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Scorpius ▬ L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil.
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L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil.
Sibylle & Scorpius

Sibylle avait besoin de prendre l'air, de ce changer les idées et pour ce faire elle quitta sa salle commune qui était son principal refuge pour ce rendre dans le parc de l'école. Elle avait marché tranquillement n'étant pas presser, la belle n'était pas du genre à agir vite préférant toujours prendre son temps même pour traverser de sombre couloir, la fin de l'année approchait et pour elle cela signifiait pouvoir peut-être quitter cette école qui n'était plus aussi belle que lorsqu'elle y était arrivée. En passant les grandes portes elle chercha par où aller l'endroit était grand et les possibilités était diverses et variées du coup elle suivit l'envie de son corps en partant sur la droite simplement sur un coup de tête. En marchant elle remarqua une silhouette qui ne lui était pas totalement inconnu au contraire même car elle connaissait plutôt bien le garçon qu'elle apercevait au loin c'était Scorpius elle l'avait vu il y a peu avec Maël quand il avait été enfermer tout les trois dans la salle des Trophées une conversation avait eut lieu et la brunette avait prit conscience qu'elle avait un peu laisser de côté leur amitié quand ils avaient été séparer dans deux maisons différente ce n'était pas vraiment normal et elle s'en voulait un peu alors quand elle le voyait tout seul sous un arbre elle se disait qu'elle pouvait aller lui parler un peu et rattraper cette erreur.

Arrivant à la hauteur du blond elle se laissa tomber à côté de lui sans un mot quand elle remarqua qu'il dessinait elle aimait le voir faire et le trouvait talentueux, après tout petite elle le regardait souvent faire sans rien dire elle devait être l'une des seules à savoir qu'il avait ce talent là et elle aimait avoir le privilège de ce petit secret c'était pour elle un petit plus dans leur amitié. Tout sourire elle le regardait faire avant de prononcer ses premiers mots elle n'allait pas rester dans le silence ce n'était pas très intelligent. " Hello toi, ça faisait longtemps que je ne t'avait pas vu dessiner, je peux rester là ?" Après tout elle ne voulait pas déranger comme toujours, c'était dans ses gênes de poser ce genre de question pour ne pas être de trop la Poufsouffle avait l'impression de toujours commencer une conversation de la même façon même avec des gens qu'elle connaissait depuis des années, le seul à ne pas y avoir le droit était sans doute Maël parce qu'elle était liés à lui intimant et que rien ne pouvait les éloigner l'un de l'autre. Scorpius était proche de son jumeau, la brunette le savait et elle était un peu dégoûtée de ne pas avoir été mise avec eux à leur arrivé à l'école cela lui aurait sans doute permis de se développer différemment d'être moins dans son monde aucun des deux garçons ne l'aurait laisser faire en l'ayant toujours à l’œil.


" Comment tu va depuis la dernière fois ? Je me suis dit qu'on avait un peu trop laissée notre amitié à l'abandon alors te trouvé ici doit être une aide de monsieur Merlin" Oui même pour expliquer la plus simple des constatations la jeune fille devait aller un peu loin et parler de chose qui n'était pas comprise par tout le monde, comme le fait de croire que Merlin l'aidait plus ou moins en lui envoyant des signes, elle pouvait passer pour une illuminée à dire de tel chose mais le Serpentard la connaissait bien et devait être habitué à ce genre d'excentricité.
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Message(#) Sujet: Re: Scorpius ▬ L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil. Scorpius ▬  L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil. EmptyLun 8 Mai - 3:49

l'amitié d'une femme pour un homme est souvent
de l'amour qui ne se montre que de profil
Sibylle & Scorpius
All I knew this morning when I woke Is I know something now, know something now I didn't before And all I've seen since eighteen hours ago is green eyes and freckles And your smile in the back of my mind making me feel like

La vie, ce n'est ni tout noir, ni tout blanc. On le sait à la base, mais l'humain est un être utopique qui veut bien oublier les nuances lorsque ça l'arrange. Le retour à la réalité peut parfois être brutale, comme lorsque Blackman a prit possession du château le soir de mon anniversaire faisant plusieurs morts, envoyant de nombreux étudiants au sang impur dans les cachots allant jusqu'à les traîtres comme des esclaves et cherchant à se bâtir un cercle de fidèles qui l'adulerait comme s'il était un nouveau dieu. Ça, c'est le retour brutal à la noirceur du monde. Dans cette histoire, une histoire qui est la mienne et celle de bien d'autres étudiants du château, tout semble sombre, sinistre et sans espoir. Et pourtant, il nous faut garder espoir parce que le monde est constitué du ying et du yang. Il y a le bien et le mal, l'équilibre des deux est ce qui tient le monde comme il est. Si je me laisse facilement entraîné du côté sombre, que mes espoirs sont souvent anéantis par mon pessimisme naturel, un peu de foi en l'humanité fait du bien parfois. Retourner dans la zone nuancée afin de ne pas se sentir étouffé par de sombres pensées. Si je m'étais réfugié près du lac aujourd'hui, c'était bel et bien pour chasser de mon esprit tout ce qui pouvait être négatif. Entre les plans de guerre et les moments où je cultivais cette haine à l'égard de Blackman, je n'avais pas vraiment de bons moments dans ma vie ces derniers temps. Les circonstances dans lesquelles nous étions cette année étaient très peu propice à accomplir toutes les choses que j'avais prévu faire au cours de ma dernière année. Si ce n'était que j'avais intégré l'équipe de Quidditch, je n'avais rien accomplis du tout. Même que je m'étais carrément éloignée de cette liste que j'avais dressé en août. Était-ce réellement une mauvaise chose? Parce qu'en un sens, j'avais bien plus grandit en quelques mois que ce à quoi j'aurais pu m'attendre. Moi qui était si effrayé par la vie en dehors de Poudlard, j'avais pris l'assurance, l'expérience et la maturité qu'il me manquait pour porter le bagage d'une vie d'adulte à la fin de mes aspics. Pourtant, cette impression d'être encore le gamin perdu qui avait mis les pieds à Poudlard sept ans plus tôt persistait.

Je m'étais réfugié dans un coin reculé du parc en cet après-midi de Mai rayonnant de soleil. Ainsi isolé de tous, mon carnet à dessins posé sur mes genoux, un crayon à la main, je m'étais mis à dessiner les cases d'une bande dessiner. J'enchaînais les planches de cette histoire que je créais dans mon esprit depuis des semaines n'ayant trouvé aucun autre moyen d'exprimer mes sentiments que part cet art à la fois littéraire et artistique tant prisé par les moldus. J'avais toujours eu un penchant pour les bandes dessinés depuis que Sloane me les avait fait découvrir en première année. Si un jour on m'avait dit que j'allais être l'auteur de l'une d'elle un jour, qu'elle serait à la fois ma création et mon journal intime, je ne l'aurais pas cru. Sous les traits de crayons, l'histoire de ma dernière année à Poudlard prenait vie sous la forme d'une fantaisie où Blackman était représenté comme un maître zombie mangeant les cerveaux de ses fidèles qui le suivant comme des êtres décérébrés. Les nés-moldus étaient son garde-mangé privé traduisant sa tendance à la violence physique sous cette forme. Le grand malade mégalomane qui nous servait de directeur était nettement moins effrayant dans mon récit où je le rendais presque ridicule avec ses idées extrêmes. Il menaçait de manger quiconque s'opposant à lui, ou de zombifier ceux qui aurait l'audace de le défier. Et moi, je prenais les traits d'un chasseur de zombies prêt à tout pour protéger les humains des griffes de ce psychopathe s'était donné pour mission de conquérir le monde. Si cette version était un peu trop romanesque, elle n'était pourtant pas si loin de la réalité.

Je traçais habilement les traits du visage de Blackman-zombie lorsqu'une voix me fit sursauter. « Hello toi, ça faisait longtemps que je ne t'avait pas vu dessiner, je peux rester là ? », demanda-t-elle pourtant doucement. J'étais tellement plongé dans mon art que je ne l'avais même pas entendu arrivé. Relevant la tête vers la personne qui venait de parler, une voix qui avait tendance à me ramener des années en arrière, alors que Poudlard n'était même pas dans ma vie, je la regardai fixement alors que mon cœur cognait encore contre ma poitrine tentant de se remettre de la frousse qu'elle venait de me faire. « Oh my god Sib', tu m'as foutu une de ces trouilles! » La jeune femme me regardait de ses grands yeux sombres laissant passer le sourire discret qui étirait ses lèves à une moue désolé. Je lui souris doucement, tentant de la rassurer. Je la connaissais depuis toujours, donc suffisamment pour savoir qu'elle se sentirait mal de m'avoir fait peur. Nous étions pareil de ce côté, toujours à s'inquiéter de ce que les autres pouvaient penser, ne pas vouloir déranger. Je lui fis signe de venir s’asseoir près de moi, contre le tronc. « Tu veux voir? », lui demandais-je en lui tendant mon carnet à croquis. Je ne montrais jamais mes dessins, sauf à Maël ou Albus lorsqu'ils me tombaient dessus en plein gribouillage. Comme son frère, Sibylle m'avait vu dessiner depuis notre enfance, alors que nos mères étaient amies, qu'on passait de longs après-midi tous les trois. Elle en connaissait assez long sur moi, certainement beaucoup plus que je ne le voudrais. Lui montrer ces pages, mes pensés, étaient juste normal. Comme si c'était la chose la plus naturelle au monde. « C'est pas super joli, je te préviens. Disons que je suis loin des fleurs de la serre de ma mère. » , ajoutais-je un sourire aux lèvres mentionnant ces plantes que Sibylle aimait tant que je dessine lorsque nous étions enfants. J'avais encore du mal à parler de maman, mais les bons souvenirs étaient toujours plus facile à énoncer. Lorsque j'évitais de mentionner sa mort, ça allait. Même au bout de trois ans, j'avais facilement les larmes aux yeux en pensant à elle. Ce n'était pas nécessairement mauvais. Ça me rendait juste triste de me dire que je ne la reverrai jamais à l'exception de sur des photos.

« Comment tu va depuis la dernière fois ? » Elle avait posé cette question ne manquant pas de faire allusion à cette après-midi passé avec elle et Maël dans la salle de trophée, piégés comme des rats dans une cage. Malgré le fait que nous avions été coincés des heures dans cette pièce, ça avait été plutôt cool de se retrouver tous les trois après tout ce temps. « Autant que ça peu aller. Et toi, comment tu te portes? » J'avais répondu avec un haussement d'épaules. Après tout, elle avait entre les mains, la preuve que ça n'allait pas comme sur des roulettes. Autant ne pas lui mentir en prétendant que tout allait bien. Elle ferait sans doute comme si elle me croyait, pour ne pas me faire sentir mal, mais se ferait du soucis parce qu'elle était comme elle était. « Je me suis dit qu'on avait un peu trop laissée notre amitié à l'abandon alors te trouvé ici doit être une aide de monsieur Merlin », dit la jeune fille le plus normalement du monde. Son commentaire me fit sourire. Elle avait aucunement changé, toujours la même, toujours aussi fataliste. « Tu sais que Merlin ne contrôle pas le monde? Il avait même pas le don de voir l'avenir. En réalité, c'était juste un sorcier vraiment très doué. Il était vraiment cool si tu veux mon avis. L'un des rares serpentards à redorer le blason de la maison. », répondis-je sans vraiment me rendre compte que je jouais les petits professeurs. Je lui souris, un peu gêné avant de reprendre. « T'as raison, on a un peu trop laissé notre amitié à la dérive. Tout ça parce qu'on a pas été réparti dans la même maison. C'est con quand on y pense! Surtout que je me serais sans doute plus fondu dans la masse chez les poufsouffles que chez les serpentards si tu veux mon avis. Je doute que mon père ait apprécié par contre... » Je rigolai doucement à imaginer la tête qu'aurait tiré mon paternel si j'avais rejoint Sibylle chez les jaunes et noirs plutôt que Maël chez les verts et argent. Il aurait sans doute fait une crise cardiaque!
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L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil.
Sibylle & Scorpius

La jeune femme avait eut envie de partir simplement quitter un peu le château mais elle ne pouvait pas aller bien loin simplement dans le parc qui était la seule fenêtre vers l'extérieur posséder par la jeune femme qui n'avait pas le droit de quitter l'enceinte du château. C'était assez bizarre de ne pas se sentir libre alors qu'elle avait toujours eut le droit à une semi liberté, en dehors des cours elle pouvait aller où elle le voulait quand elle le voulait, sortir le weekend tout n'était plus pareil désormais et la jeune femme avait souvent du mal à s'y faire parce qu'elle n'aimait pas voir ses habitudes bouleverser c'était trop perturbant pour elle. Mais comme tout le monde ici elle n'avait pas le choix et devait faire avec malgré les complications et la peur de ne pas trouvée sa place dans tout cela, elle se sentait dépassée mise à l'écart aussi, souvent seule elle n'était pas tenue au courant des derniers potins ou alors longtemps après ce qui creusait encore la distance entre elle et les autres personne vivant ici, personne ne voulait s'embêter de la naïve Sibylle dans son monde fait de licornes et d'arc en ciel elle était bien trop douce et innocente pour la plupart et cela restait agaçant dans un château mis sans dessus dessous par la noirceur de certains homme qui cherchait à imposer leur mode de pensées. Alors elle avait simplement laisser parler ses pieds et avait quitter son dortoir pour le parc, une fois dehors elle n'avait pas chercher à aller un endroit en particulier elle avait simplement marché jusqu'à apercevoir une bouille connus sous un arbre concentré sur un dessins, elle n'avait pas vu Scorpius dessiné depuis longtemps mais en même temps elle n'avait pas vraiment passées beaucoup de temps avec lui ces dernières années ce qui expliquait le tout.


Elle c'était donc approchée doucement de lui et c'était mise à parler comme à son habitude pour ne pas faire une arrivée comme tout le monde et souvent elle surprenait son monde et pouvait observer de drôle de réaction, certains sursautait, d'autre ouvrait grand les yeux et cherchait de partout qui avait parler, certains était impassible c'était une bonne manière d'observer les personnes qui l'entourait et dans savoir plus sur leur caractères. Et Scorpius avait été du genre à regarder de tout les côtés pour trouver qui lui parlait et il avait l'air un peu paniqué sans doute a cause de toute les mauvaises choses qu'il avait vécu en ce moment il devait chercher à fuir des personnes en particulier pour ne pas avoir de soucis en plus mais ce n'était pas elle qui allait lui en apporter au contraire, la brune voulait lui apporter un petit peu de soutient car elle c'était rendue compte qu'elle n'avait pas été une bonne amie ses derniers années depuis qu'ils étaient arrivé à Poudlard en clair car les deux amis n'avait pas été mis dans la même maison contrairement au jumeau de Sibylle qui avait pu rester avec Scorpius à Serpentard. La seule femme du trio était le mouton noir elle n'était pas totalement comme eux et vivait un peu à part dans une autre maison et dans un autre monde ne prenant pas part à tout les actes de rebellion et autre. Son frère essayait de la tenir à l'écart de tout ça en ne lui en parlant pas mais la jeune fille n'était pas stupide elle savait bien ce qu'il faisait dans son dos et laissait faire parce qu'elle trouvait cela logique de ne pas être d'accord avec le pouvoir en place, elle avait juste peur depuis sa blessure et n'osait plus rien faire de dangereux, elle n'était pas parmi les forts elle l'acceptait. " En ce moment je fais peur à tout le monde, suis-je entrain de me transformé en monstre ? En fantôme ? Je dois être méga discrète pour que personne ne me remarque" Il n'était pas le premier à avoir peur quand elle arrivait à sa hauteur cela devenait habituel surement parce qu'elle se mettait à parler d'un coup sans rien faire avant.


La jaune et noir se laissa tomber à côté du vert et argent et lui fit un sourire. " Oui je veux voir, j'adore tes dessins depuis toujours" Même si pour le coup il devait avoir évolué et changé de registre les choses n'était plus les mêmes depuis leur enfance et eux même n'était plus les mêmes. Et elle n'avait pas tord le dessins était bien plus sombre mais toujours très joli cela reflétait sans doute l'état d'esprit du blond assis à ses côtés après tout l'art était un bon moyen d'exprimer ce que l'on avait sur le cœur sans avoir besoin de mettre des mots dessus. Bien loin des fleurs la noirceur était présente et inquiétait un peu la brune car elle n'aimait pas voir ses amis mal en point et c'était le cas visiblement mais elle ne voulait pas toujours poser des questions déprimante laissant pour le moment le garçon parler ne rentrant pas dans le vif du sujet. " Cela reste jolie, sombre et un peu inquiétant mais jolie. J'avoue par contre préférer de loin les fleurs de la serre de ta maman c'est bien plus à mon goût mais je suis très sensible à tout ce qui est sombre" Mais il ne devait plus avoir envie de dessiner les fleurs qu'elle aimait temps pas maintenant que sa maman n'était plus là, parmi les vivants pouvant apporter son soutient à son fils, elle même ne savait pas comment elle vivrait une pareil situation sans doute qu'elle survivrait vu qu'elle avait son frère qui était son tout.


Elle avait posée les questions de base pour savoir comme le Serpentard allait depuis la dernière fois qu'elle l'avait vu dans la salle des trophées quand ils avaient été enfermer avec Maël et qu'ils avaient retrouver leur trio comme à l'époque de l'avant Poudlard. Sib n'attendait pas une réponse totalement positive parce que la vie ici n'était pas top mais elle espérait que cela ne serait pas trop négatif quand même pour ne pas déprimer de voir son amis triste. " Moi je flotte au dessus des problèmes comme toujours, fait toi un peu oublier pour le moment tu a peut-être assez encaissé entre toute les punitions et autre" La Pouffy avait continuée à parler ajoutant qu'elle avait l'impression d'avoir laisser leur amitié à l'abandon et qu'elle avait vu leur discutions de la dernière fois comme un signe de Merlin ce qui avait fait rire le blond qui considérait que merlin n'avait pas de pouvoir sur leurs vies c'était un point de vue mais la brunette aimait penser que quelqu'un choisissait pour elle les plus grandes décisions de sa vie. " Merlin contrôle mon monde, il a peut-être assez à faire avec moi pour ne pas vouloir s'occuper des autres ? L'avenir il l'écrit il n'as pas besoin de le voir tu sais ? Bien sûr qu'il est cool il me fait avoir une vie plutôt sympa si on regard pas certains détails. Vous les Serpentard vous avez bien besoin de type comme lui pour vous donner bonne image c'est pas gagner d'avance vu certaines personne et leur antécédent" La maison avait abrité tellement de mauvaise personne qu'elle avait une mauvaise réputation ce qui ne devait pas être simple à vivre pour tout les membres de la maison qui n'était pas forcément mauvais. Finalement il répondit à la deuxième partie de sa phrase, parlant de leur différence de maison qui était sans doute la base de l'éloignement. " Les maisons influes finalement beaucoup sur la scolarité je ne pensais pas avant d'arriver ici, il est vrai que tu me ressemble plus que tu ne ressemble à Maël même si cela doit être moins cool à vivre. Ton père aurait sans doute fait une crise cardiaque mais il aurait fini par si faire" Après tout une maison cela ne restait qu'une maison pour sept ans ce n'était pas la fin du monde.
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Message(#) Sujet: Re: Scorpius ▬ L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil. Scorpius ▬  L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil. EmptyDim 14 Mai - 4:40

l'amitié d'une femme pour un homme est souvent
de l'amour qui ne se montre que de profil
Sibylle & Scorpius
All I knew this morning when I woke Is I know something now, know something now I didn't before And all I've seen since eighteen hours ago is green eyes and freckles And your smile in the back of my mind making me feel like

Assis sous mon arbre avec mon carnet à dessins, je ne m'attendais pas à avoir de la compagnie. Lorsque j'étais plongé dans mon art, autant je pouvais oublier le reste du monde que ce dernier pouvait oublier mon existence le temps d'un dessin. C'était une libération momentanée de toutes ces horreurs qui m'entourait. Autant je les représentais de manière comique sur mes pages vierges que je remplissais de personnages imaginés directement de cette sombre réalité qu'était la mienne à l'intérieur de ce dôme magique, autant je voulais tout oublier. J'aurais bien aimé me réveiller un matin et me rendre compte que toute cette histoire n'était qu'un affreux cauchemar. En même temps, pourquoi je rêverais de la mort de ma cousine, de révolte menant à une torture au doloris pour ensuite me faire fouetter publiquement parce que Jude a voulu me venir en aide et finir avec une autre torture au doloris pour avoir joué au Quidditch tout au long de l'année? Je me demande bien à quel point faut être mal en point pour avoir des songes de la sorte. Je me réveillerais sans doute avec la tête dans le cul et des problèmes de tachycardie tellement j'aurais eu la chienne tout au long de la nuit qui m'aurait semblé interminable. Mais tout ça, ce n'était qu'un espoir vain. J'avais expérimenté trop souvent la douleur dans les derniers mois pour ne croire un seul instant que tout ça n'était que simple invention de mon esprit tordu.

L'arrivé de la belle poufsouffle me surpris, c'est un fait, mais ce n'était pas désagréable de la voir s'asseoir avec moi. Après tout, je m'étais promis d'essayer de rattraper ce qu'on avait laissé s'éventer au cours des dernières années. Dire qu'on s'était promis, avant de prendre le train, de ne pas s'éloigner peu importe la maison dans laquelle on avait été réparti. Ça avait tenu pour Maël et moi, ce qui était facile vu qu'on était dans le même dortoir. Les jumeaux, bien évidemment, étaient toujours bien proches. Le triangle avant perdu son arrête entre Sibylle et moi-même. « En ce moment je fais peur à tout le monde, suis-je entrain de me transformé en monstre ? En fantôme ? Je dois être méga discrète pour que personne ne me remarque », dit-elle après que je lui eu dit qu'elle m'avait foutu la trouille. Un monstre? Mais non, elle avait rien d'un monstre. Quant à savoir si elle était devenue un fantôme, j'espérais pas! « Les monstres sont devenus vachement jolis depuis que je ne suis plus un gamin dit donc! », laissais-je tomber plus comme une pensée qu'il filtrait par mes lèvres que quelque chose que je voulais vraiment lui dire. Lorsque je me rendis compte de ce que je venais de faire, je me sentis vraiment très mal à l'aise. Bah super! Encore une fois, j'en avais trop dit. Ma formulation ne voulait pas dire ce que je pensais vraiment; elle avait rien d'un monstre. Sauf qu'en dehors de m'enfoncer davantage ou de la vexer, ça ne servirait à rien d'argumenter. Autant changer de super au plus vite. " Par Morgane, t'es un crétin Scorpius! " Je déviai habilement la conversation vers mes dessins après qu'elle eut pris place à mes côtés. « Oui je veux voir, j'adore tes dessins depuis toujours » Son commentaire me fit plaisir, bien que je savais que mes gribouillis n'étaient pas du grand art. Si elle aimait, tant mieux, je n'allais pas m'en plaindre. Par contre, je doutais qu'elle ne dise pas ça seulement pour me faire plaisir. Je la laissai prendre mon carnet qu'elle observa un instant avant de reprendre : « Cela reste jolie, sombre et un peu inquiétant mais jolie. J'avoue par contre préférer de loin les fleurs de la serre de ta maman c'est bien plus à mon goût mais je suis très sensible à tout ce qui est sombre. » Je lui souris, amusé. Je me doutais de sa réponse. Elle avait toujours été douce, délicate et naïve. Ce n'était pas négatif, bien au contraire. Elle était optimiste là où moi, j'étais l'éternel pessimiste. Elle voyait du bien, aimait les belles choses. C'est ce que j'aimais chez elle. Je lui repris le carnet en ajoutant « Ça fait des années que je n'aie plus dessiné de fleurs. Depuis qu'il n'en pousse plus une seule dans la serre de maman. C'est pas à défaut d'avoir essayé d'en cultiver. Je n'ai juste pas le talent de ma mère. » Ce qui était un fait réel et tangible. Les plantes, elles ne m'aimaient pas. À moins qu'elles ne soient sur papier! « Merci pour le compliment tout de même. Ça fait plaisir à entendre ! Rare sont ceux qui ont le droit de voir. Mais toi, tu es... Juste toi ! Je te montrerai le début et la suite de l'histoire si tu veux... » Fallait arrêter de bavarder pour rien dire. J'avais l'impression de me vanter en ce moment, et ça ne me plaisait pas trop. " Elle vient de où cette drôle d'idée ?!? Pourquoi je voudrais me vanter auprès de Sib' ? Elle m'a vu en couche-culotte. Probablement qu'on a même pris notre bain ensemble étant gamins. Elle est comme ma soeur... " Et pourtant, cette idée que je trainais depuis des années m'apparaissait un peu dérangeante aujourd'hui. Allez donc savoir pourquoi.

« Moi je flotte au dessus des problèmes comme toujours, fait toi un peu oublier pour le moment tu as peut-être assez encaissé entre toute les punitions et autre » Le conseil de mon amie était sans doute le bon, mais si elle savait ce qu'il se tramait. Si elle savait l'engrenage que j'avais enclenché derrière le dos de tous. Si elle savait ce que son frère et moi préparions, elle s'inquiéterait. Maël avait raison de vouloir la garder loin de ça, pour la protéger. L'idée était aussi rassurante de dérangeante. Comme si elle ne pouvait pas choisir par elle-même si elle voulait ou non être impliqué. C'était une question à creuser. En attendant, valait mieux suivre son conseil et se faire oublier. Passer sous le radar, ne pas trop attirer l'attention pour ne pas avoir plus d'ennuis que j'en avais déjà eu. « Tu devras m'aider. Je crains pas être très doué pour éviter les ennuis. Visiblement, je les aimante à des lieux à la ronde! » J'avais parlé sur un ton humoristique-sarcastique. Même quand je faisais rien, ils me tombaient dessus les ennuis. Si Sibylle pensait que Merlin avait quelque chose à voir avec notre vie, il m'en voulait beaucoup pour me faire subir tout ça. « Merlin contrôle mon monde, il a peut-être assez à faire avec moi pour ne pas vouloir s'occuper des autres ? L'avenir il l'écrit il n'as pas besoin de le voir tu sais ? Bien sûr qu'il est cool il me fait avoir une vie plutôt sympa si on regard pas certains détails. Vous les Serpentard vous avez bien besoin de type comme lui pour vous donner bonne image c'est pas gagner d'avance vu certaines personne et leurs antécédents. » Je rigolai. C'était agréable de voir tout ce positivisme en une seule personne. C'était rassurant de constater qu'il y avait, dans cette école, au moins quelqu'un encore capable de ne pas se laisser abattre. Je devrais suivre son exemple. « Et bien, Merlin, s'il contrôle mon monde, il m'en veut beaucoup! Suis-je un si mauvais serpentard que ça? J'ai toujours su que j'étais dans la mauvaise maison, mais pas au point de m'attirer les foudres de l'un des plus grands sorciers de l'histoire! » Et nous continuâmes à parler répartition. « Les maisons influes finalement beaucoup sur la scolarité je ne pensais pas avant d'arriver ici, il est vrai que tu me ressemble plus que tu ne ressemble à Maël même si cela doit être moins cool à vivre. Ton père aurait sans doute fait une crise cardiaque mais il aurait fini par si faire » Les jaunes et noirs ils étaient pas mal. Je ne serais sans doute pas la personne que je suis devenu aujourd'hui si j'y avais rejoint Sibylle. Je serais probablement toujours le petit Scorpius doux, gentil, qui se laissait marché sur les pieds et avait peur de blesser les gens en répliquant. D'une manière ou d'une autre, être à serpentard avait fait de moi la personne que j'étais devenue ce qui n'était pas plus mal. « J'aurais bien aimé aller chez les serdaigles comme ma mère. Et toi, tu aurais choisis quelle maison? » Sans doute que je lui avais déjà posé la question il y a bien des années, mais la réponse m'échappait.

Pendant que nous parlions, je m'étais remis à dessiner distraitement. En attendant à réponse de mon amie quant à savoir quelle maison elle aurait aimé fréquenter, je fis enfin attention à l'image qui prenait naissance sous les traits de mon crayon; une rose. Je l'avais dessiné machinalement, de mémoire. Elle était très réaliste, bien que manquait de finition à mon goût. La conversation sur les fleurs, un peu plus tôt, avait inspiré mon subconscient visiblement. Je tendis le croquis à Sibylle bien que ce ne soit pas terminé. « Je t'offre une rose! Fait attention, elle représente la vie; elle est d'une grande beauté, peut-être douce et agréable comme les pétales d'une rose, mais aussi piquante, dangereuse et imprévisible comme la tige garnie de piquants. Elle est reste pas moins magnifique! » Ne vous méprenez pas, ce n'est pas une technique de drague. C'est juste un dessin et quelques paroles que ma mère m'avait souvent dit quand j'étais petit. C'était sa fleur préférée parce que, selon elle, il s'agissait d'une représentation végétale de la vie brute. J'avais toujours aimé sa manière de voir les choses. « Alors dit moi, il se passe quoi de nouveau dans ta vie depuis la dernière fois ? Toujours des problèmes de garçons ? »
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L'amitié d'une femme pour un homme est souvent de l'amour qui ne se montre que de profil.
Sibylle & Scorpius

En sortant du château la jeune femme n'allait pas voir une personne en particulier mais quand elle avait vu son ami d'enfance elle n'avait pas hésiter et c'était mise assise à ses côtés et la conversation avait commencer simplement, ils étaient deux adolescents mais se connaissait depuis longtemps c'était un fait qui restait malgré leur éloignement depuis leur arrivée à Poudlard. Tout ne se passait pas toujours comme prévu dans la vie des amitiés solides pouvaient être brisé d'un coup d'un seul, d'autre se retrouver affaiblie malgré des promesses pour que cela n'arrive pas, les adolescents n'avait pas vraiment assez d'expérience pour pouvoir prévoir les aléas de la vie. Mais depuis quelque temps Sibylle avait prit conscience des choses et voulaient les faire évoluer de la bonne manière en retrouvant son amitié avec le jeune Malefoy, en s'ouvrant un peu plus au monde pour ne plus toujours être la fille au courant de rien, toujours décalée et oubliée ce n'était plus vraiment une chose qui la rendait heureuse et il fallait donc changer cela. Au final tout se faisait plutôt simplement, la brune c'était assise à côté du blond et la conversation était partie sans avoir à chercher trop loin, ou à subir un silence un peu pesant, sans doute parce qu'elle c'était intéresser au dessins que faisait le blond avant qu'elle n'arrive, c'était une chose qu'elle aimait beaucoup elle même dessinant parfois quand elle s'ennuyait elle n'avait pas un fort talent dans ce domaine là mais réussissait plutôt bien ce qu'elle tentait de reproduire si elle avait le bon modèle.


Son entrée en matière avait une nouvelle fois fait peur à son interlocuteur, le Serpentard n'était pas le premier à avoir été effrayé par la brune ce qui lui faisait se poser beaucoup de question était-elle entrain de se transformer en monstre ? ou en fantôme super discret ? Car personne ne semblait la voir ou l'entendre arrivée. Cela pouvait avoir du bon lorsqu'elle voulait pouvoir espionner une conversation ou une personne mais souvent elle se sentait mal de mettre des gens dans un drôle d'état en venant simplement leur parler. Mais les paroles de vert et argent était un peu rassurante, elle était un joli monstre c'était mieux que rien, sans doute qu'une autre personne n'aurait retenue que le fait d'être bel et bien un monstre, le genre de créature qui terrifie les enfants la nuit mais pas Sibylle toujours un peu sur sa petite planète personnelle. " Oh je suis une jolie monstre ? Ca me va j'aime être jolie, et puis un monstre jolie cela doit être mignon et attendrissant c'est cool merci" Oui vraiment la jaune et noir prenait cela comme un compliment son côté je vois la vie en rose tout est bon revenait assez souvent à la charge même si il était de plus en plus mit à mal par ce qu'il se passait autours d'elle dans le château. Au final elle avait récupérée le carnet de dessin pour pouvoir observer ce qu'était entrain de mettre sur papier son camarade, ce n'était plus de joli et doux dessins, le tout était beaucoup plus sombre, plus mature et plus sérieux et si elle trouvait cela beau elle n'était pas vraiment à son goût. Il était clair pour tout le monde que la douce Sibylle préférait un dessin comportant un jardin fleuris et des oiseaux qu'une mise en scène comportant des mauvais monstres et du sang le blondinet ne devait même pas être étonné de son petit commentaire, il la connaissait bien après tout. " Ta maman avait un don avec les plantes tout ce qu'elle faisait pousser était sublime je comprend qu'il te soit difficile de l'égaler ou de dessiner à nouveau des fleurs sans avoir l'inspiration que sa serre te procurait" La Poufsouffle elle même n'était pas très douée non plus pour faire pousser quelques chose, ou du moins pour garder en vie ce qu'elle faisait naître en dehors de la terre, trop tête en l'air elle oubliait souvent l'eau malgré les heures passer à regarder la maman de Scorpius faire.


" Je suis moi oui, et j'aime avoir le privilège de voir ce que tu dessines, j'ai hâte de voir la suite je suis sur que tout sera aussi beau que ce que je viens de voir." Par la suite la jeune femme annonça que pour elle tout allait bien elle flottait en dehors des ennuis comme toujours, sur son nuage et protéger par son frère car elle n'était pas stupide elle savait bien que Maël faisait tout un tas d'effort pour la garder hors des ennuis c'était un peu dommage pour elle car elle ne pouvait pas agir si il elle le voulait. Dans un sens elle laissait passer ne voulant pas non plus se mettre en danger cela n'aiderait pas, et elle aimait se faire protéger aussi sans doute parce qu'elle avait toujours eut l'habitude d'avoir sa moitié pour veiller sur elle. " Je vais t'aider du mieux que je le peux mais tu sais je ne les évitent pas non plus j'ai mon jumeau qui gère tout à ma place et qui pense que je ne le remarque pas" Elle ne pouvait pas se jeter des lauriers pour avoir sauver son popotin depuis le début de l'année, si elle aurait pu prendre part à la rébellion la brunette l'aurait fait parce qu'elle n'était pas d'accord avec la manière d'agir des adultes du château. Pourtant elle continuait de croire que Merlin gérait sa vie et lui donnait les cartes choisit pour elle à sa naissance afin qu'elle avance de la meilleure manière possible après tout son caractère changeait un peu et ce n'était pas plus mal elle devait apprendre à se protéger des aléas de la vie. Tout le monde ne pensait pas comme elle et la brunette avait l'habitude de voir son point de vue remise en question ce n'était pas nouveau et elle aimait débattre à se sujet là, surtout que Scorpius n'était pas mauvais dans ses paroles il pensait juste que Merlin avait une dent contre lui vu la difficulté de sa vie ce qui n'était pas faute, après tout il n'était pas vraiment gâté et pouvait penser ainsi. "Tu n'as peut-être pas été sage enfant et Merlin te puni mais il est super rancunier comme type il va parfois un peu trop loin, tu sais il est peut-être jaloux de toi ? Tu est peut-être justement un trop bon serpentard pour une personne pas faite pour cette maison et il se venge contre toi pour te faire fuir ?"

La brunette était la reine pour inventer des histoires totalement farfelue et sortie de nulle part mais ceux qui avaient l'habitudes en riait avec elle, les autres la prenaient pour une folle. " Tu y aurait sans doute eut ta place avec ton penchant pour la lecture" Quand il lui demanda dans qu'elle maison elle aurait aimée être Sibylle ne trouva pas de réponse naturelle depuis toujours elle n'avait jamais eut de préférence à la base la seule chose qu'elle voulait était d'être avec son jumeau même si cela n'était pas possible au vu de leur caractère différent. " Disons que je n'y ai jamais réfléchie par moi même, ma maison est très bien elle me correspond mais avant d'arriver ici la seule chose que je voulais c'était être avec Maël, rien de plus les maisons et leur différence ne m'intéressait pas, juste être avec lui m'aurait suffit mais maintenant que je suis ici je pense que les Poufsouffle sont ceux qui me correspond le mieux" Le choixpeau faisait bien son travaille même si parfois on pouvait en douté et remettre le choix en doute, les jeunes étaient à leur places dans leur maison et la jeune Sullivan ne pouvait pas remettre en cause le fait d'être une jaune et noir elle y était à sa place après tout et personne ne pouvait changer de maison en cours de route. Le vert et argent c'était mis à dessiner de nouveau mais cette fois il lui tendit la feuille ou une rose était dessiner dessus visiblement il avait eut de l'inspiration pour lui coucher sur papier une fleur qui était très joli, tout en lui parlant de la beauté de la rose c'était sans doute un discours entendu dans son enfance sa maman étant passionnée des fleurs elle en parlait souvent aux enfants alors son propre fils devait en savoir encore plus. " C'est très poétique, je suppose que cela viens de ta maman ? J'aime beaucoup en tous cas je vais l'accrocher au dessus de mon lit" Après tout c'était un cadeau, et elle appréciait grandement les plantes cela égaierait son petit espace.


" De nouveau rien, comme toujours je n'ai pas une vie passionnante cela deviens un peu lassant mais je n'arrive pas vraiment à faire changer les choses ... Non plus de soucis de garçon je me suis éloignée de la source du problème pour ne pas souffrir inutilement" Pour le moment tout était donc revenu à la normal le calme plat.
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l'amitié d'une femme pour un homme est souvent
de l'amour qui ne se montre que de profil
Sibylle & Scorpius
All I knew this morning when I woke Is I know something now, know something now I didn't before And all I've seen since eighteen hours ago is green eyes and freckles And your smile in the back of my mind making me feel like

« Oh je suis une jolie monstre ? Ca me va j'aime être jolie, et puis un monstre jolie cela doit être mignon et attendrissant c'est cool merci » avait répliqué Sibylle lorsque j'avais fait la remarque comme quoi les monstres étaient devenus assez joli depuis mon enfance. Je ne sais pas ce qu'il m'avait pris de dire une telle chose. Je le pensais, mais depuis quand je disais aux filles qu'elles étaient jolies même si, on devait bien l'admettre, c'était assez indirect. Le fond de ma pensée restait le même, mais je n'étais pas très à l'aise de l'admettre. L'avais-je dit parce que je la connaissais depuis très longtemps et que j'étais très à l'aise avec elle où était-ce pour lui faire plaisir? Sans doute un peu des deux. Ça n'empêcha pas le rouge de me monter aux joues, très mal à l'aise. Je m'avais piégé tout seul cette fois. Personne pour m'aider. « Euh... Tu trouves que tu es pas jolie? » Bravo Scorpius! Enfonce toi un peu plus profond dans la stupidité comme ça, tu seras certain de ne plus pouvoir faire surface. « Je veux dire que tu es jolie. Enfin, comme toujours... Tu as toujours été jolie, même quand nous étions enfants. Même avec cette robe stupide qui te donnait l'air d'un gâteau... » Plus je parlais, plus je m'enfonçais. Fallait se taire. Ou changer de sujet. Voilà. Ça, ce serait une bonne option... Mon carnet à dessins, voilà qui ferait une belle diversion. Elle se mit à regarder mes dessins, passant un commentaire comme quoi elle préférait l'époque où je dessinais des fleurs. On ne pouvait pas lui en vouloir, quelle fille n'aimait pas les fleurs? Ma mère, en tout cas, en était passionné. Nous avions une jolie petite serre à la maison qui, lorsque maman était en vie, était toujours resplendissante de verdure et odorante de tous ces parfums floraux. Depuis, elle était tristement vide. Les fleurs que je dessinais pas le passé n'était plus que de souvenirs. Maintenant, les pages blanches de mon carnet étaient recouvertes de dessins un peu plus sombres laissant transparaître mon état d'esprit. C'était triste, mais c'était ainsi. Je n'avais pas hérité du talent de ma mère pour la botanique. « Ta maman avait un don avec les plantes tout ce qu'elle faisait pousser était sublime je comprend qu'il te soit difficile de l'égaler ou de dessiner à nouveau des fleurs sans avoir l'inspiration que sa serre te procurait », dit Sibylle. Son commentaire fit naître un triste sourire sur mon visage. J'étais à la fois heureux, à la fois triste de penser à ma mère. Ça me faisait toujours cet effet. Elle me manquait beaucoup voyez vous. « Ce n'est pas faute d'avoir essayé de faire pousser quelque chose. Une amie à moi m'avait même donné une plante sensée être « facile » à entretenir. J'ai trouvé le moyen de la tuer.... J'ai pas le pouce vert, le mien il est noir! » ,dis-je en rigolant doucement au souvenir de la pauvre plante que Lui Xi m'avait confiée. Pas de chance, elle avait terminé dans la pile de compost....

Quand je disais être nul pour les compliments... J'avais dit à Sibylle qu'elle était juste elle. C'était vraiment nul! Ce que je voulais dire c'est qu'elle était géniale et que je lui faisais confiance. Pas question qu'elle comprenne quoi que ce soit dans ce que je venais de lui dire. Pourtant, elle le prit bien. Elle avait hâte de voir la suite et espérait que ce soit tout aussi beau. Pour le coup, je fus encore plus content que je ne le devrais. Ce qui me fit me sentir con, encore une fois... Ce ne fut pas pour arranger les choses lorsqu'elle disait « flotter au-dessus de tout ». C'était inquiétant en réalité. Il arriverait quoi si elle devait cesser de flotter? Le jour où elle s'écraserait au sol, il arriverait quoi? Ou si Maël devait ne plus être là pour garder un œil sur elle? En tout cas, elle était prête à m'aider a redorer mon blason aux yeux de Merlin, ce qui était assez touchant. Ça signifiait qu'elle allait passer plus de temps en ma compagnie? Ça me plaisait comme idée! « Tu n'as peut-être pas été sage enfant et Merlin te puni mais il est super rancunier comme type il va parfois un peu trop loin, tu sais il est peut-être jaloux de toi ? Tu es peut-être justement un trop bon serpentard pour une personne pas faite pour cette maison et il se venge contre toi pour te faire fuir ? », ajouta la belle poufsouffle. Son commentaire me fit rire. Un trop bon serpentard, moi? L'idée me plaisait, bien qu'elle me semblait un peu ridicule. « Et on fait comment pour ne plus qu'il se venge? Parce que, sincèrement, c'est assez ennuyeux de l'avoir sur le dos! », murmurais-je complice. C'était amusant de discuter avec Sibylle comme avant. Retrouver une amie que j'avais un peu perdu de vue était agréable. « Parce que tu sais aussi bien que moi que je n'étais pas très sage enfant. Mais c'est de la faute de Maël aussi, il avait le don de m'attirer des ennuis celui-là! » Je rigolai à ma plaisanterie. Si son jumeau était bien un fauteur de trouble, il ne m'avait jamais forcé à rien faire. J'y avais toujours pris part volontairement. Tout comme je le faisais avec Albus depuis la première année.

Je fis dévier de nouveau la conversation vers la maison que nous aimerions avoir. Si Sibylle prétendait que j'étais un trop bon serpentard, j'en étais peu convaincue. J'avais toujours eue l'impression de ne pas être à ma place dans cette maison. Si le sentiment avait été omniprésent à une époque, il s'était grandement estompé depuis. Je m'étais fait à l'idée d'être chez les verts et argent, mais j'avais toujours une petite partie de mon cœur qui rejoignait ma mère chez les aiglons. Qui sait, si j'avais terminé à serdaigle, peut-être aurais-je aimé être un vert comme mon père. L'humain est un être de contradiction! Sibylle me voyait à serdaigle, mais sa raison me fit rire. Ce n'est pas parce qu'on aimait la lecture qu'on était fait pour cette maison. Néanmoins, c'était pas totalement faux que les bleus et bronzes étaient des rats de bibliothèque comme moi. Et elle, quelle maison aurait-elle aimé rejoindre? Sa réponse me fit sourire. Je la reconnaissais bien à vouloir seulement être avec son frère. Elle accordait si peu d'importance à ce genre de chose; la répartition. Tout ce qui comptait était d'être avec la personne qu'elle aimait le plus au monde, sa moitié. Poufsouffle était, en effet, la maison qui lui allait le mieux. Le choixpeau avait bien fait son travail avec elle.

« C'est très poétique, je suppose que cela viens de ta maman ? J'aime beaucoup en tous cas je vais l'accrocher au dessus de mon lit », dit-elle après que je lui offris une rose et quelques paroles. Pas une vraie rose, juste un dessin que je venais de gribouiller. Je lui souris à pleines dents, amusé. « Non, ça vient d'un poète. Mais je ne sais plus lequel... Quoi qu'il en soit, l'avantage est que cette rose, elle ne se fanera pas! » J'aimais l'idée que mon dessin allait se retrouver au-dessus du lit de la belle brune. Elle allait voir quelque chose de beau en se levant tout les matins avant d'affronter la laideur de Poudlard. La conversation repris lorsque je lui demandai ce qu'il se passait de beau dans sa vie en se moment.Peut-être qu'elle avait toujours des soucis de garçons... « De nouveau rien, comme toujours je n'ai pas une vie passionnante cela deviens un peu lassant mais je n'arrive pas vraiment à faire changer les choses ... Non plus de soucis de garçon je me suis éloignée de la source du problème pour ne pas souffrir inutilement », répondit-elle d'un ton plat. Et bien, c'était pas la joie son truc! « Je me demande bien ce que ce garçon avait dans la tête s'il ne voulait pas de toi... », dis-je sur un ton un peu ailleurs. Me rendant compte de la bêtise que je venais de dire, je cherchai quelque chose à dire ou à faire pour cacher mon malaise. Je ramassai mes trucs que je fourrai dans mon sac. Je passai ce dernier sur mon épaule avant de me redresser. « Allez vient! On doit mettre un peu de piquant dans cette vie ennuyante! Qu'elle est la chose que tu as toujours eu envie de faire, mais jamais fait de peur de ce que les autres pourraient penser de toi? » Tout en parlant, je lui tendis la main pour l'aider à se redresser à son tour.
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