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La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR
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Message(#) Sujet: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 7:37



Sloane est une née-moldue, née le 31 décembre 2005 à Blessington en République d'Irlande. D'ailleurs elle y vit toujours Aujourd'hui, Sloane a donc 16 ans et est en septième année. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il a un un hiboux roux qui s'appelle Rainbow.

Il est bon de savoir que Sloane est franche, marrante, espiègle, énergique, créative, indépendante, instinctive, battante, intrépide et colorée mais également tête brûlée, gamine, mauvaise joueuse, butée, sang chaud, grande gueule, cynique, cogneuse, rancunière et rebelle. Elle a des goûts étranges, par exemple elle aime ses proches (famille et amis, tout ça, tout ça...), son grand-frère (le mariage est pour bientôt), son skate et le vélo, les friandises, regarder le quidditch, les tatouages colorés comme il faut, les cheveux tout aussi colorés, les vieux groupes de rock bien ringards, les chemises à carreaux tout aussi ringardes ou encore les gosses, elle a une poêlée à la maison alors qu'elle déteste le snoobisme des sang-pur, les narcissiques, les interdits, les hits du moment, les trucs ultra branchés, les brutes du style "racketteuse de goûter", éla poiscaille (allergie), qu'on touche à ses potos ou sa gentille p'tite famille, ses lunettes (elle peut pas les portes, elle les casse tout le temps), le gris (c'est une couleur, sérieux ?), la politiqueet les plans drague à deux balles.

Sa baguette est composée de bois de Prunelier avec un coeur en crin de sombral et mesure 23 centimètres. Grâce à elle, Sloane a le malheur de suivre les cours de DFCM, Sortilèges et de Vol.

Sloane Mia O'Connor
feat. CHLOÉE NORGAARD

ET EN VRAI ?
J'ai 16 ans. Je suis arrivé(e) sur NYL car j'ai vu de la lumière... non, plus sérieusement, je flirte beaucoup avec l'ami Google ! ♥ Et ce prédef... était... BREF ! Ça s'appelle craquer ! et je devrais être là en moyenne tous jours.


Tout le monde a une histoire

Rien de bien extraordinaire à raconter, quoique mon cas soit, très justement, extraordinairement classique !
Famille nombreuse, petite piaule, pas beaucoup de cash, des pulls raccommodés à la force des poignets mais beaucoup d'amour, de tendresse, de joie, de... C'est guimauve, hein ? Guimauve et limite gerbant, tous ces bons sentiments. Qu'est-ce que j'y peux, moi, si je suis tombée sur la famille Bisounours ? C'est comme ça, le grand loto de la vie, le coup de poker de la destinée !

Tout n'est pas toujours tout rose, pourtant. Depuis ma naissance, je ne crois pas que ma mère prenne tellement son pied à astiquer l'hosto du coin de fond en comble, jour après jour, nuit après nuit, même si mon père n'a pas l'air de trouver si dérangeant de patauger dans l'huile de moteur à longueur de temps - après, moi, ce que j'en dis... C'est comme ça, voilà, ma mère passait la serpillière et mon père greffait des cœurs artificiels à des autos de taule froide comme un détraqueur et c'est toujours le cas aujourd'hui. Mais je préfère encore faire dans la guimauve que dans le drama ! Alors c'est parti pour une bonne couche de crème pâtissière bien épaisse !

Avant moi, petit passager de première classe dans le ventre de ma mère, il y a eu Ben, mon grand frère, l'amour de ma vie, qui m'emmenait barboter, toute petite, sur les berges de Blessington, les week-end de printemps ensoleillés. Il avait dix ans, j'en avais deux, déjà complètement raide dingue de mon frangin. C'était le bon temps - celui où j'avais encore une chambre rien qu'à moi.
C'est après que ça a un peu dégénéré, ou plutôt, que ça a viré à la joyeuse ménagerie dans le plus grand bordel possible et imaginable. Deux ans après moi, Lucy est née, fraîche comme une rose, puis ça a été le tours de Ian et Nathan, ces squatteurs qui ont hiberné un bon moment dans le giron de maman, et enfin Charlie, celui qu'on attendait pas, en quelque-sorte, la surprise du chef. On s'habitue rapidement au fait de vivre les uns sur les autres, ou tout du moins, on ferme les yeux pour s'imaginer dans un palace colossale, dénué d'une autre présence que la sienne, tandis que dans une réalité tout ce qu'il y a de plus réelle, on sert les fesses pour laisser de la place aux frangins sur le canapé. C'est comme ça que j'ai grandi, à faire de la place à mes frères et sœurs, dans mon cœur comme dans ma chambre, à les chouchouter, à m’occuper d'eux, de concert avec Ben et les parents.

La magie ? Quoi, la magie ? Comme si à l'époque je pouvais y croire, à la magie - je croyais même pas au père Noël, c'est vous dire... Dans ma moldue de famille, seule la partie émergée de l'iceberg m’apparaissait. Le monde magique, ça faisait quand même un gros morceau de glace immergé, trop gros pour l'avaler d'un coup. N'est-ce pas que mes parents sont restés muets, quand un petit bonhomme chauve, envoyé spécial du Ministère de la magie s'est invité sous leur toit pour traiter leur chère et tendre fille de sorcière ? C'est qu'ils avaient un énorme glaçon dans la gorge...
Ben est encore celui qui en est le moins tombé sur le cul. Les choses prenaient enfin un sens pour lui, toutes ces heures passées à me regarder faire voltiger des jets d'eaux - très humbles, je l'accorde - entre mes mains, ou à faire gonfler les grenouilles sur mon passage. C'était ça, cette magie qui grandissait en moi, et qui devait, quelques années plus tard, bouillonner à plein régime dans mes veines.
Je n'étais pas une curiosité de la nature, comme il l'avait cru tout d'abord, mais simplement sa sorcière de petite sœur, conviée solennellement pas lettre manuscrite à l'école de sorcellerie Poudlard dès l'âge de mes onze ans, et ce, pour y apprendre l'art de la magie.
Jusque-là, je n'ai pas vraiment eu à m'en plaindre ! C'est le genre de chose que je pourrais aisément classer dans les révélations les plus importantes de ma vie, avec la fin du film Inception.
Mais on oublie jamais vraiment ses racines, pas vrai ? Pas plus qu'on ne tourne le dos à sa famille - sous peine de se la voir rappeler à son bon souvenir par un bon coup de pied au cul ! Pas quand on porte le nom des O'Connor...


Famille et compagnie

"Mais bon sang ! C'est ma fille tout de même, je l'appelle encore comme je veux ! Sloane, Sloane... je sais qu'elle s'appelle Sloane, nom de Dieu. Mia, c'était le nom de ma mère, et ma fille porte aussi ce nom, que je sache. Pas vrai ma puce ?"

De fait, papa est bien le seul à toujours m'appeler par mon deuxième prénom, Mia, de sa voix bourrue d'ancien biker. C'est un petit quelque-chose entre nous, une façon de garder une part de sa "fifille chérie" - non, ne niez pas, vous aussi vous avez le droit à ce genre de surnoms douteux - rien qu'à lui, je suppose.
Il est grand, il est fort et a un faible pour la mécanique - oui, je sais, et c'est loin d'être l'unique stéréotype au compteur de mon aimable individu de père. Un gros ours mal léché, papa. De ceux qui balancent des regards sombres à tout va en grattant leur barbe rousse d'une semaine d'un air de Cro-Magnon et ce, tant qu'il n'a pas bu son café noir, bien serré - un stéréotype je vous dis ! N'empêche que quand il sourit, il me fait plutôt penser à une grosse peluche - stéréotype; bordel !! -, ma peluche à moi, et je suis sa Mia. En bref, c'est mon pôpa.

Mère:

"Ben, sois un ange, lâche ce livre et mets la table. Ian ! Nathan ! Arrêtez d'effrayer Charlie ! Mais non mon chéri, la maison n'a pas été construite sur un ancien cimetière indien. Sloane ! Qu'est-ce que tu fabriques encore avec tes cheveux ?... Nettoie moi ce lavabo immédiatement jeune fille !"

C'est ce que j'appellerais la normalité quand maman est dans le secteur : une tornade maternelle brute de décoffrage qui souffle sur la maison et ses habitants. Chignon fait à la va-vite, manches retroussées, mains sur les hanches, nez plissé au garde à vous, front gondolé et regard pétillant de jeune fille. Le visage même de la maternité : soucieuse, dynamique, remplie d'espérances. La maternité splendide qui se voit grandir dans le regard de ses enfants. C'est cette femme qui m'a voulue, désirée, portée neuf mois en son sein, tirée à bout de bras pendant seize années et s'est pliée en quatre pour que j'en arrive là.
Alors non, elle ne connaît rien à la magie, ne sait pas tenir une baguette, n'a jamais placé le moindre sou à Gringotts, s'effare de voir une photo bouger dans une gazette et ne connaît d'autre utilisation au balai que son ménage quotidien à l'hôpital. Mais c'est ma mère, moldue comme tout, et elle vaut bien toutes les grandes sorcières de ce monde.


Frère(s) et sœur(s):

Ben

Il y a les petites princesses à leur papa; le coup classique, Œdipe en chair et en froufrous roses ! Et puis il y a moi, 6 ans et des poussières, jurant mes grands dieux d'épouser mon frère de 14 ans, qui, quand il ne se fait pas appeler Monsieur mon fiancé, porte le doux qualificatif de Ben. Ben où le grand frère et le fils modèle, le saint des saints, la grandeur d'âme à son paroxysme. Ben qui à 16 ans bossait avec papa après les cours pour rapporter un troisième salaire. Ben qui dépensait son maigre argent de poche à nous acheter des jouets neufs, à moi et à toute la clique. Ben le littéraire, qui m'a rabattu les oreilles de Baudelaire toute mon enfance, qui chialait en lisant "L'Albatros" : "C'est juste, Slo, tu ne trouves pas que c'est très juste ?". Ben, mon frangin d'amour, celui qui a fait mon éducation, au moins autant que les parents. "Tu seras sage, hein, princesse ?", répète t-il chaque année, sans faute, dans la fumée blanche de King's Cross. Et comme chaque année, fidèle à ce rituel bien rôdé "Sois mon prince, Ben, et je jure d'être sage pour l'éternité !".

Lucy

Lucy à la chevelure de feu, dite Fire, comme l'ont baptisée les jumeaux - une de leur plus belle trouvaille. Une irlandaise, une vraie, il n'y a pas à pinailler. Crinière flamboyante, tâches de rousseur du petit orteil jusqu'au bout de l'oreille, tout y est ! Lucy, c'est l’Esméralda de la famille - n'en déplaise à monsieur Hugo - et son armée de prétendants pré-puberts. Mais je veille au grain, ne t'en fais pas ma Lucette, pas un de ces Frollo ou de ces Phoebus ne posera le petit doigt sur toi. 14 ans seulement; ça craint... On court à la catastrophe ! "T'en fais pas Slo', la famille c'est sacré !" Et que ça te sort des grands sourires rayonnants, et que ça te saute dans les bras avec de grands airs ingénus. "On restera toujours ensemble, avec Ben, les jumeaux et le petit. Arrête de t'en faire..." Ma Lucy, mon soleil, mais c'est normal que je m'inquiète ! Reste une enfant, arrête de grandir, s'il te plaît, aie pitié de ton aînée... Pas de Roméo, surtout, tout le monde sait que les histoires d'amour finissent mal, fais confiance à Shakespeare !

Ian & Nathan


"C'est pas nous, shérif O'Connor !" Je ne la connais que trop bien, cette phrase, et sa surenchère : "Juré, Slo', on a rien fait ce coup-ci, rien de rien !" Et je les connais, ces bouilles d'angelots ! Les jumeaux, je les connais bien mieux que le fond de ma poche. Nathan qui chouine, Ian qui dégouline en silence - morve et larmes de crocodile, deux petits martyrs au regard bleu comme le domaine du Saint-Père. Et 10 ans à peine, ça promet ! On leur donnerait le bon dieu sans confessions, à ces pêcheurs sacrilèges. Allez savoir pourquoi, je suis toujours la première au courant de leurs boulettes, leur fliquette attitrée, l'incorruptible frangine. Il faut dire qu'il les enchaîne, les jumeaux. Franchement, jeter des œufs sur les vitres de la voisine, ça manque de classe, je ne les ai pas éduqués comme ça - d'accord, c'est une vieille peau acariâtre et mesquine, mais tout de même; un peu de tenue, mes chéris... Et qui c'est qui a cramé les cheveux de la maîtresse, hein ? Non mais je vous jure... Mais le cœur a ses raisons ! Je leur passe tout, à mes petits amours, c'est comme ça, j'assume, je rend mon étoile. De toute façon, le jaune shérif ne me va vraiment pas au teint...

Charlie

Charlie et sa petite voix suppliante, ses grands yeux larmoyants derrière ses lunettes vertes. "Il est sous mon lit 'Loane, il veut me manger ! C'est Mr Pumbleton qui me l'a dit." Et de me tendre son vieux lapin usé, qui me fixe d'un air tragique de son œil unique - "Mais non Chacha, Mr Pumbleton ne souffre pas, il est fier d'être un lapin cyclope !". Charlie, 6 ans de rêves étranges, d'amis imaginaires de tout poil, sous l'oeil scrutateur de Mr Pumbleton et de toute la petite famille. C'est le petit dernier. Le petit préféré, forcément. C'est le petit, quoi, mon mien de petit rien qu'à moi - ou presque. Combien de fois s'est il endormi tout contre moi, sa peluche dans les bras et sa tête frisée sur ma cuisse ? Mon petit mouton, mon petit... ok, ça devient ridicule. Un peu, n'est-ce pas ? Je plaide non coupable ! C'est tout de même pas ma faute si sa petite frimousse me fait vomir d'amour...


La première fois ici

Mes yeux, ronds comme des billes, cherchaient à se faire la malle de mon petit visage rose alors que je réprimais un élan nauséeux. Zut ! Mes pieds, où étaient donc passés mes foutus pieds ? Je baissais la tête, persuadée d’y trouver le vide le plus abyssal de toute l’histoire de l’abysse – un gouffre sans fond, quelque-chose de ce goût là. Que dalle ! Toujours là, mes petits petons, ancrés au sol de pierre du château. Ca ne m’avançait pas à grand-chose, hélas, le vertige ne me lâchait plus. Une impression ahurissante d’être tombée la tête la première dans le terrier d’Alice et de m’être sacrément bousillé le cervelet à l’atterrissage. Mais non, il n’était pas dans mes habitudes de crapoter de l’opium – n’en déplaise à maître Caroll – et tout cela n’avait rien d’un délire psychédélique quelconque peuplé de lapins tirés à quatre épingles. Je fermais les yeux, prenait une lente, une grande, une profonde inspiration avant de poser mon regard clair sur le plafond sombre et étoilé. Un bleu nuit dans lequel je me laissais engloutir toute entière, pas bien sûre d’être encore debout tant le tournis continuait de garder mon esprit en otage dans son infinissable manège. Il fallait voir le bon côté des choses ; si je venais à faire un plat, cela ferait un fameux Strike. J’arrachais de force mes yeux de la voûte enchantée pour scruter la foule. Bruyante, la foule, chuchotis excités, franches exclamations enchantées et petits minois ravis flottant au dessus de robes noires, qui tantôt tombait sur les pieds d’un garçon maigrichon prêt de moi, tantôt me laissait admirer les chaussettes roses à cœurs verts d’une autre fille non loin du petit creux ou je m’étais faufilée – véridique ! Une masse opaque et grouillante de gamins en extase, ni plus ni moins. Sur ma droite comme sur ma gauche, des tables dont la longueur exponentielle aurait fait pâlir d’envie ma fratrie. Tranquillement installés, les autres élèves, cravatés de rouge, de vert, de bleu et de jaune posaient sur nous des regards curieux. Ils semblaient faire leurs pronostics, choisir leurs poulains en pointant l’une ou l’autre des blondes têtes de notre imposant cortège.
Je tirais nerveusement sur mes manches, bien partie pour me bouffer la lèvre jusqu’à la gencive. Je crois que mes cheveux violets ne passaient pas inaperçus, de fait, ils faisaient même une certaine sensation parmi les convives qui ne cessaient de me désigner du menton, tel le louveteau lâché dans la bergerie. Je me rappelais avec un plaisir non contenu l’expression apocalyptique de ma mère devant ma clinquante crinière. Ben m’avait aidée à parfaire ma coloration, bien sûr, et dans le dos des parents, cela va s’en dire. Que voulez-vous ? J’allais bientôt partir pour cette école, Poudlard, seule dans un environnement à cent mille lieux de ma compréhension des choses, moi qui ne connaissais rien d’autre que les vertes contrées de mon Irlande natale. D’une façon que je ne saurais expliquer, mes élans artistiques me permettaient d’oublier mon angoisse – pour un moment, tout du moins. Tandis que les doigts de Ben étalaient généreusement la teinture qui devait égayer ma châtaigne tête, moi, je souriais béatement, ne ratant rien de l’étonnante transformation sur mon miroir de poche, très loin de toute pensée encombrante.
Pensées qui revenaient maintenant en masse, aussi sûrement qu’un boomerang en plein crâne. Je sautillais sur place, à présent. Ma robe me grattait affreusement, et la sueur froide que je sentais perler contre ma nuque n’arrangeait rien à mon pétage de plombs. Mais avec quoi fabriquaient-ils leurs uniformes ? Ils les rembourraient de poil à gratter ou quoi ? En l’enfilant, déjà, je ne me sentais pas à l’aise. C’est à regret que je quittais mes fringues multicolores pour cette ternité uniforme. A cours de patience, je jetais un regard fiévreux du côté de la table des professeurs. Ils avaient l’air… Ils avaient l’air… C’était ridicule, ils enseignaient des matières plus abracadabrantes les unes que les autres, connaissaient des tours à faire verdir de jalousie la bonne fée de Cendrillon ! Pourtant, ces hommes et ces femmes extraordinaires avaient l’air… incroyablement normaux. Mince alors, si je m’étais attendu à ça. S’il y avait dans cette école je ne sais quelle loufoquerie d’enseignant, je ne le savais, pas encore. Emmêlée dans mes pensées, je n’entendais pas les noms s’égrainer.

« Sloane O’Connor ! »

Stupeur. L’art de se transformer en statue. La bouche ouverte, le regard papillonnant de l’ahurie de service.

« O’Connor Sloane !! » répéta la voix avec plus de force.

Cette fois-ci, électrisée, je bondissais de mon coin comme un ressort, traversant le cortège à toute allure, le bras levé.

« Là ! Je suis là ! »


Dans ma précipitation, je m’emmêlais les guiboles et ce qui devait advenir… advint. Je m’étalais au pied du tabouret. J’entendais d’ici les ricanements moqueurs qui devraient me suivre toute ma scolarité. Chouette entrée en matière, O’Connor, mille fois bravo ! Ma dignité en miettes, je prenais finalement place sur l’antique tabouret – bah tiens, il ne manquerait plus qu’il s’écroule sous mes fesses celui-là. Pour quoi ? Pour loucher sur un vieux chapeau miteux bien décidé à atterrir sur ma tête violette. Un dernier souffle et le temps de marmonner à la Yoda :

« Que la force soit avec moi… »

QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-elle ? – Elle va la chercher à la nage sans hésiter.




Dernière édition par Sloane M. O'Connor le Dim 12 Juin - 14:57, édité 3 fois
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 9:21

Encore une fois, Bienvenue parmi nous ma belle, je suis tellement happy de voir ma Sloane tentait :isis:
Je reste à ta disposition par MP, n'hésites pas. Comme je te l'ai déjà dis sur la CB, j'adore le début de ta fiche et je ne doute pas un instant que la fin me plaira aussi Amoureux
Eclates toi bien avec ce perso, j'ai tellement hâte de pouvoir RP avec toi Pompom Girl I love you Slurp Rougi
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 11:36

Bienvenue parmi nous Very Happy Very Happy Very Happy

En plus tu fais une heureuse alors comment ne pas t'aimer Ange xD !!!!
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 12:26

Heyyyyyyyyyy ! Merci beaucoup pour l’accueil les gars ! :annabeth:
En ce qui me concerne, j'ai teeeeerminé !
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 12:27

Bienvenue sur NYL Very Happy

Bonne chance pour ta répartition. Je te souhaite aussi une excellente journée/semaine/vie.

A bientôt :isis:
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Le Choixpeau Magique

Le Choixpeau Magique



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Arrivé(e) le : 21/04/2011
Parchemins rédigés : 1912
Points : 0
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Statut Sanguin:
Pouvoirs spéciaux: Aucun pour l'instant
Poste de Quidditch: Aucun
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Epouvantard:
Matières suivies et niveau:
Points Défis:
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyDim 9 Aoû - 12:50

Carroll c'est avec 2 R et 2 L u_u xD
Sinon tout est parfait pour moi *_*


Tu t'épanouiras au mieux dans les rangs de...

GRYFFONDOR !

Gryffondor

Tout d'abord, bienvenue parmi nous. J'espère que tu t'amuseras en notre compagnie et que tu prendras plaisir à RP avec nous. Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !

N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs sont encore peu nombreux sur le forum, mais pour faire vivre cours, il y des exposés à faire au cours de ton année, pour plus d'informations, rends-toi ici. La liste des sortilèges par année est disponible .

Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis, celui-ci pour comprendre comment ça marche et comment en proposer. Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...

Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !

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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR EmptyMer 12 Aoû - 5:45

Bienvenue sur NYL !! :isis:

Oui, j'arrive 10 ans plus tard, bah quoi ? Ange
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Message(#) Sujet: Re: La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR La fille qui avait gobé un arc-en-ciel ♪♫ Sloane O'CONNOR Empty

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