♦ Nom: Browning ♦ Prénom: Bailee ♦ Date de naissance: 19 septembre 2006 ♦ Age: 12 ans ♦ Nationalité: Anglaise ♦ Ville d'origine: Oxford ♦ Ville de résidence: Oxford ♦ Ascendance: sang-mêlé
Je veux le connaitre, parlez moi plus de lui.
♦ S'il (elle) devait choisir une seule matière ce serait laquelle ? :Métamorphose.
♦ S'il (elle) s'approchait d'un chaudron d'Amortentia, il (elle) sentirait quoi ? : L’encens et le chocolat chaud.
♦ C'était comment avant Poudlard ?: C’était le tableau de la famille parfaite, à gauche le père qui travaille pour nourrir sa petite fille mais rentre le plus vite possible le soir pour la retrouver. A droite la mère qui a décidé d’abandonner son travail pour s’occuper de sa fille. Enfin, au centre, la petite Bailee, nouveau membre de la famille Browning et qui bénéficie de beaucoup d’attention, trop d’attention peut-être. Le tableau resta à l’identique pendant les trois premières années de la vie de la petite fille, c’était une enfant éveillée et très entourée, sa mère se précipitait pour immortaliser chaque événement nouveau dans la vie de sa fille et Bailee ne se lassait pas d’être le centre du monde. C’était certainement bien trop beau pour durer. Bailee venait de fêter ses trois ans lorsqu’un nouveau membre vint s’ajouter à leur petite famille. La petite fille la détesta immédiatement. Elle représentait une menace pour elle, ses parents faisaient bien moins attention à elle depuis que cette petite crevette existait. Oh bien sûr, il leur arrivait toujours de passer des moments en famille, mais jamais sans le nouveau bébé, or la petite Margaret ne faisait pas, et ne ferait jamais, partie de sa famille. Ses parents ne mirent pas très longtemps à s’apercevoir que quelque chose n’allait pas. Une série de petits détails sans importances pris individuellement, mais qui mis bout à bout pouvaient sembler inquiétants, attirèrent leur attention. Il faut dire que Bailee ne perdait pas une seule occasion pour tenter de supprimer le bébé qui lui gâchait la vie, elle lui mettait la tête sous l’eau pendant le bain, essayait de renverser son berceau, et beaucoup d’autres choses, ce qui demandait une vigilance toujours accrue de la part des parents. Ceux-ci finirent par l’emmener voir un médecin, convaincus que cette situation étrange allait durer s’ils ne faisaient rien. Le spécialiste qui les reçut les rassura tout de suite. C’était une réaction courante chez les enfants unique et Bailee allait accepter la présence du bébé avec le temps. Mais il n’en fut rien. La petite fille se contenta juste d’arrêter ses tentatives bien trop prévisibles pour se débarrasser de sa sœur, mais la haine qu’elle éprouvait envers cette dernière était toujours bien présente. Margaret était sans cesse rejetée et qu’elle en souffre ou non indifférait complétement Bailee. Elle se contentait donc de mener son combat en solitaire persuadée qu’elle arriverait un jour à évincer sa petite sœur. Mais elle n’avait pas du tout ajouté Poudlard dans l’équation. Elle avait entendu parler de cette prestigieuse école de magie, son père étant lui-même un sorcier, elle côtoyait aussi bien le monde magique que le monde moldu, mais elle n’avait pas envisagé un seul instant d’être éloignée de sa famille malgré elle. Pourtant, les dons qu’elle commença à développer à l’âge de six ans laissaient présager qu’elle allait suivre le chemin tout tracé par son paternel. Bailee reçut sa lettre pour ses onze ans et ne partagea pas du tout l’enthousiasme familial. Elle tenta sans succès de convaincre ses parents de la garder avec eux, mais ils ne comprenaient pas pourquoi elle refusait cette opportunité en or. Ils n’écoutèrent absolument pas les supplications de leur ainée, et Bailee se retrouva sur le quai de la gare avec les autres élèves. Son départ signifiait beaucoup plus qu’un éloignement pour la petite fille, elle avait l’impression de déposer les armes, sa sœur avait finalement gagné la partie et occupant tout son territoire.
♦ Et une fois qu'il (elle) en sera sorti(e), il (elle) fera quoi ? : C’est très dur à dire pour une petite fille de seulement onze ans. Peut-être continuera-t’ elle à préférer le monde moldu au monde magique. Dans ce cas, elle s’évertuera à couper tout contact avec son ancienne vie et entreprendra des études de droit dans le monde moldu. Si en revanche, elle finissait par accepter le monde des sorciers, elle pourrait bien tenter de percer dans le monde des sorciers, toujours dans le même domaine de compétence. Bailee ne choisira certainement pas d’avoir une famille nombreuse, elle a toujours pensé qu’on aimait moins le premier enfant après en avoir eu un deuxième ou un troisième, elle a peut-être tort mais rien ne la fera changer d’avis.
Et sa famille dans tout ça ?
♦ Père:Lowell Browning est un sorcier. Il a fait ses études à Poudlard à serdaigle et espérait de tout son cœur que ses enfants suivent le même chemin que lui. Une fois sa scolarité terminé il entreprit de longues études avant de rejoindre le rang des médicomages à l’hôpital Ste Mangouste. Il avait toujours voulu une famille nombreuse, mais il dû faire des compromis devant le refus catégorique de sa femme.
♦ Mère:Amy Browning est une moldue. Elle a très vite accepté le fait que son mari soit un sorcier. C'est une jeune femme franche et ouverte d’esprit, elle ne voulait pas d’enfant, mais son mari a tout de même réussis à la convaincre. Son rôle de maman lui a permis de s’épanouir contrairement à ce qu’elle imaginait. Plus jeune elle enchainait les petits boulots, mais Amy a préféré arrêter de travailler lorsqu’elle est tombée enceinte pour la première fois, elle a alors décidé de se lancer dans la photographie, et expose dans de petites galeries très peu connues en tant qu’amateur.
♦ Frère(s) et soeur(s): Bailee a une petite sœur de trois ans sa cadette, Margaret Browning. Une rivalité c’était tout de suite installée entre les deux petites filles. Bailee voyait plus ce nouvel enfant comme une menace que comme une camarade de jeu ou encore une futur confidente. Margaret a un caractère beaucoup plus effacé que sa grande sœur, elle est donc beaucoup moins souvent punie et s’attire très peu d’ennuis. Cela ne fait malheureusement qu’entretenir l’inimitié existant entre les deux sœurs.
Il était une fois la répartition.
Exemple de RP. Imaginez votre répartition et racontez la. -N'oubliez pas que vous n'aviez qu'onze ans à cette époque.- Un minimum de 10 lignes vous est demandé, comme dans tout RP, mais plus vous en faites, mieux c'est !
« Je veux pas, je veux pas, je veux pas. »
Bailee tentait tant bien que mal de s’accrocher à ses couvertures pendant que son père la tirait pour la forcer à se lever. Ce n’était pas gagné, s’ils voulaient réellement la mettre dans ce train, ils allaient devoir lui passer sur le corps. Déjà qu’elle ne voulait pas y aller, c’était beaucoup trop lui demander que de faire preuve de bonne volonté. Au bout de plusieurs minutes d’une lutte acharnée, la petite fille dû se résoudre à déposer les armes. Bien sûr elle s’employa pendant tout le reste des préparatifs de départ à afficher sa tête des mauvais jours, mais elle se prépara sans faire d’histoire pour le plus grand bonheur de ses parents. Bailee aurait pu tenter de résister un peu plus, elle avait plus d’un tour dans son sac, mais elle savait que fatalement elle se retrouverait dans ce maudit train à l’heure prévue. Alors autant économiser ses forces, elle en aurait bien besoin pour tenter de s’enfuir de l’école quand elle y serait arrivée. La petite fille avait lu tous les livres offerts par son père concernant Poudlard et avait écouté toutes les histoires abracadabrantes racontées par son père. La petite fille savait donc qu’il était impossible de sortir de l’école à moins que le directeur soit au courant, mais Bailee était confiante, elle trouverait un mensonge à raconter à cette bonne femme pour rentrer chez elle précipitamment.
Mais avant de pouvoir revenir, il fallait déjà partir. Bailee fut conduite par sa mère à la voiture, cette dernière lui tenant fermement la main, peut-être par peur que sa progéniture prenne la fuite avant d’être sagement assise sur la banquette arrière. La gamine aurait pu monter dans la voiture sans faire d’histoire mais un simple coup d’œil lui apprit qu’elle n’allait pas être la seule à s’assoir à l’arrière. Une Margaret parfaitement calme l’attendait, affichant le même sourire angélique que d’habitude. Cela suffit à assombrir davantage le visage de Bailee, qui lâcha brusquement la main de sa mère, croisant les bras pour montrer son refus catégorique d’ouvrir la portière.
« Je veux pas qu’elle vienne. De toute façon elle est trop jeune pour aller à Poudlard. »
« Allons ma petite chérie, on ne peut pas laisser ta sœur toute seule à la maison, tu le sais bien. »
« J’irais pas dans la voiture, je veux pas. »
Bailee trépignait sur le trottoir, sous le regard médusé des rares passants. Les caprices de la petite fille commençaient à se faire connaitre un peu partout. Elles étaient même devenues le principal sujet de conversation de leurs voisins, qui considéraient l’éducation parentale de la petite fille, bien trop souple à leur gout. Son petit manège dura là encore quelques minutes et c’est après de longues négociations que Bailee s’installa enfin à côté d’une Margaret qu’elle traita avec une indifférence exagérée. Le trajet jusqu’à la gare fut court, ses parents avaient pris une chambre d’hôtel toute proche, ce qui raccourcissait le trajet de façon non négligeable. La petite famille ne mit pas longtemps à se rendre jusqu’à la voie 9 ¾, et même si sa mère semblait impressionnée, elle ne laissait rien paraitre. Elle se contentait d’avancer, tâchant de ne pas perdre de vue la petite Margaret qui trottinait devant. Bailee quant à elle fermait la marche en trainant les pieds. Le quai était bien remplit et il leur fut difficile de se frayer un passage parmi tout ce monde. Bailee faisait encore une fois preuve d’une mauvaise volonté évidente, mais une exclamation de sa mère la fit subitement relever la tête.
« Oh mon Dieu ! Shelley ! »
Sa mère venait certainement de reconnaitre une de ses amies, puisqu’elle engagea très vite la conversation sans même prendre le temps de la présenter. Bailee s’impatientait, elle n’allait tout de même pas passer son temps à bavasser tout de même, c’était elle la plus importante aujourd’hui, elle qui allait partir jusqu’aux vacances de Noël. Comment pouvait-elle s’en désintéresser à ce point. Elle s’apprêtait à lui dire le fond de sa pensée, lorsque les signes de mains d’une petite fille attirèrent son attention, elle y répondit par un vague sourire, plus pour qu’elle arrête de gesticuler de la sorte que pour paraitre amicale. Son maigre sourire sembla être interprété comme un signe de profonde amitié, sa tentative pour se débarrasser avait non seulement échouée mais semblait avoir également renforcé des liens inexistants. Bailee fut donc contrainte d’accueillir sa nouvelle camarade avec le sourire, autant ne pas commencer l’année en ce faisant des ennemis, d’autant plus qu’elle n’était pas seule, et le garçon qui était probablement son grand-frère ne serait pas ravi qu’elle envoie promener sa cadette.
"Bonjour ! J'm'appelle Candlynn, on s'est déjà vues, hein ? Je vais à Poudlard cette année, toi aussi tu y vas ?"
Bailee haussa les sourcils, interloquée, elle ne se souvenait pas avoir déjà vu la petite fille qui se tenait en face d’elle, et elle n’avait pas vraiment envie de faire appel à sa mémoire pour régler ce problème. Mais si sa nouvelle camarade continuait à faire la conversation, il était fort probable qu’elles loupent le train, elle pourrait bien monter en flèche dans son estime.
« Bailee, je crois que ouai, on s’est déjà vues. Et oui, je vais à Poudlard je suis pas venue visiter la gare. »
Loin d’entamer l’enthousiasme de sa probable nouvelle amie forcée, la réponse sèche de Bailee sembla même la réjouir. Candlynn commençait à lui plaire, l’enfant ne pensait pas trouver si facilement une personne sur laquelle elle pourrait passer sa mauvaise humeur quotidienne sans qu’elle prenne la mouche.
« Tu savais, toi, que t'allais y aller ? Je croyais que c'était une blague pas drôle quand j'ai reçu la lettre et après y'a quelqu'un qui est venu tout nous expliquer. C'est bizarre quand même qu'on nous dise rien quand on est petits, ce serait mieux je trouve. »
Alors comme ça, elle venait d’une famille moldu. Parfait, même si elle se coltinait à coup sûr la fille, elle allait pouvoir échapper au grand-frère. Tous les deux semblaient très proches et même si elle n’avait pas eu l’occasion d’entendre parler le garçon, elle se doutait qu’il devait être au moins aussi agaçant que la frangine.
« Ouai, je le savais mon papa est un sorcier. Bah tu le sais quand t’es petite, t’as des trucs bizarre qui se passent de temps en temps, t’as jamais fait attention ? »
Pour ce qui était de louper le train, ça semblait compromis. La petite Candlynn sembla subitement réaliser à quel point le départ était imminent. Bailee n’eut d’autre que choix que de se retourner vers sa petite famille, observant du coin de l’œil les adieux touchant de sa camarade. La petite fille enlaça tour à tour ses parents qui prirent pour l’occasion une mine tristounette peut crédible aux yeux de leur fille qui desserra son étreinte sans le moindre pincement au cœur. Ignorant royalement la petite Margaret qui lui tendait les bras, elle monta dans le train, laissant son père lui apporter sa valise.
« Tu n’as pas oublié quelque chose Bailee ? » « Euh…. A plus tard ? » « Non, ta sœur, viens dire au revoir à Margaret. » « J’ai pas envie »
Sa maman n’insista pas à attrapa la main de sa cadette d’un air résigné, elles étaient comme chien et chat depuis tellement longtemps, il aurait été naïf de sa part d’espérer un miracle. Bailee c’était déjà totalement désintéressée de sa petite famille, elle observait les adieux touchant de Candlynn qui versait toutes les larmes de son corps. Elle ne put s’empêcher de la trouver touchante et sa mauvaise impression de départ commençait réellement à disparaitre. La petite fille resta tout de même en retrait, ne voulant pas lui voler ses derniers instants en compagnie de son frère. Ce n’est que lorsque le quai ne fut plus visible qu’elle tenta vaguement de la rassurer. Elle savait qu’elle serait pour le moment inconsolable, mais il fallait tout de même essayer. Bailee tenta un sourire le plus amical possible et lui tendit une main amicale.
« Viens, on va trouver des places. Si tu veux je t’expliquerais plein de trucs cool sur Poudlard avant qu’on arrive. »
Sans plus attendre, elle entraina sa nouvelle amie en direction d’un compartiment libre, trainant sa lourde valise derrière elle. Elles durent parcourir tout le wagon avant de dénicher un espace inoccupé, Bailee s’assit avec soulagement et comme promis entama un monologue qui ne s’interromprait qu’une fois le train entré en gare. La petite fille voyait bien que sa nouvelle amie ne l’écoutait pas, mais elle continuait tout de même. A choisir, elle préférait nettement voir une Candlynn pensive qu’une Candlynn triste, et pour l’instant ses larmes avaient disparues, c’était plutôt bon signe. Bailee s’étonnait elle-même, elle ne pensait pas pouvoir s’attacher à quelqu’un aussi rapidement, et pourtant même avec toute la bonne volonté du monde, elle n’aurait pas pu abandonner Candy de son plein gré. Le destin s’en chargea pour elle, la foule qui se pressait à la descente du train finit par les séparer malgré elles. La petite Browning tourna la tête dans tous les sens sans pour autant l’apercevoir. Elle abandonna vite des recherches qu’elle savait perdues d’avances et suivie le flot de premières années qui se dirigeaient vers les barques. La disparition de sa nouvelle amie avait suffi pour que son sourire amical disparaisse et elle affichait de nouveau une mine boudeuse qui découragea ses camarades de barque d’engager une quelconque conversation. Le trajet se fit donc dans un silence religieux et la totalité des élèves semblèrent ravis de pouvoir mettre à nouveau les pieds sur la terre ferme. Pendant toute la durée de leur marche à pied, sans doute destinée à les amener jusqu’à la grande salle, Bailee ne fit pas attention à ce qui l’entourait. Elle garda les yeux résolument vissés sur ses chaussures, et ce n’est que lorsque le professeur McGonagall s’avança vers eux, qu’elle releva enfin la tête. Toute la petite troupe fut bientôt conviée à entrer dans la grande salle. Bailee n’avait pas eu le temps de demander à son amie qu’elle maison elle espérait, mais à bien y réfléchir, il était probable qu’elle n’en ai pas la moindre idée. L’enfant quant à elle voulait suivre les traces de son père en se retrouvant à serdaigle, mais elle savait que même si elle n’y parvenait pas, sa famille ne lui en tiendrait pas rigueur. Pendant la traversée, elle ne put s’empêcher de lever la tête pour admirer le plafond dont son père lui avait tant parlé. Il était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé, et Bailee était complétement émerveillée. Elle aurait pu le contempler pendant de longues minutes encore, si son nom n’avait pas retentit dans la grande salle.
"Browning, Bailee !"
La petite fille se dirigea vers le choixpeau sans la moindre appréhension, quel que soit le verdict, elle l’accepterait.
La question du Choixpeau.
Un gâteau des plus appétissants apparaît devant toi sans que tu ne saches d'où ni de qui il vient...
[ ]Tu l'offres à quelqu'un ? [X]Tu le dévores jusqu'à la dernière miette ? [ ]Dans le doute, tu n'y touches pas ? [ ]Tu ne le remarques même pas et continues ton chemin ?
Derrière l'écran, y'a bien quelqu'un ?
♦ Prénom (ou Pseudo) : Sophie. ♦ Age :Toujours le même, mais plus pour longtemps. ♦ Présence : Un peu tout le temps. ♦ Comment t'es arrivé(e) là ?:J’ai suivi les panneaux. ♦ Un tit mot ?:Carpe diem. ♦ Star de l'avatar : Isabelle Fuhrman
Haaaaaaan merci (mon premier quatre mains), c'est un peu la honte d'aller à serdaigle, mais quand faut y aller faut y aller.
Le Choixpeau Magique
À SAVOIR Arrivé(e) le : 21/04/2011 Parchemins rédigés : 1912 Points : 0 Crédit : (c) Septimus Veturia
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Epouvantard: Matières suivies et niveau: Points Défis: (0/0) Disponible pour un RP ?: D'autres comptes ?:
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