Stars can't shine without darkness [PV] 18+ * Ce RP pourrait ne pas convenir à un jeune public. La discrétion des parents est conseillée*

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Nous avions pénétré dans l'enceinte du château dans un silence qui évoquait presque un moment solennel. Ma main dans la sienne, mon coeur battait fortement, et, au fur et à mesure que nous nous rapprochions de mes appartements, la tension en moi s'accentuait à un tel point, que je me demandais durant un court instant si la belle femme à mes côtés était capable d'entendre les battements de mon coeur.

Je savais que ce que nous faisions était risqué. Se promener ainsi, dans les couloirs du Château, à une heure plus que tardive, main dans la main, cela aurait de quoi nous offrir de belles remontrances, si l'on venait à croiser MacGonagall. Mais... d'un certain côté, bien que je savais que cela pourrait nous coûter cher, j'en avais cure. Le moment que nous nous apprêtions à vivre me paraissait valoir tous les risques et toutes les punitions du monde. Même si mon regard se promenait de gauche à droite et que mes oreilles étaient attentives au moindre bruit trahissant la présence d'un tiers, je demeurais encore assez serein à ce niveau... Peut-être était-ce le fait d'avoir la main de Suzanelle dans la mienne, ou l'adrénaline qui parvenait d'une certaine façon étrange et paradoxale à ne pas me rendre nerveux... Je n'en savais rien, et puis, l'heure n'était pas à la réflexion...

Nous faisions en effet face à la porte de mes appartements que j'ouvris, doucement, de peur de faire trop de bruit. Puis, je me postais devant, embrassai la main de la professeur, et l'invitai à entrer avant moi. Galanterie obligée.

Une fois à l'intérieur, j'allais vers elle, et sans lui demander d'avis préalable, ou d'engager un quelconque dialogue, je fis glisser son manteau, lui enlevant cette couche d'habit qui était désormais obsolète. Je la regardais encore, le regard brûlant de milles envies et désir, durant un court instant où j'entrevis toutes les possibilités que nous offrait cette nuit...

Puis je me détournais, allant pendre le manteau de Madame dans un coin tranquille. Une fois chose faite, je me décidai à rompre le silence d'or que nous avions eu depuis tout à l'heure, quitte à gâcher quelque peu la magie du moment, bien que je pris la voix la plus raffinée que j'eus.

"Je t'en prie, installe-toi à ta convenance. Désires-tu quelque chose à boire ?"

J'avais sorti ma baguette, et avais vite formulé, à voix basse, un sort de lévitation qui disposa dans ma chambre quelque peu sombre toute une série de bougies, à différents endroits, ainsi qu'une bouteille de cognac accompagnée de deux verres. Les bougies une fois en place, je susurrais un Incendio, les allumant toutes les unes après les autres, ce qui offrit à la pièce une ambiance quelque peu douce, bercée par la chaleur faibloyante de ces flammes.

Je rangis alors ma baguette pour réceptionner les deux verres et la bouteille qui vinrent à moi, et offrais toute mon attention à Suzanelle, en l'attente d'une réponse de sa part, prêt à la servir selon ses envies.

Je faisais tout pour paraître le plus gentleman et contrôlé possible, mais je devais avouer que me contenir était un effort incroyable qui m'amusait. Je me demandais intérieurement lequel des deux arriverait le mieux à conserver sa nature calme, même si je misais peu sur ma propre personne...

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Stars can’t shine without darkness

Tous ces sens étaient en éveil depuis qu’il avait accepté ce plan qu’elle lui avait proposé. Sa main gantée dans la sienne, elle se laissait porter par le plaisir évident qui se dégageait de l’attitude d’Aygaus. Elle avait des papillons dans l’estomac tellement que cette situation la prenait de cours. Et puis il avançait vers cette ailes des dortoirs des enseignants qu’elle avait habité pendant 2 ans avant son changement de poste, plus elle avait l’impression d’être tout simplement extatique. Sa conscience lui disait : Vas-y doucement, Fais attention à toi, Tu devrais y penser à deux fois, C’est un Serpentard, Et si McGonagall l’apprend ?

Beaucoup de questionnement qui lui causait autant de douleur à penser que le désir évident qui était ressortit de leur étreinte. Et donc, elle se laissait avaler par ce besoin et cette nécessité que son corps réclamait. Elle n’avait pas d’idée précise si elle l’aurait suivi s’il avait été quelqu’un d’autre. Après tout, cela faisait-il une différence pour elle ? Elle ne le savait pas vraiment et actuellement, elle savait pertinemment qu’elle le suivait avec le même plaisir qui émanait de lui, un sourire un peu stupide campé sur son visage, en sachant qu’elle allait faire quelque chose qui serait très certainement mal vu, et qui pourrait lui valoir une bonne discussion avec la Directrice de l’école. Mais McGonagall la connaissait depuis qu’elle était petite, elle aurait certes des points à éclaircir avec elle si elle l’apprenait mais elle ne voudrait pas foncièrement chercher à créer de la peine à son ancienne élève. Même qu’elle songeait qu’elle serait très certainement contente pour elle, si ce n’était que du fait qu’elle savait combien les dernières quinzaines d’année avait été un catastrophe côté relation, et ce depuis la mort de ces parents alors qu’elle n’était qu’une jeune Gryfondor encore à l’école. Tant qu’elle effectuait ces tâches avec le même professionnalisme et le même épanouissement, elle n’aurait pas de problème.

Il ne la connaissait pas autant qu’elle, et elle rit doucement en le voyant s’assurer que personne ne les verrait. Setsuna ne les remarquerait même pas s’ils se plantaient devant elle, tellement elle était lunatique. Et Leylia devait déjà avoir retrouvé sa chambre depuis le temps qu’ils avaient passé à l’extérieur. Elle lui sourit gentiment en se disant qu’il avait l’air très nerveux, ce qui n’était pas son cas. Du moins, elle ne l’était pas pour cela.

Il s’était arrêté et nous faisons face à une porte qui semblait être celle de ces appartements. C’est à ce moment que le tract viens se présenté. Bon, d’ordinaire, elle était en contrôle, calme, joueuse, et intrépide; mais que le tract entrait dans la partie, elle venait à reconsidéré chacun de ces gestes et ce jusqu’à ce qu’elle se fasse avaler par une vague de sensation qui la porterait et elle agirait instinctivement selon son ressenti. Est-ce tout ce chemin qui avait causé cette sensation, probablement. Ils auraient pu s’envoyé en l’air dans les estrades de l’école, elle aurait été certaine de ne pas avoir cette appréhension qui venait toujours lorsqu’on avait un nouveau partenaire et qu’on ne savait pas non plus ce qui lui plaisait. Un nouveau terrain de jeu, était toujours un terrain dangereux. Elle ne put que sourire alors qu’il avait ouvert la porte et embrassai le dessus de sa main toujours gantée. Elle était flattée de cette attention qu’on ne voyait guère plus, du moins, pas avec les autres hommes qu’elle avait fréquenté. Elle sentait ces joues s’enflammé un peu. Pourquoi cela la faisait-elle si réagir ? Après tout, il ne se montrait que galant. Elle aurait préféré que ces lèvres touchent directement la peau de sa main, mais elle se doutait bien que cela ne saurait que tarder.

Elle retira ces gants une fois qu’il eut lâché sa main, les fourrant dans sa poche droite comme elle avait l’habitude de faire, détachant les boutons quand elle avait soudainement très chaud avec ceci sur le dos. Il était loin de la froideur extérieure, bien au chaud à l’intérieur du château. Elle se doutait aussi que ce n’était pas seulement à cause du chauffage qu’elle avait soudainement si chaud. Son corps attendait avec délice le rapprochement entre elle et lui, montant le thermomètre imaginaire de sa peau dans le tapis.

Méthodiquement, il fit glissé son manteau de ces épaules et elle lui en fut très reconnaissante de s’en chargé car elle n’avait aucune idée de quoi en faire, ni ou le mettre. Il la regardait avec un regard remplit de promesse et elle avait le souffle un peu coupé par ce désir qu’elle lisait dans ces prunelles. Elle lui renvoyait son regard avec la même intensité, augmentant sa sensation de manque et d’envie, désireuse le rendre à un point insupportable sachant qu’elle se révélait tellement plus passionné quand elle se sentait ainsi. Sans s’en rendre compte, Aygaus l’aidait à provoqué ce sentiment d'attente car il s’éloignait déjà avec son long trench noir.

Mais ou voulait-il qu’elle se mette, après tout elle n’était pas pour se jeter sur son lit à cet instant précis. D’ailleurs, elle aimait se faire désirer, ce n’était pas en s’offrant qu’elle pourrait elle aussi en profiter le plus. Elle jetait un coup d’œil à la chambre, de tailles standard. Il y avait des bibliothèques sur une partie du mur de gauche; ce qui ne la surprenait pas vraiment, venant d’un adepte de l’histoire; un fauteuil de cuir brun commun à chaque chambre d’enseignant devant l’entrée; une commode sur l’autre pan de mur qui comportait cette fois-ci une fenêtre vers l’extérieur, un bureau de travail avec une chaise qui semblait plus que confortable d’où elle observait des liasses de parchemin au fond, non loin de la fenêtre, et au centre, et bien, le lit; un grand lit à baldaquin. « Oui, merci. » Un peu intriguée de savoir ce qu’il lui rapporterait à boire. Elle laissa glisser sa main sur le haut du fauteuil, tout en se dirigeant vers le pupitre, attiré par sa propre curiosité. Elle repoussa la chaise de sa main, d’où elle roula plus loin à côté, finissant sa trajectoire non plus du mur. Elle s’arrêtait pour observer les documents déroulés, sans les toucher, restant debout. Au moins, lire des passages de devoir avait au moins cela d’intéressant, il la distrayait un peu de son tract.

Elle finit par relever la tête après un bref instant se rendant compte du changement d’ambiance. Plusieurs chandelles étaient disposées un peu partout. Sue pouvait maintenant voir l’homme revenir vers elle avec une bouteille de cognac et deux verres. « Pourquoi pas. » Dit-elle avec un sourire confiant et les yeux brillants de malice. Elle ne se serait jamais attendue à un quelconque romantisme de sa part, les chandelles étaient assez inattendues. Elle était surprise de cette mise en scène, et en même temps terriblement flattée. Reculant et accotant ces fesses sur le pupitre, elle attendit que l’autre enseignant lui serve son verre. Après tout, elle se doutait bien qu’elle n’en aurait très certainement besoin. Elle n’était pas intimidée par lui. Elle l’était de ce qu’il représentait, c’était peut-être ça le hic dans l’histoire; mais c’était aussi la raison pour laquelle elle avait du mal à ne pas lui sauter dessus dès qu’il avait franchi la porte de ses appartements. Un peu de retenue était toujours le bienvenu, du moins, pour le moment. Bien que c’était cette même retenue qui l’excitait à s’en pâmer. Elle posa le bout de ces doigts de chaque côté de son corps appuyé sur le rebord du bureau.

Habillement:

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Je fus tellement préoccupé de bien faire ma mise en scène et d'assurer la meilleure ambiance possible à ma rivale que je n'avais pas pris le temps de l'observer suffisamment bien lorsque je lui avais enlevé son manteau. Aussi, quand je me retournais vers elle, armé de ma bouteille et des deux verres suite à son accord , j'eus l'agréable surprise de la voir, enfin, à la lumière doucereuse des bougies. J'eus l'impression que mon coeur en loupa un battement, et une hâte soudaine de la prendre dans mes bras s'empara de moi.

J'avais toujours remarqué la coquetterie de la Directrice des Gryffondors, son habillement toujours classe et sachant la mettre en valeur. Mais ce soir-là elle me surprit... je me demandais même si elle n'avait pas prévu ça depuis le début...

Un haut évasé, pour un pantalon moulant, découpant à merveille le galbe ferme de ses jambes, lui donnant une allure de femme d'affaires. Fatale. Des talons hauts, avec un pied fin, typiquement féminin, qui la rendaient presque plus grande que moi-même... Je n'avais pas remarqué que pendant tout ce temps ma bouche était restée ouverte, figée dans une expression surprise...

J'eus toutefois suffisamment de contrôle pour ne pas rester plus longtemps stupéfait et ébloui, et allai la servir, d'une main qui ne tremblait pas, bien que je doutais cela possible. Je ne l'admettrais jamais à personne, mais Suzanelle m'avait toujours impressionné. Et... particulièrement en cette soirée...

Je levais mon verre à moitié plein, et allais toquer contre le sien, affrontant son regard.

"A la lionne, et au serpent."

Je bus une gorgée de cognac contenue, me refusant de trop en consommer d'un coup, car j'étais trop désireux d'avoir l'entier de mes sens pour ce qui allait venir. Si toutefois j'obtenais le consentement de la femme que je désirais. Car elle savait entretenir le mystère... Un regard de féline, une attitude sensuelle, devant moi, accolée contre mon bureau... Il me serait dur de retourner travailler le lendemain à ce même bureau sans y sentir la présence de Suzanelle, désormais...
Je sentais d'ailleurs son aura traverser l'entier de mes quartiers et j'eus l'impression ne plus être en contrôle total de la situation... bien que je ne l'avais jamais vraiment été.

Je reposais mon verre sur le bureau, et attendis que la belle noiraude pût tremper ses lèvres dans le sien... Et, de ma main, j'écartais son verre, et me décidais à le poser à côté du mien. Je reentrepenais les mêmes rapprochements qu'il y avait eus dans ce parc, j'étais contre elle, mes mains aussi posées sur le bureau, mes lèvres à quelques centimètres des siennes seulement... Je ne commentais rien, je ne disais rien. Je restais calme... me demandant si Suzanelle était du genre à aimer les hommes prenant des initiatives, ou si cela la rebutait. Si cela lui donnait envie de montrer aussi sa force, de me contrer.

Cette idée me plut, et sut me décrocher un sourire. Après tout... Quel vrai homme aimait les filles sans caractère ? Pas moi, en tout cas.

Et j'avais hâte de connaître cette partie de la professeur que je ne connaissais pas, et que j'aurais pensé ne jamais connaître. Celle intime, celle qu'elle n'ouvrait qu'aux gens qui lui plaisaient... Celle qui avait hanté mes rêves depuis mon adolescence.

Je me redressais, délaissant mes mains de mon bureau, adoptant une allure droite, et fière, sans jamais détacher mon regard de Suzanelle.

Le seul moment où je me le permis fut quand ma main se porta vers sa joue, descendit plus bas, caressant son cou. J'en eus des frissons. Le cou d'une femme était quelque chose d'incroyablement érotique... D'autant plus quand j'abaissais encore ma main, arrivant à l'endroit spécifique qui me différenciait d'elle, et qui rendait les hommes sauvages. Je pris le galbe de son sein dans ma main, et retournais enfin mon regard vers le sien.

En l'attente d'une... autorisation. Peut-être. Je voulais seulement apercevoir cette lueur si exceptionnelle, et si excitante, derrière le bleu des yeux de Suzanelle. Je voulais voir l'envie traverser ses pupilles, cette confrontation dans le regard qui parvenait à monter mon excitation à son paroxysme...

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Stars can’t shine without darkness

Un de ses mains quitta le bureau pour venir prendre le verre de Aygaus lui tendait. Il toqua son breuvage contre le sien d’une manière assez festive, ce qui me fis rire doucement un bref instant. Je n’avais pas vraiment beaucoup de chose à redire sur l’association encore plus flagrante qu’il faisait de leur ancienne maison et cela aussi me fit rire encore, et je roulai des yeux se rendant compte combien nous aurions été démoli si j’aurais fréquenté une personne de cette maison alors j’étais étudiant. D’ailleurs, outre Damien, il n’y avait jamais eu personne d’autre lors de mes études à Poudlard, tout simplement.

Si un regard pouvait transpercer, ça aurait été le sien. J’avais un sentiment pressant et une envie fulgurante juste au regard qu’il me lançait. Je portai mon verre lentement à mes lèvres alors que lui avait pris une rapide gorgée. Je le voyais se retenir d’en boire beaucoup, et un sourire plus espiègle se pointa dans le creux de sa joue. Pourquoi en mettre autant alors ? Je pris moi- aussi une gorgée du liquide ambrée qui me brûla délicatement le palais et que je sentis descendre le long de ma gorge jusqu’à qu’à mes entrailles. Il posa son verre sur le pupitre non loin de moi, il reprit mon verre que j’avais à peine entamé, en ne rechignant pas trop à ce revirement de situation rapide. Reposant sa nouvelle ma main libre contre le bureau comme elle était un instant plus tôt. Il vint poser les siens de part en part de mon corps, posés sur le bureau plus à l’extérieur mes siennes. Je me sentais encerclé en quelque sorte, et relevant le menton fier et parfaitement ouverte devant lui, alors qu’il semblait vouloir de nouveau fixer son corps contre le mien.

Les paroles étaient inutiles actuellement, et je me fiais à son instinct ce qui me captivait complètement. Leurs corps, lovés l’un contre l’autre et accordés, s’imbriquait naturellement. Il était si proche et j’avais l’impression stupide qu’il me testait encore. À quoi s’attendait-il ? Croyait-il que je lui sauterais au cou ? J’avais l’impression que tout mon corps était tendu dans cette position alors qu’au fond j’étais plutôt relax si on en oubliait le trac. Est-ce cette gorgée de courage que j’avais pris qui avait changé la donne ou la continuité de la partie qui s’était joué sur le terrain de Quiditch ? Je n’en savais trop rien, mais je se sentais soudainement plus en contrôle.

Mais déjà il se redressait et me libérait de cet étau dont avaient été composé ces bras et son corps contre moi. Tiens donc, avait-il décidé de prendre une autre approche ? Probablement. Je le soupesai du regard, intriguée alors qu’il glissait sa main contre sa joue, et descendait, descendait, descendait de plus en plus bas vers ma poitrine. Je tendis mon cou, offerte à sa main exploratrice, alors que je sentais sa peau glissant tranquillement et me chatouillé à son passage dans le creux de mon cou. Tout mon corps n’avait semblé qu’attendre ce moment, ou le contact de ma peau contre la sienne se ferait, et ce depuis le moment ou leurs lèvres s’étaient goutés. Ce mouvement descendant avait quelque chose de très sensuel et calculé et ceci ne faisait que rendre ce moment encore plus lascif. Je l’avais observé à la dérobé, alors qu’il semblait si concentré à sa tâche. Nos deux regards se croisaient à nouveau. Ce qu’il pouvait être séduisant! Après tout, il me renvoyait un regard empreint d’une certaine admiration et je s’en sentais terriblement flattée. Après tout, j’avais le corps que j’avais, et bien que je tente avec beaucoup d’effort d’entretenir ma forme actuelle, je n’avais rien d’autre que moi-même à offrir à cet homme. Du peu que je pouvais comprendre, il semblait apprécié ma poitrine ce qui n’était pas un point négatif aucunement en soi. J’aimais que les hommes soient directs avec moi quand je leur laissais le loisir du contrôle de la partie. J’aimais savoir ce qu’il aimait et ce qu’il n’aimait pas, et je sentais que j’allais bien vite découvrir ce qui plaisait à Aygaus.

Je comblais le peu d’espace qui avait pu se faire entre nous depuis le moment où il s’était redressé. Posant ma main droite, directement à l’endroit où se situait son cœur, intriguée à savoir s’il débattait autant que le mien, tâtant le tissu de ses vêtements doucement. La perception sous me doigt, me fit sourire. J’avais l’impression d’être une petite fille qui touchait à quelque chose d’interdit et de drôlement attirant. Je me retenais de m’exclamer tellement j’étais surprise de capter les battements de son cœur. Je retenais ma langue, mais il en sortit quand même un «Uhm.» d’appréciation que je ponctuai de manière langoureuse. Relevant le visage vers lui, pleinement consciente qu'il était aussi grand que moi avec mes souliers à talon. Je n'avais pas besoin de bouger beaucoup pour l'embrasser, à la place ces laissai mes lèvres à quelques millimètre des siennes avec la forte impression que l'envie d'y goutté deviendrait probablement intolérables pour lui comme pour moi.

TEST 1-2 TEST:

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Dès le moment où nous nous tenions la main, je savais que j'apprendrais d'intéressantes choses ce soir-là. Je n'aurais cependant pas pensé découvrir à quel point Suzanelle était joueuse... Elle ponctuait d'un petit "hum" notre échange, alors qu'elle avait une main postée droit sur mon coeur, dont le battement devenait de plus en plus fort. Ses yeux me disaient tant de choses, de merveilleuses choses, mais son corps restait droit, immobile, dans l'attente de voir qui craquerait le premier. Je détestais perdre, mais je me doutais bien que perdre à ce jeu me procurerait plus de plaisir que de mécontentement... Même si je décidais de tenir encore un peu... Caressant avec précaution le sein qu'elle me laissait toucher. J'eus l'impression de revenir à mes quinze ans... Pas à cause que cela faisait longtemps que je n'avais pu profiter d'un tel moment, mais parce que... j'étais impressionné. Comme à cette douce époque des découvertes, avec les premières filles. Sauf que la Professeur n'avait rien des Premières filles... Mature, sûre d'elle-même, confiante, secrète. Elle me tourmentait, encore plus maintenant, car, malgré son approbation, malgré son regard de braise... Le doute me subsistait. Me voulait-elle réellement, moi ? Certainement, sinon elle ne me ferait pas don de sa présence dans mes appartements. Mais alors... me désirait-elle autant que moi, je la désirais ?

Je laissais cette question en suspens, alors que je rapprochais encore mes lèvres des siennes de quelques milimètres, tentant de percer sa limite. A partir de quel rapprochement m'embrasserait - elle ? A partir de quels attouchements s'ouvrirait-elle totalement à moi ? Il semblait que pour obtenir des réponses à ces interrogations, il me fallait... les mériter.

Aussi, je collais mon bassin au sien, un peu plus proche, toujours sans l'embrasser. Je décidai de parcourir son corps de ma main libre, en partant à partir de sa cuisse, puis en remontant doucereusement le long de son corps. Je m'arrêtais à sa taille, que j'avais envie de saisir pleinement, mais que je m'abstins. Je la regardais toujours, alors que mes pupilles devenaient noires d'excitation et d'envie, et que mon coeur ne cessa d'accélérer.

Je ne tiendrais pas d'avantage.

Tout en gardant cette distance proche, j'enlevais mon haut, sous lequel je n'avais rien, si ce n'était mon typique collier et mes quelques tatouages. Je la fixais à nouveau, me demandant sincèrement si ce qu'elle voyait était à son goût, et si cette vision la comblait tout autant que la sienne me comblait...

Je n'aurais certainement aucune réponse verbale à ce doute, aussi, je décidais d'essayer de demander poliment... par un contact physique plus proche, encore. Nous étions désormais collés l'un contre l'autre, bien que Suzanelle était toujours libre de me repousser.

Je caressais sa poitrine d'une manière quelque peu plus pressante, alors que ma main libre n'hésite pas à se glisser sournoisement sous son pull, caressant sans retenue son ventre, ses anches, parcourant son dos...

Tandis que... mes lèvres cédèrent à la tentation... et embrassèrent fougueusement la jeune femme, pas sans une certaine délicatesse, mais avec une once de sauvagerie qui me ressemblait, tandis que mon bassin faisait quelques légers basculements contre son intimité, dissimulée sous son pantalon... Signifiant de la sorte clairement mes désirs... que j'espérais grandement partagés.

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Je sentais son cœur pulser sous mes doigts, de fort battement vigoureux, régulier et d’une rapidité surprenante. Bon, je pensais bien qu’il devait me trouver attirante mais je n’aurais probablement jamais imaginé à quel point il était excité à cet instant. J’espérais seulement qu’il n’allait pas s’évanouir sur le coup. Nous avions encore tous leurs vêtements sur le dos. Ça serait assez stupide! Je lui échangeais des regards et je savais pertinemment que mes yeux devaient donner l’impression de brûler du même feu de passion qui animait le sien.

Si la distance entre nos lèvres commençaient être brisé tranquillement ma volonté de résister pour augmenter ma sensation de désir, une autre part de moi n’avait qu’une envie engloutir pleinement ses lèvres qui me tentait énormément. Pleine et gouteuse, dont le souvenir hantait maintenant mes souvenirs et qui se présentait tout autant désireuse de se faire embrasser encore. Il n’y avait aucun doute là-dessus. Mon regard se perdit sur elle un bref instant alors qu’il posait son bassin contre le mien. Sa main libre désireuse de découvrir le territoire qu’était ma peau. Je sentais ces doigts et bien que mon chemisier n’était guère épais, je n’avais qu’une envie c’était que ces doigts glissent sur ma peau nue, m’offrant cette sensation et les frissons que j’avais aussi actuellement.

Le spectacle commençait et à la seconde ou je le vis retirer son haut, son cœur se mit à augmenter. Ne laissant du collier à son cou. J’étais un peu surprise de voir les tatouages, mais les trouvait bien et pas curiosité glissa ma main que j’avais retiré pendant qu’il enlevait le vêtement de son cœur posé à plat jusqu’au premier sur son passage. Je le gratifiais encore d’un ‘’Hum’’ d’approbation, en joignant ma seconde main sur son torse. Cet homme qui me regardait ainsi n’avait rien à envier à ces derniers amants. Il était sexy en diable. Et il n’y avait rien de plus sexy qu’un homme qui faisait les premiers pas, qui vous désirais de cette manière et qui vous jetais des regards à tomber. Je me mis à sourire dans ce cours moment de contemplation durant lequel il avait décidé de venir complètement fusionné son corps au sien. J’aurais voulu me mettre à découvrir chaque recoin de sa peau, mais il ne semblait pas avoir les mêmes plans que moi. Du moins, pas pour cela.

Je sentais ses mains se faire plus pressante sur ma peau et je ne pouvais que me dire que nous avions véritablement toute la nuit. Aucune raison pour se pressé. Quoiqu’il était déjà en fusion lui, et elle aussi d’ailleurs. Mais il valait mieux y aller par étape ? Non ? Un long frisson d’excitation la percuta à la seconde ou ses doigts se glissèrent non loin de sa colonne. Ouah! Hallucinant! Et puis, je n’eus guère à attendre plus les lèvres d’Aygaus se pressait contre les miennes avec une fouge qui me laissa pantoise. Moi qui venais à peine de me décoller sur pupitre, je m’étais reculé pour encaisser le choc que je prenais à merveille alors que mon fessier se posait sur le bureau. Mes mains montèrent de son torse vers son cou que je câlinais et pressait en accompagnant nos embrassades. Je goutais à sa saveur, portant une attention particulière à ces lèvres l’une après l’autres d’une pression délicieusement douce mais ferme. Je l’attirai vers moi, alors que je finissais par m’asseoir sur son bureau. Au diable, les notes de cours! Mes mains se glissant de son cou à ces cheveux, puis redescendant vers ces épaules lesquels je me forçais de les faire s’approcher de moi. Mes jambes s’étaient irrémédiablement écartés afin qu’il puisse s’approcher du bureau et par le fait même de mon corps invitant et exciter.

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Ses lèvres embrassaient goulument les miennes, tandis que je sentais le doux contact de ses doigts partant depuis mon torse et remontant le long de mon cou. Mon épiderme se contractait alors que mon coeur redoublait d'effort pour suivre l'afflux sanguin qui m'envahissait, tout à coup... Cela devenait... chaud, chaud, chaud.

J'eus alors ma réponse.

Oui, elle me désirait, apparemment autant que moi je la désirais. Et oui, je devais être à son goût, car elle commençait à s'ouvrir d'avantage sous mes caresses... reposée sur le bureau, elle écartait ses jambes que mes mains parcouraient pour remonter vers son bassin, sa poitrine puis son visage, dont la douceur me transportait loin.
Mais ce qui me mit dans un état d'excitation incontrôlable fût quand ses mains descendirent vers mes épaules et m'incitèrent à aller à sa rencontre, ce que je fis, sans une once d'hésitation.
Désormais, Suzanelle était pratiquement couchée sur le bureau, éparpillant çà et là mes copies de cours, auxquelles je ne prêtais aucune attention, me permettant ainsi de la dominer, étant entièrement au-dessus d'elle, mes mains désormais posées sur le bureau, retenant par la force de mes bras le poids de mon corps, tandis que nous poursuivions nos embrassades.

A ce moment, il me fallut arrêter. Lentement, je fis baisser la tension, retirant mes lèvres de celles de la Directrice des Gryffondors, pour pouvoir confronter son regard. A la lumière des bougies, son visage bercé par l'orangé douceâtre des flammes, j'analysais l'expression qui l'habitait.

Je vis dans ces yeux ce qui m'excitait le plus au monde : le désir. La conséquence à mon observation fut que la pause que je venais d'instaurer ne put durer que quelques secondes, car voilà que je me relevais, saisissant la main de l'exquise noiraude pour l'aider à se relever.

Nous étions tous les deux debout, pratiquement à la même hauteur désormais, et déjà mon regard parcourait encore l'entier de son corps, laissant à mon imagination le loisir de penser à ce que pouvait nous réserver la suite de cette soirée.

Puis, mes mains s'activèrent. Je me saisis du pan de son pull, et le soulevai, désireux d'avoir moi aussi l'honneur de l'observer sans vêtement, mes mains préférant largement un contact charnel qu'à celui du textile... et dans ce domaine, j'avouais sans faute ma trop grande gourmandise.
Et, une fois qu'elle fût dévêtue, je l'observais, de haut en bas, avec la même avidité dans le regard qui ne cessait de s'accroître. Une de mes mains se posa sur son sein, toujours protégé par un soutien gorge que j'avais hâte de décrocher, tandis que l'autre trouva son chemin au niveau des fesses fermes de la belle femme que j'avais en face de moi. Je les saisis avec envie tandis que mes lèvres s'attardaient sur son cou, le couvrant de baisers doux, contrastant avec le désir sauvage qui m'animait en ce moment...

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Stars can’t shine without darkness

Elle sentait les mains de l’homme se glisser sur la largeur de ses cuisses, montant vers son bassin, ses hanches, son ventre. Plus haut, plus haut, elle voulait qu’il la touche complètement partout. Malgré le tissu, elle s’en sentait complètement électrisé, se demandant comme elle ferait une fois qu’elle n’aurait plus ce superflu sur elle. Car c’était bien ce qu’il était actuellement, du superflue. Elle n’était pas pudique, pas au propre du mot, mais il y avait toujours un moment dans ce genre de relation ou l’on prenait un malin plaisir à aguicher autrui alors que tous nos vêtements nous seyaient encore, et s’en était un. Mais ces mains n’avaient pas fini de monter, et elle ne pouvait que sentir son propre désir faire de même, passant vers sa poitrine, son cou et finalement la carrure de ses joues.

Il était si propre, et elle le sentait si loin encore d’elle. Elle l’attira contre elle, reculant vers son bureau, ses mains poussant ses omoplates pour qu’il vienne à sa rencontre, alors qu’elle l’attirait contre elle en se foutant éperdument du désordre qu’elle causait au passage. Sa tête était posé sur une pile de copie qu’elle ne ménageait pas vraiment, trop concentré sur les baisers qu’elle échangeait, ponctuant du mouvement de son cou pour les rendre plus profonds et plus langoureux. Elle entendit les deux verres chutés au sol, dans un grand fracas, mais n’y porta pas vraiment attention trop concentré sur lui. Elle fut brutalement arrêté dans son élan, alors qu’il semblait s’intéressé à son visage et ces prunelles qui elles, elle le savait, devaient luire de manière incandescente sous l’intensité et le désir. Ces mains glissaient irrémédiablement de son dos vers ces épaules puis son torse alors qu’il se redressait, mains qu’il prit et qui la fit décollé du mobilier à l’aider à se remettre plus droite, bien qu’elle aurait grandement mieux apprécié de continué à découvrir son corps au lieu de retrouver une position verticale.

Elle sentit alors quelque chose qui l’alluma encore plus. Ces mains fusés sur sa peau à elle, brulante et sensible, soulevé son haut avec une aisance toute naturelle. Oula. Elle passait sa tête de l’encolure et ne fut pas surprise de rejeter un coup d’œil au visage de l’homme devant elle, qui semblait désirer d’avancer rapidement. Cet engouement lui donnait un air très sexy et terriblement attirant. Il reposait encore sa main sur son sein ganté de sous soutien-gorge de dentelle noire, qui détonait de beaucoup de goût et de classe. Au moins, pour cela, elle n’était pas gênée, elle avait toujours quelque chose de bon goût sur elle. La main qui vint se perdre sur son fessier l’attirait doucement contre lui, et elle sentait qu’il en appréciait la rondeur et la fermeté, du mouvement de sa main. Tandis que la deuxième trouvait elle aussi son chemin vers son postérieur, le visage de son futur amant, s’attardait à son cou qu’elle lui offrait très volontiers. La chatouillant à plusieurs endroit et dont l’épiderme restait terriblement sensible après chacune de ces caresses faites de ses lèvres, alors qu’elle mordillait la sienne sous l’assaut.

Elle aussi avait fort envie de parcourir du territoire et donc, glissa ces mains de son torse jusqu’à son bas ventre, d’où elle explora les hanches. Profitant de son passage, pour tâté l’encolure de son pantalon de tout le tour avant de glisser ces mains vers ses fesses pour elle aussi tâté la marchandise. Elle rit doucement, car elle ne pouvait pas s’en empêcher, cet acharnement dans son cou réveillait des petits spasmes qui était tout à fait anodin mais qui démontrait aussi sa grande sensibilité sur cette partie de son corps. « Tu vas me faire mourir, si tu continues. » Dit-elle sur un ton lascif. Elle remonta sa main vers le menton de l’homme, pour le soulever un peu et le dégager du creux de sa gorge, avant de porter ses lèvres à l’assaut des siennes qu’elle désirait ardemment. S’attarda sur sa lèvre inférieure, comme si elle lui vouait une passion tout particulière, avant de faire de même avec celle supérieur.

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Sa main alla à l'encontre de mon menton, me forçant à rompre le contact que j'entretenais si ardimment avec son cou. Elle avait une mine épanouie, légèrement rieuse, et m'affirmait que j'allais la faire mourir. Je lui souris en retour, d'un sourire déformé par l'envie.

"Oh, et tu n'as encore rien vu, ma chère Suzanelle..."

Ma voix était grave, mais toutefois prononcée dans un chuchotement rauque, comme si ce que nous faisions les deux demeurait du secret, de l'interdit, ce qui était un peu le cas. Cependant il y avait une solennilité dans notre échange que je me refusais de rompre par une voix trop vive. Ce moment, j'en avais rêvé depuis tellement longtemps que le voir réalisé me plongeait dans une sorte d'euphorie intérieure, que je n'exprimais pas mais sentais grandement... Et cela devait se ressentir, par l'échange de baiser que ma rivale de Gryffondor débuta, me mordant lèvres inférieure et supérieure, raffermissant la poigne que j'avais sur ses fesses, rendant mon plaisir plus fort encore.

Ses mains avaient aussi caressé mes parties quelque peu sensibles, et elle avait pu en déduire tout le désir que je ressentais pour elle; que pour elle, durant cet instant. Je décidais que c'était à mon tour, de tester à quel point elle me désirait.

Je parcourais mes mains de tout son corps sans jamais interrompre nos embrassades, la laissant jouer à sa guise avec mes lèvres. J'avais jusqu'alors fait preuve d'une certaine retenue dans mes caresses, désireux de sentir l'atmosphère devenir de plus en plus coquace, chaude, au fur et à mesure que nous nous découvrions, mais désormais je ne me retenais plus. Mes doigts allèrent agilement décrocher le soutien-gorge en dentelles que la belle aux yeux bleus arborait. Je l'enlevais alors et le posais sur le lit à notre droite, puis goûtais enfin à un contact charnel avec son sein et ma main. Je me sentis raidir d'avantage alors que je la tournais, toujours sans interrompre notre baiser, pour la coucher gentiment sur le lit. J'étais au-dessus d'elle, et ne cessais de faire avancer mon bassin vers le sien. J'en voulais plus, jen voulais d'avantage. Je rompais le baiser à nouveau pour cette fois goûter à sa chair, délaissant son cou au profit de sa poitrine tandis que mes mains s'activaient à enlever son bas dans un empressement que je peinais à contrôler.

Je poussais quelques gémissements de plaisir alors que je goûtais à la douceur de sa peau, suçant, léchant la magnifique chair qu'elle offrait à moi, et que je parvenais peu à peu à découvrir ses hanches, glissant de plus en plus bas le pantalon qu'elle arborait...

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Stars can’t shine without darkness

Si elle n’avait rien vu, sur ce point elle était assez certaine. La partie ne faisait de commencé. Comment pouvait-elle s’imaginé que ce serait tout ? Impossible. Tout simplement impossible. Elle avait l’impression qu’il voulait la dévorer toute crue, il n’était pas pour s’arrêter tout de suite… Non ? Son visage s’était agrémenté d’un sourire en coin, qui se joignait à son amusement global depuis un moment. Mais l’aventure ne faisait que débuté, soigneusement et habillement, il retira le dernier pan de dételle qui la couvrait merveilleusement pour laisser libre sa peau rosé. Un léger frisson la parcourut, se rendant bien compte de la position dans laquelle elle était, alors qu’il glissait sa main pour envelopper son sein dans sa paume d’un touché doux et sensuel.

Elle se sentit doucement soulevé, au point ou soudainement elle basculait pour atterrir sur le dos à l’endroit qui semblait avoir été prévu ou voulu pour elle. Ces mains caressant son cou alors qu’ils échangeaient des caresses murmurés entre leurs lèvres. Elle sentit rompre le contact qui lui permit de prendre une goulée d’air salvatrice, avant de voir la tête de l’homme descendre vers un autre point sensible de son corps. Mordillant sa lèvre, alors qu’il titillait sa poitrine de ces lèvres charnues et sensuelles. Elle était pleinement satisfaite de sa volonté à lui faire plaisir, et elle n’arrêtait pas de se dire qu’il semblait aussi y prendre beaucoup de plaisir. Elle releva le bassin afin de l’aider à se dégager de son pantalon. Il semblait empressé à vouloir la dévêtir et dans la passion, elle ne pouvait qu’accéder aux mêmes envies, n’opposant aucune résistance à son dessein.

De son côté, elle n’était pas pour se laisser déshabiller sans se donner la peine de faire la même chose. Elle se lança sur le retrait de la ceinture de son homme. Revenu vers le haut et ayant relâcher un bref instant sa peau tendre et frémissante, elle lui jetait un regard brûlant en s’assurant qu’il sache son plaisir certain à le faire languir de ces intentions. La faisant coulisser tranquillement, se rendant plus que compte du supplice que pouvait causé la lenteur à quelqu’un qui semblait vouloir arriver au but le plus rapidement possible. Mais elle ne voulait pas rendre les choses plus mécaniques qu’ils n’avaient besoin. Après tout, le jeu de la séduction pouvait sembler être gagné d’avance, ça ne l’empêchait pas de vouloir y prendre plaisir et de donner du leste à ces mouvements et actions. Elle défit la boucle tranquillement et se mit à rouler la bande de cuir dans sa main droite alors qu’elle glissait lentement le long de la taille d’Aygaus. Hors de question, qu’elle tire dessus comme une folle enragé, elle préférait la sensation de contrôle de d’attente à la folie furieuse d’en finir, comme s’il n’y avait de plaisir qu’à l’acte charnel. La tâche effectuée, elle soupira d’aise, un sourire satisfait et un regard de défi allumé au fond de son regard. Pouvait-il autant de retenu qu’elle ? Elle en doutait. Mais si elle voulait faire durer les choses, il fallait qu’elle reprenne le contrôle de cette situation. Un sourire en coin, amusé, elle se fit rouler sur le côté puis sous elle, alors que s’affichait triomphante à califourchon sur lui. Se tenant droite un moment pour l’observer avec une mine très amusé un bref instant. Elle se pencha alors sur lui à poser tranquillement une série de baiser de la base de son cou, à ton torse, descendant toujours de plus en plus bas. S’arrêtant à son nombril alors qu’elle relevait la tête pour observer ce qui lui restait à défaire de son pantalon. D’une main, elle fit sauter le bouton. Relevant un regard sensuel vers lui, alors qu’elle se redressait pour le regarder un bref instant. Se rendait-il compte à quelle point, elle aimait le faire languir, à quelle point elle y prenait du plaisir ? Elle souffla doucement sur la série de baiser qu’elle venait tout juste de poser sur son corps, avant de terminé sa course dans le creux de son cou.

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Tout mon épiderme se contractait sous le contact des baisers de la jeune femme sur mon corps. Tout mon être était sous tension, mon coeur se refusait à décélérer la cadence de son rythme tandis que mes mains redevenaient à nouveau quelque peu tremblotantes. Alors que les lèvres de la Directrice de Gryffondor rencontrèrent mon nombril, je ne pus m'empêcher de soupirer son nom, presque comme quelqu'un demandant pitié. C'était un véritable supplice, la façon dont elle m'avait détaché lentement, sensuellement ma ceinture, se refusant à toute hâte, alors que je commençais à sentir mon empressement se faire de plus en plus grand, au même titre que mon excitation. C'était une douce et belle torture, mais une torture néanmoins. Alors quand elle s'attaqua à mon pantalon, en défaisant le bouton avec douceur, je ne pus contrôler un soupir quelque peu rauque, alors que mes mains allèrent s'enfouir dans ses cheveux. Je glissais quelques mèches derrière son oreille, puis lui caressais le visage. Elle était sur moi, elle menait la danse, son souffle chaud contre mon bas-ventre ne faisait que de me rendre de plus en plus hors de contrôle. Je devais être bouillant, la notion de temps et d'espace était devenue vague, et je ne parvenais pas à penser à autre chose que la femme qui était au-dessus de moi... qui me dominait.

Cette femme, je la voulais, maintenant. Je me contenais depuis très longtemps, et continuais à le faire, sous le regard complice et joueur de cette merveille aux yeux enivrants, que j'accueillais désormais au creux de mon cou. Je profitais alors de sa proximité pour glisser une de mes mains le long de ses courbes, partant des épaules que je savais robustes, glissant doucement le long de son dos qui avait une posture toujours droite et fière, pour s'arrêter un moment vers ses hanches, que je saisis avec une poigne quelque peu forte, ce qui m'arrachait un autre soupir, me laissant choir dans mes fantaisies. Ma main alla alors rencontrer ses fesses, que je parcourais de légères caresses. Je profitais d'un moment où ses lèvres furent libres de mon cou pour les plonger à nouveau dans les miennes, tandis que mon autre main se décidait à suivre un parcours différent...
... Je dessinais de cette main le galbe de chacun de ses seins avant de descendre sur son ventre, le chatouillant un tantinet d'affectueuses caresses au niveau du nombril, avant de descendre plus bas, m'arrêtant à la hauteur de son bas-ventre.

Je voulais goûter à son envie, je voulais savoir à quel point elle me désirait, là maintenant tout de suite. J'en étais impatient... Suzanelle savait que tout mon être lui était dédié en cet instant précis, et que j'étais tellement rempli de désir que cela en devenait une douce torture, mais elle... ?

Ma main, gentiment, avec précaution, se glissa alors au niveau de son intimité, que je frôlais. La noiraude était dessus moi, elle aurait le loisir d'ôter ma main si elle venait à la gêner, aussi, j'osais glisser sensuellement mon doigt, voulant constater de son état d'excitation, alors que le mien devenait insoutenable. Je continuais pendant ce temps à prendre le contrôle de sa bouche, l'explorant comme s'il s'agissait de la toute première fois, tandis que mon doigt exerçait une très légère pression sur son petit organe. A ce moment, je rougis en me demandant quel stimulus la rendait sauvage, la faisait perdre tous ses moyens. Au travers de notre baiser, j'eus un sourire grivois, me jurant de le découvrir, alors que je stimulais son clitoris, à l'écoute de ses murmures possibles. Je rompis quelque peu la distance de nos lèvres, juste assez pour être en mesure de susurrer ces mots.

"Est-ce à ta convenance, love ?"

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Stars can’t shine without darkness Sue & Aygaus

C’était avec beaucoup d’appétit qu’elle s’élançait dans le cou de l’homme qu’elle surplombait. Elle était satisfaite de son état actuel, près à exploser à tout moment. Le regard qui lui jetait à chaque fois que leurs yeux se croisaient lui donnait pleinement des envies obscènes et complètement délirantes. Déjà qu’elle était ici, dans sa chambre, c’était quelque chose d’assez osé. Entre deux souffles, ses lèvres furent requissioné par Lyard qui en prit pleinement possession et un bref moment, elle ne fit que lui suivre docilement se demandant ou l’homme voudrait bien l’amener dans son propre délire. Goulument, elle savoura chacune de ces attentions alors qu’elle sentait les mains de l’homme parcourir son corps. Elle-même trop occupé à s’empêcher de se laisser complètement tombé sur lui, ces deux mains étaient bel et bien pris à se soutenir sur le matelas. Les sensations étaient agréables et elle le faisait savoir par de petit son de contentement alors qu’elle sentait qu’il prenait ce qu’il désirait entre des mains, sous ces doigts.

Elle sursauta en se rendant compte de ou il était rendu. Par surprise, mais aussi parce qu’elle avait toujours été très sensible à cet endroit précis. Son excitation humidifiait ces sous-vêtements et un peu déstabilisé dans cette position, dû simple fait qu’elle ne pouvait rien faire actuellement autre que l’embrasser et subir les assauts de ses doigts qui semblaient vraiment vouloir accorder une importance majeure à son propre plaisir alors qu’elle en était si vulnérable. C’était comme si chaque caresse, chaque touché, faisait monté sa température d’un degré, et la faisait définitivement réagir. Elle se doutait bien qu’elle n’était pas la première femme que l’enseignant emmenait dans son lit, mais elle pouvait se dire une chose, il ne tardait pas à aller directement aux buts. Elle ne savait pas si elle en était agacée ou si elle appréciait complètement obnubilé par l’attaque que son bas-ventre subissait. Au moins, Sue pouvait se dire une chose, il semblait vouloir tout tenté pour obtenir son approbation et la satisfaite; la Directrice des Gryffons en était tout à fait enchanté. Elle rit doucement, avant de le balancer pour que ce soit lui qui la surplombe. Elle ponctua d’un ‘’Hum’’ d’appréciation, alors qu’elle se remettait à l’embrasser avec langueur.

Avait-elle vraiment besoin de parler ? Nah, pas vraiment. S’il faisait des choses qu’il ne lui plaisait pas, elle se chargerait de lui en glisser un mot ou deux. Love… Personne ne l’avait jamais appelé comme cela, ça l’échauffait drôlement; mais elle se dit qu’il devait dire cela à toute, et qu’elle n’était qu’une femme de plus. Elle préférait vraiment quand il utilisait son nom ou quand il utilisait un diminutif, au moins, elle était sûr que cela à elle qu’il pensait alors que ces mains parcourait langoureusement son corps. Il n’avait plus autant de loisir de la chatouillé par-dessus-elle maintenant, occupé à essayer de ne pas l’écraser. Elle n’espérait qu’une chose, qu’il n’ose pas descendre plus bas pour ces explorations. Elle espérait qu’il se contenterait d’une relation classique, quoiqu’elle en doutait un peu actuellement. De ces mains, elle expulsa le haut du pantalon de l’homme au-dessus d’elle, dont elle finit par pousser tranquillement de ces genoux et pieds pour qu’il se trouve jusqu’au cheville d’Aygaus. Elle faisait glisser doucement des cuisses contre les siennes, alors qu’elle recommençait à glisser ces mains de ces épaules à son torse qu’elle découpait entre ces doigts.

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This Night, You're My Queen

Let's have some fun, shall we ?.

Ce ne furent pas des mots qui me répondirent, mais un râle. Un souffle, un petit "hum" apparemment satisfait, qui agrandit mon sourire grivois. J'avais son accord, et je sentais, ô diantre que je le sentais, qu'elle me désirait ardument en ce moment - même, mon doigt commençant à s'humidifier à mesure que mes caresses se poursuivaient.

Je l'embrassais, encore, et toujours. Je ne m'en lassais pas, je m'amusais avec sa langue, goûter à sa texture, pincer doucereusement ses lèvres de mes dents, tandis que mon esprit s'en allait au loin, monter au ciel et enlever toute autre pensée dans ma tête. Seule Sue était présente, seule Sue existant en cet instant.

Quand elle m'enleva complètement mon pantalon, je sentis encore mon épiderme se contracter, surtout quand ses douces jambes vinrent croiser les miennes, et que ses mains parcouraient mes épaules. C'était ... bon. Elle continuait dans ce jeu, je la savais excitée, je la savais désireuse de moi.

Mais le doute persistait.

Voulait-elle plus ? Voulait-elle que cela reste ainsi ? Je ne doutais pas qu'elle m'informerait si ce que j'entreprenais ne lui plaisait pas, mais j'avais tant la crainte d'être rejeté que je n'osais point approfondir mes caresses à son intimité, pas tout de suite du moins. Il me fallait... le savoir, autrement, je sentais que je risquais de laisser la raison reprendre le dessus...

Quelle raison, pourrait-on penser... ?

Alors que nos lèvres se séparaient et se rencontraient sans cesse, je ne pouvais m'empêcher de penser que je désirais plus que simplement physiquement cette femme, et ce, depuis toujours. Depuis mes jeunes années à Poudlard, avant-même l'éveil de ma propre sexualité. Elle représentait force, stabilité et maîtrise de soi qui avaient toujours suscité mon admiration. J'avais tant pensé à elle, et ce soir, elle était là, sous moi, devant moi, s'offrant à moi.

Seulement physiquement, certes...

Mais j'en désirais plus. J'étais...

... Amoureux.

Sans doute.

Dans tous les cas, je n'avais que rarement connu un aussi grand bien-être qu'en l'ayant proche de moi, partageant ces instants si précieux.

Je rompis alors notre baiser et l'observais dans le blanc des yeux, des yeux bleus, enivrants, puissants, perçants qui me fixaient... avec envie, du moins j'osais l'espérer.

Je cessais les caresses de son clitoris, et je mis doucement mon doigt tout humide dans ma bouche sans rompre notre contact visuel. Mon autre main alla pendant ce temps caresser la joue de la magnifique jeune femme qui partageait mon lit.

"Merci... Sue...."

Merci pour ces moments. Merci de me donner une partie de ce que je rêvais d'avoir, merci de m'accorder ta confiance...

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Je glissai mes cuises sur les siennes, caresse souple alors que mes mains s’attardait au haut de son corps. Nos lèvres communiaient, communiquaient à leur manière bien définie et tout simplement délicieuse. J’avais chaud, j’avais envie. Très envie. Fini les petits jeux, l’espièglerie. Il se tenait au-dessus de moi et je palpitais sous le toucher de ces doigts, sous la caresse de ces lèvres. J’étais impatiente. Quelle drôle de revirement, moi qui avait voulu ralenti les choses, subissait le contrecoup de mon propre désir. De mon pied, je me tendis, en profitai pour glisser la plante de son pied droit sur le talon de l’homme et remonter doucement sur son mollet.

Le contact de nos lèvres se rompit et j’étais dans l’attente cuisante, mais il me fixait intensément et je lui retournais le même regard intense de désir non assouvis. Je ne savais pas trop ce qu’il avait derrière la tête, outre le fait de s’envoyer en l’air avec moi, à cet instant précis. Mais déjà que j’étais dans l’anticipation et l’attente, ce retrait fit bondir mon agacement. J’en pouvais plus, je voulais plus. Je voulais tout. Son doigts dans sa bouche, il avait l’air d’apprécié de me goûter, je souris en coin, salace et plein de sous-entendue dans le regard. Aimait-il me goûter ? Si oui, j’étais bien prête à devenir une vraie drogue pour lui. Lui dévorant de désir et de frustration pour moi, me plairait bien. C’était ce genre de relation que j’aimais. Quelque chose de simple, sans tracas et complètement torride.

J’ignorais pourquoi il me remerciait et je n’en fis pas tout un plat. J’aurais préféré qu’il ne pense qu’à leur activité présente plutôt que de faire marcher sa cervelle, mais ce n’était pas très grave. Ma main contourna son épaule pour capté la sienne et plus précisément ce doigt qui s’était lancé pour me caresse plus tôt. «Tu me remercieras beaucoup plus par la suite. Love.» Dis-je sensuelle en insérant les mêmes doigts dans ma bouche, le suçant doucement, mon regard toujours fixé dans celui d’Aygaus. Je retirai le doigt, tout en embrassant la basse de sa paume de mes lèvres. Puis la relâchai, reprenant possession de ces lèvres. Distendue sous lui, le cou légèrement relevé pour le capter d’un baiser, avant de se laisser retomber la tête sur le lit.

«Tu aimerais que…» Je souris pour moi-même, bien sûr qu’il aimerait. Je jouais un peu les innocentes, mais je savais que tous ce que je pouvais penser faire à un homme, il appréciait habituellement. Je laissai ma main droite suivre son flanc avant de glisser délicatement mes doigts de sa taille, le long de sa fesse. Contournant le galbe, je contournai alors sa hanche pour venir caresser son érection de ma main, englobant d’abord le bout et coulissant doucement vers le bas avant de remonter très lentement. «Plus...vite ?» Souriais-je espiègle, je savais le mouvement très lent et doux, habituellement c’était une vrai torture pour eux d’y aller si doucement. Si lentement. Je continuais de le fixer d’un regard brûlant, avec la ferme intention de ne pas l’embrasser de nouveau à moins qu’il ne se décide lui-même; mes lèvres pourraient très certainement trouvés d’autre chose à caresser.

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