♦ C'était comment à et avant Poudlard ? Avant Poudlard, Jamie s’est baladé à travers tous l’Europe, l’Afrique, l’Asie et l’Océanie avec ces parents. Son père et sa mère travaillant pour le Ministère de la Magie avait besoin de voyager continuellement pour leur boulot. Hors donc, petit Jamie n’a jamais vraiment passé beaucoup de temps à la maison familiale à Esher, mais ne s’en soit jamais plaint pour autant. Cette vie lui convenait parfaitement, chaque jour apportait son lot de nouvelles découvertes étonnantes et de lieu rempli de nouvelles couleurs et odeurs. Au lieu de regarder dans des bouquins pour apprendre, il voyait les choses de ces propres yeux, en passant par les Pyramide jusqu’aux forêts luxuriantes peuplé de tigre et de bête effrayante pour un gamin. Il a passé la majorité de son temps avec des adultes, et quelques enfants occasionnellement lors que ces parents travaillaient avec d’autre famille de sorcier. Très proche de ces parents, il a appris à observer et à oser parler. C’est un jeune garçon très calme et obéissant qui était capable de s’occuper seul lorsque ces parents n’étaient pas à côté de lui. Il aurait bien aimé avoir une petite sœur ou un petite frère lors qu’il était enfant, mais déjà que sa mère avait dû accoucher à Madrid, loin de la maison, ces parents n’étaient pas totalement certains que ça soit l’idée du siècle. Plusieurs années passèrent, il vieillit, enfant unique, sans pour autant ressentir de vide dans sa vie; pleinement comblé par des parents aimants et présents. À Poudlard, Jamie était un garçon très actif. Studieux quand même et désireux de réussir, il accordait du temps à ces études entre ces allées et venues. En 7e, il s'est rapproché de Matt avec qui il partageait plusieurs points communs dont l'attrait de la gente féminine. Il a aussi percé à jour le secret de Taylor, après une sacré gifle. Il a aussi été réserviste pour l'équipe de Quiditch de Gryffondor. Il a de plus participé à une épreuve plus que houleuse avec Éléonore, son ancienne préfète qui n'appréciait pas vraiment certains évènements ayant eu cours lors d'une soirée du temps des fêtes. Sa dernière année fût aussi bien occupé par la venue d'une étudiante française qui avait le don de le provoquer et d'attiser son intérêt. Mlle Roxen a pu alors connaître l'étendue des attentions de ce dernier.

♦ Et ta baguette, elle est comment ?: Baquette de 27 cm en cyprès contentant un crin de licorne, souple et tout en bois.

♦ Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : Jamie est sorti de Poudlard, il y a moins d'un an. Il a été à l'Université environ 1 mois avant de quitter avec ces parents pour Zurich ou son père et sa mère avait un nouveau contrat de travail. Il avait l'habitude de voyager avec eux lors des saisons mortes d'école à Poudlard, mais il a tenté la chance de faire un ''Stage'' avec ces parents et son expérience en Suisse fût plutôt ennuyante. Il attend et espère de pouvoir réintégrer sans vie l'Université pour voir ce que la suite lui réserve.

♦ Père: M. Christopher S. Alexander.
Le père de Jamie fait un drôle de boulot, il rencontre des gens un peu partout pour la Ministère. C’est un père attentionné, près de son fils et qui est patient pour lui expliquer les choses qu’il ne comprend probablement pas. Maintenant qu’ils sont séparés, il échange très souvent des missives plusieurs fois par mois, question de savoir comment se passe sa scolarité à Poudlard. Il est très fier de son fils. Bien que les sorciers n’utilise pas vraiment de véhicule motoriser, il a fait découvrir sa passion à son fils, qui lui aussi trip sur les bagnoles. Ils espèrent un jour en modifier une, vraiment classe et s’en servir comme moyen de transport familiale. Il lui envoi occasionnellement des clichés que voiture qu’il croise dans son périple pour son travail. Son père est un modèle et un exemple pour lui, tant que ce soit pour son travail, son attitude ou ces agissements en groupe ou envers les femmes.

♦ Mère: Freya A. Alexander (Smith).
La mère de Jamie travaille en collaboration avec son époux. Ils se complètent dans les tâches que le Ministère de la Magie leur confie. D’ailleurs, c’est en travaillant qu’ils sont tombés amoureux, et que Mlle Smith a décidé de quitter définitivement l'Amérique pour l'Europe. Mme Alexander est un peu fleur bleu, elle est très contente d’avoir un fils qui sait se tenir en bonne société et d’avoir eu un si gentil petit garçon. Elle ne voit absolument pas ces travers, comme n’importe quelle maman. La séparation de son fils pour l’école ne sait pas fait sans larme, et bien que M. Alexander s’en soit assuré, il a rejoint l’école avec l’impression d’avoir brisé le cœur de sa mère. Sept ans ont passé et il revoit encore le visage de sa mère déchiré alors qu’il quitte Kingcross, se mêlant avec le visage illuminé de fierté qu’elle lui renvoi maintenant. C’est probablement à cause d’elle, qu’il fait si attention à ne pas causer de vive réaction chez des filles, les voir pleurer, déchirer, lui rappelle le petite garçon honteux de partir pour une nouvelle aventure dans ce train qui le mène à un lieu enchanté mais très loin de sa mère.

Exemple de RP

C’était presque d’un matin comme les autres pour moi. J’avais envisagé ne pas m’y rendre après la crise que maman venait de faire, mais elle s’était calmé et j’avoue que depuis que nous avions pris le chemin pour nous rendre à la gare de Kingcross, je devais lui jeter des regards soucieux au cinq à dix minutes, si ce n’était pas plus. Qu’est-ce qu’on est réellement censé ressentir quand on part vers une nouvelle aventure, mais cette fois, seul ? Nous devions êtres quelques part en Pologne lorsque le hibou qui faisait les allées et venues entre notre nouvelles positions quotidiennes et la maison nous avait rapporté la missive de mon admission à Poudlard. Mère avait semblé si excité à cette perspective à ce moment-là. J’allais devenir un vrai sorcier! Pas qu’il en ait jamais douté, non, mon père et ma mère était tous les deux sorciers et leurs parents avant eux aussi, sans traces quelconque de quelqu’un qui ne l’avait pas été avant de nombreuse génération. Mon paquetage posé sur un chariot, papa le poussait, maman accroché à son bras; pour ma part, j’étais accroché à son second bras que je flattais pour l’aider à se calmer.

Foncer dans un mur ? Euh pardon. « Papa ? » En lui jetant un regard lourd de sens et surtout d’inquiétude, j’étais au moins certain qui ne devenait pas momentanément fou comme ma mère. Ste-Mangouste était pas très loin, leurs séparations de moi leur causerait-il un si grand traumatise ? Il eut un sourire rassurant et à trois, nous passâmes papa, maman et moi la paroi nous menant vers le train magique. Ah! C’était ça le truc. Je rigolai un bref instant, avant de continuer à jeter un regard soucieux sur ma mère qui souriait comme si on avait collé le creux de ces joues avec des cure-dents pour le faire tenir en place. J’étais peiné et mon estomac se tordait à force de la regarder se forcer ainsi. J’aurais préféré lui dire que j’allais rester, pour elle. Je le fis, un peu après que mon père ait donné mes bagages à un membre de l’équipage qui s’assureraient qu’ils seraient dans la soute pour le départ. « Si tu veux, maman, je vais à l’école, seulement l’an prochain… » Mais mon père jetait un regard à maman, et elle dût se sentir mal, car elle se pencha pour ma prendre dans ces bras, avant de me murmurer dans l’oreille quelques phrases : « Chéri, je t’adore. Maman est triste parce que tu vas lui manquer. Mais tu vas me rendre fière, ou que tu sois! » Elle se redressa. « Va te faire des amis, mon chou. Maman, a bien hâte de recevoir tes premières lettres. »

Ah oui, En parlant de lettre, j’ai eu droit de me choisir un tout nouveau hibou. Bon, ce n’est pas comme si nous n’en avions pas quelque un à Esher, mais le mieux c’était d’avoir le sien! Non ? Une petite boule noire, de grandes ailles et un regard malicieux. Nuit, je l’avais appelé Nuit. D’ailleurs, il était ou déjà ? Ah oui, papa l’a fait monter dans le train! Je devais peut-être y aller moi aussi. Après deux câlins très mérités aux parents les plus formidables du monde, ainsi que la sirène du train avisant à tout le monde de monter, il ne me restait plus qu’à suivre la consigne et de prendre le train.

Ce n’était pas la première fois que je prenais le train, mais c’était très clairement la première fois que ce dernier était infesté d’enfant. Partout! Pas un adulte. À part la dame aux confiseries! Et dire que j’avais passé plus de temps avec des adultes qu’avec des jeunes de mon âge, j’étais un peu mal à l’aise. J’étais dans une cabine avec des petits nouveaux, du moins, il semblait tous autant mal à l’aise les uns que les autres, mais il y avait une fille plus vieille qui encourageait sa sœur à venir me parler. Comme si j’étais invisible, mais il fallait se le dire, j’étais calme et pas turbulent, parfait pour n’importe qui qui voulait pas avoir l’impression de frapper un mur. Elle la laissa seule, alors qu’elle quittait notre cabine. « Tu sais, si tu veux pas, t’es pas obligé. C’est pas parce qu’ils sont plus grands qu’ils ont toujours raisons. » Il lui sourit, montrant à la fois qu’il faisait attention à ce qu’elle voulait, mais aussi qu’il était conscient de l’inconscience de sa frangine à elle. « Moi, c’est Jamie. » Le reste du chemin se fit sans trop d’encombre. Ah oui presque, il semblait que j’avais insulté un garçon au passage, en lui disant que son chandail était le plus moche que j’avais vu. Mais c’était vrai, il n’était pas pour ne pas lui dire! Et j’en avait vu des trucs laids, moi!

Des barques maintenant ? Mais aussitôt embarqué, mon regard s’est braqué sur le paysage, ou plutôt l’école qui se découvrait sous mes yeux. Lumineuse, enseveli sous les étoiles. « Trop beau! » J’avais complètement oublié le fait que j’étais sur un petit navire. Je n’avais pas vraiment les bateaux en fait, et habituellement, maman me mettait un gilet de sauvetage, si ce n’était pas de deux en fait. Me retrouver ainsi si libre, ne faisait… bizarre. Maman. Je soupirais, en y pensant. Elle me manquerait! Vivement Noël! C’est bien ce que papa lui avait dit ce matin, ‘’Chérie, t’en fait pas, il sera de retour pour Noel, nous n’aurons qu’à revenir en Angleterre à ce moment-là.’’ Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais quand on a débarqué du bateau, la fille en question, la gêné me tenait par la main. Était-ce elle qui avait peur ? Je n’ai pas trop cherché. Et nous avancions vers les grandes portes menées par un géant énorme pour lequel je croyais que les portes avaient été faites juste pour lui. Il nous menait dans les couloirs et la prise se faisait de plus en plus ferme dans ma main. « C’est pas comme s’il allait nous mangé, non ? Par la Barbe de… » Et les Portes de la Grandes s’ouvrit pour notre petit groupe. Obnubilé par l’effet des chandelles, j’en avais perdu ce que je voulais dire. J’ai échangé un petit regard rassurant à la fillette, avant de suivre le groupe. Elle lâcha ma main au moment où elle fût appelé, soit bien avant moi. J’attendais comme droit et confiant de trouver ma place, quoique je n’avais aucune idée de ou.

« Jamie Adam Alexander. »

« Ici! » Ah oui, c’est vrai, On m’avait dit de s’avancer et de s’asseoir sur la chaise, je m’en rappelais maintenant. Je fis quelques pas, avant de m’asseoir sur la chaise de bois, pendant qu’on posait cet étrange chapeau à yeux sur ma tête.

Dernière année à Poudlard
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J’avouai à moi-même, j’étais perturbé par la douleur lancinante encore sur ma joue. Ne serait-ce que pour sa provenance. Taylor m’avait giflé, et confus, j’avais décidé qu’elle ne quitterait pas cette chambre sans que j’aie réellement compris ce qui se tramait. Je ne comprenais absolument plus rien et avec les récentes histoires de Matt, je m’avouai à moi-même que j’étais un peu sur le qui-vive de toutes la nana qui s’invitait dans nos dortoirs à nous les gars de 7 e. Bon, oui, je connaissais Taylor depuis des lustres. C’était devenu une sublime jeune femme, qui pouvait avoir les pires goûts pour s’habiller, rien de sexy, mais elle restait quand même très jolie et j’étais pas prêt à me laisser faire faire n’importe quoi pour une deuxième fois cette semaine. Elle avait dit un peu n’importe quoi depuis qu’elle était rentré et maintenant je commençais vraiment à être inquiet car si je me fiais à son attitude, c’était une sacré déclaration qu’elle m’avait fait plus tôt; j’avais juste été trop bête pour lui donner était de fait plutôt que de blague. Je lui avais demandé fait part que je ne voulais pas la blessé et que je pensais que j’avais réellement gaffé. Je voulais recommencer du début, et c’est à ce moment qu’elle décida de reculer et de m’accorder la chance de me reprendre. Je soupirai soulagé et honteux.

Assise sur le lit de Matthew, j’attendis qu’elle débute toujours debout devant elle, avant de l’y rejoindre moi aussi assis en indien. «Tu remercieras Matt, c’est de sa faute, si je distingue mal le vrai du faux, ces jours-ci. Mais revenons-en à toi.» Elle venait de se traiter de monstre et j’avais décidé de prendre ces mains dans les mains et de la forcer à me regarder dans les yeux pour qu’elle voie que je ne mentais pas. Elle avait pointé ces écailles que je distinguais mieux maintenant dans cette position et plus près d’elle. «T’es le monstre le plus adorable que je connaisse alors.» J’eus un sourire en coin, et la laissai continuer. Plus réceptif, bien que mélangé. Elle avait retiré ces mains des miennes pour les poser sur ces cuisses et j’hésitais entre les lui reprendre ou les laisser ou elle était.

«Demi-Sirène.» Je le regardais droit dans les yeux. «Ne te traite jamais de monstre ma belle, d’accord? J’étais sérieux, et j’avais un petit sourire triste sur le visage. «T’es belle à en crever, alors crois-moi t’es loin d’être un monstre.» Je le disais avec éloquence, mais je le pensais vraiment. «Ce n’est pas que ça ne m’enchante pas, c’est surtout que je ne savais pas.» Plus calme. J’avais posé moi aussi mes mains sur ces cuisses, imitant la position. Je cherchais les bonnes choses à dire, les bonnes choses à faire mais au final, je savais que la seule chose que je voulais faire s’était m’excuser. J’avais toujours été là pour Taylor, et même quand elle avait appris la nouvelle du décès de son père. J’ignorais depuis combien de temps elle savait, ni comment elle l’avait su, mais ça ne m’intéressait guère pour le moment. J’approchai d’elle et la prit dans mes bras. «Je m’excuse ma puce.» Après une forte accolade, je la laissais reprendre son ancienne position. Je le considérais toujours pour ce qu’elle avait toujours été, cette nouvelle information ne changeait pas vraiment ce que je pensais d’elle, seulement que je comprenais que certain chose avait changé.