Elisa ruminait elle marchait en tête de son groupe et elle portait les 2 sacs kaki. La pouffy a qui elle était associée une 6éme année du nom d'Euphrasia avait catégoriquement refusé de le porter déjà que lui faire enfiler une tenue militaire avait était dure. Elle avait ajoutée également l'insigne militaire. Elisa elle portait sa jupe courte d'enfant et tirait son bateau jouet, avec les soldats jouet d'Euphrasia dedans. Depuis qu'elles avaient découverte qu'elles étaient en pleine seconde guerre mondiale elles devaient passer inaperçu ainsi Euphrasia interprétait une militaire qui raccompagné une jeune fille perdue. Au loin Elisa aperçu quelques militaires assis à même le sol.

Elisa ne put s'empêcher de faire un jeu de mot.

"Regarde des mili terre à terre"

Elle pouffa sous l'effet de son propre jeu de mots. Mais elle se reprit vite elle devait s'arranger pour leur prendre quelques tickets de ration.

"Puisqu’on est en mission on devrait prendre des nom de code moi ça sera Elis- a eau et toi euph- à - la coque" reprit Elisa incapable de garder son sérieux.

Pour sa mission elle devait paraitre une petite fille perdu affamée et triste un jeu d'enfant pour elle.


"Bon je dois faire semblant de pleurer il faut que j'ai les yeux mouillés facile pour une Elis-à eau attention à toi si je suis affamé" rajouta-t-elle avec un clin d'œil.

mission:

Son ventre cria famine. Surprise, elle essaya d'étouffer les grognements que se firent encore plus forts. Sia grimaça un sourire à Elisa, la petite Serpentard qui l'accompagnait. Leur petit groupe mourrait littéralement de faim. Après avoir fouillé tous leur sac, elles avaient du se rendre à l'évidence. Aucune d'entre elles n'avait le moindre petit morceau de mouche ou de vermisseau. Et pas de voisine fourmi chez qui rafler deux ou trois biscuits. Euphrasia se sentait stupide avec ses dix kilos de riz. Tant de nourriture sous le nez et elles étaient incapables d'en profiter... Les filles ne pouvaient pas allumer un feu, n'avaient pas de casserole et surtout pas d'eau. La grosse angoisse. Elles s'étaient donc réparties plusieurs équipes. Avec Elisa, la Poufsouffle s'occupaient de trouver de quoi grignoter. Un jeu d'enfant ! Surtout en période de Seconde Guerre Mondiale... Quand elles avaient réalisées dans quel bourbier elles s'étaient fourrées, Sia devait bien avouer qu'elle avait lutter contre une grosse crise d'hystérie. D'ailleurs, elle n'était pas encore sure de s'en être remise. Concentre toi sur la mission ! S'ordonna-t-elle, ne pense à rien d'autre ! Le plan d'attaque, rappelle-t-en ! Parce qu'en effet, elles n'allaient pas foncer dans le tas sans avoir réfléchit un minimum. En particulier en 1945. Leur but était de quémander avec une tête de cocker quelques tickets de rationnement et trouver un village chez qui les dépenser. Pour ça, impossible de se pointer avec les uniformes de Poudlard ! Par chance, les filles avaient quelques déguisements dans leur sac. Pas de nourriture mais des fichus costumes... Allez chercher l'erreur. Si bien qu'il avait été décidé qu'Elisa jouerait le rôle d'une pauvre petite fille mourant de faim et que Sia serait un militaire qui passait par là et serait tombé sur la fillette. Elle leur servirait qu'elle était une infirmière et qu'à cause des bombardements, elle avait dû s'habiller comme ça. L'excuse passerait. Surement. Parce qu'une femme militaire, on ne connaissait pas, à cette époque. Quelle bande de machiste.

_Regarde, des mili-terre à terre ! Pouffa Elisa.

Sia leva les yeux et remarqua la petite escouade assises en tailleur dans la terre. Elle laissa un sourire poindre sur ses lèvres. Pas pour la blague, mais parce qu'elles touchaient au but.

_Puisqu’on est en mission on devrait prendre des nom de code moi ça sera Elis-a-eau et toi Euph-à-la-coque.

Elle la fixa, les sourcils froncés. Non pas parce que la blague était mauvaise (enfin si, un peu) mais surtout parce qu'elles étaient dans une situation délicate. Elles allaient négocier avec des militaires, par Merlin ! Ce n'était pas les premiers pecnos du coin, ils étaient armés ! Il fallait se montrer sérieux, nom de Dumbledore ! Mais Elisa se reprit vite.

_Bon je dois faire semblant de pleurer il faut que j'ai les yeux mouillés...

Ok, elle semblait avoir compris l'enjeu du truc.

_... facile pour une Elis-à eau attention à toi si je suis affamé.

Oh, que Helga leur vienne en aide.

_Doucement Elisa ! Siffla-t-elle en l'attirant derrière à arbre, à l'abri des regards des hommes. On ne sait même pas s'ils sont anglais. Tu t'imagines, tomber nez à nez avec des allemands ? On se ferait tuer. Voire pire encore.

Elle réprima un frisson et l'obligea à la regarder.

_Ok, tu es concentrée ? Tu es prêtes ? Je vais y aller d'abord, pour voir s'ils sont anglais.

La Poufsouffle tenta d'apercevoir la couleur de leur uniforme ou un insigne qui aurait pu les renseigner mais elles étaient trop trop loin. Flûte !

_S'ils sont anglais, lui expliqua-t-elle, je leur sers mon baratin et je te fais signe de venir. S'ils sont allemands... eh bien... Je sais dire bonjour en allemand. Ça suffira. Peut-être. Bon, souhaite moi bonne chance !

Euphrasia se recomposa un visage et laissa Elisa en plan. Au fur et à mesure qu'elle avançait, son rythme cardiaque augmentait et son cœur résonnait à ses oreilles. Jamais elle n'avait eu aussi peur. Oh, elle était folle ! C'était sa vie qui était en jeu, zut ! Mais ses craintes retombèrent lorsqu'elle vit les drapeaux anglais cousu sur leur épaule gauche. Sauvée !
Elle trottina vers eux les mains en l'air pour se faire remarquer et ne pas les prendre au dépourvu. Après l'avoir aperçu ils se levèrent, sur la défensive. Tremblante, elle leur expliqua son histoire (à la mords-moi-le-nœud, il fallait bien l'avouer) mais ils semblèrent tout gober. Un sourire et le tour était joué !

Sia se retourna et fit de grands gestes à Elisa. C'était à elle de jouer et la Poufsouffle ne se faisait aucun soucis sur les talents de comédienne de la Serpentard.

Euphrasia sourit même si Elisa doutait que c'était grâce à sa blague qui était vraiment pourri mais Elisa préféra pousser son avantage juste au cas où elle sortit une autre blague sur leur prénom, le jeune fille compris vite qu'elle était aller trop loin et elle se reprit:


-"Bon je dois faire semblant de pleurer il faut que j'ai les yeux mouillés..."

Mais elle ne put s'empêcher d'ajouter

-"... facile pour une Elis-à eau attention à toi si je suis affamé."




-"Doucement Elisa !. On ne sait même pas s'ils sont anglais. Tu t'imagines, tomber nez à nez avec des allemands ? On se ferait tuer. Voire pire encore."


Elisa même si elle ne laissa rien paraitre manqua d'exploser de rire, des allemands en Angleterre pendant la 2nd guerre mondiale la fille ne devaient pas être très forts en histoire!


Ok, tu es concentrée ? Tu es prête ? Je vais y aller d'abord, pour voir s'ils sont anglais.

"D'accord je t'attend ici."
Elisa préféra ne rien révéler tant mieux si en plus elle pouvait profiter de l'ignorance de la pouffy!


S'ils sont anglais, je leur sers mon baratin et je te fais signe de venir. S'ils sont allemands... eh bien... Je sais dire bonjour en allemand. Ça suffira. Peut-être. Bon, souhaite-moi bonne chance !

"bonne chance" dit Elisa quasiment hilare intérieurement.


Quelques minutes plus tard Elisa vit la pouffy lui adresser de grand signe. C’était à elle de jouer! Elle se frotta les yeux jusqu'à ce que les larmes jaillissent et qu'il devienne rouge et gonflé. Elle afficha un visage apeuré recroquevillé sur elle-même sa petite taille pouvait lui permettre de faire croire qu'elle avait quelques année de moins.

Elle se rapprocha d'Euphrasia et murmura la voix tremblante.

"C'cest ici qu'qu'on va manmanger madame dit c'est ici" tout en se cachant à moitié derrière la pouffy, je mérite un oscar moi pensa t'elle "tu sais j'ai faim moi madame."


Sa prestation devrait suffire à émouvoir les quelques soldat de plus elle tenait un soldat en plomb dans sa main si ça ne marchait pas Elisa était à cours d'idée car la petit fille triste effrayé et affamé n'était pas son meilleur rôle mais elle avait donné son maximum.

Si elle n'avait pas été dans le coup, Euphrasia se serait presque laissée prendre. La Serpentard regardait les quatre soldats avec de grands yeux brillants. Elle semblait si fragile et triste que Sia voulut presque se jeter à son cou en lui jurant que tout allant bien se passer et qu'elles trouveraient bientôt à manger. Elisa aurait pu se trouver sur scène, à jouer Cosette dans Les Misérables que cela serait passé comme une lettre à la poste. Lorsqu'elle eut finit son petit monologue larmoyant à souhait, les hommes les toisèrent. La gorge de la jeune fille se noua et le stress remonta en piquée. Qu'était-elle censée faire, maintenant ? Il fallait se douter qu'ils n'allaient pas leur donner leurs tickets comme ça. Ils se battaient et devaient manger de la boue tous les jours alors qu'on vienne les voir pour leur soustraire leur seule source de nourriture autre que l'horrible bouillasse des campements... Un horrible doute la saisit. Et s'ils étaient des espions allemands ? Ils allaient se servir d'elles comme otage ! Oh, Seigneur. Y avait-il au moins des allemands en Angleterre pendant la Seconde Guerre Mondiale ? S'ils étaient des ennemis, ils les auraient déjà attaqués... Allez, on se calme, Euphrasia Kwiat.

_Hum, hum, toussota-t-elle, la petite est arrivée au campement affamée et épuisée. Elle m'a dit qu'elle s'était perdue... alors qu'elle cherchait de quoi manger. Elle habite dans le village le plus proche et vient... d'un orphelinat. Vous savez comme les temps sont durs, n'est ce pas, gentlemen ?

D'ailleurs, ils n'avaient pas vraiment l'air de gentlemen, avec la crasse qui tapissait leur visage dont on distinguait à peine les trais. Leurs cheveux gras, plaquer en arrière ne donnaient pas vraiment envie. Ils n'avaient pas dû être appelés ainsi depuis belle lurette...

_La misère est encore pire dans les petits bourgs coupé de tout... surtout dans les orphelinat. Personne n'est là pour s'occuper d'eux... Pauvres enfants. Alors, je me suis portée volontaire pour la raccompagnée. Mais nous n'avons pas de tickets...

Oh, Sia sentait qu'elle s'enfonçait. Elle ne savait pas jouer la comédie et pire encore, elle était une tanche complète en histoire. Qu'elle soit moldue ou magique. Ok, la Seconde Guerre Mondiale, elle savait ce que c'était. Ok, elle connaissait les belligérants et les dates de début et de fin. Mais en ce qui concernait les détails... Si Faust avait été là ! Son ennemi d'enfance était brillant et adorait cette matière (bien qu'il lui en coute de le dire). Il aurait su gérer la situation, lui. Il aurait su quoi dire et quoi faire. Bon, réfléchis, Sia ! S'ordonna-t-elle. Il fallait les faire pencher de leur côté. Elle était à moitié polonaise, ça pouvait peut-être aidé, non ?

_De plus, je ne suis pas vraiment d'ici, leur expliqua-t-elle, je m'appelle Maria Dabrowska et je suis venue aider l'Angleterre lorsque la Pologne a été envahie par les allemands. Je ne connais pas vraiment la région. Le village, où est-il ?

Elle leur servit un sourire crispé et pas du tout naturel. Oh, Elisa par pitié, viens moi en aide !
Et soudain, Sia se rappela d'un petit détail. Un tout petit détail. Le riz. Elles avaient dix kilogrammes de riz sur elles ! Si ces soldats les fouillaient... Ils penseraient surement qu'elles faisaient de la contrebande ! Du marché noir ! Elles seraient arrêtés et jetées au trou... Ce genre de chose était bien punie, n'est ce pas ? Euphrasia espérait qu'elle se trompait. Ce n'était pas impossible, avec son niveau d'histoire. Pourtant, il lui semblait qu'elle avait raison, pour une fois. Ils ne fallait surtout pas qu'ils regardent dans leurs sacs. Sauf si... Sauf si elles réussissaient à échanger quelques uns de leur kilos contre des tickets. De toute façon, elles ne pouvaient pas le manger, leur riz alors... Il n'y avait qu'une petite chose à vérifié. Ces hommes étaient-ils, oui ou non, pour le troc au noir ? Là était la question. La Poufsouffle jeta un regard en biais à Elisa et fronça les sourcils vers son cartable en espérant qu'elle comprenne ce qu'elle voulait dire.

Le membre 'Il était une fois...' a effectué l'action suivante : Le Hasard

'Le Hasard' : 3

Elisa avait tellement bien jouée son rôle que même Euphrasia avait les larmes aux yeux. Mais les quatre soldats restèrent stoïques, sans doute n’étaient –ils pas mobilisé depuis longtemps.


-Hum, hum,la petite est arrivée au campement affamée et épuisée. Elle m'a dit u'elle s'était perdue... alors qu'elle cherchait de quoi manger. Elle habite dans le village le plus proche et vient... d'un orphelinat. Vous savez comme les temps sont durs, n'est-ce pas, gentlemen ?

Elisa toujours accroché et cachée derrière Euphrasia ne put s'empêcher de lever les yeux au ciel, gentlemen mais elle vivait en quelle année, dire sa a des militaires crasseux. Même si elle voulait les flatter elle allait un peu loin.


La misère est encore pire dans les petits bourgs coupés de tout... surtout dans les orphelinats. Personne n'est là pour s'occuper d'eux... Pauvres enfants. Alors, je me suis portée volontaire pour la raccompagnée. Mais nous n'avons pas de tickets...

Aborder le sujet comme ça! Elisa devait vraiment faire tout elle même.
Elisa s'approcha du premier soldat et leva des yeux larmoyant.

"Vous aller bagarrer les méchant allemand hein monsieur moi aussi je veux" Elle saisit un casque à terre le mit sur sa tête et commença à défiler les militaires se mire à rire. Le premier tira un ticket et le tendit à la poufsoufle il se tourna vers ses camarades qui à leur tour tendirent un ticket.

Le premier soldat la souleva de terre et dit:

"Une vrai petite patriote, adorable"


De plus, je ne suis pas vraiment d’ici, je m'appelle Maria Dabrowska et je suis venue aider l'Angleterre lorsque la Pologne a été envahie par les allemands. Je ne connais pas vraiment la région. Le village, où est-il ?


"Le village est par là à environ 300 mètres, vous pourrez vous procurer des rations là-bas avec les tickets" le 2éme soldat pointait son doigt vers l'ouest "l'orphelinat est dans la rue du moulin, on nous relève dans 2 jours on viendra te rendre visite"


Elisa insista pour serrer chacun soldat dans ses bras au passage tel un pickpocket elle subtilisa un ticket supplémentaire par soldat, elle serra le casque contre son cœur et les militaire le lui laissére également. Elle revint alors vers Euphrasia et les 2 filles s'éloignèrent.

défis:

Elisa continua de jouer son rôle à la perfection. Elle fit mine de s'amuser avec un casque qui traînait par terre, sourit et le tour était joué ! Un des hommes, le plus sale d'ailleurs, tendit un ticket à Euprasia. La Poufsouffle, ravie et abasourdie le saisit en se confondant en excuse. Elle n'arrivait toujours pas à croire que leur petit tour avait fonctionné. Par Merlin, elles, deux gamines, avaient berné des militaires de la Seconde Guerre Mondiale ! Ça, c'était bien un truc qu'elles pourraient raconter à leurs petits-enfants, un soir d'hiver devant le feu de la cheminée.

Le deuxième soldat rit du patriotisme de la petite Serpentard et répondit à la question de la jeune fille. Oh donc, le village n'était pas très loin ! Agréablement surprise, Sia lui servit un sourire éclatant. Par ailleurs, elle avait parlé d'un orphelinat en ne sachant même pas s'il y en avait un dans le coin alors découvrir qu'il y en avait effectivement un dans le bourg... C'était de la chance pure. Ou alors sa bonne étoile s'était décidée à montrer le bout de son nez. Elle se refroidit un peu lorsqu'ils leur affirmèrent qu'ils passeraient voir Elisa au foyer lorsqu'ils en auraient l'occasion. Sauf que les deux élèves de Poudlard auraient prit la poudre d'escampette, d'ici là. Enfin, si tout allait bien.

La comédienne en herbe serra dans ses bras tous les hommes en prenant bien soin de leur chipper un ticket à chacun. Plus guimauve ? Impossible ! Mais enfin, il fallait bien ça. Ces soldats leur avaient quand même donnés (volontairement ou non) leur seule promesse de viande et autres produits frais. A y penser comme ça, Euphrasia se sentit un peu coupable. N'étaient-elles pas horribles de leur faire ça ? A eux, qui s'étaient montrés si gentils ? Peut-être allaient-ils mourir sous les bombardements... Oh, quelle horreur.
Mais elle tenta de vite étouffer sa culpabilité de peur qu'elle ne se trahisse sur son visage. Il ne fallait pas tout faire cafouiller maintenant. Ces tickets, elles en avaient besoin aussi. Elle n'appréciait juste pas la façon dont elles s'y étaient prises. Mais elles n'auraient pas pu faire autrement. Hé puis, c'était mieux que du vol pur et simple.

Elise et elle se tirent la main jusqu'à n'être plus en vue des soldats puis elles se séparèrent et reprirent une distance normale entre chacune d'elle.

_Hé bien Elisa, je dois bien admettre que tu m'as impressionnée ! Tu as fait du théâtre ? Je me suis sentie franchement nulle à côté de toi... Heureusement que ça à marché ! Lui dis-je en lui montrant les tickets et en lui faisant un clin d'oeil. Maintenant, allons nous achetons à manger et ramenons ça sur le campement. J'en connais quatre ou cinq qui vont être ravies de notre succès !

Elisa et Euphrasia s'éloignèrent en se tenant la main puis se séparèrent aussi vite une fois hors de vue des soldats.


Hé bien Elisa, je dois bien admettre que tu m'as impressionnée ! Tu as fait du théâtre? Je me suis sentie franchement nulle à côté de toi... Heureusement que ça à marché ! Maintenant, allons nous achetons à manger et ramenons ça sur le campement. J'en connais quatre ou cinq qui vont être ravies de notre succès !


"Non je n'ai jamais fait de théâtre je suis meilleur en sport que dans les arts" répondit Elisa "Mais heureusement que j'étais là et que ces soldats n'était pas très malin."

Le sourire de la pouffy disparu de son visage. Enfin la vipère se retourna vers elle est explosa:

"Si on s'en sort un jour je te donnerai des cours intensif sur l'histoire de l'Angleterre, des allemand ici pendant la 2nd guerre mondiale les nazis n'ont jamais pu mettre le pied ici sinon ils n'auraient pas passer leur temps à bombarder, de plus le jour J n'aurais jamais eu lieu. Et puis c'est quoi cette histoire de Polonaise tu es peut être d'origine polonaise je n'en sais rien mais si tu avais passé toute ta vie en Pologne tu aurais soit un horrible accent soit tu ne parlerais pas un mot d'anglais de plus 2 semaine c'est le temps qu'il a fallu à l’Allemagne pour conquérir la Pologne et 2 semaine également pour la France aucun polonais n'a pu s'enfuir ou alors une poignée et puis des gentlemen, en 40 on avait passé l'époque des gentlemen, si ces soldat avait été un peu plus malin toute l'histoire aurait été évincée et qui sait ce qui serait advenue de nous!" Elisa avait sorti cette tirade d'un seul coup, elle ne pouvait pas se retenir plus longtemps elle reprit le chemin en silence dix minute s'écoula puis Elisa reprit plus calmement:

"Encore heureux qu'il y avait un orphelinat, bon dépêchons nous d'allait chercher la viande et les autres trucs qu'on a le droit j'ai pris un casque on pourra donc le faire cuire, avec aguamenti on devrait pouvoir faire cuire ton riz aussi." Au moins elles ne mourraient pas de faim, mais il allait falloir se méfier des soldats maintenant.

Pourvu qu'elles rentrent vite dans leur époque!

Livide, Sia s'arrêta et écouta Elisa lui balancer ses quatre vérités en pleine face. Sa voix fluette montait dans les aigus et elle ne se gêna pas pour lui faire porter le chapeau du possible échec de la mission. Qui n'avait pas eu lieu, d’ailleurs. Elles étaient toutes les deux saines et sauves avec de quoi se ravitailler alors pourquoi se devait-elle d'en faire tout un plat ? De plus, comment osait-elle l'insulter ? Il ne semblait pas à Euphrasia qu'elle s'était déjà montrée désagréable avec la Serpentard. Elle avait même fait de son mieux pour être agréable et enjouée, malgré la situation pour le moins tendue.

_Ecoute, Miss-je-sais-tout, je sais que je ne suis pas une flèche en histoire, d'accord ? Pas la peine de me hurler dans les oreilles que je ferais bien d'apprendre des fichues dates. Tu as beau être une meilleure comédienne et avoir un bon niveau en matière-poussière, ce n'est pas une raison pour te montrer désagréable. Ce n'est pas une élève de trois ans ma cadette qui va me dire quoi faire. Si je suis intervenue, c'était pour nous aider, toutes les deux. Je n'ai pas voulu nous mettre dans une situation inconfortable. Et je voulais surtout changer de sujet, avant qu'il ne remarque que nous avions dix kilos de riz dans mon sac ! Je suis sure que tu n'y avais pas pensé ? J'ai dis la seule chose qui me passait par la tête. Et, à ce propos, si je connais bien une chose en histoire, c'est bien celle de mon pays, mademoiselle. Alors ne t'avance pas sur un terrain miné, surtout celui-ci.

La Poufsouffle cala une mèche de ses cheveux derrière son oreille et reprit son souffle. Calme toi, imbécile. Tu n'es pas ici pour te battre.

_Je suis polonaise, si tu n'avais pas encore compris et, crois moi, ma famille parlait très bien anglais. Et ce, sans accent. Mes grands-parents qui ont vécu durant la guerre et leur parents parlaient plusieurs langues. Et ils n'étaient pas les seuls. C'était même plutôt monnaie courante, à l'époque. Surtout pour les gens de la haute société. L'anglais et le français étaient des passe-droit obligatoire dans leur milieu social. D'ailleurs, des centaines de milliers de polonais ont fui leur pays dès la déclaration d'Hitler et le débarquement des troupes. Ça, j'en suis sure et certaine. J'ai étudié ça, à l'école moldue. Alors ce n'est pas toi qui va m'y apprendre, c'est bien compris ? Tu n'as pas besoin d'être si agressive, tu sais. Moi, j'ai fait ça uniquement pour nous aider.

Euphrasia croisa les bras sur sa poitrine et leva les yeux au ciel. Et dire qu'elle devait se justifier devant une gamine. Elle avait tout fait pour la traiter comme son égale mais rien à faire. Elisa devait être en pleine crise d'adolescence, en rebelliion contre l'autorité, les adultes et tout le toutim. Ou alors, Sia ne s'entendrait jamais avec les Serpentards. Au choix.

_Maintenant, si j'ai fini mes explications et que tu t'es calmée, on pourrait aller tranquillement jusqu'au village, acheter ce qu'on doit et retrouver les filles, d'accord ? A hurler comme ça, tu risques de nous faire repérer. Et nous n'avons pas besoin de ça.

Alors que Sia reprenait sa marche, elle lui lança dans un sourire :

_D'ailleurs, les hommes aiment toujours qu'on l'appelle gentlemen. Prends-en bien note.

Elisa s'arrêta à son tour elle ne s'attendait pas à ce que la poufsouffle conteste son raisonnement qui paressait parfait mais Euphrasia ne semblait pas vouloir en restait là.


_Ecoute, Miss-je-sais-tout, je sais que je ne suis pas une flèche en histoire, d'accord ? Pas la peine de me hurler dans les oreilles que je ferais bien d'apprendre des fichues dates. Tu as beau être une meilleure comédienne et avoir un bon niveau en matière-poussière, ce n'est pas une raison pour te montrer désagréable. Ce n'est pas une élève de trois ans ma cadette qui va me dire quoi faire. Si je suis intervenue, c'était pour nous aider, toutes les deux. Je n'ai pas voulu nous mettre dans une situation inconfortable. Et je voulais surtout changer de sujet, avant qu'il ne remarque que nous avions dix kilos de riz dans mon sac ! Je suis sure que tu n'y avais pas pensé ? J'ai dit la seule chose qui me passait par la tête. Et, à ce propos, si je connais bien une chose en histoire, c'est bien celle de mon pays, mademoiselle. Alors ne t'avance pas sur un terrain miné, surtout celui



Elisa n'avait pas pensé au 10 kg de riz en effet, et si elle ne connaissait l'histoire de la Pologne elle savait l'histoire de l’Angleterre Euphrasia devait être Polonaise au moins d'origine. Elle ouvrit la bouche pour répliquer mais la poufsouffle en lui en laissa pas le temps.


_Je suis polonaise, si tu n'avais pas encore compris et, crois moi, ma famille parlait très bien anglais. Et ce, sans accent. Mes grands-parents qui ont vécu durant la guerre et leurs parents parlaient plusieurs langues. Et ils n'étaient pas les seuls. C'était même plutôt monnaie courante, à l'époque. Surtout pour les gens de la haute société. L'anglais et le français étaient des passe-droit obligatoire dans leur milieu social. D'ailleurs, des centaines de milliers de polonais ont fui leur pays dès la déclaration d'Hitler et le débarquement des troupes. Ça, j'en suis sure et certaine. J'ai étudié ça, à l'école moldue. Alors ce n'est pas toi qui va m'y apprendre, c'est bien compris ? Tu n'as pas besoin d'être si agressive, tu sais. Moi, j'ai fait ça uniquement pour nous aider.


"D'accord je ne connais pas l'histoire de la Pologne aussi bien que tu sembles la connaitre c'est pourquoi je n'ai pas parlé de la Pologne au soldat ce que je sais en tout cas c'est que même si la Pologne n'as pas entièrement collaboré, les allemand se sont servis des partisans Polonais comme espion en France et en Angleterre même si nombreux ont étais arrêté et démasqué et qu'aucun n'a pu divulguer d'information clair ses soldats aurait pu te fouiller pour voir si tu n'étais pas une espionne et là il aurait surement découvert le riz"




_Maintenant, si j'ai fini mes explications et que tu t'es calmée, on pourrait aller tranquillement jusqu'au village, acheter ce qu'on doit et retrouver les filles, d'accord ? A hurler comme ça, tu risques de nous faire repérer. Et nous n'avons pas besoin de ça.



Elisa voulu encore répliquer elle allait lui rejeter la faute en plus cette poufsouffle était plus coriace qu'elle l'aurait cru, mais elle préféra se taire elle était la seule Serpentard et elle se doutait qu'elle n'aurait pas l'avantage si ce combat allez plus loin qu'un joute verbale.

"Au moins un point où nous sommes d'accord."


_D'ailleurs, les hommes aiment toujours qu'on l'appelle gentlemen. Prends-en bien note.

Décidemment cette poufsouffle n'en faisait qua sa tête elle était persuadé d'avoir raison Elisa préféra laisser tomber elle poussa un long soupir et repris sa route.