♦ S'il (elle) devait choisir une seule matière ce serait laquelle ? : Le vol, sans hésiter ! Elle adore se sentir libre, et sur un balai, c'est la première sensation qu'elle ressent, et cela lui plaît énormément !

♦ S'il (elle) s'approchait d'un chaudron d'Amortentia, il (elle) sentirait quoi ? :

De la cannelle, car elle adore cette odeur, elle ne sait d'ailleurs pas vraiment pourquoi, l'odeur des pop corns et d'une pizza au fromage. Au cas où vous ne l'aviez pas compris, Alex adore manger !


♦ C'était comment avant Poudlard ?: (10 lignes minimum)

Avant Poudlard, elle ne respirait simplement plus. Elle est née dans une famille de Sang-Pur. Pas de ces familles qu'elle appellera plus tard, quand elle sera en âge de comprendre le monde "les Sang-Pur' de la nouvelle génération. Non ... elle, elle vivait dans une famille de Sang-Pur de la dernière génération. Pas de place pour les moldus ici, elle avait été élevée dans l'idée qu'ils étaient une maladie qu'il ne fallait pas approcher. Les Sang-Mêlé, eux, avaient été caractérisés de " mauvaise fréquentation". Ses parents étaient assez riches pour lui offrir monts et merveilles mais très tôt, elle avait développée une certaine attirance pour le risque et la liberté, ce qui l'avait conduit à sortir plus d'une fois en douce de son manoir, et à rencontrer Amy, la fille Sang-Mêlé de leur plus proche voisin - qui se trouvait quand même assez loin de la demeure d'Alex mais qu'importait. Grâce à Amy, elle s'est faite sa propre idée de la vie, de ses habitants, et autant dire qu'elle finit par détester ses parents, à tel point que l'arrivée de la lettre arriva à point nommé. La jeune fille fut soulagée de pouvoir échapper à l'éducation stricte et vénératrice de Voldemort pour une nouvelle existence qui s'avérait bien plus belle et prometteuse.

♦ Et une fois qu'il (elle) en sera sorti(e), il (elle) fera quoi ? : (5 lignes minimum)

Étonnamment, Alex voudrait travailler dans le monde moldu. Bien sûr, en arrivant à Poudlard, elle ne savait pas encore ce qu'elle voulait faire. Mais à force de rencontres de gens d'origine moldu, elle avait découvert le théâtre, la musique et la danse, et elle avait adoré ça, à tel point qu'elle comptait en faire son métier. Poudlard ne lui servait donc plus à rien lui diriez-vous ? Mais son second rêve, parce qu'il en faut toujours un de secours, n'est-ce pas, était de devenir reporter pour la Gazette. Partir en exploration, ça avait toujours été son truc!

♦ Père: (3lignes minimum)

Philipp Cooper. Rien que son nom l'irritait. Comme le nom de sa mère en fait, mais c'est plus bas, ça. Son père était le membre fantôme de la famille. Celui qu'elle ne voyait pratiquement pas et à qui elle parlait encore moins. Elle ne l'aimait pas, elle l'ennuyait, la seule chose qu'il avait fait, selon Alex, c'était d'avoir mis enceinte sa mère, et qu'il s'était senti obligé de l'épouser pour ne pas faire honte à sa famille. C'est comme cela, en tout cas, qu'Alex voit les choses depuis qu'elle a l'âge de ne plus vénérer son père.

♦ Mère: (3lignes minimum)

Miranda Cooper. Elle la déteste aussi, mais pour d'autres raisons. C'est cette femme qui lui a menti sur ce qu'était le monde, c'est à cause d'elle qu'elle a vécu nombre de désillusions. Et pas des moindres. Cette femme, qui approche dangereusement de la cinquantaine n'a jamais voulu affronter sa fille, la trouvant plus prometteuse qu'elle même ne l'avait été. Elle la traite donc comme sa fille, mais comme une fille qu'elle n'a jamais voulu, sans lui apporter de réelle attention, sauf quand il s'agissait de lui crier dessus. Ce qui chagrine énormément Alex, c'est leur extrême ressemblance.

♦ Frère(s) et soeur(s): (si oui 3lignes minimum)

Alex a un grand frère, d'un an de plus qu'elle. Joshua. Il est son seul soutien au sein de sa famille. Grâce à lui, elle arrive à prendre à la rigolade le moindre excès de colère de son père, les rares fois où il est présent au dîner. Ils se ressemblent moralement comme deux gouttes d'eau, mais physiquement, ils sont le jour et la nuit. Josh est blond, la peau très pâle, assez grand. Tout son contraire, en somme, à part l'immense sourire qui illumine son visage à la plus petite occasion.