C'était comment à et avant Poudlard ?: Je suis née à Los Angeles, en Californie. J’ai toujours été plus ou moins proche de mes parents, étant fille unique. Mais vous savez, la célébrité n’aide pas à créer de forts liens, même avec le paternel et la maternelle. Malgré ça, je savais qu’ils faisaient leur possible pour subvenir à mes besoins. Notamment dans le domaine fiscal, financier. Je n’ai jamais manqué de rien de ce côté-là, si ce n’est de sentiments. Peut-être.
Je vécus alors normalement, mes pouvoirs n’étant apparus qu’autour de mes quatre ans. J’étais dans la moyenne et mes parents très heureux. Je n’étais pas devenue une Cracmol ! Mon père, chirurgien hautement réputé des instituts magiques de Californie et ma mère, directrice des anomalies magiques du ministère de la magie, organisèrent alors une grande fête en cet honneur. Il y avait beaucoup d’invités. Beaucoup trop. Je n’en connaissais même pas le quart et je me sentais… seule, isolée, abandonnée. Avec le recul j’ai fini par comprendre que ce n’était pas ce qu’ils avaient souhaité mais du haut de mes quatre ans, je ne pouvais le comprendre de la sorte. Je leur en ai alors voulu pendant de longues années et ai même demandé à aller dans une autre école que celle de Salem. Je ne voulais plus les voir. Je fus alors emmenée chez mon oncle et ma tante, à Londres, en Portoloin. Eux étaient des sang-mêlés mais, de par leur âge plus avancé que celui de mes parents et ayant un peu perdu goût à tout cet univers, me montrèrent de nombreuses choses moldues. Comme la science-fiction, les romans Fantasy, les fast-foods, etc. Je finis alors par énormément m’attacher à ces choses futiles et, à présent, je déteste l’admettre.
De l’autre côté, j’avais mes grands-parents. Ces derniers me gardaient très souvent mais… avaient vécus durant l’époque de Voldemort. Ils m’enseignèrent alors leurs principes et c’est à partir de cet instant que je m’intéressai à la magie noire. C’était… splendide. Sublime. Magique. Intense. Je sentais quelques picotements en moi lorsque je lisais des ouvrages sur cette autre forme de magie mais surtout lorsque je la voyais à l’œuvre. J’étais excitée rien qu’à l’idée d’en parler.
Quelques années plus tard, je reçus ma lettre d’entrée à l’école de Sorcellerie Poudlard et m’y rendis le jour du rendez-vous. Arrivé là-bas, je passai sous le Choixpeau qui m’indiqua à quelle maison j’allais appartenir : Serpentard. Mes idéologies étant basées sur celles d’anciens Mangemorts, je n’allais pas finir chez les Gryffondors ou encore chez les Poufsouffles (quel horrible animal les représentait d’ailleurs)… Je passai donc ma scolarité dans cette maison, me faisant des connaissances, des amis, des ennemis… Arrivée en quatrième année, une nouvelle finit par nous rejoindre. Je l’avais déjà vue et l’avais même côtoyée. Demetra. Elle avait déjà joué dans plusieurs films à l’époque et ses parents étaient très proches des miens. Disons que je fus comme son point de repère et, depuis, nous sommes meilleures amies. Je finis par passer mes BUSEs l’année d’après et enfin mes ASPICs, avant d’entrer dans l’USL.

Et ta baguette, elle est comment ?: Bois de prunellier et cheveux de Vélane, 34.8 cm. Rigide.
Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : A la fin de ma Septième année, je passai mes ASPICs que j’obtins avec brio. Après tout, je suis sortie avec la mention Optimale. J’avais donc toutes mes chances d’être prise dans le cursus que je voulais à l’Université Sorcière de Londres. Parcours Magie Avancée, parce qu’on parlait de Magie Noire. Par contre, je n’avais toujours aucune foutue idée de ce que j’allais bien pouvoir exercer comme métier à la fin de mes études. Peut-être prof’ de Sortilèges ou de Défense Contre les Forces du Mal, cours durant lequel je leur apprendrai comment créer leurs propres sortilèges… Mais j’avais encore le temps pour y penser.
Pendant ces deux mois de vacances d’été, je correspondis beaucoup avec Erika et Demetra. Surtout cette dernière. On avait les mêmes racines après tout et cela faisait un moment que je me tâtais pour retourner à Los Angeles. Les fêtes me manquaient et puis j’avais fini par comprendre que la fête de mes quatre ans, ils n’avaient pas fait exprès de m’abandonner. J’étais très intelligente, malgré mon esprit étriqué et mon caractère borné. Mais je savais reconnaître mes fautes. Quand cela était nécessaire. Avec la blonde, nous nous étions rendus chez elle et on avait même parlé avec ses parents. J’avais d’ailleurs pu prendre avoir un autographe de sa mère. Le reste du temps, on buvait, je fumais, on faisait la fête… Des vacances entre meilleures amies, rien de plus banal. Mais le dernier jour, il fallait que je m’y résigne. Je me suis rendu chez mes parents et leur ai présenté mes excuses. Malheureusement, je ne pouvais rester plus longtemps et retournai à Londres, seule cette fois, pour me préparer à cette nouvelle rentrée.

Mari (Femme): /

Enfant(s): /

Reste de la famille: Je n’ai renoué des liens avec mes parents que récemment. Donc je ne peux pas dire grand-chose sur eux, si ce n’est que ma mère est la directrice des anomalies magiques au ministère de la magie en Californie. Mon père, quant à lui, est un grand chirurgien hautement réputé dans un très grand hôpital pour sorciers à Los Angeles.
A côté, j’ai mon oncle et ma tante qui m’ont logé et nourri. Mais ce sont surtout mes grands-parents qui m’ont élevée et ont fait de moi ce que je suis actuellement, avec mes idéologies, mes désirs, mes ambitions, mes rêves, etc.

Exemple de RP.
Mon attrait pour la magie noire a toujours été très présent en moi depuis ma tendre enfance, depuis que mes grands-parents m’avaient prise en charge. En plus de me parler de Voldemort, de ses exploits, de ses idéologies, des leurs… Des miennes ! Depuis tout cela, j’avais eu envie d’en apprendre davantage, d’intégrer ces sombres arcanes à mon panel de connaissances. De ce fait, dès ma première année je demandais à des plus âgés que je connaissais et dont je savais qu’ils étaient attirés par ce domaine de m’en apprendre plus et de me prêter des ouvrages concernant cette autre partie de la magie que ne nous serait jamais enseignée en profondeur. Et, pour être honnête, je trouvais ça vraiment dommage. Un tel gâchis de connaissances… J’étais donc oblige d’être autodidacte pour en apprendre plus.
Plus je prenais de l’âge, plus je grandissais et gagnais en maturité, plus ma soif de connaissance ainsi que mon irrésistible envie d’en savoir plus sur ces ténèbres me happaient. Je faisais alors tout ce qui était en mon pouvoir pour en savoir plus, nourrissant ma curiosité. Un beau jour, je tombai sur un recueil de sortilèges maléfiques. Je le feuilletai et décidai d’apprendre à utiliser un qui me semblait magnifique tout en étant ténébreux… Le Feudeymon. Les flammes de ce sortilège se nourrissaient de tout ce qu’elles pouvaient calciner, ne s’éteignant qu’une fois rassasiée. Je l’avais souvent comparé à ma soif de connaissances inextinguible. Je m’étais alors entraîné sans relâche pendant des jours et des jours, jusqu’à ce que ces mêmes journées se transforment en semaines. Elles étaient longues, sempiternelles. Mais je prenais un malin plaisir à les braver, devenant de plus en plus forte, de plus en plus en experte pour lancer ce sortilège. Jusqu’au fameux jour où je pus enfin le lancer convenablement, sans bavure aucune. Satisfaite ? Oui, mais pas assez. Il m’en fallait plus et toujours plus, ce n’était jamais assez… Je n’allais pas m’arrêter à ça, j’étais prête à braver n’importe quelle adversité pour parvenir à mon but !