" Été, soleil, plage, amour... "

" I Love in L.A. "

En me réveillant ce matin, j'avais du pour commencer faire mes valises en panique. Je n'avais pas oublier que je devais rejoindre Demetra, loin de la j'en avais si hâte, j'avais simplement été d'une lâcheté légendaire restant ainsi fidèle à mes bonne habitudes. Une fois ma seule et unique valise prête, j'étais partie dans ma salle de bain me faire une beauté. Je n'avais toujours pas l'âge pour utiliser mes pouvoirs magique en dehors de Poudlard, ce que je trouvais injuste pour une sang-pur tel que moi. Bref, je devais donc utiliser des produits et tout faire a la main, ce qui rendait la tâche plus longue. Ce qui rendait un peu la tâche facile était mon pouvoir de métamorphomage. Mes cheveux séchais plus vite grâce à cela. Ils étaient encore court et blond, je les entretenais ainsi depuis la perte de ma chère amie Sky Milbury. Ensuite, je me mis mon fameux rouge à lèvre vif, une ligne de crayon noir sur la paupière du haut, du mascara et un peu de far à joue. Puis, je mis une camisole blanche et des shorts en jeans bleu pâle. Cela accompagner de talon haut en sandale noir.

Ensuite, je devais prendre le train, puisque je vie avec ma famille dans Liverpool, mais que Demetra me prendrais à Londre, ne pouvant pas transplaner dans un endroit qu'elle ne connaissait pas.Ce fut donc mon père, étonnamment, qui vint me porter sur place. La route fut pleine de question sur ce que je pensais que nous allions faire et les origines de mon amie. Lorsque mon père fut combler par les réponses qu'il recherchait, nous arrivions à la gare. Il me déposa à la porte, ma valise en main et mon faucon en cage, car il n'était pas question que je parte sans lui, je pris le chemin de mon train, ayant déjà préacheté mon billet. J’entrai dans un compartiment et attendit le départ de la locomotive. J'avais bien hâte de retrouver mon amie. Mon amie que j'avais embrasser plus d'une fois... est-ce qu'un terme existait pour décrire ce type d'amitié? Je me demandais vraiment comment cela serais pour l'été. Aurait-il d'autre baiser ou pas? Je savais qu'en pensant à cela, j'avais un sourire béa au visage. Un type de sourire qui n'allais vraiment pas sur le visage d'une McDell, mais je n'étais pas capable de l'enlever plus que deux, trois minutes. Ce fut un long voyage, malgré le fait que Liverpool et Londre n'était pas si éloigné que cela, mais j'avais si hâte d'être avec mon amie.

Lorsque enfin je pu descendre à la gare de Londres, je me mis rapidement à la recherche de l'autre blonde. Je savais que nous étions en retard, le train était partie quelque minutes plus tard que prévu, pour une fois ce n'était pas de ma faute si j'étais en retard! Mes parents n'avait pas voulu me transplaner ici et avait préféré me laisser au train. Je n'avais d'ailleurs pas demander pourquoi...Je m’apprêta a sortir dehors, je mis donc mes lunettes fumé, poussa la porte de la gare et trouva enfin la blonde que je cherchais.Elle portant des shorts en jeans et un débardeur et avouons le, elle était tout simplement resplendissante. Je crois que j'en eu le souffle couper un moment. Je l'avais rarement vue en pantalon court et aller savoir pourquoi, cela me rendait toute gaga présentement de voir autant de peau chez mon amie de longue date. J'eu rapidement un large sourire et m'avança vers elle, ma valise et mon faucon toujours en main. Demetra me sauta dans les bras, j'eu à peine le temps de déposer mon faucon et laisser tomber ma valise pour venir fermer mes bras autour de sa taille. Elle me lança qu'elle était; « Je suis si contente de te revoir! » et avant même que je puisse lui répondre, j'avais ses lèvres sur les miennes. Bah, au moins désormais je savais que oui, cela allait ce reproduire pendant mon voyage. J’appréciai le contact et le lui rendit aussitôt. Malgré le fait que j'étais quelque peu mal à l'aise de tout ses regards sur nous. Je devrais m'y faire. Puis comment ne pourrais-je pas être fière d'être vue avec une fille tel que Demetra. Lorsque nous nous séparions, elle me dit...

« Bon, viens, on va transplaner jusque chez moi. Ma mère a déjà hâte de te voir. En plus, ce soir, on aura la maison à nous toutes seules, ma mère va coucher chez son copain et ma soeur est partie tourner un film en Australie. » Je savais désormais qu'un film était quelque chose que l'on regardait, un peu comme un spectacle j'imaginais. Sa mère avait hâte de me voir? J'en était flattée, mais stressé. Comment devrais-je agir devant ses parents? Savait-ils que nous avions échanger des baiser? Je fini par me dire que je regardais comment Demetra elle agissait et ferait le miroir.. Demetra me pris la main, entrelaçant nos doigts alors qu'elle tenait mon bagage et moi mon faucon et me regarda dans les yeux, je lui offris un sourire timide et elle ajouta... « Tiens-toi prête ! La maison de ma mère a quelques sortilèges de protection, dont un anti-transplanage mais on ne sera pas très loin. » Puis, un plop ce fit entendre. Je me sentie distorsionner et cela n'avait rien d'agréable. Puis, tout s'arrêta. J'avais la tête qui tournait, un peu mal au cœur lorsque je me retrouva sur mes pieds sur un territoire qui m'étais inconnu. Ce qui me ramena a la réalité fut la voix de la belle blonde à mes côtés qui me dit : « Donc, nous voici à Beverly Hills, tout près de Los Angeles. Ma mère n'habite pas très loin d'ici. Nous ne sommes que le matin, on pourra profiter de cette journée ! »

« D'accord »

Fut tout ce que je répondis, n'étant pas encore très bien de mon transplanage. Demetra, toujours ma main dans les siennes, me guida vers notre prochaine direction et marcher me fit du bien, me replaça l'estomac au bon endroit. Nous finirent par arriver devant un énorme cloture que Dem ouvrit avec sa baguette et je pu voir la maison. Les fleurs autours étaient tout simplement magnifique j'eu le souffle couper un moment. La demeure était simplement énorme. Je pu enfin comprendre ce que Demetra voulait dire quand elle disait qu'elle vivant dans un château. Si notre manoir était gros, le leur était deux fois plus... toute. « Alors, tu trouves ça comment ? L'intérieur est encore mieux... » Je la regarda dans les yeux et lui répondit...

« Aussi beau que la fille qui m'y a amener. »

Puis, je me pencha pour reposer mes lèvres sur les siennes simplement ayant manquer le contact et de peur que ce soit la dernière fois que je pourrais puisque nous allions entrer dans cette grosse demeure où il y aurait sa mère.

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Je devais avouer que cela me faisait étrange de me dire que de tout l'été je ne verrai pas mon cher meilleur ami Franz. Depuis presque toujours nous passion nos vacances ensemble et étions inséparable, mais il fallait avouer que dans la dernière année, nous nous étions séparé l'un de l'autre. J'avais éprouvé des sentiments plus qu'amical pour lui et il n'avait pas été capable, du a cela qu'il était amoureux d'une autre. Ce qui avait créé un creux dans notre amitié, alors passé l'été ensemble aurait pu être étrange et désagréable. Prendre du temps chacun de notre côté nous ferais du bien. Puis, je n'avais aucun envie de revivre un voyage avec le château tel que j'avais vécu l'année précédente. J'avais du me battre dans une arène et tout cela, pas fameux. Alors lorsque Demetra m'avait proposée un été avec elle, dans son pays, je n'avais pas hésité un moment à dire oui. L'idée me plaisait plusque je ne voulais l'avouer. Au début, il devait y avoir quelques filles avec nous, puis je ne sais pourquoi nous n'étions que toute deux finalement. Je ne m'en plaindrai pas, d'avoir cette compagnie blonde juste pour moi pour le restant des vacances.

C'est ainsi que nous avions transplaner, à mon grand mal, vers les États-Unis, que je n'avais jamais visité. Désormais, j'étais celle avec un accent et ceux qui m'entourerai pour l'été était ceux qui n'en aurait pas, étant dans sur leur territoire. Bon, à Poudlard aussi, j'étais celle avec un accent, mais ici c'était encire pire, puisque je me trouvais sur un différent continent en plus. À Poudlard au moins, je n'étais pas la seule avec un accent différents des autres. Bien qu'il n'y avait pas de nombreux Néo-Zélandais dans le château. Bref, nous étions donc désormais devant la demeure de la blonde que j’accompagnai et je m'en retrouvais époustouflée.Les fleurs étaient magnifique et le terrain gigantesque. Wicked! Comme on dirait chez moi pour dire que cette place était tout simplement génial. Je l'avais alors embrassé à nouveau, puisque je ne savais pas quand je pourrais le refaire une fois que nous serions en dedans, en présence de sa famille. Je n'avais pas de stress réel en ce qui concernait de rencontrer la famille de Demetra, j'étais une McDell digne descendante d'une famille pur et respecter.. Je savais ce que je valais et je n'avais pas peur d'être juger. La famille de Dem verrait ma valeur rapidement. Bref, lorsque nos lèvres furent séparées, nous marchions jusqu'à la grosse porte. Ce fut une femme qui nous ouvrit la porte. Elle était belle, une blonde au yeux bleu. Probablement la mère de mon amie me dis-je. Elle me fit la bise, ce qui me surprend un peu, je ne croyais pas que cela était dans les coutumes américaines, mais que je répondis avec tac malgré tout. La dame me regarda avant de dire, avec un accent identique à celui de Demetra, chose troublante a entendre puisque je m'était habituer dans les derniers jours à celui de ma famille... « Tu dois être Jennifer McDell, la Neo-Zélandaise ? Dede m'a parlée de toi ! Tout d'abord, je suis heureuse de te rencontrer et bienvenue dans ma demeure. Fais comme chez toi, très chère ! Je ne pense pas que tu auras l'occasion de rencontrer mon autre fille, Valeria, qui est en tournage à Sydney. ».

« La seule et l'unique » répondis-je sur un ton humoristique. Je ne lui ajouta pas que pour dire Néo-Zélandais, l'on pouvait dire Kiwi qui était en fait un synonyme plus court, me disant que cela n'avait pas ca place dans la conversation. Finalement, j'étais un peu stresser, j'avais un sourire embarrassé. Elle me dit que Dem lui avait parler de moi et soudainement j'étais heureuse de pensé cela. Je me demandais ce qu'elle avait bien pu lui dire. Je répondis finalement... « D'accord, merci madame Greene. D'ailleurs, votre fille ne m'a toujours pas montré ce qu'était un failme. » car effectivement, je n'avais encore aucune idée de qu'est-ce qu'était un film.

« Je pars tout à l'heure chez Dwight. J'ai appris l'autre jour qu'il avait étudié à Serpentard, comme toi ! Alors. fais visiter la maison à cette jolie demoiselle ! » avait ajouter la femme avant de nous laisser entrer et de partir je ne sais où. Je me retrouvais donc déjà à nouveau seule avec Demetra, à mon grand bonheur. Jolie demoiselle, cela m'arrache un vif sourire. Manifestement, cette dame savait accueillir les étranger. J'étais flatté par le compliment et je me retournais vers mon amie avec un regard qui semblait voulais dire « tu as entendu! Elle me trouve jolie! » Rien d'étonnant, j'avais toujours aimer les compliments, puis cela ne faisait que démontrer que cette femme n'était pas aveugle, j'étais magnifique et métamorphomage me trouver moche était synonyme de manque de goût et de stupidité. Demetra me dit : « Je pense que ma mère t'aime déjà ! Allez, viens, allons dans ma chambre, on déposera tes trucs. Je te ferai visiter plus tard. Y a même une piscine de l'autre côté de cette porte. » alors qu'elle me pointait un porte, je suivit du regard le doigt vers la porte en question, avant de rapporter mon attention sur miss Greene qui marchait désormais vers des escalier. Les décorations étaient magnifiques et avait quelque chose d'ancestral. J'adorais la place, j'allais me plaire à y vivre pendant l'été. Ce qui m'apportait à me demander si je ne devais pas me trouver des activités de mon côté, afin que Demetra ai des moments seule, des journées pour elle. J'avais déjà entendu que lorsque nous étions invité quelques part, il fallait faire cela pour ne pas trop envahir son hôte. Je pris le temps, entre mes pensés de lui répondre dans un faux murmure...

« J'espère qu'elle m'aimera, sinon elle va m'empoisonner au goûté. » je regarda les toiles et ajouta... « et accroché ma tête au murs en trophée. »

Une fois en haut, Demetra m'expliqua rapidement l'étage... « La chambre de ma mère est tout au fond et celle de Valeria, ma soeur, est juste ici. » Je fis un signe de tête à gauche. « Comme moi, elle a sa propre chambre de "rangement". Il y a une salle de bain juste là. Ma chambre est un peu plus loin. » Je ne fit que hocher la tête, même si je savais qu'elle ne me voyait pas. Puis, nous arrivions devant un porte avec une poignée en or. Je fut bouche-bée lorsque celle-ci fut ouverte. Le lit était géant et la fenêtre donnait une vue magnifique sur un jardin resplendissant. J’entrai suivant les pas de la blonde. « Voici ma chambre ! » me dit inutilement Dem, puisque j'avais fait deux plus deux moi même. Je ne fit que dire...

« Wicked »

Oubliant de prendre soin de prendre un vocabulaire normalisé et parlant à la nouvelle-zélande, qui pour elle, serait en fait le therme popularisé « cool ». Je déposa mon faucon au sol sur le bord d'un murs, il était habituer et je continua de regarder la pièce éblouit. La belle blonde ouvrit une autre pièce rempli de vêtement et soulier et s'approcha de moi en me disant... « C'est ma... salle de rangement... Si un truc t'intéresse, une robe ou peu importe, ne te gêne pas ! » Puis, avant que je n'ai le temps de reprendre mes esprits et de répondre, elle me prit les deux mains et me souffla... « Et que souhaites-tu faire présentement, jolie vipère ? Si tu veux, on peut toujours relaxer un peu ici avant de te faire visiter le reste et filer au bord de la mer... » Puis, elle me donna un baiser. Oh! Alors dans la maison s'était correct, m'en voilà ravis. Je répondais immédiatement au court et doux baiser avant de prendre du recule, sans relâcher les mains et plaçant le bleu de mon regard dans le sien.

« J'ai apporté mon linge je devrais survivre sans te voler les tiens... » je pris un pause, avant d'ajouté avec un grand sourire malcommode et le regard pétillant avant d'ajouté... « Dédé. » reprenant les paroles de la mère de la blonde et sachant très bien que cela deviendrais son surnom pour l'agacé désormais. Puis, après un moment de réflexion j'ajoutais... « Nous pourrions effectivement aller au bord de la mer, mais c'est ma première journée et j'ai quand même fait deux heure de train. Nous pourrions rester ici dans la piscine et après tu me montre qu'est-ce qu'un failme! » Puis, je me penchais et l'embrassais à nouveau et lui murmura dans l'oreille ensuite... « et nous pourrions ainsi profiter encore un peu l'une de l'autre. »

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Il fallait l'avoué, dès que j'avais entendu madame Greene appeler Demetra « Dédé » j'avais toute suite comprise qu'elle ne devait pas tant aimer ce surnom, car en effet tout le monde la surnommais Dem' ou Demetra dans Poudlard. Jamais je n'avais entendu Dédé entre les murs du château. J'avais donc décidé d'agacer mon amie un peu en utilisant, dans le futur, ce petit surnom. D'ailleurs, lorsque j'avais énoncer à la mère de mon amie que je n'avais jamais vue de cette chose qu'elles semblaient tous travailler pour gagner leur vie, elle me répondit... : « Je pense que tu le sauras bien assez tôt. À propos de ça, Dede est très convoitée dans le cinéma mais à cause du fait qu'elle étudie en Angleterre, elle doit tout refuser les contrats et rôles. » et avait fini en s'adressant plus a mon amie qu'a moi même, surement qu'elle lui en voulait de ne pas prendre tous ses contrats.. Ensuite, je me demanda ce qu'elle savait de ma relation avec Demetra au même moment, me disait que je préfèrais surement l'ignorer, mais elle semblait savoir quelque chose, j'avais ce présentiment. Je regarda mon amie après et pu voir qu'elle même semblait un peu déranger par le fait de ne pas pouvoir prendre de rôle et de contrat. Je savais que les films était un peu comme des mini théatre que l'on pouvais revoir sur demande, mais je ne savais pas trop ce que c'était.

Les deux ce mirent à parler d'un homme que je ne connaissais pas et je décida de rester hors de la conversation. « D'accord "mom", tu lui diras bonjour de ma part. Tout cas, on va aller déposer les trucs à Jenn' dans ma chambre et ensuite profiter de cette journée ! » c'est alors que nous avions quittée pour nous rendre à l'étage. J'avais alors fait une blague comme de quoi si la maternelle de mon amie ne m'aimait pas finirait accrocher comme décoration aux murs et la blonde me répondit sarcastiquement, « En effet, c'est parfaitement son genre. ». Je rie en continuant de monter les escaliers. Ce fut en haut que j'eu le souffle coupé en voyant l'immense chambre à coucher que possedais mon amie. Le tout était simplement magnifique et tellement spacieux. Lorsque je lâcha un expression de “Kiwi” elle rie et me lança... « Toi et tes expressions ! » . Je rie également et lui répondit...

« Aller! Tu les trouve charmante mes expressions, tu ne veux juste pas te l'avouer. »

Puis, je déposa mon fauxon et elle me montra son garde-robe. Un endroit presque aussi gros qu'une chambre. Elle me proposa de me servir la dedans si je voulais et je lui avait répondu avoir mon propre linge. Elle répondit à son tour... « Je l'avais deviné ! La plupart, je ne les ai mises qu'une seule fois. M'enfin ! » Je ne répondit rien à cela, j'étais sang-pur j'étais capable de subvenir à mes besoins de vêtements seule, mais je savais qu'elle ne l'offrait pas par ventardise, elle tentait seulement d'être généreuse. Je n'étais simplement pas habituer a ce genre de comportement à mon égard. Pour changer le ton, je l'avais alors appeler Dédé. Elle roula les yeux, me donnant une petite pousse avant de dire « Tu vas pas commencer toi aussi ! Hein, Jennini' ? » Je lui tira la langue et nous discutions alors de ce que nous ferions de notre journée. Ma première journée au États-Unis. Je lui répondit que la piscine m'irais pour présentement et j'entendis donc la blonde dire... « À tes souhaits, jolie étrangère ! Direction piscine et ensuite, je vais te montrer un "film" dans lequel j'ai joué lorsque j'étais plus jeune mais tu me promettras de ne pas sauter par la fenêtre, hein ? Bon, changeons-nous et allons-y ! »

« Sauté par la fenêtre non, mais demandé à ta mère de m'empoisonner le plus rapidement possible, pourquoi pas. »

Avait-je dis d'un ton presque sérieux, mais qui laissait comprendre que je me moquais d'elle. Alors qu'elle retirais ses choses, je me pencha vers ma valise noir, ouvrit la pochette ventral et en sortie un petit sac de plage dans lequel ce trouvais mon maillot déjà prêt. Il était bleu avec des points blancs et il avait des airs des années soixantes. Ce n'était pas un bikini, non pas que j'avais honte de mon ventre, j'étais simplement parfaite je pourrais le montrer si je voulais, j'étais simplement tombé sous le charme de ce costume de bain lorsque je l'avais vue. J'avais un bikini également dans mon sac, dans la pochette principale, puisque je savais que nous passerions beaucoup de temps sur la plage et que je ne voulais pas avoir à avoir toujours le même sur le dos. Puis, bronzé en habitante ne me tentait pas trop non plus. Bref, Demetra fini par me lancer « Je ne serai pas longue ! » et quitta la pièce. J'en profita pour me changer dans la chambre directement. Ce ne fut pas long, peut-être un minute. Le temps d'enlever mes vêtements et de mettre mon costume tout simplement. Mes cheveux étant détacher, je pris le temps de prendre un élastique et me faire un mini queue de cheval. Mini puisque mes cheveux était désormais très court, il en était presque difficile de les faire tenir dans l'elastique. Puis, Dem revint à mes côtés. « Prête ! » je pu l'entendre dire. Je pointa mes deux mains sur moi même, prenant une petite pose de revu de mode lui démontrant que moi aussi, avant de rire un peu. Elle me prit ensuite la main en disant... « Ma mère est partie et... je... n'ai pas de mot pour te décrire... Euuuuh... Allons-y... ! » Ce qui me fit sourire et me sentir flatté, alors que je la suivait où elle m’emmenait en lui disant sur un ton sarcastique et purement de blague...

« Parfait? Oui je sais merci C'est la génétique Kiwi qui fait cette effet en costume.» Après tout, les Néo-Zélandais était reconnu pour leur surf et présence constante à la plage. Puis plus sérieusement et génée j'ajoutais... « tu me fait perdre mes mots toi aussi. Tu es très belle en maillot. »

J'étais terriblement flatté par le manque de mots de mon amie, mais bon j'avais toujours été égocentrique et narcissique alors je ne faisait que le prendre comme un compliment. Finalement, nous nous retrouvions dans la salle où il y avait une grande piscine. La blonde retira ses sandales et déposa sa baguette en me disant...« Voici la piscine intérieure... ! À moins que tu ne préfères que l'on soit à l'extérieur... Cette pièce est magique... À toi de décider ma jolie Neo-Zélandaise... ». Puis, elle prit place sur une chaise à mes côtés. N'ayant ni sandales, ni baguette à enlever, pour lui répondre je ne fit que lui déposer un baiser sur la joue et lui dire...

« Je crois avoir assez marcher pour aujourd'hui. »

Puis je plongea dans l'eau, sachant que nous étions du côté profond de la piscine puisqu'il y avait une planche pour plongeons aux côtés de mon amie blonde. Je resortie la tête de l'eau, passa mes mains sur mon visage et regarda Dem attendant qu'elle ce joigne à moi en lui lançant mettant bien l'emphase sur un certain mot de la phrase...

« Alors Dédé, tu attend que l'hivers revienne? ».

Spoiler:

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J'étais heureuse de me retrouver chez la blonde, bien que j'avais l'étrange sentiment que sa mère savait pour elle et moi, alors que moi même je ne savais pas trop ce qui en était. Je ne savais pas trop quoi en penser. Mon amie en avait-elle parler avec ses géniteurs ou bien ceux-ci l'avait comprit par eux même... Peut-être je lui demanderais plus tard. Puis nous avions continuer notre visite. Je me demandais en même temps un peu comment ce déroulerait l'été pour Aniek et Franz. Il m'était étrange de me dire que je ne les verrait pas de tout l'été. C'était bien une première. Bref, aus moment que j'avais décrite la chambre de mon amie de “wicked” elle s'était dépêcher de me répliquer que mes expressions néo-zélandaises n'avait pas leurs places. J'avais alors rigoler lui disant qu'elle les adorait, mais elle me répondit rapidement... « Charmantes ? Ça reste à voir ! Je peux me mettre à utiliser des expressions bien américaines si tu y tiens, hein ! » accompagné d'un sourire malicieux. Je roula les yeux et laissa aller un “humph” avant de lui lancer à mon tour...

“Comme si elles étaient dur à compendre.”

puis nous enchaînions la conversation ainsi de suite afin d'arriver au moment où toute deux, nous enfilions notre maillot. Demetra était partie dans une autre pièce, alors que je me changeait directement dans la chambre. Lorsque l'autre blonde revint dans la chambre, je ne pu me retenir de la complimenter, elle était simplement magnifique comme toujours. J'eu même le plaisir de la voir rougir suite à mes paroles, ce qui me fit sourire satisfaite de mon effet. Certains dirait que mon sourire était arrogant, mais ceux qui me connaissent dirait que c'est en fait le seul sourire que je suis capable de faire tout simplement, surtout lorsque j'étais fière de moi. Je me demandais cependant ce que mes deux meilleurs amis diraient de me voir ainsi. Avait-je l'air trop... “a quatre pattes” devant Dem? Étais-je en train de ramollir? Je devrais surement en parler à Franz pour savoir dès la rentrer. Avoir un avis de quelqu'un qui la connait depuis toujours et qui en plus, savait qu'est-ce que l'attraction émotionnel était, car je n'avais jamais vécu d'histoire par moi-même.

Lorsque Demetra rapporte mon attention à elle, nous nous rendirent à la piscine intérieur. Lorsqu'elle s'était assise sur une chaise, je lui avait déposer mes lèvres sur la joue avant de plongé dans l'eau. Pourquoi venir dans une piscine intérieur, si ce n'était pas pour profiter de l'eau. Puis, voyant que mon amie ne venait pas me rejoindre, je lui avait alors lançé une attaque sarcastique pour la poussé à venir dans l'eau. C'était cela, ou je devrais en sortir pour la tirer dans l'eau avec moi. Elle roula les yeux, resta assise et croisa les jambes me répondant... « Ça ne me dérange pas, comme il n'y a pas d'hiver ici. » je ne répondit pas et ne fit que lui tirer enfantinement la langue. Puis, en même temps, elle me lança un clin d'oeil et ce leva, étirant ses bras et me laissant une vue plaisante sur son corps bien en forme. « Mais bon, pour te faire plaisir, je vais venir ! » elle appela un elfe et lui lança...« Vas nous chercher des Big-Mac et ne tarde pas. Reviens dans une vingtaine de minutes. » et il disparut chercher cette mistérieuse chose dons j'ignorais l'existance. Je ne posa pas de question, sachant que je découvrirais en temps venu ce que c'était. Puis, alors que Dem marcha au tremplin, comme si elle avait deviner mes pensés elle expliqua... « Tu verras, t'auras un bon hamburger bien américain après ! Tu n'auras jamais rien mangé de meilleur que ce truc bien gras. Bon, eh bien, je dois me mouiller maintenant. ».

“Beurk, un hamburger américain? C'est un hamburger normal, mais pour obèse ?”

Puis, elle fit un plongeons, entrant enfin dans l'eau, puis elle fit quelques brasses avant de dire « Ouah, c'est vrai que ça fait du bien. »alors que moi je nageait sur place, je lui lança d'un ton sarcastique assez fort pour qu'elle l'entende malgré l'eau qui bougeait...

“Pas trop tard! Je pensais avoir le temps d'être ratatiné et a la chevelure blanche avant que tu me rejoigne.”

Puis, elle fini par me dire... « Je suis persuadée qu'une tonne de clochards de paparazzi viendraient nous observer si cette maison n'était pas magique. La plupart sont des ordures avec aucune classe. Ça n'a rien à voir avec la notoriété de Poudlard ou de l'USL. » elle me disait cela en ce rapprochant de moi, alors je devait avouer que je la regardais plus que je ne l'écoutais. Je savais qu,elle parlait de monde mal propre et sans argent lorsqu'elle continua de plus belle... « Dire que dans quelques semaines, je vais voir ce qu'est ce monde si pauvre... Deux collègues de l'université m'ont invitée à je-ne-sais pas quoi. Mais bon, je préfère ta compagnie ! » J'allais lui répondre que pendant ce temps, moi j'allais être au paradis, puisque je serais en Nouvelle-Zélande, mais elle me lança de l'eau me coupant raide dans ma lancer, surtout que j'avais ouvert la bouche, je recracha donc vite le tout et lança...

“Non mais! Ça pas va toi?”

Forçant l'air fâcher et tentant de bouder, alors qu'en fait je ne lui en voulait pas le moindre du monde. Puis elle me lança... « Alors, Jennini, on fait une course ? Je ne suis pas grande mais j'ai bien envie de te mettre une raclée. » . Je fit les yeux rond et lui répondit, d'un air choqué...

“Tu crois que tu peux m'attaquer le visage ainsi et ensuite me provoqué en duel? Pfff.” Je nagea vers elle, me collant un peu à elle, autant que le fait d'être dans l'eau le permettait et lui répondit, sur le même ton de défi... “Dans ce cas, je fais les règles. On commence du bord de la piscine et prépare toi a pleurer, en nouvelle-zélande on nais avec la nage dans le sang.” Ce qui n'était pas entièrement faux, nous étions presque toujours dans l'eau à Aukland. Puis je continua... “le perdant doit répondre aux caprices de l'autre pour le reste de la journée.” avant de sourire arrogamment et d'ajouté... “Par perdant j'entend dire toi.” en la pointant avant de me diriger vers le bord de la piscine.

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Une seule journée ici et j'appréciais déjà énormément mon voyage. J'étais en bonne compagnie et nous étions dans un piscine, comment ne pas aimer ce début de vacance en Californie. Avant que nous soyons rendu dans cette piscine, nous avions passer par les corridors ou Dem' m'avait menacer de parler en expressions américaines alors que j'avais utiliser des mots typiques de mon pays. J'avais alors rie lui disant que ce n'était pas très dur à comprendre ce à quoi elle avait répondu...« Facile mais chiant à entendre ! » avec un rire. Je roula les yeux et lui lança d'un ton qui ce voulait blazer de son humour.

« Pas tant. » puis sans changer de ton, mais après un pause de deux seconde j'ajouta.. « ça fait presque ton charme. »

Car, si je devais complimenter quelqu'un, cela devait toujours sonner comme si ce ne l'était pas. Puis nous avions enfiler nos costume de bain et filer dans l'eau, où j'avais du attendre presque dix ans, avant que la blonde me rejoigne dans l'eau. J'attendais encore lorsqu'elle me parla de nourriture américaine, me disant que j'allais adorer. Je lui avait alors lancer une remarque désobligeante sur le fait que cela devait être de la nourriture pour obèse. Ce à quoi elle me répondit riant et pointant son ventre, aussi plat que parfaitement muscler, « Eh bien, si c’est pour obèse, pourquoi je ne le suis pas ? » . Comme toujours, je lui répondit du tac au tac, avec mon air arrogant...

« Facile, tu passe la majeur partie de ton année en Écosse, voilà pourquoi. » Puis, avec un rire elle lança « vivre ici à l'année, tu ne passerait plus la porte de la grande salle probablement! »

Puis, je la forçais à me rejoindre lui lançant que d'ici son arriver, je serais rendu vieille et ratatinée. Ce à quoi elle roula des yeux et me répondit rapidement et sarcastiquement, mais amusée... « Dit celle qui peut modifier ses traits physiques à volonté. » Je ne fit que lui tirer la langue une fois de plus et garda cette idée en tête. Comment n'y avait-je pas penser à changer mes traits sur le coup. La prochaine fois, je le ferais. Puis, elle parla de tout et de rien, retardant encore le moment où elle serait dans l'eau, pour finalement entrer me rejoindre. Puis, elle m'arrosa au visage, ce qui me fit faussement bouder mon amie. Puis, elle changea le sujet me proposant une course. Ce qui m'avait rapidement mis un idée en tête. J'étais bonne nageuse, grande, muscler et en forme. Je savais que j'allais gagner, je savait ma propre valeur après tout. Je décida donc de mettre un enjeu, le gagnant pourrait demander ce qu'il voulait à la perdante, comme j'aurais du plaisir.

« Ne sous-estimes pas une Californienne ! C’est toi qui va pleurer, très chère, surtout que je suis une gagnante ! Allez, petite Neo-Zelandaise, tu vas voir de quoi l’Américaine est faite ! » m'avait-elle répondu amusé, après que j'ai eu l'arrogance de me moquer en lui disant que je gagnerais facilement. Je ne fit qu'un « ouais ouais » avec un revert de la main pour lui répondre à mon tour. Puis, elle fit le décompte pour le départ, j'étais déjà prête, les pieds contre le murs. Dès que le « go » fut lancer, je partie en flèche en crawl. J'arrive premier, comme je m'y attendais et de plusieurs secondes, j'eu donc le temps de placer ma main contre le murs de la piscine et d'avoir un large sourire lorsque Demetra arriva à son tour. Elle sortie de la piscine en ce montant de ses bras, s'assoya sur le rebord, croisant les bras et boudant avant de dire...« Nié, t’as gagné. » Puis, elle me lança un peu d'eau au visage avec son pied. Cette fois-ci, son geste enfantin me fit rire vivement, je me monta sur le rebord de la piscine à mon tours, une fois assie à ses côtés je lui plaça mes lèvres sur sa joue et lui répondit...


« Fait pas comme si je ne t'avais pas prévenu mammi. »

Alors qu'elle ajouta... . « Bon, faut croire que je vais devoir subir tes horribles caprices ! Et… » ce qui me fit rire, mais elle n’eut pas le temps de continuer que l'elfe de maison était de retour avec la nourriture du démon! Il les déposa sur un table et parla à sa maîtresse. « Ricko a apporté ce que madame Greene a désiré. » J'aimais que les Greene aient un elfe, cela démontrait le pouvoir et la magie de la famille. Ma propre famille avait leurs propres elfes également. Toute les familles dignes de leurs magies devraient en avoir. Elle soupira et lui lança... []b: « C’est bien et maintenant, tu peux prendre congé. Tu nous déranges. » [/b] ce qui n'était pas faux, il disparût presque aussitôt. Elle ce leva et dégagea ses cheveux alors que je me levait, nettoyant mes jambes des gouttes qui coulait de haut en bras.

« Avant tes petits caprices, viens manger cette bouffe, tu ne seras pas déçue. »

Puis, elle prit place à la table. Je la suivit, me plaçant sur une chaise face à elle. Puis je lui lança...

« D'accord je goûte, mais après on va au truc machin ilm. Puis, pendant qu'on regarde cela, tu me massera les épaules, nager aussi vite tend les muscles, mais bon tu ne sais pas de quoi je parle... »

J'avais dit d'un air moqueur et faussement condescendante riant de mon amie et de la situation. Puis, je pris en main le terrible hamburger qu'on m'avait servie. Je le jugea du regard longuement avant de finalement prendre une petite boucher, comme si s'était du poison. Puis, lorsque le goût ce fit sentir, je découvris en fait que j'aurais probablement préférer du poison. J’avalai avec une grimace et lança à mon amie...

« Beurk! C'est gras et ça goûte tout sauf le hamburger, comment tu peux survivre à ça toute une vie! »

" Été, soleil, plage, amour... "

" I Love in L.A. "

Alors que, moi, Jennifer Imogen McDell, je venait de faire une commentaire tout simplement sarcastique et désobligeant à son ami, l'ancienne verte et argent ne fit que lui répondre de son tour... « Mon charme est tout simplement sublime, tu le sais bien ! Je ne m'appelle pas Demetra Bellamy Hayley Greene pour rien ! » . Ce qui me fit bien rire. J'étais celle qui faisait les commentaires narcissique en tant normal, lui laisser la place pour une fois ne ferait que redoré mon image l'instant d'une seconde. Ce que je devait lui accordé cependant, était qu'elle était effectivement charmante, sinon je ne serait pas dans sa maison pour passer l'été. Qu'Est-ce qu'une mannequin pour sorcier tel que moi ferait avec un ou dans ce cas une pichou. Non, il me fallait toujours quelque à ma hauteur, quelqu'un digne de moi et il ce trouvais que Demetra, l'actrice et mannequin pour moldu répondait à ses critères. Cependant, je n'étais pas prête de lui dire verbalement cela. Mon égo n'était pas encore près. Puis, me connaissant elle devait bien ce douter que je la trouver digne d'une sang-pur si je la fréquentait. Elle m'avait déjà vue interagir avec les moche et les impurs.

Finalement, alors que nous parlions de la future nourriture qui nous serait apporté par son elfe de maison, je lança à Demetra que sa fine taille était du au fait qu'elle vivait la majeur partie de son temps en Écosse, plutôt que dans son pays natale de malbouffe et de gras. Ce à quoi elle me répondit, haussant les épaules... « Eh bien, j'ai quand même habité 14 ans aux États-Unis mais n'empêche qu'il est vrai que j'ai dû suivre quelques régimes et ainsi de suite, à cause du cinéma tout comme le mannequinat. » Je fit semblant d'être outrer et lâche un grand gaspe de ''choc'' avant de lui lancer...

''Tu trichais! Comment ton peuple ce sentirais face à ce mensonge et ce rejet des normes de la société.''

Je me moquait d'elle bien sûr, puis qu'Est-ce que l'on s'en foutait des obeses à la rue pas capable de s'empêcher de manger des tonnes de gras. Finalement, la blonde sauta dans l'eau et ainsi de suite, nous finîmes par faire une course l'une contre l'autre dans l'eau. Bien sûr, étant moi même dans l'eau presque tout mes jours de congé l'été et l'hivers en Nouvelle-Zélande et mesurant une bonne tête de plus que Demetra, je remporta cette courses haut la main. Ce qui sembla la faire bouder un moment, alors que j'abordais mon sourire de victoire et que je lui lançais des vannes sur le fait qu'elle devrait me répondre au doigt et à l'œil désormais. Puis, la nourriture arriva au même moment. Comme le temps passait vite avec la belle blonde à mes côtés. Nous n'étiez plus dans l'eau, étant sortie rapidement après ma victoire. Alors que j'acceptait de goûter cette nourriture américaine, je lui annonça qu'ensuite nous irions écouter un film et qu'elle pourrait alors me masser. Ce à quoi elle répondit, sa nourriture déjà en main... « Neh, te masser ? Je connais des masseurs professionnels, moi, je suis nulle ! Mais d'accord, pour toi et tu n'auras pas le droit de te plaindre. » cela accompagné d'un sourire amusé. Je lui répondis à mon tour...

''Pas question de te soustraire à ta tâche, c'est toi qui masse aucun professionnel.''

« Concernant le film, on peut regarder d'ici. Un petit coup de baguette et voilà. Donc, un film dans lequel j'ai joué lorsque j'avais 13 et 14 ans. J'étais à Salem, à cette époque, mais suite à un arrangement avec ma mère, je pouvais tourner sans encombre. J'avais un rôle plutôt important et le film a eu de très bonnes critiques. » Je ne fit que hocher la tête pour lui faire comprendre que j'acceptais le choix de film, de toute manière qu'Est-ce que j'y connaissait... Elle ajouta... « C'est action, autrement dit, un film qui bouge. Au film ! » Je rehocha de la tête sans plus comprendre. Pour changer de sujet, je pris mon propre hamburger en main. Lorsque je goûta cette nourriture purement Américaine, je ne fut pas surprise de trouver le goût exécrable et gras. Pendant ce temps, la blonde avait fait apparaitre un écran et tout ce dons elle m'avait vaguement parler. « Tu peux me le donner, si tu veux. Je te donne mes frites. Mais, je ne te comprends pas, ce truc est juste trop bon. J'veux dire, miam, quoi ! » et elle vient s'asseoir à mes côtés en ajoutant « Et euh, je peux faire mon caprice pendant que le film joue, tout en terminant ton hamburger. » a ses paroles je lui tendit sans hésitation et sans difficulté mon hamburger américain, avant de lui lancer à la blague...

''Aller, reprend tes années perdu à être au régimes!''

Puis, désormais regardant la blonde avec ses deux hambuger je ne pu que rire brièvement avant que le film ne commence. Alors que l'histoire commençait et je devais souligner ici que le fait de voir une imagine bouger ne m'impressionnait guerre, nous les vraies sorcier nous avions déjà des photos qui bougeait. J'avais simplement l'impression d'être dans la pensive de quelqu'un qui s'inventait une vie en fait. Lorsqu'une gamine et son père arrivèrent, Dem me lança « Ça, c'est moi ! » . Ce à quoi, probablement pas comme elle s'attendais, je roula les yeux avant de lui dire blasé...

''Bah ouais, évidement puisqu'on écoute l'un de tes films...''

Puis elle ce colla à moi me faisant oublier mon air mauvais et me faisant presque sentir mal alors j'ajouta...

''Tu étais malgré tout une joli gamine.''

Ensuite je répondis à son regard de côté comme pour juger si je m'étais bien reprise.