♦ C'était comment à et avant Poudlard ?: (10 lignes minimum)

Zuleika, Aëlya Crawford a vu le jour le 03 mai 1996, à Londres, en Angleterre. Elle est l’avant-dernière d’une fratrie de cinq enfants. Issue d’un père américain et d’une mère libanaise, seuls son frère, Fortuné et elle sont nés en Europe, tandis que les aînés, Yasmine, Paloma et Nathan, ont pour terre de naissance le Liban. Zuleika n’a jamais compris pourquoi elle avait un nom si particulier, même si elle connaît parfaitement ses origines. Elle a eu une enfance heureuse, entourée par une famille soudée et aimante. Elle adore son père, mais sa mère représente tout pour elle. Certes, ça n’empêchait pas les crêpages de chignons, mais ils s’aimaient et ça primait sur toutes les disputes enfantines. De nature très affectueuse, Zuleika a toujours été a être une petite fille en demande d’attention et d’affection. Cependant, timide, elle n’osait jamais demander des câlins ou des bisous. Elle était plus du genre à suivre partout la personne, et à se coller à elle, comme un koala à son arbre. D’ailleurs, elle a presque toujours considérée Yasmine, sa grande sœur, comme une deuxième maman. Mais celui dont elle a toujours été le plus proche, c’est son grand frère, Nathan, pour qui elle a un amour et une admiration sans bornes. Quand elle était enfant, elle s’imaginait qu’elle pourrait se marier avec lui. Elle le suivait partout, et voulait tout le temps jouer avec lui. Son départ pour Poudlard a été pris comme un véritable abandon, qu’elle a très mal vécu. Âgée de seulement quatre ans, elle ne comprenait pas pourquoi son grand frère ne rentrait pas à la maison. Se renfermant sur elle-même, elle va même jusqu’à dormir dans le lit de ce dernier. Le temps va faire qu’elle va finir par comprendre, mais n’acceptera jamais tout à fait cet éloignement forcé. Mais le fait qu’il rentre pour les vacances et la naissance de Fortuné vont l’aider à avancer, à grandir et à moins souffrir. D’ailleurs, en parlant de son petit frère, c’est vers lui qu’elle va tourner son attention et son besoin constant d’affection. Car sans ses aînés, elle se retrouve à être la plus grande de la fratrie et ressent le besoin d’endosser le rôle de grande sœur. Attentionnée et tendre, elle va s’occuper de lui, veillant sur lui, comme une poule sur ses poussins. C’est à l’âge de sept ans, pendant les grandes vacances scolaires, que son frère, Nathanaël, lui apprend pour la première fois à monter sur un balai et à jouer au Quidditch. Impressionnée, elle n’ose pas hurler sur son balai « Mais Naël…c’est mon ami. Et si je crie sur mon balai, y va pu m’aimer. » Sensible, elle va mettre un moment à suivre les consignes de son frère. Plutôt douée sur un balai, faisant preuve de vitesse et d’agilité, ça ne deviendra pourtant jamais une grande passion, comme pour Nathan. Elle aime la sensation de liberté et d’évasion qu’elle ressent à voler dans les airs, mais la dernière fille des Crawford est beaucoup plus attirée par le domaine artistique que par le sport sorcier. Très jeune, elle écoute beaucoup de musique et veut en faire. Elle va donc apprendre à maîtriser plusieurs instruments, juste pour le plaisir. Puis cela ne lui suffisant plus, elle se tourner vers la peinture, puis la danse, le dessin… Mais elle doit mettre sa passion de côté lorsqu’elle intègre Poudlard.

Poudlard… Un lieu d’enseignements, de découvertes, d’aventures, de contrastes. Où tout est permis et interdit à la fois. Quand elle intègre la célèbre école de sorcellerie, elle est excitée comme pas possible. Elle va retrouver son frère, et la seule chose qu’elle espère, c’est de suivre ses pas, et donc d’intégrer la maison des Aigles. « Tu es avide de connaissance, débordante de créativité et de sensibilité. Tu ne manques pas de courage ni de loyauté, pourtant, ton intelligence et ta soif de curiosité ne peuvent que t’ouvrir les portes de Serdaigle. » Décision irrévocable du Choixpeau Magique qui va la ravir au plus haut point. Certes, elle sait que Naël, comme elle aime l’appeler, est toujours à Poudlard à cause de certaines difficultés rencontrées, mais elle est tellement contente de pouvoir partager du temps avec lui. Elle ne le colle plus comme un koala, mais elle est très proche de lui et fera toujours en sorte d’être un soutien pour lui quand il en aura besoin. Zuleika va parfaitement s’épanouir durant sa scolarité. Du moins…durant une partie… Elle va avoir une forte affinité avec les cours techniques, qui demandent concentration et entraînements. Sortilèges, DCFM, Métamorphoses, la Serdaigle y excelle. Elle sait manier sa baguette et obtient les meilleures notes possibles. Cependant, elle est loin d’obtenir le même succès en Divination, Botanique ou Astronomie, soit parce qu’elle n’y comprend rien, soit parce que ça ne l’intéresse pas.

Ses trois premières années se passent merveilleusement bien. Elle a beau être réservée et plus observatrice que leader, elle s’intègre très rapidement à sa maison et se fait rapidement des ami(e)s. Particulière loyale, elle n’est pas la dernière à les soutenir et à être à leurs côtés quand il faut réviser pour les examens ou pour affronter certains élèves intolérants. Epanouie, elle intègre même l’équipe de Quidditch de sa maison, par plaisir mais aussi pour que son frère soit fier d’elle. Poursuiveuse des Serdaigles, elle est rapide et agile. Elle y reste jusqu’à ce que Naël quitte Poudlard. En fait, elle va petit à petit être dégoûtée du Quidditch à cause de son frère. Ce dernier s’implique tellement dans sa carrière, il veut tellement réussir que Zuleika a l’impression de ne plus exister. Cependant, elle est partagée. Elle est fière de lui, de sa réussite, qu’il puisse vivre de sa passion. Mais la distance, le manque de temps, le fait qu’elle n’ait quasiment pas de nouvelle…va provoquer –en partie seulement (il n’est pas non plus totalement responsable)- une rébellion chez la jeune fille. Elle va devenir invivable à Poudlard. La petite Crawford sensible, réservée et attentionnée va devenir piquante, provocante et désobéissante. Elle va refuser de faire ce qu’on lui dit. Elle déteste tout simplement qu’on lui donne des ordres et va souvent se retrouver dans le bureau de la directrice à maintes reprises. Enfreindre les règles devient son passe-temps, être insolente en cours, son petit plaisir quotidien. C’est envers les adultes qu’elle est la plus virulente.

Cette phase va durer quelques temps. Assez pour lui créer une réputation de petite délinquante, mais pas assez pour ruiner sa scolarité. Malgré sa rébellion, Zuleika reste une élève studieuse et c’est bien pour ça qu’elle n’est pas virée de Poudlard. Ses professeurs estiment qu’elle a trop de potentielle pour être mise à la porte. C’est ce qui va la sauver. A l’obtention de ses BUSEs, elle commence à entrevoir ce qu’elle veut faire. Contre toute attente, elle veut entrer au Ministère de la Justice en tant que tireur de baguette magique d’élite au sein de la Brigade de Police. Elle entame sa sixième année avec plus de sérénité, plus apaisée aussi, avec des objectifs précis. Son but est d’obtenir des Optimals à tous ses ASPICs. Elle va mettre toutes les chances de son côté, sans pour autant négliger sa famille et ses amis. Zuleika est une très jolie fille, un peu fleur bleue et durant son adolescence, elle va se faire avoir à quelques reprises par des beaux parleurs. Ces peines de cœurs vont avoir pour conséquence de la renforcer, de la rendre un peu plus dure aussi et de prendre ses distances avec son côté sensible et romantique pour ne plus souffrir de ses chagrins d’amour.


♦ Et ta baguette, elle est comment ?: (Pour connaître la composition des baguettes, rendez-vous ici).

C’est sûrement ce que redoutait le plus Zuleika avant d’intégrer Poudlard, en plus de la répartition dans les maisons. Quelle baguette aurait-elle ? Serait-elle souple, rigide, trop courte, trop longue ? Serait-elle puissante ? Aurait-elle des facultés spéciales ? Tant de questions qui taraudaient la fillette, accompagnée de sa mère ce jour-là. Il lui fallut un temps certain pour que la baguette qui lui était destinée la désigne comme sa propriétaire. Elle en avait essayé plusieurs, mais à chaque fois, ça c’était terminé en catastrophe. Et puis une baguette en bois de sorbier, de 29.1 cm, contenant un nerf de cœur de dragon, pris place dans sa main pour ne plus jamais la quitter. Ollivander avait été étonné au début, car il pensait qu’une baguette en bois de noyer lui irait mieux, mais au final, le sorbier semblait plus lui convenir. « Je vous aurai vu avec une autre type de baguette, mais je crois devinez de nombreuses qualités en vous jeune fille. Vous adorez votre famille et seriez prête à des exploits pour la protéger. Cette baguette a la réputation d’être dotée de pouvoirs protecteurs. Votre cœur est pur et vous êtes une petite fille clairvoyante. Conservez en vous ces qualités, et votre baguette vous sera éternellement fidèle. » Sa mère, à cet instant, ne pouvait pas être plus fière de sa plus jeune fille lorsqu’elles quittèrent la boutique du fabriquant de baguettes.


♦ Et depuis qu'il (elle) en est sorti(e) ? : (10 lignes minimum)


Ayant obtenu ses ASPIC avec les meilleurs notes possibles, sauf en botanique (on l’aura compris, elle est nulle), elle entre en formation au Ministère de la Justice Magique, après des sélections particulièrement intenses et physiques. La formation dure trois ans et à tout juste 20 ans, elle en ressort diplômée, avec les honneurs. C’est d’ailleurs durant ses études, pour intégrer la brigade de police magique du Ministère, qu’elle rencontre son vrai premier petit ami. A Poudlard, elle a eu des flirts, mais rien de bien sérieux. Mais Andrew, c’est le grand Amour, avec un grand A. Celui qui fait battre son cœur rien qu’en y pensant, qui l’obsède jour et nuit, qui lui donne envie d’être à ses côtés continuellement. Il n’est pas dans la même promotion qu’elle. Il est un peu plus âgé. Il est sur le point d’être diplômé quand ils se mettent ensemble. Leur relation est connue, mais reste discrète, car dans ce milieu, il vaut mieux faire profil bas. Ils ont un appartement à Londres, vont ensemble au travail. Cependant, ils ne font pas équipe à cause des règles de la Brigade. Leur métier est dangereux, car ils sont souvent envoyés sur le terrain lorsqu’il faut courir après les criminels, mais ils aiment ce qu’ils font.
Ils s’installent dans une petite routine de couple, mais Zuleika n’a jamais été plus heureuse. Andrew la demande en mariage deux ans après la fin de ses études, et malgré qu’elle n’ait même pas encore 23 ans, elle accepte.

Entre son travail, sa famille, son fiancé, ses amis, ses passions, sa vie est un vrai tourbillon. Tout semble aller pour le mieux. Mais c’est souvent comme ça, n’est-ce pas ? Le calme avant la tempête. On pense que tout ira bien, que la vie ne peut pas être plus belle, que ça n’arrive qu’aux autres…. Jusqu’au jour où tout bascule, sans qu’on ne s’y attende. C’était une journée comme une autre, une mission qui ressemblait à beaucoup d’autres. Ils étaient juste plus nombreux sur le terrain, car plus de suspects à appréhender. Tout semblait se passer comme prévu. Puis une seconde d’inattention, un clignement d’œil, une respiration en suspens, et tout s’était enchaîné à une vitesse hallucinante. La jeune Crawford a eu de la chance dans son malheur. Alors qu’elle se battait en duel avec un criminel, on lui lança un Doliris dans le dos. Elle tomba au sol, sa tête cognant violemment le sol, la douleur du sortilège vrillant chaque terminaison nerveuse de son corps. Cela sembla durer une éternité. Puis la douleur s’évanouit. Zuleika était au sol, et elle finit par se relever avec l’aide d’un de ses coéquipiers. C’est à Ste Mangouste, alors qu’on s’assure de son état, qu’elle apprend que deux membres de l’équipe sont morts et que cinq autres ont été blessé, plus ou moins gravement. Inquiète, elle cherche à obtenir des nouvelles d’Andrew qui était avec elle sur le terrain. En voyant les visages fermés, les regards fuyants et surtout face au silence pesant, elle comprend très vite que quelque chose ne va pas.

La suite est floue, comme dans un rêve dont les contours restent brouillés, malgré les efforts faits pour éclaircir le tout. Ses souvenirs sont comme les pièces d’un puzzle. Elle sait ce que ça va donner, mais entretemps, les pièces sont dispersées et sans aucune cohérence les unes entre elles. Zuleika n’a pas retrouvé tous ses souvenirs suite à cette arrestation musclée. Elle sait ce qui s’est passé grâce aux rapports rédigés par l’équipe, mais pour sa part, cela reste morcelé dans sa mémoire. Elle a perdu l’homme qu’elle aimait… Elle pensait pouvoir reprendre son travail. Mais son absence est si présente qu’au bout de quelques mois, elle décide de partir. Elle n’a plus le cœur à ça. Très entourée par sa famille, elle va finir par remonter la pente, même si l’année fut difficile et remplie d’embûches. Après avoir quitté son boulot, elle vend l’appartement qu’elle avait acheté avec Andrew et loue un loft dans un autre quartier de Londres.

Zuleika est un peu perdu en ce qui concerne son avenir. Elle qui voyait toute sa carrière en tant que tireur de baguette magique d’élite, elle ne sait plus trop quoi faire de sa vie. Jusqu’au jour où en faisant ses courses, elle tombe sur une toile blanche. Elle ressent le besoin irrépressible de l’acheter et de la peindre. Elle va en acheter, une, puis deux, trois et ainsi de suite… Elle transforme son bureau en atelier et peint pendant des heures, juste par plaisir. C’est lors d’un repas familial qu’elle annonce alors à tout le monde qu’elle compte reprendre ses études et s’inscrire à l’Université Sorcière de Londres, en section artistique. Elle revient à ses premiers amours, ses premières passions, et Zuleika semble s’y épanouir de plus en plus.

♦ Mari (Femme): (5lignes minimum)

Un mari ? Non ! Un fiancé ? Non plus ! Un petit ami ! Encore moins ! Des amants ? Oui, parfois ! Donc parler mariage n'est pas vraiment à l'ordre du jour. En étant célibataire, elle n'avait aucun projet de ce genre. Zuleika pense souvent à ce qu’aurait pu être sa vie si Andrew ne lui avait pas été arraché aussi violemment. Ils seraient déjà mariés à l’heure qu’il est. Elle serait peut-être maman. Mais à présent, elle avance, sans regarder derrière elle. Elle ne veut plus s’apitoyer sur son sort. Elle l’a pleuré, longuement. A présent, elle doit se tourner vers l’avenir, même si elle sait que jamais elle ne l’oubliera. Elle n’a personne dans sa vie aujourd’hui, car elle n’en ressent tout simplement pas l’envie, ni le besoin. La petite dernière des Crawford n’a donc aucune intention de se marier avec qui que ce soit pour le moment, sa vie lui convient à ce jour. Et si elle doit être honnête avec elle-même, elle n'est pas certaine de vouloir se lancer dans une telle aventure. Du moins...elle est partagée. D'un côté, elle aimerait faire le même mariage que ses parents. Beau, solide et durable, avec une famille aimante et nombreuse. Et de l'autre, elle a cette petite crainte au fond d'elle de ne pas être réellement faite pour ça.

♦ Enfant(s): (5lignes minimum)


Des enfants ? Aucunement ! Non pas que Zuleika ne les aime pas, au contraire. Elle aime bien les enfants des autres et se montre très maternelle avec eux. Mais quoi alors ? Pas qu’elle n’en veuille pas non plus, mais déjà, elle n’a personne dans sa vie. Et franchement, elle ne se voit absolument pas faire un bébé toute seule. Mère célibataire, très peu pour elle. Elle a l’image idéale de ses parents, mariés, soudés et aimants depuis des années. C’est ça qu’elle recherche. Pas une vie seule avec un enfant qu’elle aurait eu par accident. Ensuite, elle se considère encore un peu jeune pour ça. Paradoxale quand on sait qu’avec Andrew, elle était prête à assumer une maternité. Mais les conditions idéales à l’époque ne le sont plus à présent. Et vu son nouveau statut d’étudiante, ce n’est vraiment pas le moment. Elle préfère se consacrer à elle, à sa passion pour les Arts, plutôt que de se retrouver avec un enfant qu'elle n'aura pas désiré, avec un homme qu'elle n'aime pas. Mais un jour, oui, elle le sait, elle sera maman. Son souhait ? Pouvoir construire une aussi belle et grande famille que ses parents car elle ne se voit pas vieillir sans des enfants autour d'elle.


♦ Reste de la famille: (5lignes minimum)

La famille Crawford, c’est bien plus que de simples membres. Ils sont nombreux, ils sont unis, soudés, aimants, bienveillants les uns envers les autres. Ils se protègent les uns les autres, font en sorte de toujours être là quand il faut. C’est un véritable clan ! Ceux qui sont à la tête de ce foyer plein de vie sont leurs parents, Joannie et Michaël, mariés depuis plus de 40 ans. Pour Zuleika, ils représentent tout. Ce sont des modèles. Elle sait qu’elle a eu la chance, ainsi que ses frères et sœurs, d’avoir été élevé par eux. Ces derniers les ont toujours soutenu, peu importe leurs choix. Ils ont su les protéger avec amour, tout en ne leur cachant jamais la réalité des choses. Tendre mais ferme sont les termes qui pourraient les définir.
Quant à ses frères et sœurs, Zuleika en a toujours été très proche. Etant la petite dernière des filles, elle a été chouchouté, mais jamais pourrie gâtée. Elle a toujours considéré Yasmine un peu comme sa deuxième maman. Etant la plus âgée, c’est vers elle qu’elle se tournait quand elle rencontrait des problèmes « de filles ». Son grand frère, et pas seulement par sa date d’arrivée dans la famille, est celui avec qui elle a partagé le plus de choses. Il est sa référence, son repère quand ça ne va pas. Elle l’admire et ne peut pas passer une journée sans avoir de ses nouvelles. En même temps, il est celui à qui elle en a voulu le plus lorsqu’il s’est « éloigné » pour sa carrière. Ne dit-on pas, « qui aime bien, châtie bien » ? Paloma, un vrai rayon de soleil, posée et si douce. C'est sûrement elle qui ressemble le plus à leur mère. Zuleika aime se tourner vers elle pour avoir son point de vue et obtenir de sages conseils. Quant à Fortuné, c'est son petit frère, son bébé, celui dont elle s'est occupée quand il était un nourrisson et qu'elle protège avec tendresse et férocité.
En effet, très protectrice de nature, pour Zuleika, sa famille représente tout, et elle serait prête à tout pour la protéger.

Exemple de RP. Si votre personnage est professeur, écrivez votre cours test, si votre personnage exerce un métier quelconque ou est étudiant, racontez un événement marquant de sa vie. Un minimum de 10 lignes vous est demandé, comme dans tout RP, mais plus vous en faites, mieux c'est !