Depuis des années, la France était devenue comme ma deuxième maison, je ne passais pas des vacances sans y passer quelqu'un temps. J'avais pris cette habitude depuis que mon géniteur pour se débarrasser de moi m'y envoyer pour loger chez mon oncle, j'y rejoignais mon cousin Lynch est, nous passons de bons moments en ville avant que mon oncle Delarco décide de déménager en Angleterre ensuite, mais j'ai toujours trouvé un moyen de revenir en compagnie de Lynch. Depuis peu, j'y venais plus en sa compagnie, c'était logique après l'avoir virée de ma vie sans ménagement. Dans tous les cas après les examens quand on pue rentrer chez nous, je remarquais que ma demande au prêt de Lynch de s'en aller avait été faite sans broncher. Le manoir était vide, mais il y avait toujours Audric pour se charger de l'intendance du manoir en mon absence. Après tout, j'avais reçu cet héritage très tôt sans savoir comment me dépatouiller avec ça et heureusement que j'avais fait appel à Audric pour m'aider, car je ne sais vraiment pas comment j'aurais fait. Il était comme un frère pour moi, mon bras droit et son aide précieuse dans mon manoir. À mon retour, il m'avait préparé un grand repas, heureux de mon retour et surtout près avoir reçu une lettre qui me disait que j'étais devenue Étudiant. Tout ça n'était qu'une étape de mon avenir et je trouvais Audric bien trop enjoué pour une nouvelle aussi banal, mais je comprenais et je le laissais faire. Le lendemain, je lui proposais de nous rendre en France pour commencer les vacances, chose qu'il accepta sur-le-champ, il me suivait partout où j'allais pour surveiller mes faits et gestes, il me connaissait que trop bien. Il savait que je pouvais me mettre dans de fâcheuses situations ou parfois, j'avais besoin qu'on m'en sorte. Le soir même nous prenions l'avion en première classe et dans l'après-midi, nous étions en France, à peine arrivée, nous déposions nos affaires dans ma maison de vacances et je décidais pour m'aérer l'esprit de sortir un peu, je demandais bien sur à Audric de tout arranger pendant que je sortais et que je n'avais pas besoin de lui pour la suite.

Je sortis flânant dans les rues, beaucoup de gens me regardais et comprenant que j'étais étranger s'échanger quelques messes basses, mais malheureusement pour eux le français n'avais plus aucun secret pour moi, alors j'échangeais des clin d'œil pour le faire comprendre que je comprenais tout ou bien, je leur disais " bonne après midi mesdames. " Ce qui leur cloué le bec. Je souriais ce qu'il les mettait encore plus à rougir, mais je continuais mon chemin et je tombais sur mon bar fétiche ou les serveurs et les serveuses me connaissaient bien. J'arrivais dans ses lieux comme une star où je saluais tout le monde et je m'asseyais à ma place habituelle. Au loin, je pouvais voir tout le bar, c'est là que je remarquais une superbe créature au loin, une brune comme je les aimais. Je décidais alors je me lever et de la rejoindre à sa table après qu'elle est reçue son verre. Je claquais des doigts et je demandais à Frank le serveur la même chose qu'elle puis je me tournais vers elle et je lui dis.

"- Pardonnez-moi puis-je m'assoir ? Je me présente Daniel Smith. Française ?"

Je préférais demander, on ne sait jamais, j'aimais beaucoup les Français leur moeurs étais bien différent des nôtres. En tout cas, elle avait ce visage doux et charmant qui m'attirer toujours, que pouvait-il cacher ? C'est ça qui était intéressant dans les rencontres, serais-je surpris ? D'un coup Frank revint avec mon verre de Mojito, je lui fis signe de le mettre sur ma note, car je savais que je ne serais pas le premier ni le derrière verre que je prendrais aujourd'hui.

Je n'étais pas arrivé depuis longtemps que je commençais déjà à draguer, cela ne changer pas de toute façon ce n'était pas manière ne me mettre à l'aise dans mon environnement même si aujourd'hui, je connaissais bien les lieux. La demoiselle semblait ne pas refuser mon invitation et d'ailleurs, elle ne s'arrêtait pas de me fixer. Je connaissais bien ce regard et j'étais flatté de le voir sur son doux minois. Audric m'en voudrait peut-être, mais je n'allais pas rentrer de sitôt, en tout cas si la jeune femme m'autoriser à passer, c'est quelques heures avec elle. Rien que pour discuter bien évidemment, quoi de plus ? Enfin si la question se poser, je n'allais pas refuser l'invitation. De toute façon, nous n'en étions pas là, quand je me présentais, elle fit de même en se présentant sous le nom d'Angel Johnson, Angel ? Quel somptueux prénom, le nom d'un ange, mais était-elle réellement un ange ? Ou un démon ? Elle s'apercevrait très vite que sous mes airs d'ange peu ce cacher un véritable démon. Je ne pense pas que je le lui montrerais tout de suite, après tout, je ne voulais pas la faire fuir ça serait tellement peu professionnel de ma part. Je lui demandais si elle était française, savoir si elle comprenait ce que je disais ou pas, vu qu'elle m'a répondu, c'est qu'elle comprenait le français. Après ça, elle me répondit avec une réponse tellement vague que je ne sue quoi dire plus, mais je souris, elle me rétorqua la question. À cela, je répondis.

« - Je suis Irlandais de naissance et Français de cœur. »

La jeune femme restée sur ses gardes, ce que je comprenais après tout, elle ne me connaissait pas, mais elle n'allait pas tarder à ne plus mettre de barrière entre nous. Étends fils de bonne famille, j'avais reçu la meilleure éducation qui est, j'avais appris à parler en société et surtout, j'avais appris à me tenir pour qu'on ait la meilleure image qui soit de moi. Bien sûr, tout cela au fond me barber, mais je devais bien avouer que bien me tenir parfois ça donner de bonnes choses. Assis je sentais ma sacoche accrocher à ma cuisse serré j'avais un peu peur quel lache. Je la regardais alors pour vérifier que rien n'aller céder vue qu'il serait dommage de perdre ici ma baguette. Je l'emmener partout avec moi connaissant les lieux où je pouvais pratiquer de la magie. La france n'étais-elle aussi pas ignorante du monde la magie, enfin pas les moldue mais ici se trouvais la plus belle école, celle de Beauxbaton. Je l'ai connu en parlant avec des sorciers qui venaient de cette prestigieuse école et d'ailleurs, Lynch à faillie lui aussi en faire partie. En tout cas, je sortis vite de mes pensées que la jolie demoiselle me demandait si je venais souvent ici. Je lui souris et je répondis.

« - Souvent non, disons que je ne vis pas ici. Je viens souvent en vacance en France, j'ai un manoir pas loin qui est de famille. Quand je viens oui le lieu ou je m'arrête souvent et ici, à force, ils commencent à me connaître. Connaissez-vous bien Paris ? Si ce n'est pas trop, vous demandez-je pourrais vous faire une visite guider des meilleurs endroit et je pourrais vous faire visiter des endroits que vous auriez jamais espérer voir de votre vie. Pas besoin de me répondre tout de suite, je vous laisse le besoin d'y réfléchir.»

Ok, je m'avançais, on se connaissait à peine, mais après quelques verres et une longue discutions, je suis sûr qu'elle finira par accepter ma proposition. En tout cas, je portais mon verre à mes lèvres pour boire ce fameux mojito, il était délicieux, mais il ne valait pas les bons mojitos du Mexique. Oui, je faisais le rabat-joie, mais j'aimais les bonnes choses et voir de jolies choses comme voir la jolie jeune femme qui était en face de moi. En tout cas, ce soir, je n'étais pas prêt à passer ma soirée seul, bien que je ne su, je dois dire bien amuser durant la période passée à Poudlard je n'étais pas mécontant de passer mon temps ailleurs. Mon envie irrépressible de liberté me faisait devenir claustrophobe et rester trop longtemps enfermer au même endroit me rendais dingue. Aujourd'hui, je pouvais aller ou je désirais sans que personne ne me dise quoi que ce soit et je devais bien avouer que c'était plutôt agréable.

« - A moins que vous viviez ici, mais à vous voir je ne pense pas. »

Peu à peu, le malaise se dissipa, pas que j'étais mal, à l'aise, bien au contraire, il m'en faut beaucoup pour m'impressionner, mais les choses devenaient soudainement plus simples. Je savais tout de même que la beauté ne faisait pas tout, je devais aussi mettre mon interlocutrice en confiance et lui prouvé que je ne lui ferais aucun mal. Le risque, l'adrénaline, c'est ce qui me fait vivre au quotidien, j'aime me donner des challenges que je dois sans cesse dépasser. Je suis de nature peu prudente ce qu'il fait que je ne comprends pas les gens qui ne se lancent pas à l'aventure, mais je respect laissant couler, car après tout, j'ai rien à y gagner. Le risque, l'adrénaline, c'est ce qui me fait vivre au quotidien, j'aime me donner des challenge que je dois sans cesse dépasser. Pour en revenir à la belle brune, je la sentais à l'aise, mais un peu sur la réserve, aurait-elle peur de moi ? Il est vrai que je peux être impressionnant. Pourtant aujourd'hui, je ne me sentais pas spécialement froid ou distant bien au contraire, car c'est souvent ça qui fait peur au gens. Malgré ça, sa compagnie n'était pas désagréable et sa beauté pas négligeable donc tout allait pour le mieux pour l'instant. On échangea quelque banalité, enfin surtout de mon côté, car elle ne répondait pas vraiment, c'est là que je lui expliquais que j'étais Irlandais. Je l'étais devenue, c'est vrai, car au départ, je suis Italien, enfin né en Italie et à mes trois ans, j'ai déménagé en Irlande. Dans mon cœur, je crois que je serais toujours un Italien, bien que L'Irlande soit aussi pour moi mon pays. En tout cas quand je lui en fis part, elle semblait heureuse de l'entendre en me disant qu'elle aimait l'Irlande. Je sentais que dans son cas, je devais faire bien plus d'effort si je voulais la faire parler, mon charme ne fonctionnait pas tant que ça. Il n'y avait pas de soucis, je n'en étais même pas à l'échauffement, je n'avais pas encore dévoilé toute mes cartes et on venait à peine de se rencontrer. Je devais avouer que je n'en 'étais pas non plus le genre de gars à étaler sa vie, je parlais oui, mais je n'allais jamais au fond des choses. Pour répondre à son affirmation, je lui dis en esquissant un léger sourire.

"- Je vous comprend."

Je ne désirais pas aller plus loin pour l'instant, si je voulais plus d'information, je lui demanderais le moment opportun là, je savais qu'elle ne se livrerait pas comme je le désire, je devais attendre. Bien que j'aimais l'Irlande, je trouvais pénible d'y retourner, j'y avais vécu des années compliquées et jusqu'a maintenant Poudlard m'avais permis de les mettre de côté. Pour passer à autre chose, je lui demandais poliment si elle acceptait de se faire guider dans Paris en ma compagnie, elle accepta après quelques minutes de réflexion. Je lui souris en hochant la tête comme quoi j'étais ravi de l'entendre et je retournais au prêt de mon verre pour le vider d'une traite. Je me tournais vers elle et je lui fis un clin d'œil et je me levais pour commencer la visite, mais avant ça, je me dirigeais vers mon ami Sylvain pour payer nos verres, je lui fis une accolade, je saluais tout le monde et je sortis du bar en compagnie de la belle brune. En réfléchissant pleins de lieux sympas me venais en tête, je décidais de la guider vers le musée du Louvre un endroit que j'affectionnais particulièrement. Je crois que le must du must était Clichy et son Moulin rouge, mais je n'allais pas lui montrer ça au premier rendez-vous. C'est ainsi qu'on se leva tout deux pour marcher dans les rues en direction du musée du Louvre.

"- Vous connaissez le musée du Louvre ? Étant un homme en recherche de savoir dés que j'ai l'occasion, je viens voir ce qu'il expose. La pyramide du Louvre en verre et vraiment magnifique."

Parler de choses et d'autres voilà la meilleure chose à faire, elle n'allait pas freiner à me dire ce qu'elle pense d'un simple endroit. Si elle n'ose pas me le dire je peu et je dois me poser des questions, c'est qu'aujourd'hui, je dois faire peur ou je comprends rien. En tout cas, je ne me laisserais pas démonter, rien ne me fera perdre ce défi, la jolie Angel se livrera à moi coûte que coûte. Je regardais autour de moi, reconnaissant quelques boutique sympa où j'aimais négocier quelques affaires quand soudain, je sortis de mes pensées quand la brunette me demanda ce que je faisais dans la vie. Instinctivement, je déposais ma main sur mon étui en cuir accroché à ma cuisse, beaucoup se demandaient si ce n'était pas un couteau, mais ce n'était que ma baguette, je ne pouvais pas me résigner à la ranger autre part. À cette question, je ne savais que répondre, je ne pouvais pas dire qui j'étais réellement, alors je lui sortis la répondre la plus simple qui me vint à l'esprit ce qui était vrai après tout.

"- Etant bientôt majeur je vais signer les papiers pour devenir PDG de l'entreprise familiale."

Je ne désirais pas pour le moment rentrer dans les détails, ce poste, je ne savais pas encore comment j'allais le gérer avec mes études à l'université et avec mes désirs futurs. Je voulais entrer au ministère de la magie et balayer tout le monde pour aller au poste le plus haut, je le désirais et ça serait la preuve au prêt de tous ceux qui imagine qu'un sang de bourbe ne peu pas accéder à ce poste que je serais capable de le faire. En tout cas, je me disais qu'après cette question, il était temps à moi aussi de lui en poser quelques-unes.

"- Dite moi, vous êtes bien curieuse. Sachez que je le suis tout autant, à vous de répondre à mes questions, d'où venez-vous et qu'est-ce que vous faites dans la vie ?"

En tout cas, j'attendais qu'une chose, c'est qu'Angel me fasse confiance. J'étais impatient, je le sais, c'est mon plus gros default. En tout cas, j'attendais qu'une chose, c'est qu'Angel me fasse confiance.

Nous venions donc de quitter le bar, nous marchions petit à petit vers le musée du Louvre qui était notre destination. Tout en marchant j'essayais de me repérer pour ne pas me tromper de chemin, marcher ne me déranger pas, bien au contraire mais souvent j'ai le plaisir de faire mes trajets en moto ou bien en voiture. Souvent, je demande à Audric de m'emmener à tel ou tel endroit, heureusement que j'ai pris l'habitude de toujours analyser tout ce que je fais, c'est ce qui me permet de sortir de situation compliquer. L'avantage que j'ai aussi, c'est que j'ai un très bon sens de l'orientation, mon géniteur s'amuser souvent à me faire retrouver mon chemin en me laissant seul au milieu de nul part et que de mes propres moyens, je puisse retrouver le manoir. J'en ai appris des choses même si j'ai dû en baver pour les apprendre. J'avais choisi cet endroit alors que pourtant, je ne supporte pas les endroits touristiques, je ne supporte pas le monde, mais cet endroit et différent. J'aimais la pyramide de verre, cette structure me fascinait, j'ai d'ailleurs toujours garder une photo d'elle dans mon manoir. Je suis quelqu'un de très ouvert d'esprit, j'aime cultiver mon esprit par de diverses lectures et visite. Je n'aime pas ne pas savoir répondre à une question qu'on me pose, c'est mon côté excessif, toujours savoir le plus de choses possible. C'est pour cela que je voyage et que je suis souvent à l'écart des autres. Je m'intègre au gens que si j'en ressens la nécessité comme pour apprendre quelque chose d'eux, sinon ça ne m'intéresse pas. Après une bref visite, je comptais l'emmener dans un petit coin sympa ou très peu de monde va, car très peu de monde connais et surtout très peu de monde y va, car les prix son excessivement cher pour quelqu'un qui à peu de moyens, mais je tenais à lui montrer cet endroit un peu plus tard dans la soirée, pour le moment, je tenais à lui montrer le musée du Louvre. Quand d'ailleurs je lui expliquais ou je désirais l'emmener, elle me demanda si là bas il n'exposait pas sur l'Egypte Antique. À cette question, je lui répondis.

"- Ce sera une première alors, tant mieux. C'est tout à fait vrai, il y a une section sur L'Egypte, j'ai eu le plaisir d'aller là voir et j'ai été agréablement surpris par leur savoir faire. Donc vous aimez l'Egypte ? Elle me répondit du tac au tac, je pouvais ressentir une grande passion dans sa voix quand elle me dit qu'elle adorait ce pays, après ça elle mentionna le fait qu'elle trouvait que ce pays et leur savoir faire avait quelque chose de magique, ce qui me fit rire. Ma main se posa automatiquement sur ma cuisse ou se trouvait mon étui. Qui sais, on ne connaît pas tout de ce monde, peut être que les Égyptiens avaient surement quelque chose de magique pour créer des statuts aussi parfaite."

Je pouvais voir qu'Angel me fixait d'un seul coup, alors je la regardais à mon tout intriguer. Espérait-elle une quelconque réaction de ma part ? À moins que ça ne soit pour l'évocation de la magie, non ça ne pouvait pas être ça, à moins que ? Je devais délirer, il m'arrivait parfois de tomber sur des sorciers, mais j'avais souvent à les distinguer, mais là si elle en était une, elle passait inaperçue. Après ça, elle me demandait si ça allait être ouvert à cette heure-ci, je réfléchis quelque seconde et je lui dis.

"- Si nous nous dépêchons pas oui ça va fermer, mais je me dis que la pyramide éclairer peut tout aussi bien faire l'affaire, ensuite j'ai d'autre endroit à vous montrer donc ce n'ai pas un soucis. "

Après tout ça elle me demandait ce que j'allais faire plus tard, je lui racontais que j'allais devenir PDG d'une grande entreprise ce qui eut l'air de la surprendre. Tout ça était ma vie au quotidien alors je pouvais comprendre que pour elle, ce soit quelque chose de surprenant. Depuis ma naissance, j'avais pu voir et entendre des choses que tout enfant normal n'aurait jamais vécues. J'ai longtemps regretté d'être qui je suis et d'être né, mais à présent, j'accepte ma vie tel quel est et je suis plutôt fière du chemin que j'ai parcouru finalement pour en arriver là. Je décidais alors de lui expliquer.

"- L'entreprise et familiale, cela se transmet de père en fils de génération en génération. Mon père ne pouvant plus prendre le poste de PDG, j'ai dû léguer sa place à quelqu'un d'autre le temps que j'ai mes 18 ans. Enfin seulement là, je peux signer les papiers et posséder enfin l'affaire familiale. J'ai eu mes 18 ans donc je peux enfin reprendre l'affaire. Vous comprenez ?"

Tout ça me réjouissait, mais me contrarier aussi, car j'avais bien d'autre projet bien plus ambitieux et surtout dans le monde de la magie. Je voulais bosser au ministère et monter au poste le plus haut possible, en tout cas, je ne lâcherais pas. Depuis que j'ai appris qui j'étais, je n'avais eu que le désir de devenir le plus fort pour que tout le monde oublie que je ne suis qu'un sang de bourbe. Elle me posait tout un tas de questions, mais je ne connaissais rien d'elle à part son prénom. Il était temps qu'elle réponde à mon interrogatoire. Elle me répondit qu'elle était étudiante et qu'elle était en France pour les vacances. À cela, je répondis.

"- C'est justement mon cas, quel coïncidence n'es-ce pas ? Au fait connaissais vous le chaudron baveur?"

Cette question était ma chance, je la jouer fine, j'avais une idée en tête depuis sa phrase sur l'Egypte et il était temps que je sache si elle était une sorcière ou pas. Avec cette question, j'étais sûr de ne pas me faire passer pour un idiot. D'un coup, elle me demanda si on pouvait se tutoyer alors je lui répondis en souriant de nouveau.

"- Il n'y a aucun soucis ma belle."

Je préférais toujours partir sur le bon vieux vouvoiement, c'est toujours plus poli et je ne suis pas le gens de gars à directement tutoyer les gens qu'il rencontre. Il y a encore pas mal de monde que je connais, mais que je vouvoie toujours et que je n'aimerais pas tutoyer. J'aime garder parfois une certaine distance avec certaines personnes, mais en ce qui concernaient Angel, c'était tout l'inverse, si ce soir, je pouvais au moins l'embrasser j'été gagnant. Tiens du coup, je tiens le pari ! Ce soir, je l'embrasse.

Le vent soufflait légèrement et malgré l'heure qui avançait, il faisait assez bon, je devais bien l'admettre. Je trouvais ça plus agréable de marcher en tenu légère que de devoir porter tout un tas de vêtements pour se tenir chaud, bien que la nature m'eût agréablement gâté en faisant de moi un homme tout sauf frileux. Mon corps était chaud en toute saison ce qui est un réel plaisir quand il fait frais, surtout en ce qui concerne les jeunes femmes qui désirent se blottir contre mon beau. Je ne portais jamais plus qu'un cuir ou une écharpe quand vraiment le temps pouvait se gâter, mais la plupart du temps, je la laissais au placard. Ce qui m'avait beaucoup ennuyé avec les costumes de Poudlard c'était ses longues robes que l'on devait porter constamment, alors dés que je pouvais la retirer, je ne manquer pas de le faire. Je n'avais jamais aimé ce concept de costume identique pour tous, oui ça avait l'avantage de ne pas dénoter en montrant un style plus particulier qu'un autre, mais je n'avais jamais été une personne qui rentre dans un moule. J'aime montrer une certaine différence et avec un certain grand plaisir d'ailleurs, je trouvais toujours une astuce pour dénoter. Aujourd'hui, je n'ai plus à porter, c'est costumes ridicule, pour ma plus grande joie. À partir de maintenant, je suis un étudiant et heureux de l'être, Wilh ce demandais si j'étais le genre de garçon à faire de longue étude. Je crois que pour arriver à mes fins, je dois passer par là et rien, je dis bien rien ne se mettra en travers de mon chemin. C'est comme pour l'entreprise familiale, je ne désirais pas tant que ça la reprendre, mais je mettais un point donné à redorer le blason de cette entreprise et du nom de Delarco que mon géniteur à si vivement bafouer. Je pense que dés l'instant où j'aurais fait cela, je vendrais l'entreprise, pourquoi pas en faire don à Audric si le poste lui plaît toujours autant. Il est le seul homme en qui j'ai toujours eu confiance, un homme sage et obstiné, une race de vainqueur. Je devrais d'ailleurs lui faire pars de mes désirs au plus vite. En ce qui concernait la belle Angel, elle finit par comprendre, mais je pouvais admettre que pour une jeune fille de son âge tout cela puisse la dépasser. Je suis un jeune homme qui à du tout apprendre très vite, vivant seul très tôt, j'ai dû m'endurcir pour ne pas craquer, j'ai eu sur les bras tout un tas de problèmes à gérer et très jeune. Quand je réalise que j'ai seulement 18 ans, j'en ai le tournis, je ne réalise pas comment j'aurais fait si Audric n'avait pas été là. Le manoir, l'entreprise et surtout ma vie tout se trouvait entre ses mains et il a su tout remonter à flot sans une seule plainte. Je suis jeune et déjà blazer de pratiquement tout, l'argent mon permis de tout avoir trop tôt et la magie m'a donner un luxe et une puissante que mon géniteur n'avais pas. Aujourd'hui, je me sens comme invincible.

"- Une grande oui en effet, mais disons que j'ai appris très tôt à prendre en main ce genre de responsabilité sans que ça me pèse trop. La seule chose que je redoute, c'est de lier l'entreprise et les études, mais malin comme je suis, je trouverais bien une solution."

Je lui fis un clin d'œil et on continuait de marcher, je pouvais sentir et voir chaque regard se poser sur moi. Féminin mais parfois masculin, je ne saurais dire si c'étais par attirance physique ou bien tout autre chose. Je m'étais habitué au regard donc je ne les relevais pratiquement pas, après tout quel intérêt ? J'étais en compagnie d'une très charmante jeune femme donc il ne m'était pas permis de regarder ailleurs et franchement pour tout avouer, je n'en avais pas l'envie. Pour continuer notre conversation avant de trouver le musée, je décidais de procéder à un petit teste, étant un grand joueur et un fin limiers, j'avais perçu en elle quelque chose de familier, une aura qui ne me laissait pas de marbre. Peut-être me trompais-je, mais souvent mon flair ne me trompait pas, était-elle comme je le sentais une sorcière ? Tout cela m'était venu d'un seul coup, car avant ça, je ne préoccuper pas de ça, durant un cour instant en la regardant, j'ai cru ressentir quelque chose de familier. Je décidais alors de lui parler d'un endroit qu'un moldu pouvais serte connaître, mais qu'un sorcière aussi et sous une autre forme. Après ma question, elle semblait perdue et un peu excitée, je crois que j'avais tombé juste, ses nombreuses questions laissées pensé qu'elle tourner autour de sujet pour ne pas en venir au sujet principal. Un moldu m'aurais tout simplement répondu " oui, je connais ou non pas du tout " alors que là, elle me demandais confirmation. C'était louche, je déposais encore machinalement ma main sur mon étui et je lui dis d'une traite.

"- Celui de Londres oui, ou tout un tas de genre plus différant les uns que les autres s'y réunisse. Ne trouves-tu pas que c'est très hétéroclite ? On peu converser avec des personnes très surprenante, certain moldu je crois qu'on dit comme ça, m'apprenne tout un tas de chose sur notre monde, ce qui me donne souvent l'envie de voyager. "

Je n'avais pas exprimé que j'étais sorcier, mais d'avoir simplement dit le mot moldu ne pouvais que signifier ce que je représentait. D'ailleurs juste après ses mots, je finis enfin par trouver le musée ce qui ne laissait encore quelque minutes dans le doute, nous devions passer simplement un petit passage pour arriver dans une immense place et au centre se trouvais la pyramide de verre. Elle était comme je l'avais prévu éclairer par tout un tas de lumière ce qui la rendait encore plus belle. Je pointais du doigt la pyramide et je dis à Angel.

"- Nous y voilà, le spectacle ne te déçois pas j'espère ? "

Je me rapprochais d'elle pour la tenir par l'épaule et lui montrer plus loin un magnifique jardin, pour ce n'était pas spécialement mon truc les jardins, mais si ça pouvait nous permettre de discuter, j'acceptais de faire quelque compromis. D'ailleurs, le jardin aussi étais éclairer, dans chaque fontaine se trouve des petites lampes LED qui faisais apercevoir de loin les statuts qui les décorer. Petit à petit, le soleil se couchait légèrement laissant paraitre un coucher de soleil au ton violine et rougeâtre. Un air romantique flottait dans l'air, une chose que je ne désirais pas, mais qui était là du moins malgré moi. Je la conduisis alors vers le jardin et je décidais de rester muet après ce que je venais de dire. Même, je désirais la faire enrager en changeant de sujet pour laisser planer le doute quant à mon statut, moldu ou sorcier ?

"- J'espère que tu apprécies l'effort que je fais pour toi, me promener dans un jardin et loin d'être mon passe temps favoris mais si je suis en charmante compagnie cela peux se négocier."

Un peu de taquinerie ! Je ne lâcherais pas, je vais la laisser dans le doute bien que c'est moi qui ai pousser pour savoir. Je n'ai pas besoin de sa réponse, je sais ce qu'elle ait, mais je désirais laisser planer le mystère et lui changer les idées en la taquinant et la séduisante quand je le fais d'habitude. Elle n'y couperait pas, à elle de juger si elle le désirait ou pas.