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University of Westminster (Kovit & Amelia)
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Message(#) Sujet: University of Westminster (Kovit & Amelia) University of Westminster (Kovit & Amelia) EmptyDim 28 Fév - 18:15

University of Westminster
Kovit & Amelia
Les vacances de Noël allaient clairement faire du bien. Après l’agitation du bal et l’ambiance pesante du château, Amelia avait ressenti le besoin de prendre l’air. 48h suffiraient ! Simplement le besoin de sortir de son quotidien pour ensuite reprendre une rentrée un peu plus reposée. Une rentrée qui approchait bien trop vite à son gout… La blonde avait regagné son appartement Londonien, toujours au-dessus de son ancienne boutique. A chaque fois qu’elle y remettait les pieds, elle revoyait son ancienne vie avec ses parents, son ex-conjoint… Une partie de sa vie encore trop récente pour y repenser sans la moindre douleur. Mais elle était si rarement dans cet appartement qu’elle n’avait pas pris le temps de le vendre. Le travail à Poudlard était prenant. Et puis c’était là-bas sa maison maintenant. Ce logement lui permettait simplement de reprendre une vie « plus simple » quelques jours dans l’année, principalement l’été. Puis garder un pied-à-terre avec la vie Londonienne. Une ville qu’elle appréciait particulièrement. Tous ses amis étaient encore là ! C’était important de les recroiser de temps en temps. Pour se ressourcer.

Amelia referma la porte de son appartement. Emmitouflée dans son gros manteau d’hiver, baguette dans son sac à main, elle se dirigea en direction du Metro. Un changement et quelques stations plus tard, elle ressortait du souterrain pour rejoindre l’université de Westminster, non loin du British Museum. Elle devait y déjeuner avec Ashley, une amie Moldue qu’elle avait rencontré lors d’une précédente exposition. Évidemment cette amie n’avait pas connaissance du monde magique. Amelia avait été obligée de lui mentir en lui expliquant que maintenant elle travaillait pour un riche collectionneur écossais et qu’il lui demandait d’écumer les marchés du monde entier pour dénicher des objets toujours plus rares. Son amie enseignait à l’université, mais elle était aussi archéologue. Les deux femmes avaient plusieurs points communs et surtout un intérêt prononcé pour l’Histoire. La sorcière retrouva son amie et l’a suivi jusque dans un restaurant asiatique un peu plus loin dans la rue. Durant presque une heure, elles avaient rigolé, discutant de tout et de rien, des derniers rebondissements de la vie de couple d’Ashley, de ses élèves ou de ses recherches. Notamment de son dernier voyage à Pompéi. Elle avait ramené moult d’objets, par exemple un « trésor de sorcière » extrêmement bien conservé. Amelia ne se fit pas prier longtemps pour accepter de le voir. Après avoir payé l’addition, les deux femmes retournèrent à l’université. Effectivement ces objets étaient fascinants et certains... réellement sorciers. Dans les restes d’une boite en bois avait été retrouvé un ensemble de pierres précieuses, un collier avec de la faïence, une petite figurine et des amulettes. Effectivement en très bon état. Encore une trace que les sorciers avaient laissés dans le passé. Ashley lui fit un cours sur les amulettes et les anciennes croyances comme si elle était une débutante. L’ancienne antiquaire se garda bien de tout commentaire et fit même mine d’en apprendre un peu. Si elle avait pu, elle aurait aimé prendre une de ces amulettes pour la ramener à Poudlard et la montrer à ses élèves. Mais non c’était le travail de son amie… Pas question. Ça ne devait pas être bien difficile d'en trouver une. Après lui avoir confirmé qu’elle était capable de retrouver la sortie par ses propres moyens, elles échangèrent une dernière accolade. Amelia sortit de la grande pièce où étaient stockés les objets et tenta de regagner le hall. Elle était déjà venue dans cette université, mais ça faisait longtemps et elle se rendit vite compte que ses souvenirs n’étaient plus aussi clairs qu’elle l’avait pensé. Et ce n’était pas son sens de l’orientation qui allait l’aider...

Escaliers, couloirs, salles de classe, laboratoire, bureaux, elle avait l’impression d’avoir tout trouvé sauf la sortie. Par Merlin comment on sortait de ce labyrinthe ? Par chance, elle aperçu un homme et son fils dans le couloir devant elle. Elle pressa le pas pour les rattraper.

"Euh excusez-moi ?"

Les deux individus se retournèrent vers elle. Elle arriva à leur hauteur avec un petit coup de chaud.

"Bonjour monsieur, excusez-moi, vous sauriez m’indiquer la sortie ? Je pensais que…"

Son regard se posa sur le garçon. Ce visage ne lui était pas inconnu. Non au contraire, elle le connaissait. Elle était face à Kovit, un de ses élèves de première année. Alors ça par exemple !

"Kovit ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?"


Kovit était un bon élève qu’elle avait rencontré pour la première fois en septembre dernier. Elle avait remarqué très rapidement son intérêt pour l’Histoire. Évidemment, elle appréciait sa participation et ses remarques toujours pertinentes. Mais alors le voir dans une université moldue ! Jamais elle n’y aurait pensé.
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Message(#) Sujet: Re: University of Westminster (Kovit & Amelia) University of Westminster (Kovit & Amelia) EmptyMar 2 Mar - 13:46

A familiar face in an unlikely place.

Cela faisait déjà quelques mois que le père du jeune garçon avait abordé l'hypothèse de troquer sa carrière de chauffeur de taxi pour revenir dans le milieu de l'enseignement.
Le sujet avait été évoqué pour la première fois durant les vacances qui avaient précédées sa première rentrée à la fameuse école de sorcellerie mais Kovit savait que cette idée trottait dans la tête de son paternel depuis un bon moment.

Chandra Pheling était un passionné tout-terrain mais surtout d'Histoire et de mythes. Combien de légendes et autres anecdotes chevaleresques lui avait-il rapporté ? Un rien pouvait lancer l'adulte, parfois les choses les plus insolites, comme une affiche de cinéma d'un film de zombies qui l'avait inspiré à narrer la grande famine irlandaise ayant poussé beaucoup d'habitants à émigrer aux États-Unis.
Les personnes affamées étaient les véritables morts-vivants que l'imaginaire moldu se plaisait à craindre, mais avec toutes les créatures magiques qui lui restaient à découvrir le Serpentard gardait la possibilité de l'existence de tels êtres à l'esprit.

Arpenter les rues de Londres à longueur de journées, transporter des gens trop pressés par le temps pour prêter une oreille aux histoires barbantes d'un simple chauffeur, tout cela n'était pas fait pour son père. L'homme avait juste accepté le premier travail qui se présentait à un expatrié thaïlandais, parlant à peine anglais et avec un enfant à charge.
Désormais, la situation était différente, le métis avait enfin fait sa rentrée et ils vivaient avec l'arrière-grand-mère maternelle.

Le chaos de leur arrivée précipitée sur le sol britannique n'avait certainement pas contribué à leur offrir un cadre de vie stable.
Il avait ensuite fallu s'adapter durant les deux années qui ont suivi et, bien que le plus jeune Pheling parlait couramment la langue du pays malgré un certain accent, son géniteur avait un peu plus de mal à suivre la cadence.
Pourtant, malgré cette légère lacune, l'appel de la passion était irrésistible pour l'ancien enseignant et c'est ainsi qu'il décida de sauter le pas en commençant par visiter des universités avec des cursus intéressants.
Bien évidemment, il fallait des postes vacants et sûrement une licence d'enseignement anglaise mais il était déterminé à repartir sur les chapeaux de roue, même s'il devait commencer en tant que simple assistant.

Kovit, qui ne disait jamais non à une excursion-Histoire avec l'adulte, n'avait pas hésité une seconde à accompagner ce dernier dans sa quête du Graal universitaire. Dans un premier temps, l'important était d'obtenir des renseignements sur les postes et toutes les qualifications nécessaires.
Ce genre de trivialité aurait pu paraître d'un ennui mortel aux yeux de n'importe quel enfant de onze ans mais le métis savait que la simple présence de son père suffirait à égayer le voyage.

Les thaïlandais avaient pu se renseigner dans deux universités différentes durant la matinée mais la chasse s'était jusqu'alors révélée plutôt infructueuse. Chandra ne se laissait pourtant pas abattre et continuait d'abreuver son fils de récits en tout genre que le garçon absorbait avec un intérêt non dissimulé.

Après un rapide repas en ville et une petite pause dans un parc, les deux hommes s'étaient finalement dirigé vers leur dernière destination de la journée : Westminster.

« Alors ? Quelle date à ton avis ? »

Un de leurs jeux favoris consistait à deviner l'âge des bâtiments en se fiant à l'architecture, aux traces de rénovations ou encore aux matériaux utilisés. Le sourire de son père trahissait le fait que ce dernier s'était sûrement déjà renseigné sur le sujet mais Kovit joua tout de même le jeu.

« 1880 ? »

Lorsqu'il était en présence de son père, le demi-thaïlandais avait tendance à répondre machinalement en thaï bien que son paternel lui parlait surtout anglais lorsqu'ils étaient à l'extérieur. Le garçon pouvait comprendre le désir de son père de perfectionner sa maîtrise de la langue de Shakespeare pour pouvoir un jour espérer enseigner mais il avait parfois l'impression de parler au vent.

« Pas loin, 1838 ! L'école est si vieux qu'il a même accueilli le première film des frères Lumière ! »

L'anglais encore un peu bancal de Chandra faisait souvent rouspéter l'aïeule de la maison mais il fallait bien avouer qu'il y avait eu du progrès depuis que Kovit n'était plus dans les parages pour faire la causette en thaï.
Il arrivait tout de même que l'adulte craque et sorte quelques mots dans sa langue natale, que cela soit par inadvertance ou par manque de vocabulaire dans la langue d'apprentissage.

Le campus de Westminster était beaucoup plus vaste que celui des universités qu'ils avaient pu explorer le matin même et, quand ils eurent enfin trouvé le bon bâtiment, ils sollicitèrent l'aide d'un aimable employé qui les guida à travers le dédale de couloirs jusqu'au bureau d'informations. L'entretien fut rapide mais plutôt encourageant quant à une possible embauche, d'autant que l'université recherchait également des personnes qualifiées pour enseigner des langues asiatiques. Son père pourrait faire d'une pierre deux coups, enseigner le thaï et donner des cours d'Histoire en parallèle.
La partie était cependant loin d'être jouée et il y avait beaucoup à faire, mais c'était tout de même une excellente nouvelle.

Kovit et son père prirent finalement congé et se mirent en tête de visiter un peu le bâtiment avant d'en ressortir. Chandra s'exaltait à chaque tournant de couloir lorsqu'il voyait les laboratoires modernes truffés de machines qui feraient pâlir d'envie ses anciens collègues à Mae Hong Son.
Le regard pétillant de son père avait toujours eut le don d'amuser le métis qui ne se lassait pas de l'écouter s'extasier sur tout et n'importe quoi.
L'adulte avait plutôt tendance à être sur la réserve, un peu comme son fils, mais au moment où l'on touchait un sujet qui le passionnait, il devenait une toute autre personne.
À se demander lequel d'entre eux était l'enfant dans le duo.

"Euh excusez-moi ?"

Une voix en provenance de l'autre bout du couloir les héla et, en se retournant, Kovit aperçu une femme visiblement un peu essoufflée qui s'avançait vers eux à grandes enjambées.
Lorsqu'elle arriva enfin à leur hauteur, le Serpentard crut pendant un instant qu'il avait la berlue, mais pourtant l'illusion était bien réelle : le professeur Hatwell se tenait devant lui.

"Bonjour monsieur, excusez-moi, vous sauriez m’indiquer la sortie ? Je pensais que…"

La sorcière coupa court à son discours, croisant le regard perplexe du première année.

"Kovit ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?"

Visiblement, elle l'avait également reconnu ce qui surprit encore plus le garçon qui ne s'attendait pas vraiment à ce que l'enseignante retienne son nom parmi la masse d'élèves à Poudlard.
Pris au dépourvu, l'enfant ne sut que répondre mais fort heureusement son père passa légèrement devant lui dans un geste qui se voulait protecteur.

« Bonjour... Vous connaissez mon fils ? »

Un grain de méfiance planait dans le ton utilisé par l'adulte qui préférait toujours jouer la prudence lorsqu'il s'agissait de son fils et, connaissant cela, le garçon s'empressa de désamorcer la situation.

- « Khrū k̄hxng c̄hạn. » (Ma professeure)

À ces mots, son père se détendit instantanément, relâchant la pression et adressant un sourire poli à la jeune femme.

« Kovit... attention sur ton thaï, il faut que tout le monde puisse comprendre la discutation s'il te plaît. »

Dans le feu du moment, le jeune sorcier avait complètement oublié de rebasculer sur l'anglais et adressa un petit hochement de tête aux deux adultes.

« Je suis Chandra Pheling, merci beaucoup pour ce que vous éducationnez à Kovit. »

Joignant le geste à la parole, Kovit imita son père qui saluait déjà la jeune femme façon thaïlandaise : les mains jointes au niveau du torse et la tête inclinée en signe de respect.
Le garçon espérait juste que l'enseignante n'aurait pas trop de problème avec l'anglais de son paternel qui pouvait être un peu aléatoire par moments.

« Sans vouloir être discret, quelle est votre matière ? »

La question fatale, un passionné comme son père ferait très certainement camper la pauvre Ms. Hatwell dans le couloir pour le reste de l'année s'il apprenait qu'elle enseignait l'Histoire côté magique.
En espérant que la sorcière avait une tente sur elle.

ft. Professeur A. Hatwell


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Message(#) Sujet: Re: University of Westminster (Kovit & Amelia) University of Westminster (Kovit & Amelia) EmptyMer 10 Mar - 22:56

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Kovit & Amelia
Ashley était le genre d’amie avec qui on gardait contact longtemps. Malgré la distance ou le peu de temps. Le genre d’amie qui vous fait chaud au cœur et pour qui vous feriez des centaines de kilomètres uniquement pour la voir quelques heures. Une personne qui vous fait vous déconnecter de votre réalité tout le temps passé avec elle. Amelia était ressortie du bureau le sourire aux lèvres. Si Ashley avait su ce qu’Amelia savait, elle l’aurait prise en otage dans la pièce à coup sûr ! Heureusement que la blonde avait l’habitude de garder ce genre de secret.

Alors qu’elle avait imaginé retrouver la sortie facilement, elle avait fait complètement fausse route. Elle avait tourné en rond en cherchant tant bien mal une logique dans ce labyrinthe interminable. Evidemment, vacances de Noël obligeaient, il y avait peu de monde dans l’université. D’autant plus qu’Amelia était timide et butée. Bien décidée à retrouver la sortie par ses propres moyens comme dans ses souvenirs. Mais au bout de plusieurs longues minutes, il fallait se rendre à l’évidence, elle s’était égarée. Elle se promit donc que la prochaine personne qu’elle croiserait elle lui demanderait de lui indiquer le chemin. Comme si sa bonne étoile l’avait entendu, un homme et un enfant s’étaient retrouvé sur son chemin, plus loin dans le couloir. Amelia avait rattrapé les deux protagonistes et avait attiré leur attention. Au début, elle n’avait pas fait attention au jeune garçon qui accompagnait cet homme asiatique. Il lui avait fallu baisser son regard pour qu’elle reconnaisse un de ses élèves. Kovit Pheling, chez Serpentard. Oh oui elle se souvenait de ses élèves, même si elle connaissait Kovit que depuis quatre mois. L’enseignante avait alors carrément occulté son rôle auprès du première année. Elle était sa prof et en tant que telle, d’habitude, elle appelait ses élèves par leurs noms. Ce fut une exception puisque la surprise et le changement de cadre lui fit prononcer son prénom. Croiser un première année dans une université moldue pendant les vacances de Noël était plutôt…Surprenant. Mais soit, ça lui faisait plaisir de le retrouver dans ces circonstances.

En revanche, elle ne put en dire autant pour l’homme qui accompagnait le Serpentard. Il s’était légèrement avancé en faisant un geste à Kovit de rester en arrière. C’était limite s’il avait bombé le torse. Elle avait l’air si menaçante ? Non elle le savait. Avant qu’elle n’ait pu répondre, Kovit s’adressa à son père dans une langue asiatique. Elle avait fait de multiples voyages, mais elle n’était pas une experte des différents dialectes pour autant. Évidemment, elle n’avait pas pu traduire ce qu’il s’était dit. Elle s’était contentée d’adresser un regard à Kovit. L’effet sur l’homme fut immédiat. Ses épaules étaient redescendues comme s’il se sentait soulagé et moins menacé. Il fit ensuite une remarque à son fils en lui demandant de parler dans une langue compréhensible par tous. Amelia le remercia intérieurement. Il avait de bonnes manières, c'était déjà ça. L’homme se présenta ensuite dans un anglais qu’on sentait difficile. Le pauvre. Personne n’aurait aimé être à sa place. Il fallait tellement de courage pour s’intégrer convenablement dans un nouveau pays et apprendre la langue. L’homme marqua encore un point. C’est alors qu’il la salua conformément aux standards de son pays d’origine, en joignant les mains sur son buste et en s’abaissant. Amelia qui avait déjà fait quelques pays asiatiques, s’abaissa à sa manière.

"Enchantée Mr Pheling. Amelia Hatwell. C’est mon métier c’est normal…"

Quelle étrange situation, mais tellement plaisante maintenant que les présentations étaient faites. Il la questionna ensuite sur la matière qu’elle enseignait. L’ancienne antiquaire eut une seconde d’hésitation. Ils étaient au beau milieu d’un couloir dans une université moldue. Clairement pas le meilleur endroit pour aborder sa matière. Elle répondit quand même :

"De l’Histoire mais avec une approche disons… Particulière."


Elle regarda Kovit. "Dans votre langue pour les détails." Elle termina par un petit clin d’œil.

L’homme n’avait probablement pas besoin d’un dessin, il était évident qu’il s’agissait d’Histoire de la Magie. Mais en cas de besoin, il valait mieux que Kovit lui précise dans sa langue natale. La discrétion était primordiale dans ces conditions. Le couloir était rempli de bureaux et impossible de deviner s’ils étaient tous vides. Le Code International du Secret Magique était très clair sur le sujet. Cela aurait été dommage de faire intervenir le Ministère et de risquer le renvoie de l’école pour un petit incident dans une malheureuse discussion !

"Vous avez cinq minutes pour un thé ou un café ? Ce sera pour vous remercier de m'avoir indiqué la sortie…"

Ils étaient en vacances ! Autant en profiter ! En plus, cela lui permettait d'être certaine de retrouver la sortie sans encombre.
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