You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini]
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(#) Sujet: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:15
Ashley est une née-moldue, née le 25 avril 2006 à Manchester en Angleterre. D'ailleurs elle n'y vit plus puisqu'elle a déménagé à Londres en Angleterre. Aujourd'hui, Ashley a donc 16 ans et est en cinquième année.
Il est bon de savoir que Ashley est mentalement calme, apprend vite, peut se montrer gentille, sait se battre, très indépendante, vie au jour le jour, sportive, peur de rien, téméraire, cynique, a un humour douteux et (trop) franche mais également travaille, froide, a des crises de colère, égoïste, passive, malchanceuse, possessive, hyperactive, fumeuse, fonceuse, ne réfléchit pas avant d'agir, a un problème avec l'autorité et rebelle. Elle a des goût étranges, par exemple elle aime le noir, la bagarre, les scorpions, les araignées, la cigarette, l'alcool, m'amuser au dépends des autres, la magie, les cours de vol ou encore les serpents alors qu'elle déteste les épinards, les couleurs vivdes, la drogue, l'inactivité, les niaiseries, perdre, être malade, les médecins/les infirmières, les cours, les hypocrites, les faibles, les gens trop gentils et les langues de vipère.
Sa baguette est composée de bois d'ébène avec un coeur en plume de phoenix et mesure 30 centimètres. Grâce à elle, Ashley a le malheur de suivre les cours d'Astronomie, Botanique, DFCM, Divination, Histoire de la Magie, Métamorphose, Potions, Soins aux Créatures Magiques, Sortilèges et de Vol.
Ashley Maïalen Rosenbach
feat. KAYA SCODELARIO
ET EN VRAI ?
J'ai 20 ans, mais peut-être que tu le sais déjà parce que j'étais déjà là avant. Je suis arrivée sur NYL grâce à Sloane, remerciez-là et je devrais être là en moyenne cinq jours par semaine..
Tout le monde a une histoire
Je n’ai pas vécut dans une ambiance des plus ordinaires. Je n’ai pas vécut avec des parents aimants, présents, prêts à tout pour me voir réussir dans la vie et fiers de moi à tout instant même lorsque je flanchais par moment. Non, bien au contraire. Mon enfance put la merde. Pire encore, elle put la sous merde, la merde qui a chié de la merde. Ca put comme un mort qui aurait fermenté (hein quoi ? Ca fermente pas un macaber ? Autant pour moi) pendant des mois dans une pièce renfermée, sans fenêtre. Pour commencer : ma conception. Grande histoire plein de romantisme et de fleure bleue. Ma mère se trimbalait toute nue et est tombée sur un zizi sauvage qui est devenu mon père. Oui, ça s’appelle communément un accident. Et pop ! Je suis née dans les choux, car d’après ma mère, je ne sentais pas la rose. Et je n’étais pas très jolie non plus. Enfin tu m’diras, un mioche qui a été éjecté de tes miches tel un suppositoire périmé, ça ne devait pas être beau à voir. En tout cas, mes deux vieux n’ont pas arrêtés de dire qu’avant moi tout était parfait, bien, posey, et depuis que j’ai popé comme par magie dans le ventre de mon odieuse mère, tout est allé de travers pour eux. A croire que je suis un porte-poisse. Ce qui, à la vérité, est possible. On vivait dans un appartement si petit qu’il en était presque irrespirable, surtout avec le nombre d’invité qu’il y avait chaque jour. Je n’avais même pas une véritable chambre : je dormais dans un coin du salon, je n’avais ni jouets ni bonbons. Bouhou, sortez les violons et les mouchoirs. A vrai dire je m’en fichais, j’ai très vite appris à dépasser ses choses là. En effet, tout ce que je pouvais faire c’est discuter avec les invités, et me battre avec eux – autant dire que pour la gamine que je suis, je fus rapidement mise K.O. Mais cela me forgea et me permis d’apprendre à encaisser et à donner des coups. Ainsi, je passais mon enfance avec pleins de mondes autour de moi, et pas forcément des gens recommandables. Pour la plupart, c’était des dealeurs. Quelques fois il y avait des voleurs, et des violeurs. Et des gosses aussi, qui apprenaient le fils du métier. Souvent, j’étais la seule fille avec ma mère, et la seule manière d’éviter de se faire violer était soit de se battre, soit de donner sa came gratuitement – ah oui car mes parents étaient des fabricants de drogues hein – et en général du coup, leur stock s’épuisait rapidement. Mes parents, oui parlons-en de mes parents. C’étaient donc des dealeurs, fabriquant leur produit et les revendant. Souvent ils épuisaient leur stock pendant des fêtes qu’ils organisaient chez nous, c’était plus simple et cela éveillait moins les soupçons que de se promener seul dans la rue avec un sweet à capuche noir. Donc en gros ils fabriquaient leur came chez nous. Ils avaient même une salle spéciale. Je me souviens avoir été prise en photo en train d’arroser une pousse de cannabis (#MauvaiseGraine). C’était A-DO-RABLE. Le problème dans tout ça, c’étaient les vapeurs. Les vapeurs que produisait tout leur matériel pour transformer des plantes en aphrodisiaque, aussi toxiques, néfastes et bonnes pour la santé que le GHB, le cannabis, l’extasie et bien d’autres. Et mes parents le respiraient. Et je la respirais. En gros, depuis que j’étais née (dans les choux, rappelez-vous), je ne faisais que respirer ses vapeurs néfastes ce qui eut de graves répercussions sur moi (mes crises de colère, mon hyperactivité etc...). Bien évidemment, au bout d’un moment il y eut une inspection sanitaire pour je-ne-sais-quelle-raison-idiote-stupide-inutile-soit-elle, et mes parents étaient mal. Eh ouais. Allez hop, prison ferme, et moi à 7 ans j’ai eut droit à une belle cure de désintox ! Et puis jusqu’à mes 11 ans, j’ai visité différentes familles d’accueil. Quatre au total, et la dernière fut la bonne puisque j’y suis encore actuellement. Après il faut dire que si des parents moldus peuvent encaisser sans broncher que leur enfant fraichement adoptée reçoivent une lettre pour partir dans un monde merveilleux avec des sorciers, des balais volants et tout le tralala, c’était qu’ils étaient géniaux. Eh oui. JE SUIS UNE SORCIERE MWAHAHA *pfffiou, pffffiouuuuuu* (oui, ceci était des mouvements de baguette de pain agrémentés de bruits de sabres laser).
Pi jusqu’à mes 11 ans j’ai visité différentes familles d’accueil. La première avait un garçon plus grand que moi. Je l’ai mordu jusqu’au sang, il a fallut des tranquillisant pour me faire lâcher mon nonos ! C’était pendant une de mes crises de colère. Je peux me montrer très, très, très violente et antipathique, voir même suicidaire, lors de ces crises. Mais les parents n’ont rien voulu savoir et m’ont virés. La deuxième, je ne l’aimais pas du tout. C’était le type de parents tout souriant avec des habits bien soignés, bien riches, bien élevés. Pendant un repas silencieux, j’ai pris du ketchup et j’ai abondamment arrosé mes parents adoptifs en criant « FACIAAAALE ». J’avais 9 ans. Non, je ne suis pas une de ces filles précoces qui vendent leur petit cul sur le marché. Je voulais juste qu’ils me jettent le plus rapidement possible pour avoir l’opportunité d’avoir une autre famille moins flippante. Ce fut la quatrième famille qui me garda le plus longtemps, il faut dire qu’à peine étais-je entrée dans leur joyeuse marmaille que je reçus une lettre pour entrer à Poudlard. Genre. JE SUIS UNE SORCIERE MWAHAHA *pfffiou, pffffiouuuuuu* (oui, ceci était des mouvements de baguette de pain agrémentés de bruits de sabres laser).
Famille et compagnie
Père biologique : Andrew Rosenbach, à qui je dois mon nom et le prénom d’Ashley. C’est le petit dernier d’une famille de 7 enfants dans une ville pauvre d’Angleterre, ce qui ne devait vraiment pas être facile à nourrir. Moi à la place des parents j’en aurais égaré en chemin ! Une petite balade dans une forêt peu fréquentée et HOP, on en perd quelques uns en chemin et l’on fait comme si de rien n’était. Enfin bref. Il est parti à Manchester avec un rêve. Oui, un rêve ! Le rêve de devenir le plus grand commercialiste de tout les temps ! Ou commerçant, un truc dans le genre quoi, dans la vente. Alors c’est tout naturellement qu’il est devenu dealeur. A vrai dire c’est car il a rencontré Bixente, ma mère biologique. Il est tombé fou amoureux d’elle dès le premier regard, mais n’a jamais osé la demander en mariage. Tellement aveuglé par l’amour qu’il se plongea tête baissée dans la drogue puisqu’elle-même était issue d’une famille de dealeur, et très vite il y a prit gout.
Mère biologique : Bixente Arriola, une pure basque à laquelle je lui dois le fameux « Maïalen », qui signifie Madeleine, en basque français. Je ne tolèrerai aucunes blagues sur ce deuxième prénom, si vous ne voulez pas finir encastrer dans un mur, taisez-vous. Elle était venue en Angleterre car, semble-t-il, elle trouvait qu’il était plus facile de revendre de la drogue là-bas qu’en France. Quand elle a rencontré Andrew, au départ elle pensait s’en servir comme bouc émissaire, un petit niais d’anglais qui rêve du grand amour et d’un travail grandiose. Au final elle a couché avec lui. Plusieurs fois. Tout en se permettant d’aller voir ailleurs ! C’est à se demander si Andrew était vraiment mon père, m’enfin. Elle n’a jamais été réellement amoureuse de lui. Ce n’était qu’une couverture pour elle, et le fait qu’il se découvre une passion pour la drogue ne fit que l’arranger dans ses affaires.
Première famille adoptive : Les Avery. Le couple avait déjà eut un enfant, mais lors de l’accouchement il y eut une complication et la mère se retrouva stérile. Désireux d’en avoir un autre, et ayant un dossier en béton armé de pics acérés, ils m’ont eut. C’était une famille au revenu moyen dans un appartement assez spacieux, avec un enfant plus âgé avec qui jouer donc ils devraient avoir tout pour plaire. Malheureusement, cet enfant, Thomas, était gâté, égoïste, possessif, et n’apprécia pas que je m’incruste dans sa joyeuse petite famille. Dès que les parents avaient le dos tourné, soit il me frappait, m’enfermait quelque part toute la journée sans manger, soit il faisait des bêtises et m’accusait. Comme c’était leur véritable enfant, les parents le croyaient à chaque fois. Alors, un jour il me poussa dans une colère monstrueuse. Je l’ai d’abord frappé à plusieurs reprises avec des objets pour finalement me jeter sur lui alors qu’il tentait de s’enfuir pour le mordre jusqu’au sang, en lui arrachant même un bon morceau de chair au passage. Donc c’est tout naturellement qu’ils m’ont redonnés à l’agence.
Deuxième famille adoptive : Les Powell. Famille très aisée, la mère était femme au foyer, le père dans le marché financier. Tout deux viennent de familles tout aussi aisées qui organisèrent leur mariage comme contrat entre les deux familles. Ils ont finis par s’aimer avec le temps – laissez moi vomir –, et voulurent adopter un enfant pour partager leur amour (*vomi*), parce qu’évidemment, un enfant c’est adorable comme tout. Pourquoi adopter ? Tout simplement car la femme était d’une vanité à toute épreuve et refusée catégoriquement qu’un mioche déforme son corps de « rêve ». Tout était cadré chez eux, rien ne faisait défaut dans leur maison, leur langage, leur style de vie. A en frissonner d’horreur. La mère avait même une salle spéciale pour des poupées en porcelaine. Des psychopathes en puissance ! Ils étaient du genre à avoir une longue table en bois massif et lustré, eux à un bout et moi à l’autre pour manger dans le plus grand calme. Pendant un repas silencieux, j’avais pris du ketchup et j’avais abondamment arrosé mes parents adoptifs en criant « FACIAAAALE ». J’avais 9 ans. Non, je ne suis pas une de ces filles précoces qui vendent leur petit cul sur le marché. Je voulais juste qu’ils me jettent le plus rapidement possible pour avoir l’opportunité d’avoir une autre famille moins flippante.
Troisième famille adoptive : Les Blair. Ce qui est sûr, c’est que comparé à eux, les Powell étaient des enfants de cœur. Ils faisaient partis d’une secte en réalité, et avaient réussi à passer entre les mailles du filet de la société pour adopter un enfant. Donc moi en gros. Ils avaient voulu m’offrir à leur grand Chef comme une sorte d’offrande à leur Dieu ou je-sais-pas-qui, pour montrer qu’ils étaient bien super enrôlés dans tout leur truc de religion maladive. Et le Chef avait voulu abuser sexuellement de moi. Malheureusement pour lui, je n’étais pas une pauvre enfant naïve, faible, qui se laissait faire face à l’autorité. C’est donc après avoir castré les bijoux de famille du Chef en lui plantant un accessoire de cheminée pointue que j’ai appelé les secours avec les portables que les Powell m’avaient achetés. Et après on s’étonne que j’ai un problème avec l’autorité...
Quatrième famille adoptive : Les Hamilton, qui sont toujours ma famille adoptive aujourd’hui bien que j’aie décidé de garder mon nom premier. Cette quatrième famille est la bonne – du moins je l’espère – j’aime beaucoup les parents (Glinda pour la mère, John pour le père), ils sont compréhensifs et gentils. Et surtout ils ne se laissent pas démonter lors de mes crises de colère, ils sont patients, et souvent leur patience m’énerve. Mais bon, faut bien que je me case dans une famille jusqu’à mes 18 ans, jouer les pigeons voyageurs je n’apprécie pas des masses ! Malgré tous, ils sont jeunes dans leur tête et adorent me mettre la honte en public, surtout à parler de détails sur leurs ébats sexuels de la veille. Ça aussi, cela avait le don de m’énerver.
La première fois ici
Je crois que je n’avais pas réalisé que j’allais devenir une Sorcière, jusqu’à ce que je me retrouve dans la grande salle.
« Whaaaaou ! » m’étais-je exclamée tout bas.
Mes yeux émerveillés ne cessaient d’aller et venir à travers la salle, tandis que je restais là, debout et raide comme un piquet, à la limite menant à cette salle à manger gigantesque. Les autres élèves m’évitaient pour aller s’assoir à la meilleure place possible. Ils semblaient tous surexcités et impatients. Moi... moi j’étais juste émerveillée par la grandeur de la salle. Il n’y avait pas d’excitation, ni de joie, ni d’impatience. Tout ce qui m’intéressait, c’était les bougies flottantes. Je me souviens que la première pensée qui m’avait traversé l’esprit était si ces bougies pouvaient brûler les mains, ou si elles n’étaient que des objets sans vie sans chaleur. Une étrange réflexion qui, jusqu’à maintenant, me semblait parfaitement normale et commune. Bah oui, tout le monde c’était déjà posé la question voyons ! Non ? Ok... Et là, ce fut le drame. On m’avait bousculé, tellement fort que j’étais tombée par terre. La personne qui m’avait bousculé c’était mit à rire, et c’est tout naturellement que je lui avais agrippé la jambe pour le faire tomber à son tour. A quatre pattes, j’allais m’avancer pour lui mettre un joli poing dans sa gueule de babouin dégénéré quand on m’avait rappelé à l’ordre par je-ne-me-souviens-plus-de-qui. Ma crise de colère n’avait pas eut le temps de venir, alors j’avais réussi à me relever et à aller m’assoir dignement, la tête haute. Après tout, je n’allais pas m’en faire pour s’y peu. A vrai dire, c’était déjà oublié. J’avais même déjà oublié sa face de babouin. Je vivais au jour le jour, je vis toujours au jour le jour, alors les petits désagréments tel que celui-là n’arrivaient pas entacher mon esprit par des pensées vengeresses. Une petite colère et tout va pour le mieux ! Assise, je n’écoutais même pas l’espèce de doyen qui parlait parlait parlait encore et toujours. C’était ennuyeux et inintéressant. Mon hyperactivité reprenait petit à petit le dessus sur le calme de mon esprit, et très vite ma jambe se mit à bouger, comme si je trépignais d’impatience. A vrai dire, c’était une sorte de « tic ». Lorsque j’étais sans bouger pendant plus de 5 minutes, ma jambe se mettait immanquablement à bouger. Et quand elle était fatiguée, c’était le tour de l’autre. Quant à mes mains, elles tritouillaient un peu tout. Un stylo, une feuille, mes vêtements. Très souvent on me disait d’aller aux toilettes, comme si ma vessie avait quelque chose à voir avec mon hyperactivité. LAISSEZ MES ORGANES TRANQUILLES BANDES DE CHACAL ! Tsss ! Enfiiiiiin bref. Mon mouvement de jambe avait réussi à énerver ma voisine qui me lança un regard noir, auquel je répondis par un tirage de langue et un doigt d’honneur. Je voyais souvent les grandes personnes le faire (le doigt d’honneur hein, pas le tirage de langue (quoique les vieux le faisaient souvent (une fois j’ai vu une image d’un vieillard avec une touffe de cheveux en bataille et la langue bieeeen pendue comme il faut (#EinsteinStyle)))). Je ne faisais qu’imiter ce que je voyais ! Not my fault mister... Mon esprit se mit alors à divaguer. Notamment sur les bougies. Non, je ne fais pas de fixation sur les bougies. JE NE SUIS PAS FOLLE ! OKEY ? Bon. Donc. Le nez en l’air, j’observais donc les bougies qui flottaient allègrement dans les airs. Je m’étais demandée s’il était possible d’en attraper une. Une envie soudaine de brûler les cheveux de ma voisine ingrate m’avait prit en grappe (hey ça rime !). Sauf qu’à peine je me mettais à y songer, que je sursautais vivement lorsqu’on cria mon nom.
« ASHLEY ROSENBACH ! »
Surprise, je bondis de ma chaise. Je passais de la position assise en position debout en une seconde chronos (TRANSFORMATIOOOOOOOON). Ce n’était certainement pas la première fois qu’il m’appelait, pour ainsi parler à haute voix (ça te fait les cordes vocales papi). Je poussais alors un long et profond soupire audible de tous, montrant bien mon irritation. Oui bon ça va j’arrive... avais-je alors pensé tout en marchant jusqu’au chapeau miteux que tous les gosses ont mis sur leur tête pleine de poux et de bestioles ambulantes. Mon visage exprimait clairement une certaine forme de défi contre l’autorité, mais ça ce n’était pas nouveau. Professeur, Doyen, Père ou simplement une personne qui a un mois de plus que moi avaient droit à cette figure pleine de dédain et de sournoiserie. Les hommes plus que les femmes d’ailleurs. Je m’étais assise sur le tabouret, et attendis docilement le verdict en retenant une vague de nausée lorsque je sentis le chapeau se poser sur mes cheveux bruns.
Ils allaient en voir de toutes les couleurs avec moi, quelle que soit la maison.
LA MERDOUILLE DU SIECLE Il n’est pas étonnant, vraiment pas, qu’à un moment de ma scolarité, je merde à un point où le renvoi est inévitable. Cela a toujours été comme ça dans n’importe quelle institution, et Poudlard ne faisait pas exception à la règle. Explication ? Je m’étais faite des potes peu recommandables, des moldus accro à pleins de substances mauvaises pour la santé. Je ne trempais pas là dedans, en général ce sont des amis d’enfance avec lesquels je suis restée en contact, et je devais dire que même si je m’en tenais à l’alcool et la cigarette, les fêtes qu’ils faisaient étaient géniales. Toujours est-il qu’un beau jour, je rencontrais un ancien ami à qui j’avais une petite dette. Et il m’a permis de la rembourser simplement en allant pour lui payer la came qu’il avait volé chez des dealeurs particulièrement violents et mauvais. Sauf qu’en fait, j’ai très vite compris que le paiement, c’était moi. Je crois que je l’ai compris lorsqu’un des gros bras avait fermé la porte à clef et que les autres se sont un peu trop approchés de moi. Ils étaient nombreux, largement plus forts que moi. Ils m’ont attrapés, et ont commencés à me déshabiller pour certainement se faire une tournante, comme un joint qu’on se refile de bouches en bouche. Alors j’ai paniqué. J’ai sorti ma baguette. Ils ont ris. Et là je me souviens très bien l’avoir pointée vers eux en criant « STUPEFIX ». Très vite, alors que je courais dans les rues malfamées à moitié déshabillée et en pleurs, je me fis attraper par un sorcier méga puissant qui m’a ramené dans le monde des sorciers à grands coups de pied au cul. Du coup j’eus droit à la totale : suspension de Poudlard, entrevue disciplinaire (ou un truc comme ça) qui dura looooongtemps pour finalement aboutir à un jugement. Cela dura longtemps car il y avait toujours deux parties équivalentes : l’une pour le renvoi permanent, l’autre contre. Et moi j’étais au milieu, à serrer les poings et les dents, me retenant d’exploser et de m’enterrer bien profondément car je détestais me sentir observer et juger ainsi. Et enfin, OUI ENFIN ! La sentence a été donnée. Au vu des circonstances atténuantes, et au vu du fait que lesdits moldus se sont retrouvés en prison avec une analyse psychiatrique prolongée, les sorciers ont décidés de m’accorder le retour à Poudlard. Bien évidemment, à la moindre autre bourde, je me faisais renvoyer aussitôt. Gare à vous apprentis sorciers, la biatch est de retour !
QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-elle ? – Elle ouvre un Champomy et la regarde se noyer en riant.
Dernière édition par Ashley M. Rosenbach le Mer 28 Déc - 16:17, édité 6 fois
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:19
:isis:
Rebienvenuuuuuuuuuue Je vais te faire ta misère IRP
Merci Sloane !
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:20
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:26
Re-bienvenue ma belle, bon retour parmi nous
Zola Rylee Shaw “Pour qu'un amour soit inoubliable, il faut que les hasards s'y rejoignent dès le premier instant.” Kundera Milan ♦ by dream's
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:28
REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE ! :isis: Ton retour illumine ma journée, t'imagines même pas ! J'ai fait la danse de la joie en voyant ton pseudo réapparaître sur mon écran. C'est trop bien c'est trop bien c'est trop bien !
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:34
ASHLEY ! Je suis trop contente que tu reviennes parmi nous, c'était pas une légende finalement. Un gros merci à Sloane aussi. Rebienvenue parmi nous, cette fois on t'attache.
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:36
Non mais t'as rien compris, j'ai jamais voulu que tu reviennes moi, t'as tout pigé de travers ! Plus sérieusement... mon Ashleynounette interstellaire ! J'aime te revoir ici. Au passage, de rien les gens ! Je suis heureuse d'avoir réussi par la torture et le chantage à ramener Dark Vador parmi nous.
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 19:40
Rebienvenue Ashley Au plaisir de te revoir sur la CB et de te voir Inrp aussi
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 20:51
CALLIE ; The legend is back Fais gaffe je vais crier au kidnapping !
SLOANE ; C'est cela oui, c'est toi qui arrêtait pas de me parler de NYL tout le temps pour me donner envie de revenir sale vicieuse !
AURORA ; Au plaisir de te voir inRP aussi
Ma fiche est terminééééée J'espère que ça ira 'o'
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 20:53
Rebienvenue Ashley (c'est James) \o Bon courage pour ta fiche ! Et un lien nous attend tous les deux. :isis:
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 21:04
Rebienvenue la folle !
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 21:11
Oh God tu es accueillie comme le messie !!! :isis: Ben RE Bienvenue du coup (même si on se connait pas encore) !! Hâte de te voir en RP. :annabeth: Déjà rien que l'Avatar et la fiche ça me fait
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Mer 1 Juin - 21:28
ASHLEEEEEEEEEEEEEY :bailee: ! Re-bienvenue je suis trop trop contente. J'espère qu'on pourra jouer notre lien cette fois, parce que je le trouve vraiment cool :alycia: .
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Jeu 2 Juin - 6:41
Reeeeeeeee bienvenuuuuuuuue bella loca !!!!!! , très heureuse de te revoir parmi nous :isis:
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Jeu 2 Juin - 9:14
Bon retour parmi nous Joy n'est pas happy mais bon, comme elle va se casser, elle s'en fou un peu quand même
Quand tu commences sur NYL, tu finis toujours sur NYL...
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Jeu 2 Juin - 11:23
Yeahh Rebienvenue !
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Jeu 2 Juin - 11:32
Je m'en vais te valider !
Le Choixpeau Magique
À SAVOIR Arrivé(e) le : 21/04/2011 Parchemins rédigés : 1910 Points : 0 Crédit : (c) Septimus Veturia
DETAILS EN PLUS Et plus en détails ? Statut Sanguin: Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant Poste de Quidditch: Aucun Patronus: Epouvantard: Matières suivies et niveau: Points Défis: (0/0) Disponible pour un RP ?: D'autres comptes ?:
(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini] Jeu 2 Juin - 11:51
Tu peux rejoint la noble table de...
SERPENTARD !
Tout d'abord, bienvenue parmi nous. J'espère que tu t'amuseras en notre compagnie et que tu prendras plaisir à RP avec nous. Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...
Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.
Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !
N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs sont encore peu nombreux sur le forum, mais pour faire vivre cours, il y des exposés à faire au cours de ton année, pour plus d'informations, rends-toi ici. La liste des sortilèges par année est disponible là.
Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis, celui-ci pour comprendre comment ça marche et comment en proposer. Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...
Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.
Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.
Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !
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(#) Sujet: Re: You can tell Jesus that the bitch is back ! ► ash [fini]
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