Une lettre engendre parfois de bonnes surprises. [PV Katy]

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Bon sang. Aujourd'hui, c'était le jour. Ellie entendait par là que c'était le jour de la lettre. Elle avait promis à mon père qu'elle lui en enverrait environ une fois par semaine. Ces derniers temps, il devenait un peu papa poule. Ce qui ne plaisait pas forcément à la jeune fille. Neil avait peur. Mais de quoi ? Ellie se posait encore la question. Pourtant, son père avait été sorcier, et en plus de ça, avait été à Poudlard. Il devait se douter que sa petite fille chérie ne risquait rien, et surtout à Poudlard. Ici, les professeurs ne prônaient tout de même pas les combats d'élèves. Enfin, pas à la connaissance de la jeune fille. Bref, Ellie dut interrompre la lecture de son passionnant bouquin sur... sur quoi déjà ? Elle retourna son livre pour observer la première page de couverture et se remémorer le titre. Ah oui c'est vrai. Un livre du vieux Gileroy Lockhart. C'est fou le don qu'avait cet homme pour endormir ses lecteurs. Même Ellie, qui d'habitude dévorait les livres, pouvait penser et lire simultanément. C'est déjà arrivé à tout le monde ce genre de chose. Et vu qu'on pense, on ne fait pas attention à ce qu'on a lu et il faut recommencer. Eh bien, là c'était pareil. Mais perpétuellement ! Ce bouquin était une torture. Un rien pouvait détourner l'attention de la Poufsouffle. Une araignée qui pique un sprint en plein milieu de la salle commune ? C'était toujours plus intéressant que de lire ce livre. Pour dire, même faire ses devoirs devenait un soulagement au lieu de lire !
Ellie referma le livre avec un claquement sec. Décidément, plus jamais elle n'écouterait sa mère pour ce qui est du conseil des livres. Déjà qu'elle ne lui parlait pas beaucoup... Se relevant de son fauteuil, elle se dirigea vers son dortoir. La Poufsouffle posa son bouquin à la hâte sur une étagère, la plus pratique à atteindre. Puis, elle fouilla dans ses affaires à la recherche d'un parchemin vierge, d'une plume, ainsi qu'un peu d'encre pour commencer sa lettre. Que dire à son père ? Toutes les semaines c'était la même chose. En sept jours, il n'y avait rien de très folichon qui se produisait. Alors, Ellie disait toujours pareil, à quelques mots près. En fait, elle ne faisait que changer les formulations de ses phrases, et, de temps en temps, l'ordre des phrases. Mais ça n'allait pas plus loin. Question d'originalité, la jeune Collins n'était pas la plus douée. Mais aujourd'hui, elle allait tester un nouveau mode de formulation : l'ironie, en quelque sorte. Ellie pria pour que son père ait le sens de l'humour. Elle fouilla dans un de ses sacs, et dénicha une sucette. Rien de mieux que des sucreries pour faire germer l'imagination. Alors, elle commença un brouillon, rayant tantôt quelques phrases par ci par là :

Coucou papa,

~~Devine qui c'est ?~~ J'espère que toi et Cedric, vous allez bien. En ce qui me concerne, j'ai fais la rencontre d'un dinosaure-bactérie à sept têtes dentelées. Je t'écris actuellement de l'infirmerie, avec une jambe cassée, quatre côtes fêlée, et mon bras gauche dans le plâtre. ~~Ma vie ne tient plus qu'à un fil, et j'hésite à abréger mes souffrances en me suicidant.~~ J'espère que tu as pu lire jusque là et que tu n'es pas encore tombé dans les pommes parce que c'est pas vrai ! ~~Mouahahah !~~ Non mais tu me comprends, il n'y a rien de spécial depuis la semaine dernière, il faut bien que je m'amuse à te faire quelques petites frayeurs. Et puis est-ce vraiment nécessaire que je fasse une lettre toutes les deux semaines ? Je pense que nous allons pouvoir survivre tous les deux même si je réduis mes exportations de papier de moitié. Enfin bref, tout va bien pour moi. Il ne se passe pas une journée sans que je pense à vous deux et que vous me manquiez.
Quand à toi, mon cher Cedric, je suis au courant que notre cousine Liliana s'est mariée. J'ai reçu son faire part. Je sais également que vous y avez été et qu'on a sans doute du vous donner des dragées pour moi. Si tu y touches, c'est bien plus qu'une soeur que tu perdras....
Enfin voilà ! Je vous souhaite une bonne semaine, et à dans sept jours !
Bisous, Ellie.
P.S. : Passez le bonjour de ma part à maman.

Aujourd'hui, Ellie avait fait un effort. Elle avait dit "maman" et non "Géorgia" ou alors "elle". M'enfin.
Après avoir recopié son écrit sur un parchemin propre, la jeune fille mit sa veste et se dirigea en dehors du château, vers la volière. Elle gravit les marches, une par une, serrant dans sa main une petite enveloppe contenant sa fameuse lettre qu'elle allait remettre à son hibou, Pen. Pas très original... Arrivée dans la volière, elle siffla, appelant son animal qui mit quelques secondes à apparaître. Ellie caressa Pen distraitement et lui remit la lettre. Le hiboux la saisit dans son bec, et s'envola. Son départ fut pour le moins chaotique. Il battit des ailes plusieurs secondes avant de s'envoler, manquant de faire tomber sa maîtresse. Cette dernière recula de quelques pas, en plissant les yeux, une grimace s'installant sur son visage et se cogna à quelque chose. Non, pas quelque chose... Quelqu'un. La Poufsouffle se retourna : devant elle se tenait une Serdaigle, à en croire l'écusson qui ornait sa robe de sorcière.

- Oh désolée, vraiment. C'est à cause de Pen, mon hiboux. Quel imbécile... Tu dois être Katy, non ?

Ellie lui fit un sourire d'excuse, tout en attendant docilement la réponse de son interlocutrice.

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Katy essayer de réfléchir, tant bien que mal à la lettre qu'elle allait écrire. Le fait est, qu'en règle général elle arrivait à répondre, rapidement même. Mais aujourd'hui, panne sèche. Les mots ne venant pas, les phrases ne pouvaient donc pas se former. Autant dire qu'elle était légèrement frustrée. En faite non, juste complètement. Histoire de se changer les idées elle avait commencé certains de ses devoirs pour le lendemain ou un autre jour de la semaine, puis une fois l'un terminer elle se replongé dans la recherche d'une réponse à la maudite lettre. Oh ce n'était pas du tout une mauvaise nouvelle, loin de là. C'était même une bonne nouvelle, excellente même ! Sa mère lui avait envoyer les résultats d'un concours de photographie qu'elle avait passé un mois plus tôt. Elle était première, elle avait passé plusieurs concours mais elle n'en avait gagné aucun jusqu'à récemment du moins. Mais ceci n'était pas encore la raison de son manque d'inspiration. Dans le courrier que sa mère lui avait, il y avait une seconde deux autres lettres. L'une était les résultats du concours tandis que l'autre, toujours dans son enveloppe appartenait à son père. Père qu'elle ne voyait que vraiment très rarement, voir même jamais depuis ses onze ans. Elle avait eu un réel choc en reconnaissant l'écriture et encore plus en lisant le contenue de la dite lettre. Son père -photographe de métier et assez reconnu dans le milieu- la félicitait, et lui demandait de ses nouvelles ! Chose qui, comme expliqué précédemment, n'arrivait que très peu, voir même jamais. Et il lui proposait également une sortie tous les deux, comme "au bon vieux temps", peut-être voulait-il renouer des liens avec sa fille ?

Quoi qu'il en soit, en l'espace d'une vingtaine de minute, regroupant la lecture des lettres et le temps que les informations lues arrivent à son cerveau, Katy avait poussé un énorme cris de joie. Cris qui avait sans doute fait sursauté les autres Serdaigles présent dans le dortoir et dans la salle commune. Donc après avoir sauter de son lit, elle s'était précipité vers sa valise et y avait pris un parchemin et sa plume pour répondre à sa mère ainsi que du papier à lettre et sa trousse, ceci étant tout ce qu'il y a de plus moldus. Elle voulait ménager au maximum son père, un homme qui n'était sans doute pas encore totalement habitué à l'existence d'un monde magique. Nous revenons maintenant on fond du problème. Elle avait répondu à sa mère et lui avait fait part de la demande de son père, et lui demandait également que, dès qu'elle recevrait les deux lettres d'envoyer celle de son père par les moyens moldus. Cependant elle n'arrivait pas à trouver les bons mots et craignait de blesser son père sans le vouloir, rien dans ce qu'il lui avait écrit pouvait avoir une réponse blessante, mais Katy ayant la crainte constante de blesser les autres que ce soit à l'écrit ou l'oral, elle ne cessé donc de se torturer les méninge à la recherche du bon mot et de la bonne tournure de phrase. Après une heure, où le syndrome de la feuille blanche ne voulait pas disparaître, elle si mit à rédiger sa réponse sans trop réfléchir, sur un brouillon au cas ou une ou plusieurs fautes auraient choisis de se glisser dans ses phrases. Après plusieurs brouillons, où le contenu était assez semblable elle fit un mixte des trois dans un tout dernier brouillon écrit avec une plume à vérificateur d'orthographe. Quiconque lirait cette lettre, verrait que Katy était réellement heureuse en l'ayant écrite. Elle faisait part à son père de la joie qu'elle avait ressentit quand elle avait vu qu'il lui avait écrit une lettre et encore plus en lisant le contenue de la dite lettre. Et lui dit ensuite qu'elle serait vraiment "super trop contente" (ceci étant la façon dont elle lui parlait quand elle était plus jeune elle n'avait pas pût résister en écrivant sa réponse.) de le revoir. Ponctuant la fin de sa lettre avec le dessin d'un petit tigre, signature secrète entre eux deux. (Elle espérait sincèrement qu'il s'en souviendrait.)

Mettant ses chaussures, elle quitta ensuite la salle commune des Aigle et Argent pour se diriger vers la volière, endroit qui, comme son nom l'indique permettait d'envoyer des lettres à ses parents, ou des amis, la famille ... Bref qui permet d'envoyer des lettres. Si dirigeant donc, joyeusement vers la volière, elle monta toutes les marches sans vraiment s'en rendre compte, étant de nature plutôt sportive, qualité en totale contradiction avec ses crises de flemmingite aiguë. Après avoir passé l'entrer, elle se déplaça sans faire attention devant elle. Regrettable erreur. Enfin non, pas vraiment regrettable, personne n'était tombé, donc rien de cassé. Un personne lui s'était cognée contre elle, ou s'était elle qui lui était "rentré " dedans. Quoi qu'il en soit la personne se retourna, la personne étant une jeune fille , qui s'était retournée, elle pût donc aisément deviner, grâce au blason ornant sa robe de sorcier que celle-ci appartenait à la maison des Poufsouffle. Alors qu'elle allait s'excuser pour lui avoir rentré dedans la jeune fille prit la parole.

" Oh désolée, vraiment. C'est à cause de Pen, mon hiboux. Quel imbécile... Tu dois être Katy, non ? "

Pourquoi diable s'excusait-elle ? C'était elle qui lui était rentré dedans non ? A cause de son hiboux ? En effet il y avait bien un hiboux qui avait maladroit même en volant. C'est donc tout en souriant qu'elle répondit à la Poufsouffle.

" Ne t'en fait pas il n'y a aucun problème ! Moi même je ne regardais pas ou j'allais, enfin, finalement heureusement qui j'étais là sinon tu serais tomber par terre ! Et la volière n'est pas vraiment le meilleur endroit où il est agréable de tomber.. Quoi que tomber n'est pas agréable du tout. Je raconte n'importe quoi, excuse moi... Euh oui je suis Katy ! Mais comment tu sais qui je suis ? "

Elle était assez étonnée que la jeune fille la connaisse, et elle espérait qu'elle ne prendrait pas mal si toutes deux s'étaient déjà rencontrées et qu'elle ne s'en souvenait pas ! C'est donc en attendant la réponse de la jaune et noire qu'elle essayer de voir où elles auraient put se rencontrer.

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La jeune Serdaigle était blonde, avec les cheveux parsemés de quelques mèches noires par-ci par-là. Des yeux bleus. Ellie la trouvait vraiment jolie. Mais cette fille parut étonnée que la Poufsouffle s'excuse. Cette dernière ne voyait pas vraiment ce qui coinçait. En prenant son envol, Pen avait renversé Ellie, qui à son tour, avait faillit faire tomber une élève. Logiquement, les excuses lui reviennent. Mouahaha. Intérieurement, Ellie rigola. Peut-être ferait-elle une parfaite avocate dans le monde moldu ? Mais la Serdaigle interrompit le cours de ses pensées.

- Ne t'en fait pas il n'y a aucun problème ! Moi même je ne regardais pas ou j'allais, enfin, finalement heureusement qui j'étais là sinon tu serais tomber par terre ! Et la volière n'est pas vraiment le meilleur endroit où il est agréable de tomber.. Quoi que tomber n'est pas agréable du tout. Je raconte n'importe quoi, excuse moi... Euh oui je suis Katy ! Mais comment tu sais qui je suis ?

Ellie regarda quelques secondes fixement son interlocutrice, un sourire en coin. Pour plusieurs raison en fait. La première étant qu'elle ne s'était pas trompée de prénom. Un bon point. La deuxième étant que Katy lui rappelait... elle-même. Quand Ellie se retrouvait devant des gens qu'elle ne connait pas particulièrement, elle a tendance à s'embrouiller et dire un peu tout ce qui lui passe par la tête. Et enfin, parce que la Serdaigle ne devait sûrement pas se souvenir d'elle. Les gens qui amusent Ellie sont, en partie, ceux qui ne se souviennent pas d'elle. C'est comme une sorte de pouvoir : "Tu ne te rappelle pas de moi ? Ben moi si... C'est bête hein...?" Et après on peut faire du chantage ! Moui enfin non. Pas trop. D'autant que c'est pas trop dans le genre d'Ellie de faire du chantage. C'est pourquoi elle se contenta de sourire et c'est tout. Mais elle tenta de la taquiner...

- Comment je te connais ? Je suis bien tentée de ne pas te le dire. Histoire de garder un mystère...

Finalement, elle se ravisa.

- Oui bon je rigole. En fait, je suis la meilleure en divination. Tu es apparue dans ma boule de cristal. Nan je rigole encore, je suis nulle dans cette matière. Allez là je te dis la vérité. Je ne pense pas que tu t'en souvienne, c'est un détail très banal. Je devais être en quatrième ou cinquième année... Je ne sais plus vraiment. Toi je suppose que tu dois avoir un ou deux ans de moins que moi. Vu ta tête, tu ne peux clairement pas avoir trois ans de moins. Tu ne peux également pas avoir mon âge puisque nous n'avons jamais eu cours ensemble. Tous les septième année ont déjà tous été dans la même classe au moins une fois. Et tu ne peux décemment pas être plus grande, puisque la septième année est la dernière et j'en fais partie. Ouais enfin on s'en fout. Donc le fait est que ce jour, tu devais être en troisième ou quatrième année. Je courais pour échapper à un ami, et devais un peu avoir l'air d'un folle. Comme toujours. Là, je t'ai renversé. Je me suis excusée en rigolant, et suis repartie aussi vite que je suis arrivée? De loin j'ai entendue une de tes amie dire : "Ca va, Katy ?". Etrangement, ça m'a marqué. Et en fait tant que j'y pense, nos rencontres ne tournent qu'autour de bousculades ! C'est prodigieux !

Sur ces dernières paroles, Ellie éclata de rire. Plus pour cacher sa nervosité d'avoir débiné tant de choses que parce qu'elle trouvait sa dernière remarque amusante.
La Poufsouffle mis ses mains dans ses poches, haussa les épaules, fit un sourire gêné puis regarda autour d'elle. En scrutant attentivement la volière toute faite de pierres pas très belles, Ellie remarqua que Pen attendait sagement dans un coin. Elle soupira. Mais quel fainéant ce hibou ! Non seulement, il manquait de la faire tomber, mais en plus ne remplissait pas son rôle. Elle se dirigea vers lui et tendit un bras pour qu'il monte dessus. Même si c'était risqué de faire s'envoler Pen, et que par la même occasion, Ellie se ridiculiserait certainement devant une nouvelle rencontre, il fallait absolument qu'elle envoie cette lettre. Son visage se crispa. Une espèce de grimace naquit sur son visage tandis qu'elle fit un mouvement vif vers le haut pour que son hibou ait une impulsion. Cette fois-ci, tout se passa normalement. Ellie leva les bras, poings serrés et tourna sur elle-même avec un cri de victoire, puis se souvint d'un coup qu'elle avait de la compagnie. Elle baissa un peu la tête, légèrement honteuse n'osant pas regarder Katy, de peur de lire sur son visage un profond mépris ou autre chose dans le genre.

- Excuse moi, j'ai parfois tendance à oublier que je ne suis pas seule...

Puis elle éclata de rire et releva la tête pour faire face à Katy.
Tant pis si elle la prenait pour une folle. Tout ce qui comptait pour le moment, c'était que Pen allait enfin pouvoir remettre la lettre à destination.

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Le temps que la jeune ne lui réponde, elle eu le temps d'apercevoir un petit sourire au coin des lèvres de celle-ci. Bon elle ne pensais pas que c'était moqueur, alors elle songea que la Poufsouffle était dans ses pensée où qu'elle réfléchissait de quel façon elle allait lui qu'elle la connaissait, non parce que elle avait beau faire travailler sa mémoire, son visage lui disait, certes un petit quelque chose, mais c'était vraiment vague... C'est alors que la demoiselle prit la parole.

"Comment je te connais ? Je suis bien tentée de ne pas te le dire. Histoire de garder un mystère.."

Avait-elle bien entendu ? Elle ne voulait pas le lui dire ! La filoute ! Elle eut le temps de hausser un sourcil alors que la jeune fille reprenais la parole en lui disant qu'étant la meilleure en divination, elle l'avait vu dans sa boule de cristal, bon Katy n'y croyais pas vraiment et ses dires se confirmèrent lorsqu'elle continua. Alors comme ça elle s'était déjà bousculées ? Hmm, elle réfléchit quelques secondes et se souvint effectivement qu'une jeune fille l'avait bousculer au point de la faire tomber par terre dans les couloirs du château en riant comme une folle. Pour ce souvenir de tels détails alors qu'elle était en pleine course poursuite Katy lui tira mentalement le chapeau qu'elle n'a pas. Et à la fin de son explication la jeune fille éclata de rire, elle-même trouva tout son discourt assez sympa c'est pourquoi elle accompagna la jeune fille dans son fou rire, puis la jaune et bronze regarda un peu partout entour d'elle pour finalement se retourner vers un hiboux qui attendait sagement quelque chose dans un coin, cela devait sans doute être le fameux Pen, cela devait être un sacré fainéant pour que ça nouvelle rencontre soit obliger de lui donner de l'élan pour qu'il aille livrer sa lettre. Et après que celui-ci se soit finalement envolé elle fit un petit cri de victoire puis s'exclama.

" Excusa-moi, j'ai tendance à oublier que je ne suis pas seule..."

Katy sourit puis décida finalement de répondre a son discours prononcé un peu plus tôt.

"Ne l'inquiet surtout pas ! Il n'y a pas de problème, ce genre de chose m'arrive de temps à autre aussi. Alors comme ça tu n'es donc pas voyante ? Voyons c'est très simple pourtant ! Il te suffit juste d'ouvrir ton esprit et de regarder l'au-delà ! Enfin ... C'est exact ! Je me souviens bien qu'en deux ou troisième année une jeune fille m'avait bousculé, alors c'était toi ! Je suis sur qu'une troisième fois est à prévoir, c'est ce que le dicton dit Jamais deux sans trois. N'empêche que moi je ne sais toujours pas comment tu t'appelles, alors dis moi camarade de bousculade c'est quoi ton identité ?! Oh et tu ne passerais pas souvent vers le dortoir des Gryffondors ? Paske le tableau de la Grosse Dame dit souvent ce c'est prodigieux. "

Elle explosa de rire puis chercha du regard le hiboux de sa mère, un beau tout intégralement noir, nommé Kon. Une fois celui-ci repéré elle l'appela puis lui donna la lettre qu'il devait déposer chez elle, pour sa mère. Elle ne put néanmoins pas s'empêcher de lui crier alors qu'il était déjà à la sorti de la volière de ne surtout pas traîner.

Elle se retourna de nouveau vers la brune, lui sourit puis lui dit.

"Et bien maintenant que nos lettres sont envoyées, si nous discutions ?"

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