Je n'aime pas sa mais.. Help!

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Joe se trouvait dans sa chambre, celà faisait quelques dizaines de minutes maintenant qu'il était couché sur son lit à réfléchir. Est ce qu'il devait demander son aide ou pas ? Il ne savait pas trop quoi faire, car il n'aime pas du tout faire celà. Il l'avait déjà fait quelques fois depuis leur rencontre, mais quand même il trouvait qu'il se servait beaucoup d'elle et que sa lui faisait plaisir qu'il l'utilise autant, peut être que sa lui faisait penser que sans elle il ne pourrais accomplir grand chose ? Enfin, il faut qu'il arrête de psychoter comme sa et qu'il se décide à l'appeler. Il avait décider d'un système pour s'appeler, chacun d'eux avaient en sa possession un petit morceau de tissus qui changeait de couleur lorsque l'autre posait sa baguette dessus. Normalement, ils étaient censé l'avoir sur eux à tout moment de la journée, ce qui leur permettrait de se rejoindre à l'endroit qu'ils avaient défini. Joe se leva de son lit et s'approcha du bout de tissus pour tapoter dessus avec sa baguette. Après quelques recherches, il le retrouva dans la poche de son dernier jeans, il y prit le tissus et fit donc ce qu'il avait à faire.

Ensuite, il prit son tissus et le posa sur le lit pour s'habiller. En effet, Joe venait de sortir de sa douche et n'était donc pas en mesure de sortir maintenant. Il alla dans sa valise pour y prendre son jeans gris délavés avec lequelle il aimait bien porter une de ses chemises avec un bull blanc par dessus. Il prit donc une chemise à carreau bleu et l'enfila ensuite il mit par dessus son pull blanc. De sa chemise, on ne voyait que le col et le pan qui dépassait derrière. Il chercha ensuite ses chaussure pour choisir la paire qu'il allait mettre. Après mûr réflexion, il prit ses Adidas blanche qu'il mettait assez souvent avec ce jeans. Une fois habiller, Joe s'en va se regarder vers le miroir. Il se fixa quelques instants et comme à chaque fois qu'il passait devant son reflet se dit.. qu'il était très beau. Joe pris alors le chemin du lieu de rendez-vous, tout en repensant à la façon assez drôle dont il avait fait connaissance avec Zora.

Il était assis seul à la Grande Salle et Zora se trouvait à l'autre extremité, Joe essayait de remarque l'une de ses premières proies, la première personne qu'il pourrait manipuler et il avait vu en Zora cette personne. Mais sans avoir le temps de faire le premier pas pour aller vers cette fille qu'il prenait pour quelqun de simple, démunis de jugeotes, il remarqua que celle-ci s'était levé et diriger vers lui. Se demandant ce qu'il se passait, Joe resta assis la bouche légérement ouverte. Zora vint s'asseoir à coté de lui et entama la discussion. Au fur et à mesure de la discution, Joe remarquait que Zora le prennait lui aussi pour un débile profond. Il remarqua alors qu'elle était comme lui, il décida de s'amuser de la situation mais sa ne dura pas car la jeune fille le demasqua lui aussi. Depuis ce jours là, il avait décidé de nouer une relation d'entraide, mais aussi depuis ce jour, une rivalité était né. Car chacun d'eux avait découvert qu'il y avait une personne comme lui dans le château et sa ne leur plaisait pas forcément. Et donc c'est comme celà, que quand ils en ont besoin, les deux jeunes gens se donnent des rendez vous en secret pour discuter et essayer d'arranger les problèmes de l'autre.

Joe marchait depuis quelques temps déjà, il allait bientôt arrive à l'endroit de rendez-vous mais il prennait bien son temps en se doutant que Zora n'arriverait pas forcément de suite. Il regardait les alentours, les décors de ce château dans lequelle il passait le plus claire de son année depuis 6 ans. C'est dans ce château qu'il avait tout appris et qu'il finira de tout apprendre, après celui-ci, il deviendra ministre de la magie et dirigera ce pays comme il le faut et pas comme tout les autres ministres l'ont fait depuis toujours. Joe trouve que certains ministre n'aurait jamais dû l'être, comme ce Fudge là. S'était des gars comme sa que le peuple magique élisait auparavant ? des gens sans aucun courage et sans aucune autorité ? Des gens refusant d'admettre ce qui lui crevait l'oeil juste pour garder la face ? Enfin n'introduisont pas ses pensées dans la tête de Joe sinon il va s'énerver et sera de mauvais poil pour acceuillir Zora

La porte de la pièce était ouverte comme d'hab' même si la classe était abandonné, le concierge laissait la porte ouverte. Comme prévu, Zora n'était pas encore là. Sûrement entrain de se préparer pendant une heure comme toute les filles, où alors elle n'avait pas vu l'appel ? Enfin pas grave, Joe s'appuya contre le mur le reste du corp allongé sur un banc. Il fixa un point en face de lui et se perdit dans ses pensées..

Après quelques minutes, il entendit un bruit derrière la porte toujours fermé, il éclaircit alors sa voix et dit d'une voix forte

Il était temps, j'commençais à en avoir marre Zozo!

Zozo ? Il sourit tout seul en se disant qu'il était sur qu'elle allait aimer.. ou pas.

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Debout dans la volière, Zora essayait d'attraper une chouette blanche pour envoyer une lettre à ses grands-parents. Depuis sa dernière rentrée, elle ne leur avait pas donné de signe de vie et le regrettait. Elle les savait vieux et malade, bientôt sur leur fin. Prendre de leur nouvelles et en donner était la moindre des choses lui semblait-il.
Hélas, comme le lui avait dit ça grand-mère lors de sa première rentrée a Poudlard, acheter Filliz n'était pas une bonne idée. En effet, la couleuvre blanche avait du mal à se faire accepter parmi les élève. Et à la volière.
Toujours enroulée autour du cou de sa propriétaire les jours sans classe, Filliz effrayait toujours les volatiles.

« Calme toi petite, murmura Zora à la chouette, elle ne te fera pas de mal »

Mais les mots de la jeune fille ne rassurèrent par l'animal, si bien qu'elle s'envola sans un regard lorsqu'elle fut libre de partir vers Londres.

Resserrant son écharpe autour de ses épaules, Zora redescendit les marches de la tour tranquillement. Vêtue d'une jupe longue noire et d'un chemisier blanc, elle agrippait les pans de sa cape devant elle pour se réchauffer. Le vent était froid en cette saison.

« Filliz, arrête de gigoter comme ça, tu me donnes le frisson! »

Mais l'animal continua de s'agiter, faisant frétiller le bout de sa queue sous le nez de sa maitresse. Irritée, Zora s'interrompit dans sa descente et attrapa à deux main son familier.
Les yeux dans les yeux, les deux êtres se jaugèrent. C'est alors que Zora remarqua que le collier de tissus qu'elle avait posé sur Filliz avait changé de couleur. Avant, il était noir, pour trancher sur sa peau blanche. Dorénavant, il était rouge.

Joe avait besoin d'elle.

Joe Parker, un type qui lui servait que sous-main, d'aide et d'informateur dans l'école. Tout deux s'entraidaient et se donnaient des coups de main quand il le fallait. Cela faisait plusieurs fois qu'il la contacté ce mois-ci, ce que Zora trouva ravissant. En effet, elle aimait être utile et adorait qu'il lui doive un service.
Au jour d'aujourd'hui, il lui en devait déjà deux …

Ce fut donc à grands pas que Zora se dirigea vers le château. Depuis toujours, il avaient décidé de se retrouver dans les salles vides du troisième étage. Et elle allait être en retard.
Zora avait toute la cours à traverser, trois étages à monter et un château à traverser … Son collègue devait déjà l'attendre depuis un moment.
Lorsqu'elle arriva dans la salle, il était là, sur un banc, toujours aussi bien habillé. Il avait son style, certes, mais cela lui allait comme un gant.

Après un raclement de gorge, Joe accueillit sa compagne:

« Il était temps, j'commençais à en avoir marre Zozo! »

Il l'avait appelé Zozo... Cet effronté cherchait la merde ou bien? Non pas que ce surnom lui deplaisait mais, par orgueil, la jeune fille l'envoya balader.

« Tu as besoin de mon non Joe? Alors tu m'attends, point barre. Si tu peux te débrouiller, je ne te retiens pas... »

Elle avait tout balancé froidement, mais avec le sourire. En réalité elle aimait beaucoup retrouver le jeune Serdaigle pour des plans à la con ou des enquêtes discrète.
Devant l'air fermé de Joe, Zora radoucit l'ambiance.

« Bon, balance ton plan, je vais voir ce que je peux faire pour toi ! »

Et elle s'installa à califourchon sur le banc, en face de son collègue.

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Zora rentra enfin dans la classe, à sa vue Joe ne put réprimer un frissons. Elle avait avec elle cette bête toute moche qu'il détestait. Son "vieux" serpent se trouvait sur ses épaules sifflant et regardant au alentours. Joe ne l'aimait pas et sa semblait être réciproque, le serpent sifflait toujours, croc en avant vers la tête de Joe à chaque fois qu'il le voyait et il était sûr que sa n'arrivais qu'à lui. C'est pourquoi, il avait déduis, purement et simplement que ce serpent était raciste. Que celui-ci n'aimait pas les noirs, ce que Joe ne comprenait pas car être noir est un avantage dans la vie de tout les jours. Enfin il laissa tombé l'analyse de ce serpent pour entamer celle de Zora. Elle portait une longue jupe avec un haut blanc ainsi que sa cape.

Tu as besoin de mon non Joe? Alors tu m'attends, point barre. Si tu peux te débrouiller, je ne te retiens pas...

Oulàlà quelle agressivité de la part de Zozo, Joe ne répondit pas à l'agression, mais ne montra aucun enthousiasme à l'idée que la jeune fille viennent ici. Il la regardait et ne dit donc rien laissant la jeune fille poursuivre.

Bon, balance ton plan, je vais voir ce que je peux faire pour toi

Et bien, on dirait que la jeune fille avait très envi de partir mais Joe ne le voyait pas de cette oeil là. Il allait faire durer le plaisir et ne pas lui dire tout de suite ce qu'il attendait d'elle. Il regardait la jeune fille et repensait aux services qu'il lui avait déjà demande. Il y en avait eu quelques uns, tandis que dans le sens inverse très peu. Enfin un homme à toujours besoin d'une femme, dans le sens inverse sa ne vaut pas toujours.

Tu me semble bien pressé Zozo, tu n'as pas envi de rester avec ton petit Joe pour discuter un peu ? Et puis qui te dit que je t'ai appelé pour un service, j'avais peut être seulement envi de te voir sa faisait tellement longtemps..

Un sourire vint s'incruster sur le visage de Joe qui fixait toujours Zora assise à califourchon sur un banc. Il adorait l'ennuyer, un passe temps duquel il comptait profiter aujourd"hui. Comme Zora allait le faire très certainement aussi.

Je vois que tu es venu avec le raciste.. en montrant le serpent tu ne pouvais pas le laisser dans ta salle commune ? Où bien le jette par la fenêtre..

La deuxième solution était très tentante, Joe regardait le serpent puis la fenêtre, le serpent puis la fenêtre. L'envie montait vraiment en lui, mais il ne fallait pas ce n'était pas son serpent. Puis le temps d'arriver à la fenêtre, Joe se serait déjà fait bouffer par la bête. Il fit mine de se lever pour prendre le serpent..

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Zora, installée face à Joe, le dévisagea un instant. Il avait besoin d'elle, ça se voyait à son regard. Il la dévorait presque des yeux, mais pas de désir... Une certaine forme d'envie peut être...
Il ne fallait pas oublier que Zora est légèrement nymphomane après tout. Elle voit le désir en chaque homme, surtout un aussi bel homme que Joe.

Tu me semble bien pressé Zozo, tu n'as pas envi de rester avec ton petit Joe pour discuter un peu ? Et puis qui te dit que je t'ai appelé pour un service, j'avais peut être seulement envi de te voir sa faisait tellement longtemps..

Zora aimait faire croire aux gens ce qu'ils pensaient. Son coté manipulatrice l'emportait souvent dans ses rendez-vous avec Joe. Elle ne savait pas vraiment qui avait le dessus sur qui mais elle avait l'espoir de gagner à la fin...
Joe jeta un oeil au cou de sa compagne. Filliz y était pendu, comme à son habitude.

Je vois que tu es venu avec le raciste.. en montrant le serpent tu ne pouvais pas le laisser dans ta salle commune ? Où bien le jette par la fenêtre..

Zora se fichait qu'on s'en prenne à elle, après tout, elle était solide. Moralement et physiquement. Jamais personne ne lui avait vraiment cherché des noises directement, et elle savait pourquoi. Elle était bagarreuse n'avait pas peur de frapper. S'en prendre à Filliz faisait partie des choses à ne pas faire, et Joe le savait. Il avait déjà prit plus d'un coup dans les côtes ou des claques sur la joue.
Mais ça ne lui avait pas suffit apparemment.

"Ecoute Joe, tu touches à Filliz, j'te crève sur le champs, sans aucun remord et de sang froid. Est-ce clair?"

Le jeune Serdaigle arrêta son geste et replia sa main contre lui. Zora ignorait si sa menace avait marché, mais elle avait eut l'effet escompté.

"Bon aller, on s'entend bien toi et moi. On bosse bien et sincèrement, j'aime assez ta compagnie. Alors balance ton plan très cher !"

Un sourire orna le visage angélique de Zora, ce qui compensa son regard enflammé par l'idée de faire à nouveau un mauvais coup ..

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Alors là, on peut dire que Zora ne veut pas y aller par quatre chemin. Si elle est là c'est pour réaliser quelques choses et non pour commencer à discuter. Cela ne dérangeait pas Joe car si Zora est là, c'est bien parcequ'il avait quelques choses à lui demander. Il regarda Zora et passa lentement son regard vers la tête du serpent à Zora. Cette animal n'allait pas du tout à sa propriétaire, elle aurait pû prendre un chat ou un hiboux c'est plus mignon mais non il a fallut qu'elle choisisse un animal des plus répugnant.

M'enfin, Zora est et le restera toujours un mystère pour Joe. Il ne sait jamais voir ce qu'elle pense réellement au fond d'elle. Zora fait parti de ce genre de personne qui aime jouer avec les ressenti des jeux, qui aime faire croire aux gens ce qui n'es pas et pour ce faire il faut acquérir la faculté de pouvoir dissimuler les réactions qu'on pourrait avoir sur le visage. Cette tâche est très dur et il faut du temps pour la maîtriser parfaitement. Joe regardait son acolyte et entendit sa voix résonner dans la pîèce presque vide.

Ecoute Joe, tu touches à Filliz, j'te crève sur le champs, sans aucun remord et de sang froid. Est-ce clair?"

Joe eut le réflexe de retrousser son bras, de le ramener auprès de lui. Il savait de quoi cette folle était capable. Elle peut paraître très douce mais surtout ne pas se fier à son apparence et à son genre calme et posé. En réalité, cette fille est cruel elle aime faire mal surtout à Joe.

"Bon aller, on s'entend bien toi et moi. On bosse bien et sincèrement, j'aime assez ta compagnie. Alors balance ton plan très cher !"

Et hop, la voilà repartis avec son plan. Halala quelle impatience. Joe allait-il continue de jouer avec ses nerf ? Franchement s'est vraiment tentent. Avant de déclarer quoique ce soit sur son plan, il fallait que Joe réponde à la menace que lui avait fait Zora il y a de celà quelques instants.

Tu es, comme à ton habitude, fort violente. De toute manière, tu ne me creverais pas, ton univers serait bien triste sans moi à l'intérieur.

Dans cette phrase on ressentait bien la confiance en lui même de Joe. Il adorait se vanter, bien entendu il ne se vante que de ce qui est vrai. Il ne voit pas l'utiliter de mentir pour impressioner. Par contre dire la vérité pour impressioner sa il aimait bien et adorait faire ce genre de chose. Cette fois-ci, Joe était resté un peu modeste quand même.

Han c'est mignon, moi aussi je t'apprécie. Alors j'y vais, j'me lance..

Joe prit une inspiration avant de parler. Il réfléchissait aussi au mot qu'il allait utiliser. Il ne fallait pas qu'il sez goure où qu'il y ait incompréhension entre les deux jeunes.

Bon voilà, y'a une personne de ma maison que je n'apprécie pas forcément beaucoup. Et j'me suis dis qu'il fallait que je lui montre seulement je ne sais pas trop comment. Ne trouvant aucune solution, je me suis dit que peut être quelqun pourrait m'aider. Qui d'autre que toi est aussi bien placé pour le faire ?

Joe pensait avoir assez bien résumer la situation. En effet, il mourrait d'envie de faire une blague à cette personne. Bien entendu, ce qu'ils feront devra absolument rester entre eux mais aussi dans un esprit bon enfant. Il ne faut pas exagérer et faire sa par méchanceter. Il faut que chaque personne puissent en rire. Joe se souvint qu'il n'avait pas forcément préciser ce détail à Zozo. Après mûr réflexion, il se dit que sa serait bien de le préciser avant que la jeune Gryffondor ne laisse sont esprit pervers et cruel s'emparé d'elle.

Avant que tu ne commence à réfléchir, je tiens à préciser qu'il ne faut pas que sa soit trop humiliant pour la personne. Sa doit rester drôle hein. Donc, Zozo, laisse ton esprit frappeur dans ta tête et ne ressort que la partie marrante..

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Tu es, comme à ton habitude, fort violente. De toute manière, tu ne me creverais pas, ton univers serait bien triste sans moi à l'intérieur.

Oui c'était certain, Zora ne créverait jamais Joe. Par besoin mais aussi pas amitié. Il fallait admettre que les deux jeunes gens s'entendaient bien, malgré leur différents. Puis surtout, il ne se jugeaient pas, s'acceptaient tel qu'il étaient... même si Joe faisait preuve d'une certaine forme de racisme face à Filliz.
Sa confiance en lui lui faisait parfois faire des erreurs de jugements, mais il ne mentait jamais.
Vraiment jamais.

Han c'est mignon, moi aussi je t'apprécie. Alors j'y vais, j'me lance.

Ce qui fit sourire Zora. Il l'appréciait. C'était un comble... Zora ne disait pas toujours ce qu'elle pensait mais tout ce qu'elle disait, elle le pensait vraiment. Et Joe avait la chance (ou pas) de faire parti des personne qui comptaient un temps sois peu pour elle …

« Va-y accouche ! »

Il lui tardait de savoir pourquoi il l'avait faite venir ! De savoir ce que le jeune homme mangançait et ce qu'il attendait d'elle … Zora était très douée pour faire des choses de sang-froid, sans aucuns état d'âme. Mais ce coté d'elle même, peu de gens le connaissait. Seul Joe, Scipion et une ou deux autres personne savaient Zora telle qu'elle était vraiment. Enfin vraiment... Jamais elle ne jouait de jeu, elle était toujours gentille, attentionnée etc mais elle pouvait devenir atroce.

Bon voilà, y'a une personne de ma maison que je n'apprécie pas forcément beaucoup. Et j'me suis dis qu'il fallait que je lui montre, seulement je ne sais pas trop comment. Ne trouvant aucune solution, je me suis dit que peut être quelq'un pourrait m'aider. Qui d'autre que toi est aussi bien placé pour le faire ?

Joe tombait bien bas selon elle... Se venger d'une personne était d'une facilité déconcertante ! Une petite humiliation, deux ou trois rumeurs bien tournée et hop, le tour était joué !

Avant que tu ne commence à réfléchir, je tiens à préciser qu'il ne faut pas que sa soit trop humiliant pour la personne. Sa doit rester drôle hein. Donc, Zozo, laisse ton esprit frappeur dans ta tête et ne ressort que la partie marrante..

Et le voilà repartis dans son trip avec Zozo … Et son coté « humour » revenait à la charge. Évidemment, cette précision de ravis pas Zora, qui se coupa net dans son élan de sadisme. Elle n'était pas méchante ni cruelle mais … n'éprouvait aucun remord à faire du mal à quelqu'un qu'elle ne connaissait pas.

« Merci Joe de respecter l'anonymat... J'peux te proposer une gentille humiliation en public? De gentil et marrant j'ai que ça en stock … ça t'irait? »

Zora espérait que cette idée suffirait au jeune Serdaigle car elle n'avait pas vraiment d'idées. Mais elle avait en tête une multitude de façon d'humilier quelqu'un... Un sourire sadique se dessina sur ses lèvres alors qu'elle attendait la réponse de son complice.

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