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Une oreille attentive - avec Taylor
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Message(#) Sujet: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 1:45

Une oreille attentive

Le dînée était terminé et elle retournait vers son bureau travaillé quelques heures avant d’aller se coucher par la suite. Après tout, c’était de longue journée à Poudlard qu’elle vivait à chaque jour. Aujourd’hui il avait fallu qu’elle règle une histoire entre deux de ces élèves qui s’étaient battus, deux 2e années qui avaient un peu perdus la boule. Elle avait eu la chance de les attrapé par le collet alors qu’elle circulait dans les couloirs sans qu’aucun préfets ou autre enseignant n’intervienne. Bon, par le collet, c’était une expression. Après s’être tenu entre les deux garçons et avoir posé sa main sur chacun de leur front pour créer de la distance, il n’y avait plus vraiment d’hostilité. Elle leur avait très vivement conseillé de la suivre dans son bureau pour qu’ils puissent parler les trois ensembles. Elle ne se plaignait aucunement de devoir les gérer après tout, c’était aussi son travail, et elle était réussi à faire revenir un peu de bon sens dans la tête des jeunes gens. Après tout, il n’était pas idiot, juste un peu trop naïf et inconscient de leur acte. C’était des enfants, il parlait sans penser et agissait comme si ça ne pouvait blesser personne. Cet état de consciente n’était pas très développé, encore plus chez des jeunes garçons qui débordaient d’optimiste, si l’on pouvait nommer les choses ainsi, et d’énergie à revendre. Après leurs échanges, elle espérait que les choses allaient se calmer entre eux. Elle n’appréciait pas vraiment de punir les étudiants à moins que cela soit réellement nécessaire, après tout, tout le monde pouvait s’améliorer et elle avait toujours été optimiste pour voir le bon dans chacun, pourquoi pas chez ces gamins ?

Elle n’était pas vraiment pressée et en même temps n’était pas du genre à se traîner les pieds, c’était avec un pas calme et assurée que reprenait la direction vers son bureau. À peine la porte refermé derrière elle, qu’elle s’avoua vaincu, elle n’avait pas vraiment envie de continué à bosser, ces jeunes l’avaient drainées. Elle retira ces chaussures qu’elle projeta vers le dessous de son pupitre et puis s’assit sur son canapé, et pris son charmant petit coussin rond qu’elle posa sur ces genoux. Elle regardait la pile de document sur son pupitre d’une œil mauvais comme si cela pouvait le faire disparaître. Elle jouait d’une main distraite avec une couture, pendant qu’elle se laissait aller contre le dossier. Il fallait qu’elle trouve de bonne manière d’agrémenté les cours sinon elle-même finirait par trouver cela barbant. Elle essayait de déterminer quoi faire avec ce nouveau sortilège de 4e qu’elle vouait leur enseigner. Éliminant au fur et à mesure les choix. Sa tête balancée par en arrière et ces pieds sur la table basse, elle était vraiment dans une position superbe, à vrai dire non vraiment pas, mais elle était bien s’était ça l’important.

Trois coups fermes donnés sur la porte d’entrée de son bureau la tirèrent de ses pensées.
« Entrez. » Mais comme personne ne poussait la porte, elle se leva après quelques instants, le coussin toujours entre les mains pour se diriger vers la porte qu’elle ouvrit prestement. Elle voyait une tête brune et une carrure qu’elle connaissait un peu pour être la jeune Williams, Taylor de son prénom qui semblait avoir changé d’avis car elle semblait décidée à partir. « Taylor, un soucis ? » Dit-elle en franchissant la pas de sa porte. Sans ces chaussures le parquet était glacé à l’extérieur de son bureau, elle en avait des frissons qui lui parcouraient les jambes. Attendant la réponse de la demoiselle, elle resta à attendre, ouverte après tout à l’aider peu importe ce qui l’avait mené à son bureau si tard dans la soirée.

Rappel du look du bureau:
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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 4:09



"Une oreille attentive"




¤ Je n'avais rien mangé ce soir-là hormis des légumes. Étais-je au régime ? Pas du tout. Quand je mangeais, je mangeai. Non, le menu de la soirée ne se constituait pratiquement que de poissons, ce que je n'étais plus capable de digérer. Mon estomac me faisait horriblement mal en plus que j'avais envie de vomir... Avant, j'adorais en manger mais maintenant, je ne le peux tout simplement plus, non par dégoût mais par mon anatomie très particulière... J'avais appris à Matt', qui se tenait à côté de moi, de ce gros désavantage. C'était quelque chose avec quoi je ne pouvais pas rigoler et je lui en avais fait part. Juste voir ce poisson frit me rendait mal à l'aise sans que je ne sache vraiment pourquoi. Je détestais ça...

~ Après mon super souper aux légumes et une bonne discussion avec Matthew sur un peu tout, je me suis levée avant tout le monde, marchant jusque dans la toilette la plus proche du quatrième étage (j'avais pensé à retourner dans ma salle commune après avoir été dire un bonne nuit à mon copain) où je me suis regardée dans le miroir avant d'ouvrir le robinet. L'année passée, aussitôt qu'une goutte d'eau touchait mon épiderme, je me transformais. J'avais appris à contrôler et maintenant, seulement des écailles poussaient. Je me suis donc mise à mettre de l'eau dans mes mains avant de m'asperger le visage avant de fermer le robinet. À l'heure actuelle, je devais avoir ces trucs de poisson parcourant un peu mes jambes mais heureusement que ça ne pouvait pas paraître, portant mon uniforme. Néanmoins, ça n'allait pas affecter mes performances au Quidditch, surtout que je menais un peu la vie dure à mon équipe afin qu'ils puissent être prêts lors de la partie contre Serpentard alors je me dis qu c'est une bonne chose que je ne me transforme pas lorsqu'il pleut sinon ça aurait été assez gênant merci...

~ J'ai donc sortie de la salle de bain, ayant soudainement une idée. Je me suis demandée si je ne pouvais pas parler de tout ça avec quelqu'un de confiance qui ne se trouvait pas parmi les élèves, une personne professionnelle, un peu comme Laskovick à l'époque... Le nom de la nouvelle directrice de Gryffondor me vint en tête. J'ignorais si vraiment je pouvais compter sur elle à ce niveau-là mais je devais essayer. Peut-être que ça me ferait un peu de bien que de me déballer ? Là, en plus, le souper devait être terminé vu que j'avais passé dix minutes à la salle de bain et que j'avais quitté la table quelques minutes avant les autres élèves... Maintenant, ça allait faire quinze minutes en fait... J'ai donc pris la direction du bureau de madame Pelvenche, qui se situait tout près de l'endroit où j'étais. Je n'étais encore jamais entrée dans cette pièce-là alors il y avait bien une première non ?

~ Après plusieurs minutes de marches, je me rendis à l'endroit convenu, soit devant une porte. Je mis quelques secondes, hésitante, avant de cogner trois coups à la porte. J'attendis une dizaine de secondes, voyant que ça semblait ne pas me répondre alors je me suis dit que je reviendrai demain, avant le souper. C'est là que j'entendis la porte s'ouvrit d'un coup, derrière moi, où je me suis retournée, voyant madame Pelvenche. Je l'entendis me dire, s'avançant jusqu'à l'extérieur, où elle était nue-pieds, ce qui devait être bien frais vu la fraîcheur du sol :

« Taylor, un soucis ? »

~ Je restais immobile quelques secondes avant de lui répondre, laissant mes bras couler chacun des côtés de mon corps :

« Bonsoir professeur, pardon du dérangement... En fait, j'aimerais bien vous parler d'un truc qui me tiens bien à cœur mais j'ai besoin de savoir si je puis vraiment vous faire confiance... » Dis-je, en regardant madame Pelvenche dans les yeux, espérant qu'elle m'invite à entrer parce que je refuserais de dire quoi que ce soit, dans le couloir malgré que je pourrais jeter un "Assurdiato". J'avais besoin de savoir si vraiment je pouvais lui faire confiance malgré que je savais qu'elle semblait fiable mais pour ce genre de chose, c'est totalement différent...

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 5:20

Une oreille attentive

Alors que la jeune fille se tournait vers elle et qu’elle-même s’enquérait de sa venue, elle put remarquer quelques instants d’hésitation. Après tout c’était normal, elle était une adulte plutôt inconnue, mais elle savait être de bon secours lorsque c’était nécessaire. Ainsi donc alors qu’elle finissait par ouvrir la bouche, je décelai un manque de confiance en sa personne de la part de la jeune Gryffonne. Elle sourit doucement, et se plaça sur le côté de la porte pour lui faire une place pour qu’elle puisse rentrer avec un mouvement vers l’intérieur de son bureau pour lui montrer le chemin. « Tu ne me dérange pas le moindre du monde. » En fait, tu me sauves, pensa-t-elle en était soudainement plus qu’heureuse d’avoir de bonne raison de laissé ces pensées et ces notes très loin pour le moment. « Bien sûr que tu peux me faire confiance, allez entre, il fait froid le soir dans les couloirs. On est bien mieux à l’intérieur. » Elle lui sourit gentiment. « Je vais faire du thé, en veux-tu une tasse, pour te réchauffer ? »

C’était peut-être un peu vieillot, après tout elle n’aimait pas vraiment les choses contemporaines, les murs de son bureau était placardé de vieux livre de sortilèges, d’histoire de la magie et certain ouvrage obscur qui semblait tous daté d’un nombre incalculable d’année. Son mobilier était tous ces pièces qu’elle avait trouvées chez des antiquaires et non des pièces achetées neuves. D’ailleurs, elle trouvait que cela donnait du cachet à la pièce et que ça la rendait plus intéressante. Il y avait plusieurs couleurs, textures et motifs différents mais tout s’harmonisait élégamment ensemble.

Alors que la jeune fille passait le seuil, elle referma la porte, se dirigea vers le fond de la pièce, laissa son cousin favoris sur la table et s’installa devant ses tasses et théière était afin de faire bouillir de l’eau chaude pour le thé. Sortit sa baguette et l’agita gracieusement. Elle se retourna vers la demoiselle qui n’était certainement jamais venue ici, et qui semblait un peu curieuse malgré tout.
« Installe-toi comme chez toi. Prend le divan, si tu veux. Met toi à ton aise. »

Son ensemble à thé aussi n’était pas de son premier usage, une porcelaine ouvragé avec de jolies petites fleurs rosées. Elle était tombée sous le charme de leur forme ancienne qui remontait comme une fleur dans les mains de la personne qui la tenait, et de sa petite hanse qui semblait un modèle de tige enroulée sur elle-même. Elle les inspectait pour s’assurer qu’elle soit bien propre. Et ouvrit la théière dans les mêmes couleurs de même motif que le reste de l’ensemble pour s’assurer que l’eau était bien chaude. Une petite fumée d’eau s’évapora du couvercle qu’elle soulevait. La théière sur son plateau et les tasses sur des petites assiettes, elle les posa sur la table, avant de se tirer une chaise car comme elle le pensait la jeune fille préférerait probablement le canapé. Le dossier en avant elle, elle passa ces jambes de chaque côté de la chaise.
« Avant que tu ne disse quoi que ce soit. Dis-moi simplement pourquoi tu penses que tu ne pourrais pas me faire confiance. Je ne veux pas que tu te sentes obligé en quoi que ce soit, Taylor. » Le pire serait qu’elle lui dise quelque chose qu’elle regretterait par la suite. Les regrets étaient la pire gangrène dans l’esprit de quelqu’un. Elle le savait trop bien, après tout elle avait regretté pendant 3 ans, de ne pas avoir parlé autant qu’elle le voulait avec son père après qu’il ne soit mort; ce mal avait perduré et elle avait encore de la misère à se souvenir de cette période de sa vie qui était beaucoup trop sombre pour qu’elle puisse y voir clair. « Si tu veux, on peut papoter, le temps que tu te décides. Rien ne presse… Je serai encore ici demain, et les autres jours.» Elle parlait sur un ton doux et agrémenta sa réplique d’un sourit tout aussi doux.
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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 6:18



"Une oreille attentive"




¤ J'étais dorénavant devant le professeur Pelvenche, prête à lui parler un peu plus de qui j'étais, voir même solliciter aide ou encore son support. Je ne la connaissais pas beaucoup, encore, mais quelque chose me disait que je pouvais me fier à elle, voir même me confier si nécessaire. J'ai Matthew et Alasteia envers qui je me confie mais une personne plus vieille ayant déjà un vécu peut parfois être une meilleure option quand on recherche un peu de réconfort. Madame Pelvenche avait donc sourit à mes paroles, se plaçant sur le côté afin de me laisser entrer dans son bureau, en disant, souriant gentiment : « Tu ne me dérange pas le moindre du monde. » J'ai donc sourit avant d'entrer à l'intérieur lorsqu'elle disait, d'une voix rassurante : « Bien sûr que tu peux me faire confiance, allez entre, il fait froid le soir dans les couloirs. On est bien mieux à l’intérieur. » J'ai donc remarqué une jolie pièce avec un canapé qui semblait être confortable, une bibliothèque, une table ainsi qu'un bureau, évidemment. N'étant pas chez moi, je restais plantée au milieu de la pièce, poliment. C'était un des seuls professeurs envers qui j'accordais autant de politesse. Du moins, c'était peut-être parce que j'avais vieilli... La voix rassurante de madame Pelvenche revint à mes oreilles : « Je vais faire du thé, en veux-tu une tasse, pour te réchauffer ? »

¤ Elle avait raison, il faisait froid dans les couloirs. J'étais une frileuse née, surtout... Je la trouvais très gentille, néanmoins. Elle m'offrait une tasse de thé. Je n'étais pas très fanatique de cette substance mais la refuser serait impoli et je voulais faire bonne impression afin que madame Pelvenche ne pense pas que je ne suis qu'une mauvaise élève malpolie. En la regardant, je lui répondis donc, en frottant mes mains ensemble :

« J'accepte volontiers cette tasse de thé en vous remerciant de m'avoir reçue ! » Dis-je, arrêtant de frotter mes mains, avant de tirer mes cheveux derrière mes oreilles, pendant que madame Pelvenche fermait la porte. « Vous avez raison, c'est un peu frais dehors... J'ai des frissons à rien... Je n'ai jamais réussi à m'habituer au climat de l'Angleterre même si ça fait environ 7 ans que j'y suis... » Dis-je, en haussant des épaules, me trouvant ridicule à ce point-là. J'étais comme Siobhan, incapable de m'adapter niveau température.

¤ J'étais toujours impressionnée de l'intérieur qui n'était pas très complexe et je m'y sentais plutôt à l'aise en vérité, je ne savais pas pourquoi. La pièce n'était pas très grande et je n'ai jamais été fervente d'une pièce énorme. Cependant, je n'osais pas bouger malgré que j'aie une folle envie de me jeter sur le canapé. C'est là que la prof' me dit :

« Installe-toi comme chez toi. Prend le divan, si tu veux. Met toi à ton aise. » Je lui souris avant de me rendre vers le canapé où mon esprit voulait que je me jette dessus mais j'étais invitée donc je pris simplement place en m'asseyant normalement, croisant mes jambes l'une par-dessus l'autre, restant silencieuse pendant qu'elle préparait le thé. Je la regardais faire, simplement pour passer le temps. Elle termina donc, avant de déposer les tasses sur de petites assiettes, sur la table. Elle prit place sur une chaise pendant que moi j'occupas le canapé. Néanmoins, la prof' s'était assise de manière à avoir le dossier en face d'elle, ce qui me fit douter du confort de la position mais je n'y fis aucun cas. Madame Pelvenche ouvrit ainsi un nouveau dialogue :

« Avant que tu ne disse quoi que ce soit. Dis-moi simplement pourquoi tu penses que tu ne pourrais pas me faire confiance. Je ne veux pas que tu te sentes obligé en quoi que ce soit, Taylor. » En l'écoutant parler, je pris ma tasse de thé en prenant une petite gorgée du liquide bouillant avant de le déposer de nouveau sur la petite assiette. Il était très bon le thé. En même temps, j'hésitais voir si je devais lui parler de mon "hybrisme" ou bien voir si réellement je pouvais me confier à elle comme je le faisais si bien à Matthew et Alasteia. Je n'eus pas le temps de répondre quoi que ce soit, elle continua : « Si tu veux, on peut papoter, le temps que tu te décides. Rien ne presse… Je serai encore ici demain, et les autres jours. » Le ton qu'elle employa me donna davantage de confiance tout comme son sourire. Je me suis donc mise à m'asseoir "normalement", dépliant mes jambes, mettant mes mains chaque côté de moi, sur le divan. Mon regard se pointa sur madame Pelvenche où je lui répondis :

« Ce que j'ai à avouer, madame Pelvenche, est quelque chose que peu d'êtres humains vivent en ce monde... J'ai confiance en vous mais c'est que vous pourriez... me juger... » Dis-je, tristement. « Avant de me préparer à quoi que ce soit parce que je dois voir de quelle façon je le dis, je suis pour l'idée de papoter un peu... Sur quel sujet pensez-vous que nous pouvons commencer à papoter, professeure ? » Dis-je, de mon éternel accent australien, en souriant.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 8:15

Une oreille attentive

Mais elle était transi de froid, elle le voyait bien alors qu’elle frottait ces mains l’une contre l’autre La pauvre enfant, même si elle n’avait rien à lui dire, elle l’aurait quand même invité à entrer pour se réchauffer. Elle accepta la tasse de thé, elle sourit en se disant que ça allait au moins l’aider à se réchauffer un peu. Oui, elle avait lu cette information quelques parts, il n’était pas d’ici. Du sud, ou était-ce l’Australie. Ce n’était pas très grave, d’autant qu’elle ne se prenait plus pour un glaçon dans le couloir. « J’ai toujours habité ici, et je ne m’habituerai jamais au froid. Alors ne vous en faites pas. Y’a des feux et des cheminées pour nous aider, ainsi que de bonne coupe de thé fumant pour se tenir au chaud. » Elle avait l’air figé comme si elle ne savait pas quoi faire de son propre corps, elle l’invita à utiliser le siège le plus confortable qu’elle-même avait quitté il y a de cela quelques instants à peine. Elle s’y assit comme toute fille de bonne famille, beaucoup trop raide pour être à l’aise, après tout, elle-même avait eu une éducation assez strictes sur les bonnes manières, la courtoisie, comment se tenir et autre alors qu’elle n’était qu’une gamine. À mon retour vers le centre de la pièce, déposant le plateau au centre de la table et prenant place sur une chaise.

Au moins, Sue constatait qu’elle se détendait un peu. Elle prenait une tasse et pendant qu’elle buvait et semblait apprécier le breuvage, la directrice lui suggéra de papoter un peu pour détendre l’ambiance, dès lors sa position changea sur le canapé et elle lui fit un sourire très doux. Au moins quelque barrière commençait à tomber, elle se sentait plus à l’aise et faisait un peu plus confiance à son aînée. C’était déjà un bon début. Sa langue se déliait tranquillement comme ces jambes quelques instants plus tôt. Elle avait peur de se faire juger. Elle pouvait comprendre à cet âge, les jeunes étaient facilement sensible à tout ce qui les entouraient, si elle sentait du refus ou de la réticence de sa part elle en sortirait énormément blesser. Elle avait l’ai mélancolique par la suite. J’étais du même avis, commençons par papoter tout simplement, ça serait plus simple et la confiance viendrait ensuite.

« Qu’allez-vous faire l’an prochain? Avez-vous déjà choisi un cursus pour l’université ? » Après tout, elle se souvenait, sa 7e année avait été assez cruciale sur ce point lorsqu’elle avait eu son âge. Damien et elle s’était séparé peu de temps avant la fin de l’année à cause de différente choses; entre autre qu’elle n’avait plus le moral à faire quoi que ce soit après la mort de ces parents. « Ou nous pouvons parler garçon. J’ai vu l’attention que vous portiez au jeune Levingston. Sinon, tous ce qui vous conviendras, je vous invite même à me bombardé de question, si votre curiosité l’emporte. » Après tout, c’était souvent plus simple de connaître et de faire confiance à quelqu’un lorsqu’on le connaissait mieux. Du moins, c’était comme cela qu’elle le pensait et qu’elle avait toujours agi. «Ou encore, comment avance les préparatif pour les qualifications pour l’équipe de Quiditch, Mlle la Capitaine des Gryffondors.» Elle sourit gentiment. « Votre choix sera le mien. »

Elle attrapa sa propre tasse et sous-coupe qu’elle remplit de son thé favori. Il y avait des petites touches de cannelle si agréable par le froid que l’extérieur présentait à tous. Ces mains se réchauffaient sur la porcelaine blanche. Elle prit une gorgée puis la redéposa sur la sous-coupe qu’elle maintenant de sa main gauche, signe distinctif qu’elle était droitière. Le liquide chaud et réconfortant glissait le long de sa gorge.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 7 Oct - 23:55



"Une oreille attentive"




¤ J'étais entrée, pour la première fois, dans le bureau du professeur Pelvenche qui m'avait plutôt bien accueillie. C'est le ventre presque vide que j'ai entré, laissant la froideur du couloir à la chaleur de la pièce dont je me trouvais maintenant. Le professeur m'avait offert une tasse de thé que j'ai accepté avec plaisir malgré que je ne sois pas si fanatique de cette boisson si populaire parmi les Britanniques. Pendant que j'entrais, elle disait : « J’ai toujours habité ici, et je ne m’habituerai jamais au froid. Alors ne vous en faites pas. Y’a des feux et des cheminées pour nous aider, ainsi que de bonne coupe de thé fumant pour se tenir au chaud. » Je lui souris, en guise de réponse. Le thé était tellement un cliché de l'Angleterre, comme les kangourous et koalas en Australie. Je savais que ce pays n'était pas froid comparativement au pays natal d'Éléonore où je n'ai jamais été ou encore les pays scandinaves. Pour moi, c'était tout de même froid. J'étais une frileuse-née. Quand l'hiver arrivait, je me mettais souvent deux pulls en-dessous de mon manteau... Bref, j'ai accepté son invitation quant à m'asseoir sur le canapé où l'envie de me jeter dessus comme je le faisais souvent dans la salle commune mais je me suis limitée à m'asseoir "normalement" afin d'être polie en compagnie de la professeure. J'avais commencé à me détendre, l'observant terminer la préparation du liquide bouillant avant de mettre le tout sur la table où elle s'assit, à son tour, sur une chaise mais avec le dossier devant elle...

¤ Le goût de la boisson chaude était bien agréable, je me demandais à quoi correspondait son parfum. En tout cas, le sourire doux de madame Pelvenche me mettait davantage en confiance à ce que je voulais lui dire. Je n'ai jamais été une personne gênée ou peureuse mais il s'agit de quelque chose de très privé. Je voulais davantage avoir la confiance de la directrice de Gryffondor avant de trop m'avancer sur ce genre de sujet. Je savais qu'elle était une personne fiable au moins... Je lui avais demandé que l'on papote avant de devoir aller "plus loin", surtout que c'était la prof' qui l'avait proposé à la base.

« Qu’allez-vous faire l’an prochain? Avez-vous déjà choisi un cursus pour l’université ? » Pendant qu'elle parlait, j'avais pris une nouvelle gorgée de thé, me posant de sérieuses questions sur ce qu'elle venait de dire. Je ne savais même pas ce qui m'attendait à la fin de l'année. Je me disais que j'avais encore l'année actuelle pour y réfléchir et que j'allais devoir trancher à la fin. Soit je poursuivais mes études à l'université, soit je retournais vivre en Australie ou j'irais vivre en Californie. Le seul problème restait que je préférais rester près du garçon que j'aime et que je n'avais pas l'intention d'abandonner. Cependant, Pelvenche pouvait m'aider à éclaircir ma voie si je faisais un cursus universitaire. La directrice me surprit lorsqu'elle proposa un nouveau sujet : « Ou nous pouvons parler garçon. J’ai vu l’attention que vous portiez au jeune Levingston. Sinon, tous ce qui vous conviendras, je vous invite même à me bombardé de question, si votre curiosité l’emporte. » Je ne pensais pas qu'elle s'était attardée à mon couple avec le préfet de Serdaigle ou du moins, qu'elle l'avait remarqué. Il est vrai, cependant, qu'elle l'a peut-être vu lors de son cours... En fait, ça ne me dérangeait pas de discuter de ça avec elle, surtout qu'elle pouvait me donner des conseils après tout. Dans son passé, elle a dû connaître l'amour non ? «Ou encore, comment avance les préparatif pour les qualifications pour l’équipe de Quiditch, Mlle la Capitaine des Gryffondors.» Elle souriait gentiment. « Votre choix sera le mien. »

¤ Pendant qu'elle buvait sa tasse de thé, je réfléchissais aux sujets mentionnés, sachant qu'ils étaient vastes me concernant et que je pouvais en parler pendant une heure en entier. Ce que je voulais lui dire, allait venir plus tard. Néanmoins, ça faisait bizarre d'avoir une discussion du genre avec un professeur parce que jamais l'un d'eux n'a été fanatiques de ma personne vu mon comportement un peu trop rebelle. Depuis l'année passée, ma maturité avait largement monté et j'étais bien moins le garçon manqué que j'étais auparavant. Matthew l'avait, évidemment, remarqué rapidement mais n'en faisait pas un cas, heureusement parce que malgré tout, je n'abandonnerais jamais son amitié qui m'est précieuse... Je mis plusieurs secondes à ouvrir la bouche, où je pris encore une gorgée de thé. Je sentais le goût de cannelle sur ma langue, qui fut encore une merveilleuse sensation. Déposant la tasse sur l'assiette (je ne faisais pas comme Pelvenche qui prenait l'assiette et tout), je mis mes mains sur mes cuisses, regardant la prof' avant de dire, souriante :

« Olà, tant de sujets intéressants ! Je vais donc débuter par mon avenir... Présentement, je vais vous avouer que je n'ai rien prévu du tout et que je ne sais même pas où je m'en vais, l'année prochaine... J'ai pensé Langue-de-Plomb, je sais pas trop... Et j'ai pas envie de faire une carrière dans le Quidditch... Avant, je rêvais de devenir une surfeuse, comme le fut mon défunt père mais je suis devenue une sorcière donc... » Dis-je, haussant des épaules, avec une pause de plusieurs secondes, sans lâcher madame Pelvenche des yeux. « Mais puisque vous avez lancé le sujet, on peut bien parler de garçons aussi ! » Dis-je, en rougissant un peu sur mes joues. « C'est vrai, j'aime Erwan et je ferai tout pour ne pas l'abandonner... C'est un vrai gentleman en plus d'être brillant... Il risque de péter des scores dans votre cours, prof', chose certaine ! Nous avons même voyagé, ensemble, cet été... La deuxième fois de me vie que j'allais en Europe, excluant l'Angleterre... Quant... à vous professeure ? » Dis-je, intéressée à en connaître un peu plus sur elle, prenant une nouvelle gorgée de thé. D'heureux souvenirs remontaient à ma tête, ce qui me faisait garder un sourire. Au début du voyage, ce fut difficile mais après... ce fut magnifique et magique... Même si nous avions évité tous les points d'eau... Ce voyage avait resté dans mon cœur...

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMer 8 Oct - 21:08

Une oreille attentive

Sue sirotait sa tasse de thé tranquillement le temps de donner le temps à la jeune fille de déterminer ce dont elle voulait discuter avec elle. Après tout, il y avait tant de sujets possibles ce n’était pas comme si elles se connaissaient toutes les deux vraiment énormément, ce qui laissait place à beaucoup d’amélioration dans ce domaine, celui de la confiance. Elle constatait que déjà la situation avait un peu évolué et que cette dernière donnait l’impression d’être moins crispé. Mais qu’est-ce qui mettait la petit Gryffondor dans cet état, elle espérait qu’un des sujets nommés se rapprochent de ceux que la jeune fille avait envisagé de lui parler à prime abord, mais voyant peu de réaction alors qu’elle découvrait les options une à une à son oreille, elle constata qu’elle n’avait eu aucune vive réaction à aucune d’entre-elle. Dommage, c’était autre chose. Mais en même temps, elle était contente de se donner de la latitude de discuter de choses banales avant d’entamer le sujet de ces craintes. Peut-être y resterait-elle toute la nuit, peut-être reviendrait-elle une autre journée, comme elle lui avait dit, elle serait encore là demain, ainsi que tous les autres jours.

Elle écoutait la demoiselle attentive et intéressé. Son sourire s’agrandit lorsqu’elle lui dit qu’elle avait déjà rêvé d’être surfeuse. Mais elle changea bien vite de sujet et je compris par la suite que son tiraillement à choisir n’était pas non seulement dû à un manque d’idée mais à la présence de M. Levingston dans ces pensées. Si elle n’avait pas envie de le laisser cela elle pouvait comprendre. Il avait l’air d’un gentil garçon, perspicace et intelligent. Elle pouvait dire qu’elle le trouvait mignon pour son âge, car elle avait déjà eu le même regard rêveur sur un Serdaigle plus jeune. Elle lui retournait la question, et comme toute adulte, elle savait que ça ne lui servirait à rien de savoir ces aventures d’un soir, et son célibat dû à trouver une personne capable de l’aimer pleinement et conjugué son travail.

« Pour le moment, c’est mort pour moi. J’ai disons des relations plus qu’amicale avec certains hommes, mais aucune qui je ne pense débouchera en relation de couple. Avec l’âge Taylor, on devient plus pointilleuse de ce que nous recherchons comme mari et amant. Et je vous dirais que mon travail m’oblige à rester à l’école maintenant, je doute d’entretenir ce genre de relation avec un autre enseignant, bien que ça me serait drôlement utile. » À l’âge qu’elle avait, la petite Gryffondor devait avoir une bonne idée que ce n’était pas nécessairement que des relations amoureuse que les adultes entretenaient. Elle balança la tête sur le côté, songeant qu’elle devrait changer de registre et qu’une image plus jeune et plus proche de la jeune fille l’aiderait à se confier. Pour ce qui était de l’amour… ah… « Il fut un temps ou Damien, un Serdaigle, faisait battre mon cœur. C’était la belle époque! » Elle parlait, sa voix un peu nostalgique. « On allait piqueniquer dans les jardins presque tous les midis que nous deux, et je l’écoutais me parler de ces projets après l’école, c’était le bon temps. J’étais complètement folle amoureuse de lui. Il habitait chacunes de mes pensées. » Elle jeta un regard complice à la brunette. « Mais nos chemins se sont séparé. Je me demande ce qu’il fait maintenant. » Elle s’attendait à ce que cette dernière lui posent quelques questions, après tout c’était un échange commun. Elle ne voulait pas trop se dévoilé et laisser prendre le luxe de choisir ses propres questions à la rouge et or. Voir ce qui l’intéressait et non. C’était aussi une autre manière de connaître quelqu’un. Par ces questions, ou pouvait facilement déceler ces centres d’intérêts.
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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptySam 11 Oct - 4:59



"Une oreille attentive"




¤ Je commençais à me sentir plus en confiance, en compagnie de madame Pelvenche. Elle m'avait invité à entrer et j'avais accepté. Ensuite, elle m'avait offert un thé où je n'ai pu refuser. Après une petite discussion d'introduction face à la température, madame Pelvenche m'avais invitée à m'asseoir sur le canapé. J'ai, évidemment, accepté en m'y rendant où je me suis assise de manière "polie", sans me jeter, comme je l'aurais fait n'importe où ailleurs, dessus. J'étais tout de même stressée parce que je voulais lui avouer sur mon sang hybride et lui demander des conseils surtout. Je voulais m'assurer que je pouvais véritablement lui faire confiance parce que malgré qu'elle soit professeure, on ne sait jamais. Je préfère m'assurer avant toute chose. Après avoir reçu mon thé, qui fut particulièrement délicieux malgré mon fanatisme très petit de cette boisson chaude, Pelvenche proposa de papoter avant de passer aux choses plus sérieuses. Elle m'avait proposé plusieurs sujets, comme mon cursus scolaire, eh oui, mon Erwan ainsi que sur le Quidditch. J'ai donc préféré y aller avec les deux premiers sujets parce qu'ils me tenaient un peu plus à cœur que mon rôle de capitaine...

¤ Je me suis mise à lui parler de mon possible avenir tout comme mon éternel rêve de devenir surfeuse professionnelle qui est désormais une tâche impossible puisque je ne peux plus aller dans l'eau sans me transformer et faire du surf dans cet état-là... impossible tout simplement... J'avais aussi émis une certaine possibilité de métier, soit Langue-de-Plomb, tellement je ne savais pas quoi faire... L'image de mon père ne cessait de me revenir dans la tête... J'aurais tellement voulu qu'il soit vivant... J'aurais tant voulu le serrer dans mes bras avant d'entamer ma dernière année, ici... J'aurais tant voulu lui présenter Erwan... Hélas... Justement, j'avais enchaîner sur un sujet envers lequel je m'étais intéressée l'année passée, les garçons. Parler d'Erwan ainsi me faisait du bien. Je le vantais pas mal. Et puis, je lui ai demandé ce qu'il en était pour elle à ce niveau-là. Je ne sais pas pourquoi mais j'avais envie de savoir. Je n'avais jamais osé demandé quelque chose de ce genre-là à d'autres professeurs bien que je ne m'en sois jamais intéressée. Je pris donc une gorgée de thé après mon flot de parole, la laissant commencer à parler à son tour :

« Pour le moment, c’est mort pour moi. J’ai disons des relations plus qu’amicale avec certains hommes, mais aucune qui je ne pense débouchera en relation de couple. Avec l’âge Taylor, on devient plus pointilleuse de ce que nous recherchons comme mari et amant. Et je vous dirais que mon travail m’oblige à rester à l’école maintenant, je doute d’entretenir ce genre de relation avec un autre enseignant, bien que ça me serait drôlement utile. » Je l'écoutais, sans toucher à ma tasse de thé, la regardant de mes yeux émeraudes. Je doutais que ça devait être difficile, dans sa situation. Au final, je la comprenais un peu puisque j'ai toujours eu plus d'amis masculins que féminins et je me suis toujours tenue avec mes amis masculins donc je n'ai jamais développé de relation de couple avant Faust. Néanmoins, elle était beaucoup plus âgée que moi et était normal qu'elle puisse davantage me dire de par ses expériences. Moi, je croyais avoir trouvé l'âme sœur en Erwan... « Il fut un temps ou Damien, un Serdaigle, faisait battre mon cœur. C’était la belle époque! » Sa voix semblait nostalgique, pendant que je mettais mes mains de chaque côté de mon visage, intéressée par ce qu'elle disait, surtout que ce fut, elle aussi, un Serdaigle. « On allait piqueniquer dans les jardins presque tous les midis que nous deux, et je l’écoutais me parler de ces projets après l’école, c’était le bon temps. J’étais complètement folle amoureuse de lui. Il habitait chacunes de mes pensées. » Elle me jetait un regard complice, parce que je vivais directement la même chose actuellement avec Erwan. « Mais nos chemins se sont séparé. Je me demande ce qu’il fait maintenant. » Je fis un regard déçu, me demandant ce qui avait pu les séparer ainsi, surtout que les deux étaient follement amoureux. Je n'espérais pas ce destin-là avec Erwan. Parfois, certains événements dans la vie nous oblige à rompre et ainsi de suite. Son histoire était presque semblable à la mienne mais moi, c'était au présent et je ne souhaiterai jamais devoir prendre un chemin totalement opposé au garçon que j'aime...

¤ Ne touchant pas de suite à mon thé, je mis mes mains sur mes cuisses. J'avais envie de lui poser le "pourquoi" de la situation qui avait dû les séparer, tous les deux. Je me surprenais moi-même de m'intéresser à cette histoire de couple puisque auparavant, je m'en fichais totalement, voulant simplement m'amuser ou rigoler. Ça paraissait que ma maturité avait pris le dessus tout comme le garçon manqué en moi qui était beaucoup moins visible désormais. J'ai donc commencé à répondre : « C'est mignon ce que vous faisiez ! Je suis désolée de votre séparation... Est-ce que ce serait trop déplacé si je vous demandais quelle en était la raison ? Surtout que vous sembliez très amoureux... » Demandais-je, toujours aussi intéressée. « Pour ma part, j'espère ne pas devoir à me séparer d'Erwan, surtout qu'il a accepté ce que je suis... Je suis déçue qu'il ne pourra pas rencontrer mon père qui est décédé l'année passée... Faut faire avec ! » Dis-je, tristement. Je me sentais presque prête que de commencer sur mon état d'hybride... J'ai donc pris une nouvelle gorgée de thé, la laissant répondre à ma question sur sa séparation.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptySam 11 Oct - 6:52

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Elle la sentait captivé et intrigué par ma relation avec Damien. Intérieurement, elle savait qu’elle serait fort déçue du dénouement de cette histoire. Mais elle croyait fermement qu’un peu de vulnérabilité auprès de la jeune fille, lui permettrait d’assumer sa propre insécurité face elle. Après tout, on peut faire confiance à quelqu’un qui nous ouvre toute grande ouverte les portes de sa vie. Et puis, c’était aussi une très vieille histoire pour l’enseignante. La moitié de sa vie déjà. Elle sourit trouvant elle aussi que son Serdaigle et elle, était un petit couple sans histoire et bien heureux; parce qu’ils l’avaient vraiment été. Kate, sa meilleure amie se plaignait souvent de ne presque plus la voir, et heureusement qu’elle partageait le même dortoir car ça aurait surement été vrai. Comment pourrait-elle apporter cela sans que ça sonne comme un drame ?

« Mon père est décédé alors que j’étais en train de faire ma scolarité ici-même. Je revois un peu de la scène quand j’y pense. McGonnagal m’avait appelé ici. Et j’avais été avisé de l’incident. Il faut dire qu’il se passait beaucoup de chose louche à l’époque. Faire sa scolarité avec Harry Potter, personne n’aurait pu croire que ça aurait été aussi tumultueux. Mon père a trouvé la mort à son travail, il travaillait au Ministère, un homme sans grosse carrière qui faisait tout bonnement son travail. Trouvé mort, et ils n’ont pas pu l’aider. » C’était déjà assez sinistre. Mais elle se voulait être franche avec la jeune demoiselle. « Ma mère a été interné à Ste-Mangouste, peu de temps après, la folie s’est pris d’elle, et elle a dépéri très vite. Elle est morte du choc du décès de mon père. » Peut-être trouvait-elle qu’elle s’éloignait beaucoup mais, tout était formellement lié. « À 16 ans, j’étais orpheline de mon père et de ma mère.» Elle pinça les lèvres l’une contre l’autre. « Je n’avais plus la tête à l’amour. J’étais sous le choc. Pétrifié, et il a tenté de me ramener, mais je m’étais cloitré dans ma peine. J’avoue avoir eu peur de le perdre et de mourir comme ma mère… ce n’était pas aussi clair à ce moment-là, mais quand j’y repense, c’est probablement ce qui m’a poussé à agir ainsi. » Elle prit une gorgée. « Je préférais le savoir heureux sans moi, que malheureux avec moi. Ça été mon choix. Et c’était le seul que j’arrivais à envisager alors. » Avec beaucoup de sollicitude : « Je vous le souhaite aussi. D’ailleurs, nous ne sommes plus vraiment à la même époque, je doute que vous reviviez les mêmes choses. J’espère très sincèrement que vous aurez droit à un meilleur happy ending que nous avons eu moi et Damien. » Elle agrémenta le tout avec un petit clin d’œil encourageant.

Elle l’espérait aussi pour la jeune fille. Après tout, si le jeune Erwan représentait tant pour elle, elle doutait que le besoin de se sacrifice se faisait sentir et c’était tant mieux pour eux deux.
« Je suis navré pour votre père. Vous étiez proche ? » Elle sourit doucement. Exprimant beaucoup de chaleur et de compatis. « Si vous avez besoin de quelque chose n’hésitez pas. Je peux amplement comprendre tout ce que vous pouvez ressentir comme émotion. » Dit-elle d’un sourire triste. Elle posa la sous-coupe et la coupe sur la table, libérant ses mains. Elle passa la main dans ces cheveux, questions de bien dégager son visage. Sa tasse n’était pas terminée, mais elle sentait le besoin d’avoir ces mains libre. Elle les posa sur le haut du dossier et recula un peu son buste.
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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyMar 14 Oct - 7:05



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¤ Après m'être assis et avoir eu droit à une tasse de thé, j'ai entrepris une discussion avec le professeur Pelvenche. Je voulais vraiment avoir sa confiance pour lui avouer mon gros secret que je cachais à tout le monde, soit ma nature véritable. Une chance que c'est quelque chose que je suis capable de cacher facilement sachant que je ne me transforme que lorsque mes jambes sont sous l'eau mais il y a des écailles qui commencent à apparaître si je reçois de l'eau sur moi. Au moins, c'est déjà bien mieux qu'à la fin de l'année dernière. Bref, je tenais à avouer au professeur ma nature véritable... Pour quelle raison ? Parce que ça pouvait me faire du bien que de parler à une personne qui a de l'expérience dans la vie.

¤ Après une brève introduction, nous avions commencé à discuter de quelques sujets intéressants où j'ai, notamment, exposé mon possible avenir avant devenir à une discussion concernant les garçons et dans ce cas-ci, mon Erwan. Ce fut ensuite à son tour de parler d'un ancien "amoureux" de son temps à l'école du nom de Damien qui était aussi un Serdaigle. Son histoire m'intriguait et pourtant, c'était une histoire d'amour, chose qui ne m'a jamais intéressée avant d'avoir sortit avec Faust. J'avais aussi avoué sur le décès de mon père par le fait qu'Erwan ne pourra jamais le rencontré, malheureusement... J'ai donc attendu sa réponse, prenant la tasse de thé, buvant une bonne gorgée. Pelvenche commença alors une histoire plutôt triste :

« Mon père est décédé alors que j’étais en train de faire ma scolarité ici-même. Je revois un peu de la scène quand j’y pense. McGonnagal m’avait appelé ici. Et j’avais été avisé de l’incident. Il faut dire qu’il se passait beaucoup de chose louche à l’époque. Faire sa scolarité avec Harry Potter, personne n’aurait pu croire que ça aurait été aussi tumultueux. Mon père a trouvé la mort à son travail, il travaillait au Ministère, un homme sans grosse carrière qui faisait tout bonnement son travail. Trouvé mort, et ils n’ont pas pu l’aider. » Je la regardais tristement, compatissant totalement avec elle. Je pouvais comprendre entièrement ce qu'elle a vécu... « Ma mère a été interné à Ste-Mangouste, peu de temps après, la folie s’est pris d’elle, et elle a dépéri très vite. Elle est morte du choc du décès de mon père. » Ça n'a pas dû être chose facile, c'était certain. Je n'ai jamais osé demander à mon père sur le décès de ma mère mais ça l'avait affecté, surtout qu'il ne m'en avait jamais parlé et aussi du fait que ce soit une sirène parce qu'il le savait... « À 16 ans, j’étais orpheline de mon père et de ma mère.» J'ai hoché de la tête. « Je n’avais plus la tête à l’amour. J’étais sous le choc. Pétrifié, et il a tenté de me ramener, mais je m’étais cloitré dans ma peine. J’avoue avoir eu peur de le perdre et de mourir comme ma mère… ce n’était pas aussi clair à ce moment-là, mais quand j’y repense, c’est probablement ce qui m’a poussé à agir ainsi. » Pendant qu'elle prenait une gorgée, je me suis imaginée si ma mère avait pu mourir en même temps que mon père, l'année passée. J'aurais sûrement subi le même sort. Néanmoins, je n'ai jamais été une personne pessimiste face à la vie et j'ai toujours voulu aller de l'avant malgré ce genre de difficultés majeures. Au départ, Faust m'a aidé avant que ce soit Erwan... « Je préférais le savoir heureux sans moi, que malheureux avec moi. Ça été mon choix. Et c’était le seul que j’arrivais à envisager alors. » Ça dû être un choix terriblement difficile. J'avais tenté d'imposer ça à Erwan lorsqu'on s'en allait à Paris mais par mon sang hybride vu que ce ne sont pas toutes les personnes qui souhaitent sortir avec une aberration de la nature... Lui, il n'a rien dit là-dessus malgré le choc que ça lui a causé et a accepté ce que je suis... Bref, avec beaucoup de sollicitude, elle continua : « Je vous le souhaite aussi. D’ailleurs, nous ne sommes plus vraiment à la même époque, je doute que vous reviviez les mêmes choses. J’espère très sincèrement que vous aurez droit à un meilleur happy ending que nous avons eu moi et Damien. » Elle me fit un clin d’œil. Je ne savais pas quoi lui répondre pour le moment, surtout que son histoire me touchait parce que c'était un peu comme ce que j'avais vécu. Orphelines toutes les deux... J'avais eu la chance de vivre avec mon grand-père au moins... Maintenant, je voyais de plus en plus, en elle, une meilleure personne à qui je pouvais me confier... J'ai répondu, tristement : « Je... suis désolée pour vos parents, professeure... Contrairement à vous, mon père est mort dans mes bras, me souhaitant de ne pas reculer et de ne regarder que de l'avant, surtout que j'étais sa fierté... C'est ce que j'ai fait... » Dis-je, nostalgique et triste en même temps, tellement mon père me manquait. « Je suis aussi désolée pour Damien et vous mais c'est compréhensible parce que ce genre de situation nous amène à faire des choix difficile et destructeurs en quelque sorte... Je vous remercie pour vos encouragements cependant, professeure... » Je me suis arrêtée là, ne sachant plus quoi dire. Après cette conversation, madame Pelvenche reprit la parole :

« Je suis navré pour votre père. Vous étiez proche ? » Dit-elle, en souriant. J'ai hoché de la tête, me sentant plus en confiance, répondant : « Oh oui... Surtout qu'il m'a élevé seul, ma mère étant décédée peu après ma naissance... M'enfin, au début, il était déçu, voulant à tout prix un garçon mais au fil des années... Si ce requin ne l'avait pas handicapé et s'il n'avait pas attrapé cette fichue maladie, il serait toujours en vie... » J'ai de nouveau arrêté, me sentant sur le point de pleurer, vu que mes larmes perlaient sur le bord de mes yeux. à l'aide de mes mains, je les ai essuyé, mettant plusieurs secondes sans qu'il n'y ait interaction. Pelvenche avait repris :

« Si vous avez besoin de quelque chose n’hésitez pas. Je peux amplement comprendre tout ce que vous pouvez ressentir comme émotion. » Son sourire semblait triste. Elle avait libéré ses mains de sa coupe avant de dégager les cheveux de son visage. Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle était très jolie et que sûrement plusieurs garçons devaient y trouver du goût. Puis, Pelvenche recula vaguement son buste du dossier en y mettant ses mains. Du coup, ça me donnait une forte envie de me coucher paresseusement sur le canapé ou encore mettre mes pieds sur la table mais ce serait très mal poli. Du coup, je me suis mise à hocher de nouveau de la tête, collant mes deux mains ensembles. Je lui dis :

« En fait, professeure, j'aurais peut-être quelque chose à vous dire, de vraiment... personnelle... Avant tout, je tenais à m'excuser pour mon comportement en classe, je n'ai jamais été bonne élève... » Dis-je, avec un sourire gêné. « C'est que... Ce que j'ai à vous dire pourrait changer votre estime de ma personne... Je... je suis une hybride professeure, ma mère était une sirène... Ma vie n'est plus ce qu'elle était auparavant... Mes plus proches connaissent mon secret. Je vois plusieurs facettes de la vie d'un tout autre œil... » Je pris une petite pause, en me redressant, le dos droit, dégageant mes cheveux, avec mes mains. « Je ressentais un fort besoin de vous en avertir, professeure, surtout que j'ai confiance en vous... et c'était cette raison qui m'amenait vous voir, ce soir... » J'avais un petit sourire à mes lèvres, me demandant comment elle allait prendre ce que je venais de lui dire bien que je savais qu'elle serait surprise, comme tous les autres à qui je l'avais dit et qui ne me jugeaient aucunement... Bref, j'ai pris la tasse de thé et je l'ai terminé, la redéposant sur l'assiette, mettant de nouveau mes mains sur le canapé.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptySam 18 Oct - 9:45

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Bon lui parler du décès de ces parents n’était clairement pas d’établir une connexion romantique avec son ancien copain du temps de Poudlard. Et elle espérait que ça ne la déprimerait pas trop. Au moins, elle ne la traitait pas comme une gamine quelque chose qu’il l’aurait très heurté si elle aurait été dans sa position. Après tout, ce n’était qu’une vieille histoire, et un des nombreux drames qui avaient entouré ces années houleuses. Elle était contente que le père de Taylor lui ait montré une voie plus positive sur son lit de mort, et bien que l’histoire qu’elle portait était triste, elle avait fait ces choix et en était sorti plus solitaire, mais pas détruite, au contraire, elle avait refait ces bases sur des choses plus tangible et avec un sentiment d’urgence et avec la volonté de profiter de chaque moment. L’optimiste n’était pas disparu et elle croyait encore dans les possibilités de tous et chacun, sinon elle ne serait pas ici à essayer de rentrer des choses dans la tête de ces élèves alors qu’il était clairement souvent plus motivé par leurs relations interpersonnelles, d’ailleurs souvent elle en profitait pour les stimulés. S’il y avait du mal dans la vie, c’était pour nous montrer aussi tout le bien qu’il y avait, et avec sa philosophie c’était maintenant qu’il fallait en profiter. Carpe Diem. Elle sourit à la jeune lionne qui allait tout bientôt débuter une vie d’adulte qui lui réservait encore beaucoup d’embuche.

Si elle posait la question sur son père c’était qu’elle se sentait concerné par son état général mais aussi de son impression de déjà-vu. Et elle voulait donner une chance à la jeune fille de finir son deuil avec l’impression que quelqu’un pourrait la comprendre, ce qui n’avait pas été sa chance. Elle ne pouvait pas se comparer à l’élève, mais les rapprochements se faisaient assez bien dans sa tête. D’avoir l’impression de ne pas avoir été désiré, de ne pas être ce qu’on s’attendait d’elle devait avoir été éprouvant, elle déplorait un peu cette attitude chez le défunt père de la brunette, mais ne pouvait clairement pas lui exprimer ce ressentiment stupide qu’elle pouvait développer sur ce fait. Elle voyait la jeune fille était plus émotive, et soudainement elle eut plus de misère à rester assise sur son siège. Elle avait vraiment l’impression qu’elle aurait dû être à ces côtés et pouvoir la serer dans ces bras la démangeait un peu. Mais les choses étaient fraiches encore. Combien de temps cela lui avait-il pris avant qu’elle se sente libéré du tourment de ces parents, combien de voyage de temps s’était-il écoulé ? Cinq ou sept ans peut-être ? Elle dégagea une mèche de cheveux pour la replacé derrière son oreille puis elle lui tendit un mouchoir en tissu joliment travaillé avec des petites fleurs et ces initiales dans un coin d’un de ses poches.
« Tenez. » Elle changea graduellement de position sur la chaise, se demandant si elle devait ou non se lever pour s’installer à côté de son élève. Elle fût tiré de son questionnement, alors que la demoiselle débutait à parler. Considérait-elle qu’elle pouvait être digne de sa confiance. Si oui, elle en était fort heureuse. Si non, les choses pouvaient attendre, elle n’avait aucune intention de s’imposer.

Il semblait bien que oui. Elle se sentait assez en confiance pour lui parler de ce qui la tracassait et elle se dit que si une arrivait à se confier à elle, alors elle aurait atteint son but dans la vie. Être là et présente pour les aider tous et chacun. Aujourd’hui était une grosse victoire pour elle.
« Ne vous en voulez pas, je sais que les études ne sont pas fait pour tout le monde, surtout quand l’enseignant ne s’adapte pas à sa classe. » Dit-elle en souriant, question de détendre l’atmosphère. Mais elle se doutait bien que ce n’était pas de ces notes que la lionne voulait lui parler, sinon pourquoi tout ce drame, cette tension et cette crainte. Si elle croyait vraiment que cela pouvait changer son estime pour elle… Oh, ça elle ne s’y attendait pas. Si elle ne savait pas quoi dire, ce n’était pas parce qu’elle en était choqué, étonné lui semblait plus juste d’ailleurs et donc, un sourire doux sur le visage y était toujours présent. « Je ne vois pas en quoi, mon estime pour vous changerait. Vous êtes la même qui est venu cogner à ma porte ce soir. Je vois une élève qui a peur d’être jugé pour cette différence, mais croyez moi, ça ne vous rend que plus spéciale et unique. » Elle voulait s’exprimer correctement. « Votre ascendance n’est pas ce que vous êtes, Taylor. Vous restez la même pour moi, même si votre mère est une sirène, très chère. Une élève courageuse, qui garde son optimisme malgré le décès de son père très récemment, une amoureuse, une capitaine de Quiditch et une jeune femme avec beaucoup de potentiel. Ce n’est pas d’où on vient qui est important, c’est ce qu’on en fait. » Elle sourit gentiment. « J’avoue que cela m’intrigue, mais ce n’est nullement négatif. » Après tout, c’était assez merveilleux comme situation. Elle se doutait bien qu’il devait y avoir des inconvénients, mais elle n’en ferait pas partie.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyJeu 30 Oct - 9:21



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¤ Je me rendais compte que je discutais de sujets assez "sensibles" avec un professeur, ce qui ne m'avait jamais arrivée auparavant. Je n'avais jamais eu une réelle confiance en un professeur auparavant. Madame Pelvenche est bien la seule à qui j'ai pu parler de mon père et aussi de mes petites histoires d'amour. Laskovick, à l'époque, je l'aimais bien mais je n'ai jamais osé y aller plus loin. Aujourd'hui, j'étais assise sur le canapé de son bureau à discuter avec elle, tasse de thé à la main malgré qu'elle soit déposée sur la table. Je m'étais "dégênée" malgré le fait que je ne sois jamais gênée. En fait, je me sentais en confiance. Professeur Pelvenche m'avait même parlé de son ancien coup de cœur, un Serdaigle elle aussi, sans compter qu'elle avait aussi subi la mort de ses parents, ce qui m'avait touchée puisque j'ai vécu exactement la même chose. Son histoire était triste, surtout que ça avait mené à la rupture avec son copain vu les circonstances. Je ne pouvais que trop la comprendre malgré que moi, j'ai sorti avec Erwan après l'événement tragique qui a tué mon père mais je n'ai pas cessé d'abandonner et j'ai continué de rester forte, comme le voulait mon père... Madame Pelvenche m'avait aussi souhaitée une meilleure fin pour Erwan et moi...

¤ Après, ce fut à mon tour de parler, surtout de mon père où j'avais une forte envie de pleurer, me rappelant de tous les moments vécus ensemble. Au départ, il me détestait du fait qu'il aurait voulu un garçon mais à présent, je soupçonnais qu'il avait peur que je me "transforme", ce qui ne fut pas le cas. Puis, il a commencé à me gâté et à m'apprendre tout ce qu'il savait, comme le surf et m'a envoyé à l'école. Quelques années après, j'ai habité, avec lui, à Los Angeles où j'ai continué mon primaire pendant que lui faisait des compétitions de surf et ainsi de suite. Quelle nostalgie ! À cette époque, jamais je n'aurais pensé finir sur le continent européen dont je n'avais pas encore visité. Je ne connaissais que mon grand-père qui y habitait puisqu'il venait nous rendre visite une fois par année... Ça me faisait toujours mal de penser à tout ça... Bref, j'ai dû m'arrêté puisqu'un flot de larmes aurait ensuite coulé de mes yeux et je n'étais pas venue ici pour pleurer de la mort de mon père. La directrice de Gryffondor fit, cependant, une action fort appréciable en m'offrant un mouchoir en tissu plutôt joli, avec des fleurs. « Tenez. » Je l'ai remercié : « Merci professeure... » Puis, j'ai pris le mouchoir avant d'essuyer les larmes qui perlaient à mes yeux, déposant ensuite l'objet sur la table. Pendant ce temps, professeur Pelvenche changeait de position sur sa chaise. Je n'aurais pas été vraiment confortable à sa place, je me demandais pourquoi elle n'avait pas pris place sur le canapé...

¤ Le moment de vérité était venu, lui dire ce que j'avais à lui faire part. Je me suis d'abord excusée de mon comportement en classe qui n'était pas exemplaire, il fallait se le dire. La professeure répondit à mes premières paroles, en souriant : « Ne vous en voulez pas, je sais que les études ne sont pas fait pour tout le monde, surtout quand l’enseignant ne s’adapte pas à sa classe. » Je lui ai aussitôt répondu : « J'adore vos cours, cependant, professeure ! » Dis-je, sincère. C'est après que vint le moment de vérité. J'ai commencé à lui avouer ma véritable nature. Ma "moitié". J'avais peur qu'elle change son estime en ma personne puisque ce n'étaient pas tout le monde qui pouvait avoir un avis positif sur une hybride. Les gens, comme Sky ou moi, sont des erreurs de la nature. De plus, je me demandais si madame Pelvenche en connaissait d'autres hybrides. Elle ne devait pas être au courant pour la Milbury mais je n'allais pas lui dire aussi puisque ce serait à Sky-même de lui dire si elle en ressentait le besoin. Bref, ce fut difficile de lui avouer mais j'avais enfin réussi ma mission de la soirée. Il ne restait plus qu'à attendre sa réaction. J'avais un peu peur, à vrai dire... Cependant, le sourire du visage de Pelvenche ne disparût aucunement. Je ne savais pas pourquoi mais ça m’apaisait... Néanmoins, je sentais tout de même son étonnement. Erwan, Matthew et Éléonore avaient eu la même réaction... Elle répondit donc :

« Je ne vois pas en quoi, mon estime pour vous changerait. Vous êtes la même qui est venu cogner à ma porte ce soir. Je vois une élève qui a peur d’être jugé pour cette différence, mais croyez moi, ça ne vous rend que plus spéciale et unique. » J'ai un peu rougi. En fait, elle avait raison. Il ne devait pas y en avoir beaucoup comme moi, des hybrides mi-sirène, mi-humaine. Encore moins des sorcières. J'étais unique en fait... Ses paroles m'ont aussi fait sortir un soupire de soulagement. Au moins, je savais qu'elle ne me jugeait pas. Elle aurait pu... « Votre ascendance n’est pas ce que vous êtes, Taylor. Vous restez la même pour moi, même si votre mère est une sirène, très chère. Une élève courageuse, qui garde son optimisme malgré le décès de son père très récemment, une amoureuse, une capitaine de Quidditch et une jeune femme avec beaucoup de potentiel. Ce n’est pas d’où on vient qui est important, c’est ce qu’on en fait. » J'ai de nouveau rougi, jouant avec mes cheveux, tout à coup. Elle continuait de sourire, pendant ce temps. Avais-je vraiment du potentiel ? Professeur Pelvenche semblait croire en moi, d'après ses paroles... Et celles-ci m'apaisent... Elle m'avait, en quelque sorte, mise en avant, prônant mon presque-éternel optimisme, surtout après ce que j'ai vécu l'année précédente.« J’avoue que cela m’intrigue, mais ce n’est nullement négatif. » Je me suis donc mise en tête que je pouvais bien lui parler un peu de ce que j'étais. Un vrai sourire perlait à mes lèvres, où j'avais arrêté de jouer avec mes cheveux. Je me suis redressée, une nouvelle fois. J'avais toujours une forte envie de me coucher sur le long du canapé mais je voulais rester respectueuse envers madame Pelvenche. Joignant mes deux mains ensemble en regardant le professeur dans les yeux, je me suis mise à répondre : « Je vous remercie, professeure, pour les compliments ainsi que pour vos paroles apaisantes... J'aimerais sauter dans vos bras pour vos paroles mais je ne pense pas que ce soit approprié envers un professeur de l'école. » Dis-je, sans lâcher mon sourire, rougissant, encore une fois. « C'est vrai qu'il ne doit pas y en avoir beaucoup comme moi... Surtout une demi-sirène native de l'Australie étudiant dans une école de sorcellerie en Angleterre ! » Dis-je, en rigolant un peu avant de revenir un peu plus sérieuse. « Ma condition est plutôt spéciale, professeure, à vrai dire... Je vais vous avouer que mon corps ne supporte plus rien ne venant d'êtres vivants d'un étendue aquatique. J'en tombe sérieusement malade... Sans compter que voir des poissons dans les assiettes me donne la nausée également. S'il y en a au repas du soir, je me force de quitter la grande salle... » J'ai baissé la tête, où j'étais un peu frustrée mais aussi déçue de ce genre de situation. « J'aimais bien en manger auparavant... M'enfin, je peux bien vous montrer mes écailles, un de ces jours, professeure, si vous le voulez bien, évidemment ! » J'avais de nouveau souri, suite à ces dernières paroles. Bien sûr, je ne me transformerais pas entièrement devant elle, seulement recevoir de l'eau pour qu'elle puisse voir un peu ce que je suis réellement...

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyDim 2 Nov - 7:39

Une oreille attentive


Elle accepta son mouchoir et elle lui sourit. Cela devait être très éprouvant de discuter de ces sujets pour elle, et elle appréciait sa franchise et sa confiance pour accepter de le faire. Depuis les deux années auquel elle avait supplée en classe, elle avait vu une grande évolution entre certain des élèves. Cette jeune fille en faisant partie. Après tout, l’ex-Gryffonne avait toujours jeté un coup d’œil aux élèves de son ancienne maison et ce malgré le fait qu’elle n’eut jamais la chance d’être leur Directrice. Le titre avait des avantages mais elle avait toujours songé être forgé pour ce boulot, cette responsabilité. Elle reconnaissait ces efforts actuellement, faisant en sorte d’être visiblement une jeune fille bien élevé et avec beaucoup de classe devant elle, mais pour Sue c’était secondaire à son désir de l’aider, elle pourrait bien s’écrouler sur le canapé, les pieds au mur et la tête vers la moquette, qu’elle aurait quand même cherché à discuter avec elle et trouver ce qui n’allait pas. Certes, Mlle Williams avait beaucoup changé, elle semblait soudainement plus féminine. Est-ce la maturité qu’elle avait atteinte ou son désir d’être accepté ?

Elle était contente de voir que la jeune fille aimait ces cours, après tout, même si ce n’était nullement un concours de popularité, mais elle ne pouvait qu’avoir un petit chaud au cœur de l’entendre de la bouche d’un élève. Elle regardait quelque fois la matière avec un petit mépris, se demandant par la suite, comment elle pourrait rendre les choses plus intéressantes, que de juste donner la matière. Si certains aimaient, d’autre trouvaient cela déplacé ou mal approprié. Mais elle ne pourrait faire l’unanimité, non ? Bon peut-être. Si elle se donnait à fond! Après tout, elle était vraiment top comme prof’. S’en convaincre n’était pas très difficile.

Alors qu’elle répondait avec franchise et humilité, elle ne put pas ne pas remarquer le changement d’attitude de la demoiselle. Elle rougissait un peu avant de finalement soupirer comme si cela avait un terrible poids à porter; l’équivalent de la terre peut-être. Elle lui sourit, se rendant compte de son soulagement plus qu’évident. Plus elle avançait dans ces propos, plus elle voyait la jeune fille se gêné mais d’une manière très mignonne, nullement de honte. Elle jouait avec des cheveux et cela lui rappela Kate qui avait aussi cette manie. Elle en avait fait des blagues tellement que ça avait été instinctif chez son ancienne meilleure amie, du coup, elle lui avait dit qu’elle finirait frisé comme un mouton; surnom qui été resté entre elles. Petit mouton. Déjà elle libéra ces cheveux pour reprendre des manières de bonne fille à papa, qui ne put que me faire sourire. Elle n’avait nullement besoin de faire des manières avec elle, elle n’était pas aussi guindé que sa tante. Était-ce comme cela que les élèves la voyaient, comme une vieille femme anglaise avec plus de manière que de matière grise ? Elle espérait que non, et avait bien l’intention de redoré son blason.

Si ce n’était pas approprié, ça ne changeait absolument rien au désir premier de la jeune fille et cela fit rire un peu la noiraude.
« Vous savez, il n’y a aucun règlement contre les câlins. Si vous en voulez un. Ça va me faire plaisir.» Elle fit un clin d’œil à la demoiselle, rien de déplacé, simplement pour signifier que personne ne le saurait que cela resterait entre elles. Après tout, c’était un moment de confidence, normal qu’elle se sente soudainement un peu plus proche l’une de l’autre. Il n’y avait aucun mal à aller chercher du réconfort à certain moment auprès d’un enseignant. Ils n’étaient pas fait de marbre et comprenait de l’attention d’un aînée, une figure d’autorité pouvait avoir quelque chose de rassurant, voir sécurisant. « Effectivement. Ça ne doit pas courir les rues, une demoiselle comme vous. »

Elle posa sa joue contre sa main, alors qu’elle écoutait la rouge et or lui exprimer ces nouveaux problèmes alimentaires. C’était plutôt surprenant. Une diète bien particulière. « Je jetterai un coup d’œil dorénavant sur le menu lors des gros évènements pour que vous n’en soyez pas incommodé. J’imagine que nous pourrons le définir comme une allergie pour que ça reste connu que de ceux dont vous aurez décidé d’accorder votre confiance.» Elle lui sourit. C’était si simple d’essayer de régler certains menus détails, comme celui-ci. « Vos écailles? » Soudainement en comprenant la portée de la génétique de la brunette. « Votre corps se transforment ? Que c’est intriguant ! Magnifique même. Un peu comme un métamorphomage? » Elle voyait déjà la peau de la jeune fille se changer dans sa tête, couverte d’écailles gris-argenté. Ça devait être assez époustouflant.

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptySam 15 Nov - 9:25



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¤ J'étais confortable avec le professeur de Sortilèges, surtout que celle-ci m'avait même offert un mouchoir face à mes paroles concernant mon défunt père dont sa mort m'avait complètement bouleversée malgré que j'ai tout fait pour que ça n'ait l'air de rien. Elle pouvait me comprendre puisqu'elle avait aussi perdu ses parents lors de sa scolarité à Poudlard. C'est peut-être ce qui m'a poussé à passer immédiatement sur ce que je voulais lui parler, soit de mon côté hybride. J'étais restée polie en lui parlant. Auparavant, je me serais jetée sur le canapé, telle une paresseuse mais là, c'est plus respectueux, surtout que c'est une proesseure. Et puis, elle semblait contente lorsque je lui avais avouer que j'appréciais ses cours après lui avoir dit que je n'étais pas une très bonne élève, en m'excusant. Je lui avais dit la vérité. Au moins, sa classe bougeait...

¤ Le sourire de madame Pelvenche me rassurait, malgré mon stress du moment quand je lui parlais de ce que j'étais. Ce n'était pas tous les jours que l'on rencontre une hybride n'est-ce pas ? Et encore moins une demi-sirène australienne. C'est ce que je lui avais dit. Je n'ai pu que trop la remercier, ensuite, pour ses paroles qui m'ont apaisées, surtout que je paniquais face à ce qu'elle pourrait penser de moi, étant une aberration de la nature. Je lui ai ensuite dit que si elle n'était pas prof', je lui aurais fait un câlin malgré que ce ne soit pas du tout mon style et ça ne l'a jamais été. Ça fit rire Pelvenche qui me répondit : « Vous savez, il n’y a aucun règlement contre les câlins. Si vous en voulez un. Ça va me faire plaisir.» Je lui ai lancé un sourire pendant qu'elle me faisait un clin d'oeil. Elle aurait pu être vexée si je l'avais fait sans lui demander mais peut-être que je pourrais lorsque je partirai de cet endroit. Je me disais toujours que la voix d'un adulte pouvait être plus réconfortante que celle d'un élève... Puis, je lui avais dit, concernant mon unicité, que c'était plutôt rare, une Australienne à moitié sirène étudiant dans une école de sorcellerie en Angleterre. Elle m'avait répondu : . « Effectivement. Ça ne doit pas courir les rues, une demoiselle comme vous. » Je ne pus m'empêcher de rire face à ces paroles.

¤ Puis vint une discussion un peu plus sérieuse où j'ai commencé à lui parler de mes nouvelles habitudes de vie, surtout face à la nourriture qui pouvait être dangereuse si je venais à manger un truc marin ou du moins, particulièrement les poissons. Aurevoir aux sushis aussi, nourriture que j'ai toujours affectionnée. Pendant que je parlais, Pelvenche avait la main sur sa joue, en m'écoutant parler. Je me demandais si elle était plus intéressée par moi ou par le fait que je sois hybride. Dans tous les cas, le professeur de Sortilèges me répondit :

« Je jetterai un coup d’œil dorénavant sur le menu lors des gros évènements pour que vous n’en soyez pas incommodé. J’imagine que nous pourrons le définir comme une allergie pour que ça reste connu que de ceux dont vous aurez décidé d’accorder votre confiance.» Dit-elle, en souriant. J'ai haussé des épaules en souriant également. Pourquoi pas, en fait. Ça pourrait déplaire à plusieurs mais à moi, tout le contraire. C'est vrai que c'est presque comme une allergie mais là, c'est mon corps qui ne veut pas, mon estomac. Je suis un peu curieuse de la conception intérieure de mon corps et plusieurs questions me viennent à l'esprit, surtout à la façon dont je me transforme et ce qui cause ce changement, sans compter le fait que je puisse respirer sous l'eau ainsi que parler. Je lui ai répondu : « Je vous remercie professeure ! C'est dommage de priver les élèves de ce genre de nourriture mais ça me convient parfaitement. Pour moi, c'est un peu comme si un humain mangeait un autre humain, vous voyez le genre... Je préfère largement un bon steak saignant quoi ! » Dis-je, en rigolant. C'était vrai, je ne disais jamais non à un gros morceau de viande. Ensuite, j'avais proposé de lui montrer mes écailles un de ces jours, lorsque je recevais de l'eau sur mon épiderme. M'enfin, les écailles n'apparaissaient que du bassin jusqu'aux pieds, dépendant de la quantité. Pelvenche fut surprise :

« Vos écailles? » Avant de continuer : « Votre corps se transforment ? Que c’est intriguant ! Magnifique même. Un peu comme un métamorphomage? » J'ai secoué de la tête afin de lui signifier que c'était un peu différent même si le principe restait un peu le même. Ma situation ne me permettait pas de me transformer quand bon je le voulais ni décider du moment. J'étais prise avec ça tandis qu'un métamorphomage a le libre arbitre... Croisant mes mains, je lui répondit :

« En fait, professeure, le principe est largement différent... Disons que je n'ai aucun libre arbitre face à ma transformation... Néanmoins, contrairement à tous les contes, la transformation est très souffrante où j'ai l'impression qu'on me brûle et qu'on m'arrache les jambes en même temps. Ça ne dure qu'une dizaine de secondes mais vous voyez la situation... Avec le temps, j'ai réussi à éviter la transformation lorsque je reçois de l'eau et c'est là que des écailles couvrent mes jambes mais je ne peux empêcher s'il advient que mes pieds soient sous l'eau. Ça ne m'empêche plus de prendre une douche en somme ! » Dis-je, en souriant. « Vous savez, au début, je n'ai pensé qu'à me suicider tellement je ne pouvais pas vivre avec ce nouveau mode de vie mais maintenant, je me suis habituée et je commence même à apprécier certaines facettes. Cependant, ce qui compte le plus pour moi, est le fait que mes amis et Erwan ne me jugent aucunement sur le fait que je sois différente. Ça ne doit pas toujours être facile d'apprendre que son amie est hybride ou du moins, différente... Eux n'en ont fait aucune histoire, comme vous professeure. » Dis-je, sincère, m'arrêtant de parler, regardant ma montre voyant qu'il commençait à se faire tard et que je devrais peut-être commencer à quitter le bureau de Pelvenche. J'ai donc dit :

« Il commence à être tard... Je pense que je vais y aller professeure... »

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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptyDim 23 Nov - 8:39

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Elle souriait en voyant l'appréciation que la jeune fille. Quoi de plus facile pour elle que d'essayer de la protéger un minimum ainsi. Elle sourit compréhensive, en l'entendant parler de cannibalisme et steak saignant. C'était quand même assez comique, mais l'image était là, et ce n'était que plus simple pour elle de comprendre la situation dans laquelle était la demoiselle. « Considéré cela, comme réglé. Je m'en assurerai personnellement.  »

La discussion prit une nouvelle tournure et concentré sur l'échange, elle avait le visage accoté dans sa paume de main. Pensive et le regard légèrement brillant, alors qu'elle essayait de s'imaginer le petite miracle d'écaille d'une sirène sur la peau rosé de la capitaine de Gryfondor. Sa curiosité n'était pas maladive, mais son intérêt pour la jeune femme et pour sa situation particulière était bel et bien présent. Hors donc, elle lui confirma que ce n'était en rien comme un métamorphomage, et bien qu'elle l'avait énoncé tout haut, elle se doutait que cela devait forcement être différent. Elle voyait déjà la scène de souffrance tel que décrite par la brunette et avait du mal à concevoir pourquoi quelqu'un devrait subir cela. C'était horrible. Mais elle semblait bien s'en accommoder. Elle se doutait bel et bien que les premiers moments avaient dû être des plus éprouvants pour la demoiselle; elle posa un regard lourd de sens lorsqu'elle lui dit qu'elle avait pensé se suicider. On ne rigolait plus. Elle trouvait cela assez grave qu'une fille de son âge ait même eux ces pensées... Pauvre petite chose, laissez seule à découvrir ces choses dans la souffrance et la crainte. Elle ne pouvait que se compter heureuse qu'elle eut été si bien entourée. Elle ne put que sourire lorsqu'elle lui signifia qu'elle faisait partie des personnes qui l'acceptait; c'était tout naturel. Elle ne pouvait que célébrer le courage de cette petite et sa force de caractère à passer au travers de tout ce qui avait chamboulé sa vie au courant des derniers mois.

Un petite retour à la réalité, rappela l'heure à la Directrice, qui avait l'habitude de ne pas regarder l'heure tournée lorsqu’elle travaillait. Ce n'était pas comme corriger des devoirs, mais cela faisait partie de ces tâches.
« Oui, vous avez raison. Vous allez au dortoir? Si oui, je vais vous faire passez par mes cartier, aucun besoin de prendre une marche dans ces couloirs froids. Qu'en ditte-vous?  » Attenant à son bureau, il y avait ces quartiers qui étaient reliés directement à la Salle Commune des Gryfondor. « En même temps, la prochaine fois, vous n'aurez qu'à venir cogner à la porte directement. Il va faire de plus en plus froid au château dans les prochains jours qui vont nous mener à l'hiver. Aucun besoin de vous transformer en glace pour venir discuter.  » Elle sourit à la brunette, visiblement sa porte lui resterait ouverte si elle jugeait son oreille attentive comme un besoin. « Venez.  » Dit-elle en faisant les pas vers la porte du fond, avant de la franchir et d'accompagner son élève à travers ces quartiers, avant de continuer son chemin vers la porte du fond de sa chambre, d'ou elle passait rapidement, joliment meublé et très grande. « Voilà, nous y sommes.  » Poussant un rabat dont on ne percevait aucune faille au mur. « Bonne nuit. Mlle William.  » Elle lui sourit gentiment, avant de l'inviter à franchir l'espace de sa chambre à la salle commune des Gryfondor.
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Message(#) Sujet: Re: Une oreille attentive - avec Taylor Une oreille attentive - avec Taylor EmptySam 31 Jan - 10:02



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¤ Eh oui, je venais d'avouer mon gros secret au professeur Pelvenche, celui de ma moitié sirène. Je savais que je pouvais faire confiance à cette femme même si je ne le connaissais pas personnellement avant cette soirée. Elle a su me rassurer, ouvrir un dialogue en m'offrant une tasse de thé. Je lui avais même parlé de ma nouvelle diète alimentaire excluant totalement tout composant venant de l'océan ou même d'étendue aquatique d'eau douce. En plus de ça, nous avons pu apprendre plus sur soi-même où j'ai appris que le professeur Pelvenche avait, elle aussi, un copain Serdaigle comme le mien mais la mort de ses parents l'a détruite, tellement qu'elle n'en pouvait plus. Je ne vivais pas exactement la même situation puisque j'ai toujours suivi les conseils de mon père, soit ne pas rester au passé et vivre de l'avant, profiter de la vie et jeunesse... « Considéré cela, comme réglé. Je m'en assurerai personnellement. » J'ai fait un sourire rassuré, répondant : « Merci professeure ! » Je lui avais ensuite expliqué un peu plus en détail ce qui se passait lors de ma transformation, la souffrance que ça causait, du fait que je voulais me suicider lorsque je me suis transformée pour la première fois, sans compter le soutien de mes amis et Erwan qui ne me jugent nullement sur ma différence qui peut être majeure à un certain niveau même si pour l'apparence, ça ne paraît pas vraiment. J'étais chanceuse niveau amitié et c'est pour cette raison que je tiens tant à mes amis proche, que je ferais absolument tout pour eux. Je sacrifierais ma vie pour eux, que ce soit Alasteia, Matthew, Éléonore ou Erwan. Même Jamie... C'est peu après avoir parlé que j'ai regardé l'heure pour voir qu'il commençait à être tard où j'ai dit à madame Pelvenche que j'allais y aller. La directrice de ma maison me répondit :

« Oui, vous avez raison. Vous allez au dortoir? Si oui, je vais vous faire passez par mes quartiers, aucun besoin de prendre une marche dans ces couloirs froids. Qu'en dites-vous? » Hein ?! Je ne pensais pas qu'il y avait un passage secret entre cette salle et celle des Gryffondors. J'ai haussé mes sourcils, ne cachant aucunement ma surprise là-dessus. Je lui ai aussitôt répondu : « C'est vrai que c'est pas très chaud à cette heure-ci, alors j'accepte votre offre professeur ! » Répondis-je, d'un sourire. Elle me dit, ensuite, elle aussi d'un sourire : « En même temps, la prochaine fois, vous n'aurez qu'à venir cogner à la porte directement. Il va faire de plus en plus froid au château dans les prochains jours qui vont nous mener à l'hiver. Aucun besoin de vous transformer en glace pour venir discuter. » J'ai hoché de la tête, surtout que j'étais très frileuse vu mon appartenance à l'hémisphère sud où je n'ai jamais pu m'habituer à la température de l'Angleterre malgré le fait que ça fait des années que j'y vis. C'est vrai que je ne sors pratiquement jamais dehors l'hiver. « D'accord professeur ! Et vous avez raison, l'hiver approche à grand pas et je ne suis pas la personne la plus "apte" à survivre à ces froids-là ! » Dis-je, amusée.

¤ Je la suivis par la suite, lorsqu'elle m'indiqua le chemin à prendre, où elle m'accompagna. Je pus voir une belle grande chambre joliment décorée mais je ne fis pas attention aux détails pour le moment, une autre fois. Elle poussa un rabat, où une ouverture se créa. Wow, j'aurais jamais imaginé ça ! Je me suis tournée vers elle, où elle me dit bonne nuit d'un sourire. Je fis de même, en disant : « Merci pour tout professeure, de m'avoir écoutée et de surtout ne pas me juger sur ce que je suis. Bonne nuit professeure ! » Lui dis-je, avant de me tourner lentement et continuer au travers du passage afin de retourner dans ma salle commune...

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