Cours d'Astronomie

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2e année
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Cours n°1 : Neptune, la planète bleue

Le silence est profitable. C’est apaisant. Avant la tempête.

Comme à mon habitude, je sors de mon bureau une bonne demi-heure en avance. J’avais déjà vu des petits malins arriver un quart d’heure en avance, même surpris quelques-uns à essayer de rentrer en dehors des cours. Je déteste que l’on touche à ma salle sans que je le sache, pour autant je ne suis pas matérialiste, mais je commence doucement à m’attacher à mon environnement de travail. Et je déteste qu’on y rentre sans mon autorisation, c’est plus fort que moi. Probablement le côté chieuse qui ressort, n’est-ce pas.

Mes talons raisonnent contre les murs de la tour, je n’ai que quelques dizaines de mètres à faire pour parvenir à ma salle de cours. Je m’estime sacrément chanceuse de pouvoir enseigner dans ce type de salle. Regardez-moi ce panorama. Je me souviens de la première fois où j’ai mis les pieds ici en tant que professeure. Pas de poussière au sol, malgré le fait qu’aucun ne cours n’ait été donnée depuis quelques mois. Je n’avais eu que très peu d’échos de mon prédécesseur, seulement que l’année dernière n’avait pas été la période la plus joyeuse du château. Un certain Blackman et sa bande de rigolos. Qu’importe, de toute façon, cet endroit a dû passer sous un bon coup de nettoyage avant qu’il ne redevienne assez décent pour y suivre un cours. Il était de toute manière hors de question que j’enseigne dans un bordel qui ne soit pas le mien.

Je m’allume une cigarette, j’ai encore largement le temps. Plus ils montaient en âge, moins ils arrivaient en avance. Quelques résistants persistent à venir beaucoup plus tôt, mais je ne m’en occupe pas. Ils poireautent jusqu’à l’heure prévue. Ils comprennent en général assez vite que ce n’est pas la peine d’anticipe l’heure avec moi. La fumée se laisse emporter par la brise ambiante. Il n’y a pas trop de vent ni de nuages ce soir, je vais pouvoir en faire profiter les élèves.

Le silence est profitable. C’est apaisant. Avant la tempête.

Avant d’affronter les élèves de deuxième année, j’avais eu un rapide briefing de la part de certains collègues. J’aime bien savoir où j’atterris et sur qui je commence à m’acharner. Allez savoir, je me doutais que l’on me raconte un tas d’histoires farfelues au sujet de cette promotion, comme une sorte de bizutage gentillet. Il m’en faut bien plus que ça, moi la tête dure, pour me faire peur. Mais est-ce qu’il y a une part de vérité dans tout ce que j’ai entendu, je vais vite le savoir.

Une fois mon mégot écrasé dans un mon cendrier favori et mis à l’abri de tout regard d’adolescent trop curieux, je dispose trois télescopes. Un pointé Sud-Ouest, un Nord Est, et un dernier Nord-Ouest. Ce soir, les trois groupes devraient avoir de quoi faire vue l’absence de nuages. On voit que le présent a déjà posé un pied ici pour botter gentiment les fesses de l’hiver mordant. Tout le monde en avant de besoin de cette clémence. Surtout après l’exercice attentat de ce début de mois. Je serais arrivée un peu plus tôt, j’aurais pu m’amuser moi aussi. Dommage.

Le silence est profitable. C’est apaisant. Avant la tempête.

Des bruits de pas, le bavardage des élèves raisonne contre les murs des escaliers, ils ne sont pas loin. L’écho des pas qui se faufile lentement mais sûrement dans la salle, il est l’heure. C’est le moment de vérifier les rumeurs sur cette promotion. Tout est installé, tout est prêt pour les recevoir. Les deuxième année arrivent au compte-goutte, jusqu’à avoir tout le groupe. Il ne me semble pas qu’il manque qui que ce soit à vue d’œil. De toute manière, je ne fais pas cours aux retardataires. Après l’heure, ce n’est plus l’heure.

« Bonsoir à vous, je suis la professeure Collins, je vous enseignerai l’Astronomie cette année et celles à venir pendant ce premier cycle. A la fin de votre cinquième année, vous êtes au courant que vous passerez le BUSE, où une épreuve théorique et une pratique de la matière vous attendent. »

J’en vois déjà qui déglutissent, comme s’ils s’attendaient à devoir affronter la mort en personne. Je me doute que pour un deuxième année, l’examen est encore loin, comme un point à l’horizon, mais un rappel de l’objectif de cette matière est toujours bon. Surtout lorsqu’il s’agit d’une matière qui n’apportait pas de valeur au monde magique. C’est probablement pour cela que certains élèves n’ont rien à faire de l’Astronomie. Trop de données inutilisables, trop de théorie considérée comme inutile si l’on ne voulait pas s’orienter dans des études et une carrière spécialisée.

« Au terme de la cinquième année, vous serez en mesure de connaître les tenants et aboutissants de tout le système solaire avec les planètes et leurs caractéristiques, en passant par leurs satellites principaux. Pour ceux et celles qui souhaiteront aller plus loin, je ne vous spoile pas en vous disant que du contenu de haut niveau sera présenté aux sixième et septième année qui prendront l’Astronomie en option. Pour cette deuxième année, nous nous concentrerons sur Neptune. Le cours sera séparé en deux parties : l’étude de la planète bleue, et l’observation des étoiles grâce aux télescopes que vous voyez autour de vous. »

Comme je m’en doutais, des têtes en l’air remarquent tout juste le matériel en place. J’espère qu’ils savent s’en servir, je ne tiens pas à faire un remplacement des outils tous les mois.

« Bien, avant d’entamer le cours à proprement parlé, j’aimerais vois où se trouve votre niveau. Entre ce que vous avez vu avec votre professeur précédent et votre première année, qui peut me faire un résumé s’il vous plait ? Et soyez concis, je ne tiens pas à passer tout la durée du cours là-dessus. »

J’espère que je n’ai pas hérité de boulets amnésiques.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Cours d’astronomie : Neptune, la planète bleue

Les deuxièmes années

D’abord, il y avait eu le cours de sortilèges, assez agréable malgré sa baguette récalcitrante, et ensuite, il y avait eu le cours de métamorphose. Beaucoup moins plaisant. Le professeur lui laissait une impression étrange, quelque part entre la peur et le dégoût. Et à chaque fois qu’elle sortait de sa salle de classe, la boule dans son estomac se dénouait lentement. Vraiment, il y avait un problème avec ce cours, il était bien trop oppressant malgré son attachement pour la matière et son étonnante réussite.
Heureusement, Max avait pu vaquer à d’autres occupations bien moins douloureuses pour son ego afin de terminer son après-midi. Et après le repas du soir, venait le cours d’astronomie. Elle n’avait jamais été particulièrement douée dans cette matière, ni particulièrement mauvaise non plus, mais elle devait bien admettre qu’elle appréciait quand même ce qu’elle y apprenait. Enfin, de ce qu’elle en avait vu.
Montant les marches deux par deux, elle se dépêcha. Il y avait une nouvelle professeure, et certaines rumeurs de la salle commune la décrivaient avec une pointe de déception – ou de peur ? – comme une deuxième Burgess. Max avait simplement haussé les épaules et s’en était retournée à son livre ; à quoi bon faire des suppositions pareilles quand elle verrait bien par elle-même dans quelques heures. En plus, elle l’aimait bien, elle, la professeure de potions. Elle avait le mérite d'être efficace.
Quand elle arriva tout en haut de la tour d’astronomie, elle vérifia l’heure avant d’entrer. Pas en retard, pas en avance non plus – cinq minutes tout au plus. Elle s’avança près de la porte pour découvrir une femme à l’allure assez sombre, qui avait visiblement déjà préparé la pièce avant l’arrivée des élèves. Quelqu’un d’organisé, possiblement prêt à travailler immédiatement. Parfait. Max esquissa un léger sourire satisfait, et entra.

« Bonsoir. » lança-elle sans attendre de réponse, en allant s’installer dans la salle.

Elle se présenta, elle et sa matière. Pour une fois, Max ne prenait pas de notes, elle savait déjà tout ça – à l’exception du nom de leur nouvelle professeure, mais c’était maintenant chose faite.
Elle exposa aussi la ligne directrice de ses cours, jusqu’à la cinquième année et plus. L’astronomie en option… Max n’y avait jamais vraiment pensé. Elle était sûre de vouloir prendre arithmancie, mais l’astronomie, c’était une autre paire de manches… Elle secoua un peu la tête pour se concentrer sur le discours de la professeure. Ce n’était pas une réflexion à avoir maintenant.
Quand Max apprit le sujet du cours, elle afficha une moue plutôt satisfaite. Au moins, ça serait joli à regarder. Plusieurs de ses camarades levèrent la tête pour réaliser enfin les télescopes disposés dans la salle. Elle continua.
Max, les yeux bien ouverts malgré l’heure tardive, restait à l’affût.

Quelle terrible déception. Pourquoi fallait-il encore ressasser les événements de l’année dernière ? Max lâcha un imperceptible soupir agacé avant de prendre la parole, sachant pertinemment que son intervention serait probablement qualifiée d’insolente – mais elle savait également qu’elle le serait moins que celle de ses camarades. Elle jeta un œil à la fois inquiet et attentif à Sage et Jayden. Si l’enfer n’avait pas été le même pour tous, tous l’avaient vécu.
Et puis de toute façon, en quoi est-ce que parler d’une année aussi catastrophique que celle là pouvait bien lui apporter des informations sur leur niveau ? Si la classe était complètement recomposée avec des redoublants, ce n’était pas pour rien.
Max leva la tête et fronça les sourcils. Elle tentait tant bien que mal de contenir son début de colère face à cette demande qu’elle jugeait peu pertinente – voire déplacée. Elle était forcément au courant de ce qu’il s’était passé, alors elle devait bien se douter des réponses qu’elle aurait. Et puis, elle se rendrait bien compte de leur niveau au fur et à mesure des cours, ou même en posant des questions. Des vraies questions. Son ton pressant et presque impératif déplut à Max, qui leva la main avant de s’exprimer.

« Je suis sûre que le cours est super intéressant, pourrait-on le commencer plutôt ? » dit-elle avec un sourcil légèrement arqué, parfaitement calme.

Il n'y avait pas de trace de sarcasme dans sa voix, ni d'insolence, seulement le désir de passer à autre chose. Stoïque alors qu'elle guettait une réaction en redoutant celles de ces camarades, Max ne quitta pas la professeure des yeux.

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Astronomie

Jayden & la classe

« Regarde-moi cette grosse dinde qui se dandine sur place. Aucune prestance. » Murmura Jayden à Sage tout en pointant discrètement Jade du doigt.

Ils ricanèrent tous les deux tout en continuant de décrire l’allure que prenait la Poufsouffle en marchant devant eux accompagnée de ses amies. Si ces dernières étaient toutes aussi ridicules à l’exception de Madison ‒ selon Jayden ‒ c’était avant tout l’attitude de Jade qu’ils adoraient par-dessus tout commenter. Elle le leur rendait bien au quotidien donc ils pouvaient se permettre de frôler les limites de la courtoisie avec elle. Evidemment, cela ne s’était encore jamais terminé en insultes gratuites et notre Serpentard était bien trop poli pour se laisser tenter par un vocabulaire cru et familier. Jade n’en valait pas la peine.

Profitant du calme régnant au beau milieu de la soirée, il en profita pour observer doucement le décor nocturne qui s’étendait derrière les vitraux du château. Leurs pas raisonnaient sur le sol froid des escaliers qu’ils montaient sans se presser et pourtant, ils avaient fini par prendre de l’avance sur Jade et ses pions. Elles ne voulaient peut-être pas arriver trop en avance, qui sait ? En tout cas, la ponctualité, c’était quelque chose que Jayden avait toujours ancré en lui et cela ne le dérangeait pas que de poireauter dix minutes derrière une porte. Au moins, il était certain d’être irréprochable de ce côté-là.

Lorsque le nouveau professeur les autorisa enfin à entrer, il prit place à côté de son meilleur ami au premier rang. D’ici, ils avaient tous une magnifique vue sur l’extérieur et ils pouvaient constater que trois télescopes avaient été mis en place, pointant chacun une direction différente. Jayden comprit alors que l’observation constituerait la partie pratique de ce premier cours de mars. Ramenant son attention vers le professeur Collins qui venait de se présenter, il la détailla de près. Qui disait nouveau membre du personnel disait procédure d’analyse pour le deuxième année qui aimait beaucoup cerner les inconnus le plus rapidement possible. A première vue, elle semblait distante et froide et il supposa qu’il était possible que cette façade ne soit présente uniquement pour prendre ses marques dans son nouveau lieu de travail. Il avait déjà eu une bonne dose de froideur et de cynisme avec Frostwood et il espérait donc que Collins ne serait pas aussi extrémiste. Quoi qu’il en soit, force était de constater qu’elle ne perdait pas de temps et qu’elle évoquait déjà les BUSEs avant même qu’ils ne valident leurs trois examens restants avant le début des choses sérieuses. Jayden se préoccupait uniquement de l’année en cours et pour lui, les BUSEs étaient bien trop lointaines pour y penser. Il ignorait quel métier il voudrait faire plus tard et tout ce qui l’importait était d’avoir des bonnes notes pour pouvoir continuer à vivre dans cette société et dire au revoir au monde des moldus qu’il ne trouvait pas assez exceptionnel pour lui.

Le programme de cette année ne semblait donc axé que sur Neptune, ce qui désarçonna le jeune homme. Sincèrement, il avait espéré étudier bien plus qu’une planète même si elle était très intéressante et qu’il y avait sûrement plein de choses à connaître à ce sujet. Il était donc sur le point de lever la main pour lui poser la question quand il fut coupé dans son initiative par la reprise du monologue de la professeure.

« Bien, avant d’entamer le cours à proprement parlé, j’aimerais voir où se trouve votre niveau. Entre ce que vous avez vu avec votre professeur précédent et votre première année, qui peut me faire un résumé s’il vous plait ? Et soyez concis, je ne tiens pas à passer tout la durée du cours là-dessus. »

Collins n’aimait certes pas perdre son temps sur ce genre de questions mais se rendait-elle compte de l’envergure de ses interrogations ? Jayden se renfrogna, fronça des sourcils et croisa les bras. Il trouvait cette dame bien indélicate de lui rappeler son séjour passé aux cachots et il se doutait bien qu’il ne serait pas le seul dans cette classe à se sentir touché par ces réminiscences. Maxine fut la première à répondre et comme il s’y attendait, elle fit preuve de suffisamment de calme pour tenter de recentrer le sujet sur le plus important : le cours. Il saluait son intervention et il la jugea bien plus utile que la fin du discours de Collins. Toutefois, Jayden ne comptait pas laisser cette professeure impunie. Elle devait savoir que de telles erreurs pouvaient avoir des impacts et qu’il fallait donc qu’elle réfléchisse un peu plus avant de poser ce genre de questions déplacées. Il la fixa du regard, ne craignant pas la froideur qu’elle dégageait. Après tout, la froideur, c’était l’un de ses propres traits de personnalité et l’iceberg qui lui faisait face ne le faisait même pas frissonner.

Levant finalement la main, il attendit d’avoir l’autorisation avant de prendre la parole en prenant un ton aussi calme que son amie.

« Vous souhaitez un résumé, professeur ? Pour moi et la plupart de mes camarades, l’année précédente s’est faite dans les cachots. On nous a appris à récurer les toilettes, à faire les sols, à être au service d’autres élèves et à nous laisser faire lorsque nous devions subir des châtiments corporels. Je pense que l’idée de Maxine est donc plus pertinente, vous ne trouvez pas ? »

Il ne put s’empêcher de froncer légèrement des sourcils à nouveau sans quitter l’enseignante des yeux. Plus que jamais, il désirait commencer ce cours et mettre de côté tout ce qui se rapportait à l’année dernière.

by FRIMELDA

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Cours d'Astronomie

ft. les deuxièmes années

Astronomie… Ce n’est pas vraiment mon cours préféré, mais cela reste une occasion en or pour traîner tard le soir. C’est le seul moment où l’on a le droit de se trouver en dehors du dortoir de nuit, ça a un charme particulier. La promenade, pas le cours entendons nous bien. J’entraîne Jade, Madison et Shynagh à ma suite dans le couloir, direction les tours : « franchement, j’aime bien regarder les étoiles et tout, mais je préfèrerai le faire depuis un plaid dans le parc… Ou sinon quitte à se promener la nuit, on pourrait faire un tour dans les salles abandonnées ou mieux encore, sur le balcon du monde c’est trop cool là-bas ! » . Mais malheureusement, ce petit détour nous vaudrait sûrement une retenue et quelques points en moins, et ce n’était pas trop dans mes plans. Je n’ai pas envie de décevoir Milo ou d’avoir une trop grande part de responsabilité si on vient à perdre la coupe des quatre maisons. « J’espère que la nouvelle prof sera sympa. » dis-je plein de doutes dans la voix. J’ai eu beau écouter les bruits de couloir, je n’ai pas entendu trop d’écho à ce sujet. Surprise surprise.

J’arrive enfin en haut des tours et m’engouffre dans la salle, Maxine est déjà là et je la salue d’un petit signe de la main, la place à côté d’elle est libre et je m’y installe. J’espère que Jade se mettra avec Madison ou Shynnagh, avec un peu de chance, cela lui évitera de faire avaler un téléscope à Jayden. Sage se trouve à côté de lui et je lui fais un vague signe de tête. Je sors mes affaires et en profite pour détailler la professeure qui se présente. Madame Collins n’a pas l’air de plaisanter. Et évidemment, elle ne peut pas s’empêcher d’évoquer les BUSEs : je me demande si c’est codé dans l’ADN des profs, de nous le rappeler dès la première année jusqu’à la cinquième. Au moins comme ça on ne risque pas d’oublier. Quoi que, ce n’est pas comme si le cours de l’année dernière m’avait particulièrement marqué. Après tout, l’astronomie, ce n’est pas une option que je convoite.

Cette année, nous allons donc nous faner Neptune, et bien ma foi, allons-y puisqu’il le faut. Je me prépare à prendre des notes quand Mme Collins pause la fâcheuse question qu’avez-vous vu l’année dernière. J’essaye de me remémorer péniblement l’affaire quand Maxine et Jayden soulignent un point essentiel : ce cours d’astronomie, tout le monde n’a pas eu la chance d’y participer. Du coup je me sens d’autant plus miteuse de n’en garder qu’un souvenir flou. Ne sachant que répondre, je passe mon tour, espérant que la professeure saisisse l’occasion de passer au vif du sujet…

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