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Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina)
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Message(#) Sujet: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyMer 11 Avr - 15:31

Omb & Nina
Un terrain qui rappel des souvenirs



Vendredi après-midi, je viens de terminer un entretien particulièrement fastidieux avec un élève de septième année. Par la barbe de Merlin, il m'a mit un de ses trou au cerveau, je n'en peux plus. Ce cher jeune homme flippe, il sait pas ce qu'il veut faire, il sait pas ce qu'il veut devenir, me balance idées sur idées en espérant qu'il y en a une de bonne dans le lot. Il a cru que j'étais quoi ? La roue de la fortune ? J'ai fini par perdre patience, abandonner mon charmant sourire pour lui rentrer dedans, de manière pédagogique, faut pas déconner, et lui demander de revenir plus tard avec des idées plus concrètes et un projet plus abordable que cette bouillabaisse qu'il m'a proposé. Bon sang, je n'en peux plus ! Décidant de prendre l'air, je marche vers la sortie du château, afin de me rendre dans le parc. Accompagnée de Vador ma chatoune, je lui jette un regard, elle tente tant bien que mal de suivre mes grandes jambes, elle se met donc à faire un mélange entre le ronronnement et le râlement. Je soupire, m'arrête et ris, amusée « Oui, j'ai compris ! » je la dépose sur mon épaule, elle s'y loge, c'est qu'elle est riquiqui pour son âge ! Et je marche vers le terrain de Quidditch. Il n'y a personne, pas d'élèves qui s'entraînent, ni Irina - que j'aime à appeler Nina - qui s'amuse à voltiger dans les airs. Je soupire, tandis que Vador ronronne contre ma nuque et s'y frotte. Je marche vers le centre, tourne sur moi-même et m'arrête devant la tribune de serpentard. Un sourire satisfait se présente sur mes lèvres et je pointe la tribune du doigt « Tu vois ça ? C'est là que j'ai lancé un cognard à la tronche de cette bave d'escargot de Charli, il l'a bien mérité » je baisse ma main avec un rire machiavélique et amusé. J'entend du bruit et me retourne. Mon sourire s’agrandit « Bonjour Nina ! » lui lance je en souriant « J'expliquais à Vador le jour où j'ai envoyé un cognard à Charli. Je ne l'ai jamais dit aux profs, mais j'étais tellement fière de ce coup » je souris amusée et soupire. j'avais beaucoup aimé volé, mais pas apprécié le sport. Je regarde Nina « Je suis contente de te voir, il faudrait qu'on se prenne le temps de boire un truc à Pré-Au-Lard » lui dis je en lui donnant un coup de coude amical dans l'épaule « Alors racontes, tes élèves cette année, c'est d'la bonne graine ? Par contre les matchs ... ça galère pas mal on dirait » j'avais vu les derniers matchs de Quidditchs en date, la plupart mettent énormément de temps, d'autres ne bougent pas, il n'y a pas masse d'action. A notre époque, on était des acharnés. Bon ok j'envoyais des cognard au public mais bon ! Peut être suis-je trop critique, après tout je ne m'y connais pas des masses à ce sport, je préfère le regarder.
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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyDim 15 Avr - 11:31


Ombellyn & Irina

Un terrain qui rappelle des souvenirs


Les débuts d’Irina à Poudlard avaient été chaotiques. Parce qu’elle avait eu besoin de se faire à son nouvel environnement, à son statut, au rythme de Poudlard, aux élèves…Désormais, elle se rendait à l’évidence : elle n’avait pas beaucoup de cours à dispenser et beaucoup de temps libre ! Ce constat pouvait être pris de bien des manières, mais la jeune femme le prenait comme une façon pour elle d’envisager de s’intéresser à d’autres choses. Quoi ? Là était la question, elle ne savait pas vraiment quoi faire de son temps libre et s’évertuait, pour le moment encore, à préparer des cours, à envisager les meilleures manières de permettre aux élèves d’apprécier l’instant. L’idée de s’intéresser de plus près à la bibliothèque et aux ouvrages lui avait bien sûr traversé l’esprit, mais Irina se connaissait suffisamment pour dire qu’elle n’allait pas se sentir dans son élément….d’autant qu’il y avait Charli et qu’elle n’avait pas toujours la foi d’aller à la rencontre de son petit regard en coin plein de moqueries. Idée à travailler. En attendant, elle n’avait rien à faire de son vendredi après-midi et flânait au terrain de Quidditch en attendant de voir arriver le petit groupe d’élève qui lui avait demandé à bénéficier du terrain pour voler un peu cet après-midi. Le week-end approchait, Irina se demandait encore si elle allait quitter Poudlard le lendemain pour aller voir sa fille ou non. Sa réflexion fut coupée court par l’arrivée de quelqu’un sur le terrain dans lequel elle était depuis de longues minutes, déjà.

Impossible de ne pas la reconnaître ou de ne pas sourire à cette vision. En tout discrétion, Irina s’approcha d’Ombellyne avant de l’entendre s’exprimer, visiblement à l’adresser de la boule de poile perchée sur son épaule. Irina ne sut jamais si sa discrétion fit défaut ou si son amie avec une sorte d’instinct, mais elle ne mit pas longtemps à se retourner pour lui adresser la parole, tout sourire. Irina lui répondit dans la seconde, le même sourire fixé sur les lèvres : « Tu crois que je n’ai pas entendu l’adorable surnom que tu lui as donné ? » Irina se mit à rire doucement avant d’approcher pour glisser une main sur la tête du petit chat pour le caresser lentement et dire à son amie : « Tu pouvais aussi dire bave de crapaud, venin de Doxy, tête de gnome ou … face de gobelin… » La jeune femme roula les yeux avant de reprendre sérieusement sur ce qu’Ombellyne venait de lui dire : « Et moi donc ! Je suis contente de te voir que tes pas t’ont menés jusqu’ici…c’est un hasard ? Tu voulais me voir ou te rappeler le bon vieux temps des cognards envoyés à la figure ? » Irina avouait franchement avoir toujours pensé que tout ce qui arrivait de négatif à Charli était une manière de le punir pour sa négativité et son côté ronchon. Irina montra le terrain vide de son autre main à Ombellyne avant de répondre à ses questions : « Comme tu le vois, les élèves sont cool, silencieux, dociles… je ne me plains pas ! » Elle ne pouvait s’empêcher une pointe d’humour, mais se voyait toujours reprendre avec sérieux : « Pour de vrai : la relève est plutôt bonne. « Bonne graine », comme tu dis. J’envoie vers toi les moins assurés, pour te donner un peu de boulot ! » La jeune femme rendit enfin le petit coup de coude taquin à son amie avant de reprendre : « Quand aux matchs… disons qu’il est plutôt question de gérer les problèmes relationnels entre élèves, je ne les trouve pas si mauvais que ça en jeu… tu es venue assister au dernier match ? Verts contre Jaunes ? » L’interrogeant du regard, Irina s’écarta finalement du petit Vador pour dire à Ombellyne « Viens on va s’asseoir. Tu as aussi des choses à me raconter ! Pas trop de stresse des gamins sur l’avenir, à cette période de l’année ? » La jeune femme encouragea Ombellyne à la suivre vers d’autres gradins, ceux réservés aux rouges, les leurs, à l’époque… Irina adorait la vision qu’ils pouvaient avoir du parc, du haut des gradins. Elle pouvait s’y atteler à toute heure de la journée et regarder le château, le lac au loin et la cabane….cette cabane… A coup sûr, Ombellyne appréciait aussi tout ça et de toute façon, nous avions des tas de choses à nous raconter.

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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyMar 24 Avr - 17:55

Omb & Nina
Un terrain qui rappel des souvenirs



Je me retourne et aperçois Nina qui me lance une remarque. Je souris et eu un rire « je trouve que t'es bien gentille, je ne veux pas apprendre à Vador les vilains gros mots ... même si je suis d'accord avec toi, Charli est un résidu de strangulot moisi » fis je après avoir mis une main pour couvrir les oreilles de mon adorable chatoune. Vador ne comprendrait rien et en même temps, elle s'en ficherait tellement, tout ce qu'elle veut ce sont : des croquettes, de la pâtée, du lait et des gourmandises ... et aussi dormir et jouer et être dans mes pattes et dans mes bras et surtout SURTOUT se faire caresser toute la journée ou glander au soleil. Bon sang, la vie d'un chat c'est tellement génial ! Mais je fais attention à ce qu'elle ne sorte pas, surtout seule. Elle risquerait de se faire manger ou écraser vu sa petite taille. Elle a 3 ans et on dirait encore un chaton, surtout à cause de son nanisme.

Je regarde Nina avec un grand sourire, il est vrai que nous n'avons pas énormément de temps toutes les deux de se voir et c'est bien dommage. En même temps, elle a plus de temps que moi. Enfin, sauf quand j'ai pas de dossier à traiter, je confesse. « On a du temps libre l'une autant que l'autre donc oui, il faut qu'on s'fasse un truc ! Viens me voir sinon, on boit du thé et tu verrais comment j'aime rendre Vador complètement folle » fis je en gratouillant le dessous de la mâchoire de la chatoune qui ronronne de manière étrange (on dirait qu'elle ronronne par le nez). « Bah je t'avoir que je voulais te voir et puis, les souvenirs sont apparus. J'aurais dû plus souvent lui refaire le portrait quand même, mais promis, je me rattraperais » lâche je en hochant la tête. Quelle gamine je suis, mais une gamine qui s'assume !

Je lui pose quelques questions concernant les élèves et l'écoute avec attention avant de lui tirer la langue et froncer les sourcils « Directrice de Maison flemmarde va ! » lâche en souriant avant de lui donnant un coup d'épaule, réponse à son coup de coude « toi, tu veux que je débarques en plein cours pour leur montrer tout ce qu'il ne faut pas faire pendant un match » lâche je avec un clin d'oeil. « Ouais enfin, Jade et Jayden si on les mettait tous les deux sur un ring sans règles, ils se battraient jusqu'à la mort ! » fis je avec de grands yeux « yavait de la tension en tout cas entre ces maisons » c'était chiant. Vraiment. Déjà que je suis pas fan de base de Quidditch alors si les élèves jouent les gamins à se tirer dans les pattes au lieu d'y aller franco ... pfff oui ça m'a clairement gonflé, heureusement que j'avais un livre.

Je suis Nina vers les gradins « non ça va, ils savent approximativement ce qu'ils veulent faire pour les années à venir à ce stade de l'année pour les 6e année, les 7e année savent ce qu'ils veulent faire ... enfin, ya quelques élèves qui paniquent de pas trop savoir et d'autres qui s'en fichent, donc j'avance en rond avec ces derniers, mais globalement, ça va » fis je alors que nous arrivons en haut des gradins pour nous y installer. Je prends une profond inspiration et expire. Vador saute de mon épaule pour s'approcher du vide, elle se retourne et pousse un miaulement. Dans un sourire je met à faire voltiger le chat pendant quelques instants, regardant Nina, baguette à la main « ce chat est complètement barge » fis je en souriant. Un peu comme moi quoi. Finalement, je la dépose et elle nous rejoint pour réclamer des câlins, encore plus de gratouilles. Je la récupère et la main sur mes genoux et lui gratouille le ventre continuant de regarder Nina « sinon bah ... je suis bien contente que cette année soit aussi calme. A l'exception de Noël et de la St Valentin » lâche je « même si Noël j'étais pas là tu me diras ! » fis je en souriant ... j'étais partie en France et en Russie

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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyDim 29 Avr - 18:05


Ombellyn & Irina

Un terrain qui rappelle des souvenirs


Irina ne mit pas longtemps à se lancer pleinement dans la plaisanterie avec son amie. Elles étaient toutes les deux aussi adeptes des conneries l’une que l’autre et ça n’était pas pour déplaire à Irina….tant qu’aucun élève ne trainait dans les environs pour les entendre traiter directement le bibliothécaire du château de bave de crapaud, tête de gnome ou résidu de strangulot moisi. L’homme ne le méritait peut-être pas entièrement, mais quelques aspects de la personnalité de Charli suffisaient à Irina pour dire qu’il le méritait au moins un minimum. Les rivalités de leur temps à Poudlard n’étaient plus d’actualité, remplacées par les obligations d’adultes qui leur incombaient, mais Irina savait que les taquineries qui avaient existées à l’époque n’étaient pas parfaitement enterrées. D’un air grave, Irina s’empêcha de partir dans un éclat de rire pour pouvoir dire, en parlant de Vador : « La lueur dans ses yeux me dit qu’elle est d’accord avec nous et qu’elle a possiblement mieux encore que toutes ces insultes pour désigner Charli. Quel âge a cette petite, maintenant ? Tu n’es pas objective sur ce qu’elle peut apprendre ou non… » Oui, Irina incluait sans aucun problème Vador dans les combines contre Charli même si l’animal ne se préoccupait sûrement pas le moins du monde de ce dont il était question.

La conversation vira tranquillement sur le temps libre que nous avions toutes les deux et Ombellyne m’invita indirectement à la rejoindre un peu plus souvent pour le « thé party ». Dans un sourire qu’elle ne parvenait pas à faire paraître autrement qu’un sourire malicieux, elle répondit : « Tu veux crâner et me montrer ton bureau super top, c’est ça ? Bon, en tout cas, si tu m’invites pour le thé, tu sais très bien que tu me prends par les sentiments et ça marche ! » Puis, la jeune femme s’intéressa à ce que son amie lui disait ensuite, indirectement sur Chali et le cognard dont ils se souvenaient tous parfaitement : « Trop tard, tu as laissé passer tes chances, tu es maintenant dans le camp des adultes….des responsables…..des ….. anciens ! Et les anciens de Poudlard ne refont pas le portrait à leurs collègues de boulot… !» Irina avait manqué de dire « ancêtres », pour rire, mais son regard malicieux parlait pour elle. Elle avait aussi voulu lui faire comprendre que Chali n’était plus un camarade de classe qui s’opposait de manière naturelle à eux, mais qu’ils étaient maintenant tous dans le même camp. Irina savait parfaitement qu’elles allaient être amenées à parler de Charli… Bien évidemment, la jeune prof ne put s’empêcher de se demander ce qu’elle allait pouvoir dire à Omb’ sur Mattheus… Peut-être n’aurait-elle aucune occasion de le mentionner ; elle l’ignorait encore et c’est en abandonnant ces pensées qu’elle se pencha sur son côté « directrice de maison flemmarde » qui lui collait à la peau, selon Ombellyne. Irina se défendit par un coup de coude en retour avant de soupirer quand elles s’intéressèrent au dernier match.

Un match qui avait clairement fatigué Irina, dans tous les sens du terme. La jeune femme s’en était remise, mais avait encore beaucoup de mal à comprendre comment les deux élèves avaient failli en arriver aux mains de manière sérieuse. Elle ne regrettait pas son intervention, ayant eu l’impression d’être plus claire que jamais en leur formulant des avertissements qui prendraient effet en cas d’erreur. Prévenir. Elle avait le sentiment que c’était une bonne chose, pour éviter les mauvaises surprises et pour avoir une occasion de maîtrises ses nerfs. Elle n’aimait néanmoins pas la manière dont le jeune Jayden la regardait, principalement écœurée à l’idée de savoir que sa fille se frotterait à des élèves qui n’avaient une personnalité très particulière. « Jade et Jayden méritent, selon-moi, d’être évincés temporairement des équipes de Quidditch, je ne suis directrice de maison ni de l’un, ni de l’autre… Je suppose que Morgana n’évincera pas Rosenbach… » Ombellyne pouvait clairement entendre le scepticisme dans la voix d’Irina « et Moloney… je ne sais même pas s’il a été témoin du début de bagarre qui a eu lieu entre les deux jeunes. J’ai un peu de mal à comprendre….après l’année qu’ils ont passé avec la présence de Blackman ! » Irina était sincère, elle était un peu dépitée de leur comportement, mais c’était un aspect du job qu’elle n’avait jamais écarté… Son amie n’avait pas l’air de s’en faire et Irina savait parfaitement qu’elle n’avait strictement rien à faire du Quidditch, mais il n’était pas question que de Quidditch…

Leurs pas les menèrent vers les gradins de Gryffondor. Irina s’installa dès que possible sur un banc, persuadée qu’elle n’arriverait pas à y tenir immobile bien longtemps, et elle écouta Ombellyne s’expliquer, sachant également qu’elles alterneraient sûrement entre l’humour et le sérieux dans leur conversation. Vador était sage et tendait ses petites oreilles probablement pour écouter tout ce dont il était question, idée qui fit sourire d’emblée Irina. La jeune femme hocha délicatement la tête, étonnée de voir que les élèves n’étaient pas plus angoissés par l’avenir. Elle-même avait à l’époque su ce qu’elle voulait faire, mais les doutes et les interrogations avaient été bien présents. « Et combien de septièmes qui font semblant de ne pas savoir quoi faire de leur vie pour entrer dans ton bureau et passer une heure de temps les yeux dans les yeux avec toi ? » Le coup d’œil était malicieux et malin, Irina le savait et s’en amusait beaucoup, mais elle écouta quand même son amie lui dire que Vador était barge et c’est dans un rire qu’elle lui répondit : « Je dois : soit approuver pour dire la vérité soit te dire « mais noooon, tu es loin d’être barge »…. Ce sera la première possibilité, sans hésitation ! C’est la date de naissance, qui fait ça… tu sais que les moldus se collent toute la journée des poissons en papier dans le dos le jour de ton anniversaire ? On va dire qu’ils célèbrent en quelque sorte la naissance d’une petite barge dont ils ignorent l’existence, mais ils célèbrent quand même ! » Irina lui lança un petit sourire en coin avant de s’intéresser à la suite de leur conversation. L’année scolaire de manière générale…Noël et la St-Valentin. « J’ai réussi à échapper à la St-Valentin aussi… par chance… Blake avait l’air de dire que c’était une catastrophe sans nom ! Tu sais si les responsables sont identifiés ? » Irina trainait peu au château et elle manquait souvent d’infos. « Morgana a pas mal subi ce jour là…. » Irina avait envie de rire en disant ça, mais elle s’était forcée à n’avoir aucun ressentiment face à sa collègue, l’exercice n’était pas si facile qu’il en avait l’air, mais Irina s’y attelait le mieux possible. « Qu’est-ce que tu as fait précisément, au dernier Noël ? » Irina manquait d’infos même si elle savait beaucoup de choses concernant Ombellyne. L’occasion était rêvée pour poser quelques questions, échanger sur tout et n’importe quoi. Du haut des gradins de Gryffondor, elles avaient le parc à portée de vue et Irina appréciait plus que jamais cette vision et l’ambiance du terrain.


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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyVen 4 Mai - 19:20

Omb & Nina
Un terrain qui rappel des souvenirs



On y va fort contre Charli, tout comme, je trouve, nous sommes gentille. Sauf que mes insultes, elles sont tellement "gentilles" que dire que j'l'aime c'est pareil. Sauf que j'suis orgueilleuse, s'tout. Une foutue orgueilleuse nulle qui bouderait comme une ado' prépubaire si on venait à lui "meuf tu l'aimes assumes". La seule qui a le droit, c'est Nina, parce que je le lui permets. Je regarde mon amie, devenue soudainement faussement sérieuse en regardant Vador, je secoue la tête et pouffe de rire « en vrai, elle rêverait de planter ses griffes sur sa tronche » annonce je en riant. Même si, en réalité, je ne pense pas qu'elle le ferait. Actuellement, elle ronronne et pétrie ma peau avec ses griffes, parce qu'elle adore le câlins, les caresses, qu'on s'intéresse à elle et surtout, elle m'aime. C'est ma fille, mon bébé, un bébé chat qui tire la gueule « Elle a trois ans » répondis je avec un sourire « On peut la confondre avec une munchkin, la race de chat qui grandit jamais, mais elle n'en a pas les caractéristique. Si tu veux, c'est un chat de gouttière atteins de nanisme et qui en plus à un soucis avec sa ^mâchoire, du coup t'as l'impression qu'elle tire la tête tout le temps » explique je en souriant. C'est vrai qu'elle a l'air toute petite, une petite boule de poil qu'on pourrait confondre avec un bébé chat « du coup je fais attention quand je sors ou marche avec elle. J'ai peur de la perdre ou qu'elle se perde et se fasse manger par plus grand qu'elle » explique je en la laissant se jucher sur mon épaule, tandis qu'elle ronronne, me câline et me procure des frissons « tu devrais essayer c'est trop bon » fis je le visage rempli de bonheur et d'extase de câlins. « Cha ... rli n'aime pas les chats » lâche je en me rattrapant. Mais j'suis grillée. Bouse d'hippogriffe. J'étais bien partie pourtant. Et je sais même pas pourquoi j'ai balancé cette infos

Je la regarde faussement choquée, j'hausse les sourcils, la bouche grande ouverte telle une grognasse de seconde zone « Moi ? Crâner ? Voix Nina, tu me connais, je ne mange pas de ce pain là voyons » lâche je avec beaucoup d'ironie, avant de changer la forme de mon visage en sourire amusé. Rire, sourire, ça fait vraiment du bien. Cette année est passée vite et était agréable. Sincèrement. Je voudrais vivre des temps plaisant de ce type. J'arque mon sourcil à la remarque de Nina « Parce que tu crois que ça ne m'empêchera pas d'lui jouer d'mauvais tours ? Dans ou hors Poudlard je le victimise quand tu veux. Tant qu'il n'y a pas d'jeunes, lui et moi, on s'arrachera les cheveux à jamais. C'est comme ça, on y peut rien. Comme si nous étions victime de la malédiction du Cognard » lance je en surjouant sur les mots, rajoutant du drama à couper au couteau.

Ma complicité avec Nina est réellement géniale. Sincèrement, je ne vois pas ma vie sans elle. Déjà que ça a été dur après Poudlard sans elle, que j'avais essayé de la suivre dans ses fichus match de Quidditch pour espérer la voir et me faufiler dans les backstage. Je tiens à elle comme à une sœur, j'ai sa fraîcheur, sa force de caractère et son peps. Elle est toujours positive, volontaire, malicieuse. Son coup de coude me confirme mes pensées que j'ai sur elle et me fait, par ailleurs, exploser de rire. De ce fait, un rire de cochon sort des entrailles de ma gorge que je tente de dissimuler d'une main devant la bouche, or mon corps se trémousse de rire et je n'arrive pas à vaincre ce maudit rire « je te déteste ! Peggy la cochonne est de retour vilaine ! » râle je en riant tout en lui donnant une tape sur l'épaule.

La discussion se tourne sur le dernier match de Quidditch, oooh oui, ça a été assez .... ça a été le bordel ! J'eus un léger rire en imaginant Morgana s'en prendre à Jayden et secoue la tête avec amusement « Il va se faire fracasser la tête, ça c'est sûr ! » dis je en hochant la tête à ce moment-là avec un sourire et de grands yeux « Je me demande si elle va pas l'enfermer dans les fins fonds des cachots pour lui donner uniquement de l'eau froide et du pain rassis à manger ! » j'eus un rire suite à cette image et plaisanterie avant de reprendre mon sérieux « Je plaisante, bien que cela pourrait limite être son genre. J'aime beaucoup comme elle gère sa maison, d'une main de fer, comme ses cours. On sent qu'elle veut que ses élèves soient droits et juste, qu'il s'agisse de Serpentard ou les élèves participants à ses cours. Elle est carrée, tu sais où tu vas avec elle et c'est appréciable » dis je avec sérieux. J'ai un profond respect pour Morgana. C'est une très bonne prof'. Je finis par hausser les épaules « tu sais, une fois que l'ennemi commun est évincé, les anciennes rivalités ont la peau dure » lui dis je en regardant devant moi. Je pourrais penser à ma relation avec Charli, mais celle-ci est bien différente, elle est "gentille" comparée à Jayden et Jade qui pourraient réellement se tuer dans une arène si on leur en donnait l'occasion. Si jeune et déjà si haineux l'un envers l'auter. Blackman. Mon visage se ferme et ma mâchoire se crispe. j'aurais tellement voulu lui faire payer tous les crimes qu'il a fait. Rien que d'y penser, j'ai les tripes en feu. S'il revient, hors de question que je sois aussi passible que l'an passé, bien que je me suis prise aussi de sacrées corrections pour avoir défendu ou soutenu les nés-moldus.

Désormais dans les tribunes, nous sommes assises l'une à côté de l'autre, je regarde Nina et ses idées saugrenues « je veux bien qu'ils aient des soucis d'hormones, mais ils sont pas tous des pervers hein » lâche je en fronçant les sourcils « t'as vraiment un cerveau étriqué. Sur le coup on pourrait pensé que t'es toute mignonne, mais t'es une sacré perverse quand tu peux t'y mettre » lance je en tirant la langue et lui donnant un coup d'épaule. C'est alors que Vador, dans un miaulement et un ronronnement adorable, me fait mine qu'elle veut faire la folle, je la fais donc léviter. Ce chat est un chat de sorcière, sincèrement. Elle a littéralement un grain. Comme moi à vrai dire. Pour ça qu'on s'est adopté l'une et l'autre finalement. Je regarde ce que je fais, toujours à faire voltiger ce chat déglingué et eu un ricanement venant de fond de la gorge « les modlus sont aussi barges que nous. T'sais que j'ai chopé Vador dans les rues du Chemin de Traverse ? Dans les alentours de mon anniversaire ... comme quoi on s'est bien trouvé, deux blagues sur pattes » lâche je en riant avant d'arrêter de faire mumuse avec Vador pour la ramener vers nous. Je secoue la tête lorsque nous évoquons la Saint Valentin et les coupables « j'en sais fichtrement rien et oui en voyant les élèves, ça a dû être sacrément traumatisant » j'eus les yeux ronds lorsqu'elle parla de Morgana « Nooon racontes ? Par qui ?? » demande je avec une lueur de curiosité dans les yeux. Aaaah Noël. Le sujet dériva dessus, je souris « ouais, apparemment j'ai loupé un beau bal ! » lâche je en riant « j'étais partie en France puis en Russie, voyage familiale. Je trouve ça chouette d'avoir de la famille dans des pays différents. »


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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyDim 6 Mai - 10:01


Ombellyn & Irina

Un terrain qui rappelle des souvenirs


Charli ne méritait pas tant, mais l’union faisait la force et Ombellyne et Irina partaient sûrement de ce principe pour justifier les attaques un peu salées destinées au bibliothécaire. D’ailleurs, Vador était de la partie et Irina fut vite convaincue qu’elle voulait participer à la « fête ». La jeune prof se perdit un instant dans ses pensées en regardant l’animal quand Ombellyne s’exprima pour formuler des paroles honteuses. Irina leva les yeux brusquement et fronça ses sourcils pour se donner un air fâché qui sonnait faux. « Et quand je planterai mes griffes dans la sienne, elle m’en dira des nouvelles ! Gère ta petite boule de poils, je te prie… » Impossible de ne pas finir par un sourire malicieux … Ce dernier se transforma même en sourire attendri sur les lèvres d’Irina quand Omb’ lui donna quelques informations supplémentaires sur l’animal. La petite chatte semblait lui procurer beaucoup de bonheur et Irina trouvait ça adorable « Très mignonne… Mais, tu es en train de me dire que tu ne la laisse pas profiter de tout l’espace qu’elle a ici … ? Je pense que ta protection n’est pas de trop… On a de sacrés animaux qui se promènent par ici… » Le préfet de la maison dont Irina était directrice avait d’ailleurs un animal de compagnie qui lui faisait froid dans le dos… Ombellyne avait repris la parole pour suggérer à Irina d’essayer et la jeune prof demanda : « Essayer quoi ? De me faire manger par plus gros que moi ou d’avoir un petit chat ? » Il y avait bien sûr beaucoup d’humour dans la question, Irina avait bien compris ce qu’elle voulait dire. Elle avait également bien entendu la nouvelle référence à Charli, et, cette fois-ci, Irina prit le parti d’essayer de rendre un peu de justice au bibliothécaire : « Charli t’a dit qu’il n’aimait pas les chats ? Si on prend en compte ce qu’il dit… on peut considérer qu’il n’aime rien du tout. Peut-être qu’il aime les chats… et qu’il dit qu’il ne les aime pas simplement pour être contrariant. » C’était clairement une tentative pour faire entendre à Ombellyne que Charli pouvait aller dans son sens…

Et s’il fallait parler de Charli de nouveau, Irina était prête à faire de gros efforts et ne pas l’enfoncer à chacune de ses interventions. Elle s’en fit la promesse au moment où Ombellyne lui parlait de prendre le thé dans son bureau… Les mauvaises intentions n’étaient pas permises autour d’une bonne tasse de thé ! Elles l’étaient au terrain de Quidditch, visiblement, car Omb’ fit savoir à Irina qu’elle n’avait pas l’intention d’être clémente envers Charli. Après quelques secondes de réflexion, Irina prit la parole à son tour pour dire : « Vraiment ? A ce point ? Je dirais plutôt que vous êtes victime de quelque chose… quelque chose qui m’échappe, mais c’est bien quelque chose ! » Irina accompagna ses paroles d’un petit coup d’œil malicieux. Elle ne voulait pas s’avancer, laissant à Ombellyne le soin de s’expliquer davantage sur ses intentions, mais elle ne pouvait pas croire qu’ils étaient emballés à l’idée de se « bouffer la gueule » en continue.

Le dernier match de Quidditch ayant opposé les Poufsouffle aux Serpentard laissait un mauvais souvenir à Irina et cette dernière n’avait pas franchement envie d’en rire. Pourtant, elle s’autorisa un petit sourire aux paroles d’Ombellyne, au détriment du petit Rosenbach et pleines d’humour noir. « Ils vont devenir dangereux… les deux p’tits… » Puis, elle ajouta, sur le reste de ses paroles, se dérobant pour le moment aux affirmations qui concernaient Morgana : « Je suppose que tu as raison pour les anciennes rivalités… Est-ce qu’on peut considérer que les notres font partie du lot ? Si c’est oui, je suppose que Charli entre en ligne de compte… Pour ma part, on va dire que c’est… hum…hum… c’est cette merveilleuse prof carrée, droite et juste que tu viens de citer qui répond à l’appel. » Ça n’était pas parfaitement exact, il n’y avait pas eu de rivalités avec Morgana, mais Irina n’avais jamais réussi à avoir confiance en quelqu’un qui avait eu de tels desseins envers les nés-moldus. Aujourd’hui, elle s’octroyait « la main de fer » dont parlait Ombellyne pour être en parfait contrôle et donner d’elle une image qu’elle pouvait choisir. Et le mal qui était déjà fait, alors ?! Irina n’était pas particulière rancunière ni mauvaise, mais sans avoir la certitude qu’elle pouvait faire confiance à Morgana Burgess, elle partait du principe qu’elle était contente de préférer que ses élèves soient passionnés, respectueux et épanouis.

Les deux amies se retrouvèrent assez rapidement à grimper les marches menant vers les gradins du terrain de Quidditch, l’un des lieux préférés d’Irina. Il aurait fallu qu’elle profite de leur solitude pour parler à Ombellyne de son trouble vis-à-vis de Mattheus, mais elle n’en était pas capable, consciente d’avoir une trentaine d’années et de ne pas pouvoir se comporter comme une adolescente. De plus, la situation ne s’y prêtait pas, elles étaient pleinement en train de débattre sur les hormones des adolescents du château, tendant vers le sujet de la perversion. La réponse d’Ombellyne déclencha une petite somme d’éclats de rire chez Irina et cette dernière reprit pour dire : « Hey ! Ceci est un faux procès ! Je SUIS toute mignonne, plus que toi, d’ailleurs ! » Ça, c’était une attaque gratuite qu’elle accompagna d’un coup de coude. Typique ! Elles s’étaient un jour chamaillé et se chamaillaient encore. « Je suis plus d’avis de dire que tu te voiles la face et que tu devrais te protéger des hormones dangereuses de ce château. Moi, je les crève à l’effort avec le vol, mais j’ignore si ça suffit…. Protège toi… ou fais rôder Charli aux alentours de ton bureau pour qu’il surveille un peu… Il servira à quelque chose ! » Elle tira légèrement la langue à son amie exactement de la même manière qu’elle, fière de s’être défendue avant de réagir au reste de ses paroles, non sans remarquer avec stupeur qu’elle faisait léviter le chat qui ne protestait même pas, bien au contraire. La remarque sur Charli était gratuite, peut-être un peu vilaine et cruelle, mais le mal était fait ; il était trop tard pour les scrupules. « Les moldus… aussi barges que nous….attends, attends, avec CA … » Irina pointa du doigt Vador, dans son parfait bonheur, dans les airs : « tu es en course pour la première marche du podium … enfin… VOUS… » Parce que le chat faisait partie du lot, c’était une évidence.

Leur conversation vira vers la St-Valentin qui avait eu lieu à Poudlard. Irina se félicitait aujourd’hui de ne pas se rendre régulièrement dans la Grande-Salle et au château, elle était certaine de poursuivre sur cette même-lancée, animée par un besoin de ne pas se mêler trop souvent aux élèves. Visiblement, Ombellyne n’avait pas plus d’informations à ce sujet et Irina l’écouta avant de lever les deux mains en signe de protection innocente : « Wow…wow…attends, je n’ai pas osé poser la question, qu’est-ce que tu crois ?! Il me semble que … que quelque chose est arrivé avec John…. » Irina laissa passer une petite seconde ou deux avant de préciser : « … Mandrake. Quelque chose de pas joli … Il a envoyé une lettre à tout le monde pour s’excuser de ça… La lettre était vachement touchante. Je pense qu’il fait parti de ceux qui ont le plus regretté cette foutue St-Valentin ! » Irina n’était pas une « hater » de cette date du 14 février, mais elle ne représentait pas grand-chose pour elle…

La jeune femme était davantage intéressée par Noël et par tout ce que son amis avait bien pu faire dans deux lieux qui faisaient dont la seule mention faisaient rêver : « Hum… j’vois… ! Et tu vas me dire que la lettre qui m’était destinée et qui m’invitait à te rejoindre s’est perdue en chemin, c’est ça ? » C’était de la taquinerie pure et dure. De toute façon, Irina avait sa fille et Ombellyne était parfaitement bien placée pour le savoir. Elle n’était pas non plus sans savoir (et si c’était le cas, elle pouvait le deviner) que sa fille lui manquait énormément… louper une occasion de profiter d’elle n’était pas dans les prévisions d’Irina. « Je blaguais… Et alors ?! La France, c’est comment ? Je t’autorise exceptionnellement à me faire rêver en me parlant de la ville de Paris. Qu’est-ce que tu as fait de beau et qui as-tu vu ? Tu as probablement croisé un ou deux parisiens agréables à regarder, non ? » Le terrain sur lequel elle s’aventurait plaisait beaucoup à Irina, restait à voir quelles informations elle parviendrait à glaner.



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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyMer 16 Mai - 3:06

Omb & Nina
Un terrain qui rappel des souvenirs



Je regarde Nina et arque mon sourcil avant de lui donner une tape sur sa main et d'enlever mon chat d'elle en mode maman chaton qui va te mordre les fesses « j'parler de griffer la tronche de Charli espèce de nouille qui écoute pas » balance je sur mes gardes. Pas touche à bébé Vador sinon je mords. En plus, ça rime. Je secoue la tête « Je préfère la sortir quand je suis à côté. J'peux pas lui mettre de harnais, elle est trop petite et glisse; Même un lapin passe dedans ! Du coup, quand une bestiole tente de l'attaquer, j'suis obligée de la faire léviter. Elle a prit goût et l'habitude » dis je en regardant ma boule de poil ronronner (de manière étrange) sous mes caresses. « Elle est toute petite, elle pourrait se faire manger, écraser, se perdre ... je la laisse faire sa vie, mais je fais attention quand même » je tiens à elle et de toute manière, si elle se retrouve dans un endroit pas très sécurisant et que je ne suis pas à proximité, elle hurle à la mort. Désormais, Vador et sur mon épaule et me donne des coups de boules dans la nuque qui me font frissonner de bonheur. Du coup, j'ai une tête bizarre et me maintient pour qu'elle ne tombe pas. « Les ronrons dans le cou .... s'trop bon .... donc ouais, prends un chat, un chat c'est la vie » ronronne je en fermant les yeux, avec un sourire ravi. Après avoir récupérer ma boule de poil dans les mains, j'hausse les épaules sans regarder Nina « sans doute » répondis je. Je finis par relever ma tête, soudainement fermé à toute émotion par rapport à Charli. J'en ai trop parlé, j'ai dit trop de choses et j'ai pas envie d'agacer Nina plus que d'usage. Elle ne l'aime pas, alors autant fermer la discussion, ça me permettra d'arrêter de me torturer l'esprit et de me mettre dans une position inconfortable. J'apprécie Charli, mais il y a pas que ça. J'ai un arrière goût d'inachevé agaçant. Je ne le supporte pas, j'ai envie de le gifler, et en même temps, j'apprécie sa compagnie. Je me ferme encore, hausse encore les épaules et regarde Vador « moi j'suis victime de l'amour que je porte à ce chat adorable » lâche en je souriant

Je finis par regarder Nina, nous parlons Quidditch désormais, surtout du dernier match en date. Un match assez intensif et particulier ... mais aussi extrêmement lourd au vu du jeu des deux jeunes « tu penses faire quelque chose contre eux d'ailleurs ? En parler avec leur directeur de maison ? J'suppose qu'ils étaient à la limite d'une possible intervention de ta part durant le match » lâche je comprenant ce genre de situation délicat. En un sens, ils ont camouflé leur rage et leur haine pendant ce jeu. Il a fallu être neutre et ne surtout pas prendre parti. Je déteste ce genre de situation, on a l'impression d'être coincé dans une relation bizarre ou dans un truc chelou. « J'pense que chacun gère sa maison à sa manière et puis, les gens changent quand ils ont une responsabilité » dis je. Suis-je un poil trop optimiste ? Oui, sans doute. J'ai un esprit chamboulé en ce moment, je sais pas trop rien faire, ni trop quoi penser. Du coup, je me concentre sur les élèves qui ont besoin de moi et de mon chat. Bons alternatives à la fuite.

Une fois sur les gradins, j'explose de rire avant de m'étrangler « PARDON !!!!! » hurle je avec un accent français assez étrange, faisant sursauter Vador au passage « j'suis pas mignonne ?????? » mes yeux se font ronds « je boude, tu es une horrible amie » balance je dans un mode drama queen parfait, tout en redressant mon dos, prenant un air hautain et levant la tête et un sourcil « j'suis une licorne, MOI madame ! » me défendis je, en oscillant la tête. Je finis par reprendre un air sérieux et un sourire « mais, j'boude quand même ... parce qu'en plus tu m'as fait mal au bras » fis je avec une tête d'enfant et un tirage de langue, tellement mature ! Je finis par sourire et lui lance un clin d’œil avant de me concentrer à faire voltiger ce chat fou. « J'ai pas b'soin d'lui pour me défendre. Une russe énervée c'est plus flippant qu'un mec blasé » lâche je avec un sourire mauvais, m'imaginant traumatiser des élèves qui tenteraient de faire quoi que ce soit à mon égard. Se serait sincèrement drôle. En tout cas, je commence à rire, continue de me concentrer à faire voler le chat et adore le commentaire de Nina. Je tourne la tête vers elle « bah, on s'est surtout bien trouvé ! Elle m'est tombée dessus comme un méga grêlon sur le coin de la figure ! » et c'était vrai ! C'est CA le pire ! Je souris et continue de rire, amusée de l'image que je donne.

Je ramène Vador vers nous qui commence à se promener sans trop aller bien loin. Aaaah, la St Valentin. J'voulais qu'elle me raconte ce qu'elle a entendu. On dirait deux élèves de Poudlard, là, maintenant et c'est très drôle ! La réaction de Nina me fait rire et je veux qu'elle m'en dise plus. Soudain, j'eus une petite bouille intéressée « Ooooh petite coquinette ! Tu l'appelle John ce cher Mandrake ? » demande je tout en la taquinant, agrémentant cela d'une petite tapette sur le coude. Une lettre touchante ? J'ai rien reçu « genre ... cette lettre t'as touché physiquement ? » demande je avec un air sérieux. Oui, mon jeu de mot était nul, je confesse. Mais j'aime mes jeux de mots nuls « Alors, racontes, ya un truc entre vous deux ? » demande je curieuse.

Je secoue la tête purement et simplement « Encore faut-il que j't'en envoie une » je souris et lui tire la langue « On s'fera un truc en France et/ou en Russie. Ce serait sympa » à peine eus-je finis ma phrase qu'elle m'assaillie de questions. Je mets mes paumes en avant « Wowowowowowow ... Minute papillons. Déjà, Paris, je vais surtout pour faire du shopping avec une tante qui vit à Versailles. Et sinon, j'ai de la famille surtout à Bordeaux ou dans les Alpes. Ainsi que des amis plus au Sud genre Toulon. Mais sinon j'aime bien la France. Oui bon les parisiens tirent souvent la gueule, mais ils sont pas que ça, et encore heureux ! Mais sinon, le reste de la France ils sont assez cool. Dans le Sud ils aiment le pastis et se prélassent sous le soleil dans un transat » lâche je en riant

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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyDim 3 Juin - 21:40


Ombellyn & Irina

Un terrain qui rappelle des souvenirs


Impossible de ne pas rire à la conversation de sourds que les deux jeunes femmes étaient en train de suivre. Irina en était la principale responsable ce qui la rendit d’autant plus hilare. Avec toute la patience du monde, Omb’ lui réexpliqua la situation et Irina prit un air crétin avant de dire : « Aaaaaah, bon dans ce cas là, nous sommes copines ! » Elle s’approcha d’Omb’ pour glisser un bras sous le sien avant de dire : « Tu sais que ce serait facile pour moi de dire quelque chose du style « nooon, sois clémente avec lui, demande à Vador de l’épargner, sa tronche est déjà assez amochée comme ça »… mais je ne le penserai pas … Je n’oserai pas ! Charli n’en mérite pas tant..enfin….j’crois ! » Irina se mit à rire avant d’écouter avec un peu plus de sérieux les explications d’Ombellyne au sujet du petit chat. Elle fut d’ailleurs plus de surprise de réaliser qu’elle avait un réel attachement pour la boule de poils. Bien que compréhensive, Irina n’avait jamais eu de réelle affection pour un animal. « Elle est dépendante de toi… J’ai presque envie de te dire « sois dépendante d’elle aussi » maaais…. Il serait davantage intéressant que ce soit un homme ! » Parce qu’elles ne parlaient pas forcément de ces choses là, sauf en plaisantant, mais Irina trouvait parfois quelques portes ouvertes pour mettre le sujet sur le tapis, à voir ce que lui répondrait la brune. Irina se mit ensuite à rire quand elle lui suggéra de prendre un chat, hochant la tête d’un signe qui voulait dire qu’elle allait réfléchir. Elle avait une fille… et selon elle, pas le temps de s’occuper d’un animal, mais la vie réservait pas mal de surprises. Ombellyne fit sourire Irina de nouveau en parlant de Vador et elle observa ensuite l’animal pendant quelques secondes destinées au silence. Ombellyne avait l’air heureuse comme ça, en la compagnie de son animal et c’était tout ce qui comptait.

Leur discussion se poursuivit sur les gradins et forcément, le Quidditch entra en ligne de compte, remémorant à Irina de mauvais souvenirs de l’un des derniers matchs de l’année. Cette dernière prit son tour de parole après avoir laissé Ombellyne s’exprimer : « Je suis intervenue pendant le match, les prévenant de ce qui les attendait, simplement… Les gamins se sont calmés, par la suite, mais je doute qu’ils puissent s’en sortir sans sanctions. Ils y ont échappé une fois, ils ne pourront pas dire qu’ils n’ont pas disposé d’une chance, je voulais justement qu’ils aient l’occasion de se dire « on a été prévenus »… Leurs directeurs de maisons ont des yeux et ont, sans le moindre doute, vu ce qu’il s’était passé…» Irina haussa les épaules, tant pour ce qu’elle venait de dire elle-même que pour ce que lui disait Ombellyne. De qui parlait-elle en disant que « les gens changent quand ils ont une responsabilité » ? Burgess ? Charli ? C’était sans doute vrai, d’une certaine manière… Un trop plein de responsabilités importantes n’était pas une chose facile à gérer, d’autant plus dans un contexte comme celui de Poudlard, d’élèves, d’apprentissage… Irina était sûre que les deux personnes auxquelles elle pensait faisaient partie indirectement de la conversation.

Le retour d’une toute autre légèreté fit son apparition quand Ombellyne s’exclama en hurlant. Encore un peu et elle faisait envoler tous les oiseaux perchés aux branches du chêne le plus proche. « Héé ! J’ai pas dis ça, j’ai dit que j’étais plus mignonne que toi… la nuance a toute son importance ! » Puis, Irina attendit qu’Ombellyne ait fini son numéro de boudeuse qui ne prenait absolument plus avec elle. La jeune conseillère d’orientation mentionna encore vaguement Charli, laissant penser à Irina qu’elle évitait toujours de rendre le sujet sérieux. Peu importe, la prof de vol n’avait pas encore dit son dernier mot et laissait la conversation se faire. Elle n’eut pas le temps de chercher une occasion de remettre le bibliothécaire sur le devant de la scène (tout en sachant que cette idée n’était pas sa favorite, mais elle l’estimait nécessaire) que les questions d’Ombellyne – en rapport au professeur Mandrake - la firent bondir à son tour « Pas.Du.Tout ! J’ai une tête à fricoter avec un mec du staff…. » Trop tard, la phrase avait été jusqu’au bout et Irina roula les yeux d’un air légèrement ironique avant de serrer les dents pour avoir envie de rire sérieusement et ajouta d’une voix plus modérée : « Raye la phrase que je viens de dire….Je voulais surtout dire qu’il n’y a RIEN entre Mandrake et moi… » Malicieusement, elle se pencha vers Omb’ pour lui demander à mi-voix : « Dommage ou non, selon toi ? » Rien à voir avec une envie quelconque qu’il se passe quelque chose avec Mandrake, Irina voulait juste savoir ce qu’Ombellyne en pensait. Quand au fait de ne pas fricoter avec les membres du personnel, le mal était déjà fait… avec une toute autre personne… et le pire était qu’elle ne le regrettait pas une seule seconde, bien au contraire ! Elle en redemandait et était purement et simplement perturbée par tout ça. Pouvait-elle néanmoins en parler clairement à Ombellyne tout de suite ? Pas si cette dernière ne se montrait pas sérieuse, car Irina ne prenait pas la situation à la plaisanterie… Wenlock était omniprésent dans sa tête et elle ne savait pas encore réellement si cela représentait un problème ou non. La puissance de la situation occultait une bonne partie de son discernement.

Comme c’était souvent le cas, leur conversation vira vers les vacances d’Ombellyne et la jeune femme eut l’occasion de laisser parler de nouveau sa folie. Irina lui envoya un petit regard mauvais tout calculé, mais absolument pas sincère lorsqu’elle affirma ne pas lui avoir écrit la moindre lettre pendant ses vacances, puis, elle écouta la suite avec attention. La France, la Russie… Irina n’était pas contre un petit séjour du moment qu’il était question de profiter ! « Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde, ce que tu viens de dire, on se fera un truc ! » Et concernant la suite, Irina répondit avec un immense sourire : « Okay, très bien, c’est ainsi dans le sud de la France, et dans le Nord alors ? Tu deviens mon guide et informatrice du pays, j’te signale ! Tu as cité au moins trois villes, ça me suffit ! Les Parisiens tirent la tronche ?! Serais-tu en train de casser le mythe du romantisme parisien en me disant ça ? » Irina haussa un sourcil interrogateur pour l’encourager à en dire plus, mais elle ajouta elle-même : « Qu’est-ce que tu prévois pour tes prochains moments de liberté ? J’te signale que ma famille est au Portugal, il se pourrait que je t’invite gracieusement à venir y faire un petit tour SI tu honores ta promesse de m’emmener en France et en Russie ! On a des plages et…….des beaux garçons sur le sable ! » Elle termina dans un petit sourire malin, bien contente d’avoir un petit temps avec Ombellyne où tous les sujets pouvaient s’entremêler sans le moindre problème.



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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyVen 29 Juin - 14:28

Omb & Nina
Un terrain qui rappel des souvenirs



Je regarde Irina et souris, amusée. Vador est une chatoune qui lacère que ceux qui le mérite. Point. En l’occurrence, ceux qui l'embêtent, comme les grosses êtes ou les élèves. Encore faut-il qu'elle sorte dans tous les cas. Je souris légèrement à sa remarque sur Charli et hausse une épaule. J'suis con quand même. Je me bouffe l'esprit pour une histoire passée « Tu crois que j'suis plus à sauver ? » demande je en observant mon chat avec un fin sourire. Irina a raison, Vador est dépendante de moi, mais j'suis aussi dépendante d'elle. Tout mon équilibre repose sur cette minuscule boule de poil au physique étrange et au grognement digne d'un gobelin bourré. « J'suis pas sûre d'être réellement prête pour une relation » dis je en pensant à la dernière en date, qui remonte à loin quand même qui m'avait pas que brisée, mais aussi traumatisée. Irina n'est au courant de rien. Elle sait que j'ai été en couple, mais elle ne connait pas toute l'histoire. Faut dire que ça avait été trop bizarre, c'était juste avant que je n'entre à Poudlard en tant que conseillère à propre parlé. Je m'humecte les lèvres, faudra qu'on se fasse quelque chose toutes les deux cet été pour se retrouver, discuter et se confier, j'en ai terriblement besoin. C'est pour cela que je bifurque habilement sur le match entre Serpentard et Pouffsoufle. Shepperd et Rosenbach. Ils sont vraiment pas croyables ces deux-là. « Ah j'ai pas vu quand tu les as engueulé, j'ai dû partir faire pipi à s'moment-là je crois » lâche je en souriant, mais c'était vrai ! J'étais réellement partie aux toilettes ! Non parce que tenir des matchs pas possibles sans faire pipi c'est mort. J'suis presque déçue d'avoir loupé ce revirement de situation. Fichtre ! « J'suis déçue, j't'aurais vu râler » lâche je avec une moue boudeuse avant de sourire amusée. Sales gosses. Pourtant, j'aimerais réellement en avoir des enfants. Rectifications : maman voudrait que j'en ai. Papa m'embête pas trop là-dessus. Juste maman et une bonne partie de la famille française. Certains diraient que je réussirais à gérer les gosses, un peu comme les rumeurs qui disent que je propose à certains élèves de faire pousser des plantes hallucinogènes. Quand j'ai su ça, j'ai explosé de rire tout en crachant le contenu de mon thé. Les jeunes sont remplis d'imagination, c'est euphorique.

Une autre euphorie nous gagne, à rire comme des ados, nous offusquer pour un rien et jouer les petites sainte nitouches de bas étages. Surtout moi. Je continue de rire tandis que Nina essaie de se rattraper comme elle peut. Telle la barbare que je suis, je la pousse de la main « T'as raison j'suis aussi moche qu'une ogresse » dis je en reprenant mon sérieux « Tu m'as vexé » là, je lève le menton et regarde en l'air, du côté opposé de la vilaine Nina. Mais je ne boude pas longtemps puisque Vador finit ses cabrioles pour revenir vers nous. Et puis, c'est à mon tour de taquiner ma chère Nina avec oooh une attirance pour John Mandrake ? J'eus un rire moqueur à son sarcasme et sa raillerie avant d'hausser les épaules à sa question « J'en sais rien, j'le connais pas des masses » dis je simplement. Je ne fais que croiser certains collègues dans la salle des professeurs, nous ne nous connaissant tous plus ou moins de la même manière : sobrement. Enfin, sauf avec certaines personnes, comme Nina, Tim, Matt ou Charli. Bon ça fait pas mal de personnes au sein de l'établissement je le conçois. J’apprécie aussi beaucoup Magnus et Avril. Encore d'autres personnes à rajouter dans la liste.

Lorsque nous parlons cette fois-ci des vacances, mon sourire s'élargit, je suis heureuse de la compter avec moi dans cette petite escapade française. J'eus un sourire et un rire amusé « Et bien écoute tu verras quand nous y serons ! Mais nous irons très certainement sur Toulon, à quelques heures de Marseille, c'est une ville côtière somptueuse, j'ai une tante qui y vit là-bas, tu vas adorer. C'est tellement paisible et tranquille » lui dis je en souriant. Moi ? Adorer les villes paisibles et tranquille ? Oui oui, ça existe. C'est vrai. « Sinon on se fait un road trip entre nana » propose je l'air de rien, ça pourrait être super sympa tiens. Par contre, Vador risque très fortement d'être avec nous, mais généralement, elle se pose sur mon épaule et n'y bouge plus. Elle a toujours une petite place dans chaque endroit où je vais j'ai aucuns soucis à me faire et elle a aussi son petit kit de voyage. Oui, j'suis une mère pour elle je sais


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Message(#) Sujet: Re: Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) Un terrain qui rappel des souvenirs (Irina) EmptyVen 27 Juil - 9:20


Ombellyn & Irina

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Ombellyne était une gosse… une vraie gosse et cette simple idée pouvait faire doublement sourire Irina qui avait toujours l’impression de retourner au temps où leurs responsabilités étaient amoindries. Aujourd’hui, elle avait l’impression d’avoir elle-même le visage de l’adulte pendant que son amie endossait parfaitement celui de « la femme enfant ». Irina l’enviait, en quelque sorte, bien qu’elle avait ses moments remplis d’imagination et d’idées un peu légères. Parler de Vador, le chat de cette dernière, faisait partie des légèretés agréables et capables de tenir à distance tout sérieux. Ombellyne lui demanda si elle « n’était plus à sauver », ce qui fit rire Irina qui répondit d’emblée : « Mais si…. Voyons… C’est MOI qui vais te sauver, j’aurais le beau rôle, dans l’histoire. » Sur ces paroles, Irina haussa délicatement les épaules avant de poser le regard sur le chat, à son tour. La majorité de leurs conversations ne connaissaient pas le qualificatif de sérieux ; du moins, Irina avait toujours du mal à réussir à l’installer durablement tant les petites vannes de son amies se faisaient une place facile. Cependant, elle ne s’attendait pas à un aveu qui sonna sincère et dépourvu de toute ironie au moment où elle lui parla de relations. Quelque chose d’intéressant, enfin ! Irina se tourna doucement vers elle pour lui demander : « Quoi ? Pas sûre ? Il n’y a pas tant d’indécision sans explications… Pourquoi tu dis ça ? » En réalité, Irina n’avait pas envie de lui poser la question, mais plutôt d’attendre qu’elle le lui dise d’elle-même, mais c’était trop tard, le mal était fait même si elle regrettait déjà d’avoir demandé.

Les regrets étaient aussi de mise lorsqu’il fut question de parler du match désastreux qui avait opposé les verts et les jaunes… Pas de tableau aussi pathétique et similaire avec les rouges… Par Merlin, Irina s’en félicitait, mais elle n’oubliait pas pour autant l’intervention qu’elle ne s’était pas attendue à devoir faire au cours du match. A son grand désarroi, elle avait été jusqu’à penser que suspendre les deux élèves en cause pour plusieurs matchs pouvaient leur faire le grand bien et leur apprendre le fair-play et les valeurs du jeu ; finalement, la fin de l’année sonnait également la fin de la saison de Quidditch ce qui laissait en suspens toute idée se rapportant au Quidditch. Ombellyne n’avait visiblement rien vu de toute la scène et c’est en fronçant les sourcils qu’Irina lui répondit : « Tu plaisantes ?! Faire pipi pendant un match… ! Tu aurais pu me trouver une excuse fantastique à la place, du style : j’ai aperçu une licorne à paillettes au bord de la forêt interdite OU Une glace à la fraise géante est apparue au milieu du parc en me hurlant de venir la bouffer… mais pas pipi… » Irina avait envie de rire, mieux valait ça que d’entrer dans la conversation qui l’agaçait concernant les deux jeunes. Le Quidditch était tellement sacré pour elle qu’elle avait beaucoup de mal avec une telle souillure du jeu gratuite. Ombellyne se foutait un peu du Quidditch, Irina ne l’ignorait pas, mais cela ne l’empêchait pas d’en parler assez régulièrement. Son amie savait parfaitement que ce sport faisait partie de sa vie.

D’ailleurs, l’hilarité ne les avait pas quittées au moment de parler d’ironiser sur leurs beautés respectives. De conneries ! Irina savait parfaitement qu’elles ne prenaient là rien au sérieux et n’insista pas sur sa « mocheté d’ogresse », se laissant pousser de la main en continuant de rire. Ombellyne boudait mal … et en plus, trop peu longtemps pour être crédible, de quoi renforcer les éclats de rire de la jeune prof de vol. La seule chose qui pouvait calmer ses ardeurs, c’était l’entendre lui parler de Mandrake. Irina espéra qu’une rumeur lui prêtant une relation avec son collègue n’était pas sortie… Les rumeurs étaient, selon elle, purement agaçantes et les profs, autant que les élèves, en faisaient les frais régulièrement. Ombellyne lui parla de Mandrake de manière vague et la jeune prof répondit à son tour en disant : « Hmm.. Je vois, moi non plus je ne le connais pas trop. Il aime le Quidditch, les serpents, les Epouvantards et les Patronus, c’est tout ce que je sais. On va dire qu’il marque des points avec le premier élément. » Irina haussa les épaules en roulant rapidement les yeux. Bien sûr, elle ne réduisait pas John à ces quatre éléments, elle avait dit ça à Ombellyne pour rester dans la blague. En réalité, Mandrake était un personnage qu’elle trouvait intéressant, mais loin d’elle l’idée de fricoter avec lui… et pour cause : elle fricotait avec un autre… Un autre qui avait volé toute possibilité à un autre d’avoir l’attention de la jeune femme.

Les vacances, cela ne représentait pas grand-chose pour Irina excepté un moment où elle devait se rendre disponible pour Bianca plus qu’à l’accoutumée. Avec son rôle de prof’, elle savait que les périodes de vacances allaient compter et rien ne pouvait lui faire plus plaisir que d’essayer de tirer quelques plans sur la comète avec Ombellyne. A voir si les jeunes femmes mettraient leurs plans à exécution ou non, mais en attendant, elles pouvaient très bien rêver et unir leurs efforts pour avoir les meilleures idées possibles Ombellyne lui vanta les mérites de « Toulon », une ville français dont Irina n’avait absolument jamais entendu parler. « Mmh… je vais adorer cette ville parce qu’elle est paisible et tranquille, c’est bien ça ? Mais encore ?! » Irina l’interrogea malicieusement du regard avant de graver dans sa tête le nom de la ville française. Elle était partante (bien que pensant qu’il y avait anguille sous roche avec la manière dont elle lui avait vanté l’endroit) !
Le road-trip (entre nanas, en plus !) n’était pas quelque chose qui lui était connu ou qu’elle avait déjà fait, c’est après avoir réfléchi pendant pas plus de quelques secondes qu’Irina s’écria : « Road Trip entre nanas en Amérique du Sud ! Tu as le choix et la main mise sur tout ce qu’on fera en France MAIS, moi, je mets mon veto pour le road-trip ! » Pour se moquer un peu d’elle, Irina reprit la parole quelques secondes après en disant : « Y’a des espèces de trucs antiques aussi … par là-bas ! Peut-être qu’ils pratiquent une espèce de vénération pour les chats… comme les Egyptiens ! » Sur ces paroles, elle donna un petit coup de coude à Ombellyne pour asseoir l’idée qu’elle acceptait la présence du chat, mais elle se voyait déjà interdire à son amie de n’avoir d’yeux que pour l’animal, ce pourquoi elle reprit en disant : « Tu pourras quand même regarder les jolis garçons sur les plages du Brésil, pour le fun… Vador va s’en sortir pendant quelques instants, j’y veillerai, si ça peut te rassurer. » Ils parlaient de Vador, mais Irina pensait avant tout à sa responsabilité numéro 1 : sa fille. Partir en road-trip avec un sac à dos agrandi par sortilège d’extension n’était, à première vue, pas quelque chose de réalisable. Mais existait-il quelque chose d’irréalisable lorsqu’elle se lançait dans une idée ou une discussion avec Ombellyne ? Pas vraiment.. ! « Allez, viens, on redescend ! » Elle fit une pause de quelques secondes pour ajouter : « On va remettre les pieds sur terre, tu t’imagines déjà dans le Sud de la France, mais en attendant, on a du boulot ici ! Comme on dit toujours : les vacances, ça se mérite ! » Une formidable démonstration de l’incapacité d’Irina à rester en place. Elle n’était pas lassée d’Ombellyne, loin de là, mais elle ne parvenait pas à rester assise là, elles pouvaient très bien discuter en marchant



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