feat. Bryden Jenkins
"Cher faux père,
J'espère que tu te plait, là ou tu es, si tu es là-bas c'est tout sauf à cause de moi, je t'en voudrais toute ma vie, pour toutes les années, morbide, froide et peu joyeuse que tu m'as fait vivre, j'avais hélas besoin d'un père à mes côtés pour m'épauler et me soutenir. En neuf années de ma vie, je m'étais reconstruite seule, en vingt-quatre années toutes entières, j'avais évolué seule, à l'aide d'une mère qui malheureusement était partit trop tôt. Le monde fait mal les choses, car le pire de tous c'était toi, tu aurais du sacrifier ton âme pour la sauver, comme tu l'a sacrifié aussi minablement en me mentant et en me dénigrant. Je te suis quand même reconnaissante, tu m'as fait comprendre que sur cette terre, il ne faut jamais baisser les bras, et surtout ne jamais penser que quelqu'un sera là pour t'aider un jour ou l'autre, j'espère juste une chose, que jamais personne ne supportera les regards que tu me lancer quand j'étais gamine, car finalement même à mon pire ennemi je ne le souhaiterai pas.
Mon subconscient ne penser pas que tu allais évoluer et je crois qu'il avait raison, un côté de moi penser que je tenais mon intelligence de toi, mais finalement la nature m'a montré la vraie source de mon intelligence.Je te souhaite juste les meilleurs années de ta vie entre quatre murs, avec la meilleur ironie au monde.
Lux Ailis Halloway,
Ta fille que tu aimes."
- Les sept premières années
"-Lux tu peux te réveiller, ta mère nous attend."
Je n'avais aucune envie de me lever, j'étais sous ma couette, il faisait froid, il était sans doute, à vu de nez, dix heure du matin, je n'avais pas très envie de me lever. Hier une amie, avait fait une fête pour célébrer son anniversaire, on avait fait un goûté, c'était génial, mais sans mentir je n'avais pas forcément l'habitude. J'avais le nez sous la couette, les yeux plongés dans un noir profond, je frissonnais simplement à l'idée de poser mon pied, sur le parterre gelé. Mais malheureusement à part si je voulais que mon père ne revienne, j'étais contrainte de sortir de mon lit. Il était bien 10h du matin, j'étais claquée et pour ne pas changer mon père, me faisait bien remarquer que je n'étais toujours pas à la hauteur de ses attentes, de la fille idéale.
J'étais seule avec mon père, ma mère était sortit avec des amies et pourtant mon père, n'avait pas forcément était enchanté. Mais comme il disait souvent, personne pouvait être aussi parfait que lui.
On c'était mit en route,pendant que l'on était dans la voiture de mon père, il avait reçu un appel qui lui avait presque fait faire un accident. Je n'avais jamais compris sur le coup ce qu'il c'était passé.
J'avais oublié depuis ce jour-là, ce que voulait dire souffrance, je n'avais jamais vraiment oublié ce coup de téléphone, ce moment dans la voiture, ce mini accident, cet voix peiné derrière ce numéro, j'étais jeune, innocente à cet-époque là, j'avais hélas, besoin de mon père et de ma mère. Mais le destin en avait choisis autrement, on m'avait enlevé ma mère et mon père était devenus horrible avec moi.Il m'avait tellement détesté toute ces années sans aucune raison, que le jour ou ce drame c'était produit il avait changé du tout au tout.
Du plus loin que je me souvienne, je n'avais jamais était heureuse, depuis la mort de ma mère, j'avais perdu pied, j'étais rentré dans des choses mal et peu seine d'esprit. J'avais perdu les pédales et le guidon au passage et personne de mon entourage m'aider à reprendre le droit chemin, j'avais fait les mauvais choix, les mauvaises fréquentations aussi.
Je me souvenais aussi des moments de joie, que je partageais avec ma mère, mes anniversaires, les fous rires, les moments de tristesse, les petits moments de d'espoir amoureux, c'était une mère unique, une mère idéale. La souffrance en générale est décrit comme quelque chose d'éphémère, qui ne dura pas toute notre vie, qui partira un jour ou l'autre, que chaque personne saine d'esprit arrive à ne pas se décourager, et qu'un jour ou l'autre il ou elle trouvera le chemin du bon couloir, je ne savais pas ce que c'était se charabia, on m'en avait dis des belles conneries, sur la vie, la mort, l'amour, mes parents et encore plus sur la souffrance, j'avais pris des traitements, j'avais pris des coups, des gifles je m'étais relevé, mais je n'avais toujours pas réussi à coller mon pansement sur mon cœur. J'avais été écorché vif, et ça quelqu'un avait un remède ?
Beaucoup disaient que la seule chose qui sauverait ma vie, aurait été un amour sincère, mais la seule personne que j'aimais été partit il y a six ans maintenant et durant ces six années de ma vie entière je m'étais posée tellement de question, me demandant si réellement, j'arriverai un jour à tourner la page. A quoi cela servait d'aimer de donner corps et âme à une personne, pour finalement que le monde l'arrache de vous, sans même vous laissez le temps, de digérer et d'encaisser le coup, d'arriver à vous relevez sans vous paraître con, ni pitoyable. Je n'avais aimé qu'une fois, une seule femme, cet femme-là c'était celle qui m'avait mit au monde, le monde lui , lui avait arraché la vie, alors je ne voyais pas pourquoi je devais continuer d'être heureuse, enfin c'est ce que je croyais.
- Les onze premières années
Mon père et moi, on avait jamais réussi à s'entendre, depuis mon plus jeune âge il me dénigrait, me regarder salement et pourtant dieux sait que j'avais un sang encore plus pur que lui, il ne m'aimait pas et ne m'avait jamais aimer, la plus belle ironie de mon pauvre sort était que je ne lui en demander pas moi, de l'amour, il pouvait se le garder, j'étais meurtris finalement du comportement de mon géniteur, je ne comprenais pas les fautes qu'il me mettait sur le dos. J'étais blessée, seule et sans famille, depuis cet tragédie, mon père n'avait même pas eu le courage de revenir me parler, il m'avait lâchement remis en famille d'accueil. De toute façon la lâcheté été sa plus belle qualité, vous avez sentit l'ironie ? Je me retrouvais des fois, dans ma chambre en pleure essayant de m'imaginer une vie, plus rose, moins sombre avec des couleurs, essayant simplement de m'enlever de cette BD en noir et blanc, j'avais toujours rêvé de ressentir moi aussi l'amour d'un père, le regard d'un géniteur fier de sa fille, qui se pliait en quatre sous ses ordres, pour arriver à le satisfaire, je n'avais jamais était celle qu'il voulait, je le voyais, je le sentais. Alors j'avais changé du tout au tout, il ne me voulait pas ? J'espère que le changement il acceptera ! Ah merde ! C'est vrai, ça fait sept années en tout qu'on ne c'est pas adressé la parole, quel bon père ! Surtout depuis la révélation qui m'avait fait comprendre pourquoi il me dénigrait temps. Mais au finale celui qui avait fauté, celui qui avait rendu ma mère malheureuse, c'était lui.
- Les dix-sept premières années
"- Lux tu peux..."
Je me réveille en sursaut rapidement en enlevant ma couette et en me mettant en position assisse sur mon lit. Putain, ce fouttut cauchemar, je relève les yeux en direction de ma meilleure amie, juste au dessus de moi, sa main droite bloquée non loin de mon visage comme-ci elle s'apprêtait à me réveiller, mais qu'elle avait été prise de court. Enfin, j'imagine c'est ce qui a du ce passer comme tout les matins, depuis six années maintenant, quel putain de cauchemar de merde, et pourtant les personnes me connaissant bien savent à quel point, je suis forte et courageuse devant n'importe quelle situations, pourtant là sans vous mentir je nage dans un cauchemar effroyable comme chaques nuits.
J'ai dix-sept ans depuis trois mois, je suis en dernière année à poudlard, ma vie n'as pas toujours été toute rose, ni toute noir. Il y a eu des hauts et des bas, mais la vie c'est comme une philosophie de vie, il faut juste se mettre en tête que Croire ce qu'on sait, Savoir ce qu'on croit sont des choses bien trop éloignés et donc ne faites pas confiance à n'importe qui, mieux vaux être seuls que mal accompagné.
Je n'avais que douze ans, je m'en souviens très bien malgré ces nombreuses années passées. Je pense que d'un côté j'étais morte de peur, mais d'un autre tellement soulagée d'être ici et de plus jamais devoir retourner dans ma famille d'accueil. J'avais appris un mois avant de venir ici, qu'aucunes familles d'accueil pouvait me suivre jusqu'à Londre, alors ma tante la soeur de ma mère, m'avait proposée d'habiter chez elle, car il est vrai qu'elle m'aimait plus que bien. C'était la seule "femme" qu'il me restait dans ma vie, elle prenait quelquefois la place de ma mère quand je n'allais pas bien et heureusement qu'elle était là.
Ce jour-là, poudlard été plus que remplis, la tension était à son comble et tout les nouveaux élèves s'agitaient de partout, en espérant ne pas se faire remarquer, mais bon c'était légèrement râté.
Enfin bref, j'étais nouvelle je ne connaissais personne dans cet immense château et j'avais juste envie sur le coup de me faire toute petite et de laisser couler la cérémonie puis de me faire des amis plus tard.
Je redoutais plus que tout le moment où je devais passer devant tout le monde, assisse seule sur ce tabouret, face à une assemblée immense et surtout fixante. Le choixpeau sur le crâne entrain de te dire si tu es ce que tu veux le plus au monde.
Dans ma tête je sais que je suis intelligente, mais je me dis que ma mère a été loyal et par la même occasion Poufsouffle, alors je me pose des questions des fois, de savoir si je serais choisis en temps que serdaigle ou pas.
Mon tour est arrivée, je me lève calmement de mon banc en souriant calmement pour ne pas montrer mon stresse devant cette foule de personne. Je n'ai jamais vraiment été en pleine forme lorsqu'il s'agissait de discuter avec beaucoup plus de personne, qu'il n'y avait avec moi pour me soutenir.
Finalement, j'étais là, assisse sur ce même tabouret que je rêvais temps de toucher. Je lançais ma main en premier pour frôler se siège, qui a connus plus de personne dans sa malheureusement existence de siège en boix, que je ne connaitrais jamais.
Le choixpeau se fit poser sur ma tête et de ma place, je l'entendis réfléchir. Il est vrai que dans d'autre circonstance j'aurai bien rigolé, de sa petite voix qui semblait se creuser les méninges pour me dégoter une place dans l'unes de ses merveilleuses quatre maisons.
En somme, le choixpeau décida de me mettre à serdaigle, la maison de mes rêves, la maison de mon subconscient je sentais que cette maison, était pour moi. Après mon passage et la décision du choixpeau, les élèves décidèrent eux mêmes, de m'applaudir pour me féliciter de mon entrer dans leurs maison. Jamais, au grand jamais je n'avais eu autant de moment avec des sentiments aussi fort, de la joie, de la peur, de l'appréhension et surtout un sentiment innoubliable du bonheur. Et depuis ce jour-là je sais que Poudlard, était la véritable voix, de mon bien être.
QUESTION DU CHOIXPEAU Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-elle ? – Elle vas essayer de le sauver, en lançant le sortilège de lévitation, ce qui l'enleverai de l'eau du lac.