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Message(#) Sujet: a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan EmptyMar 10 Jan - 16:33

A DEAL WITH THE DEVIL

- RIOGHBHARDAN O'CALLAGHAN -

où la femme règne, le diable est premier ministre

En cette nouvelle année, je reçus deux lettres. Deux lettres plutôt surprenantes puisque les rédacteurs n’étaient pas ceux que j’attendais vraiment. Mes parents ne m’ont rien envoyé, certainement se doutent-ils que quelque chose cloche vu que je n’étais pas rentrée pour Noël. Je voyais déjà très bien mon père former des troupes pour tenter de prendre d’assaut un monde magique dont il ne connait quasiment rien. Cette pensée me fit sourire.
A la place, je reçus une lettre de ma génitrice. Bixente Ariola, une française basque et aussi dealeuse à ses heures perdues. Ce n’était pas la première fois qu’elle m’envoyait des lettres. A vrai dire je commençais à en avoir l’habitude. Je ne répondais pas à ses lettres, en espérant qu’elle finisse par se lasser. Mais avec ma situation actuelle, l’écriture mielleuse de ma génitrice me sortit par les yeux. J’eus envie de la déchirer à la minute où je reconnus ses lettres soigneusement calligraphiées pour faire genre « je viens d’une famille de riche ». Elle tentait de se montrer gentille pour m’amadouer. Mais je savais que dans le fond, tout ce qu’elle voulait c’était mes contacts, c’était de pouvoir profiter de moi et reprendre son business. Elle était le diable incarné, et ses faux airs innocents ne me trompaient pas.
Et puis il y eut la deuxième lettre. Je ne reconnus pas l’écriture, mais cela ne m’empêcha pas de le reconnaître. Il n’y avait qu’une personne pour me nommer « Sucre d’Orge ». Je fus d’abord étonnée. J’aurais eu tendance à penser qu’il chercherait à tout prix à couper les ponts avec moi. Je n’avais pas eu l’impression qu’il me prenait en sympathie, ou quelque chose dans le genre positif. Et pourtant, au vu de la lettre qu’il m’envoya, semble-t-il que dans le fond, il m’appréciait. Cela m’arracha un sourire. Et pour avoir pu me faire sourire par ces temps sombres, il en fallait beaucoup.

Plus tard dans la journée, je devais faire mes corvées comme d’habitude. Sauf que notre surveillant était un gros con. C’était l’un des traitres au sein de Poudlard. Lui qui auparavant se la fermait, désormais il s’affirmait et ne se cachait plus au niveau de ses idéologies. Billie et moi étions en train de laver les sols avec l’aide d’une pauvre et petite brosse à dent, et le gros con s’amusait à dégueulasser notre travail dès qu’il en avait l’occasion. Alors forcément, au bout d’un moment, j’ai fini par craquer. Malgré le travail, notre condition de vie etc., je n’en restais pas moins Ashley Rosenbach, et il fallait bien que je fasse honneur à ma réputation. Alors j’attendis que le surveillant est ne serait-ce qu’un petit moment d’inattention pour bondir sur lui, enfoncer ma brosse à dent bien profond dans sa gorge pour qu’il vomisse et je me suis cassée en courant sans demander mon reste, tels un fantôme farceur. J’allais certainement le payer cher ce soir, mais je m’en fichais pas mal.
Je courais donc dans les couloirs, empruntant la voix des escaliers pour changer d’étages et semer mon éventuel poursuivant – une fois qu’il aura cessé de vomir. Je ne savais plus trop où j’étais, je devais dire ne pas m’être attarder sur le nombre d’étage que j’avais descendu et les nombres d’intersection que j’avais pris.
Jusqu’à ce qu’au détour d’un couloir désert je percute quelqu’un.
Qui n’était autre que Rioghbhardan.

« Aïe, » fis-je par réflexe en reculant avant de lever les yeux.

J’eus un petit moment d’hésitation, me demandant si c’était réellement l’Irlandais que j’avais en face de moi. Mais les bruits vagues des personnes potentiellement à ma recherche me sortirent bien rapidement de mon hésitation.
Je saisis Rioghbhardan par son bras pour l’emmener avec moi dans la première pièce venue : un placard. Tenant la porte, j’écoutais attentivement les bruits derrière jusqu’au silence le plus complet, signe qu’ils n’étaient plus là. Ils ne cherchaient pas dans les placards ? Ou du moins voulaient-ils attendre d’avoir fouiller tous les couloirs pour voir s’ils ne me coinceraient pas dans un coin avant de fouiller les salles. Ce qui signifiait que pour le moment, c’était la cachette idéale.
Je me tournais alors vers le poufsouffle, un sourire qui se voulait taquin au visage mais qui avait perdu de sa splendeur d’antan.

« Rio ! Comment va ma danseuse brésilienne préférée ? Ca faisait longtemps. »

Ce n’était pas car des mangemorts se trouvaient à chaque coin de rue/couloir qu’il fallait cesser les bonnes habitudes. Enfin, « bonnes », c’est selon les points de vue. C’est bien pour ça que j’avais bien l’intention de faire encore un peu chier Dan avec son prénom et son statut de danseuse brésilienne.

« Merci pour ta lettre au fait. T’es adorable quand tu veux ! Fais pas cette tête, je sais que c’est toi, tu n’as pas signé mais il n’y a que toi qui m’appelles « Sucre d’Orge ». D’ailleurs il me semblait t’avoir dit d’arrêter. »

En effet, je n’étais pas friande des surnoms mignons tout pleins. Je me souvenais encore de cette sortie avec Maël, qui avait légèrement dégénéré, où l’on s’était donné plein de surnoms mignons tout pleins pour délirer. Cela me semblait tellement lointain, j’avais l’impression que ma dernière sortie remontée à des siècles.
Et puis, au fur et à mesure que je parlais, une petite idée germa dans ma tête.
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Message(#) Sujet: Re: a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan EmptyJeu 12 Jan - 20:14


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En ce moment, il serait amusant de chercher les instants où j'arrête de mentir, sérieusement. Je crois que je n'ai jamais autant changé de discours depuis bien longtemps. Je passe de tout à rien, m'adaptant comme je peux à qui me fait face. Et je me perds, littéralement. J'ai de plus en plus de mal à savoir ce que je pense vraiment de tout ça... Je sais que je ne le vis pas bien. Je sais que je ne suis pas vraiment pour. Mais n'y a-t-il que des inconvénients ? Est-ce seulement l’œuvre d'idées rétrogrades ? Faut-il vraiment que ça change ? Tout ça, je n'en sais rien. Parfois, j'ai l'impression que c'est la plus grosse injustice du monde et je culpabilise de ne pas agir pour les aider mais, à d'autres moments, je me dis que ça n'est pas franchement dramatique, que ça aurait pu être pire et qu'ils n'auront qu'à rester chez eux après les vacances. Alors dans le doute, je ne fais pas grand chose. J'attends que la situation s'arrange d'elle-même tout en faisant en sorte de me faire bien voir par nos geôliers. Après tout, je n'ai rien à perdre dans cette histoire. Là encore, j'imagine que c'est un mensonge. Parce que non seulement je mens aux autres, cette idiote de Bennett en tête, mais je me mens très bien aussi. Enfin qu'importe. Tout ira mieux bientôt, en attendant, il faut faire avec. Et même si la culpabilité est récurrente, il faut bien avouer que je m'en sors. Une lettre de bonne année adressée à ma famille dans la poche, je quitte la salle commune au pas de course pour aller la filer au premier hibou qui passe. J'ai aperçu Milo, en partant, et les occasions de lui parler depuis Noël se sont faites rares. Peut-être parce que j'ai fait la tronche une bonne partie du temps... Mais sérieusement, c'est de sa faute, aussi ! C'est lui qui s'est barré avec l'autre crétin simplement parce que Fancourt a débarqué. Et puis, où était le problème, même, hein ? Ça n'était pas une raison pour se tirer avec le premier venu, je suis désolé ! Enfin, c'est de l'histoire ancienne. Je crois. Peut-être pas tant que ça, certes, mais faisons comme si, je n'ai aucune envie que cette dispute stupide continue encore et encore. Il y en a trop eu, ces derniers temps. Pas une de plus. Pas maintenant. Pas avec lui. L'objectif est clair : mettre la main sur un piaf et faire demi-tour pour squatter son canapé. Je ne sais pas du tout s'il a un truc de prévu pour son après-midi mais je me dis que, peut-être, ce serait l'occasion de rattraper les jours perdus. Et de faire que l'espoir dont on parlait dans nos dernières lettres ne soit pas vain, aussi. Parce qu'il était sûrement vrai. Pour moi, en tout cas. Je n'ai pas envie qu'on reste sur ça. Je n'ai pas envie qu'il m'en veuille pour une bêtise du genre. Ça n'en vaut pas la peine, ni d'un côté ni de l'autre. Et quoi que j'ai pu balancer à Bennett, je tiens à notre amitié bancale et la seule possibilité de le perdre me rend malade. Il reste au moins une chose de cette nuit foireuse : l'impression que tout va bien quand il est là. Je sais que ça n'est pas vrai et que le monde ne ferait qu'une bouchée de nous deux mais je me sens plus en sécurité lorsqu'il est à mes côtés. Le truc complètement con que je ne m'explique pas. Dans le fond, qu'importe si on est pas d'accord, qu'importe s'il me reproche plus qu'il n'en faudrait, j'ai besoin de lui malgré tout.

Les étages défilent. Ils devraient installer des ascenseurs, histoire de gagner du temps. J'ai peur qu'il s'en aille. J'accélère le rythme sans faire attention où je marche. À croire que j'aurais dû ! Quelques mètres de plus et quelqu'un me rentre dedans. Je recule d'un pas, un peu sonné. « Aïe. » Sucre d'Orge. Il lui faut quelques secondes pour réaliser, quelques secondes durant lesquelles j'aurais dû fuir. Je n'y ai pas pensé, partagé entre l'envie de la voir et celle de fuir. Elle me manque. Un peu. J'aurais dû et je le comprends au moment où ses doigts se referment sur mon bras, m'entraînant dans le couloir à l'exact opposé de l'escalier que je veux emprunter. « Lâche-moi, Rosenbach. » J'essaye de me dégager sans grande conviction et surtout sans grand succès. « Mais lâche-moi ! » Ma voix résonne dans le couloir mais ça ne l'empêche pas de me pousser dans une pièce et de refermer la porte derrière nous. C'est quoi son problème, sérieusement ?! Il n'y a que des murs. Et des balais dans un coin. C'est même pas une pièce, c'est un débarras, tout au plus. Génial ! Je ne sais pas ce qu'elle foutait là, au lieu de faire le ménage, mais c'est certainement la poisse qui s'acharne. Je vois mon programme de l'après-midi s'éloigner. Et j'en suis plus attristé que prévu. Elle se tourne vers moi, le sourire aux lèvres. C'est pas sur les miennes qu'elle en verra un. Qu'est-ce qu'elle me veut ? Ça n'a pas suffi de lui écrire, il faut en plus qu'elle me le fasse regretter, c'est ça ? Comme quoi tenter de garder contact avec ces sangs-de-bourbes est une idée stupide. Je m'en abstiendrai, à l'avenir ! « Rio ! Comment va ma danseuse brésilienne préférée ? Ça faisait longtemps. » Je soupire et lui lance un regard assassin. « Laisse-moi sortir. » Je ne relève pas pour le surnom, je m'en fiche éperdument. Il y a plus important qu'une blague pas drôle. « Merci pour ta lettre au fait. » Je hausse les épaules. « De rien. J'peux y aller maintenant ? » Mon cœur bat trop fort. La peur, sans le moindre doute. Si on nous surprend ici, tous les deux... Un frisson me court dans le dos. Qu'en dirait Arabella, hein ? Et puis, si j'ai réussi à rectifier le tir avec Bennett à sa soirée, je doute qu'elle puisse croire que je me suis fait entraîner de force dans un placard avec une fille que j'ai voulu, comme par hasard, me taper cet été. Sans compter les sanctions pour avoir parlé/flirté/sauté une née-moldue. Je n'ai pas envie de servir de divertissement avant le dîner. Et encore moins pour ça. Je suis innocent, merde ! « T’es adorable quand tu veux ! Fais pas cette tête, je sais que c’est toi, tu n’as pas signé mais il n’y a que toi qui m’appelles « Sucre d’Orge ». D’ailleurs il me semblait t’avoir dit d’arrêter. » Nouvel haussement d'épaules. J'aimerais bien la dégager de devant la porte mais le placard est trop exigu pour pouvoir le faire. Si elle ne sort pas, je n'ai aucun espoir d'atteindre la porte. J'essaye quand même malgré tout, mais à part me coller inutilement à elle, ça ne donne rien. Je ne mets pas longtemps reculer. Je ne cherche pas à avoir l'air détaché, je veux juste qu'elle dégage de là. « Ok ! Je recommencerai plus, si ça te fait plaisir. Maintenant fous-moi la paix, ok ? Tu vas m'attirer des emmerdes, on a pas le droit de vous parler et tu le sais. Sois pas stupide, laisse-moi sortir. » J'aurais dû repousser l'envoi de cette lettre à plus tard et me laisser tomber à côté de lui pendant que j'en avais l'occasion. Là, d'ici qu'elle me lâche, il sera déjà loin. À croire que le destin nous en veut vraiment...

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Message(#) Sujet: Re: a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan EmptyDim 29 Jan - 20:34

A DEAL WITH THE DEVIL

- RIOGHBHARDAN O'CALLAGHAN -

où la femme règne, le diable est premier ministre

Ce qui était certain, c’était que Dan était étrange. J’avais du mal à le cerner parfois. Souvent à vrai dire. De ce fait, parfois je ne savais pas s’il jouait la comédie dans un but précis, ou s’il était sincère. C’est pourquoi, au vu de la réaction qu’il avait en ma présence, je ne pus m’empêcher de me demander si la lettre qu’il m’avait envoyée était vraiment sincère. C’était légitime non, de se poser la question ?
Ainsi, Rioghbhardan voulait impérativement sortir. Il me le fit savoir à plusieurs reprises, pour ne pas dire qu’il n’avait que ça à la bouche. Vouloir sortir, être le plus loin possible de moi et des emmerdes que je pourrais lui causer. Est-ce que j’en étais vexée ? Un peu, je dois dire. Malgré ce qu’il faisait pour gagner de l’argent, j’avais cru voir en lui une bonne personne qui avait besoin de s’amuser un peu plus, d’être moins crispée. Et puis il s’avère qu’il était un lâche. C’était bien ça non ? Un lâche qui allait vers ce qui l’arranger le plus – dans notre cas, la porte. Je supposais que cela faisait partie de sa personnalité. Et qu’il ne fallait pas voir que ce trait de caractère. Tout comme chez moi il ne fallait pas voir qu’une rebelle à la langue bien pendue. Malgré tout, je fus toute de même pas mal vexée, ce qui dut se voir sur mon visage. C’est pourquoi lorsque Rio tenta de faire forcing pour sortir, je ne bougeais pas d’un pouce, créant une barrière imprenable entre lui et la porte. Rancunière ? Pas du tout.
Il finit par abandonner la manière forcing pour tenter de me convaincre par les paroles. Je l’écoutais, les bras croisés sur ma poitrine, l’air pensive. Dans un sens, s’il voulait tant partir, je n’avais pas le droit de le lui refuser. Après tout, je n’étais pas non plus une salope qui aimait faire souffrir les autres. A vrai dire l’idée que Rio puisse se faire punir par ma faute était quelque chose qui me répugnait.

« Oh c’bon calmes-toi deux secondes Dan ! » lâchais-je subitement avec un soupçons d’énervement dans ma voix. « Tu vas pas te faire punir. On a qu’à sortir un mensonge. Imaginons les mangemorts nous trouvent t’as qu’à dire que tu m’avais trouvé et que t’essayais de me faire sortir de ma cachette. T’as qu’à même me foutre un poing pour que ce soit plus réaliste. »

En effet, il y avait toujours des moyens de s’en sortir pour que je sois la seule à être punie, et lui à être sauf. Dis comme cela, cela parait indéniablement égoïste et malsain de la part de Rio de faire en sorte que je sois la seule fautive – ce qui est plutôt vrai pour le moment – mais on pouvait difficilement lui en vouloir. Dans la situation actuelle, nos pires démons faisaient surface, et nos réactions ne sont peut-être pas les mêmes que celles qu’on aurait eu en temps normal.

« Et acceptes mon compliment sans te fermer ! J’ai pas pour habitude de faire des compliments à tout va, donc si j’dis que t’es adorable, prends-le et gardes-le sans faire le connard. C’est à croire que t’as pas l’habitude. »

C’était peut-être vrai après tout. Peut-être n’avait-il pas l’habitude de recevoir des compliments – surtout de personnes qu’il ne connaissait pas des masses non plus. Je devais dire être un peu pareil. Même si dans mon cas, même avec les personnes qui m’étaient proches, les compliments ne pleuvaient pas à torrent. Est-ce que je m’en plaignais ? Non. Puisqu’après tout, je n’en faisais pas des masses non plus.
Je poussais alors un soupire las, réfléchissant deux secondes les yeux dans le vague avant de me focaliser de nouveau sur les pupilles du poufsouffle.

« J’vais pas te retenir si tu veux pas. Mais si tu pars tu pourras pas entendre la proposition que je vais te faire et qui pourrait te rapporter de l’argent... »

Ma voix se fit délibérément mystérieuse pour tenter de le rendre un peu curieux de ce que je voulais lui proposer. Mon plan était bancal, fortement foireux, et fortement non faisable, mais je me devais de tenter quand même. Car Bixente, ma génitrice, était un problème qui rendait Glinda, ma mère adoptive, malheureuse. Et je ne pouvais l’accepter. Alors j’étais même prête à faire un pacte avec Rio pour régler le problème.

« Alors cap ou pas cap de rester ? »
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Message(#) Sujet: Re: a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan EmptyDim 12 Fév - 21:59


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La porte est fermée et Rosenbach plantée devant. Honnêtement, mes chances de sortir de ce placard sans nous faire mal, ni à l'un ni à l'autre, sont très très minces. Inexistantes, même. Je sens la panique qui s'installe doucement. Et s'ils nous trouvent, hein ? Elle aura des ennuis, évidemment, mais moi aussi. Jusque là, j'ai tout fait pour m'en tirer sans mal, quitte à collaborer pour être certain qu'ils me foutent la paix. Je n'ai pas loupé un seul de leurs cours d'endoctrinement, je n'ai pas perdu une seule occasion de partager les rares informations en ma possession... Je suis discrètement mais clairement de leur côté. Quand ça m'arrange... Alors s'ils me trouvaient en train de violer salement le règlement pour fricoter avec une sang-de-bourbe... « Oh c’bon calme-toi deux secondes Dan ! » Le fait qu'elle m'appelle par mon « prénom » et pas l'un des surnoms ridicules dont elle me gratifie d'ordinaire me laisse tellement sous le choc que j'en oublie de tenter une fois de plus de la faire céder. Je la fixe sans un mot, attendant seulement la suite. Un soupir m'échappe, malgré tout, et je m'appuie contre le mur à ma droite. C'est très étrange. C'est comme si, d'un coup, elle faisait partie de ma vie comme plus qu'une fille bizarre qui a croisé mon chemin au mauvais moment. J'ouvre la bouche pour répliquer mais la referme aussitôt, sans rien dire. Dans le fond, elle m'a manqué. Je suis content de la voir. Rien qu'un peu... « Tu vas pas te faire punir. » C'est vrai. Il n'y a aucune raison qu'ils cherchent dans les placards de l'école. N'est-ce pas... ? Et encore moins ce placard. Pourtant, ça ne suffit pas ni à me rassurer ni à me calmer. Les pensées tourbillonnent et se mélangent dans mon esprit. Qu'est-ce que je pourrai dire à Bennett si jamais on apprenait que je passe mes après-midis collé à des jolies filles dans les recoins exigus de l'école, hein ? Et sans prévenir, l'image de Milo se barrant à cause de Fancourt s'impose. Mais je la repousse sans ménagement. « On a qu’à sortir un mensonge. Imaginons les mangemorts nous trouvent t’as qu’à dire que tu m’avais trouvé et que t’essayais de me faire sortir de ma cachette. T’as qu’à même me foutre un poing pour que ce soit plus réaliste. » Je crois que la surprise est visible sur mon visage. Rapidement remplacée par l'incertitude. J'ai dit que je ne voulais pas d'ennuis, ce qui est vrai, pas que j'avais l'intention de lui en attirer ! N'est-ce pas...? Je ne pourrai pas faire ça. La foutre consciemment dans la merde en sachant très bien ce qui l'attend. Hein...? « Si tu m'laisses partir maintenant, personne n'aura d'ennui. Ni toi, ni moi. » Il n'y a pluss le même empressement dans ma voix. Comme si je m'étais fait à l'idée qu'elle ne bougerait pas. Peut-être que c'est un peu le cas. J'essaye, par principe, mais je n'y crois pas. Alors je tends l'oreille en espérant que personne ne soit dans ce maudit couloir. Elle, elle ne paraît pas déranger par tout ça. Ni par ma séquestration ni par les problèmes qui attendent impatiemment de nous tomber dessus. Peut-être qu'elle finit par avoir tellement l'habitude qu'elle s'en fiche ? Si elle ne le fait pas pour elle, elle pourrait au moins avoir la gentillesse de le faire pour moi...

Mais visiblement, non, ça n'est pas dans ses plans. « Et accepte mon compliment sans te fermer ! J’ai pas pour habitude de faire des compliments à tout va, donc si j’dis que t’es adorable, prends-le et garde-le sans faire le connard. » Je lui lance un regard las et un peu vexé. D'où je fais le connard, hein ?! J'ai rien répondu à son compliment. J'ai simplement dit que si elle voulait plus que je l'appelle Sucre d'Orge, je le ferai plus à condition qu'elle me laisse partir ! Il n'y a rien de connard là-dedans, c'est juste un compromis acceptable ! « C’est à croire que t’as pas l’habitude. » Je décide d'ignorer cette remarque idiote et hausse finalement les épaules. Une fois de plus. « C'est pas le compliment qui pose problème, c'est le placard, Ashley. » Je soupire et lève les yeux au ciel. « Tu peux pas enfermer les gens de force et espérer qu'ils soient ravis de te faire la conversation. C'est complètement con. » J'enfonce les mains dans les poches de mon pantalon, serrant la lettre au passage. J'aurais jamais dû décider de l'envoyer maintenant. J'aurais pu remarquer Milo, squatter son canapé et essayer de rattraper les jours perdus à faire la tronche. C'était un bon programme. Il me manque un peu. Un peu plus que ça, peut-être... Mais ça n'est pas de ma faute si j'ai du mal à accepter que mes rares amis fassent leur vie loin de moi, non ? Sauf qu'on est pas amis. Et que je n'ai jamais eu de problèmes à voir Bella avec quelqu'un d'autre. Mon estomac se serre un peu. Elle se tait un moment puis finit par planter son regard dans le mien. Je le soutiens sans ciller, attendant la suite avec une patience mise à mal. Quelles conneries elle va me sortir encore, hein ? « J’vais pas te retenir si tu veux pas. » Je hausse un sourcil dubitatif. Vraiment ? Parce qu'elle me retient pas, là, peut-être ? Parce qu'elle ne m'a pas retenu toutes les fois où je lui ai demandé de me laisser partir ? C'est bon, à d'autres, qu'elle ne me prenne pas pour le roi des cons. « Mais si tu pars tu pourras pas entendre la proposition que je vais te faire et qui pourrait te rapporter de l’argent... » Son assertion me laisse bête. Je ne sais pas si je dois être intéressé par la proposition qu'elle ne m'a pas encore faite ou révolté par le fait qu'elle me prenne, une fois de plus, pour l'homme-objet que je suis d'ordinaire. C'est un mélange des deux. Un mélange étrange... « Je fais rien à Poudlard. Et au cas où t'aurais pas remarqué, on peut pas sortir. » J'ai quand même bien envie de savoir. Juste par curiosité. J'accepte rien. Elle me dit et je me casse. Ni plus ni moins. « Alors cap ou pas cap de rester ? » Notre jeu. Comme si rien avait changé. Je lui offre un sourire un peu attristé. Ouais, j'avoue, ça me manque. Ça me manque vraiment. C'était tellement mieux. La simplicité de la situation, nos entrevues parfois nocturnes et l'impression de faire n'importe quoi. Et d'être content de le faire. Je hausse les épaules. « Cap. Mais pas longtemps. T'as cinq minutes, Sucre d'Orge. Cinq. Et après, tu me laisses partir. » C'est à prendre ou à laisser. Sans quoi, je vous jure que j'hurle au viol et tant pis si elle a des ennuis.
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Message(#) Sujet: Re: a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan a deal with the devil ► rioghbhardan o'callaghan EmptyMar 23 Mai - 19:45

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où la femme règne, le diable est premier ministre

Rio était difficile. J’avais déjà eu un aperçu de son caractère lorsque nous nous sommes rencontrés par hasard durant une fête, mais là j’avais l’impression que ce côté de sa personnalité était boosté. Peut-être à cause de la situation, aussi. On avait plus gros à perdre maintenant que les mangemorts avaient prit le pouvoir. Il cherchait certainement à avoir un certain confort en ne se mouillant pas les couilles dans des affaires douteuses. En gros tout le contraire de ce que je voulais lui demander. Enfin ce n’était pas comme si j’allais lui demander d’aller se faire sauter dans le bureau de Blackman – déjà il n’accepterait jamais, et ensuite ce ne serait pas correcte pour sa propre vie. Clairement je n’avais pas envie de lui causer plus de troubles qu’on pouvait en avoir. Nous n’étions pas vraiment amis mais nous n’étions pas vraiment ennemis. Quant à savoir si nous nous apprécions, j’imagine que cela dépendait des moments.
Car concrètement, là, au vu de son attitude, je ne l’appréciais pas, non. Sur le moment, j’eus l’envie de lâcher l’affaire et de le laisser partir. Après tout, semble-t-il que pour lui il est plus agréable d’être le plus éloigné possible des nés moldus – si on oubliait le fait que je venais de le kidnapper dans un placard à balai. Même si ce n’était pas comme si j’avais l’intention de lui faire des choses sales qui le traumatiseront à vie – quoique, ce serait plutôt l’inverse non, pour un gigolot ? Le pire serait certainement qu’il apprécierait ce que je lui ferais. Ou que les rôles soient inversés. Enfin bref ! De toute façon je n’en avais pas l’intention, ce n’était pas vraiment mon style.
Le plus étonnant est certainement que j’avais l’impression qu’il ne souhaitait pas me dénoncer avec un quelconque mensonge si jamais on se faisait prendre. Clairement ma surprise se lisait sur mon visage mais je repris rapidement une mine sérieuse. Dan était vraiment quelqu’un de difficile à cerner, de mon avis. Ou alors j’avais simplement de la difficulté à cerner les gens. Je ne savais pas trop. Tout ça pour dire que j’étais tout de même surprise de sa réponse, et que je n’y répondis que par un haussement vague des épaules. Oui il était certain que si je le laissais partir maintenant, nous n’aurions pas d’ennuis. Du moins pour le moment en ce qui me concerne. Cependant j’étais loin de fuir face aux dangers, et je n’avais pas l’intention de commencer maintenant. Et puis, ce n’était que pour quelques minutes, ce n’était pas comme si nous allions rester pendant des heures dans ce petit placard exigu.
Suite à cela, la discussion prit des tournures beaucoup plus sérieuses et plus... piquantes.

« C'est pas le compliment qui pose problème, c'est le placard, Ashley. »
« Y’a pas plus grand. J’ai cherché. Une fois. »

Moi, dire des conneries pour tenter de détendre l’atmosphère ? Pô du tout. Simplement je détestais quand on était trop sérieux. Je détestais vraiment beaucoup ça. Je ne pouvais pas m’empêcher dans ces moments-là de sortir une phrase déplacée, ou vaguement drôle, ou tout simplement juste conne histoire que pendant quelques instants il n’y ait plus cette atmosphère lourde.
Il n’empêche, Rio n’en restait pas moins mécontent de sa condition – soit d’être coincée avec moi dans un placard. Ce que je pouvais aisément comprendre. Si les rôles étaient inversés je lui aurais déjà foutu un coup de pied dans les bourses pour partir car je n’aimais pas qu’on m’impose des choses. Ouais je connais très bien la chanson « ne fais pas aux autres ce que tu n’aimes pas qu’on te fasse », mais hé, qui a dit que j’étais logique dans ma tête ? Je devais être quelqu’un de quelque peu égoïste par certains moments (tout le temps) alors il n’est pas étonnant que je fasse tout le contraire de cette maxime.

« Tu peux pas enfermer les gens de force et espérer qu'ils soient ravis de te faire la conversation. C'est complètement con. »
« Tu sais c’qu’on dit : l’espoir fait vivre. Ou mourir, j’sais plus trop. »

Ou souffrir aussi. L’espoir était une pute – tiens elle devrait bien s’entendre avec Rio ! – L’espoir c’était ce truc tout con qui te dit que ça va bien se finir et qu’au final quand ça se finit par tu finis juste tellement déçue que t’as envie de te tirer une balle dans le crâne. Comme quand on couche avec quelqu’un et qu’on en récolte des morpions tout mignons sur ta putain de chatte. La joie quoi. Alors est-ce que j’avais vraiment eut l’espoir qu’il soit content de me voir ? Non. A vrai dire j’suis pas quelqu’un de très optimiste dans la vie. Alors bon. De toute façon, j’avais dis ça juste pour pouvoir sortir une connerie de plus – à croire que c’était mon objectif ultime dans la vie : sortir le plus de connerie possible.
J’en vins bien rapidement à ce que je voulais de lui au départ : ma proposition. Cependant, je gardais encore un peu le mystère. Je lui laissais le choix entre le fait de rester pour m’écouter ou de partir. S’il décidait de partir, je ne le retiendrais plus. Et je tiendrais parole. S’il était décidé à ne pas m’écouter, alors je ne lui parlerai pas. Cela se terminera là.

« Je fais rien à Poudlard. Et au cas où t'aurais pas remarqué, on peut pas sortir. »

Ce n’était pas un non. Ce n’était pas un oui non plus. Mais alors qu’il aurait tout simplement put me clouer le bec en me disant qu’il voulait partir – encore – il préféra me dire ce que je savais déjà. Du moins pour le fait qu’on ne pouvait pas sortir. Le fait qu’il ne fasse rien à Poudlard par contre je ne le savais pas – ou bien il l’avait déjà dis mais j’avais oublié entre temps – mais dans un sens, c’était logique.

« Tu penses sincèrement que les mangemorts vont rester jusqu’à ce qu’on meurt de vieillesse ? »

Peut-être que j’étais un peu trop utopiste, mais j’étais quasi certaine que les mangemorts ne resteront pas indéfiniment aux règnes de Poudlard. Il y aurait forcément des actions extérieures pour nous aider et retrouver le système d’avant, ou bien les élèves vont finir par tellement faire chier les mangemorts en se rebellant qu’ils partiront. Je n’en savais trop rien, mais en tout cas, ils ne resteraient pas pour toujours ici.

Alors, cap ou pas cap ?
Notre ancien jeu. Je ne savais pas trop si on continuerait plus tard à jouer à ce jeu – surtout avec la situation à Poudlard – je ne savais pas trop si cela l’obligerait en quelque sorte à accepter le fait de rester avec moi pour m’écouter. Après tout, cela toucherait à sa fierté s’il disait ne pas être cap. C’était souvent comme ça dans ce genre de jeu et avec tous types de personnes. Dire qu’on n’était pas cap, c’était dire qu’on était des petits joueurs peureux.

« Cap. »

Un large sourire se plaqua sur mon visage. C’était un sourire à la fois ravi et à la fois victorieux. J’avais gagné. Enfin, « gagné ». J’avais simplement obtenu quelques minutes pour lui expliquer mon plan sur l’avenir, mais c’était déjà ça de prit. Alors je m’empressais de reprendre la parole.

« Mes parents sont pas riches, mais ils gagnent bien leur vie et ils seront certainement prêt à bien payer pour ce que je vais te proposer. T’vois, j’ai été adopté, et ma génitrice est une salope. Elle tente à multiple reprise de prendre contact avec moi juste pour m’utiliser et lui rapporter de l’argent pour ses deals et autres manigances foireuses. Elle me soule, à croire que la prison ne lui a rien appris. Ma proposition c’est que t’ailles la briser. La séduire, la faire tomber amoureuse de toi – elle est très fleur bleue malgré tout, ce qui est plutôt ironique – ou tout autre chose. Tu peux même coucher avec elle j’m’en fou du moment que tu ponds pas des gosses. » Un frisson d’horreur me parcourut l’échine en imaginant des demi frères et sœurs dont Rio serait le père. « En gros j’veux que tu la brises par tous les moyens possibles pour qu’elle me foute la paix, en n’oubliant pas de lui faire comprendre que ce qui lui arrive c’est à cause de moi. Elle habite pas trop loin de Poudlard maintenant alors genre quand les mangemorts seront plus là, en dehors des heures de cours de Poudlard tu pourrais aller la voir. SI t’acceptes j’t’en dirais plus sur elle histoire que ce soit plus facile. »

Voilà, c’était dit. J’avais parlé un peu vite, et l’énervement pouvait très clairement se sentir dans ma voix à la minute où j’avais commencé à parler de ma génitrice. Je voulais qu’elle s’en aille, et mes parents le voulaient aussi. Aussi car ils ont peur que je décide de les quitter pour partir avec elle, surtout sachant que j’étais bientôt majeure et donc responsable de mes actes.

« Bien sûr ce sera pas pour tout de suite. T’es pas obligé de donner ta réponse maintenant et t’es pas obligé de dire oui non plus. »

A mes mots, je me décalais légèrement pour lui signifier que le passage vers la porte lui était permise.
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