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cats' stories | vivian & junior
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Message(#) Sujet: cats' stories | vivian & junior cats' stories | vivian & junior EmptyJeu 27 Fév 2020 - 12:28

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Si Vivian avait adopté Lumi sur un coup de tête, c'est parce qu'elle avait besoin d'une présence. Depuis que Ruuben avait refermé sa coquille, Vivian se sentait plus seule que jamais. Certes, elle avait beau communiquer avec sa famille, Vivian n'avait personne à ses côtés. Elle faisait certainement preuve d'un peu de mauvaise foi, car elle avait aussi bien du mal à se faire des amis. A la fois parce qu'elle était la plus quiche de toutes et qu'elle n'avait aucune foutue idée de la manière dont elle devait s'y prendre pour ne pas effrayer ses potentiels amis, mais aussi parce qu'elle appréciait sa solitude. Pourtant, elle ne regrettait en rien la présence de Lumi avec elle. Le chaton était câlin et joueur, et Vivian passait un temps fou à s'occuper de lui. Cela occupait un peu son temps, autre que part ses heures et ses heures de violon. Lumi était loin d'être peureux, lui. Il se baladait sans hésitation dans tous les recoins du château, et Vivian le croisait souvent en compagnie d'un autre chat, plus grand que lui. Elle n'avait pas la moindre d'idée de l'identité de son maître, mais elle n'hésitait pourtant pas à s'amuser avec lui aussi. En l'espace de quelques mois, Vivian était devenue complètement gaga des chats, qu'ils soient blancs, gris, roses, rouges.

La salle commune était la salle de jeux préférée de Lumi. Il était encore petit, et il adorait se faufiler entre les fauteuils, les meubles et les pieds des autres Serpentards. C'était d'ailleurs l'endroit où Vivian le retrouvait le plus souvent en compagnie de cet autre chat. Et cette fin d'après-midi ne manquait pas à la règle.
A peine avait-elle passée la porte de la salle commune, que Lumi se frottait déjà contre ses chevilles, ronronnant comme un moteur, faisant ricaner Vivian. « Salut mini tracteur, railla-t-elle comme elle le faisait souvent. » Elle glissa habilement ses doigts sous le ventre du chaton pour l'attraper avant qu'il ne reparte aussi vite qu'il était venu. Un peu plus loin, sur le canapé de la salle, reposait tranquillement le magnifique chat au pelage grisé. En souriant, Vivian s'approcha de lui pour caresser sa tête, lui arrachant un ronronnement. « Salut beauté, dit-elle en s'asseyant près de lui. » Elle posa Lumi sur ses genoux, riant en se disant que son camarade devait faire deux ou trois fois sa taille. Son petit chaton blanc se cala contre elle. Si elle aurait pu se relever sans mal avec Lumi sur elle, lorsque son compagnon en fit de même, elle sut qu'elle ne bougerait plus de si tôt. « Depuis quand je suis devenue votre fauteuil attitré ? souffla-t-elle en levant les yeux au ciel. » Elle passa quelques minutes sans rien dire, se contentant de laisser ses doigts jouer dans leur pelage respectif. « Il n'empêche beauté, commença-t-elle en s'adressant au chat, que j'aimerais bien rencontrer ton maître. Histoire de discuter un peu matou. » Elle avait rapidement pris l'habitude de donner des petits surnoms aux chats qu'elle croisait avec Lumi. Le chaton, lui, écopait souvent de l'agréable "mini tracteur", quand son compagnon se faisait le plus souvent appeler "beauté". Après tout, Vivian ne savait rien de lui, que ce soit son maître, ou encore moins son nom. Elle avait bien essayé de lui demander, mais étonnement, il n'avait rien répondu.
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Message(#) Sujet: Re: cats' stories | vivian & junior cats' stories | vivian & junior EmptyJeu 27 Fév 2020 - 17:33



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ft. @Vivian K. Knuth & C. Junior d'Archambault

L’entraînement se termina plus vite que je ne l’aurais cru. Il fallait bien dire que, pour une fois, l’équipe de Serpentard ne donnait pas envie de la lapider sur la place publique pour la honte qu’elle infligeait à sa maison et même la présence de sang-de-bourbes en son sein (que dis-je, à sa tête !) ne se faisait pas salement sentir. Même Bolt avait réussi à montrer qu’il n’avait pas que deux mains gauches et était parvenu à quelques enchaînements corrects… J’avais volontairement trainé dans les vestiaires pour ne pas avoir à les recroiser pour l’instant. Si j’étais prêt à fermer les yeux quelques heures par mois, il était hors de question de le faire davantage. Mon balai négligemment posé sur l’épaule, les doigts effleurant avec absence mes initiales soigneusement gravées dans le bois, je pris enfin le chemin du château. D’ici, je ne voyais aucun de mes coéquipiers et espérais qu’ils soient retournés vaquer à leurs occupations pour ne pas avoir à supporter leur présence dans la salle commune. J’avais bien du mal à supporter qu’on puisse m’associer à eux pour le Quidditch, aussi je refusais littéralement qu’on puisse le faire en dehors. Un frisson dégoûté me courut dans le dos tandis que j’accélérais le pas pour éviter la pluie menaçante. J’avais de toute façon mieux à faire que traînasser : ma mère m’avait fait parvenir une potion anti-puce à mettre sur le pelage de ce pauvre Orpheus et je ne doutais pas une seule seconde que l’après-midi tout entier ne serait pas de trop pour y parvenir. Je me voyais déjà obligé de m’enfermer dans mon dortoir avec mon chat et de me glisser sous les meubles pour le rattraper… Et j’en étais las d’avance. Bien sûr, je ne l’avais pas encore vu sujet à la moindre démangeaison mais comme plusieurs matous miteux semblaient se gratter à n’en plus finir, infestant les couloirs de tous les parasites possibles, j’avais préféré prendre les devants et réclamer à ma génitrice de quoi éviter le pire. Il était hors de question qu’il se mette à jouer les pouilleux, à l’instar de tous ces chats de gouttières dégotés on ne savait trop où, il valait infiniment mieux que ça.

La salle commune se dessina enfin au bout du couloir. Je pressai le pas, à la fois désireux de me changer et impatient d’en finir. La porte s’ouvrit après avoir entendu le mot de passe filer entre mes lèvres et je me faufilai à l’intérieur. Il n’y avait pas foule. Sûrement qu’on profitait du peu de temps avant l’averse pour rester au grand air…? Je n’en avais pas la moindre idée et m’étonnais seulement qu’Orpheus ne soit pas aussi fidèle au poste que d’ordinaire. Je supposai qu’il devait être en train de faire la sieste sur mon lit et en pris machinalement la direction. Mon dortoir était désert, sans la moindre trace du chat. Un soupir m’échappa alors que je voyais d’ici le temps perdu à essayer de lui mettre la main dessus. J’aurais très bien pu attendre qu’il vienne de lui-même mais le devoir d’Histoire que je n’avais toujours pas fini depuis l’autre soir posait sur moi un regard réprobateur… Ça allait encore me prendre une éternité… Je me fichais éperdument des révoltes gobelines, il était évident qu’un animal quel qu’il soit n’avait pas à avoir de baguette et qu’importe s’il se battait pour cela… C’était même à se demander pourquoi on en accordait à des êtres aussi sous-développés que les descendants de moldus… J’abandonnai mon balai et enfilai prestement quelque chose de plus seyant que ma tenue de Quidditch, récupérai la fiole de potion dans mon sac et redescendis sans entrain. Avant de ressortir, je décidai malgré tout de jeter un oeil au reste de notre antre, au cas où il se serait assoupi sur un canapé. Et après avoir contourné un fauteuil : l’horreur. Non seulement il était resté là sans même m’adresser un miaou alors que je passais à quelques mètres à peine (l’ingratitude !) mais en plus il se prélassait sur les genoux d’une fille que je n’eus aucun mal à reconnaître comme étant une impure. Je ne me souvenais plus de son nom mais elle avait partagé ma classe pendant un an avant de disparaître sans mystère dans les tréfonds des cachots et de venir tenir compagnie à Sherwin par la suite… Sans me laisser démonter et l’ombre d’un sourire gentiment agacé sur les lèvres, je m’approchai d’eux. Un autre chat s’était fait une place sur ses genoux, un chaton qu’il n’était pas rare de croiser depuis la rentrée et avec lequel j’avais toujours pris plaisir à jouer… Si j’avais su ! Mes doigts glissèrent distraitement entre les poils clairs d’Orpheus, éloignant l’air de rien ceux de ma camarade.

J’en connais un qui va avoir droit à un bon bain, soufflai-je d’une voix douce alors qu’il levait le nez pour se faire gratouiller entre les oreilles avant de reporter mon attention sur celle qui lui servait de siège. Mon sourire s’agrandit légèrement alors que mon regard croisait le sien. Je suis vraiment désolé qu’il se soit installé sur tes genoux, je lui ai pourtant déjà dit de ne pas traîner n’importe où comme ça… Mais tu connais les chats, ils n’en font toujours qu’à leur tête...

Finalement, je n’étais pas sûr qu’un anti-puce soit suffisant pour le laver de toute la souillure qu’il était en train de côtoyer…
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Message(#) Sujet: Re: cats' stories | vivian & junior cats' stories | vivian & junior EmptyVen 28 Fév 2020 - 18:56

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Si la porte du dortoir avait grincé, annonçant l'arrivée de quelqu'un dans la salle commune, Vivian ne s'en soucia guère, tant elle était absorbée sur ses doigts qui glissaient lentement entre les poils de Lumi et de son compagnon gris. Jusqu'à ce que d'autres doigts que les siens apparaissent dans son champ de vision, s'invitant dans le pelage du chat qui n'était pas le sien. Elle releva la tête, et s'étonna de découvrir cet idiot d'Archambault. « J’en connais un qui va avoir droit à un bon bain, souffla-t-il à l'attention de son chat (car c'était bien le sien). » Si Vivian était plus que surprise, elle se garda bien de le montrer. Elle se contenta de baisser les yeux vers le chat, s'adressant à lui sans même jeter un œil à son maître. « Alors là beauté, je suis un peu déçue. J'avoue que je m'attendais à quelqu'un d'autre, grimaça-t-elle, sarcastique. Effectivement, tu aurais bien besoin d'un petit bain, histoire de laver ton joli cerveau de toutes les idioties que ton maître y glisse, n'est-ce pas ? demanda-t-elle, en relevant la tête vers Junior cette fois-ci. » Elle pencha vaguement la tête sur le côté alors qu'il reprenait la parole, lui offrant un sourire qui lui donna envie de vomir. « Je suis vraiment désolé qu’il se soit installé sur tes genoux, je lui ai pourtant déjà dit de ne pas traîner n’importe où comme ça… Mais tu connais les chats, ils n’en font toujours qu’à leur tête... » Un ricanement s'échappa d'entre ses lèvres alors qu'elle laissait son menton reposer dans sa paume droite. « Pauvre chou, j'ai contaminé ton chat, pas vrai ? se moqua-t-elle en faisant la moue. Après tout, je suis d'une impureté sans nom ! » Junior d'Archambault était de ces élèves que Vivian ne pouvait guère supporter. De Sang-Pur, est assez fier de l'être, elle le savait parfaitement rangé du côté des puristes. Il était certes plus discret et plus subtil dans ses propos que d'autres comme cette écervelée d'Erin Sørensen, mais Vivian était loin d'être dupe. Et elle n'allait pas se gêner pour le lui faire remarquer. Elle baissa son visage étiré d'un sourire vers son chaton. « Lumi, écoute-moi bien. Leçon de vie n°12, déclara-t-elle lentement, articulant patiemment chaque mot. Comme s'il comprenait ce qu'elle lui disait, Lumi leva la tête et la fixa de ses yeux clairs. Les gens comme ce cher d'Archambault sont à éviter à tout prix : ils ont une fâcheuse tendance à se croire supérieurs à tout le monde lorsqu'ils ne le sont pas. Pis encore, ils sont affreusement fermés d'esprit. Tout ce que l'on déteste, n'est-ce pas Lumi ? ricana Vivian, alors que son chat lui léchait les doigts, comme pour approuver ses mots. Oh regarde, il est d'accord ! ajouta la jeune femme en relevant la tête vers Junior, un sourire espiègle aux lèvres. Et toi beauté, qu'est-ce que tu en penses ? reprit-elle vivement un se tournant vers son compagnon gris. » Vivian fut tentée d'exploser de rire lorsque ce dernier lâcha un petit miaulement. « Oh ! Il semblerait que l'éducation de ton chat soit à revoir complètement : il s'avère qu'il est bien plus tolérant que tu ne le seras jamais, déclara-t-elle d'un ton mi-sérieux mi-ironique. » Junior faisait partie de ces gens que Vivian n'hésitait pas à provoquer sans se soucier des conséquences. Si elle avait des difficultés pour se lier d'amitié, elle n'en avait aucune pour cracher sa rancune à ceux qui le méritaient.
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Message(#) Sujet: Re: cats' stories | vivian & junior cats' stories | vivian & junior EmptyMer 11 Mar 2020 - 11:17



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ft. @Vivian K. Knuth & C. Junior d'Archambault

J’ignorais ce qui avait bien pu passer par la tête d’Orpheus au moment où il avait décidé que ce chat-là serait son nouveau meilleur ami. Depuis qu’il m’avait rejoint à Poudlard, on ne pouvait pas dire qu’il brillait par sa sociabilité. Il passait souvent, la queue haute, à côté des autres chats sans leur accorder plus d’un regard et continuait son chemin avec tout le dédain que la nature lui avait offert. Alors pourquoi, parmi tous ses semblables potentiellement respectables (ou au moins fréquentables) il avait fallu qu’il jette son dévolu sur l’animal de Knuth, sang-de-bourbe notoire ? Et pourquoi, pire encore, il avait jeté son dévolu sur elle toute entière…? C’était affreusement dégradant et j’avais que peu d’espoirs quant au fait qu’il puisse se tenir correctement à l’avenir… Je voyais déjà le regard dégoûté que mon père poserait sur lui si jamais ça s’apprenait. Est-ce qu’il serait capable de l’abandonner pour si peu ? J’espérais que non, bien sûr, mais sans certitude, il valait mieux espérer que ça ne remonte pas jusqu’à lui. Mes doigts continuaient à glisser distraitement dans le pelage clair de mon chat, celui-ci toujours couché sur les genoux de l’impure. Il était peut-être temps d’y aller, là…

Alors là beauté, je suis un peu déçue. J'avoue que je m'attendais à quelqu'un d’autre.

Je me retins de lever les yeux au ciel. Qu’est-ce que je devrais dire ?! Déjà qu’on donnait à n’importe qui la possibilité de polluer notre salle commune, voilà qu’en plus ils se permettaient de mettre leurs sales pattes sur ce qui ne leur appartenait en rien ! Et tout le monde semblait trouver ça normal… Pourtant, c’était tout ce qu’il y avait de plus dégoûtant ! Ces gens-là, notre ancien directeur l’avait très bien fait savoir, n’avaient pas leur place parmi nous. Je n’avais jamais compris pourquoi il ne les avait pas tous exécutés lorsqu’il en avait eu l’occasion, certes, mais au moins il ne nous les imposait pas !

Effectivement, tu aurais bien besoin d'un petit bain, histoire de laver ton joli cerveau de toutes les idioties que ton maître y glisse, n'est-ce pas ?
Il n’y a rien de mal à essayer de lui inculquer quelques bases de savoir vivre. Je suis sûr que tu le fais aussi, non ? Enfin… Pour un peu qu’on t’en ait apprises quelques unes…?

Le doute qui planait sur cette dernière question se drapait d’un ton amical qui laissait à peine entrevoir toute la condescendance du monde. Il n’était pas question de se comporter comme un mufle, tout de même ! Si cette fille ne méritait rien d’autre que du mépris (et la mort, éventuellement), ça ne m’obligeait pas à oublier toute amabilité au passage ! Je laissais ça à ceux à qui cela seyait, comme Bradford par exemple. La conversation se poursuivit sur le même rythme, Orpheus n’étant visiblement pas prêt à coopérer pour l’instant. D’ici que je le vire sans ménagement des genoux de la vermine, il n’y avait pas des kilomètres ! Je voulais bien faire preuve d’une patience d’ange mais il ne fallait pas trop en abuser non plus. Un ricanement s’échappa des lèvres de ma camarade alors que j’avais le malheur de m’excuser pour l’incivilité de ma boule de poils. Peut-être aurais-je dû m’en abstenir…? Après tout, elle ne semblait pas plus encline à rester courtoise…

Pauvre chou, j'ai contaminé ton chat, pas vrai ? Après tout, je suis d'une impureté sans nom !

Si je gardais le silence, personne ne pourrait ainsi me reprocher d’avoir proféré des insultes ignobles à son encontre et si charmante directrice ne pourrait que se satisfaire de voir que même les sorciers des plus nobles familles acceptaient de suivre ses préceptes idiots, je ne manquais pas de lui adresser un sourire gentiment entendu. Au moins, elle le reconnaissait ! Bien sûr, il fallait faire fi de l’ironie piquante qu’elle y glissait mais quelle importance ? Avec eux, il fallait toujours se contenter de peu. Elle admettait son impureté, c’était déjà ça.

Lumi, écoute-moi bien. Leçon de vie n°12. Les gens comme ce cher d'Archambault sont à éviter à tout prix : ils ont une fâcheuse tendance à se croire supérieurs à tout le monde lorsqu'ils ne le sont pas. Pis encore, ils sont affreusement fermés d'esprit. Tout ce que l'on déteste, n'est-ce pas Lumi ? demanda-t-elle à son chat qui lui lécha les doigts pour toute réponse. Oh regarde, il est d'accord !
Et après, c’est à moi que l’on reproche de bourrer le crâne de mon chat avec toutes les débilités d’usage ? Sérieusement…? Au risque de te décevoir, ça n’est pas une question de me croire supérieur, c’est juste un classement hiérarchique évident. Je serais le premier à admettre mon erreur si un jour on nous en apportait la preuve irréfutable, crois-le bien, mais en attendant, je me contente seulement d’essayer de me protéger des relations inter…espèces ? de cette société décadente. Il n’y a aucun mal à ça. En cas d’épidémie, on évite d’être confronté au virus, non ? Et bien là c’est exactement la même chose.

Son pauvre Lumi pouvait bien détester ce qu’il voulait, ça n’enlevait rien à la réalité. Mais tout de même, il ferait mieux de faire attention où il posait la langue, personne ne savait vraiment si la vermine n’avait pas de maladie contagieuse… Après tout, ils ne valaient guère plus que des Elfes de Maison… et personne de normalement constitué irait lécher un Elfe… Néanmoins, Knuth avait encore des choses à dire puisqu’elle se tourna vers Orpheus…

Et toi beauté, qu'est-ce que tu en penses ?

Ce dernier miaula avec sérieux avant de se lécher proprement la patte droite. Je le regardai faire distraitement tandis que Madame nous faisait part de ses déductions… Comme si quelqu’un lui avait demandé son avis, à celle-là.

Oh ! Il semblerait que l'éducation de ton chat soit à revoir complètement : il s'avère qu'il est bien plus tolérant que tu ne le seras jamais.
Détrompe-toi, il vient seulement de te demander de faire comme tout bon siège et d’arrêter de l’importuner. Tu le vois bien, il n’a strictement aucune considération pour tes élucubrations. Mais je veux bien te laisser continuer à croire que tout le monde s’en soucie, loin de moi l’envie de briser les rêves d’une jeune fille.

Quand bien même celle-ci n’était qu’une erreur que la nature avait eu le malheur de laisser passer…
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