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Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn
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Message(#) Sujet: Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn EmptyDim 28 Jan - 22:53

Un geste de travers avec sa baguette magique et une catastrophe est si vite arrivée, la petite sorcière aux longs cheveux blonds peut en témoigner. Le souvenir du bazar qu’elle a involontairement causé dans l’animalerie et d’un animal agressif momentanément en liberté, est encore vif dans son esprit. Comment oublier en empoignant presque tous les jours l’objet du délit et en croisant régulièrement le seul témoin qui connaît la vérité véritable au sujet de l’histoire ? Non, décidément, la fillette n’est pas prête de ranger dans sa tête une bonne fois pour toute la fameuse scène où elle a eu l’ingénieuse idée de profiter de l’éloignement de son père avec le commerçant pour observer sa baguette plus en détails et quand elle l’a faîte glissé entre ses dix petits doigts fins, provoquant par la même occasion un mini-tourbillon à l’intérieur de la boutique. C’était assez spectaculaire, surtout pour une gamine pas du tout habituée à des manifestations de magie, même si sur l’instant elle s’est décomposée sur place plus qu’elle ne s’est émerveillée devant les caisses renversées et les cages ouvertes. Vraiment, elle le promet, ce n’était pas fait exprès. C’est malheureusement souvent le cas avec son morceau de bois capricieux, il y a un résultat quand elle n’en veut pas. Fort heureusement, pas de conséquences aussi dramatiques que sur le Chemin de Traverse aujourd’hui. Sa baguette est motivée à l’embêter mais ne dispose pas de suffisamment d’imagination. Enfin, Gipsy ne se plaindra pas du total manque d’originalité de sa baguette, courir d’un étage à un autre derrière ses parchemins de cours lui suffit amplement. Pourtant, ce n’est pas nouveau qu’elle doit faire preuve de précision avec mais elle s’est quand même faîte avoir. Comme une bleue. Ce qu’elle est dans le fond, ce ne sont pas quatre petits mois de cours qui ont transformé la novice qu’elle était à son arrivée. Elle l’est toujours et risque de le rester longtemps si sa baguette la mène par le bout du nez. La honte ! Parce que oui, en plus, il y avait des gens de sa classe à côté quand cela s’est produit. Vraiment, c’est trop naze et elle va passer pour LA cancre de la classe. Et si on parlait derrière son dos en ce moment même ? Bien sûr, Gipsy n’est pas restée pour écouter les potentiels commentaires. Elle n’a pas suivi et écrit sérieusement le cours pendant deux heures pour laisser le fin mot de l’histoire à sa baguette. Elle pourrait tirer une croix sur l’idée de s’imposer un jour si elle le faisait. A la place, la Poufsouffle s’est lancée dans une course poursuite épuisante. Elle souffle un coup après avoir gravit les escaliers deux par deux. Si les escaliers n’étaient pas magiques comme à peu près tout dans ce château, elle n’aurait pas perdu de vue les parchemins qui ont dû se cacher dans une salle à tout les coups, reste à savoir laquelle et il y en malheureusement beaucoup. La réaction la plus courante et la plus logique face à cette injustice serait de jeter contre un mur ou sur le sol directement, l’objet à l’origine de son problème mais faut croire que Gipsy ne fait pas les choses comme les autres. « Espèce d’idiote, va ! Oui c’est à toi que je parle, imbécile ! » s’adressa t-elle à sa baguette tout en la secouant. « Et j’ai bien dis idiooooote, car c’est ce que t’es ! J’vais te recycler en cure-dent si ça continue... » On lui a dit de communiquer avec sa baguette alors elle communique, même si il y a fort à parier que ce n’est pas exactement la façon attendue. On ne lui a pas fournit de mode d’emploi de toute façon et c’est bien dommage d’ailleurs, elle en aurait bien besoin.

Bon, d’accord, crier en plein milieu d’un couloir c’est franchement pas une bonne idée mais ça a au moins eu le mérite de la détendre. Rien qu’un peu. Et de la remotiver pour chercher ses parchemins parce que si elle reste sur place, une personne alertée par son intervention pourrait la trouver et lui faire passer l’envie de s’énerver juste à côté de la salle de Sortilèges. Mauvais calcul, n’est-il pas ? Ni une, ni deux, Gipsy reprend son enquête et se retrouve devant les salles inutilisées parce que toutes les autres sont fermées. Techniquement, ses notes de cours ne traversent pas les portes, par contre il se pourrait qu’elles se faufilent. Elle préfère ne pas songer à cette éventualité car ça voudrait dire que son champs de recherche augmente et clairement, elle s’en passerait bien. Elle rentre dans celle à sa droite, la plus proche. Vide. Pas d’élèves et à priori, pas de parchemins non plus. La petite fille prend son temps et vérifie au plafond, dans les coins et pousse quelques tables. Ce n’est pas la joie, elle ne trouve pas. Peut-être dans la suivante ? Elle traîne des pieds, fatiguée par la partie de cache-cache. Sa baguette ne perd rien pour attendre. La deuxième salle n’est pas vide. La première chose qu’elle remarque, c’est la présence d’un garçon plus âgé et concentrer sur un truc qu’elle ne perçoit pas très bien de sa place. Elle ne veut déranger personne, elle s’apprête aussitôt à revenir en arrière quand tout d’un coup elle les aperçoit : ses parchemins. Ils volent un peu au-dessus d’elle et quand elle saute pour les attraper, ils prennent eux aussi de la hauteur pour ensuite revenir la narguer. Ils ont le sens de l’humour, elle perd patience. « Roooooooooooh ! Arrêtez bande de vilains ! » lâche t-elle, perturbant le silence dans la pièce. La fillette ne voulait vraiment pas déranger, hein, mais c’est sorti tout seul... « Eeeeeuh... Pardon ! » s’empresse t-elle de rajouter. « J’fais vite. » Ou pas, car ils n’ont pas l’air d’être pressé de redescendre. « Vas-y, répare c’que t’as fais ! » elle chuchote et agite sa baguette mais rien. A croire qu’on lui en a vendu une qui déconne. « S’teeeeu-plaît... » Elle a un peu honte de l’admettre mais elle est désespérée d’obtenir une réponse favorable, là. Cette fois, elle va le dire à son père dans une lettre et il fera son possible pour aller voir le vendeur de baguettes et exiger des informations parce que ça commence à bien faire.


Dernière édition par Gipsy S. Fletcher le Lun 5 Fév - 14:25, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn EmptySam 3 Fév - 21:43


❝ Les oiseaux de papier ❞Gipsy & Brooklyn

Trouver un moment de libre pour sculpter, ce n’est pas très difficile, j’ai quelques heures d’études entre mes cours et sinon j’ai le we ou les soirs avant de retourner dans notre salle commune, avant le couvre-feu. Ce qui devient un peu plus délicat c’est de trouver un endroit pour être tranquille. Je peux abandonner l’idée de mon dortoir, mes camarades font sans cesse des aller-retours pour venir chercher un truc, se poser ou papoter, ce qui a le don de me taper sur les nerfs. Il y a trop de monde en général dans la salle commune ou dans la Grande Salle. Il fait encore trop froid actuellement pour s’isoler dehors et les autres salles sont souvent prises, soit par des cours, soit par des gens qui y squattent. J’ai élu domicile depuis quelques jours dans l’une des salles abandonnées. Il y a des jours où c’est la croix et la bannière pour trouver une disponible, mais depuis le retour des vacances j’ai pas mal de chance, à croire que les gens commencent à réviser les BUSEs ou les ASPICs ou alors ils sont occupés à autre chose. Quoi qu’il arrive ça arrange mes affaires alors je ne vais pas me plaindre. Puisque je suis coincé dans ce château jusqu’aux prochaines vacances autant que je m’occupe en faisant des choses que j’aime. Les entraînements de Quidditch me prennent un peu de temps, même si c’est pas toujours le pied. Voir la tronche de l’ex de ma soeur ne m’enchante pas des masses mais j’ai au moins la satisfaction de me dire qu’elle a enfin tourner la page avec ce loser et qu’elle est passée à autre chose. Je me doute bien qu’elle doit encore penser à lui, elle a le don de croire un peu trop en les gens et d’être un peu faible, mais bon, ça finira par lui passer et elle se rendra compte qu’il n’en valait vraiment pas la peine. Je ne suis pas trop passionné par mes études même s’il va falloir que je m’y remette dedans si je veux pouvoir valider mon année. Ce n’est pas que je n’aspire pas à refaire une nouvelle 4ème année mais je pense que 2 c’est déjà suffisant, on ne va pas abuser non plus. Et puis l’idée c’est de me barrer au plus vite de cette école, non ? Redoubler ne fera que me faire rester une année supplémentaire dans cette école, déjà qu’à cause de Blackman c’est le cas et ça me saoule suffisamment, on ne va pas en rajouter une couche.

Bref, tout ça pour dire qu’en dehors de quelques devoirs sur lesquels je planche sans grand plaisir et des entraînements de Quidditch, j’ai trouvé à m’occuper du mieux que je le peux pour oublier que je suis coincé ici. Et la sculpture est un moyen plutôt agréable de faire passer le temps. Je peux m’isoler de mes camarades, pratiquer une activité artistique qui me plait vraiment, enlever mes gants sans crainte d’une vision et c’est aussi un moment où je peux me retrouver avec Agamemnon et j’avoue que j’apprécie. Je n’ai jamais été très attiré par les animaux. Je n’ai rien contre mais je n’ai jamais vraiment aspiré à en avoir un à moi. Agamemnon est plutôt un coup du hasard et je dois avouer que c’est plutôt une chance qu’on se soient trouvés. Aujourd’hui, nous faisons notre petite session privée dans la deuxième salle abandonnée quand on arrive des escaliers. Je me suis dit qu’ici, personne ne viendrait nous trouver et nous allions passer un bon moment. Quel naïf je fais parfois. Ma tranquillité n’aura duré qu’une petite heure, avant qu’une petite instruse vienne déranger ma quiétude. J'ai pour habitude de ne pas réagir aux interventions des gens, je me dis que si je ne dis rien ou ne fais rien, ils se lasseront ou comprendront le message. Barrez-vous ! Votre existence n'a aucune espèce d'importance à mes yeux. Ici encore, je ne déroge pas à ma règle et ne réagis pas quand j'entends la porte s'ouvrir. Je ne prétends pas que je n'ai pas le réflexe de lever la tête pour voir ce qu'il se passe, je suis humain après tout, mais au delà de ce réflexe, je détourne rapidement l'attention quand je me rends compte que je ne connais pas la personne et que je suis persuadé de ne pas être intéressé par sa présence ici. Je l'entends beugler au loin. J'ignore si qui elle crie, mais je refuse de lui accorder de l'importance. Pourtant je ne nie pas que j'ai très envie de lever les yeux pour voir ce qu'il se passe, mais je me force à ne pas regarder. Je n'entends pas d'autres voix et je n'ai pas le souvenir d'avoir aperçu une autre silhouette avec la gamine. Alors je dois avouer que je suis assez curieux de découvrir pourquoi tout ce remue-ménage. La petite s'excuse et se remet à parler. C'est à ce moment là que je daigne relever le regard, me disant que de toute façon, elle est certainement trop occupée à remarquer quoi que ce soit pour le moment. Elle est seule et je crois comprendre qu'elle parle à sa baguette. C'est en tout cas de ça que ça à l'air de la place où je suis. C'est ... étrange ... Pourtant je ne dis rien, gardant le silence et retournant à mon ouvrage. Je passe la lame sur le bois pour continuer à le sculpter, tout en me demandant ce qui cloche avec cette gamine.


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Message(#) Sujet: Re: Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn Les oiseaux de papier. • Gipsy & Brooklyn EmptyLun 5 Fév - 16:00

L’agitation de la petite jaune dans les couloirs, attire les regards curieux de certaines personnalités de la communauté sorcière qui se cachent à l’intérieur des très beaux et très nombreux tableaux du château. Son passage laisse des sourires moqueurs et narquois aux coins des lèvres de ces sorciers d’un autre temps. Si elle se rendait compte de l’effet produit par son petit manège, aucun doute que Gipsy s’en offusquerait, avant de rougir de honte de se montrer ainsi en spectacle devant tous ces grands noms. Mais encore faudrait-il que son regard croise les leurs. Ils ont beau être partout, elle a tendance à oublier facilement ces personnages. C’est de leur faute, ils ne sont quasiment jamais à la bonne place, toujours en vadrouille chez les uns ou chez les autres. Alors elle les oublie et leur livre un des divertissements de la journée. Faut dire aussi que son esprit a besoin de davantage de temps pour assimiler et s’habituer aux nouveautés magiques qui paraissent pourtant si banales dans cette école. Est-ce qu’elle finira un jour pas ne plus être surprise par tel ou tel phénomène ? La fillette en doute sérieusement. Si la magie est comme elle l’imagine et que pour une fois, au moins sur un seul point, elle ne se plante sur toute la ligne, alors la magie n’a presque pas de limite, son potentiel est immense et même au bout de son cursus elle sera loin de toute connaître sur le bout des doigts. Un mal pour un bien, certainement. Est-ce que les gens continueraient de s’intéresser à ce domaine si particulier si ce dernier livrait tous ses secrets ? Il n’est particulier que pour ceux comme elle, ceux qui ne sont pas issus d’une famille de sorciers. Ceux qui ont développés un dons alors que personne dans leur famille n’a montré un signe de magie jusque là. Parfois, la fillette se persuade que c’est le fait de ne pas connaître l’existence des sorciers depuis longtemps qui justifie sa maladresse et donc, ses échecs répétitifs mais dans le fond, elle sait bien que c’est faux. Les professeurs le disent et pas seulement pour être gentils. La majorité de ses camarades de classe se débrouillent mieux et il pas besoin de vérifier leur ascendance pour dire qu’ils ne sont pas tous des habitués. Elle n’espère pas tout connaître au bout de sept ans mais si elle pouvait obtenir plus de réussites avec sa baguette, ce serait déjà pas mal. Si elle ne se retrouve pas dans sept ans à faire exactement le même parcours, ça lui va. Elle achète. Elle va forcément finir par convaincre sa baguette de n’en faire qu’à sa tête parce que de un, c’est pas chouette du tout et de deux, c’est une baguette. Elle est faîte pour l’aider et non pas pour lui jouer des tours. Ou alors elle a manqué un épisode. C’est vrai qu’elle zappe des trucs de temps en temps en cours mais Gipsy est quasiment certaine qu’aucun de ces professeur n’a dit à un moment donné que les baguettes ont pour double fonctionnalité de les embêter. Ou alors la sienne est très farceuse comparée aux autres. Elle est très farceuse tout court, mauvaise et par dessus tout, pas coopérative du tout. Elle ne lève pas même le petit doigt – façon de parler, hein, parce qu’elle a pas de doigt – pour lui indiquer où sont les feuilles de cours. La Poufsouffle se félicite d’avoir une bonne intention à défaut de savoir garder son sang froid. Combien de gens l’ont entendu crier ? Elle s’en fiche, oui mais pas trop non plus. Elle est partagée par l’idée d’être légitime dans sa crise et de l’autre, d’être gênée par le risque de déranger quelqu’un et d’écoper d’une sanction pour cause de sa mauvaise conduite. Ce serait le pompon. Surtout qu’elle ne fait pas souvent des trucs qui justifie de se faire punir. Il y en a qui en font tellement plus...

Difficile de se justifier, quand elle en parle à voix haute la situation lui paraît plus ridicule qu’elle ne l’est déjà. Enfin, elle imagine. Elle a essayé vite fait d’en parler au garçon solitaire au fond d’une des vieilles salles inutilisées mais elle a abandonné l’idée la seconde d’après pour ne pas qu’il la prenne pour une tcharbée. C’est sûrement raté, elle gesticule bruyamment à l’entrée de la salle. Juste à côté de lui, quoi. Promis, c’est pas de sa faute et re promis, elle fait son possible pour arrêter son cinéma le plus vite possible. Elle essaye sérieusement, là. Si sa fichue baguette capricieuse ne se décide pas à arrêter de la faire tourner en bourique, il ne veut pas lui filer un coup de pouce, lui ? Il n’a pas l’air de la calculer mais c’est impossible qu’il ne l’ait pas attendu. La fillette n’a pas le recul – pas l’envie peut-être aussi – de se dire qu’il ne doit tout simplement pas vouloir engager un contact avec elle et se réjouir de son départ proche. « Euuuuuuh... » décidément, elle ne sait pas comment s’adresser à lui. « J’suis pas douée, est-ce que tu peux m’aider ? » Opération mignottitude avec un regard façon Chat Potté ou comment le désespoir amène à faire des choses stupides... Bien sûr, c’est le moment que choisissent ses parchemins pour redescendre tout seuls – à moins que ce ne soit sa baguette qui agisse avec retard – sur sa tête. L’opération mignottitude vient de tomber à l’eau. « Eh bah non, en fait ! Pas besoin ! » Elle force un le rire, en vrai la petite se sent très bête. Elle voudrait bien une intervention d’un ami pour avouer que tout ça n’était qu’une mauvaise blague, comme ça elle aurait l’air moins idiote. Parce que ça la dérange un peu de donner cette impression là. Si elle part tout de suite, elle ne revoit plus jamais le garçon mais d’un autre, elle est tentée de rester parce que ce qu’il a dans ses mains l’intrigue. Avant tout, elle se dépêche d’attraper ses notes de cours et de les fourrer dans son sac, tout comme elle balance sa baguette dans le fin fond de sa poche à rallonge. « Tu fais quoi ? » Elle a promis de se barrer vite ? C’est bête, ça lui ait complètement passer au-dessus. Elle penche la tête, sérieusement intriguée et avance d’un petit pas. « C’est... » Beau ? Difficile à dire car en plus elle ne sait pas ce que c’est mais ça le sera sans doute et surtout ça à l’air normal. Pas magique, quoi. Donc enfin un truc de normal dans cette école. « … chouette » Elle a hâte de savoir ce que c’est, à quoi ça sert, si ça a une odeur et tout... Les informations basiques, quoi.


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