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Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack]
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Message(#) Sujet: Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] EmptyLun 19 Mar - 15:15

Inspiration commune, plume partagée
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Brooke / Jack
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Mars 2024


Ma plume frétillait, mes yeux étincelaient.

Nous étions aux portes du printemps, et la neige avait lâché ses crocs pour disparaître jusqu’à l’an prochain. Les cours se déroulaient de plus en plus détendus, et l’on pouvait sentir comme un relâchement dans tout le château. Toute reprenait vie, couleur et sourire à l’annonce du printemps. Je ne connaissais pas l’émulsion que cela procurait, et avais hâte de voir ce que le parc allait devenir. Mais il n’y avait pas que l’extérieur qui changeait. Les couloirs ne paraissaient plus mornes, même si quelque peu marqués par l’exercice attentat de ce début de mois. Il était difficile de mesurer le degré de traumatisme que tout le monde avait subi, y compris le château en lui-même. Des bruits circulaient à la suite de cet évènement. Le directeur Londubat avait-il bien fait de s’y prendre de la sorte pour nous préparer ? Beaucoup de questions tournaient encore autour de cette tragique comédie, et peu de réponses éclairaient nos lanternes. Je me doutais que le parfum des fleurs qui éclosent allaient soudoyer la crainte de l’après pour faire place au soulagement du présent.

Ma plume frétillait, mes yeux étincelaient.

Après avoir passé ma journée dehors, à surveiller la bonne santé des plantes de loin, à marcher au rythme des premiers chants d’oiseaux, à flâner sur un banc avec pour douce mélodie la légère brise restante de fin d’hiver, le dîner ne fut que plus profitable. L’air frais donnait faim, je pus le constater en dévorant ma soupe avec appétit. Avec tout ce que j’avais vu, senti, touché aujourd’hui, je sentais l’inspiration fleurie et prête à être couchée sur le papier. J’avais une hâte, pouvoir écrire une fois rentré dans la Salle Commune.

Quelques minutes après la fin de mon repas, après avoir longé les murs des couloirs et escaliers pour me rendre au sous-sol menant à notre Salle Commune, j’étais parfaitement calé dans un grand fauteuil rembourré, plume à la main. J’avais des idées qui volaient comme un match de Quidditch endiablé, restait à les ordonner pour que mon histoire ne tombe pas en incohérence. Il s’agissait du travail le plus difficile. Quand j’écrivais, avoir des idées était aisé. Improvisé semblait commun. Mettre en ordre et trier le bon du mauvais, en voilà un exercice d’écriture qui ne me plaisait pas. J’étais prêt à écrire sans filtre, ne rien laisser bloquer, ouvrir les vannes de l’imagination. Mais dans ces cas-là, mes écrits ne voulaient jamais dire quoi que ce soit. Un chaos littéraire, bon à jeter. Il était temps de s’y mettre, que mon imagination coule à flot, que ma joie demeure.

Ma plume frétillait, mes yeux étincelaient.

L’encre formait des lettres. Les lettres formaient des mots. Les mots formaient des phrases. Et les phrases dansaient pour former une histoire.


Par-delà les terres, par-delà les océans, se trouve un royaume. Une terre absente de toutes les cartes possibles, aussi grande que l’on peut s’imaginer, aussi intimiste que l’on peut espérer. La paix régnait, les habitants s’y sentaient bien. Rien ne pouvait présager un quelconque malheur.

Mis à part la Tempête.

Personne ne la vit venir. Elle avait pris sa source dans les contrées oubliées d’une terre voisine. Un simple battement d’ailes inconsidéré d’un oiseau au détour d’une branche, et les conséquences furent terribles. L’orage grondait, le vent se levait et l’on pouvait sentir une lourde pression sur les épaule de quiconque sortait. Personne n’était préparé à affronter un chaos pareil. L’ennemi n’était pas à leur porte, il se trouvait partout au-dessus d’eux. Parmi les nuages gonflés et chargés. Parmi le vent menaçant. Dans le silence qui régnait quelques minutes avant le Drame. Ce silence qui ne présageait rien de bon.

De la plus haute tour, on pouvait discerner la charge au loin. Combien de temps allaient-ils être encore tranquilles ? Quelle serait la puissance de chaque vague de tonnerre ? Qui sera le plus meurtrier entre le vent ou la pluie ? Personne n’était prêt. Personne ne savait comment faire face à la situation.

Jack, le forgeron, de la fenêtre de son atelier, voyait au loin la Tempête arriver. Quelques secondes s’écoulèrent alors qu’il scrutait ce qui allait charger dans leur direction. Seul son four crépitait et cassait ce silence mortellement lourd. Il fallait intervenir, prévenir, sécuriser. Mais comment ? Comment allait-il s’y prendre pour tout ce monde innocent ? C’était une question plus qu’essentiel, si seulement il av…


Mes yeux s’étaient fermés. Dans le fauteuil rembourré, sans avoir la notion de l’heure qu’il était, je m’étais abandonné dans les bras de Morphée.

Le lendemain matin, mon réveil fut celui de mon chat, Sand. Une patte sur le nez, et un miaulement doux au-dessus de mes yeux, ce dernier devait avoir faim pour venir me réclamer à manger jusque dans… Un fauteuil ? Je ne me souvenais même plus de la raison pour laquelle je n’étais pas monté me coucher. Qu’importait, mon estomac me rappela mes ordres de priorités. Une légère toilette, et je filai vers la Grande Salle, en quête de quoi me tenir la panse à moi ainsi qu’à mon chat. Je quittai la Salle Commune innocemment, sans me soucier de ce que j’avais oublié.

A terre, derrière le fauteuil rembourré près de la cheminée, un parchemin gisait, inachevé.



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Message(#) Sujet: Re: Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] EmptySam 14 Avr - 14:58




Inspiration commune, plume partagée

Avec Jack J. Jensen




Brooke avait monopolisé son lit toute la journée. N'étant pas d'humeur à bouger, elle voulait juste avoir la paix. Même le sport ne lui tentait pas. Non juste le besoin de ne rien faire et surtout de ne voir personne. La seule chose qu'elle faisait c'était écrire, écrire encore et toujours dans son journal. Elle avait besoin de mettre par écrit ses sentiments. L'écriture, voilà quelque chose qu'elle aimait au même titre que la lecture et le sport. Exprimer des sentiments à partir des mots, se défouler complètement le corps car on a trop d'énergie pour le sport, trop d'énervement... énervement qu'on ne montre pas, la lecture jouait aussi beaucoup afin de l'apaisait. Tel était son cas. Parfois, elle se sentait incomprise. Pas qu'elle était bavarde au point de dévoilé ses sentiments les plus intimes. Non, c'est même le contraire. Mais justement, à force de tout garder pour soit, ces sentiments s'accumulent au point d'être nerveux et stresser à longueur de journée. Alors, Brooke écrivait car c'est-ce qu'elle faisait de mieux. Il lui arrivait de relire ses anciens journaux mais quand elle se relisait elle ne se sentait pas bien. Ce n'était pas encore le moment de les lire. Elle attendrait le bon moment pour ça. En attendant, rien de mieux que de ne rien faire de ses journées sans rien ni personne pour lui dicter ses actions. Oui, ça, c'était le bonheur. Le seul moment ou Brooke quittait sa chambre c'était pour aller manger. Ah ça, c'est sûr, elle n'allait pas mourir de faim.

Ce n'est qu'au soir, après le repas, qu'elle trouva un parchemin derrière le fauteuil près de la cheminée. Si sur le coup, elle pensait retourner directement dans sa chambre, la curiosité vînt et elle ne put s'empêcher de s'abaisser pour ramasser ce fameux parchemin. Cependant, elle ne l'ouvrit pas tout de suite et attendit d'être dans son dortoir bien au calme avant de le lire.

L'adolescente fut surprise d'y lire une histoire. " C'est pas trop mal, ça mérite d'être exploiter." C'est donc sur un coup de tête qu'elle décida de continuer le récit.



" … C’était une question plus qu’essentiel, si seulement il avait les moyens d'empêcher ça. Alors, tout le monde pourrait se mettre à l'abri de cette fameuse tempête qui menaçait les gens de son entourage. Mais par-dessus tout, qui croira un simple forgeron? Son regard resta un long moment vers l'extérieur où la tempête continua son chemin petit à petit vers le royaume. Comment prévenir les autres ? Sa parole ne suffira pas car les gens veulent des preuves avant d'agir. Les gens veulent croire qu'ils peuvent tout contrôler. Or, ce n'est pas le cas. On ne peut pas contrôler la nature mais juste s'en accomoder.

****

Dans le même royaume, une ombre attendit qu'un jeune homme descendit les escaliers pour agir. Elle se glissa à l'intérieur d'une chambre qui n'était même pas fermer à clé. Depuis le lit, se trouvait un homme qui faisait du bruit avec ses ronflements sonores. Pendant un bref instant, la silhouette se demanda de quoi cet homme rêvait. D'une femme, peut-être? Ou bien de son argent? Cela n'étonna même pas l'ombre qui était de passage ce soir là. Elle se dirigea vers une armoire et ouvrit délicatement mais avec assurance celle-ci pour voler quelques papiers qu'elle ne regarda pas, sachant ce que ça contenait. Après avoir fermé correctement l'armoire, elle s'enveloppa dans un manteau, regarda encore une seconde l'homme endormi, ouvrit la fenêtre et disparu.

La Terre du Soleil, voilà comment s'appelait cette ville. De nuit, on avait l'impression qu'elle était encore plus grande que de jour. La silhouette rasait les murs pour se déplacer restant toujours dans l'ombre afin de ne pas se faire prendre. Elle était épuisée. Peut-être par le travail de la nuit? Par la solitude? Par le fait qu'elle devait s'en cesse bouger, changer de lieu, afin brouiller les pistes de son passage? Par l'errance? Dans une auberge, elle finit par s'endormir, dans les bras de Morphée.

Le lendemain matin la nouvelle fut répandu. Un cambriolage eu lieu. Mais cela, était des nouvelles courantes dans le royaume. Cela arrivait souvent aux riches. Rien de nouveau dans les environs. Comme à chaque fois, les recherchent ne menèrent à rien. L'ombre resta une ombre, comme à chaque vol causer.


**** "

Brooke arrêta d'écrire. Elle ne savait pas si elle avait gardé le même style d'écriture. En tout cas, elle avait essayé de l'imiter afin que ce soit crédible. Elle se relit mais n'était pas très satisfaite du résultat. Cependant, elle n'avait plus envie d'écrire. Elle n'avait fait e ça toute la journée. Elle souffla discrètement, plia le parchemin et le mit sous son oreiller. Comme d'habitude, elle n'aimait pas beaucoup que les autres lisaient ce qu'elle écrivait. Elle se mit à lire encore trente minutes son livre et s'endormi, elle aussi. Le lendemain matin elle s'était levée tôt. L'adolescente était même dans les premiers laver et habiller. Dans la salle commune des Serpentard, elle regarda un endroit bien précis. Le fauteuil près de la cheminée, plus précisément. C'est juste à ce moment-là, qu'une idée lui vint tête. La jeune fille retourna dans son dortoir pour y prendre le parchemin et descendre avec. De retour dans la salle commune, elle le déposa exactement au même endroit qu'elle l'avait trouver et quitta l'endroit pour aller manger.

Brooke n'aimait pas qu'on lise ce qu'elle écrivait, c'était un fait. Cependant, comme l'idée de base n'était pas de elle, ne voulant pas avoir de problème avec l'autre personne, Brooke avait décidé de remettre le parchemin à sa place. Pourtant, elle était consciente que ce ne sera peut-être pas la même personne qui va découvrir la suite de cette histoire alors qu'au fond d'elle, elle espérait que ce soit le cas sans aucune raison. Juste, comme ça. Peut-être que personne ne le verra, qu'on le lira et qu'on le brûlera. C'était un risque. Pas un grand car il n'y avait pas de nom. Juste deux écritures différentes. Qui connaissait son écriture ? Les professeurs, Lucie. Qui d'autres ? Pourquoi cela lui gênait qu'on découvre ce qu'elle avait écrit ? Au final, Brooke décida de ne pas trop y réfléchir pour l'instant.




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Message(#) Sujet: Re: Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] Inspiration commune, plume partagée [Brooke / Jack] EmptyLun 16 Avr - 10:44

Inspiration commune, plume partagée
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Brooke / Jack
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Mars 2024


C’était souvent pendant les repas que je repensais à tout ce que j’avais fait et tout ce que j’allais faire.

Dans la Grande Salle, petit déjeuner copieux, voilà une nuit que quelque chose me trottait dans la tête, sans pouvoir mettre le doigt dessus. Cette impression que j’avais oublié quelque chose, que j’étais passé à côté de quelque chose d’important. Comme la fois où je m’étais réveillé dans le fauteuil de la Salle Commune. Cela m’arrivait très peu souvent, voire rarement. Et jusqu’alors, impossible de savoir exactement ce que je faisais dans ce fauteuil rembourré au confort généreux. Avec la semaine que j’avais passée avant, il s’agissait probablement d’un excès de fatigue physique qui m’avait emporté. Mais je restais rarement dans ce fauteuil sans raison. Qu’est-ce que je pouvais bien y faire ? Pour le moment, le petit déjeuner fumait devant moi et il était hors de question de le laisser refroidir. Je détestais manger des œufs brouillés froids. Hilary n’était pas là ce matin, nous avions l’habitude de manger le matin ensemble, surtout le dimanche. Mais pas aujourd’hui. J’étais donc seul avec mon assiette et mon livre de notes. Ce livre qui recensait toutes mes pensées, liées au cours ou non. Ce livre que dont je ne me séparais presque jamais. Le feuilleter m’apaisait, que ce soit en écoutant le bruit des pages défiler, ou même de voir les écritures plus ou moins disparates en fonction des matières ou de l’heure qu’il était. J’appréciais revenir sur ce que j’avais écrit, cela me permettait de prendre du recul le plus souvent sur moi-même. Comment me sentais-je à ce moment-là ? Qu’est-ce qu’il s’était passé dans ma tête pour écrire tout cela ? Toutes ces questions sous forme de bilan personnel volaient au fur et à mesure que mon assiette se vidait. Ce fut une fois mon estomac rempli que je me motivai à sortir, rien que pour digérer un peu de ce petit déjeuner dominical et copieux.

Le ciel était dégagé, mais le froid régnait encore un peu, comme pour ne pas oublier la griffe hivernale qui nous avait touchés. Mon écharpe restait ma meilleure alliée, mais le vent sifflait encore dans mes oreilles. Dans ma tête, je pouvais déjà imaginer une histoire avec une tempête, un cyclone, et tout ce qui s’en suivait. Une tempête, en voilà un thème qui…

Un éclair. Une lueur. Une étincelle. Comme la foudre qui frapperait mes neurones, mes souvenirs s’entrechoquèrent.

Je venais de me souvenir ce pourquoi je m’étais assoupi dans la Salle Commune ce soir-là. J’écrivais une histoire, inspiré par ma semaine et ma plume. Mais je n’étais pas remonté avec un quelconque parchemin, cela signifiait donc qu’il était encore là-bas. Mais avec tout ce temps passé, quelqu’un avait dû le voir, c’était forcé. Rien que d’imaginer quelqu’un qui puisse lire une histoire non terminée, non signée, que quelqu’un s’approprie mon travail, non. Je n’étais pas serein du tout. Je fis de suite demi-tour et me dirigeai d’un pas plus que décidé vers les sous-sols. Je commençais à connaître le chemin par cœur, mais les couloirs semblaient défiler sans fin, comme un couloir de cauchemar. La distance me paraissait anormalement longue, angoissé par ce petit quelque chose de ridicule. Que quelqu’un m’attende dans la Salle, parchemin à la main, prêt à se moquer de moi. Comme revivre des scènes de ma vie passée qui m’avaient traumatisé. J’avais vécu ce genre de chose à l’école, à Lucan. Quand un de mes camarades était tombé sur mes histoires, et qu’il s’était monté un plan pour me ridiculiser devant tout le monde. Bien évidemment, toute cette machinerie avait fonctionné. C’était ce genre de souvenir qui me hantait encore certaines nuits. J’hésitais souvent encore à aller voir Avril, la psychologue de l’école, pour lui en parler. Nous avions partagé un moment ensemble, mais étais-je assez en confiance pour lui ouvrir mes craintes ? Probablement pas, non. Mais le temps pouvait me faire changer d’avis.

Toujours était-il que j’avais réussi à atteindre la Salle Commune, à moitié essoufflé et angoissé. Mon regard se jeta de suite sur le fauteuil concerné, le regard paniqué à la recherche d’un bout de parchemin. Et il était là, dans une position probablement similaire à mes souvenirs, m’attendant les bras tendus. Je me ruai sur ce bout de papier qui avait occupé mon esprit durant ces deux jours. Mais il était bien là, entre mes mains.

Mais quelque chose avait changé. Je n’avais pas été le seul à écrire, impossible. Je ne reconnaissais pas mon écriture, même si le style s’en approchait. Quelqu’un était donc tombé sur mon histoire pour la continuer. Quelqu’un de Serpentard dans la plus grande des hypothèses, pour sûr. Mais qui ? Qui aurait eu l’idée de continuer une de mes histoires ? Je me penchai sur le contenu plus qu’autre chose, afin de savoir si la suite collait avec mon inspiration. Et c’était bien le cas. Le contexte historique, l’ambiance, tout collait quasi parfaitement, ce qui fut probablement le plus déconcertant. Cette histoire parallèle de cambriolage dans le même monde, cela pouvait tout à fait avoir un rapport avec la Tempête. Mais quelque chose trottinait dans ma tête ce qui bloquait totalement mon inspiration pour continuer ce parchemin. L’identité de l’écrivain. Ou l’écrivaine bien sûr. Ma mission était belle est bien lancée. J’allais attendre dans la Salle que la personne vienne à ma rencontre. Cette recherche allait peut être se solder par un échec, très probablement même, mais je me devais d’essayer. Alors je pris de quoi me nourrir pour les prochaines heures, de quoi m’occuper, et m’attelai à ma tâche.

Surveiller les allers venus de la Salle, dans l’espoir que la personne se reconnaisse. Me reconnaisse. Reconnaisse le parchemin.



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