Elisa était d’une humeur massacrante, il était 2 heure du matin non seulement le sommeil ne venait pas mais en plus elle était sous une pile de photos. Sa sœur la veille lui avait envoyait la une photo de son nouvel "amour", un chanteur moldus du nom de Justin Bieber. Elle avait essayé de lui rendre une tête affreuse depuis qu'elle avait rejoint le dortoir en vain tout ce qu'elle avait réussi c'était à multiplier la photo. Pour se détendre et essayer de dormir enfin un peu elle descendit dans la salle commune et s'installa dans un fauteuil, mais elle avait l'étrange impression que le buste de Serdaigle la regardait avec son diadème ou on pouvait lire en grand "tout homme s'enrichit quand abonde l'esprit". Lui vient alors une idée, elle avait appris quelques jours plus tôt que les Serpantards retournerait dans leur dortoirs l'année d'après, elle ne put résister à l'envie de marquer son passage. Elle remonta quatre à quatre les marches qui la menait à son dortoir et pris les dizaines de photos de Bieber qui étais entassée sur son lit. A l'aide de sorcier collant elle attacha les dizaines de photos du jeune chanteur sur les murs de la salle commune

"Eux qui aime la culture c'en est de la musicale" murmura Elisa avec un petit rire

Au moment de revenir dans le dortoir une autre idée lui vint à l'esprit. Elle avait lu dans un livre le maléfice de glu perpétuelle, même si elle ignorait si elle en était capable elle se décida à le tenter, elle risquait quoi? La coupe était chez poufsouffle une retenue? Une de plus ou de moins qu'elle différence.

Elisa leva sa baguette et murmura le sort

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'Le Hasard' : 3

Trop agitée durant son sommeil, Amara n'était plus capable de fermer l’œil. Le moindre petit bruit réussissait à la réveiller et elle se sentait d'humeur massacrante. Incapable de dormir, elle se dit que rester dans son lit n'allait pas l'aider. Peut-être que le chaleureux foyer dans la salle commune des aigles l'aiderait à retrouver une paix intérieure. Elle se vêtit d'une robe de chambre par-dessus son pyjamas et descendit vers sa salle commune. Il y avait du bruit dans celle-ci, pourtant, le couvre-feu était passé depuis longtemps. Qui pourrait encore encore réveillé? La Serdaigle frotta ses yeux dans l'espoir de se réveiller un peu plus. Le bruit n'était pas très fort, mais assez pour qu'Amara pense que c'était ce bruit qui l'avait réveillée. Celui qui en était l'auteur allait passer un mauvais quart d'heure entre les griffes de l'aiglonne. Ça faisait quand même longtemps qu'elle n'avait pas été de bonne humeur. Elle rencontrait des problèmes partout où elle allait, comme si c'était un aimant. Tout ce qu'elle faisait se retrouvait à être d'une malchance incomparable. Jamais elle n'avait vécu des jours aussi terribles. Que ce soit avec ses amis ou sa famille, Amara ne voulait même plus les entendre parler. Peut-être n'était-ce rien d'autre qu'une sensation éphémère? Une chance que les vacances approchaient à grand pas, il ne leur restait rien que quelques jours avant le départ de Poudlard vers Londres. Il y avait une petite soirée organisée entre Serdaigle et le bal de fin d'année. Les deux événement réussiront sans doute à mettre la bleu et bronze de bonne humeur.

Enfin, elle arriva dans leur salle commune et remarqua quelque chose d'assez étrange. Une petite fille était en train de coller des affiches sur le mur de leur salle commune. Bizarrement, ça rappelait un bon souvenir à Amara. Cette dernière avait fait la même chose, mais dans les couloirs. Au moins, sur les affiches d'Amara, il n'y avait pas un jeune garçon d'une douzaine d'années ressemblant à un chaton. Les jeunes aiment les jeunes, c'est le moins qu'on puisse dire. La bleue et bronze s'accota sur le mur en arrière d'elle et regarda la jeune sorcière faire son travail. Ensuite, la jeune Swann lui demandera, pas nécessairement gentillement, d'enlever chaque affiche. Amara était déjà perdue dans ses pensées quand elle vit que la jeune fille sortait sa baguette et la pointa vers les affiches. Qu'allait-elle faire? À partir de ce moment, tout se passa en une fraction de seconde. La Serdaigle comprit alors que la petite fille voulait lancer un sortilège de colle perpétuelle. Ah non... Amara avait encore deux année à passer dans cette salle commune, elle ne voudra jamais voir la face de celui qui était présent sur les affiches à chaque jour de sa vie. Comment pouvait-elle contrer le sortilège? À moitié endormie comme elle l'était, ça l'étonnerait si elle pourrait réussir ne serait-ce qu'un sortilège. Elle sorti sa baguette en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et la pointa sur la petite fille. Fille qui devrait être à Serpentard si elle s'amusait à rendre la salle commune des aigles affreuse. Amara lança un Expelliarmus vers la jeune fille et espéra de tout cœur que son sortilège allait réussir. Elle s'approcha par la suite à grands pas vers la petite rebelle.

« Tu n'as pas de chance, mademoiselle, d'être tombée entre mes mains. Par Merlin, pourquoi as-tu fait ça? Je comprends que tu manques de cervelle, mais à ce point... Au moindre faux pas je te ferais avaler ta baguette et si ton explication n'est pas assez satisfaisante, tu te retrouveras à l'infirmerie. » dit Amara en mettant ses mains sur ses hanches.

Avec toute la rage à l'intérieur d'Amara, elle n'aura aucune peine à infliger des dégâts à son interlocutrice. S'attaquer aux plus jeunes qu'elle ne figurait pas dans ses habitudes, mais si ceux-ci le cherchent, elle le fera. Quand on cherchait Amara, on pouvait facilement la trouver. Étant plus fâchée que d'habitude, Amara n'était pas d'humeur à entendre des mensonges alors la petite fille était mieux d'y faire attention.

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'Le Hasard' : 4

Grâce au sortilège lancé par la Serdaigle, la baguette de la petite fille lui tomba des mains et partit plus loin. Amara ne regarda pas l’endroit où avait atterri la baguette, car même si la petite dérangeante la récupérait, elle ne pourra rien faire contre Amara. L’aiglonne connaissait ses sortilèges de protection et quelqu’un de moins expérimenté qu’elle n’aura aucune chance contre ses savoirs en matière de sortilèges.

"Une explication?" "Pourquoi je devrais avoir une explication je suis en train de faire quelque chose que je doute que le règlement l'autorise. Mais vois-tu j'ai des dizaine de photos de ce modus et la fin de l'année est pour bientôt donc comme il n'y a aucuns sang de... je veux dire nés moldus à Serpentard, elle en me serviront donc à rien quand je serai retournée dans ma salle commune, voilà pourquoi je l'ai met ici en plus le buste de Elga est vieux pourquoi ne pas le remplacer par un jeune chanteur moldus dont toute les jeunes filles stupide sont fans?"

Elle se moquait d’Amara, là? Était-elle folle? Mais la question qui rongeait le plus la Serdaigle était celle de savoir qui était la petite criminelle. Sans doute future prisonnière à Azkaban. L’aiglonne leva le bout de sa baguette et lança un Lumos. Elle n’avait pas à prononcer le sortilège à voix haute, car elle le connaissait depuis sa première année passée à Poudlard. Elle l’utilisait presque à chaque jour. Il va sans dire qu’elle maîtrisait parfaitement ce sort. Son interlocutrice était quelqu’un vraiment effronté à parler ainsi. Son visage était enfin éclairé dans la pénombre. Amara avait dû la voir à quelques reprises dans le château, mais elle ne lui avait jamais vraiment accordé de l’importance. Ce genre de personnes ne méritait pas l’attention d’Amara. Cette petite était un être insignifiant que la Serdaigle oubliera sans doute dans quelques jours.

« Pourquoi une explication? Par simple curiosité. Aussi, pour que tu te pratiques avant d’aller voir la directrice. Tu sais, si tu utilises le même discours devant elle, je doute que tu puisses t’en sortir sans conséquences. Et ici, contrairement à toi, les filles ne sont pas stupides. Tu pourrais même prendre ces photos répugnantes et les afficher chez toi. »

Si la petite continuerait d’énerver Amara de la sorte, elle ira l’envoyer au bureau de McGonagall sans réserve. La bleu et bronze n’allait quand même pas supporter la petite crise de pré puberté de la fille. Ce n’était pas son travail après tout. Malheureusement, elle n’était pas préfète donc elle n’avait pas le pouvoir d’enlever des points à la fillette qui le méritait d’ailleurs.

"L'infirmerie? Vraiment tu agresserai une fille plus jeune que toi et désarmée? Alors je suis prête à t'écouter et à subir qu'elle est le premier sortilège que tu vas me lancer?"

Amara put déjà s’imaginer en train de torturer la petite fille. En fait, ce n’était pas une si grande motivation. La petite ne méritait peut-être pas de subir la colère de la jeune Swann, mais la bleu et bronze voulait se défouler. Soudainement, elle commença à penser à sa mère. Comme si sa mère se trouvait devant elle, à la place de la jeune sorcière. Beaucoup de rage parcouru Amara à ce moment-là et elle pouvait jurer qu’elle avait la haine nécessaire pour lancer un Doloris. Elle n’en fera rien pourtant. Mais juste à penser à sa mère en train de souffrir lui procurait un si grand bonheur qu’elle se mit à danser. Avec sa baguette dans la main droite, elle continua à danser. Peu lui importait de l’opinion de la petite. Tout ce que cette dernière pouvait voir était la lumière de la baguette en train de s’agiter un peu partout.

« Bien sûr, et j’en prendrai un malin plaisir même, mais je n’ai pas le temps d’écouter tes âneries, petite morveuse. En fait, j’ai tellement voulu te faire du mal que des spasmes musculaires me sont apparus. Le seul remède contre cela est la danse. Ce n’est pas pour rien que j’ai dansé ainsi. Compte toi chanceuse que je n’ai pas succombé à mes envies massacrantes. Et je n’ai pas trop le goût de te lancer un sortilège, ça va réveiller les autres. »

Évidemment, tout ce qu’Amara avait dit au sujet de la danse était n’importe quoi. Elle voulait juste donner une meilleure raison à sa petite danse soudaine. Ça ne lui arrivait pas à tous les jours de danser et mieux valait s’expliquer de peur que les autres ne la prenne pour une pauvre folle sortie tout droit de Saint Mangouste. Il y avait assez de personnes bizarres dans l’enceinte du château, il ne fallait pas en rajouter à cela.

"Ce n’est pas tous mes maintenant que j'ai fini de coller ses stupides photos j'aimerais aller me recoucher j'ai besoin de sommeil moi"

Elle devait sûrement être en train de se moquer d’Amara. Mais pourquoi alors s’était-elle réveillée pour venir coller des stupides photos d’un stupide moldu sur les murs de leur salle commune. C’était vraiment stupide. Amara ne connaissait pas le nom de la petite mesquine, mais si c’était : Stupide, ça ne l’étonnerait même pas un peu. Pour qui s’était-elle donc pris à répliquer ainsi et à débiter toutes ces conneries à Amara? La bleu et bronze allait obliger la petite à enlever toutes ces photos collées. Quelle chance qu’elle n’avait pas réussi son sortilège de colle perpétuelle. Amara ne se serait pas empêchée à la torturer ensuite. Pour encore deux ans à passer à Poudlard, elle ne voulait pas qu’il y ait ces horribles photos affichées sur le mur. Cette petite était un danger public. Par ailleurs, Amara aimerait bien connaître le nom de celle-là. Non pas par curiosité, parce que sa personne ne valait rien d’important, mais bien pour pouvoir la dénoncer s’il y aurait une quelconque complication.

« Et c’est toi qui parle de sommeil? Tu n’avais qu’à rester dans ton lit cette nuit. Maintenant, tu vas sagement enlever toutes ces affiches et nettoyer les dégâts que tu as faits, si tu en as fait. Aussi, j’aimerais bien connaître ton nom. »

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'Le Hasard' : 5

"Un spasme musculaire mais bien sur. Je me demandais justement ce qui te prenait. Quand je dis que les Serdaigles sont stupides, tes condisciples de Rowena aurait surement cru ton explication mais perso ça ne prend pas, je pense juste que tu es hum comment dire... Oui voilà STUPIDE"
 
Comme Amara s’y était attendue... La fille en face d’elle ne s’était pas attardée sur la première partie de ce que lui avait dit Amara. La petite essayait de trouver des défauts à la Serdaigle et de les lui dire. Le problème était que ses insultes ne valaient rien et elles étaient bonnes pour une comédie. Amara préféra rire à son manque d’imagination et d’intelligence. Comment une petite morveuse pensait-elle pouvoir offenser Amara? Cette petite ne fera même pas changer la pensée d’une mouche tellement elle manquait de cervelle. On ne pouvait pas dire que la bleu et bronze tirait des conclusions trop vite. En fait, dès que son interlocutrice avait ouvert la bouche, l’aiglonne avait su que l’intelligence ne faisait pas partie de ses qualités. Le plus elle parlait, le plus cela était confirmé à Amara.
 
« Venant de toi ce n’est pas pertinent. C’est comme si un pitiponk traitait un dragon de pitiponk. » Dit-elle en roulant ses yeux.
 
La comparaison était un peu tiré par les cheveux et l’aiglonne pensa que la morveuse n’allait pas la comprendre. Il fallait avoir un brin d’intelligence afin de comprendre en fait. Amara voulait comparer leur situation. Comme si la jeune était une pitiponk, animal pas trop classe, et Amara un dragon, l’un des animaux les plus puissants, voire le plus puissant. Un pitiponk n’avait aucun pouvoir sur le dragon, tout comme la petite ne signifiait rien aux yeux de la Serdaigle. Et que son interlocutrice l’ait traitée de stupide était assez ironique en fait. La jeune Swann ne se cassa pas trop la tête avec ça. De toute manière, fallait mieux laisser les idiots séparés des intelligents.
 
"Mais bien sur je vais t'obéir sur le champ. Je m'appelle Sky Milbury. Ne t'attarde pas j'en ai pour un moment"
 
Pendant que la petite lui avait dit cela, elle était allée se réfugier dans la salle de bains avec sa baguette retrouvée sous le fauteuil. Que pensait-elle faire avec sa baguette aux toilettes? La  déboucher? Sky Milbury? Mais elle se moquait vraiment d’Amara? Amara connaissait très bien Sky et cette menteuse n’était surtout pas Sky. Amara connaissait Sky parce que le frère de cette dernière avait été son petit ami. C’était de cette manière qu’Amara avait connu Sky. Mais ensuite, quelques incidents s’étaient passés et Amara s’amusait avec les sentiments de Sky. En fait, elle la faisait chanter, ainsi, si elle avait besoin d’un service de la vipère, elle pouvait facilement l’obtenir. De toute manière, Amara connaissait assez Sky pour savoir qu’elle ne dirait pas autant de conneries.
 
« Je sais que tu n’es pas Sky, Trêve de menteries, dis-moi ton nom. »
 
Pour commencer, les visages de Sky et de cette petite menteuses étaient complètement différents. Ensuite, Amara savait que Sky n’était pas stupide. La vert et argent avait ses points faibles, mais l’aiglonne ne pouvait nier le fait qu’elle était rusée. Amara voulait absolument connaître le nom de la fille afin de la dénoncer. Dans le pire des cas, elle pourra toujours reconnaitre son visage et nom ou pas, l’enfant énervant sera puni.
 
"Par contre maintenant que tu connais mon nom j'aimerais savoir le tiens"
 
Le problème était qu’Amara ne connaissait toujours pas le nom de la fille. Elle mentait comme elle respirait. C’était une fille sans aucune classe. Il y avait une limite à être une peste et être une menteuse. L’aiglonne, par exemple, était, la plupart du temps, franche et sincère. Elle était capable de dire les vraies choses en face. Les seuls moments pendant lesquels elle mentait c’était pour se servir des gens. Et ce n’étaient pas des menteries stupides, bien au contraire. Amara complimentait les personnes afin d’obtenir ce qu’elle voulait. La menterie, dans ce cas, était le compliment bien entendu. La jeune Swann était meilleure pour recevoir des compliments qu’en donner.
 
« Tu le connaîtras assez tôt. Maintenant sors de cette toilette ça fait longtemps que tu es là. Si tu ne sors pas dans les trente prochaines secondes, je vais entrer pour te mettre la tête dans la toilette. Histoire de satisfaire ma curiosité féminine et voir tes cheveux après un bon tourbillon.  »
 
C’était une méthode assez efficace pour faire sortir quelqu’un des toilettes. La petite ne pourra aucunement s’opposer, à moins d’être vraiment idiote. Grâce à un simple Alohomora, si la porte était barrée, Amara pourrait entrer.  Là, il ne fallait même plus qu’elle utilise sa baguette. Sa force physique était évidemment plus grande que celle de la jeune sorcière donc elle pourra facilement la mettre dans la position désirée. Il ne lui restera qu’à tirer la chasse d’eau et la petite aura subi l’une des pires conséquences de toute sa vie. La Serdaigle n’avait aucune idée d’o;u lui était venue cette idée, mais c’était assez génial. Si la petite essayait de lui lancer un quelconque sortilège, Amara n’avait qu’à la stupéfier et le travail sera fait.
 
"Assurdiato"
 
Voilà maintenant la petite lançait un sortilège totalement inexplicable. Voulait-elle parler à quelqu’un? Au moins Amara n’aura plus à l’entendre et ce sera la joie. De toute manière, Amara savait que la petite avait entendu ses menaces de plus tôt. Il ne lui restera plus qu’à compter trente secondes avant d’aller faire la sale besogne.
 

 

Spoiler:

"Si il y a un pitiponk c'est bien toi ici, de plus tu as bien ta place car c'est l'endroit du château qui pour moi ressemble le plus à un marais!."

Amara ne jugea même pas nécessaire de répondre à cette remarque débile. Les grandes pensées ont toujours été dérangées par les pensées médiocres, disait un vieux dicton. Celui-ci avait bien raison. De plus, Amara avait toujours appris à ne pas s’abaisser au même niveau que les autres. Elle savait qu’elle était nettement supérieure aux autres et elle le laissait facilement voir. Alors les petites attitudes sans intérêt de la petite impertinente devant elle ne l’affectaient même pas. Dans quelques jours, Amara aura perdu toute mémoire de cette rencontre avec la vermine du château et elle continuera sa vie de luxe comme si rien ne s’était passé. L’aiglonne ne savait pas si la morveuse se pensait supérieure et plein d’importance en insultant une cinquième année, mais ça ne fonctionnait visiblement pas. Amara ne quitta pas une seconde son air hautain et elle continua à toiser la fille comme si c’était une moins que rien. En fait, c’était une moins que rien alors la jeune Swann la traiter à sa juste valeur. Enfin, elle préféra ne pas continuer cette discussion, qui n’était pas tant une discussion qu’une conversation sans but. Amara ne s’abaissera pas à son niveau. Elle ne fit rien d’autre que rouler ses yeux et elle fit semblant d’ignorer la remarque peu intelligente.

"D'accord mon véritable nom est Debby Ryan"

Debby Ryan? Nom qui était inconnu aux oreilles d’Amara. Elle ne pensait même pas que c’était le vrai nom de la fillette, mais soit. De toute manière, son nom ne lui était guère d’une grande importance, et mieux valait pour Amara ne pas le savoir afin de ne pas se charger le cerveau avec de la vermine. Quel nom spécial en plus. On pouvait facilement confondre le nom de famille avec le prénom de la famille. Elle était sans doute américaine, mais son accent ne la trahissait pas du tout alors. Les américains avaient un don de donner des noms de familles peu attrayants et qui ressemblaient plutôt à des prénoms qu’à d’honorables noms de familles. C’étaient le genre de personnes avec des familles recomposées avec plusieurs pères et plusieurs mères qui ne pensent qu’à peupler leur pays et être patriotes sans cervelle. Amara savait que c’était important de défendre son pays, mais un peu d’érudition ne sera jamais de refus dans ce domaine.

"Et bien entre comme sa on aura tous les 2 une raison d'aller chez la directrice j'aurais accroché des photos d'un moldus et toi tu auras forcé une porte pour observer une jeune fille à moitié nue aux toilettes."

Cela faisait vraiment longtemps que Debby était rentrée dans les toilettes. Ça agaçait la bleu et bronze au plus haut point. En plus, Amara ne savait même pas si Debby était son vrai nom, mais mieux valait penser qu’elle avait un nom ridicule plutôt que pas de nom du tout. Quoique, mieux valait être un sans nom qu’une personne avec un nom de famille ressemblant à un prénom. Qui plus était le prénom d’un de ses ex petits amis. Mais elle n’aventura pas ses pensées plus loin. L’effrontée avait pourtant bien placé un point : Amara aussi pourra se retrouver chez la directrice. Mais en fait, quelle était la preuve qu’Amara pourra faire ce qu’elle fera? Il n’y avait pas de témoins dans les alentours et l’occasion était idéale. En plus, une petite folie innocente avant les vacances n’était pas de refus dans la vie de la bleu et bronze. De plus, avec Amara et Debby devant elle, qui la directrice croira-t-elle? Amara sans aucun doute! Elle qui s’était repris en main cette année et qui avait eu de très bonnes notes partout. Elle rentrera sans doute dans la confiance de la directrice, alors sur ce plan, il n’y avait rien à dire. Fatiguée, avec une perte de jugement, Amara défonça la porte avec son pied droit. Elle essaya de ne pas regarder la fille parce qu’elle ne voulait pas voir ce qu’elle n’était pas autorisée. La Serdaigle remarqua que le sol était mouillé. La bleu et bronze avait bien failli glisser, mais à la place, elle jeta un vieux linge qu’elle trouva à terre et elle avança facilement. Dans un élan pur et simple, la Serdaigle tira la petite énervante par les oreilles et approcha sa tête de l’eau de sa toilette.

« La prochaine fois tu y plongeras. » Dit-elle menaçante sans lâcher les oreilles de la petite qui devait souffrir.
 

Elisa n'entendait rien et elle le regrettait quelle idée elle avait eu de jeter l'assurdiato sur elle-même.
Les intentions de la Serdaigles était clair et Elisa était persuadée que si il fallait aller chez la directrice celle-ci ne la croirai pas mais un peu de veritaserum prouverai qu'elle n'avait affiché que des photos dans la salle commune et ceci n'était pas une raison valable pour un renvoi! La vipère réfléchisait toujours assise sur le trône quand la porte s'ouvrit à la volée et une ombre qui devait être la bleu et bronze l'attrapa par les oreilles.

« La prochaine fois tu y plongeras. »


L'odeur était insupportable mais Elisa n'avait pas dit son dernier mot elle visa les yeux de la Serdaigle avec le déo et frappa sur ses mains avec la balayette pour lui faire lâcher prise son pantalon toujours sur les chevilles elle s'élança dans la salle commune pendant que l'aiglonne reprenait ses esprit

"recurvite finite" dit-elle sur elle-même elle espérait en elle-même que sa marche si son lit était plein de sa prose la serdaigle n'aurait aucun mal à savoir que c'était elle. Arrivée dans sa chambre elle avala une fiole de philtre de mort vivante il lui en restait un peu elle n'en avait recouvert qu'un biscuit pour chien elle se jeta dans son lit et fit mine de dormir le temps que le philtre face effet 30 seconde plus tard la porte s'ouvrit à la volée.

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#1 'Le Hasard' : 1

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#2 'Le Hasard' : 4

Amara n’avait pas encore comprit comment tout s’était passé. Un moment elle tenait la petite fille avec la tête dans la cuvette de toilette, l’autre, elle était en train de passer une main sur ses yeux qui souffraient le martyre. Ce déodorant venait de l’aveugler complètement. La petite savait se défendre. Bien sûr, l’aiglonne avait lâché prise sur les oreilles de l’insolente, mais elle reçut quand même un coup sur ses poignets. Elle ne pouvait rien faire sur le moment, à part de frotter les yeux et espérer de tout cœur que la douleur s’en ira. Malheureusement, elle ne fit que s’amplifier à mesure que le temps passait. La morveuse avait déjà disparu des toilettes. Amara entendit un sortilège de nettoyage qu’elle avait jeté, mais ne se soucia guère de cela. Elle voulait que la douleur s’en aille. Ses mains ne lui faisaient pas trop mal, mais ses yeux étaient en enfer. La bleu et bronze se dirigea vers le lavabo le plus proche, ouvrit le robinet d’eau froide à intensité maximale et elle aspergea ses yeux d’une eau glaciale. Après quelques instants, la jeune Swann retrouva sa vision comme avant. Enfin, elle sortit des toilettes et vit qu’il n’y avait aucune personne dans la salle commune.

La Serdaigle se dirigea alors vers son dortoir, qui semblait calme. Il n’y avait aucune personne debout. Amara soupira et enleva sa robe de chambre avant de rejoindre son lit douillet. Elle repensa aux derniers événements de sa soirée. La jeune Swann était sortie de son dortoir, avait surpris une jeune fille en train de coller des photos répugnantes sur le mur, lui avait jeté un expelliarmus. Une chance que le sort de glu perpétuelle avait été arrêté à temps pour Amara. Les affiches étaient encore collées sur le mur, mais quelqu’un d’autre s’amusera à les enlever plus tard. Il y avait ensuite eu l’incident des toilettes. Amara rit intérieurement et se félicita en pensant à la manière dont elle avait mis la tête de la jeune effrontée dans la cuvette des toilettes. La suite ne lui avait pas trop plu, mais ça en valait la peine. De plus, Amara n’avait même pas eu à entendre les gémissements de sa victime qui s’était, étonnamment, jetée un assurdiato dessus. C’était son petit exploit de la nuit et ça l’avait beaucoup amusée. Amara n’éprouvait aucune pitié pour les autres, peu importe qui ils étaient.

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