(#) Sujet: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Lun 25 Juin - 16:58
Cassiopée Sophia Rosenbloom est une Sang-pur, née le 4 Janvier 2009 à l’Ile de Skye en Ecosse. D'ailleurs elle n'y vit plus puisqu'elle a déménagé à Galway en Irlande. Aujourd'hui, Cassiopée a donc 15 ans et est en 4ème année. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il a une chatte rousse aux yeux verts qui s'appelle Skayla.
Il est bon de savoir que Cassiopée est Réfléchie, Empathique, Perspicace, Intuitive et Franche mais également Rusée, Rancunière, Sûre d’elle, Méfiante et Manipulatrice. Elle a des goûts étranges, par exemple elle aime lire, ou devrais-je dire dévorer des romans et des manuels, Skayla, la tarte à la praline, l’astronomie ou encore la lavande alors qu'elle déteste les hauteurs, et être à proximité d'un balai, le feu, se sentir redevable, les gens qui ne savent pas ce qu'ils veulent et l'intolérance envers les nés-moldus ou de quelconque nature que ce soit.
Sa baguette est composée de chêne blanc avec un coeur en Plume de Phénix et mesure 24 centimètres. Grâce à elle, Cassiopée a le malheur de suivre les cours obligatoires, de Vol, de Soins aux Créatures Magiques et de Divination.
Cassiopée S. Rosenbloom
feat. Madelaine Petsch
ET EN VRAI ?
J'ai 13 ans et demi. Je suis arrivé(e) sur NYL grâce à une amie qui est sur ce forum et je devrais être là en moyenne dès que je suis sur un ordi, donc euh environ 4~5 jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que ça fait un an et demi que je fais du rp, mais pas humain, et que j’suis assez occupée avec un autre fow mais je vais faire le maximum pour être là. Et merci de l’accueil chaleureux que j’ai eu sur la cb, ils se reconnaitront c:.
Once upon a time ~
Sous le vieux saule, au fond de la prairie, L'herbe tendre te fait comme un grand lit Allonge-toi, ferme tes yeux fatigués Quand tu les rouvriras, le soleil sera l'vé
Une histoire. Tout le monde à une histoire. Moi plus que les autres, certainement. Je suis née sur l'Île de Skye. C’était une belle île d’Ecosse, ensoleillée et calme. Mais moi, je naquis dans la douce fraîcheur de la nuit, sous la constellation de la Cassiopée. Mes parents m’ont nommé ainsi parce que elle avait l’air de veiller sur moi. Un éclair de cheveux roux, des yeux caramel malicieux et une bonne bouille de bébé venait de naître. Cassiopée Sophia Rosenbloom.
J’étais la descendante d’une illustre famille de sorciers, et j’étais fille unique. J’ai donc grandi bercée par les légendes des illustres sorciers, dont Harry Potter et sa bataille perpétuelle contre le mage noir, Voldemort. J’étais fascinée par cette légende, comme tout ce qu’on me racontait, du conte de Babbity Lapina et la souche qui gloussait à la légende des Trois Frères. Pourtant, j’étudiais dans une école de Moldus et je fus bercée par leur culture. Même certains étaient devenus mes amis, même si je ne leur ait jamais révélé mon secret sur mes origines particulières. J’étais donc très tolérante à leur égard, même si j’étais une sang-pur.
Mes aptitudes magiques furent révélées très tôt, dès l’âge de mes trois ans selon mes souvenirs. Je m’amusais souvent avec mon père. Nous lançiâmes des tours de magie dans toute la maison, et nous rigolions bien. J’eus même mon premier balai lors de mon anniversaire, lors de mes six ans, et je fus tout de suite tombée amoureuse. Je ne tardai pas à l’enfourcher et à voler joyeusement avec dans toute la maison, au risque de casser quelques précieux vases, qui furent vite réparés grâce à un “reparo” lancé par ma mère.
C’était une période heureuse, bénie, mais le bonheur ne reste jamais longtemps. Mon enfance fût vite brisée,et ma première peur insurmontable vit le jour par un malheureux concours de circonstances. C’était un de ses jours boueux, où la pluie venait juste de finir de tomber mais où les noirs nuages ne s’étaient pas encore dissipés du ciel. Je venais de sortir de la maison, mon père sous les talons, mon balai à la main. Une petite impulsion sur la prairie mouillée, et je fus rapidement élevée dans les airs. Mon père avait amené un Souafle, et nous nous amusions à nous passer la balle. Nous nous élevions toujours plus haut dans les airs, et l’euphorie nous prit. Des loopings succédèrent, et un mouvement malheureux, des mains glissantes qui lâchèrent, une chute sur le sol. Tout s’était passé rapidement, comme dans un éclair, et mon père n’eut pas le temps de réagir. Lumière noire. Cris de panique, et tout s’arrêta.
Regards inquiets penchés sur moi. Ce fut la première chose que je vis lorsque je me suis réveillée. Ma mère et mon père penchés sur moi. Il m’assurèrent que je ne garderais aucune séquelle extérieure de l’accident, l’herbe fournie ayant amortit ma chute. Mais ils ne savaient pas comment je réagirais face à la vue d’un balai, maintenant. Et leur crainte se vit juste. Quelques jours plus tard, mon père s'approcha avec un balai, et je piqua une véritable crise de nerfs, fuyant dans ma chambre, ayant des tremblements incontrôlables. Je n’accepta plus non plus d’être à plus de deux mètres du sol. J’avais une peur bleue des hauteurs et de tout ce qui se rapportait au vol. Je n’avais que huit ans.
Il fait doux par ici, ne crains rien Les pâquerettes éloignent les soucis Tes jolis rêves s'accompliront demain Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.
J’arrivais à vivre tant bien que mal à vivre avec cette peur insurmontable. Mon père avait arrêté de jouer au Quidditch, et je refusais toute sorte d’escalade, peu importe sa nature. La vie s’écoulait, doucement, et bientôt j'atteignai mes dix ans. Tout allait bien, notre chatte, une petite vieille rousse, aux yeux gris-verts, attendait des petits. Celle-ci venait de ma grand-mère, qui nous l’avait généreusement passé l’année dernière. Elle s’appellait Bikette, et elle était énormément grincheuse. Elle l’était encore plus, la naissance étant imminente.
Et c’est là que ma deuxième peur arriva. C’était dans une journée d’été, brûlante. Le soleil tapait impitoyablement sur nos têtes, et l’herbe était sèche. J’aurais dû me douter que le feu aurait pris vite, ou alors que ce n’était pas le temps idéal pour ça, je ne savais pas ce que j’avais en tête ce jour là. Tout ce que je savais, c’était que c’était de ma faute.
J’avais insisté pour le faire, et si je n’avais pas autant insisté, ça ne serait jamais arrivé. Le feu s’était propagé à une vitesse extraordinaire, enflammant l’herbe et les arbres morts, jusqu'à entourer la maison. Pourtant, mes parents avaient essayé de l’éteindre. Mais ce feu dépassait toute compétence magique. Il s’étendait, impitoyablement. Et la maison s’enflamma. Comme tout le reste. Heureusement, nous étions tous à l’intérieur, mais il manquait quelqu’un à l’appel. Bikette. Elle était encore dans la maison. J’avais donc filé pour la récupérer, et je l’avais vu, sur le tapis, entrain de mettre bas. Je ne pouvais pas la prendre, j’avais donc juste pris un paquet, le seul chaton encore vivant malgré l'épaisse fumée. J’avais essayé, j’avais essayé de sauver autre chose, mais je n’avais pas réussi. Je n’avais tout simplement pas réussi. Je m’étais dégonflée.
Au moins, j’avais réussi à sauver cette petite chatte. Elle était mignonne, avec ses yeux verts et son pelage roux. Et ses petites pattes blanches, qui ressemblaient à des chaussettes. Je l’avais appelée Skayla. Je l’aimais tellement. Elle était presque inespérée, cette chatte. Malheureusement, le bonheur de l’avoir sauvé n’enlevait pas l’abattement qui nous avait frappé lorsque nous avions vu l’état de notre maison.
Détruite. Elle était complètement détruite. Et Bikette et ses chatons, à part Skayla, étaient morts asphyxiés, ou brûlés. Ils ne méritaient pas ça. Ils ne méritaient pas ça, et c'était de ma faute. Je voulais partir, échapper à cette vérité qui m'étouffait, moi aussi. Mon père avait trouvé un travail avec le Quidditch irlandais, et ça arrangeait ma mère qu'on se rapproche de Londres. Alors nous sommes partis. Parce que moi, j'allais bientôt rentrer à Poudlard, et je devais être soit en Irlande, soit au Royaume-Uni. J'aimais bien Galway, j'aimais beaucoup cette ville, évidemment. Mais ce n'était pas pareil que sur l'Ile de Skye. Ma grand mère était là-bas. Toute seule. Et elle et mes amis moldus me manquaient. Profondément. Mais je n'avais pas le choix, je n'avais pas le choix si je ne voulais pas me laisser envahir par les souvenirs. J'allais sur mes onze ans lorsque j’emménageai à Galway.
Tout au fond de la prairie, à la brune, Viens déposer tes peines et ton chagrin Sous un manteau de feuilles au clair de lune, Tout ça s'oubliera au petit matin
Onze ans. J'avais reçu ma lettre de Poudlard, évidemment. J'étais si heureuse ! Je rêvais d'y aller depuis des années, et ce rêve était devenu réalité. Et me promener sur le Chemin de Traverse, ça tenait aussi du rêve. J'avais acheté tout ce qui me fallait, et j'avais trouvé ma baguette. Nous allions rentrer, mais nous étions tombés droit sur le Magasin d'accessoires de Quidditch. Mon père était rentré, naturellement, et avait salué amicalement les vendeurs. Ils connaissaient bien mon père. Qui ne connaissait pas mon père, dans le monde du Quidditch en même temps ? J'étais rentrée avec lui, mais j'étais clairement au bord de la crise de nerfs. Mon père l'avait vu, et avait raccourci son entretien. Malgré tout, avant de partir, ils avaient tenus à m'offrir un balai, de dernière marque, neuf comme tout, pour que je "perfectionne les talents génétiques". Si ils savaient ! Je n'avais même pas touché le balai, c''était mon père qui s'en était occupé.
Nous étions rentrés, et nous n'en avions plus jamais reparlé. J'étais donc allée à Poudlard, folle de joie et d'ivresse. Pourtant, quelques temps après mon entrée, mon père m'avait envoyé un colis mystérieux. C'était le balai ! Je l'avais posé dans un coin sombre de mon armoire et je n'y avais plus touché. Plus jamais.
Ma première année avait été tout ce qu'il y a de plus normale, ma deuxième également. J'étais avide de savoir, comme ma mère, et j'étais curieuse de tout, comme mon père. Il m'arrivait souvent de traîner dans les couloirs hors des heures banalisées, essayant de ne pas me faire prendre ! C'était tout ce qu'il y avait de plus normal.
Pourtant, la troisième année avait été terrible. Un dénommé Blackman était venu, remplaçant McGonagall à la place de directrice de Poudlard. Et il avait révolutionné tout le système. Désormais, les nés-moldus étaient perçus comme inférieurs, et une brigade spéciale favorisait nettement les sangs-purs. Ils habitaient les cachots. C'était ignoble ! Je le détestais, ce Blackman. Je détestais de tout mon cœur l'intolérance, surtout envers les nés-moldus, et je ne pouvais rien faire, j'étais impuissante. Et je détestais ce sentiment aussi. J'essayais de faire des petites actions, à mon échelle, sans me faire prendre, et j'y arrivais plutôt bien. J'avais un talent naturel pour manipuler l'esprit des gens, sans pour autant avoir un pouvoir magique naturel. C'était juste de la manipulation. Autant dire que je détestais Poudlard à cette époque, et y aller était un véritable calvaire. Je l'avais mal vécu, évidemment.
Tout au fond de la prairie, à la brune, Viens déposer tes peines et ton chagrin Sous un manteau de feuilles au clair de lune, Tout ça s'oubliera au petit matin
Heureusement, ma quatrième année avait démarrée sur de meilleures auspices, Neville Londubat ayant pris la place de Blackman, celui-ci ayant disparu, à notre plus grand bi... A notre plus grande tristesse, évidemment. J'avais choisi mes options : Divination, Soins aux Créatures Magiques et... Vol. Oui, Vol. Je sais, c'est difficile à croire, mais je voulais vraiment surmonter ma peur et je savais que mon père adorerait que je le fasse. Alors je l'avais fait. Mais j'y allais doucement, faisant des tous petits pas, mais qui paraissaient énormes dans ma tête. J'avais même demandé au Professeur Soussa, une personne que j'appréciais particulièrement, si je pouvais prendre des cours particuliers avec elle pour m'améliorer, et vaincre ma peur.
Bien sûr, j'avais toujours une peur bleue du feu, mais ça allait mieux. J'apprenais à surmonter mes craintes, petit à petit. Et j'y arrivais. C'est sûr qu'avoir des amis, ça aidait, et j'étais bien à Poudlard. J'étais incollable dans mes matières, au risque de passer pour une je-sais-tout. Je me sentais bien ici, et cette fin d'année était magique.
Je ne pouvais pas rêver mieux, et je me sentais vivante ici. Bien sûr, mes parents et ma grand-mère me manquaient, mais j'allais bientôt les revoir, les grandes vacances approchant à grands pas. J'allais revenir, pour une cinquième année. J'étais confiante, et je n'avais plus peur. J'étais bien, ici. J'étais vivante, et j'allais devenir une grande sorcière grâce à Poudlard. J'allais réaliser mes rêves et vaincre mes peurs. Vaincre mes peurs.
Il fait doux par ici, ne crains rien Les pâquerettes éloignent les soucis Tes jolis rêves s’accompliront demain Dors, mon amour, oh, dors, mon tout petit.
Le cocon de mon enfance ~
Maman [Alicia Rosenbloom - MacUallis] : Je t'aime tellement, maman. Tu as toujours été une mère aimante et compréhensible, et je me souviens encore des légendes sur Harry Potter que tu me racontais le soir, avant de dormir. Comment oublier ? Tu m'as aussi initiée à la tolérance envers les moldus, et je ne t'en remercierais jamais assez. Tu es une mère en or, douce et gentille. Je suis contente de tenir mes beaux cheveux roux de toi, même si je n'ai pas eu la chance d'avoir eu tes merveilleux yeux verts. Et je me rappelle de ton acharnement à m'aider à vaincre mes démons. J'aurais aimé être aussi brave que toi, tu sais. Alors même si maintenant, je suis à Poudlard, je garde toujours contact avec toi et recevoir des lettres hebdomadaires sont un véritable bonheur. Je t'aime fort, maman. Papa [Tobias David Rosenbloom] : Papa. Papa. Je crois que c'est le premier mot que j'ai prononcé. On a toujours été tellement proches, tous les deux. Tu te rappelles quand maman disait qu'on avait un lien tellement fort qu'on aurait cru que j'avais grandi dans ton ventre ? Tu m'as initiée au Quidditch, toujours poussée à donner le meilleur de moi même, en toutes circonstances, en toutes occasions. Je crois bien que je tiens de toi mon caractère têtu et enflammé. Merci d'être ce que tu es, et de m'avoir appris tant de choses. Tu es le meilleur père qu'une fille puisse avoir. Grand-mère maternelle [Sgiach MacUallis] : Grand-mère ! Cela fait longtemps que je ne t'ai pas vu, dans ta plantation de lavande, au fin fond de l'Ile de Skye. Ce petit coin de paradis, coupé du reste du monde, me manque, tout comme toi. Mais tes hiboux contenant des lettres parfumées à la lavande me parviennent toujours, et je me réjouis toujours de te lire ! J'admire ta force, car tu as toujours réussi à rester debout, même après la mort de grand-père, et votre complicité était éclatante. Ta douceur m'a bercé lors de mon enfance, et j'allais souvent me réfugier chez toi, afin de sentir ton doux parfum qui avait le don de me calmer. Ta présence m'es rassurante, et les fois où tu viens nous rendre visite à Galway sont un véritable enchantement ! Merci, merci d'être une grand-mère aussi formidable et sage. Tu es vraiment une perle. Skayla : Un éclair roux, des yeux verts grincheux, des petites tâches blanches sur ses pattes qui font penser à des chaussettes... C'est du Skayla tout craché. Je l'aime tellement, cette chatte. Qu'elle ait survécu à l'incendie fut un véritable miracle, et je mesurais ma chance à sa juste valeur. En attendant, elle m'accompagnait partout, même à Poudlard, même si elle avait la mauvaise habitude de prendre (très) souvent la poudre d'escampette ! La petite maligne ! Je suis soulagée qu'elle soit avec moi, car elle me rappelle la maison. Et j'en ai bien besoin. Cette famille, je ne l'échangerais pour rien au monde. Je l'aime tellement, et j'en suis fière et heureuse.
La première fois ici
Enfin. Ce jour était enfin arrivé. J’avais reçu ma lettre d’admission à Poudlard il y a quelques semaines de cela, et aujourd’hui était le grand jour. J’étais un peu nerveuse, c’est vrai, mais j’avais surtout hâte. J’étais assez confiante, mes parents avaient tous deux étudié dans cette école, je n’avais donc pas à m'inquiéter. Certes, j’étais un peu tristes de les quitter, mais j’allais rentrer à la maison durant la plupart des vacances, et ils allaient m’envoyer régulièrement des lettres.
Les adieux avaient été brefs. Je ne souhaitais pas m’attarder, et je savais que j’allais très prochainement les revoir, durant les vacances de la Toussaint. J’étais donc montée dans le Poudlard Express, Skayla à mes trousses, et je m’étais assise sur un siège vide, laissant libre cours à mes pensées, petites anecdotes de mes parents lorsqu’ils étaient à ma place.
Mon père avait été directement à Gryffondor, la maison des braves. Lorsque je le voyais, je comprenais pourquoi. Il était énormément courageux, loyal et fidèle. Et c’était ce que j’appréciais le plus chez lui, à sa juste valeur. Il avait été aussi attrapeur, à son temps. Dans l’équipe de Quidditch de Gryffondor. C’était un attrapeur légendaire, il n’avait presque jamais raté le Vif d’Or. J’aurais pu marcher sur ses pas, avant… vous savez quoi. En attendant, sa scolarité avait été mouvementée, mais il avait réussi à avoir ses ACPICs de justesse, mais il avait réussi. Même ma mère se demandait comment il avait réussi à passer, parce que il était vraiment mauvais. Aujourd’hui, il travaillait dans le monde du Quidditch, en collaboration avec l’équipe irlandaise.
Ma mère, elle, elle était une Serdaigle. Une vraie de vraie. Toujours plongée dans les livres, ayant toujours d'excellentes notes. Si elle le pouvait, elle aurait pris toutes les options possibles. Elle m’avait dit un jour qu’elle avait même essayé d’envoyer une lettre à la directrice pour savoir si elle pouvait faire comme Hermione Granger, la née-moldue, donc prendre un retourneur de temps pour pouvoir suivre tous les cours. Malheureusement, sa requête n’a pas aboutie, mais ça ne l’avait pas démontée pour autant. Elle trouvait toujours un moyen pour toujours plus s’instruire. Elle avait donc fait une brillante scolarité, ayant acquis le poste de préfète-en-chef, titre qu’elle avait amplement mérité. Aujourd'hui, elle travaillait dans l'administration, faisant donc très souvent des allers-retours de Galway à Londres.
Ils s'étaient rencontrés lors d'un match de Quidditch, un Gryffondor-Serdaigle. Mon père y jouait, en tant qu'attrapeur et capitaine de son équipe, et ma mère était venue de force, entraînée par une amie qui voulait lui changer les idées.
Et ils se sont rencontrés, lors de leur 4ème année. C'était l'amour fou pour mon père, mais ma mère était vraiment pas convaincue. Il a passé sa scolarité à la draguer, à lui courir après, mais ma mère avait résisté. Ils avaient quittés Poudlard, et ils s'étaient rencontrés plusieurs années après. Et ma mère à craqué. Ils se sont mis ensemble et ils ne se sont plus jamais quittés. J'adore leur histoire, elle paraît tellement belle, tellement réelle.
Le Poudlard-express s'arrêta dans un grincement de roues. J'étais descendue, fascinée par cet endroit que mes parents m'avaient souvent décrit. C'était comme je l'imaginais, des tours imprenables et la forêt interdite, que je rêvais d'aller visiter. Je ne gardais qu'un souvenir flou de ma promenade en barque. Je me souviens, lorsque j'étais assise, attendant mon tour, mais je n'étais pas nerveuse, oh non. J'étais confiante, parce que je savais que le Choixpeau allait faire le bon choix, et j'accepterais ma maison, quelle qu'elle soit. Le défilement des prénoms passait plus vite que je m'y attendais, et bientôt un "Cassiopée Sophia Rosenbloom" résonnait dans toute la Grande Salle.
Je m'avançais vers le Choixpeau, plus confiante et sûre de moi que jamais. Je savais ce que je voulais, je savais ce que j'attendais. Je serai la meilleure élève, comme ma mère, et je marquerai cette école de mon empreinte, comme mon père. J'enfilai le Choixpeau sur ma tête et je m’assied sur la chaise dédiée à cette usage, et j'attendis le cri révélateur.
Ma scolarité à Poudlard commençait maintenant.
QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-il/elle ? – Tout d'abord, elle va voir si quelqu'un est là. Mais puisque personne ne voit la scène, elle cherche autour d'elle un quelconque outil pour le récuperer sans se mouiller. Puis, elle se rappelle que les sirènes sillonnaient les eaux du lac, donc la personne ne craint rien. Finalement, lassée par les cris déchirants de la personne, elle se décide à plonger pour aller la récupérer, étant à l'aise dans l'eau. Après tout, elle n'était pas une brute sans coeur, même si elle aurait préféré ne pas se mouiller.
Dernière édition par Cassiopée S. Rosenbloom le Lun 9 Juil - 21:52, édité 13 fois
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Lun 25 Juin - 17:28
Bienvenue officiellement et bon courage pour ta fiche !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Lun 25 Juin - 18:09
Bienvenue officiellement !!!!!
MADELAINE PETSH J'adore cette actrice
Bon courage pour la suite de ta fiche
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Lun 25 Juin - 21:12
Bienvenue chère Cassiopée !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Mar 26 Juin - 13:08
Bienvenue officiellement Cassiopée Bon courage pour ta fiche !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Mar 26 Juin - 18:05
Bienvenueeee, la miss !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Mar 26 Juin - 23:20
Merciii les filles ! Il nous faudra un p'tit lien
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Mer 27 Juin - 13:51
Bienvenue, et bon courage pour ta fiche, milady.
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Mer 27 Juin - 22:31
Ah ouais! Moi j'écrivais pas aussi bien à 13 ans et demi ! Bienvenue tout plein Cass, j'espère que tu vas te plaire courage pour la fin de fiche, il ne te reste plus beaucoup !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Jeu 28 Juin - 22:42
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Né-Moldu Pouvoirs spéciaux: Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Un chiot golden retriever Epouvantard: Une meute d'oiseaux en plein vol Matières suivies et niveau: Points Défis: (2000/2000) Disponible pour un RP ?: Si t'es pas pressé, c'est d'accord ! D'autres comptes ?: E. Adrian Leonhart & Willow Gillespie
(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Dim 8 Juil - 15:10
Officiellement bienvenue parmi nous, Cassiopée !
Avant de te répartir, il y a deux ou trois choses qu'il va falloir expliciter/modifier ! Déjà, les élèves de première année ne sont pas autorisés à posséder leur propre balai donc j'imagine que si le père envoie un balai à Cassiopée, il va se le voir renvoyer assez rapidement. Alors oui, je sais Harry Potter en avait un blablabla, mais c'est Harry pas le reste du monde. Je te renvoie à la lettre de Poudlard dans HP1.
Ensuite, la première année de Cassiopée ne s'est pas passée sans encombre. Si tu as bien lu le contexte, tu auras remarqué que trois élèves sont morts dans l'accident de la fête foraine. Poudlard est en deuil, les élèves sont interrogés et le Ministère en alerte. D'ailleurs, la Brigade de Blackman en tant que telle a pris place lors de sa première apparition, en 2019. Là, c'était juste les mangemorts en poste au château. (C'est un détail mais comme la BSPB était nommée vraiment Brigade, je veux juste m'assurer que tout n'est pas mélangé.) Les gens n'étaient pas favorisés véritablement en fonction de leur sang mais en fonction de leurs idéaux. Il y a pas mal de sang-purs qui ont été torturés au même titre que les autres parce qu'ils se plaçaient clairement en traîtres à leur sang.
De plus, j'ai du mal à comprendre cette histoire de feu. Déjà, quel feu ? Pourquoi elle veut faire du feu la gamine ? Et pourquoi la famille laisse faire, surtout ? Je veux bien croire qu'on lui refuse rien mais généralement, il y a des jeux plus adaptés que faire cramer les forêts. En soi, qu'un accident arrive, je veux bien, mais là, ça arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Et d'ailleurs, on la laisse rentrer toute seule dans une maison en flammes ? Tout ce passage de l'histoire me semble pas super crédible en fait.
Et enfin, fais attention, il y a beaucoup de fautes au niveau de tes passés simples. Je sais que c'est pas le temps qu'on emploie le plus mais quitte à le faire, autant s'assurer que c'est juste. J'en profite juste aussi pour prévenir que je te passerai directement en 5ème année puisqu'on a fait le changement durant la MàJ et qu'on applique désormais les années qui commenceront en Septembre.
Voilà voilà ! Je te laisse t'occuper de tout ça, je repasserai lorsque ce sera fait ! Si jamais tu as des questions, n'hésite pas.
(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Dim 8 Juil - 17:04
Thaaanks Alors pour le balai je savais pas du tout, je vais corriger ça, et merci d'avoir pris la peine de tout lire et de décortiquer mon texte Euh sinon je vais me mettre à relire plus attentivement le contexte, et à corriger toutes les erreurs de contexte. Cassiopée n'est pas une pro sang-pur, loin de là, mais disons qu'elle est assez maligne pour ne pas se faire prendre, j'expliquerai tout ça plus en détail Pour le feu, c'était intentionnel, et puis euh je vais rajouter des détails, genre un barbecue qui a mal tourné Mes fautes *^* J'avais écrit super vite et j'avais pas fait gaffe, je vais corriger ça ** Désolé ** Sinon euh d'accord pour la cinquième année, pas de problème Bref, je vais me charger de tout ça, et encore merci pour ton attention !
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Dim 8 Juil - 19:59
Bienvenue parmi nous toi
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS** Lun 9 Juil - 18:54
Elle est chou ! Bienvenue parmi nous
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(#) Sujet: Re: Cassiopée S. Rosenbloom - Be Brave **EN COURS**