[b]♦ C'était comment à et avant Poudlard ?:
Étant petit, ma famille n’a jamais eu besoin de se soucier de l’argent. En effet, on vivait bien chez les McKenzie. Depuis des générations, notre famille tien un lieu que les moldus adorent. Cela s’appelle un bowling. Ils adorent pratiquer ce sport de précision et venir boire un bon coup. Le but du bowling ? Faire tomber le plus de cônes que possible afin de rassembler un maximum de points et gagner la partie. Grâce à ça, les McKenzie vivent depuis longtemps sur le dos des gens qui viennent jouer, consommer et même des fois manger un bon petit repas très simple. En 1967 fût battu le premier logement des McKenzie dans le cœur de Manchester et les constructions immobilières se dissipaient à une allure très rapide un peu partout dans le monde. Le logement familial à Londres est le logement qui est donné de génération en génération depuis des années. Appartenant à mon arrière-grand-père du côté de ma mère, ma mère en héritait un jour jusqu'à ce que je reprend le relais.

N’ayant aucun frère ni de sœur, je n’ai jamais vraiment appris à partager mes affaires. Lorsque j’avais un ami, qui habitait tout près de chez moi, après deux jours seulement il se lassait de moi à cause de mon égoïsme permanent. Et puis tous, c’est normal non . C’est à moi et pas un autre. Le seul point où je n’étais pas égoïste était lorsque je voyais une personne en difficulté, je fonçais pour l’aider. Souvent, étant petit et encore aujourd’hui, j’aime aider les sans-abri qui ont une malchance incroyable. Je forçais ma maman à faire une part de manger de plus et leur donnais afin de les nourrir. Le comble, un jour j’en ai ramené un à la maison, afin de lui donner une douche. Et puis, normale non ? Le sourire d’un homme-femme vaut tout l’or du monde. Soyons généreux, soyons fou !

Bien avant d'entrer à l'école de magie Poudlard, je ne m'y voyais pas, étant donnée qu'aucune lettre arrivais malgré que j'avais déjà 11 ans. Je regardais le Quidditch avec ma mère à la télévision ou au stade des fois. Un beau jour de juin, le soleil était présent et faisait très chaud. Un hibou blanc arrivait devant ma porte en déposant une lettre dans la boîte aux lettres. Je l'apportais à ma maman en croyant que c'était une facture de gaz, eau et elle commençait à pleurer tout en m'annonçant que le bon dieu avait entendu mes prières et que j'étais enfin admis a l'école de magie Poudlard. Je n’en croyais pas mes oreilles, moi à Poudlard? Je rêve? Pincez-moi! Je prenais la lettre et la lisais. En effet j'étais admis à Poudlard!

Enfin, je vais pouvoir quitter cette école moldue pire qu’ennuyeuse. Bien entendu, mon école ne pouvait pas entendre parler de Poudlard, il me prendrait pour un fou. Je terminais le mois dans l’école moldue à Londres et passais mon année avec de bonnes notes. Ma mère était encore plus fière de moi et n’hésitait pas à le communiquer par lettre à mon père qui lui est actuellement en voyage professionnel en Australie. Aucune réponse, bizarre… Mais bon la vie continue. Deux longs mois de vacances méritées étaient finis. Je ne demandais pas mieux. Je voulais déjà y être moi à Poudlard. Ma maman m’emmenait là où tout a commencé. Sur la voie 9 ¾, afin d’embarquer sur ce miteux train appelait le Poudlard-Express. Dans le train, tout le monde se parlait, et parlais de la maison qu’il souhaiterait intégrer. MAGIQUE ! Le train s’arrêtait, tout le monde devait descendre afin de rejoindre les barques et se diriger vers le château. Un après les autres nous passions devant le Choixpeaux Magique qui nous dispersait dans les maisons différentes. Ce fût mon tour, le Choixpeaux n’a pas dû hésiter une seconde. Il m’envoyait à Serpentard, là ou ma scolarité commençait.

Privé de mon père, je me réfugiais chez ma mère qui elle jouait le rôle des deux en même temps. Étant elle aussi de sang-mêlé et dispose de pouvoir magique elle m'enseignait tout ce qu'elle savait dès mon plus jeune âge. Tous ce que je connaissais en arrivant à Poudlard, je le devais à ma maman. Donc la famille McKenzie, les sangs pures sont très rares vu que le premier sang pur date du 12e siècle et pas avant. Au début, nous avions une lignée de sang pure, mais petit à petit nous avons commencé à fréquenter des moldues et avons mélangé nos sangs. De là, que moi je suis également un sang-mêlé.Depuis tout petit, j'habite à Manchester, une petite ville d'Angleterre où j'ai grandi et vécu avec ma mère. Le temps nous fait vieillir et grandir, un jour j'ai décidé tout comme mon cousin d'aller vivre à Londres et déménager. Cela brisait le cœur de ma maman qui en pouvait plus. Avec le temps elle finissait par comprendre.

Lorsque j'étais à Poudlard, j'étais très content d'abord d'y enter, mais surtout de pouvoir y étudier. Je n'ai jamais gâché mes chances quoique j'étais le pire cauchemar des autres. Souvent à l'aide de mes camarades, j'allais ennuyer les Poufsouffles et les Gryffondors que je ne supportais pas. Malheureusement ceci m'a coûté une semaine de retenue ainsi qu'une interdiction de sortie durant un mois entier. En cours, j'étais brillant, toujours de bonnes notes. Lors de mes BUSES, j'avais souvent des notes OPTIMALE, certains cours des PIETRE mais jamais en dessous. Mes cours préférés étaient les potions, le vol sur balais et l'histoire de la magie. Souvent, je me voyais comme mes professeurs, devant une salle de classe à enseigner. Souvent, les filles étaient folles de moi, j'avais mon côté charmeur peu importe l'heure ou le jour. J'aimais faire jouer mon physique pour passer du bon temps avec des jolies demoiselles. L'endroit que je fréquentais le plus était la forêt interdite. De temps à autre, j'y allais en douce la nuit, car j'aimais le danger, la peur et surtout faire peur aux autres. J'avais un certain mépris pour les règlements.

♦ Et ta baguette, elle est comment ?: Ma baguette est enrobée de bois d'if pour une longueur de 33,75 centimètres. Au coeur de cette baguette se trouve une seule et unique plume de phénix.

♦ Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : Lorsque je fusse enfin diplômé et sortais de Poudlard, je réalisais un de mes rêves les plus chers. Aller retrouver mon père à l'autre bout du monde qui a dû partir pour des raisons professionnelles, enfin à ce qu'il a pu me dire lorsque j'étais petit. Je prenais pour la première fois l'avion direction l'Australie, à Sydney, là où habitait mon père. Les retrouvailles étaient un moment émouvant, je serais pour la seconde fois en 19 ans mon père dans mes bras et entendais sa voix. Une larme est bien entendue tomber sur ma joue, mais des larmes de bonheur. Pendant mes vacances en Australie, je faisais la rencontre d'une Franco-Australienne nommée Stéphanie. Ce fût une romance incroyable... À ce que je croyais. En fait, nous étions loin d'être faits l'un pour l'autre. Les vacances s'achevaient. Je reprenais l'avion pour Londres, afin de rentrer voir ma mère et lui raconter mes incroyables vacances à Sydney. Non seulement je venais de passer trois semaines de rêves, mais que je rentrais à la maison, ma maman m'attendait déjà avec impatiente. Mais notre bonheur fût de courte durée. Vu que je comptais partir à nouveau a l'étranger pour des raisons professionnel.

À l'époque, quand j'étais à Poudlard, je parlais souvent avec le professeur McGonnagal de ce que j'aimerais faire plus tard. Elle était la première à savoir que plus tard j'aimerais travailler pour elle et pour personne d'autre. Je me souviens des mots que je lui ai dit comme si c'était hier... "Je refuserais le plus beau job pour revenir ici, professeur" était les mots que je lui ai dits. Sur ses beaux mots, elle me conseillait de continuer mes études et me donnait quelques adresses d'université spécialisée dans la profession. Sans hésiter je me suis inscrit deux ans à l'université de Rome afin de me perfectionner dans mon domaine et d'autres comme les lois, la légalisation. Peu de temps après avoir vu mon père. Je m'en allais à Rome afin d'aller poursuivre mon rêve et d'étudier.
Deux ans s'écoulaient, deux ans sans voir ma petite famille. Le temps était enfin venu de rentrer à Londres voir ma maman.

À peine attirés, je cherchais ma mère des yeux qui m'attendait impatiemment après tous ce temps d'absence. Au loin, je la voyais. Elle tenait un papier de couleur brunâtre dans les mains. Va-t-elle m'annoncer un départ? Une maladie? Eh beh non! Elle m'attendait avec une bonne nouvelle,avec une lettre de Poudlard. Plus exactement une offre d'emploi. Je prenais aussi vite que possible contacté avec le directeur afin d'en parler. Ensemble nous passons un accord et j'acceptais avec joie le poste de professeur d'histoire de la magie.

♦ Mari (Femme): Actuellement je n'ai pas de femme.

♦ Enfant(s): Actuellement je n'ai pas d'enfants.

♦ Reste de la famille: Ma famille est très petite, mais soudée. La famille est sacrée. Du côté de ma mère, elle était enfant unique. Elle n'a donc pas eu de frère et sœur, ce qui veut dire que je n'ai pas d'oncle ni de tantes. Mon père, lui avait un frère qui a été marié huit ans avec une jeune femme séduisante. Ensemble ils ont eu un fils, nommé Jack qui est mon cousin. Malheureusement, mon oncle perdait la vie lors d'un crash aérien lors d'un voyage professionnel à Tanger, au Maroc. Mon père en était détruit, son frère c'était comme une partie de lui. Il prenait donc mon cousin en charge et l'accueillait à la maison. Peu de temps après, ma grand-mère, la maman de ma maman tombait malade et se faisait hospitaliser durant une quinzaine de jours. À son tour elle y perdait la vie suite à une maladie incurable qui ne porte pas encore de nom. Suite à la perte de sa femme, mon grand-père se laissait aller. Il n'avait plus envie de rien. À contre cœur ma mère décidait de le faire interner dans une maison de retraite où il reprenait petit à petit gout à la vie. La famille s'agrandissait. Mon cousin âgé de 21 ans qui avait entre-temps rencontré une jeune femme avait un enfant ensemble. Il se nomma Théo McKenzie. Petit à petit avec le temps, mon cousin emballait ses affaires et quittais tout comme moi le logement familial. Lui allait habiter avec son fils et sa femme, vu qu'ils se sont mariés. Et moi dans mon appartement à Londres, mais seul.

Exemple de RP.
À travers la fenêtre de ma chambre, les rayons de soleil se faisaient voir. Je me levais de mon lit de très bonne humeur pour ma première journée de travail officielle. Depuis le temps que j'attendais ce jour ! Je prenais un bon petit-déjeuner complet qui contenait jus de fuit, lait, pain et du fromage blanc. J'essuyais ma bouche me dirigeais vers ma penderie et sortais mon plus beau smoking accompagné de mes plus belles chaussure habillée et nœud papillon. Je le pendais à la clinche de la salle de bain, sautais dans ma douche tout en me rasant et en ressortais sentant le pamplemousse mélangé à la fleur de goyave. Je remplis mon gobelet d'eau et me brossais les dents durant quatre minutes tout en récitant mon premier cours dans ma tête. Je faisais sécher mes cheveux afin de pouvoir me coiffer au mieux.

J'enfilais mon smoking, posais mon nœud papillon et enchaussais mes chaussures noires et sortais mon hibou de sa cage afin qu'il puisse aller s'envoler dehors le temps que je terminais ma préparation. Je rangeais, faisais ma vaisselle et claquais la porte. Zut ! Mon sac, ma baguette et mon manuel ! Heureusement que j'y pense. Je remontais les escaliers allais les chercher et reprenais la route pour Poudlard étant donné que je ne pouvais pas transplanner à Londres. Arriver dans le monde des sorciers, je transplannais jusque devant la grande porte de l'école ou le directeur m'attendait le sourire aux lèvres.

- Bonjour madame la directrice, Benjamin McKenzie, le nouveau professeur d'histoire de la magie.
Je lui tendais la main et la lui serre. Waaah ! La poigne qu'elle a. Elle a manqué de me la briser pour mon premier jour. la directrice m'emmena vers ma salle de classe au troisième étage, ou je m'installais en attendant les élèves de première année. DRIIIIIIIIING ! Le stress montait un peu, les élèves allaient arriver d'ici peu de temps. Un par un ils prenaient place sur un banc, après trois minutes, la classe était remplie.

- Bonjour jeunes gens, je suis le professeur McKenzie. Je vais vous enseigner jusqu'à la fin de l'année l'histoire de la magie.

Plusieurs d'entre eux me fixaient et certains me souhaitaient la bienvenue à Poudlard. De gauche à droite je les interrogeais afin de connaître d'avantage sur eux.

- Donc voilà, je vais vous demander d'ouvrir votre manuel à la page quatre-vingt-cinq. Qui peut de quoi nous allons parler aujourd'hui? Ou plutôt de qui?

Au fond de la classe j'entendais une petite voix qui tentait sa chance. En effet c'était bel et bien de ce monsieur que nous allons parler. le premier cours allait à propos de Nicolas Flamel, un grand homme. À l'aide de ma baguette j'allumais le projecteur et projetais des images de lui et de ses créations contre le mur de la salle.

Lorsque les images défilaient sur le mur, les élèves commençaient à chuchoter ensuite à presque pour ne pas le dire crier. J'exigeais le silence dans la salle, tout le monde se taisait, sauf un. Un jeune Serpentard à qui je redemandais de se taire. Au début, il contestait et faisait comprendre qu'on lui a donné une bouche pour papoter. Sans le gronder, je lui proposais d'obéir ou de quitter la salle de classe. Ce qu'il avait l'air de chercher. Lorsque j'évoquais le mot retenu, il changeait d'avis et devenait obéissant.

- Donc, qui saurait me parler un peu de Nicolas Flamel ? Les élèves se regardaient l'un à l'autre sans savoir quoi répondre. Je reprenais la parole afin d'éclaircir le mystère.

– Jeunes gens, Nicolas Flamel est un alchimiste qui a créé la pierre philosophale et qui lui a permis de vivre plus longtemps. Les élèves se questionnaient l'un à l'autre en se demandant si c'était possible. Certains étaient même stupéfaits par ce qu'a fait Nicolas Flamel


Le célèbre mage noir, Voldemort, enviait Flamel et sa femme et voulait à tout prit gagner l'immortalité. Le 4 juin 1992, Voldemort, possédant alors le corps du Professeur Quirrel, brave toutes les épreuves de protection de la Pierre. L'épreuve du miroir du Riséd ne lui permettait pas d'avoir la Pierre Philosophale et il attendit Harry Potter qui grâce à son coeur pur pouvait avoir accès à la Pierre. Cependant, Voldemort ne réussit pas à voler la Pierre. Lorsque j’évoquais le nom du mage noir connu pour plusieurs actes de barbarie, manipulations et j’en passe, les élèves savaient que c’était du sérieux et que cette pierre a bel et bien existé. Après tout, pourquoi raconter des salades à propos d’un si grand homme ?

-Petite précision, c'est bel et bien le seul à avoir réussi. À cette époque il était marié avec Sonia Delongville. Il en était tellement amoureux qu'il lui faisait profiter de cette pierre. Ils ont vécu chacun jusqu'à six cents ans. Ajoutais-je.

La sonnerie annonçant la fin du cours retentissait. Je demandais à tous les élèves de passer par mon bureau afin de prendre un parchemin où il y était indiqué le programme de l'année ainsi que leur devoir à rende pour la semaine prochaine. Ce devoir contenais cinq question sur le cours d'aujourd'hui. Tous les élèves se mettaient debout et quittaient la salle de classe afin d'aller à leurs prochain cours.