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marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent.
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marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. Empty
Message(#) Sujet: marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. EmptyLun 20 Fév - 23:17



Marie est un(e) sang-pur, né(e) le 5 février 2001 à Édimbourg en Ecosse ♥. Elle vit toujours à Édimbourg en Ecosse (Royaume-Uni). Aujourd'hui, Marie a donc 22 ans et est fait des études pour devenir astrophysicienne. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il a un chat qui s'appelle Nox.

Il est bon de savoir que Marie est Intelligente, Courageuse, Amicale, Féminine et Déterminée mais également Manipulatrice, Jalouse, Arrogante, Capricieuse et Désordonnée. Elle a des goût étranges, par exemple elle aime les fruits surtout les pommes, les blonds, les séries tv ou les gens meurt, les films d'amour ou les amoureux meurt ou encore les parfums gout vanille pomme alors qu'elle déteste les poux, les vantarde, les riches, le soleil et la mer.

Sa baguette est composée de bois de chèvrefeuille avec un coeur de ventricule de dragon et mesure 29 centimètres. Grâce à elle, Mariea le malheur de faire sa scolarité à Poudlard dans la maison de Serpentard.



Marie a. de stahl
feat. La magnifique Adelaide Kane ♥

ET EN VRAI ?
J'ai 20 ans. Je suis arrivé(e) sur NYL grâce a une magnifique amie et je devrais être là en moyenne 7 jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que j'suis une chieuse mais tout le monde s'en tamponne.


Tout le monde a une histoire

« Il y a toujours un peu de folie dans l'amour, mais il y a toujours un peu de raison dans la folie. »

Tu es née en Écosse, plus précisément dans les Hébrides Extérieures, sur l'île Barra. Une très belle île soit dit en passant, néanmoins tu t'en rends de moins en moins compte, sans doute parce que tu l'as quittée seulement pour rejoindre Poudlard. La neige tombait dehors lorsque tu as vu le jour, et ta mère aime dire que les flocons qui tombaient ont donné à tes yeux une couleur des plus splendides, à ton sourire la pureté d'un ange, à ta voix la douceur d'une brise mélodieuse – elle exagérait peut-être un peu, soit. A vrai dire, ta naissance en elle-même n'a rien de particulièrement. Le problème, c'est plutôt le pourquoi du comment. Tes parents. Ton père est Arthur a. de stahl, qui s'occupe par tradition des Noirs des Hébrides, dragons vivant sur l'île où tu es née, immenses et dangereux, somme toute impressionnants. Un homme fort, loyal, un meneur talentueux – enfin, tu n'es pas d'accord sur ce point, mais nous y reviendrons plus tard – qui n'a peur de rien et est fidèle à son "clan". A son clan peut-être, mais en aucun cas à sa femme. Elle l'aimait, lui avait offert une belle famille et déjà quatre enfants, pourtant il l'a trompée. Et comme une fois n'était pas suffisante, il a recommencé. Personne ne sait combien de fois il a déshonoré sa femme, d'ailleurs lui-même ne s'en souvient peut-être même pas. Il n'est qu'un coureur de jupons, un menteur qui se croit au-dessus de tout le monde, arrogant au point de se croire suffisamment parfait pour tout gérer seul sans le moindre avis extérieur. Abruti, que tu songes lorsqu'on évoque son nom. Mais bon, passons, après tout ce récit est ton histoire, pas la sienne – manquerait plus qu'il te vole la vedette, tiens, ça ne t'étonnerait même pas. Parlons plutôt de ta mère, parce que c'est à partir d'elle que les problèmes commencent vraiment. Évidemment, ton père et son narcissisme des plus désespérants – révoltants – ne put faire dans la demi-mesure lorsqu'il trompa sa femme neuf mois avant ta naissance. Non, il fallait qu'il fasse son intéressant, son arrogant égocentrique, et qu'il finisse dans le lit de ta mère. La femme de son frère. Oui, sérieusement, c'est honteux. Et tu es née de cette union. T'aimes à croire que s'il a eu d'autres relations extra-conjugales, c'était dans le but d'obtenir une autre fille aussi parfaite que toi. Échec : tu es la seule, l'unique, la fantastique Marie a. de stahl. Bien peu modeste cependant, voyons la vérité en face.


C'est ta mère qui a choisi tes prénoms, à vrai dire ton père n'a pas eu son mot à dire. Quant à ton beau-père, disons qu'il ne tenait pas vraiment à choisir comment s'appellerait l'enfant de son frère et de sa femme, fruit d'une passion d'une nuit qu'il n'avait pas lieu d'être. Cela aurait pu faire un véritable scandale, pourtant il est resté relativement calme. Il en veut néanmoins énormément à ton géniteur pour cela, et ce malgré les années. Ta mère a donc décidé que ton premier prénom serait Marie, ce qui signifie à ses yeux un signe de royauté. En effet, tu étais son premier enfant, la chair de sa chair, et malgré l'infidélité qu'elle avait commise pour que tu viennes au monde, elle t'aimait du plus profond de son cœur. Ensuite, elle a choisi Rachel. Un prénom court, simple, et dont la signification te force à croire que tu es unique, géniale. Tu te demandes parfois si c'est pour cela que tu es restée « fille unique » toute ta vie – quoiqu'avec le nombre de demi-frères et sœurs que tu as, cette affirmation reste discutable. En réalité, tu l'es parce que tout ce que ta mère souhaitait en trompant son mari, c'était un bébé. Elle voulait juste tomber enceinte, être maman, son rêve depuis qu'elle était adolescente. En effet, les nombreuses tentatives de concevoir un enfant avec ton beau-père ne menaient à rien, tant et si bien qu'elle le pensait stérile. Elle le trompa par la suite, choisissant cependant la mauvaise personne : son beau-frère – mais puisque tu es née de cette union, cela arrange un peu cette erreur. Son mari – qu'est-ce que ça peut être compliqué les histoires de famille quand chacun est incapable de rester dans son lit ! – a pris cela pour une véritable trahison, pourtant il ne l'a pas déshonorée à son tour, ne demandant même pas le divorce. Peut-être l'aimait-il trop, ou alors était-ce simplement parce qu'il savait à quel point il était difficile de trouver une femme qui accepterait de l'épouser au vu de son métier. Il lui a fallu plusieurs mois pour lui pardonner, le temps d'apprendre qu'il était définitivement stérile et ne pourrait jamais avoir d'enfant « à lui ». C'est à partir de là qu'il a commencé à te considérer comme sa fille, contrairement à ton véritable père qui ne vaut pas deux mornilles.

Appartenir à un clan, ce n'est pas toujours simple. Les Noirs des Hébrides, voilà leur nom. Immenses, majestueux, puissants... dangereux. Impressionnants sans nul doute de par leur taille – certains atteignent les neuf mètres de hauteur –, ils ont néanmoins bien plus que cela. Leurs yeux violets sont magnifiques, leurs écailles d'ébène rugueuses intrigantes, la rangée de pointes courtes mais aussi tranchantes que des rasoirs le long de leur échine protectrices, leurs ailes de chauve-souris somptueuses, leur queue et la flèche qui l'achève... tant de détails qui rendent ces créatures des plus extraordinaires. Ces bêtes forcent le respect, c'est certain. Elles sont sublimes, c'est quelque chose que tu n'as jamais pu nier, même lorsque tu étais haute comme trois pommes et que tu avais interdiction de t'approcher de la réserve. Mais leur beauté ne les rend pas moins menaçantes, redoutables, meurtrières. Ainsi, tu les as très vite admirées. De loin, suffisamment lucide pour comprendre que t'en approcher de trop près était aussi stupide que risqué, tu les contemplais malgré ta petite taille et tes yeux encore remplis d'innocence. A l'époque, on te protégeait de tout leur côté néfaste et destructeur, ainsi tu as grandi sans en connaître la réelle dangerosité. Petite fille normale, délicate, douce... mais terriblement exigeante. Capricieuse.

D'aussi loin que tu t'en souviennes, t'as toujours été cette gamine à qui l'on donnait tout sans grands efforts. Rares étaient ceux te tenant tête. Ton père en faisait malheureusement partie, mais il s'occupait peu de toi alors cela n'avait pas grande importance. Peut-être est-ce pour cela que tu lui voues une haine sans limite, et qu'il ne t'inspire que colère et dégoût. Parce qu'en plus de ne pas être des plus présents pour toi – sa fille parfaite tout de même –, il était de ceux ne cédant pas à tous tes caprices. A l'inverse, ta mère était incapable de ne pas succomber à tes beaux yeux bleus et à ton visage d'ange. Il te suffisait d'une demande, et elle accédait à tous tes désirs sans trop poser de questions. Tu voulais des bonbons ? Aucun problème, ta mère t'en offrirait. Tu pouvais avoir tout ce que tu voulais, des gnomes au poivre qui te permettaient de cracher du feu comme un véritable dragon – quoique t'étais loin de faire leur taille, avec ton petit gabarit de demoiselle frêle – aux fizwizbiz grâce auxquels tu t'élevais au-dessus du sol en riant. L'une des seules fois où tu regrettas ta gourmandise que personne n'arrêtait, c'est le jour où tu gouttas un suçacide. Tu avais six ans et tu refusais d'écouter ta mère qui affirmait que tu n'aimerais pas ça. Alors tu en as pris un, l'as mis dans ta bouche et as hurlé lorsqu'un trou est apparu au milieu de ta langue. Certains diront sans doute que tu le méritais, mais toi tu n'as pas du tout rigolé. La friandise a volé à travers la pièce, puis tu t'es mise à pleurer. C'est à peu près à ce moment-là que tu as commencé à te détourner des bonbons – quoique tu raffoles encore des marshmallows que vous grilliez au coin du feu lorsque tu étais enfant – pour t'intéresser à quelque chose de beaucoup plus... exceptionnel : les dragons. Ils te passionnaient déjà auparavant, néanmoins ce sentiment ne fit que croître, à tel point que tu pouvais passer des heures à les observer – de loin, toujours, t'étais pas bête au point de risquer ta vie, ou tes oreilles durant une dispute ou même une réprimande. Les flammes qu'ils crachaient, leur taille, leur puissance, tout chez eux était impressionnant. Ils semblaient dotés d'un pouvoir tel que tu ne pouvais que les admirer. Douce fascination qui ne te quittera plus.

Tu es née pendant une période ou tes mouvements étaient analyser, tu ne comprends pas tu n'as que 6 ans. Tes parents esquivent le sujet tu n'essayes pas d'en savoir plus. Tu avais six ans lorsque pour la première fois tu dus faire la violence et la véritable dangerosité de ces dragons qui détenaient dans leur gueule une arme des plus puissantes. C'était un feu assassin qu'ils crachaient et qu'ils crachent encore, bien loin de celui qui s'échappait de ta bouche lorsque tu mangeais quelques bonbons qui te faisaient beaucoup rire. Tu en compris la réelle importance, et tu dus affronter son côté funeste. Affronter est sans doute un bien grand mot puisque, contrairement à tes cousins – et demi-frère et sœur – Fergus et Ysolte, tu n'as pas vu les corps carbonisés des deux moldus qui n'auraient pas dû s'aventurer aussi loin de leur ferme, néanmoins c'est ce jour-ci que tu réalisas la véritable puissance de ces créatures qui te fascinaient déjà. Tu les craignais et les admirais déjà toute petite, mais cet événement, certes tragique, alluma chez toi une flamme plus grande encore. Une volonté de posséder une puissance comparable à la leur dans le monde des sorciers. Tu voulais t'élever dans les airs comme eux, être respectée à leur image, écoutée et admirée, et plus que tout tu souhaitais sentir un pouvoir tel que le leur dans tes mains. Tu souhaitais leur ressembler, et tu voulais le pouvoir.

Pour tes sept ans, tu reçus ton premier balai de la part de ta mère et de ton beau-père, ce dernier s'avérant très enthousiaste car fan de Quidditch. Tes premiers vols étaient loin d'être concluants, à vrai dire tu avais énormément de mal à rester longtemps dans les airs de par ton manque d'équilibre évident. Pourtant, tu n'as jamais renoncé. Tu étais déjà très têtue, ambitieuse qui plus est, ainsi il était certain que, si tu voulais voler, rien ne t'arrêterait. Pas même les nombreuses chutes que tu faisais. Tes genoux ont beaucoup souffert, et de temps à autre ta tête heurtait si violemment le sol que tu étais incapable de te relever. Complètement sonnée. Il t'a fallu du temps pour y arriver, plusieurs mois, et malgré les heures qui s'écoulaient sans que tu ne puisses constater de réels progrès tu ne baissais pas les bras. Tu n'as jamais baissé les bras. Tu as toujours été une battante, de ceux qui n'abandonnent jamais et luttent jusqu'au bout pour réaliser leurs rêves. Tu obtins finalement un résultat des plus satisfaisants : un peu plus de vingt-six semaines – c'est-à-dire six mois – après le début de ton entraînement, tu volais à la perfection. C'était, à tes yeux, un premier objectif réalisé, une première étape surmonté, une première marche gravie sur l'escalier qui te conduirait jusqu'au pouvoir. Bon, en réalité, t'avais même pas huit ans donc t'étais surtout une gamine des plus heureuses, mais aujourd'hui c'est ainsi que tu le vois.

Neuf ans à peine, et déjà tu as cette fâcheuse habitude d'écouter aux portes. T'y peux rien, t'as toujours été curieuse, et qui plus est contre les règles. Quoique, ce jour-là, tu t'es rendue compte qu'elles pouvaient tout de même être très utiles – cela n'empêche que tu ne les respectes toujours pas, même si ça t'arrive de temps à autre, mais soit. C'était un seize février, celui de l'année 2010. Tu venais d'avoir neuf ans, t'étais une « grande fille » désormais. Enfin, selon ta mère, parce que selon ton père t'étais pas grand chose, et pour cela tu le détestais. Alors ce jour-là, tu as décidé de te la jouer rebelle. Bon, en réalité t'as juste écouté aux portes, mais c'est déjà pas mal pour une morveuse, non ? Qu'importe, le fait est que, l'oreille collé contre la planche en bois, debout sur la pointe des pieds pour faire le moins de bruit possible, respirant tout bas pour ne pas être vue puis réprimandée, tu entends ce qu'il se passe. Ce qu'ils se disent. T'entends le patriarche qui crie, grogne, s'emporte – crétin –, et même si tu ne le vois pas tu sais qu'il est furieux et que sa voix menaçante n'est pas un bon présage. Il a toujours été autoritaire, trop à ton goût d'ailleurs, mais tu as toujours réussi à t'arranger pour te cacher derrière ta mère si ce n'est ton beau-père et te protéger de ses colères. T'es un ange, un ange qu'il ne peut attendre, lui et ses grands airs – abruti. Puis t'entends des pas et tu crains un instant que l'on s'approche de toi, avant de te rendre compte que ce n'est pas le cas. De la paille craque – après tout tu écoutes ce qu'il se passe dans une grange, tu t'attendais à quoi ? – et finalement c'est la voix inquiète de ton cousin Fergus qui te parvient aux oreilles. « Tu m’as fait peur. T’es tombée de ton balai… » Tu suis attentivement ce qu'il raconte, les sourcils froncés, et tu comprends lorsqu'une autre personne parle qu'il s'adresse à sa sœur, ta cousine et demi-sœur Ysolte. Tu restes silencieuse tandis qu'elle demande où est Donàl, un membre du clan qui, visiblement, l'a sauvée. « L'Hébride l'a eu d'un coup de griffes. » C'est la voix de votre père à tous les trois – oui, c'est très étrange dit ainsi mais c'est la stricte vérité – qui répond cette fois-ci, et la phrase qu'il prononce tourne dans ta tête encore et encore, comme si tu ne peux pas l'assimiler. Tu sais pourquoi tu n'as pas vu le jeune homme hier soir, pourquoi ta mère était si triste, pourquoi ton beau-père te lançait souvent des regards qui paraissaient emplis d'inquiétude. Le temps semble s'arrêter et tu déglutis. Mort. La vérité te frappe, véritable gifle que, du haut de tes neuf ans, tu peines à encaisser. Tu as du mal à réaliser. « Interdiction de survoler de nouveau la réserve. » Au fond de toi, une petite voix crie que c'est bien fait pour elle. Que ta cousine le mérite, parce que par sa faute l'un des vôtres est mort. T'es qu'une gosse, et pourtant tu te dis qu'elle devrait écoper d'une punition plus lourde, plus sévère, d'autant plus lorsque ton père fait mention de la fiancée et de la famille du défunt. Tu sens ta gorge se nouer, et presque immédiatement tu prends tes jambes à ton cou. T'as besoin de t'éloigner. T'arrives pas à croire ce que tu viens d'apprendre. Encore une fois, l'enfant que tu es doit faire face aux horreurs du métier des membres de votre clan. Cette fois-ci plus encore, parce que c'est une personne à la quelle ton petit cœur d'enfant s'était attaché qui a perdu la vie. Il a suffi d'un coup, un seul, et pour toi c'est une véritable épreuve. Donàl est mort. Tu ne pourras plus jouer avec lui, voler à ses côtés, lui courir après lorsqu'il te pique l'une de tes peluches. Il n'est plus là, c'est terminé. Et tu sens une colère sourde naître dans tes entrailles, rage silencieuse mais dangereuse. T'en veux à ta cousine, parce que c'est de sa faute. Uniquement de sa faute.

Le 14 février était une date bien étrange à tes yeux, et encore aujourd'hui tu trouves la fête qu'elle symbolise stupide, ridicule, absurde. Néanmoins, elle était importante pour ta mère – mais pas pour ton géniteur, évidemment. Depuis ta naissance, elle avait pris l'habitude de rendre cette journée magique pour son mari, ton père adoptif. C'était quelque peu idiot, mais tous les ans c'était ainsi, et tu avais toujours un cadeau pour l'occasion, d'une part parce que tu étais – qu'importe la génétique – leur fille, et d'autre part parce que tu te tenais toujours à carreau pour l'obtenir – t'as toujours été quelque peu opportuniste. Dîner exquis, baisers passionnés, cadeaux merveilleux, tout y était pour la St-Valentin de 2011. Mais tout cet étalage de romantisme à outrance ne fut pas la chose la plus marquante de la journée. Tu avais dix ans, et ton entrée dans la deuxième décennies de ta vie t'était peut-être un peu montée à la tête puisque tu eus une idée des plus étranges : apporter le dessert du repas de tes parents – l'autre crétin qui te sert de géniteur, tu t'en moques, alors t'appelles ton beau-père comme tu veux et il ramène pas sa fraise – sur ton balai. Le pire ? Ta mère n'a pas osé s'opposer à ta volonté, et ton père adoptif était trop heureux de te voir ainsi motivée à faire de grandes choses – ou pas – sur un balai qu'il n'a rien dit non plus. Donc tu l'as fait, enfin t'as essayé. L'une de tes petites mains sous l'assiette contenant la pâtisserie en forme de cœur – quel cliché –, l'autre accrochant ton balai fermement, tu t'étais élevée à quelques mètres du sol doucement. Un, puis deux, puis trois. Et t'as commencé à avancer vers tes parents. T'as pas tenu cinq mètres avant de vaciller dans les airs et de faire tomber le gâteau – l'assiette avec –, te retrouvant tête à l'envers. Alors que tu t'attendais à voir le met s'écraser sur le sol dans une écœurante tâche rose, ayant envie de vomir de par tout le sang qui rejoignait ta tête avec insistance, tu écarquillas les yeux lorsqu'il se figea à un mètre à peine de ton visage, dans les airs. Juste là. Et, tandis que tu te demandais si quelqu'un te jouait un vilain tour pour que tu ais de la crème plein la figure, l'assiette se glissa en dessous et, une fois à l'endroit, tu pus la récupérer d'une main, encore subjuguée. Tu rejoignis immédiatement la terre ferme, tombant sur les fesses, la pâtisserie encore intacte à tes côtés. Ta mère as applaudi, puis ton père adoptif, et il t'a fallu plusieurs secondes pour comprendre. Tu as d'abord rigolé, puis lorsque ta mère t'a prise dans ses bras pour te murmurer que tu étais une sorcière, tu as souri de toutes tes dents en l'enlaçant de plus belle. Tu es une sorcière.

Force est de constater que cette petite manifestation de la magie coulant dans tes veines n'était pas suffisante à tes yeux puisque, quelques mois plus tard – deux à peine, en réalité –, cette impression d'être admirée te manquait déjà. Alors tu tentas autre chose : la voyance. Néanmoins, trouvant que feindre d'avoir des visions était trop simple, trop banal, trop ennuyeux, tu décidas d'imiter ceux qui lisaient la main des autres pour voir leur avenir. Ce soir-là, comme tous les autres, vous étiez autour d'un feu crépitant lorsque tu voulus mettre à exécution ton plan. Tu te tournas vers l'un des membres du clan au hasard, tout sourire, et lorsque ton regard brillant croisa le sien tu lui demandas : « Donne-moi ta main. » Comment refuser quelque chose à l'ange que tu étais ? Ta voix de cristal et ton visage de poupée fragile eurent raison de leur victime à une vitesse folle, et sur ta petite main se posa bientôt celle, bien plus large, de l'homme dont tu voulais lire l'avenir. Enfin, faire semblant, cela allait de soi. Adorable petite fille qui jouait la comédie, tu glissas consciencieusement l'un de tes doigts sur les lignes de sa paume, le tout sous le regard amusé de tous les adultes qui vous observaient. Ils devaient te trouver très mignonne, mais quelque peu ridicule. Tu fis alors mine de réfléchir avant de lancer : « Je vois que... tu vas te casser... la... jambe... droite. » Tu relevas les yeux vers lui d'un air assuré, donnant l'impression d'être parfaitement sérieuse, et certaine de ce que tu avançais. Ta voix était celle d'une enfant innocente, et personne n'osa aller contre tes dires qui semblaient pourtant absurdes. Pour beaucoup, tu t'amusais simplement à le taquiner, pour l'embêter sans doute. Tu étais joueuse, espiègle, maline, ce n'était un secret pour personne. Même toi, tu n'y croyais pas, quoique tu avais inventé cela en observant les dessins présents au creux de sa main. C'était idiot, mais tu trouvais cela très drôle. Cela t'amusa un peu moins lorsque, deux jours après, tu appris que le membre du clan en question s'était cassé la jambe. Certes, c'était la jambe gauche et non pas la jambe droite comme tu l'avais « prédit », néanmoins c'était une sacré coïncidence. Dans ton clan, peu croyaient à la voyance. La majorité des a. de stahl considérait ce prétendu don comme un stratagème pour usurper de pauvres personnes un peu trop naïves. Ainsi, beaucoup se demandèrent si tu n'avais pas ensorcelé le balai du pauvre homme pour que ta « prédiction » se réalise. Mais tu n'avais que dix ans, et qui plus est tu n'avais pas encore de baguette. Celle de ta mère ? Peut-être oui, mais ce serait vraiment étrange. Ainsi, tu fis douter bon nombre de tes aînés tandis que quelques cadets te regardaient avec des étoiles dans les yeux. Ça te faisait beaucoup rire au fond, parce que tu trouvais cela absurde. Tu recommenças deux fois encore : en mai puis en juillet. La deuxième fois, tu feignis de lire dans les mains de quatre personnes – tu devais beaucoup t'ennuyer –, et deux d'entre elles affrontèrent ce que tu avais « prédit » : une entaille profonde au niveau de la cuisse, et une grossesse – encore ton père ? – à laquelle personne ne s'attendait. Puis, durant l'été, tu répétas l'opération avec trois personnes : à l'une, tu affirmas qu'un orage allait venir le perturber en plein vol, à l'autre qu'elle allait glisser dans une flaque en voulant se mettre à l'abri, à la dernière qu'elle allait se brûler en cuisinant. Rien d'impressionnant, soit, néanmoins tes trois prédictions se réalisèrent. Plus qu'une sorcière, tu étais une voyante, mais tu n'en prendrais réellement conscience que quelques années plus tard : à Poudlard.

Des mois après le coup du gâteau qui flottait dans les airs pour la St-Valentin, tu reçus ta lettre pour intégrer Poudlard. A tes yeux, c'était un véritable rêve éveillé. Lorsque t'as enfin le droit de quitter l'île où tu es née et as toujours vécu pour rejoindre le fameux Chemin de Traverse qui te fait terriblement envie, tu dois te retenir de sauter de joie. Ta mère t'y accompagne, ton père adoptif toujours avec vous, et ton géniteur songe qu'il n'a pas besoin de se déplacer pour toi. Tu offres à son dos un regard noir de colère avant de disparaître avec tes vrais parents, ceux qui méritent ce titre, pour rejoindre l'endroit où vous allez faire vos emplettes. Baguette, livres – Merlin qu'est-ce qu'ils sont nombreux ! –, robe de sorcière, gants, chaudron... tout y passe. Vient le moment où tu as le droit à un animal. Tu veux un chat. Un chat tout noir, un chat que tu n'as jamais pu avoir chez toi à cause des dragons, un chat que ta mère t'offre après avoir croisé ton regard l'espace d'une seconde. Tu es extrêmement convaincante, c'est vrai, et depuis toujours tes beaux yeux t'achètent tout. L'animal se glisse dans tes bras, miaule, et tu te promets d'en prendre soin et de ne jamais le laisser. Il est sans doute le seul à avoir cet honneur. Comme s'il avait entendu ta promesse silencieuse, il commence à ronronner et colle son museau à ton cou, t'arrachant un sourire. Nox, voilà comment tu vas l'appeler.

1er septembre 2012. Tu es dans le Poudlard Express. Combien de fois as-tu rêvé de ce train qui devait t'amener dans un lieu nouveau que tu avais passé des mois à imaginer ? Fergus, le frère aîné de ta cousine et demi-sœur Ysolte à qui tu n'avais toujours pas pardonné la mort de Donàl, y était entré une année avant vous, et tu te languissais d'y aller de par les récits qu'il en faisait autour du feu qui réunissait tous les soirs tous les membres du clan. Tu avais hâte de voir de tes propres yeux tous ces lieux qu'il décrivait maintes et maintes fois, au point d'être quelque peu jalouse lorsqu'il y retournait après les vacances. T'aimais pas être jalouse, d'ailleurs t'aimes toujours pas ça. Faut dire que c'est terriblement frustrant, et ça t'agace. Enfin, qu'importe puisque l'année suivante tu pus à ton tour pénétrer l'enceinte du château. Tu te souviens de cette première journée comme si c'était hier. La voix 9¾ d'abord, et le passage à travers ce fameux mur. Tu ne l'avoueras pour rien au monde, mais ce jour-ci ta plus grande peur a été de ne pas être capable de le traverser. C'est encore le cas à chaque début d'année, ce qui, à force, est exaspérant. Après tout, il n'y a pas de raison que tu échoues, si ? La première fois que tu es monté dedans, tu as le Poudlard Express, peut-être parce que tous les bonbons que vendait la sorcière à chariot te rappelaient ceux que t'achetait ta mère lorsque tu étais petite. Les barques vinrent ensuite vous chercher et, tandis que vous traversiez l'immense lac qui vous séparait du château, tes yeux brillaient face à cet endroit des plus éblouissants. Entrer, gravir les marches, rejoindre la Grande Salle, et observait cette estrade qui en impressionne plus d'un. Ton cœur fait de plus en plus de bruit dans ta poitrine, et petit à petit tu sens le stress t'envahir. Cet endroit est impressionnant, c'est certain. Et puis, il y a ce chapeau étrange qui attribue à chaque élève de première année une maison : le Choixpeau Magique. Lui aussi t'effrayait un peu, ainsi tu attendais ton tour en mordant nerveusement l'intérieur de ta joue. Ta cousine Ysolte passa avant toi, et tu l'observas attentivement tandis que le fameux artefact était placé sur sa tête. « Serdaigle ! » Tandis que la brune contre qui tu avais toujours une dent rejoignait la table des aigles, tu songeas à l'étrangeté de ce choix. Tu avais lu quelque part que cette maison était celle de l'intelligence, de la raison, hors à tes yeux elle ne possédait aucun de ces deux critères – tu n'étais peut-être pas assez objective, soit. Néanmoins, tu te dis que c'était son calme et son indifférence qui l'avaient envoyée là-bas, et tu ne te posas pas plus de question. Enfin, jusqu'à ce que ton nom soit prononcé. Tu sentis ta gorge s'assécher soudainement, l'ignorant cependant pour monter sur l'estrade la tête haute. Hors de question que tu te démontes. Assise sur le tabouret, tu attendis alors que l'on pose sur ta tête le fameux Choixpeau. Il ne lui fallut que quelques secondes pour prendre sa décision, et il hurla « Serpentard » sans même te demander ton avis. Un certain soulagement t'envahit de ne pas rejoindre la même maison que ta cousine et, tandis que tu t'approchais fièrement de la table des verts et argents, tu songeas que cette maison te convenait parfaitement. Ton intelligence n'était plus à prouver, tout comme ta détermination sans faille et ton égoïsme – il ne faut pas que des qualités pour intégrer une maison, c'est un fait,. Plus que cet instinct de préservation développé – c'est plus élégamment dit ainsi, n'est-ce pas ? –, c'était aussi un désir de pouvoir qui t'animait, accompagné d'une pointe de narcissisme. Tu te découvriras ensuite une ambition dévorante et des qualités de leader indéniables. Tu avais définitivement ta place parmi les serpents, qu'importe la réputation entachée de cette noble maison. Tu ne tourneras pas mal, t'es bien trop forte pour cela.

La première année que tu passas à Poudlard fut celle de ton intégration. Tu n'eus pas grand mal à te faire apprécier, à vrai dire tes grands yeux charmaient bon nombre de personnes. Ton côté joueuse aussi plaisait, tandis que ton charisme et ta culture impressionnaient. Souhaitant en connaître un maximum sur le château avant d'y entrer, tu avais lu des dizaines d'ouvrages à son sujet, et quoique ce n'était pas l'activité la plus divertissante qu'il soit, cela te permit d'acquérir cette réputation d'érudit. Certains se demandaient même si tu n'avais pas ta place à Serdaigle, ceux à quoi tu répondais que les serpents peuvent être tout aussi intelligents que les aigles, à la différence près que ce n'était pas leur seule qualité. Malgré ta fâcheuse tendance à ne pas respecter toutes les règles qui t'étaient imposées – t'as jamais beaucoup apprécié qu'on restreigne tes libertés, et ça n'a pas changé – et ta répartie qui faisait de toi une demoiselle quelque peu insolente, tu étais très intéressée par tous les cours que tu suivais, enfin presque. T'aimais pas la Magie fondamentale. Vraiment, ce cours te tapait sur le système. De la théorie, encore et encore. Pourquoi les sorciers ont une essence magique et pas les moldus ? Tu t'en moques de répondre à cette question, tu trouves ça complètement inutile. Tout ce que tu sais, ce que tu constates, c'est que tu es une sorcière, douée qui plus est. T'en as rien à faire de savoir d'où ça vient. Sans doute est-ce aussi pour cela que tu n'adhères pas à toutes ces histoires de pureté du sang. Tu vois pas en quoi ta magie serait moins puissante que celle des sangs-purs de Poudlard, bien au contraire. T'es bien plus talentueuse qu'un grand nombre d'entre eux, qu'on se le dise. A l'inverse, les cours de Vol te plaisaient, tout comme ceux de Potions et de Botanique. Tous les cours où tu pouvais utiliser ta baguette étaient les bienvenus, ainsi la Métamorphose, les Sortilèges et la DFCM devinrent vite les cours qui t'intéressaient le plus. L'Astronomie passait encore, t'étais pas non plus une grande fan des étoiles – tu préférais les dragons, et c'est toujours le cas –, et l'Histoire de la Magie... Chiant. Oui, ça résume bien ton ressenti face à cette matière. Dans l'ensemble, tu étais bonne élève, quoique tu travaillais peu dans ce qui n'attisait pas ta curiosité. Tu obtenais des bonnes notes, mais les enseignants voyaient bien que tu étais capable de faire mieux. Mais t'en avais pas envie, ça t'ennuyait de faire autant d'efforts pour si peu. Tu conservais ta réputation d'adolescente cultivée et raffinée sans trop te donner de mal, c'était parfait. Vraiment, Poudlard était un endroit fantastique. Mais il n'y avait pas de dragons.

Retourner sur l'île Barra durant les vacances d'été te rappela ton amour pour ces créatures, et tu profitas de leur présence plus encore dès que tu compris que tu les verrais bien moins souvent que durant toute ton enfance. Au vu de tes excellents résultats en Vol, tes parents – ton père biologique compris – t'autorisèrent à voler autour de la réserve, mais jamais au-dessus. Étonnamment, tu respectas cette règle, te régalant déjà de voir d'aussi près ces êtres extraordinaires qui te fascinaient toujours autant. Leurs flammes, leurs yeux, leur queue... Tout était absolument incroyable chez eux, et aujourd'hui encore tu es convaincue que leur ressembler serait la plus belle des réussites. C'est néanmoins impossible, quoique peut-être qu'en travaillant bien en Métamorphose tu pourrais prendre leur apparence quelques instants. Tu n'en savais rien, t'avais seulement douze ans, et la rentrée approchait à grands pas. A nouveau, il fallut tout préparer, puis tu rejoignis l'immense château pour ta deuxième année.

Une année qui n'eut rien de très exceptionnelle, hormis que tu commenças à rater occasionnellement les cours en allant à l'infirmerie sous de faux prétextes qui s'avéraient néanmoins crédibles. Tu t'étais fait pas mal d'amis l'année précédente, et tu te distinguas bien vite comme la plus charismatique, et ainsi leur leader à tous. Pas seulement à cause de ta maison : tu avais une prestance indéniable, et tu savais parler. La rhétorique et tout ce charabia, à douze ans déjà tu savais t'en jouer comme tu te jouais du monde. Manipulatrice, espiègle, et quelque peu vénale, tu avais bien vite appris à te faire respecter tout en cultivant chez toi cette part de mystère qui fascinait beaucoup d'élèves. Dont des garçons. Beaucoup de garçons. Joueuse, tu commenças à t'amuser, les faisant tourner en bourrique tout en les hypnotisant avec malice. Tu adorais cela, en plus de trouver cela très amusant. Cette année connut aussi ta première histoire d'amour – rien de sérieux évidemment –, ainsi que le début de ta montée au pouvoir : tu réalisas que la place que tu avais – ou plutôt que l'on te réservait – dans le clan ne valait pas grand chose, et que tu méritais plus. Beaucoup plus.

Les grandes vacances à nouveau. Celles qui durent deux mois, que tu savoures au milieu de tous ces dragons, celles que tu passes sur une île perdue au milieu des Hébrides Extérieures, à réfléchir. A te demander pourquoi tu n'as pas le droit au pouvoir, pourquoi jamais tu ne pourras diriger les a. de stahl. A maudire ton père biologique à cause de qui tu es une bâtarde, simplement parce qu'il ne pouvait pas se contenter d'une seule et même femme, aimante qui plus est. A ruminer ta frustration, grogner dans ton coin, penser tout en enlaçant ton chat que, forcément, tu dois surveiller pour qu'il ne soit pas transformé en tas de cendre par les flammes que crachent les Noirs des Hébrides mécontents. A fulminer à l'encontre de ton cousin et demi-frère Eoghann, l'héritier, le favori, celui qui prendra la tête du clan après ton géniteur. A prier pour qu'il lui arrive malheur, pour qu'il tombe de balai et ne soit plus capable de diriger, pour qu'il disparaisse. Tu veux le pouvoir, et tu refuses qu'il te le vole. Il ne le mérite pas. Ce pouvoir doit être tien, tu en es certaine. Tu ne peux supporter qu'on te le dérobe ainsi, c'est injuste. Plus que cela, tu sais que ton statut te défavorise, t'empêche tout simplement d'être en lice pour l'héritage du clan, et tu trouves cela intolérable. Ça te donne envie de hurler, et définitivement tu ne peux le supporter. Tu veux le pouvoir. Tu veux sentir cette puissance. entre tes mains. Tu veux diriger, commander, être au sommet. Tu veux tout modifier, restructurer, refaire. Tu veux changer les règles du jeu. Tu veux gagner.

Le mois d'août est déjà là, et tu sais que bientôt tu vas retourner à Poudlard. Ça ne te dérange pas, après tout tu y as trouvé ta place parmi les meilleures. Observée, écoutée, admirée, tu es enfin là où tu mérites d'être. Tout en haut. Et puis, retrouver l'enceinte du vieux château t'aidera peut-être à faire le tri parmi toutes tes envies, afin de trouver un moyen de récupérer ce qui t'a été volé : le pouvoir. 17 août 2015 , une belle journée durant laquelle le soleil n'épargne personne. Il cogne, frappe, matraque, et sa chaleur étouffe tout le clan. Toi, tu veux prendre l'air, alors tu récupères ton balai et t'élèves dans les airs. Tu accélères, encore et encore. Le vent dans tes cheveux, il n'y a rien de plus agréable avec un temps pareil. Et puis tu aimes voler, cela te donne l'impression d'être un dragon. Manque de chance, cette atmosphère étouffante n'est que le présage d'un orage estival qui ne tarde pas à arriver, te surprenant. La pluie commence à tomber, et t'es pas du bon côté de la réserve. Toujours sur ton balai, tu fais demi-tour. T'es déjà trempée de la tête aux pieds, manquerait plus que tu sois foudroyée. Un éclair passe tout près de toi et tu sursautes à tel point que tu perds suffisamment le contrôle de ton engin pour voler vers la droite sur plusieurs mètres. Jusqu'à ce que, malgré les trombes d'eau qui te tombent dessus, tu aperçoives un œil immense. Un dragon. Tu es bien trop près de la réserve, peut-être même que tu as dépassé la limite. Ton hurlement pourtant strident est à peine audible alors qu'une mâchoire béante se referme juste à côté de toi. Tu n'as pas le temps de voir quelqu'un s'approcher derrière toi : tu glisses de ton balai et entames une chute qui te semble interminable. Pendant ce temps, l'inconnu immobilise la créature ayant essayé de faire de toi son casse-croûte à l'aide d'un stupefix, puis il plonge pour te rattraper en vol. A peine a-t-il saisi ton bras que déjà l'inconscience te happe. Tu t'évanouis subitement, et il doit se débrouiller seul pour te ramener à bon port sans que ni lui ni toi n'y laisse un membre, si ce n'est plus. Pas une mince affaire.

Lorsque tu ouvres enfin les yeux, tu te sens complètement perdue. Plus d'orage, plus de balai, plus de pluie. Pas l'ombre d'un dragon à l'horizon, seulement du bois et un matelas très – trop ? – fin. Tu te redresses, t'appuies sur tes deux bras avec une légère douleur et regardes autour de toi. Personne ? Tu aurais préféré, puisque bien vite trois silhouettes se distinguent de l'autre côté de la cabane. Fronçant les sourcils, tu reconnais ton père – biologique, oui –, ta mère et... Eoghann. Merlin, qu'est-ce qu'il vient faire là ? Les trois adultes s'approchent de toi, et si la seule femme du lot semble inquiète, les deux autres ne laissent rien paraître. Elle se baisse pour être à tes côtés et t'enlace sans que tu ne réagisses.

« Oh ma chérie, tu vas bien, tu vas bien... » T'as envie de grogner que tu n'as plus trois ans, mais tu te tais, préférant t'intéresser à ton géniteur. Pourquoi est-il là ? Pour t'engueuler ? Ça ne t'étonnerait même pas, mais soit, t'es assez stupide – inconsciente ? – pour commencer. « J'ai le droit de voler autour de la réserve, » que tu lâches. Treize ans, et déjà tu es insolente. Ça promet. « Pas lorsqu'il y a un orage. » « Il n'y avait pas d'orage quand je suis partie, » t'agaces-tu avec agacement malgré ta frêle silhouette bien peu imposante à côté de celle de ton père. « Tu aurais dû être plus attentive. » Tu grognes, mais cette fois-ci ne réponds pas. Ça ne sert à rien. « Si Eoghann n'était pas dans ce coin-là au même moment, tu serais morte. » Tu ne le regardes pas, ni lui ni ton crétin de cousin. Tu le détestes, et d'autant plus maintenant qu'il t'a sauvé la vie. Que tu lui en dois une. « Où est mon balai ? » Insolence, encore. « Morte, tu sais ce que cela signifie, Rachel ? » Tu souffles bruyamment. T'as jamais compris pourquoi il t'appelle toujours par ton deuxième prénom. Peut-être parce qu'il est plus court, oui. Flemmard. « Mon balai, il est où ? » que tu répètes, comme si tu le cherchais une fois de plus. « Je t'en rachèterai un, » affirme ta mère sous le regard exaspéré de ton géniteur. « Rachel, reste éloignée de la réserve. Et remercie Eoghann, sans lui tu serais morte. » Le ton est sec, agacé, et rapidement il tourne le dos et quitte l'endroit tandis que tu l'insultes mentalement. Tu lèves les yeux vers ton cousin, et t'es certaine de lire de la condescendance dans son regard. Une arrogance que t'as beaucoup de mal à supporter. « Merci. » Le mot te brûle la langue, t'arrache la gorge, t'offre un goût âcre que tu détestes, mais a pour effet immédiat de le repousser. Il rejoint votre père à l'extérieur, et tu te retrouves seule avec ta mère qui te prend à nouveau dans tes bras. « Je te rachèterai un balai, » qu'elle te promet. Mais tu t'en moques bien, de ce balai. T'aurais voulu avoir un père, un vrai. Un géniteur qui te regarde, t'aime, et ne te considère pas comme une inconnue qui n'a aucune importance. Le tien t'ignore, il ne fait pas la différence entre toi – sa fille – et les autres membres du clan, il te voit sans te voir. Pour lui, tu es invisible, insignifiante, semblable aux autres. Et tu ne peux pas le supporter. La haine que tu lui voues ne fait que s'accroître depuis ce fameux jour, tout comme celle que tu éprouves à l'encontre d'Eoghann. Tu lui en veux : il t'a volé. Ton père, le pouvoir, ta place, il t'a dépouillé de tout. Ce sauvetage fut la goutte d'eau faisant déborder le vase : tu ne pouvais pas conserver une dette envers lui. Lui être un tant soit peu redevable lui était insupportable, d'ailleurs tu refusais tout simplement de l'être. Tu allais équilibrer les choses, parce que tu ne lui devais rien. Jamais.

Troisième année, celle où tu peux choisir tes options. Ta soif d'apprendre te pousserait à toutes les prendre si seulement tu en avais le temps, néanmoins ce n'est pas le cas donc tu dois te restreindre. Les cours de Soins au créatures magiques sont une évidence, ta passion pour les dragons et les animaux fantastiques – ou pas d'ailleurs, ton chat peut en témoigner – de manière générale ne peut que te pousser vers cette matière. Puis la Divination, parce qu'avec le temps tu commences à comprendre que tes prédictions se réalisent bien trop souvent pour que cela ne soit qu'un jeu. Puis tu hésites : Duels ou Étude des runes ? Tu finis par te dire que, si tu avais besoin de t'entraîner à te battre, tu avais une flopée de demi-frères et sœurs qui accepteraient de t'affronter, ainsi tu préféras étudier les runes qui t'avaient toujours intriguée. L'Alchimie pour terminer, et tu embellis encore une fois cette réputation de demoiselle cultivée et mystérieuse qui t'allait si bien. Bien qu'intéressée par la Xylomancie – tu étais voyante après tout –, tu ne l'étais pas suffisamment pour choisir cette option et te contentas des quatre précédemment citées. Évidemment, bien d'autres t'intéresseraient, de la Magie de la terre à celle sans baguette, mais force est de constater que si tu souhaites un peu de temps libre tu dois te résoudre à n'en étudier que certaines. Après tout, tu as d'autres projets qui n'attendront pas toute une vie. Le pouvoir t'attend, et tu es bien décidée à le récupérer. Tout comme tu souhaites te venger.

A nouveau les vacances d'été, mais celles-ci furent particulières. L'arrivée d'une blondinette à l'allure frêle perturba tout le clan. Kimmy River, c'était son nom. Une gamine de douze ans – t'en avais quatorze – dont la mère était morte et le père en prison, et qui avait besoin d'une famille d'accueil. Quelle idée de choisir les a. de stahl pour s'occuper d'une adolescente aussi fragile ? Une née-moldue qui plus est. Comme si vous ne vous occupiez pas d'immenses dragons capables de l'envoyer faire le tour de votre planète d'un coup de patte. Sérieusement, c'est à n'y rien comprendre. Toutefois, vous n'aviez pas le choix, et petit à petit tous s'adaptèrent à la présence de la demoiselle. Elle n'était pas encombrante d'ailleurs. Discrète, timide et réservée, elle ne faisait pas de bruit et participait rarement aux activités du clan, même les moins dangereuses. Enfin, jusqu'à ce que Skye – ta demi-sœur par ton père, fruit d'un nouvel adultère de la part de votre cher géniteur – décide de se charger d'elle et de lui apprendre la vie. Elle la prit sous son aile, ce qui te surprit de par son côté impulsif et presque hyperactif. Soit, de toute manière tu n'avais rien contre cette fille. Elle était inoffensive et avait besoin d'être protégée, c'était ce qui te frappait. Innocente et naïve, à tel point que tu n'eus aucun mal à attirer sa sympathie pour qu'elle te fasse confiance. Tu n'as pas l'intention de lui faire du mal, à vrai dire cela n'a jamais été ton but. Tu essaies simplement de rétablir l'équilibre. Noble quête, n'est-ce pas ?

Quatrième année, la vie continue et les cours aussi. Les journées se suivent et se ressemblent, ta réputation continue de se fortifier et petit à petit tu t'apparentes à une déesse, à la fois mystérieuse, cultivée et ferme. Tu es connue pour ta répartie sans faille, ton côté charismatique qui contraste avec le peu de manière que tu as – enfin, disons plus simplement que tu n'aimes pas les règles et que tu ne les respectes pas –, et évidemment cet aspect taquin qui plaît beaucoup. Tu es une meneuse, mais tu sais jouer et t'amuser. Pourtant, personne ne se doute que derrière tes yeux d'ange et ton joli minois se cache une ambition dévorante et une jeune fille déjà vénale qui songe excessivement au profit qu'elle peu tirer de toutes ses actions. Tu es égoïste, vivre dans un clan ne t'a étonnamment pas appris le partage, mais tu le caches à merveille derrière des sourires complaisants et une voix mélodieuse. Tu ne penses qu'en fonction de ta personne, tu es le centre de ton monde, et tu veux être celui du leur. Tu veux le pouvoir, encore et toujours, et jamais ce souhait ne te quittera. Diriger ton clan devient plus qu'un rêve dans ta tête : c'est un désir, une volonté, une obsession.

Les grandes vacances précédents ton entrée en cinquième année furent synonyme de vengeance. Tu avais tout orchestré, tout prévu, tout préparé. Ton plan était parfait, et l'arrivée quoique fortuite de la petite blondinette avait été des plus opportune. Une occasion que tu n'avais pu manquer. Alors, lorsque tu sais que le moment est parfait, tu te mets à courir pour rejoindre Kimmy qui – tu le sais – n'est pas très loin. Tu poses tes deux mains sur ses épaules, essoufflée – t'exagères sans doute un peu, mais ça elle ne le voit pas –, avant de lui expliquer ton état. « Ysolte, je l'ai vu près de l'enclos des dragons, elle avait pas l'air bien. On dirait qu'elle est en transe, faut que j'aille la chercher. Va prévenir Eoghann, il faut qu'il vienne, j'ai peur qu'elle se fasse attaquer. » Tu as songé tant de fois à ce que tu allais dire que tu n'hésites pas une seconde, feignant l'inquiétude et la crainte qu'il arrive malheur à ta cousine – cette handicapée – pour convaincre la demoiselle face à toi. Cela ne manque pas, et bien vite elle se précipite vers les habitations, là où elle sait pouvoir trouver l'héritier – ark, ce mot te brûle la langue. Tu disparais alors, et tu attends. Il faut bien peu de temps au jeune homme qui a à présent une vingtaine d'années pour arriver sur son balai, mais il en faut encore moins au Noir des Hébrides le plus proche pour l'apercevoir tandis qu'il crie le nom de sa sœur. Le dragon l'envoie valser d'un coup de tête, et dès l'instant où sa chute commence tu lèves ta baguette. « Bombarda ! » Tu fais exploser un buisson à gauche de la bête qui tourne la tête vers son nid, et tu regrettes presque de l'inquiéter ainsi, mais tu n'as pas le temps de réfléchir. Tu vises ton cousin et d'un sort tu ralentis sa chute, de sorte à ce qu'il rejoigne le sol sain et sauf. Il a mal au dos, mais il est vivant. Et toi tu es vengée. Enfin.

Pour la première fois, tu sembles voir une lueur de fierté à ton égard dans le regard de ton père tandis que tu rentres accompagné de ton cousin qui a survécu – grâce à toi, évidemment. Cela ne change en rien ton ressentiment envers cet homme qui n'a jamais été là pour toi, mais tu ne peux nier que c'était important pour toi. Ce n'était pas le but premier de ta vengeance, mais pendant un instant tu as eu l'impression d'exister dans ses yeux, et tu ne peux cracher sur ça. Tu as à ton tour obtenu un remerciement, celui de l'héritier – horrible, tu vas arrêter de l'appeler ainsi –, et tu en étais très fière sans pour autant le montrer. Ça y est, vous étiez quittes. Fantastique.

Que dire de ta cinquième année ? Elle n'eut rien d'exceptionnel, hormis le fait que ce fut celle où tu en appris le plus sur ce que tu étais. La Magie divinatoire faisait partie intégrante de ta personne, et malgré ton jeune âge tu t'avérais très douée. Tu étais plus qu'une sorcière, possédant un don de voyance que tu maîtrisais de mieux en mieux à mesure des cours. Quoique la prof était quelque peu étrange, cela n'empêche que cette matière est importante pour toi, et que grâce à elle tu sais utiliser au mieux ta particularité magique. Tu n'es pas un charlatan, tu vois l'avenir, et, même si ce n'est pas toujours clair, tu as petit à petit appris à décrypter ce que tu voyais. Tu es talentueuse, c'est un fait. Oh, si ! Il y eut aussi tes BUSE, mais tu les obtins sans soucis, avec d'excellents résultats qui plus est. Tu étais une bonne élève, parmi les meilleures d'ailleurs, et toutes tes options te permirent d'obtenir un nombre de points impressionnants. Tu pouvais faire ce que tu voulais de ton avenir, aucune porte ne t'était fermée au vu de ton excellence. Mais tu n'avais qu'un seul et unique désir : le pouvoir.

Vacances, encore. Nouveau balai, nouveaux livres, et nouvel animal. De par ton sérieux évident – tu veillais constamment à ne pas te faire prendre lorsque tu enfreignais les règles – et tes notes, tu n'eus pas de mal à acquérir le droit de posséder une créature plus importante. Ta mère ne s'opposa évidemment pas à ton choix et, à seize ans – presque dix-sept –, tu obtins un mini-dragon. Un petit Noir des Hébrides, quoi de mieux pour la a. de stahl que tu es ? Un petit animal qui tient sur ton épaule rentra dans ta vie ce jour-là. Une adorable bestiole à qui tu tiens vraiment, et que tu as appelé Storm. Ta petite tempête à toi, un trésor dont tu prends soin tous les jours. Un trésor que tu n'abandonneras jamais.

C'est en sixième année que tu appris à créer un patronus corporel. Qu'on soit honnête, tu n'as pas réussi du premier coup, mais ce sortilège est si compliqué que le contraire aurait été étonnant. Il t'a fallu un travail considérable pour qu'autre chose qu'une simple fumée bleutée s'échappe de ta baguette, à vrai dire tu ne te souviens pas t'être autant entraînée pour quelque chose durant toute ta vie, sauf peut-être lorsque tu as voulu apprendre à voler sur un balai. Lorsque tu y parvins finalement, tu découvris que la forme que prenait ton protecteur enchanté. Un Noir des Hébrides, ni plus ni moins. Un superbe dragon, de taille réduite évidemment, mais tout de même impressionnant. Une véritable fierté pour toi, et une raison de plus pour que tu légitimes ton droit à l'héritage. Après tout, si tous les membres du clan – sauf ta cousine incapable – sont protégés des Détraqueurs par un dragon, tu es la seule à posséder une version réduite de celui dont vous vous occupez sur l'île où tu es née. Une raison de plus pour toi de vouloir changer ce clan figé dans des traditions obsolètes, un système patriarcale sur lequel tu craches presque. L'héritier ? Tu t'en moques, il ne mérite pas ce titre. Alors qu'il redescende sur Terre : chez les a. de stahl, tu es la seule méritant de régner.


Hormis le travail considérable que tu dus fournir pour créer un patronus corporel – magnifique, cela va sans dire –, cette année fut de celles où tu ne te prenais pas la tête. Notamment avec les garçons. Et les filles, car tu te découvris bien vite bisexuelle, et quoique tu avais une préférence pour les hommes, tu ne disais jamais non à une jolie demoiselle. Les relations sérieuses n'étaient pas pour toi qui préférais t'amuser et profiter de ta jeunesse sans contrainte. Le sens du mot fidélité dans un couple t'échappait complètement, et c'est toujours le cas : si tu as envie d'aller voir ailleurs, personne ne peut t'en empêcher. Tu n'aimes pas te dire que tu tiens cela de ton père, mais étant le fruit d'une infidélité des plus atypiques, disons que cela a peut-être une influence. Tu es libre, tu ne t'attaches pas, et, Merlin, tu n'aimes pas. Jamais. C'est un mot que tu ne comprends pas, parce que tu n'as jamais ressenti quelque chose d'aussi fort que ce que vivent les personnages des romans que tu te plaisais à dévorer plus jeune. Le pire dans tout ça ? Tu aimes séduire, ça te rappelle que tu es des plus attirantes, ainsi tu ne te gênes pas pour en profiter. Tes beaux yeux, ta jolie silhouette et ton beau minois sont des atouts non-négligeables, alors pourquoi ne pas t'en servir ? Tu refuses de te compliquer la vie en cherchant quelqu'un avec qui tu pourras construire quelque chose : tu dragues, fricotes, joues avec qui tu le souhaites, et personne n'a le droit de te prendre la tête. Personne.

Dernières grandes vacances scolaires, celles précédant ton entrée dans ta septième et dernière année à Poudlard. Tu n'étais pas stressée, à vrai dire ton tempérament calme et calculateur avait cet avantage : tu n'étais pas de ceux qui angoissaient. Tu appris que Skye – de son vrai nom Sgiath – n'avait pas obtenu ses BUSE, et ce même sans qu'on te le dise : la déception et la colère étaient perceptibles autant dans ses yeux que dans son comportement en général. Tu hésites à l'aider, parce qu'au fond même si tu es égoïste – c'est un fait –, tu es aussi sa demi-sœur et tu vois bien qu'avoir ainsi échoué l'a véritablement blessée. Tu es loin d'être un monstre, et tu ne souhaites pas le malheur de Skye. Néanmoins, ton côté vénal et opportuniste te pousse à te demander si cela peut aussi t'apporter une alliée, ce sur quoi tu ne cracherais pas. Tu veux faire tomber Aodhan, et l'héritier avec. Tu les détestes tous les deux, et tu voudrais qu'ils disparaissent. Alors tu cherches de l'aide dans ton clan – leur clan –, et tu en as trouvés. Tu as déjà Alys avec toi, la petite – elle n'a qu'un an de moins que toi mais soit – pyromane à qui tu as promis un poste important si elle te soutient dans ta quête. T'espères qu'elle pourra convaincre son jumeau Syla, quoique les deux ont un tempérament radicalement opposé. Kimmy aussi semble te faire confiance, et au vu du lien qui la lie à sa protectrice, tu espères que cela pourra t'aider. Aigneas – l'aînée de la branche principale des a. de stahl – est différente, avec elle tu ne sais jamais sur quel pied te balancer. Quant à Fergus – que tu considères presque comme le jumeau d'Ysolte tant ils sont proches –, tu ne sais pas s'il t'aidera. Et puis il y a Ysolte. Cette voyante ratée qui t'exaspère et te fait presque pitié. Ton cœur continue de lui en vouloir pour Donàl, du moins c'est ce dont tu te convaincs en permanence. En réalité, c'est sans doute la relation qu'elle entretient avec votre père qui te rend amère. Elle est rarement punie, et, quoiqu'écarter de tout travail proche des dragons, tu vois bien qu'elle est favorisée. A côté d'elle, tu n'es rien aux yeux de ton géniteur, et tu lui en veux pour cela. Mais ça, elle n'en sait rien, et tout ce qui vous lie c'est cette étrange compétition que tu gagnes de par tes nombreux avantages. C'est ridicule, et pourtant tu ne lui montreras jamais à quel point tu l'envies sur certains points. A quel point, à cause d'elle, tu peux crever de jalousie.

Septième et dernière année. Ça y est, t'y es. Les ASPIC ne t'angoissent pas, à vrai dire tu es certaine de les obtenir sans trop d'efforts. Tes notes restent élevées, ton don ne t'a pas quitté, et tu n'es pas non plus privée de vie sociale. Tu as toujours autant de mal à te faire des amis . Tu as mille et un désirs, et tu ne sais pas lequel réaliser en premier. Tu voudrais devenir un animagus, maîtriser la Magie de la terre, parvenir à monter un dragon et voler sur son dos, pour prouver à ton père ta supériorité – comme si ton patronus ne suffisait pas –, et avant tout changer les vieilles traditions du clan a. de stahl. Tant de souhaits alliés à une volonté immense, tu es certaine d'y arriver un jour. C'est l'ordre qui te pose problème. Mais est-ce vraiment important ? Non, sans doute pas. Ce n'est pas ça le véritable souci. Il y a autre chose. Une sorte de tension dans le monde magique, présente à tel point qu'elle en devient palpable. Les mois passent et les rumeurs se multiplient. Comme si tout allait bien dans le meilleur du monde – ridicule. Dans les couloirs de l'école, les murmures s'intensifient, se propagent, se taisent brusquement pour reprendre de plus belle. Chacun garde ses secrets, on ne peut plus faire confiance. Tu fêtes tes dix-huit ans dans cette ambiance des plus étranges, néanmoins heureuse d'être bel et bien majeure. Libre. Et puis l'attaque.

février 2013. Le temps a passé tu a maintenant 22 ans, tu vie maintenant dans un quartier d’Édimbourg. Tu restes une sorcière apprécier et réputer. Aujourd'hui tu est une grande avocate, intelligente tu avance sans te prendre la tête tu détruit chaque obstacle qui ce trouve devant toi, tu t'en fou de ce qui t'entoure tu veux juste avancer seule, tu ne te soucie aucunement des autres.


Famille et compagnie

Marie est la fille de Arthur a. de stahl et de Freya a. de stahl tout deux dirigeant du clan a. de stahl située dans les Hébrides Extérieur sur l’île Barra. Marie est en effet la cadette de la famille elle a tellement de demi-frère et de demi-soeur que je ne saurais vous les citer. Elle a aussi un petit frére. Plus jeune elle fut amoureuse de son cousin : Martynn. Un amour de jeunesse entre autre. Toute sa vie, au sein de sa famille, elle s'est toujours cachée dans les jupes de sa mère. Excepté en compagnie de ça cousine. Les deux jeunes femmes se soutiennent et s'adorent depuis leur premières rencontres. Mais cette entente se retrouve aussi avec son autre cousine : Catelyn ainsi que son oncle : Elbert. La famille a. de stahl est une famille dans laquelle Marie se sent bien et ressent le besoin de s'affirmer plus que dans sa propre famille. Surtout depuis qu'elle a tenu tête à son père. ça famille l'a toujours soutenue dans ces études, malgré les tentions entre Marie et le reste de ça famille. Elle a toujours eux le soutiens de ça mère qui n'a cesser de la couvrir et de la protéger de toutes choses pouvent la blesser.



La première fois ici

« Hâtez-vous donc maîtresse, madame votre mère vous attend. » J'avait neuf ans quand ma servante vint me réveiller à l’aube pour me préparer afin de me conduire dans la chambre de mes parents où ma mère avait accouché quelques heures auparavant. Mes grands yeux couleur d’eau se posèrent sur le petit paquet blanc que ma mère tenait tendrement dans ses bras. Encouragée par mes parents, je me rapproche lentement, grimpa sur le lit où se trouvait ma mère et je regarde le petit bébé endormi, mon petit frère. Il dut sentir ma présence car il ouvrit doucement les yeux et je fut frappée par notre similitude avec mes propres yeux. Ce n’est qu’à cet instant précis que l’émotion me prit et que je sut que je ferait tout pour protéger et aimer ce petit humain aussi bien que je le pourrais. « Es-tu contente ma fille ? » me demanda mon père alors qu’il me ramenait dans ma chambre en me tenant la main. « Oui père, très. » que je lui répondit de ma voix fluette. « Et pourquoi cela ?». Je tente de me rappeler ce que mon père répétait sans cesse depuis l’annonce de la grossesse de ma mère. « Parce que … parce que la naissance d’un hériter va renforcer le nom de la famille a. de stahl. » que je lui récite. Cela avait dû satisfaire mon père car il m'embrassa sur le front et me permit de me rendormir.

_______

« Marie, cesse donc ces enfantillages ! » cingla la voix froide de ma mère qui lisait dans la bibliothèque pendant que je tentait de mettre un terme à la leçon de mon précepteur. C’était tout le temps comme ça, ma vie ne semblait faite que d’études, de livres et de cours de bienséance ou d’étiquette. Or c’était les vacances de Noël et je souhaitait aller jouer dans le parc avec mon petit frère ou bien lire un livre, enfin tout sauf étudier. Sauf que, pour mes parents, rien d’autre que l’excellence n’était tolérée et ce dans tous les domaines. Aussi ils accordaient une importance capitale a mes études. J'avait bien tenté d’argumenter en disant que de toute façon je me marierait dès la fin de mes études et que je ne travaillerait jamais et que par conséquent je n'ai pas besoin d’étudier autant. J'entendait encore la voix de ma mère me répliquant que j'allait épouser un homme brillant, destiné à un avenir tout aussi brillant et qu’il ne supporterait probablement pas de passer sa vie avec une sotte. Sotte, j'était loin de l’être, même sans des journées passées à étudier j'ai des facilités naturelles quand il s’agissait d’étudier.




Dernière édition par Marie A. De Stahl le Mar 21 Fév - 18:59, édité 1 fois
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Bienvenue sur NYL Content
Adelaïde est magnifiqur, c'est un excellent choix d'avatar Perrin
Par contre, si je ne me trompe pas, il me semble qu'on a pas le droit de rp à la seconde personne ici Erm Un admin me corrigera si je fais erreur Pas sûr
Quoi qi'il en soit, j'espère que tu te plairas parmis nous marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. 4218327470
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Bienvenue ma belle ! J'adore ton avatar Coeur !
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Bienvenuuuue Pompom Girl
Superbe avatar, j'aime bien ton personnage. Hâte de la voir en action Coeur
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Elle aime les films d'amour ou les amoureux meurent. C'est tellement drôle, surtout la tête des gens quand ils voient ton sourire de sadique.

Enfin bref, bienvenue sur le fow'!
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Merci a vous 4 Anoushka Coeur

Je vous fait une petite danse Pompom Girl

Je modifierais si on peut pas rp à la seconde personne c'est pas trop un problème Danse
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Bienvenue Wink!
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Merci Smile
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Bienvenue Pompom Girl !
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Mercii (On danse ensemble) Pompom Girl
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Pourquoi ce serait interdit de parler à la seconde personne ? Erm J'ai cru en voir une fois sur ce forum (ou alors je confonds !)

Anyway, bienvneu parmi nous ♥️
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Parce que c'est inscrit dans le règlement Erm
Citation :
De même, si vous pouvez choisir librement d'écrire à la première ou à la troisième personne mais la deuxième personne est à oublier ici !
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Bienvenue ici ! Anoushka J'approuve ton choix d'avatar ! J'ai hâte de voir ce que tu vas faire de cette jolie Marie Wink
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Perrin S. O'Riordàn a écrit:
Parce que c'est inscrit dans le règlement Erm
Citation :
De même, si vous pouvez choisir librement d'écrire à la première ou à la troisième personne mais la deuxième personne est à oublier ici !

Autant pour moi, j'ai pas du être attentive à cette partie du règlement What a Face
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Merci à vous Amoureux Anoushka Coeur

J'éditerais dans ce cas la par contre je doit éditer l'histoire (Sinon je devrais tout modifiée et ça m'embête un peu) Aaaaaaaaah


Dernière édition par Marie A. De Stahl le Mar 21 Fév - 20:27, édité 1 fois
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Bienvenue à toi Perrin
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Mercii Anoushka
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Bonsoir et bienvenue parmi nous, Marie ! :january:
Avant de voir ta fiche validée, il y a deux ou trois choses qu'il va falloir modifier, alors voyons ça ensemble !

Tout d'abord, comme l'a fait remarquer Scorpius, on se limite à la première et à la troisième personne donc il va falloir reprendre l'essentiel de ta fiche pour que ça colle au règlement qu'il est toujours bon de lire avant de commencer, ça peut servir. Wink

Ensuite, j'ai cru voir que Marie était voyante, manque de chance, chez nous, ce sont des choses qui se payent en points défis (le staff est vénal) et qui s'acquierent avec le temps comme tu peux le voir ici (c'est le n°6) ou dans le premier point du sujet de la fiche de répartition. Je sais que ça fait parfois pas mal à lire mais bon, là, on a quand même prévenu en gros et en rouge, généralement quand on essaye de faire flasher les infos c'est qu'elles sont importantes.

Ça, c'est pour les "gros" problèmes de ta présentation. Passons aux trucs moins dérangeants.

Tu parles de toute un tas de "matières" ou "options" tout au long de ta fiche qui n'existent pas à Poudlard, ou du moins, pas dans le Poudlard du forum (même si je crois bien que c'est pas à Poudlard tout court...). Pas de "Magie fondamentale" ou d'Alchimie pour les élèves, les choix sont beaucoup plus restreints. Erm Tu peux retrouver la liste exhaustive des matières étudiées à Poudlard ici.

Fais attention, officiellement, les élèves ne sont pas autorisés à pratiquer la magie en dehors de l'école avant qu'ils aient atteint leur majorité. On imagine bien que le Ministère ne va pas attirer de véritables ennuis un enfant vivant dans une famille sorcière pour un pauvre sort mais il n'empêche que ça n'est pas légal donc techniquement "rebelle" ou pas, on évite. sifflote

Si je peux me permettre, tu mentionnes un tas de personnes impressionnant d'un bout à l'autre de ton histoire et il y en a certains qui sortent un peu de nulle part, c'est très difficile de réussir à se repérer, à savoir qui est qui... Alors je ne te reproche absolument pas de mettre du monde dans la vie de Marie, loin de là, mais essaye de t'assurer qu'on sache qui ils sont ou au moins de les reprendre quelque part parce qu'on s'y perd vite.

Voilà voilà ! Je crois que j'ai fait le tour, et ça va te faire un peu de boulot pour modifier/corriger tout ça ! Pendant que t'y seras, n'oublie pas de te relire, il y a quelques fautes (notamment dans l'espèce de carte d'identité du début de fiche), c'est absolument pas gênant pour comprendre ce que tu racontes mais ce serait dommage de les laisser si tu as la possibilité de les éradiquer. What a Face

Bon courage à toi, et je repasserai quand ce sera fait !
Bonne soirée !
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Message(#) Sujet: Re: marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. marie a. de stahl ⊰ elle ne sait pas ce que c'est d'être sur le terrain ou le bien et le mal s'affrontent. EmptyMar 21 Fév - 23:04

Je vais modifiée tout ça du coup, au niveau de la voyance c'est juste quelques chose qu'elle utilise pour ce moquer de ça famille ou de ces amies Ange
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Avec un peu de retard je te souhaite la bienvenue parmi nous ! Very Happy J'espère que tu te plairas ici. Wink
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Bienvenue à toi et amuse toi bien parmi nous Wink
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Merci à vous deux Smile
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Des aduuuuuuuuultes !!! cheers cheers cheers Ma Chloé va être super contente ! ^^
Bienvenue sur NYL !!!
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