si elle lui demandait si il se souvenait d'elle, c'est qu'il se connaissait un minimum surtout quand on pouvait voir toute la familiarité qu'elle mettait soudainement. Il chercha alors un peu dans sa mémoire. Il savait qu'à Poudlard, Avril lui avait parlé d'un Lyard, professeur d'histoire lui semblait il mais il n'avait aucun lien avec lui, il remonta encore un peu plus dans son passé quand soudain il eu une illumination et il écarquilla soudainement les yeux regardant la jeune femme. Idiya Liard, la jeune pouffsouffle qui l'avait aidé quand il était encore tout jeune, la jeune femme dont il était secrètement tombé amoureux. Celle ci même qu'il avait perdu de vu depuis combien maintenant ? Il ne savait pas vraiment. Il sourit alors doucement à la jeune femme.

« Oui, maintenant je me souviens de toi, ça faisait tellement de temps, que je ne m'attendais pas à te voir ici. » Pour changer, oui il avait changé. et en y réfléchissant elle non elle n'avait pas changé, elle gardait toujours ce charme qu'elle avait eu autrefois. Arthur restait tout de même assez choqué de la voir ici, peut être que finalement sa journée ne serait pas aussi nulle qu'il l'aurait pensé. Il suivit son regard toujours ébahi quand elle repris un peu la parole pour lui faire part d'une demande. « Tu permets que je me joigne à toi ? Je vais vite te chercher ta commande et je reviens ! » Il eu à peine le temps de faire un hochement de tête que celle ci était partit. Heureusement qu'il avait pas spécialement envie de rester seul, car de toute façon il était presque certain qu'elle ne l'aurait pas laissé faire. Il allait peut être réussir à se changer les idées finalement. Il la vit revenir avec deux plateau, un avec une boisson qu'il n'avait pas spécialement demandé et plein de gateau, à croire que la jeune femme avait envie de le faire grossir. Il regarda la boisson que celle ci lui avait mis devant le nez et il haussa un sourcil se demandant si elle avait bien entendu sa commande.

« Alors racontes moi tout ! Tu deviens quoi depuis le temps ? Combien d'années ça doit faire ? 5 ? 6 ? » Sa phrase fut presque imperceptible aux oreilles de Nathan qui se demandait réellement pourquoi il avait pas un Wisky entre les mains, mais releva quand même la tête vers la jeune femme pour lui répondre tout en faisant bien remarqué qu'il y avait un problème.

« 10 ans pour être exact. J'avais 11 ans et je vais maintenant sur mes 21 ans. Et je suis à l'université en troisième année dans le cursus Police Magique. Et toi je vois que tu es devenu propriétaire d'un charmant petite endroit cela fait longtemps? Mais dis moi...tu ne sert pas de Wisky ici ? » Il devait aussi comprendre cela, une boisson forte, il en avait réellement besoin, même si c'était sympathique de sa part de lui avoir emmener quelque chose.

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Arthur & Idiya

Comme quoi le hasard fait bien les choses. Oh lala ! Je me souvenais d'Arthur comme le petit garçon timide que j'avais aidé. Mon dieu qu'il avait changé. Naturellement il avait perdu tout les traits enfantins qu'il avait possédés lors de sa première année, remplacés par des traits masculins marqués. Il avait prit des muscles et s'était développé. Quand je pense que je comptais le draguer. Enfin je pourrais toujours le faire, mais la je voulais juste savourer la retrouvaille avec un ami perdu il y à longtemps. En y réfléchissant s'il ne se souvenait pas de moi, ce qui pouvait très probablement arriver, il devait me prendre pour une folle à lui parler comme ça. Je fus soulagée lorsqu'il me reconnu. L’asile n'était pas pour tout de suite.

« Moi non plus je m'attendais pas à te voir ici ! »

Un sourire immense barrait mon visage. Ça faisait toujours plaisir ces retrouvailles. Et puis on avait été des assez bon amis à l'école. J'avais décidé de lui faire un chocolat, plus tôt que l'alcool. Il semblait plus tôt déprimé et même si on ne s'était pas vu depuis des années j'espérais pouvoir l'aider et lui remonter un peu le moral. Une fois de retour à sa table je n’attendis pas pour poser des questions. Il me répondit. 10 ans. Non quand même pas ? Dix ans qu'on ne s'était plus vu, et huit ans donc plus ou moins, depuis nos dernière lettres. Mon dieu que le temps passe vite. Je pris une petite cuillère et commençais à manger la cerise sur ma crème fraîche. Je dégustais tout en l'écoutant. Trois ans déjà ? Il était motivé ! Police magique était un bon boulot. Et puis les uniformes pouvaient laisser place à des jeux de séductions assez tentant ! Je secouais doucement la tête, éloignant ces pensées de mon esprit. Il était certes mignon, mais je voulais avant tout discuter et peut-être renouer le lien qu'on avais eut il y a 10 ans de cela. Je souris lorsqu'il évoqua mon bar. Ma petite fierté !

« Ça va faire huit ans qu'il est ouvert ! Neuf ans que j'ai racheté l'endroit ! Je suis plus tôt fière aussi ! J'adore l'ambiance que j'ai réussis à créer. Et malgré le boulot que c’est, j'adore faire mes pâtisseries. Le contact avec les clients est chouette aussi ! Et puis parfois il y a des bonnes surprise comme aujourd'hui. »

Je lui fis un clin d’œil amical, avant que mon sourire ne s’efface doucement de mon visage. Moi qui voulais aborder le sujet en douceur, il m'ouvrait les portes en grand là. Je me mordis doucement ma lèvre inférieure, baissant les yeux avant de les relever sur lui.

« J'ai du whisky, comme tout bar qui se respecte ! Mais... Je suis désolée si c'est trop directe ou si je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais... Tu avais l'air ... Déprimé ? Du coup je me suis permise de te servir un chocolat à la place du whisky. »

J'eus un petit rire nerveux, jouant avec ma tasse en la faisant tourner dans mes mains, avant de reprendre.

« Je me suis dit que... Ça te remonterais peut-être un peu le moral ? »

Je fis un petit sourire timide à Arthur, plongeant mon regard dans le sien. Il avait de beaux yeux. Maintenant que je prenais la peine de les détailler, oui la ressemblance était là. Les même yeux... juste le regard... Je me souviens du regard émerveillé de ce petit garçon qui maintenant semblait terne et vide. Parlant alors d'une voix douce je me lançais, me disant qu'au vue de mon audace concernant le chocolat, je pouvais me permettre de demander ceci à Arthur. Mais je pris quand même soins de m'excuser.

« Désolé si c'était indiscret... Et si c’est indiscret mais... Tu veux en parler ? »

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹
« Ça va faire huit ans qu'il est ouvert ! Neuf ans que j'ai racheté l'endroit ! Je suis plus tôt fière aussi ! J'adore l'ambiance que j'ai réussis à créer. Et malgré le boulot que c’est, j'adore faire mes pâtisseries. Le contact avec les clients est chouette aussi ! Et puis parfois il y a des bonnes surprise comme aujourd'hui. » Arthur regardait la jeune femme parlait. Il devait se l'avouer elle avait beaucoup murit, et lui aussi avait murit et il pouvait affirmé qu'il ne la voyait plus comme il avait pu l'avoir du haut de ses 11 ans. Non, maintenant il pouvait affirmé qu'elle était vraiment pas mal comme femme, c'est fou ce que les idées peuvent changer entre un petit garçon de 11 et un homme de 21 ans, mais c'était bien normal. Et dire qu'il avait pu être amoureux d'elle, il en revenait pas qu'aujourd'hui il trouve face à lui son premier amour secret. Un sourire se dessina sur ses lèvre à cette pensée, s'étant totalement perdu dans son esprit. Il repris avec interet le fil de la conversation, ayant perdu la moitié de ce qu'elle avait dit. Il fit comme si de rien était et pris la parole après elle, comme si il avait toujours été avec elle depuis le début.

« OUi tu as raison, on peut faire de bonne surprise et à tout moment. Je suis vraiment content pour toi si tu as réussi dans ce que tu voulais. Par contre, je ne suis pas tellement sur d'être une bonne surprise, peut être qu'on aurait pu se revoir dans de meilleures circonstance. » Il lui lança un sourire faible, lui montrant ainsi que ce n'était pas le meilleur jour pour lui, mais elle avait redonné un peu de gaité dans son coeur, peut être qu'il devrait un jour lui remercier ? Et dire qu'il avait tant de chose à lui remercier en y réfléchissant. En tout cas, Arthur avait un tact du folie, donc il avait bien fait remarqué à la jeune femme que ce qu'elle lui avait servit n'était absolument pas quelque chose de fort. Quand son regard se posa à nouveau sur elle, après avoir accompagné son geste en regardant l'interieur de la tasse, il remarqua qu'il avait en quelque sorte touché la jeune femme. Avait il dit quelque chose de mal ? Il ne savait pas, mais il se sentit coupable d'avoir fait perdre le magnifique sourire qu'elle abordait juste avant. Et quand elle pris la parole il n'en perdit cette fois pas une miette.

« J'ai du whisky, comme tout bar qui se respecte ! Mais... Je suis désolée si c'est trop directe ou si je me mêle de ce qui ne me regarde pas, mais... Tu avais l'air ... Déprimé ? Du coup je me suis permise de te servir un chocolat à la place du whisky. » Et avant même qu'il puisse dire quoi que se soit, elle avait déjà renchérit. « Je me suis dit que... Ça te remonterais peut-être un peu le moral ? » Arthur ne pu s'empêcher de laisser un sourire charmeur se poser sur son visage. Elle avait un drole d'effet sur le blond qui se surprenait à oublié pourquoi il était si mal, enfin seulement un bref instant malheureusement. En effet, elle avait raison, il était déprimé mais il n'avait pas envie qu'on ai pitié de lui, ce n'était pas son interet de se plaindre de quoi que se soit. Tout était de sa faute après tout, et puis c'était mieux pour Zora, qu'elle fasse ce qu'elle veut. Après tout, les amours sa venaient et ça partaient et c'était dur certes, mais il allait s'en remettre, il lui fallait juste du temps. Il leva alors sa tasse dans sa direction et le porta à sa bouche pour y boire une gorgée, un petit sourire au lèvre avant. Qu'il lui fasse un peu d'honneur quand même.

« Je vois qu'encore aujourd'hui tu prends soin de moi, ça me touche Idiya. Et ton chocolat est très bon. » Après tout, elle l'avait toujours protégé, et encore aujourd'hui elle essayé de l'aider. Il aimait ça, même si tout ça lui paraissait quand même assez bizarre il devait l'avouer. Les choses avaient changées c'était certain pour lui du moins. Il fut presque hypnotisé par le regard vert d'eau de la jeune fille, mais le quitta rapidement conscient que l'on pouvait presque lire son mal être dans le sien. Il reporta son attention sur sa tasse, et souffla un peu, exaspéré par sa vie avant de continuer à boire, creusant un grand blanc dans la conversation.

« Désolé si c'était indiscret... Et si c’est indiscret mais... Tu veux en parler ? » Au début, Arthur était plutôt heureux, elle avait arrêté le vide qui s'était installé, mais sa gaieté pris une autre tournure quand elle lui demanda en sous entendu pourquoi il était ainsi. A y réfléchir, c'était d'une stupidité, mais Arthur était un peu un homme à l'eau de rose des fois. Il soupira alors avant de haussé un peu les épaules.

« Oh tu sais, rien de grave.. Juste un chagrin d'amour. Je pensais pas qu'un jour je me mettrais dans cet état pour ça, comme quoi tout peut arriver. » Après tout, encore deux semaine avant, il ne s'était pas rendu compte de ses sentiments pour Zora.. Et maintenant et bien il était trop tard.

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Arthur & Idiya

Ça me faisait plaisir de revoir Arthur. De parler. C’est fous comme en regardant en arrière tout avait changé. Jour après jour on avance, on ne remarque rien exceptionnel. Juste un jour en plus... Mais en regardant de plus près on se rend compte qu'une années est passée et puis encore une autre... Et là le changement devient visible. De la petite fille en quête d'amour de ses frère, rêvant de robes rose et de licornes blanches j’étais passé à une élève silencieuse, renfermée, studieuse, qui trouvait un exécutoire dans ses farces. Puis je m'étais ouverte. Et j’étais devenue l'intello de bon conseil qui veut aider son prochain. De cette fille j'étais devenue une adulte, donnant à un ancien rêve un semblant de réalité. Ma propre taverne où j'avais réussit à instaurer un sentiment de confort, de bonheur. Rare étaient les gens qui quittaient ma taverne plus triste qu'ils n'étaient arrivés. Et aujourd'hui j'étais devenue une femme... Quel genre de femme je n'en savait trop rien, mais femme tout de même.

J'écoutais Arthur commenter mon affirmation des bonnes surprises. Je le regardais avec un sourcil levé le questionnant du regard. Son petit sourire faible me fit l'effet d'un coup de poing au ventre. Je revis un instant mon frère porter le même sourire après que papa l'ait... Rien que d'exprimer se souvenir en pensée m'était désagréable. Arthur avait ce même sourire. Un sourire triste d'une personne ne voulant pas imposer ses problèmes. Je lui rendis un petit sourire moi aussi, posant un instant ma main sur la sienne, y exercent une douce pression.

« Tu es une bonne surprise ! Et je trouve les circonstances pas si mauvaise que ça. On est au chaud, bien confortablement installé et il y à du chocolat à volonté ! Ça pourrais être pire tu ne penses pas ?Imagine qu'on se soit revu le jour d'un enterrement ou qu'on ne se soit pas revu du tout ! »

J'essayais de lui montrer le bon côté des choses. Il est vrai qu'il ne semblait pas au mieux de sa forme, mais il pouvais y avoir tellement pire. Lorsqu'il me sourit après son petit speech sur le whisky, je sentis mon cour rater un battement. Il était joli quand il souriait. Séduisant même. Je répondis à son sourire par un petit sourire timide et baissais le regard un instant sur ma tasse, prenant une gorgée de ce breuvage chaud mais délicieusement sucré et chocolaté. Je relevais le regard lorsque lui aussi pris une gorgée et je pris le temps de le regarder un peu plus. Il avait les yeux cerné et le teint un peu pâle, mais sinon semblait en bonne forme. Sauf ses yeux. Il avait de beau yeux, mais qui semblaient tellement triste. Lorsqu'il posa sa tasse il avait un petit sourire qui me fit sourire. Mon chocolat avait donc réussit à un peut le réconforter ? Je rougis légèrement lorsqu'il prononça sa phrase suivante. Prenant ma tasse entre mes deux mains, je gardais les yeux sur elle, tout en parlant.

« Ça me fais plaisir de prendre soins de toi Arthur. Ça m'a toujours fais plaisir. »

Lorsque je me rendis compte de ce que je venais de dire, je me stoppait un instant. Mais qu'elle idiote je faisais ! Cette phrase pouvais être interprétée de bine des manières, j'espère juste qu'il ne pense pas que je lui fasse du rentre dedans ! J'étais heureuse d'avoir retrouvée Arthur et oui je le trouvais mignon, mais j'avais aussi remarqué qu'il ne semblait pas aller bien, et son bien-être était ma priorité. Pas de le draguer. Je relevais mon regard sur lui, un petit sourire nerveux sur le visage.

« Pardon je ne voulais pas ... Enfin si je voulais dire ça mais... Enfin... Ne pense pas que j'essaye de te draguer ou... Fin... Ahhhh je déteste m’emmêler les pinceaux quand je suis nerveuse ! Désolé ! »

Il faudra vraiment qu'un jour je prenne des cours pour contrôler mon débit de parole et ma cohérence de phrase quand je suis nerveuse ! Je fis un sourire désolé à Arthur, essayant de m'excuser plus clairement de cette manière. Un blanc s'installa entre nous ensuite, brisé par ma question. J’espérais ne pas avoir mi les pieds dans les plats. Lorsqu'il me parla des raisons de son mal être, je sentis un sentiment étrange prendre place en moins. Ce n'était pas de la pitié... plus un mélange de fierté, de compassion et le besoin de l'aider. Je voulais aider Arthur. Je voulais le voir sourire. Ce sentiment était comparable avec ce que j'éprouvais pour mon frère. Ce sentiment contant de vouloir l'aider, de vouloir le rendre heureux pour éloigner cette lueur sombre de ces yeux. Sauf qu'avec Arthur il y avait un petit quelque chose en plus que je n'arrivais pas à définir.

« Pour moi il n'y à rien de pire qu'un chagrin d'amour... Il n'y pas de remède concret ou général qui peut nous aider. Chacun doit trouver, et avoir la force de chercher, ce qui arrive à lui redonner le sourire et arrêter ce trous béant qu'on a à la place du cour... Ou encore ce froid et cette insensibilité qui se répand en nous... »

Au fils de mes mots, ma voix devenait plus basse et plus mélancolique. Un chagrin d'amour pouvais prendre diverse forme. Perdre un être proche de quelque manière se soit et qui qu'il soit est terrible. Je me souviens avoir été dévastée après la mort de maman. Terriblement dévastée. Je ne voulais pas quitter son corps, je n'avais plus la force de rien... Tout ce que je voulais c’est retrouver ses bras, son sourire, sa voix... Sa présence. Je me souvient avoir passé deux semaines enfermée dans ma chambre à rester allonger dans mon lit. C’est toujours ça le risque lorsqu'on s’attache à quelqu'un, devoir peut être un jour faire face à sa perte. Je serrais ma tasse plus fort entre mes mains, gardant mon regard baissé, avant de reprendre un peu de contenance. Le souvenir était douloureux et le restera toujours. Mais j'avais appris à vivre avec, à remonter la pente. Je relevais mon regard sur Arthur, lui faisais un sourire réconfortant, avant de prendre une gorgée de mon chocolat. Chocolat qui venait de me donner une idée.

« Tu as déjà fais des pâtisseries dans la vie ? »

Je scrutais le jeune home face à moi, un air concentré sur le visage. Un rapide coup d’œil à ma montre et dans la salle me confirmèrent que mes plans pourraient être mis en exécution. Mon sourire qui avait été petit s'élargit un peut plus au fils des secondes. Reposant mon regard sur Arthur je le regardait, une lueur joyeuse dans mon regard.

« Attends moi là, je reviens ! »

Je me levais alors, et sortir rapidement de ma taverne, tournant l’écriteau « ouvert » pour qu'il affiche « fermé ». Lorsque je revins à l'intérieur, je vis l'un de mes deux dernier clients, en dehors d'Arthur se lever pour payer. J'empochais mon salaire vite fait et souhaitait une bonne journée avant d'aller voir mon dernier client qui avait fini depuis longtemps sa commande et qui était plongé dans son journal. Tout en débarrassant je lui demandais s'il voulait encore quelque chose. Je fus déçue lorsqu'il demanda encore un café, mais un rapide coup d’œil à l’horloge dans la pièce fit changé d'avis à mon client qui semblait avoir un rendez vous urgent et qui n'avait pas vu l'heure passer. Débarrassant sa table d'un coup de baguette j'empochais encore une fois mon du et une fois que le client dut parti je m'empressais de fermer la porte de ma taverne à clef. Une fois de retour dans la salle je m'approchais d'Arthur, un grand sourire aux lèvres, ma bonne humeur ayant repris le dessus.

"J'ai décidé de préparer une surprise pour les enfants de l'orphelinat, vu que c’est bientôt les fêtes. J'avais dans l'idée de leur préparer quelques chouquettes au chocolat, au sucre et au raison...Ça te dirais de m'aider? Vois ça comme une sorte de divertissement?"

Je regardais Arthur, attendant sa réponse. Personnellement la pâtisserie m'aidait lorsque j'avais besoin de changement d'idée. De penser à autre chose. Et puis faire de la pâtisserie ensemble pourrais s'avérer drôle. Même si l'idée théoriquement exprimée semblait un peut enfantine... Mais la bataille de farine à fait ses preuves psychologique, ainsi que les fous-rires, sur le moral humain!

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹

« Tu es une bonne surprise ! Et je trouve les circonstances pas si mauvaise que ça. On est au chaud, bien confortablement installé et il y à du chocolat à volonté ! Ça pourrais être pire tu ne penses pas ?Imagine qu'on se soit revu le jour d'un enterrement ou qu'on ne se soit pas revu du tout ! » Le jour d'un enterrement ? Arthur ne voulais pas penser à ce genre de chose. Il n'avait pas envie de vivre une mort en ce moment, et puis si vraiment il venait à aller à un enterrement alors qu'il avait peur des cimetière c'est que se serait quelqu'un de vraiment très important pour lui, autant dire qu'il n'avait pas envie que ça arrive. D'un côté, qui voudrait voir un proche mourir ou du moins le savoir mort ? Pas vous ? Bah lui non plus. Il hocha un peu la tête à la jeune femme, dans ses circonstance, en effet il y avait pire que ce qu'il vivait, mais il n'en avait jamais douté, voilà pourquoi il n'avait pas vraiment chercher à en parler à qui que se soit. Mais il aimait l'enthousiasme que la jeune femme faisait preuve, il appréciait cela, cela lui donnait envie de relativiser les choses, même si ce n'était absolument pas facile.

« Tu as raison, se retrouver est déjà une bonne chose, après tout cela fait toujours plaisir du retrouver une vieille connaissance. enfin vieille je veux dire par la que je connais depuis que j'étais tout jeune hein ? Ne vient pas à croire que je te trouve vieille , au contraire.. » Il avait cette manie de s'enfoncer là où il n'avait absolument pas besoin de le faire. Mais soit, il faisait avec c'était déjà une bonne chose qu'il reste compréhensible non , au moins pour lui. Il espérait seulement que la jeune femme ne voit pas sa maladresse comme une insulte, parce que c'est pas vraiment ce qu'il avait eu en tête. Enfin bref, il essaya tant bien que mal de rattraper son erreur en faisant la reflexion qu'il n'avait pas commandé cela mais ça n'a pas eu l'effet escompté. Fort heureusement, Idiya fit elle aussi une gaffe, du moins ça l'avait l'air pour elle à sa façon d'essayé de ce rattrapé qu'il trouva très mignon en soit, ce qui le fit un peu sourire. Oh non il ne se moquait pas d'elle bien au contraire. Il attrapa sa main pour lui faire comprendre qu'il ne la tenait pas rigueur de ses mots. ça le touchait qu'une personne prenne soin de lui.

« Ne t'inquiète pas, j'ai compris. Et je te remercie pour ce que tu essaye de faire pour moi, j'avoue ne pas être en pleine forme en ce moment et avoir quelqu'un qui essaye de prendre soin de moi, autre que ma soeur, c'est un réel soulagement. J'en avais besoin. » Sa sincérité était bien là, oui se sentir soudainement protégé lui faisait du bien, il savait ce qu'il était capable de faire quand il allait mal, bon il ne serait pas du genre à essayer de se suicider, oh non loin de là, mais de se renfermer sur lui même si, et le fait qu'Idiya soit là, l'en empêchait et encore une fois il lui devait beaucoup comme quand ils étaient plus jeune et qu'elle l'avait aidé à s'intégrer.

La conversation tourna un peu plus sur le pourquoi il était comme ça, Arthur ne lui avait pas dit réellement ce qui le rendait comme ça. Un chagrin d'amour ? Oui mais encore, il n'avait pas tout raconté, et aux parole d'Idiya il compris que ce n'était pas tellement la peine, elle avait déjà son idée sur ça, quoi qu'il puisse être c'était une épreuve à passer . Oui d'accord, mais si ceci était parce que vous même vous aviez fait une erreur ? Etait ce la même chose ? Le blond ne savait pas et avant qu'il puisse lui poser la question la jeune femme lui demanda si il avait déjà fait de la patisserie. Il écarquilla les yeux, se demandant comment elle faisait pour passer d'un sujet si douloureux à une question aussi simple ? Lui même n'y arrivait pas. Il sourit un peu tout de même pour lui répondre.

« Et bien oui j'en ai déjà fait, faut dire que ma soeur en fait beaucoup et il lui arrive des fois de me demander de l'aide pourquoi ? » Et avant même d'avoir une réponse, Arthur la vit se lever et lui demander d'attendre ici. En réalité, où aurait il pu aller ? S'en aller ? Mais pourquoi? Il n'aurait rien eu d'autre à faire que se morfondre dans un coin à ruminer toute les mauvaise passe qu'il avait eu ce mois ci. Il hocha alors la tête positivement et se posa contre le fauteuil de son siège la regardant partir avant de reprendre sa boisson regrettant tout de même un bon wisky. Idiya ne mit pas longtemps à revenir et il fut surpris de son annonce. Elle voulais le divertir ? Et bien pourquoi pas, il n'avait rien d'autre à faire et puis si ça pouvait lui faire passer le temps. Il se leva alors de son siège posant la tasse sur la table et retira doucement sa veste et son pull, restant en teeshirt pour être plus confortable afin que rien ne le gene pour bouger.

« Et bien allons y, cela me fera plaisir de faire ça pour ses enfants. » Et c'était vrai, Arthur était d'une bonté incarnée, faire du mal il ne pouvait pas et faire plaisir était un peu sa philosophie. Il suivit alors la jeune femme dans ses cuisines, que le bon temps commence.

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Arthur & Idiya

J’éclatais de rire face au commentaire d'Arthur. Il était mignon lorsqu'il perdait le fil de ses explications. Je lui répondis, toujours en rigolant.

"Ne T'inquiètes pas, j'ai compris où tu voulais en venir."

Notre échange était agréable et détendu. Enfin détendu... Jusqu'au moment où je fis une gaffe. Je ne sais pas à quoi je m'attendais de lui, mais j'étais agréablement surprise de le voir me sourire et prendre ma main. Il avait la peau douce et chaude. C'était agréable. Je chassais vite cette pensée de mon esprit et me détendis un peu. Lorsqu'il me parla je me sentis rougir et agréablement bien. J'aimais aider les gens autour de moi et j'aimais l'effet que j'avais sur Arthur et le plaisir que j'arrivais à lui procurer. Je lui fit un sourire timide:

"Ça me fait plaisir Arthur! Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas!"

J'avoue qu'ensuite je m'enfermais un peut dans mon monde. Un instant je m'étais demandé comment aider Arthur, mais je pense bien que moi-même j'avais une cicatrice encore ouverte, cachée à mes yeux. cette prise de conscience me fit buter. J'avais peur de flancher je pense... Et pourtant je voulais aider Arthur. Du coup je lui proposais les pâtisserie. J'étais heureuse qu'il en ait déjà fait. Même si ça ne me dérangerais pas de lui montrer. Mais s'il en avait déjà fait, c’est qu'il devait apprécier non? Une fois ma taverne fermée, je retournais près d’Arthur. je fut enchantée de voir qu'il adhérait à mon idée... Et troublé qu'il enlève son pull en plus de sa veste. D'un autre côté je le comprenais. Faire de la pâtisserie en étant gêné par ses vêtements était nettement moins drôle. Je lui souris grandement et l’entraînait avec moi à la cuisine, tout en parlant.

"Merci beaucoup! Ça me fait plaisir!"

Je poussais alors cette porte type "saloon" pour entrer dans ma cuisine. Mon petit espace personnel. C'était troublant de voir Arthur ici. Je me tournais vers lui, écartant mes bras.

"Bienvenue dans mon antre!"

Les portes donnaient en fait sur le centre de la pièce, un grand îlot de travail. Le côté droit était aménagé de sorte à préparer tout ce qui était chaud. Le grand four pour mes pâtisseries, la plaque de cuisson au gaz, le four plus petit pour mes plats, une armoire de rangement pour les palettes de pâtisseries, une armoire à épices ainsi qu'un comptoir de travail. Le côté gauche de la pièce avait été aménagé pour préparer tout ce qui était froid et d'ordre du rangement. Un grand comptoir, beaucoup d'armoires contenant la vaisselle, les verres, les casseroles, le salade bar. Face à la double porte se situaient trois frigos, ainsi qu'un grande armoire contenant toute les matières premières comme la farine, le sucre, le sel, les pépites de chocolat etc. Je m'emparais de deux tabliers qui pendaient aux murs, pour en tendre un à Arthur, en souriant.

"Tiens au cas ou! Même si je fais ça tous les jours, je réussit encore à faire un désordre sans nom!"

Je sortit un saladier du frigo, qui contenait déjà de la pâte, et le plaçais sur l’îlot central avant de prendre le reste des ingrédients dans l'armoire et de les disposer sur l’îlot, tout en parlant à Arthur.

"Alors, j'ai déjà préparer une portion de pâte pour une vingtaine de chouquettes, il suffit juste de rajouter le sucre, les raisins ou les chocolats, ça c’est au choix. Je vais sortir les autres ingrédient pour faire encore de la pâte. ils sont environs une cinquantaine et j'ai décider d'offrir deux chouquettes par enfant. Si tu veux je finirais la première pâte à chouquette et tu commences déjà la suivante?"

Je pris ma recette, plastifiée histoire que sa durée de vie soit plus longue que deux semaines. Je la tendis à Arthur.

"Ça ira? Si tu veux faire autre chose tu le dis hein! Je ne t'oblige à rien!"

Mon on était devenu timide et hésitant. je n'aimais pas m'imposer. Ou du moins avoir l'impression de le faire. Je regardais Arthur d'un regard anxieux. Ahhhh j'aimais pas me sentir aussi... Perdue face à lui. J'avais peur de mètre les pieds dans les plats, de le faire fuir en quelque sorte, alors que sa présence m'était si agréable.

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Idiya & Arthur ⊹
"Ça me fait plaisir Arthur! Si jamais tu as besoin de quoi que ce soit n'hésites pas!" Un fin sourire se lu sur le visage du blond. Ne pas hésité, là était une chose très difficile pour arthur qui n'avait pas l'habitude de demander de l'aide. Généralement c'était lui qui la donnait et pas le contraire. Mais il hocha la tête en signe d'acceptation, pourquoi ne pas demander un peu d'aide finalement et puis si ça lui permettait de la revoir c'était vraiment tout bénéfique pour lui, comme à l'ancien temps.

Un fois qu'elle fut partit, il se releva donc se préparant à la suivre et avant même qu'il ai pu dire un mot elle l'emmena dans la petite cuisine un peu plus loin. L'endroit était petit mais un peu coquer, on pouvait voir que la jeune fille était quelqu'un d'attentionné, une chose qu'appréciait beaucoup le blond qui aimait l'ordre. Oui même si il était un homme et que beaucoup de rumeur disait que les hommes mettait tout en dessus de sous, Arthur aimait le rangement, c'est bien pour ça que tous les jours il faisait son petit ménage dans l'appartement, bien qu'en ce moment il devait avouer qu'il se laissait aller, cela lui faisait penser qu'en rentrant il savait ce qu'il lui resterait à faire. Même si il avait fait du rangement le matin, la maison n'était pas niquel, et puis le blond avait besoin d'un peu de changement, quitte à refaire la maison entière.

"Tiens au cas ou! Même si je fais ça tous les jours, je réussit encore à faire un désordre sans nom!" Arthur dans ses pensées regarda soudainement le tablier en levant un sourcil. Heureusement elle ne lui avait pas tendu un tablier avec des fleurs mais il avait du mal à s'imaginer avec cela autour de la taille. Il se demandait si il devait vraiment jusqu'à ce qu'elle lui dire qu'elle arrivait encore à mettre un désordre sans nom. Peut être que c'était mieux en effet, et puis ça lui donnerait une occasion de jouer. Il éclata de rire en imaginant Idiya avec plein de farine sur elle à cause de lui mais il se disait que se serait encore mieux si il le voyait en vrai. Il avait décidé de le réservé par la suite, au moins il ne penserait plus à Zora le temps d'un instant, après tout ce n'était pas spécialement polie de le faire en compagnie d'une charmante femme, qui plus ai une personne qu'il avait toujours respécté. Il enfila alors son tablier se sentant vraiment ridicule et fit un grand sourire à la brune.

" Je suis parfait dedans je trouve, je vais surement en faire ma nouvelle mode. " Il fallait avouer que le tablier aller mieux à son amie, mais il préférait se venter lui après tout c'était pas tous les jours qu'il le faisait. Il la regarda aller vers le frigo et prendre tous ce dont elle avait besoin en lui parlant de ce qu'elle devait, et lui aussi en l'occurence faire pour les enfants. Elle lui dit aussi qu'elle devait faire une autre pates. Le blond voulait s'atteler à cette confection et sans même répondre à cette question tout nà fait absurde vu qu'il avait enfiler le tablier pour une raison il pris la recette et lui fit un clin d'oeil avant de s'approcher d'un des plan de travail. Arthur était quelqu'un de précis et très attentionnée, c'est pourquoi chaque fois qu'on lui disait de faire quelque chose il restait très concentré sur son travail. Préparant alors la pâte, mais son idée était toujours présente en tête, restait plus qu'à le faire au bon moment, après tout c'était lui qui avait la farine contrairement à Idiya qui ne l'avait pas.

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Arthur & Idiya

J'éclatais de rire suite à la remarque d’Arthur. Il est vrai que mes tabliers n'étaient pas très masculin. Mais ils étaient simplement blanc et déjà un peu trop large pour moi, ce qui était un tout petit peu trop petit pour lui. Je hochais la tête de haut en bas en riant toujours.

« Je suis sure que ça ferra un carton! J'espère que tu penseras à moi quand tu ferras tes défilés de mode à Paris ! »

J'aimais bien l'humour d’Arthur. Ça détendait de pouvoir blaguer spontanément avec quelqu'un. Et j'avais l'impression de l'aider en lui donnant le sourire. Ça me faisait encore plus plaisir. Arthur me fit un clin d’œil et je lui souri grandement avant de me tourner vers la pâte déjà prête. Je m'emparais du grand sac de pépites de chocolat de 5 kilos, me disant qu'on pouvait bien commencer par le meilleur, histoire que si jamais je ne résiste pas à grignoter on puisse en refaire à temps. Je remplis un mesureur de pépites jusqu'à atteindre la petite barre '1l' avant de m’arrêter. Je pris la pâte ainsi qu'une cuillère en bois et commençais doucement à mélanger le tout. Lorsque les pépites furent incorporése je m'emparais d'une grande plaque de cuisson, la recouvrit de papier cuisson et d'un fond de farine. Avant de commencer le travail le plus collant, je pris une poignée de pépites, les laissant sur le plan de travail entre Arthur et moi, lui servant un grand sourire et lui faisant signe de se servir.

« Ce que j'adore le plus c'est de grignoter en préparant, encore plus lorsqu'il s’agit de chocolat ! Tu as un faible pour quoi toi ? »

Je mangeais deux pépites avant de commencer à former des boules avec la pâte tout en souriant. C'était agréable de faire des pâtisserie avec de l'aide ! Encore plus agréable lorsque je m'imaginait la tête des enfants en voyant ce que je leur ai fait. Mes mains furent bientôt collantes de pâte, mais ça ne m’empêchais pas de continuer a former mes petites chouquettes au chocolat. Je reposais un instant mon regard sur Arthur, lui souriant gentiment, hésitant à lui poser la question qui me brûlais les lèvres. Je me retins, pensant à sa bonne humeur de tantôt, ne voulant pas la gâcher, pour finalement simplement demander :

« Tu vois quoi dans tes cours de police magique au fait ? »

La question qui en couvrait une autre, m’intéressait vraiment. Je n'étais pas une personne qui pouvait encore supporter des années sur les bancs de l'unif, mais certaines matières devaient être passionnantes !

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Idiya & Arthur ⊹
« Je suis sure que ça ferra un carton! J'espère que tu penseras à moi quand tu ferras tes défilés de mode à Paris ! » Content de voir que sa réflexion avait l'effet escompté, le jeune homme partit dans un fou rire lui aussi regardant la jeune femme morte de rire face à lui. A croire que celle ci avait le rire contagieux. En tout cas, il se mit à tourner sur lui même et prendre des petites pause juste pour illustré les dire de celle ci, lui sur un podium si ce n'était pas pour du sport on l'y verrait jamais mais il pouvait en rire aujourd'hui. Il lui fit alors un clin d'oeil en s'approchant d'elle avant de lui dire après s'être un peu calmer.

« Mais bien sûr Idiya, je te citerais parmi les personnes qui m'auront inspirée pour ma nouvelle marque de vêtement voyons. » Il repris un petit rire avant d'arrêter de faire des anneries et de retourner vers son plan de travail face à Idiya pour commencer sa pate comme il était inscrit sur la feuille. Très concentré dans ce qu'il était en train de faire, il eu un petit sursaut quand il vit les pépites de chocolats sur le plan de travail. Il releva alors la tête vers son amie qui lui faisait déjà signe de se servir tout en prenant la parole stoppant ce silence qui s'était mis entre eux du à leur concentration respectives.

« Ce que j'adore le plus c'est de grignoter en préparant, encore plus lorsqu'il s’agit de chocolat ! Tu as un faible pour quoi toi ? » Ce n'était pas la peine de lui dire ça deux fois, à la réponse de son ami il se servit un peu, finissant par la même occasion sa pates qui était exactement comme le disait le papier. Heureusement Arthur était us que bon en potion donc les dosages et les mélanges il s'y connaissait très bien. Il posa délicatement le plat où se trouvait la pate entre les deux patissier en répondant à son interlocutrice. « Et bien j'ai un grand faible pour tous ce qui est sucré, le sucre est très important pour un sportif comme moi, mais j'avoue que j'ai un grand faible pour ce qui est à base de cannelle. » Et pomme cannelle était surement ce qu'il préférait le plus, il suffisait de lui faire une tare pomme cannelle et le jeune homme était complètement au anges.

Il regardant autour de lui, cherchant un truc pour se rendre utile après son travail. Il allait demander à la jeune fille ce qu'il pouvait faire pour l'aider quand celle ci le devança en lui posant une question. « Tu vois quoi dans tes cours de police magique au fait ? » Celle ci s'interessait apparemment à ses cours et le jeune homme en était surpris. En fait, il était rare qu'on lui parle de ses cours depuis trois ans, faut dire que son entourage avait pris l'habitude de ses cours donc ne lui demandait plus vraiment en quoi consistait son cursus. Il se posa contre le rebord d'un meuble derrière lui et pris alors la parole dans l'intention de lui répondre.

« Et bien, je ne sait pas si tu te rappel, mais j'ai toujours eu une passion incontrôlable pour les potions ? J'étais même le meilleur dans ce domaine ? Et bien dans ce cursus j'ai eu la chance d'avoir potion avancé où j'arrive à m'épanouir. Après j'ai aussi sortilège avancé, de la défense contre les force du mal. J'ai du relationnel avec la communauté sorcière et moldu, ce qui m'aide beaucoup à connaitre le monde moldu. Après j'ai bien sur du droit pénal, civil et sur les décrets, un cours sur les technique d'interrogatoire, ce qui est très intéressant, de la médiation et je travail l'occlumencie. Et bien sûr comme tout bon sportif que je suis, j'ai le droit à apprendre l'art du combat.» Il fit un grand sourire, mine de rien il aimait beaucoup son cursus et était fière de l'avoir trouvé.

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Arthur & Idiya

Je rigolais avec Arthur, devant ses poses comiques qu'ils prenait. Je pris un ton faussement hautain avant de me tourner vers ma pâte.

« C’est la moindre des choses voyons ! »

Je partageais mes pépites avec Arthur, l'écoutant parler de ses pêcher mignon. Je stoppais tout mouvement avant de poser mon regard sur lui, un air jovial sur le visage.

« Pomme cannelle ? J'ai encore une tarte entière si tu veux ! Ce qui est super bon avec ça, c'ets quand tu la réchauffe un peut avec une boule de glace ou alors avec du sucre caramélisé liquide par dessus ! Si tu veux on peut la manger tantôt ? »

Nous retournions ensuite à notre travail respectif. Une fois ma plaque finie je pris son plat de pâtes, prenant un paquet de raisin cette fois ci et commençais à les rajouter à la pâte tout en écoutant Arthur. Je souriais lorsqu'il parla de son cour de potion et lui répondis en rigolant :

« Combien de soirée je n'ai pas passé avec toi à étudier les potions et à en parler ! Je n'aurais pas toléré que tu n'excelle pas ! Ça semble super intéressant ! Surtout les techniques d’interrogatoire ! Tu apprends aussi le profilage des personne ou rien n'avoir ? En tout cas je t'admire de tenir bon et de continuer ! »

je fis un grand sourire à Arthur. Oui je l'admirais. Il faisais preuve d'une grande ténacité ! Ténacité qu'il avait déjà à l'époque quand je l'ai connu. Je me souviens qu'il s'était directement intéressé aux potions, ce qui n'était pas plus mal, étant donné que j'adorais cette matière aussi. Nous avions souvent parlé de ça.

« Tu pourrais encore faire un plat de pâte s'il te plaît ? Pour les chouquettes au sucre ! »

Je regardait Arthur en souriant, le trouvant mignon lorsqu'il était concentré. Je mélangeais alors la pâte avec les raisins avant de refaire des petites boules que je disposais sur une autre plaque de cuisson avec un peu de farine. Je pris alors 5 œufs, je séparait le blanc et le jaune d’œufs dans deux bol, avant de prendre un pinceau et de recouvrir les petites chouquettes de jaune d’œufs. J'allais me laver les mains avant d'allumer le four, le laissant chauffer, tout en enfournant les premières plaques avant de déjà préparer le récipient avec les morceaux de sucre. Un coup d’œil à la montre m'indiqua qu'on avait bien avancé. Je décidais de déjà sortir la tarte pomme-cannelle du frigo, la mettant à réchauffer doucement dans le plus petit four. J'avais hâte de déguster cette tarte avec lui tantôt. J'avais apprécié ce temps passé avec Arthur. Aussi étrange que ça puisse paraître, je ne voulais pas que ça se termine de si vite. Je m'approchais doucement de lui lorsqu'il eut finit pour passer ma main, propre, dans ses cheveux, rigolant doucement.

"Tu as de la farine pleins les cheveux!"

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Idiya & Arthur ⊹
Quand il lui annonça aimer la pomme cannell, il la vit soudain s'arrêter et le regarder avec un petit sourire. Sur le moment il se demandait ce qu'il avait dit ou fait de mal, mais quand il vit son air jovial sur le visage il souffla un peu, s'attendant à ce qu'elle prenne la parole, il ne dit rien attendant donc, ce qu'elle fit plutôt rapidement. « Pomme cannelle ? J'ai encore une tarte entière si tu veux ! Ce qui est super bon avec ça, c'ets quand tu la réchauffe un peut avec une boule de glace ou alors avec du sucre caramélisé liquide par dessus ! Si tu veux on peut la manger tantôt ? » Savoir que la jeune femme lui restait de la tarte à ce gout était un véritable supplice pour le blond. Après tout, il ne fallait pas lui demander deux fois pour manger ce genre de chose, il serait capable même après un reveillon chez ses grand parents d'en manger une entière seulement par gourmandise. ça lui rappelait ce que sa mère lui faisait chaque fois qu'il allait la voir, et un sourire s'afficha sur son visage. Il fronça néanmoins les sourcil quand elle lui proposa avec de la glace, et sa première réaction fut de regarder le temps par la fenêtre à ce moment là. C'était plus qu'une très mauvaise idée de manger de la glace par ce temps, surtout pour lui qui tombait quand même bien facilement malade, mais l'histoire du caramel lui plaisait bien. Il hocha alors un peu la tête et répondit à la question de la jeune femme avec la même jovialité.

« Et bien, si c'est proposé si gentiment pourquoi pas, mais sans la glace, je pense qu'il fait un peu trop froid pour le moment. » Il lui montra le dehors en même temps qu'il parlait.

« Combien de soirée je n'ai pas passé avec toi à étudier les potions et à en parler ! Je n'aurais pas toléré que tu n'excelle pas ! Ça semble super intéressant ! Surtout les techniques d’interrogatoire ! Tu apprends aussi le profilage des personne ou rien n'avoir ? En tout cas je t'admire de tenir bon et de continuer ! » Il eu un rire au début de sa phrase. l est vrai qu'il l'avait bassiné avec cette matière, mais c'était celle en laquelle il se débrouillait le mieux, sincèrement si il n'avait pas eu cela à Poudlard, il y serait certainement encore aujourd'hui. Il repris un peu son calme après ce petit rire et haussa un peu les épaules. Non il ne faisait pas de profilage, du moins pas encore il n'était qu'à un petit grade, peut être que si il perçait par la suite il s'en sortirais mieux. Il pris alors la parole pour continuer de parler sur son parcours.

« Non nous n'apprenons pas encore les techniques de profilage, mais ça viendra plus tard. Et pour ton admiration, je te remercie mais tu sais c'est juste que je refusais d'avoir autant travaillé sans que ça portes ses fruits, me dire que j'ai galéré et que je galère encore à rester à la moyenne pour rien, serait un peu une honte pour moi, alors je veux voir jusqu’où je peux aller. Mais je ne sais pas encore si ça vaut la peine que l'année prochaine je continue mes études, je sais déjà tout ce que je dois savoir, et si je le fait, peut être que je m'investirais dans un double cursus pour approfondir mes connaissances. » Arthur avait de l'ambition, et surtout en ce moment où celui ci avait besoin de se prouver qu'il pouvait y arriver , du moins arriver à quelque chose vu qu'en amour il était nul et encore le mot était faible. Il se mit soudainement à repenser à cela et son regard se voilà, avant qu'il secoue la tête. Non il ne devait pas penser à elle, du moins pas maintenant.

« Tu pourrais encore faire un plat de pâte s'il te plaît ? Pour les chouquettes au sucre ! » Il sortit légèrement de ses pensée à la voix d'Idiya, et sans se faire prier il hocha un peu la tête pour lui montrer que bien sûr avant de reprendre son travail. Recommençant ce qu'il avait fait plutôt. Bien sûr la patisserie rendait sale, malgré si tu faisait attention ou pas, donc quand il eu finit, il était aussi blanc que le papier à coté de lui. Il la vit s'approcher et eu un frisson quand elle passa sa main dans ses cheveu, il n'avait pas l'habitude des contact de ce genre mais il devait avouer que c'était agréable. "Tu as de la farine pleins les cheveux!" Cette phrase eu un déclic dans la tête du blond, et avant même qu'il ai eu le temps de dire quoi que se soit, un sourire en coin se lut sur son visage et sans qu'elle ne le voit, il attrapa une bonne poignet de farine qu'il lança sur la jeune femme, avant de rire un peu prenant cette fois ci la parole.

« Au moins je ne suis pas le seul plein de farine maintenant. » Il lui tira la langue avant de se mettre à rire, le début des hostilités était lancé.

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Arthur & Idiya

Je souriais à Arthur. L'idée de manger un part de tarte pomme cannelle chaude avec du caramel était une excellente idée. J'en avait déjà faim. Et puis c’est vrai qu'il faisait un peu froid pour de la glace, mais bon certains aiment trop la glace pour y renoncer durant l'hiver. Certaines personnes adorent aussi faire couler du chocolat chaud par dessus la glace et manger cette bombe de colories devant un bon feux, avec un bon livre. Yep maintenant j'en avait définitivement envie ! La majorité des gens pensent qu'on se dégoûte peu à peu si on cuisine tous les jour la même chose. Suffit simplement de consommer avec modération. Je l'écoutais parler de son cursus. C’est vrai que faire tout un chemin pour rien en gros c’est décevant. Si je n'avais pas eus es moyens financiers après ma sortie à Poudlard et déjà une bonne expérience venant des trois balais, je pense que j'aurais aussi continué des études même mineur, pour pouvoir me trouver quelque chose. Mais je ne regrettais pas ma décision. Ouvrir cette taverne était une excellente idée ! J’espère qu'il pourra trouver sa voie. Mais il avait encore un peu de temps devant lui. Je regardais Arthur.

« Et tu as déjà une idée sur la débouchée souhaitée ? J'imagine que des études de polices magique ouvrent pas mal de portes non ? »

Nous continuions alors la pâtisserie. J'avais hâte de voir les enfants et de leur faire plaisir. Être orphelin était une charge lourde à porter, surtout au fêtes. J'étais heureuse de pouvoir leurs donner un peu de bonheur et de leur faire plaisir. Et puis c'était aussi un peu ça le but de Noël, non ? Offrir. L'étrange chose dans mon cas c’est que j'adore offrir des cadeaux, rien que pour la réaction des gens. J'adore voir leur impatiente, leur questionnement et puis leur regard s'illuminer lorsqu'ils voient leurs cadeaux. C’est pour ça que je choisissais chaque cadeau avec le plus grand soin. Je cherchait toujours quelque chose qui ferrait plaisir à tout les coups et qui convient à la personne. Je rigolais doucement lorsque je vis l'état d'Arthur. J'avais déjà eu l'aire pire que lui, mais moi j'étais aussi un phénomène. Au bout de bientôt 9 ans de pâtisseries j'arrive encore à en mettre partout ! J'avais passé ma main dans ses cheveux sans vraiment m'en rendre compte et sans réfléchir. Durant une seconde je réalisais ce que je faisais et surtout je réalisais que je trouvais ça agréable. Avant que je n'ai pu approfondir mes pensées ou même dire quoi que ce soit je me retrouvais avec de la farine dans les cheveux et sur le visage. Je restais un moment interdite, le fixant dans les yeux. Il était mignon quand il souriait, puis doucement la portée de son geste fit son chemin jusqu'à mon cerveau. Oh oui il n'étais pas le seul plein de farine. Mais il ne savait pas ce qu'il avait commencé !

Je lui fit également un grand sourire, un petit peu sadique peut-être. Être la seule fille avec deux frères ça forge le caractère et vous apprend comment gagner toute sortes de batailles. Notamment des batailles de nourritures. Je me reculais doucement de lui, toujours avec ce regard sadique avant de rapidement m'emparer de la cuillère pleine de pâte qui traînait pas la et après un coup sec en sa direction monsieur se retrouva avec de la pâte sur le visage. Je défiais Arthur du regard, attendant son prochain coup, un grand sourire sur le visage.

« J'ai grandi avec deux frères, tu n'as aucune chance de me battre à ce jeux mon cher ! »

Je me tenais aux aguets. Les hostilités avaient commencées. Mes options : un plats de pâte gluante, des grains de sucre, de raison ou du chocolat... Quoi que le chocolat est trop pour l'utiliser comme munition. J'avais aussi ce bol de j'aune d’œufs qui traînait et de la crème fraîche. Oh les options n'étaient pas si mal que ça !

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹
« Et tu as déjà une idée sur la débouchée souhaitée ? J'imagine que des études de polices magique ouvrent pas mal de portes non ? » Une débouchée, il en avait une surtout. Faire des études dans la police magique menait à coup sur à travailler dans la police magique et c'était un avenir tout à fait possible dans les idée d'Arthur. Après tout dans un métier comme ça il aurait l'adrénaline qu'il avait besoin par jour, mais en plus il pourrait mener une vie de famille. Il ne comptait pas faire un métier où il passerait plus de temps à s'absenter qu'autre chose. Il avait vu ce que ça donnait avec son père, et même si son père aimait sa famille au point de tout faire pour eux, il avait quand même pas mal manquait dans l'éducation de ses enfants, il ne voulait pas cela. Il haussa un peu les épaules.

« Et bien je pense que plus tard je veux travailler au ministère de la magie, je pense que c'est un travail très bien. Surement dans la police magique pourquoi pas ? Je pense que c'est un très bon métier, et tout à fait compatible avec une vie de famille. » Il lui sourit. Arthur n'avait jamais vraiment parlé de son désir d'un jour avoir une famille, faut dire qu'on ne lui en avait jamais donné l'occasion, mais en effet il désirait avoir une femme et pourquoi pas un enfant. Bon bien sûr ce n'était pas dans ses projets de futur proche, mais dans le futur il en voulait et pour ça il devait déjà y penser. Parce que sincèrement, avec le niveau sportif qu'il avait, il aurait très bien pu devenir un sportif professionel, mais il n'aurait pas eu la famille qu'il désirait.

En parlant d'enfant, le coté enfantin d'arthur était ressortit au moment où la jeune fille lui avait annoncé qu'il avait de la farine de partout, si bien que celui ci lui balança autant de farine que lui en avait. Soudain il vit le regard et sourire sadique de la jeune fille, il avait déjà vu ça quelque part, c'était sa soeur quand elle avait une mauvaise idée en tête, il voulu se reculer mais ce fut trop tard. Il se retrouva rapidement avec de la pate sur la figure. « J'ai grandi avec deux frères, tu n'as aucune chance de me battre à ce jeux mon cher ! »

Son regard se voilà, se faisant un peu plus noir mais gardant son éternel gentillesse sur le visage, après tout il ne lui voulait aucun mal à la jeune fille. Il lui fit un petit sourire en coin et la regarda droit dans les yeux. ah oui elle avait été entrainait à ça ? Mais lui aussi et il allait lui faire regretter. c'est ainsi qu'en peu de temps il attrapa la jeune fille dans ses bras la bloquant ainsi et la souleva sur son épaule. ça aidait d'être sportif. Il commença à s'approcher du plan de travail dans l'idée d'asperger la jeune femme de tout ce qu'il pouvait trouver, il savait qu'elle se débattrais mais c'est ce qui allait rendre les choses plus amusante.

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Arthur & Idiya

J'écoutais Arthur parler et relevais la tête lorsqu'il parla de vouloir avoir un boulot compatible avec des enfants. C'était mignon, adorable et très mature. Du moins de mon point de vue. C'était si rare je trouve, des hommes qui préfèrent la vie de famille à une carrière glorieuse. Surtout que la police magique lui permettrais pleins de débouchée exotiques et aventureuse... Je fis un sourire à Arthur.

« C’est rare de voir un homme qui préfère sa vie familiale avant un travail bien rémunéré et aventureux ! Je t'admire pour ça. Et je suis sur que tu vas y arriver, pour ce qui est des études et de la famille ! Tu es quelqu'un d’impressionnant et de déterminé ! Même lorsque tu avais 11 ans ! »

Je me permis alors de l'observer un instant plus en détail. Pas que je ne jetais pas des petits coups d’œils depuis qu'il était arrivé, mais là je me permis de le délaiter ouvertement. C'est avec un sourire attendri que je me retournais vers ma tâche.

« C’est fous ce que tu as changé en 1 ans et comme d'un certain point de vue tu es resté le même ! »

Monsieur décida alors de commencer une bataille de nourriture. Oh il n'a jamais assisté à une bataille entre Lyard's ! Si Aygaus et moi faisions équipe l'adversaire, qui qu'il soit était mal en point. Si Jayson nous accompagnait c'était gagné d'avance. Maintenant si nous nous battions les un contre les autres, j'étais à égalité avec Aygaus, mais Jayson était toujours je le gagnant face à moi. Je me dis que je devais avoir mes chances face à Arthur et je regrettais donc absolument pas le coup de la pâte. Le truc que je ne vis pas venir c’est qu'Arthur opta pour une technique plus directe.

Sans que je n'ai pu prévoir le coup, je me retrouvais chargée sur l'épaule d'Arthur. Je poussais un cri de surprise avant d'essayer de me débattre et surtout de garder la tête haute, en prenant appuis sur ses épaules. Je commençais alors à rire.

« Arthur June, tu vas me faire redescendre tout de suite ! »

Je pense qu'il est inutile que je précise que ma voix avait monté de quelques octaves sous le coup de la surprise mais aussi du rire qui me prenais. Oui je riais. Arthur avançais vers je ne sais ou et je me laissais plus ou moins faire, riant trop pour pouvoir me débattre, arrivant à peine à me tenir à son épaule pour ne pas avoir la tête l’envers. Monsieur me lâcha finalement sur le plan de travail et je me maintient à ses bras lors de l'atterrissage. Toujours en riant je réussit à attraper une poche remplie de mousse au chocolat que j'essayais tant bien que mal de vider sur lui. Le rire et les mouvements du jeune homme ne rendaient pas la tâche facile, mais cella importait peux de rater ma cible. Rire autant était quelque chose de rare chez moi, et je profitais simplement de ce moment.

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Je ne pensais pas un jour te revoir... surtout ici !

Idiya & Arthur ⊹
« C’est rare de voir un homme qui préfère sa vie familiale avant un travail bien rémunéré et aventureux ! Je t'admire pour ça. Et je suis sur que tu vas y arriver, pour ce qui est des études et de la famille ! Tu es quelqu'un d’impressionnant et de déterminé ! Même lorsque tu avais 11 ans ! » Arthur haussa les épaules et la regarda sincèrement avec un sourire. Il savait ce que c'était de pas pouvoir vivre avec un père, même si son père avait toujours aimé sa famille. Il s'était toujours promis d'être là lui pour sa famille histoire de ne rien raté et de pouvoir dire qu'il a été là pour sa famille. Il se demandais parfois comment les père de famille absent arrivait à vivre ainsi alors que lui savait que si il manquait ne serait ce que le premier mots d'un de ses enfants, il le vivrais trop mal, trop de questions se bousculaient dans sa tête mais il revint dans la réalité quand elle lui lança à nouveau un peu des fleurs.

« Déterminé je suis d'accord, quand je veux quelque chose en effet je fais tout pour l'avoir. Impressionnant je ne suis pas vraiment sûr, je suis juste moi. Mais en effet je préfère voir ma famille et voir mes enfants grandir, plutôt que tout raté et m'en sentir mal et coupable. » Pendant son discours, Arthur ne se rendit pas compte des regards que lui jeté son ami, peut être que si ça avait été le cas, il se serait posé des questions, mais il était bien trop à fond dans ce qu'il disait pour s'en rendre totalement compte.

« C’est fous ce que tu as changé en 1 ans et comme d'un certain point de vue tu es resté le même ! » Un sourire se lu sur son visage et il la regarda avec douceur sans savoir pourquoi elle disait cela, il ne comprenait pas comment il pouvait avoir changé et resté le même en même temps. C'était pas facile de faire les deux non ? Il fronça un peu les sourcil mais n'eut pas le temps de cherché midi à 14 heures qu'il se retrouva plein de pate et dans une guerre de farine. Mais arthur ne comptait pas se laissé faire comme ça. Il attrapa donc Idiya et se mit à rire à sa phrase.

« Ah oui et pourquoi ? Tu va me faire quoi sinon ? » Il l'approcha du grand lavabo et alluma l'eau pour l'arroser, au point où ils en étaient si ils étaient mouillé il pourrait finir par aller devant le feu de cheminer pour secher.

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Arthur & Idiya

J'étais admirative devant sa détermination et sa vision des choses. Enfin jusqu'au coup de la farine. La farine fut remplacée par de la pâte et puis monsieur décida de me soulever. J'étais plus morte de rire qu'autre chose, essayant de me retrouver sur mes pieds. Je ne savais pas ce qu'il avait en tête mais lorsque l'eau froide du lavabos m'éclaboussa je poussais un cri de surprise. Oh bordel il n'avais pas osé ? Je me débattit de sorte à me retrouver à moitié assise sur le lavabo mais toujours contre Arthur. J'essayais tant bien que mal de l'asperger aussi. Sauf qu'à son grand malheur à lui je savais que l'évier avait une sorte de pommeau extensible du coup je ne me fis pas prier pour répliquer. Mais monsieur avait su jouer j'étais trempée moi aussi. Je proposais une trêve au bout d'un moment, après quoi je rangeais doucement la pommeau. J'étais plus morte de rire qu'autre chose et avais du mal à reprendre de l'air, mais je me calmais doucement. D'un coup de baguette je me séchais, mais le froid restais.

« Je propose qu'on se réchauffe près de la cheminée en haut, avec un bout de tarte pomme-cannelle ? »

Je descendis de mon perchoir, enlevant mon tablier par la même occasion, proposant à Arthur de faire de même. Je les pendis alors sur le chauffage et sortit la tarte du micro onde et la posa sur une assiette avant de sortir un reste de sauce caramel que je fis réchauffer rapidement. Je réglais le four de sorte à ce qu'il s’éteigne au bout d'un certain temps, histoire que les chouquettes ne brûlent pas. Je posais la sauce ainsi que deux assiettes, quelques serviettes et deux fourchettes sur le plateaux avant de faire signe à Arthur de me suivre. Je prenais le petit escalier par lequel on accédait via la cuisine pour monter dans les petits locaux personnelles aménagés au premier étage. Je n'habitais pas ici, mais j'aimais bien avoir un petit coin pour moi. J'y avais aménagé un salon douillet où un feux crépitais doucement. Magiquement je rajoutais des bûches et ravivais le feux avant de faire signe à Arthur vers le canapé.

« Installes toi ! Une grande part ? »

Je servis alors mon invité, avant de me servir, je posais la sauce au caramel sur la table, n'en prenant pas personnellement, et de m'installer sur le canapé qui était assez large pour ne pas que nous soyons collés l'un à l'autre. Doucement la chaleur se répondit en moi. Pour l’embêter un peut je râlais joueusement.

« Mais qu'elle idée aussi de m'asperger d'eau froide ! T'aurais pu régler la température avant tu ne crois pas ? »

Je rajoutais un clin d’œil à ma phrase, histoire qu'il le prenne vraiment pas mal, avant de manger un bout de tarte. Malgré moi je gémis, ça faisais du bien de manger ! Je laissais un silence agréable s'installer entre nous. Je ne savais pas trop quoi dire. J'avais toujours un sourire placardé au lèvres et il me semblais que lui aussi avait l'air plus heureux. Mes questions refoulées de tout à l'heure refirent surface. Un chagrin d'amour ? Comment ? Qui ? Quel contexte ? Je ne devrais certainement pas poser toutes ces questions. S'il voulais parler il le ferais de lui même non ? Et puis je lui avait changer les idées. Du moins je l'espérais.

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