C'était comment à et avant Poudlard ?: Facile d’y répondre, j’y suis jamais allé. Je viens d’arriver en Angleterre. Le comment du pourquoi sera plus amplement expliqué dans ma biographie plus bas, mais en bref j’ai fait mes études pré-universitaire à Salem. L’école était stricte, mais, avec du recul, vachement avancé. Certains sortilèges que les étudiants de Poudlard apprennent en quatrième étaient dans mon examen final en première. Mais ils ont des classes que j’aurais aimé avoir. Je n’ai eu que de la théorie des forces du mal mes deux dernières années et encore, ce n’était qu’un cours optionnel. Il faut dire que comme la Grande-Bretagne et l’Europe ne passent pas une décennie sans avoir un mage noir voulant le pouvoir, la défense réelle et non seulement théorique est nécessaire. Mais bon, je diverge. La question est que j’étais bon élève dans mes résultats, mais pas en classes. J’aime bien provoquer la discussion sur des sujets controversés avec mes professeurs et certaines mauvaises connaissances m’ont provoqué un lot de problèmes. Mais j’ai toujours eu ma jumelle pour me ramener dans le droit chemin et si je ne suis pas emprisonné pour avoir tué mes parents, c’est bien parce qu’elle me calme chaque fois que l’envie me prend. Ouais. L’école à Salem avait son lot de bons trucs, mais surtout son lot de drames. Bon sang je me perds dans mes pensées et j’écris n’importe quoi. Je vais être plus cohérent dans mes prochaines réponses.

Et ta baguette, elle est comment ?: Prunellier 18 cm, écaille de dragon.

Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : Le début de l’histoire est simple. Je suis né le 15 janvier, quatre minutes et vingt-six secondes avant ma sœur. Mes parents furent plus que ravis. Mon père voulait un garçon pour faire durer la lignée, ma mère voulait une fille pour la cajoler. Ayant détesté être enceinte, elle avait été ferme que sa grossesse serait unique. Alors ils y virent un bel augure de Merlin d’avoir eu tout ce qu’ils voulaient malgré tout.

Rapidement je fus une déception. Ma sœur était nettement meilleure que moi dans bien des domaines. À l’école elle était première de classe sans effort alors que je devais bosser des heures pour avoir la note de passage. Alors qu’elle était tout ce que nos parents désiraient, je deviens de plus en plus un mouton noir. Je préférais la musique et les amis aux études et aux prestiges de la famille. Les querelles étaient communes entre mon père et moi et plus j’avançais dans mon parcours scolaire, plus notre relation s’est détériorée. Certaines nuits, seuls les bras et les mots réconfortants de ma sœur me tenaient en vie.

A mes quinze ans, une de mes tante préférée s'est fait chassée du domaine familial. Je ne comprends pas vraiment les raison, tout ce que je me souviens c'est d'un souper désastreux, un elfe de maison couvert de potage aux poireaux et mon père lançant son verre de whisky dans le feu. Le lendemain matin, elle est venu dans ma chambre me dire au revoir avant de faire ses adieux a ma soeur. Elle m'a glissée un paquet que j'ai pris soin d'ouvrir seulement lorsque mes parents n'étaient pas a la maison. C'est la que j'ai eu mon premier livre d'histoire. Mon premier vrai livre d'histoire devrais-je dire. Entre ce qu'on nous dis a l'école et la version déformé de mes parents, je n'ai jamais connu certaines choses très importantes dans le monde magique. Et cet aspect de l'inconnu et du puissant réécrivant l'Histoire avec un grand H est devenu une fascination. J'avais enfin trouver quelque chose qui me passionnent. Mes notes a l'écoles sont devenues meilleures et j'arrivais un peu plus a toléré les attentes impossibles que mes parents avaient de moi.

À mes quinze ans, une de mes tantes préférées s’est fait chasser du domaine familial. Je ne comprends pas vraiment les raisons, tout ce que je me souviens c’est d’un souper désastreux, un elfe de maison couvert de potage aux poireaux et mon père lançant son verre de whisky dans le feu. Le lendemain matin, elle est venue dans ma chambre me dire au revoir avant de faire ses adieux à ma sœur. Elle m’a glissé un paquet que j’ai pris soin d’ouvrir seulement lorsque mes parents n’étaient pas à la maison. C’est là que j’ai eu mon premier livre d’histoire. Mon premier vrai livre d’histoire devrais-je dire. Entre ce qu’on nous dit à l’école et la version déformée de mes parents, je n’ai jamais connu certaines choses très importantes dans le monde magique. Et cet aspect de l’inconnu et du puissant réécrivant l’Histoire avec un grand H est devenu une fascination. J’avais enfin trouvé quelque chose qui me passionne. Mes notes à l’école sont devenues meilleures et j’arrivais un peu plus à tolérer les attentes impossibles que mes parents avaient de moi.

À seize ans, j’ai embrassé une fille pour la première fois. Cette même année j’ai eu quelques aventures avec un garçon. Je me rappelle arriver en panique dans la chambre de ma sœur après que Andy et moi avons expérimenté plus que des baisés. Pendant un moment, je me croyais gai et j’étais terrifié. Mon père comptait sur moi pour garder le nom de la famille en vie après tous. Mais lorsque Andy m’a brisé le cœur, je me suis réconforté dans les bras — et les draps — de Sabrina, et de Sophie, et de Marc. À seize ans, j’ai découvert ma bisexualité. Secret que seule ma jumelle comprenait et garde loin de mes parents

Malgré l’interdiction de mes parents, je continue de correspondre avec ma tante Agathe, maintenant installée en Angleterre. Lors de mes dix-sept ans, elle m’a avoué toute la vérité. Non seulement sur mes parents, mais sur notre héritage. Le nom des Mantion est très connu de l’Amérique, mes ancêtres ayant marqué l’histoire en étant les sorciers les plus souvent arrêter lors du procès des sorcières de Salem lorsque les nomages ont découvert notre secret. Notre nom est écrit dans les livres sociers comme dans celui des nomages et c’est quelque chose dont nous sommes fiers. Mais nous n’étions pas les sang purs que nous prétendions être. Plusieurs cousins et cousines, tantes et oncles, grands-parents, avaient été chassés et effacés des mémoires familiaux lorsqu’ils décidèrent de s’allier avec les nomages. Certains par le mariage, autre par amitié. Mais rien ne devait salir la pureté de notre famille alors un coup de baguette les a effacés. Mes parents détestent les personnes sans pouvoirs magiques et les croient inférieurs. Apparemment, lorsqu’ils étaient a Salem ils avaient eu vent d’un sorcier en Grande-Bretagne qui prônait la pureté de la race et ils l’avaient supporté. Je suis bien heureux que les idées de Voldemort ne se soient jamais rependues en Amérique.

En revenant de ma dernière année d’étude, j’ai confronté mes parents à ce sujet. Ils en ont nié presque l’entièreté, mais m’ont avoué que ma tante était partie, car elle s’était liée d’amour avec un nomage et elle s’était sauvé des conflits familiaux. Ma relation avec eux se détériora suite à cet aveu et depuis une cicatrice irréparable est entre nous.

J’avais réussi à me sortir des mauvaises foudres de mes parents en m’inscrivant a l’Université magique de New York comme ils le voulaient de moi. (« Aucun Mantion ne doit être sous-éduqué! “) Je me suis spécialisé en Histoire magique, me jurant de déterrer plus de secrets de ma famille et de comprendre comment peut-on détester les êtres non magiques. Au campus j’y ai rencontré des personnes de tous genres, tous milieux et toutes sexualités. Je pouvais enfin être moi même sans avoir peur de déplaire ou de faire honte à notre lignée. Mais il a fallu que ma mère arrive dans ma chambre lors d’une fête de fin d’année alors que j’avais Michael sur les genoux, ma main dans sans pantalons. Vous imaginez le désastre…


Après plusieurs cris et pleurs, des assiettes et des vases éclatés sur le mur et nombreux sortilège, mes parents m’ont supprimé de leurs vies. Bani du domaine familial et retiré du testament, coupé les vivres. J’ai décidé de prendre mes maigres possessions, de poser ma candidature dans une Université loin de la maison. L’Angleterre, lieu de refuge de ma tante préféré fut mon premier choix. J’ai postulé pour faire mon transfert, ma thèse se terminera là-bas

Mais dans tout ce chaos, j’ai surtout eu peur de perdre ma sœur. Je crois que j’aurais pu exploser lorsqu’elle m’a annoncé sa venue à Londres avec moi. Bien sûr, mes parents ne l’ont pas déshérité, mais savoir qu’elle est de mon camp, c’est ce qui m’aide à respirer et continuer à vivre...

Mari (Femme): (5lignes minimum)

Enfant(s): (5lignes minimum)

Reste de la famille:

Layla: Ma sœur jumelle. Il est cliché de dire que c’est l’amour de ma vie, mais c’est vrai. Je ne peux pas vivre sans elle et lorsque j’ai été chassé par mes parents, c’est de la quitté qui ma réellement brisé le cœur. L’avoir dans ma vie malgré tout est un don du ciel, elle est ma bouée de sauvetage. Si seulement elle savait qu’elle est ma seule raison de rester en vie.

Agathe: Ma tante préférée. Elle qui m’a tout appris sur les mensonges de ma famille et sur l’importance d’être qui vrais a ce que nous sommes. Après Layla, elle est la première personne qui a appris mon orientation sexuelle et ne m’a jamais détesté pour cela. Notre relation est très forte. Elle est le parent que je n’ai jamais eue. Avant de réussir à trouver un appart et un boulot, Layla et moi avons habité chez elles quelques mois. Je ne peux pas passer une semaine sans la voir ou lui écrire.

Jacob et Miranda: Mes parents. Je sais qu’ils veulent mon bien. Ils m’aiment. Mais mal. Je crois que leur ego et l’importance de notre nom de famille sont devenus une obsession pour eux. C’est ce qui a créé un vide entre nous qui ne se remplira jamais. J’aurais aimé être le fils qu’ils voulaient, mais je ne serai jamais un bon Mantion. Et pour cela, ils m’ont rayé des mémoires de la famille...

Exemple de RP.

Je ne suis pas certain de comprendre la magie londonienne. Non pas les sortilèges, ils sont pratiquement les même que ceux que je connais. Mais je trouve que leur utilisation et la façon dont ils l'utilisent est très différente de celles des américains... plus... noble. Notre Histoire magique est bien différente de l'Anglettere et c'est peut être la raison pourquoi. Chez nous, la magie était jalousement protégée, pratiquement exclusive d'utilisation que dans des cadres bien strictes. J'ai presque eu une attaque de panique en voyant une gamine jouer avec la baguette magique de sa mère dans le parc la semaine passée. On envoie les gens en audience disciplinaire pour moins que ça. Ici, la magie est vu comme une chose naturelle que certains ont la chance de recevoir, non pas comme un don que seul l'élite mérite d'avoir.

Ici, la magie est plus libre. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais c'est une vive impression que j'ai et ce, depuis que je suis arrivé en Angleterre. J'ai toujours sentis mes pouvoirs comme une lourdeur au creux de l'estomac, une raideur dans les muscles. Mais depuis que je suis en terre anglaise, ma magie change. Je ne la ressent plus comme un fardeau, mais comme une partie vitale de moi. Au même titre que mon sang dans mes veine et l'air dans mes poumons. Il n'y a pas de douleur, que de la libération. Ici la magie est libre. Ou peut-être n'est-ce que moi.

-Une bierreaubeurre.

La dame au comptoir me donne un sourire charmeur et me promet de me l'apporter une fois prêt. Je la remercie, paye et vais m'asseoir au fond de la pièce. J'ai besoin d'éviter les distractions et avancer dans ma thèse. Mon échange scolaire et mon drame personnel ralentissant quelque peu -énormément- mon progrès sur la thèse que je tarde d'écrire.