(#) Sujet: Peeves l'incorrigible. [Pv Arabella M. C.] Dim 7 Déc - 22:55
Mauvaise blagueLily Potter & Arabella Churchill
« Evite donc Peeves. C'est un esprit frappeur mal intentionné qui pourrait t'attirer des ennuis, Lily. » avait prononcé Ginny Weasley Potter, il y a deux ans de cela.
La dénommée Lily se souvenait parfaitement de ces paroles sages, mais durant un moment, elles avaient été enfouies quelque part dans son esprit. Aujourd'hui, la petite regrettait amèrement d'avoir pu négliger sa méfiance vis-à-vis de ce danger publique. L'air lui manquait. L'obscurité l'entourait cruellement, ne lui laissant guère l'opportunité d'apercevoir ne serait-ce qu'une once de lumière. Ses yeux inquiets et écarquillés se baladait dans le voile noir des alentours étroits qui la contenaient. Un sentiment de panique ne semblait pas vouloir s'éclipser, émergent la jeune fille d'une désagréable sensation d'étouffer. Ses poumons pompaient une bonne partie de l'oxygène, et de fines gouttelettes de sueur s'écoulaient de son front, chaudes et fluides.
Une vingtaine de minutes auparavant, Lily s'était rendue au sixième étage afin d'assister à son habituel cours d'Arithmancie. Il s'agissait d'une option qu'elle appréciait et qu'elle ne manquait jamais. Malheureusement, elle signait aujourd'hui sa première absence et cette idée la répugnait. Moins encore que le fait d'être enfermée, mais elle ressentait un stress horripilant à l'égard du pétrin dans lequel on l'avait fourrée. Une force invisible l'avait saisie dans le couloir en question, sans qu'elle ne puisse lutter. La surprise l'avait prise au dépourvu, faisant chuter sa baguette à quelques mètres de ses mains. Peeves avait laissé échapper son célèbre rire machiavélique, et il s'avérait inépuisable en matière de gamineries et de méchanceté. Ce jour-là, l'idée d'embêter une troisième année l'enchantait tout à fait, et il était plus facile de maîtriser un « petit bébé » de treize ans, plutôt qu'un « gros bébé » apte à passer les ASPIC. Ses dents d'une structure désordonnée souriaient morbidement à la rouquine, qui lâchait des petits cris de terreur. S'il y avait bien une chose qu'elle détestait, c'étaient les mauvaises blagues. Et quand il s'agissait de cet être fantomatique, on pouvait clairement s'attendre au pire.
« Hahaha, je te tiens la nouvelle Potty ! On va bien s'amuser ! Tu veux que je te lâche ? Dis « s'il te plait », hahaha ! »
L'instinct de Lily lui murmurait que tout n'allait pas se passer comme elle l'avait prévue. L'esprit frappeur lui tirait les cheveux, en direction de la salle des trophées avec une très mauvaise idée derrière la tête. La jeune Serdaigle ne comptait pas lui offrir la satisfaction de ce qu'il désirait, néanmoins elle commençait sérieusement à croire que cela soulagerait peut-être son mal.
« S'... s'il t... Non, lâche-moi ! »
L'enfant s'était résignée à ne pas se soumettre à ses ordres, pensant que James n'aurait jamais voulu qu'elle n'en arrive à là. Son frère aîné, son modèle, aurait certainement tout fait pour se défendre et mettre une raclée à ce satané Peeves. Malheureusement, sa baguette magique était hors de portée et elle n'était pas capable de formuler des incantations sans elle. Contre sa volonté, elle se fit emporter jusqu'à la hauteur d'une grande armoire qui faisait office d'un petit débarras de trophées qui n'avaient plus leur place sur les vitrines. L'élève avait beau se débattre, elle ne pouvait strictement rien contre une entité qu'elle ne pouvait toucher. La dernière chose qu'elle put entendre fut le bruit grinçant d'une porte que l'on ouvre, avant qu'on ne la jette cruellement dans les ténèbres. Son dos fracassa une surface dure et sphérique, et elle dut se tenir la hanche pour ne pas aggraver la douleur. Ses pieds se cognaient aux différents objets rangés ici et là, et une chaleur étouffante commença à lui conférer une désagréable toux.
« Au secours ! » hurla Lily de toute sa voix, en martyrisant l'armoire de coups.
La fillette n'était pas claustrophobe, mais elle détestait l'idée d'être enfermée sans qu'on ne puisse l'aider. La détresse était omniprésente, et l'absence de lumière renforçait l'inquiétude de la victime. Certains objets étaient en plus de consistance assez bizarre pour qu'elle ne sursaute à leur toucher. Vraiment, cela en devenait presque cauchemardesque.
« Peeves, sors-moi de là ! » cria-t-elle avec un désespoir bien visible.
En guise de réponse, le coupable sans scrupules haussa les épaules et partit de la pièce avec un rire espiègle aggravant le côté dramatique de la situation.
Pauvre petite. Il ne fallait pourtant pas qu'elle cède à la panique, mais elle ignorait combien de temps elle résisterait avant de craquer. La pré-adolescente n'aimait pas pleurer, mais quand elle savait que tout était sans espoir, les larmes refusaient de s'abstenir de couler. Pour le moment, sa mine rouge de colère la mettait dans tous ses états.
« Fais attention à toi, et prend soin un peu de toi. Ton frère n'est jamais loin Arabella, tu n'es pas seule »
ça, je le savais mais comme si cela ne suffisait pas de savoir que mon frère avait toujours un regard bien présent sur moi, il fallait que ma mère me le rappel alors que je pouvais enfin revenir à Poudlard. Oui cela faisait plus d'un mois que j'avais encore quitté l'école de Poudlard pour mes soucis de santé. Il faut dire que quelqu'un s'était trouvé drôle de cacher mon traitement qui me gardait stable, personne ne savait véritablement ce que j'avais, et c'était bien mieux ainsi, mais du coup, quelque petit malin ignorant ne s'en accommodait pas pour me faire des blagues de mauvais goût, et le pire, c'est que forcément ça me retombait systématiquement dessus, comme si je trouvais ça amusant de ne pas prendre mon traitement et de faire une nouvelle crise. D'accord, je suis encore jeune, mais jeune ne voulais pas dire irresponsable.
Je venais de quitter le bureau de la directrice pour ma nouvelle réinsertion, faut dire que depuis quatre ans, elle avait pris l'habitude donc les papier était vite fais, elle m'avait tout de même , cette fois ci, fait passé les cours que j'avais raté depuis un mois, ce que j'avais remercié d'un grand sourire de soulagement, contente que se soit elle qui ai repris ce poste, non parce que des souvenirs qui me restait de l'ancien rigolos, j'aurais certainement du rattrapé mes cours pendant des retenues, et encore heureusement que je suis une sang purs, sinon j'aurais mis ma main à coupée que je n'aurais jamais pu remettre les pied à Poudlard. Oui cet homme avait était quelque chose, et il était certain qu'il n'allait pas me manquer. Enfin, je marchais en direction de mon premier cours de la semaine, et surtout de la journée quand les escaliers eurent envie de me jouer un petit tour, une sorte de bienvenue à leur façon et de m'envoyer bien à l'opposé de mon cours. Moi qui voulais aller en potions j'étais bien loin de ma salle, mais fort heureusement je ne le commençait que dans une heure, il me laissait donc encore bien trois quart d'heure, pour passer le couloir et aller emprunter l’escalier opposé qui m’emmènerait, je l'espérais tout au moins, dans les cachots. Ou du moins au rez de chaussé se serait pas mal déjà.
Je passais donc le couloir d'un pas modéré, ni trop lent, ni trop rapide, pourquoi se préssé quand on a le temps, quand je cru entendre des coups tapé dans une porte. Systématiquement, j'eu le reflex de me retourner pour voir d'ou ça pouvait venir, mais les coups en question s'étaient arrêté et je décida alors de continuer mon chemin. Mais c'est à ce moment là, qu'au dessus de ma tête je pu voir Peeves. Peeves était certainement le fantôme que je détestait le plus, non pas que je déteste les fantôme, mais disons que ce fantome avait toujours le dons pour me faire des crasses pas possible et généralement quand il le fallait pas. Il passa au dessus de ma tête sans chercher plus que ça, se qui me fit hausser un sourcil, quand Peeve ne s'occupe pas d'une élève seule dans les couloirs c'est qu'il a déjà fait quelque chose d'autre. C'est à ce moment là que j'entendit à nouveau des coup taper quelque part. Certaine de ne pas avoir halluciné, je me dirigea alors vers ce bruit, avec difficulté ne sachant pas vraiment d'ou sa venait quand une petite voix m'interpella.
Je fronça alors les sourcil et m'approcha doucement d'un placard avant de poser mon sac, je ne savais pas qui était la victime de Peeve, mais à la voix que je pouvais entendre, il s'agissait d'une jeune fille. Un soupir s'échappa de mes lèvres, un soupire d'exaspération pour le fantôme, et je décida tout d'abord de toucher la poignet pour essayé de l'ouvrir de l'extérieur. Rien à faire, elle était fermé à clé. C'est alors que je me souvint d'un sort qu'on avait appris en première année, je ne suis pas des plus forte en sortilège mais c'était un sort qu'on avait vu, revu et re-revu j'avais donc une grande chance de le réussir. C'est alors que je pris une petite voix tranquille, voulant essayé de rassurer la personne à l'interieur du placard.
« Hé, je vais essayé d'ouvrir la porte avec un "Alohomora " écartes toi un peu, on ne sait jamais. Tu vas bien au moins ? »
Et bien oui, après tout je ne savais pas ce que Peeve avait fait, et j'espérais dans le fond que la jeune fille n'ai rien d'autre. Je leva alors ma baguette et pointa doucement la baguette sur la serrure, parlant distinctement pour faire sauté la serrure. Miracle ça marcha, bien que j'en doutait pas vraiment, je serais vraiment nulle si je n'avais pas réussis un sort de première année.
HJ:
Voilà, j'espère que tout cela te va, si tu veux que je change certain truc pas de soucis. Même si tu n'aime pas Rp avec quelqu'un qui RP à la première personne, je suis autant à l'aise à la troisième, il suffit juste de me le dire.
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