La volière, l'un des seuls accès encore avec l'extérieur [pv Kyoshiro ]

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*Après 3 beuglantes en moins d'une semaine et une multitude de plaintes de ses chers camarades Serpentard qui en avaient soit disant marre d'entendre crier pendant une bonne demi-heure les beuglantes, Naïa avait enfin décidé à écrire à ses parents, mais contre son gré soyez-en certains. Elle n'avait aucune envie de donner des nouvelles à ses parents, de leur donner des explications sur son geste "impardonnable" et encore moins de leur dire quand elle rentrait à la maison. Parce qu'il était sur pour eux que Naïa allait réintégrer le domicile familial après un tel événement. Sa soeur illy n'était visiblement pas de taille à remettre dans le droit chemin sa petite soeur, la laissant certainement faire ce qu'elle voulait et la laissait voir qui elle le voulait quand elle le voulait. Il fallait reprendre les bases avec Naïa et ils allaient enfin s'en charger, avec ou sans l'accord des soeurs Rosenberg. Que pensait Illy de tout cela ? Était-elle d'accord de laisser sa petite soeur repartir chez elle ? De laisser ses parents croire qu'elle était responsable de tout cela ? Naïa en doutait mais elle ne voulait pas aller vérifier, pas maintenant, c'était trop tôt, elle devait encore tellement lui en vouloir que Naïa ne supporterait pas une entrevue avec elle actuellement. C'était pour cela qu'elle l'évitait ses derniers jours, redoutant de la voir camper devant la porte de sa salle commune pour la voir ou la harceler de hiboux ou encore de venir la voir en plein repas à la Grande Salle pour lui taper un scandale. Connaissant Illy, Naïa doutait de la dernière hypothèse, préférant largement laver son linge sale en famille, à l'abri des regards plutôt que devant l'ensemble de l'école.

C'est donc d'un pas lent et trainant que Naïa se dirigea vers la volière, endroit qui d'habitude lui plaisait assez, elle pouvait apprécier un moment de tranquillité. Mais aujourd'hui, elle n'avait aucune envie de s'y retrouver, elle ne savait même pas ce qu'elle allait leur dire dans sa lettre, tout se dont elle était sûre c'est qu'elle allait leur écrire, point. Sur le chemin Naïa tenta de réfléchir au contenu de sa lettre, ne sachant pas si elle devait en faire une conventionnelle et froide, une un peu plus chaleureuse, un peu comme si elle n'avait rien à se faire pardonner ou une énervée leur demandant de cesser de lui écrire des beuglantes. Au final, quand elle arriva en haut des marches, elle opta pour une lettre sarcastique comme elle les aimait tant. Une fois à l'intérieur de la volière, la jeune blondinette sortie un bout de parchemin, une plume et son encre et commença à rédiger sa lettre.*

Papa, maman,

Comme j'ai été si agréablement surprise de recevoir tant de courriers chaleureux de votre part cette semaine. Après tout, depuis 5 ans que je suis dans cette école, on ne peut pas vraiment dire que vous vous soyez foulé le poignet en m'envoyant des lettres, mais dès que l'honneur de notre famille est en jeu, on ne lésine plus sur la qualité des beuglantes .... trop d'honneur. Même si j'ai beaucoup de plaisir de recevoir de vos nouvelles, mes camarades de maison m'ont malheureusement prié de vous demander de stopper votre soudain intérêt pour moi. Leurs oreilles sifflent à force de vous entendre crier et certaines rumeurs même parlent de saignement ...
Rassurez-vous pourtant, je me porte comme un charme, tout comme mes camarades blessés lors du bal. Comme vous vous en doutez, l'école ainsi que le ministère ont mis en place des sanctions exemplaires à l'égard de Tyler & moi. Ils nous interdisent d'aller s'amuser à Pré-au-Lard ou même de sortir de l'enceinte du château sans autorisation spéciale. Nos baguettes sont contrôlées chaque semaine afin de vérifier que nous ne préparons pas un nouveau coup. Et mon grade de préfète, qui vous a certainement rendu très fière de moi .... enfin je suppose, je m'avance peut être étant donné que je n'ai jamais rien reçu de votre part à cet égard, bref mon poste m'a été supprimé. Rassurez vous donc, nous sommes sous bonne garde.

Je ne vois pas trop ce que je pourrais dire de plus, vous ne m'avez pas demandé comment j'allais ni même comment allait Illy ou Andrew, je suppose donc que cela vous est bien égal. Je m'arrêterais donc là pour aujourd'hui et ne doute pas un instant que j'aurais très prochainement de vos nouvelles.

Votre fille adorée, je n'en doute point

Naïa

PS: Tyler vous passe le bonjour !

*Naïa ne doutait pas un instant qu'elle recevrait dans les prochains jours une nouvelle beuglante, petite vengeance personnelle contre ceux qui lui ont pris la tête dans la salle commune. Une fois l'encre sèche, Naïa se dirigea vers Hadès sont hibou et lui attacha son parchemin sur la patte. Elle le caressa pendant un moment tout en le nourrissant, puis elle le laissa partir remplir sa mission. La blondinette le regarda s'envoler et se perdit dans ses pensées pendant quelques instants avant de refaire surface et de décider de retourner à la civilisation. Bien évidemment, elle ne fit pas attention quand elle sortie et rentra joliment dans une personne ...*

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Kyoshiro se rendait une nouvelle fois à la volière pour envoyer de nouveau une lettre à sa famille. Depuis l'accident au bal ses parents et surtout sa mère lui avaient envoyé au moins 5 lettres pour savoir si il n'avais rien et si surtout il n'avait rien avoir avec les élèves fautif. Il avait chaque fois répondu qu'il n'avait rien eu et que non il ne connaissait pas les fautif. Il ne c'était même pas renseigné pour savoir comment ils se nommaient et à quoi ils pouvaient bien ressembler car il ne voulait rien savoir et ce n'était point ses affaires.
Il pensait que sa mère ne lui écrirait plus avec sa dernière lettre, mais il avait reçu la veille une beuglante de celle. Elle lui avait envoyé car Kyoshiro lui avait omis de dire qu'il avait sauvait des élèves et qu'elle l'avait apprit par une lettre de l'école et quelle se sentait indigné qu'il ne lui ai rien dit.
Il avait passé toute la mâtiné à lui écrire une réponse:

Père, Mère

Je suis désolé de vous avoir caché que j'avais "sauvé" des élèves. Mais vous me connaissez, je suis quelqu'un qui n'aime pas se faire valoir. Et de plus je n'ai "sauvé" que 3 élèves, j'en ai pas sauvé une classe entière. Et puis j'ai fait se que chaque élèves aurait fait. Je ne suis pas un héros loin de là je ne suis que votre fils Kyoshiro. Mais si j'aurais sut que ça vous choquerez que je ne vous dise pas ça, je vous l'aurais dit. Excusez moi!
Sinon merci mère pour ta beuglante, ce fut une première pour moi de me sentir le centre d'intérêt de tout mon dortoir. j'ai adoré ça mère. Je n'aurais pensé que vous réagissiez comme ceci. Je vous pardonne et je ne vous en tient vigueur chère mère.

Je vous aime mes chères parent!

Kyoshiro Alan Dalton
ps: Pouvez vous transmettre la lettre si joint à mes grand parents du japon, vous seriez trop aimable

Il avait écrit se message assez froidement, mais c'était pour faire comprendre à ses parents qu'il avait un peu exagéré avec leur beuglante .Il ignorait qu'il recevrait une réponse quelque jour plus tard avec un cadeau qu'il n'aurait imaginé. Ce message lui avait prit une partie de la matinée mais il avait passé le plus de temps à faire celle pour ses grands parents et à préparer son origami ensorcelé qu'il allé glisser dans leur enveloppe .

Il était en train de le glisser dans l'enveloppe pour ses grands parents lorsqu'il arriva à l'entré de la volière et alors qu'il y rentré sans trop regarder il percuta une autre personne. Il fut surprit par le choc et laissa tomber ses deux lettres alors qu'il faillit tomber à la renverse et il se rattrapa de justesse au mur avec sa main gauche. Il se baissa pour ramasser les affaire tomber au sol, tout en regardant la personne qu'il venait de percuter. Il ne la connaisé pas et il remarqua qu'elle était élève à serpentard grace à son écuson de sa maison et il dit:

"Pardon mademoiselle! Je ne vous avez pas vu. J'espère que vous n'avez rien de mal et je croit que ceci et ta vous!"

Il lui rendit ses affaires quelle avait fait tomber sous le choc, et...

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*Naïa fut déstabilisée par le choc mais resta fort heureusement bien plantée sur ses jambes. Se retrouver les fesses dans la fiente d'oiseaux n'avait jamais été sa tasse de thé et si cela s'était produit, elle n'aurait pas donné cher de la peau de la personne qui était la cause de sa chute. Ses affaires par contre n'eurent pas cette même chance, elles chutèrent au sol, fort heureusement vers l'entrée de la volière, les oiseaux n'allaient quasiment jamais, ce qui laissait le sol relativement propre. Mais propre ou non, ça commença à bien agacer la demoiselle qui leva un regard énervé à son agresseur. Ce dernier, puisque c'était un garçon, s'empressa de s'excuser tout en lui ramassant ses affaires. La fin de sa phrase fut une perche tendue à Naïa qui ne put s'empêcher de répliquer sèchement.*

" - De vrais limiers ces poufsouffle de nos jours. Et qu'est-ce qui t'as mis sur la voie ? Le fait que je sois la seule personne dans cette salle ou parce que ton oeil d'expert à vu mes affaires tomber quand je suis sortie ?"

*Naïa était pleinement consciente que ce n'était pas réellement de la faute du jeune homme et que cela pouvait arriver à n'importe qui de rentrer dans quelqu'un, mais malheureusement pour le jeune homme, la jeune Rosenberg avait passer une mauvaise semaine et n'était pas prête à être gentille pour qui que ce soit d'autre que ses amis dans cette école. S'ils avaient tous décidé de se liguer contre elle et de lui en faire voir de toutes les couleurs, elle n'allait pas se gêner pour leur rendre la pareille. Bien partie sur sa lancée, Naïa continua de plus belle à enfoncer le jeune homme.*

" - Et c'est quoi cette manie de me vouvoyer ? C'est pour te moquer de moi c'est ça ? C'est parce que tu sais que je n'ai pas le droit de me servir de ma baguette sous peine de forte sanction que tu me cherches ? Allez avoues le, vous êtes tous pareil, tous des lâches, faut pas vous étonner ensuite qu'on s'en prenne à vous."

*Quand Naïa Rosenberg était lancée, on ne pouvait pas l'arrêter aussi facilement et le trop plein accumulé durant cette semaine n'aidait en rien bien au contraire. Ce petit incident était la goutte d'eau qui faisait déborder le lac noir.*

" - Laisses moi deviner, c'est un guet-apens, tes amis se cachent non loin de là et attendent tes ordres pour venir me "jouer un de leur petit tour" .... "

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La jeune fille avez à peine récupérer ses affaires quelle lui répondit sèchement:

" - De vrais limiers ces poufsouffle de nos jours. Et qu'est-ce qui t'as mis sur la voie ? Le fait que je sois la seule personne dans cette salle ou parce que ton oeil d'expert à vu mes affaires tomber quand je suis sortie ?"

Kyoshiro fut surprit par ses propos d'une telle violence, alors qu'il n'avait rien fait de mal si se n'est l'avoir percuté sans le vouloir. Il voulut répondre mais elle enchaina avec une nouvelle phrase aussi froide et sèche que la première:

" - Et c'est quoi cette manie de me vouvoyer ? C'est pour te moquer de moi c'est ça ? C'est parce que tu sais que je n'ai pas le droit de me servir de ma baguette sous peine de forte sanction que tu me cherches ? Allez avoues le, vous êtes tous pareil, tous des lâches, faut pas vous étonner ensuite qu'on s'en prenne à vous."

Kyoshiro fut surprit par cette phrase, il ne chercher pas à se moquer loin de là, pour lui le vouvoiement et un signe de politesse et de respé et non un moyen de moquerie. De plus il ne savait quelle n'avait pas le droit d'utiliser sa baguette. La dernière partie de la remarque lui fit très mal, car il n'était pas lâche, il n'avait jamais attaqué quelqu'un par derrière et il disait souvent tout de face. Il séra ses point et encore une fois il ne put répondre car la jeune fille qui semblait de plus en plus énervé dit:

" - Laisses moi deviner, c'est un guet-apens, tes amis se cachent non loin de là et attendent tes ordres pour venir me "jouer un de leur petit tour" .... "

Kyoshiro respira profondément pour se calmer un peu et ce malgré le faites qu'il déteste le plus au point la violence gratuite quelle soit physique ou moral. Il répondit à la jeune fille sur le ton le plus calme qu'il put faire:

"Pardon mademoiselle, mais en aucun je ne me suis moquez de vous en vous vouvoyant. Je vouvoie toutes les personnes que je ne connais pas et c'est une marque de politesse. De plus j'ignore qui vous êtes et je ne sait pas que vous ne pouvez pas utiliser votre baguette et je ne veux pas savoir pourquoi!"

Et il ajouta sur un ton plus sec qu'il n'avait utiliser sur qui que se soit:

"De plus je ne suis pas quelqu'un de lâche, et je n'ai personne qui attend caché non loin pour vous sauter dessus loin de la. Et pour vous montrez que je ne suis pas un lâche je n'utiliserai pas ma baguette moi non plus!"

Il reprit son souffle et s'apperçu qu'il était peut êtres allé un peu loin avec cette phrase et ajouta sur un ton plus doux et gentil et avec une tête un peu peiné:

"Pardon Mademoiselle, je ne voulais pas êtres si violent! Excusez moi!"

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*Naïa s'attendait à tellement de choses qu'elle ne comprit pas sur le moment le comportement du jeune homme. Elle pensait qu'il faisait parti de ses élèves qui lui en voulaient tellement d'être différente et d'assumer entièrement sa différence sans regret qu'il fallait lui donner une bonne leçon pour lui mettre "du plomb dans le cerveau", selon une expression Moldue, méconnue de Naïa mais visiblement pas des nés Moldus. Elle s’apprêtait une nouvelle fois à être mordante et à s'attaquer à lui à main nue s'il le fallait, mais au vu de son comportement c'était inutile. Il prétendait ne pas la connaitre alors qu'elle avait été exposé aux yeux de tous pendant tout le long de son "procès". Où était-il pendant ce temps ? Comment cela se faisait-il qu'il n'avait rien entendue des échos de cette histoire ? Naïa le fixa sans ciller, n'étant absolument pas touché par ce qu'il disait ou par son ton, étant tellement habituée à bien pire que cette petite montée de colère ne représentait rien aux yeux de la vipère. Elle voulait être sûre qu'il ne lui mentait pas, qu'il ne faisait pas tout cela pour gagner du temps et laisser ses acolytes les rejoindre ou la prendre en traitre un peu plus loin quand ils se séparaient.*

" - Tu prêtant que tu ne sais pas qui je suis ? vraiment ? Mais qu'as tu fais toute cette semaine, cette histoire a pourtant fait scandale ..."

*Naïa n'en dit pas plus, s'il en savait plus qu'il ne voulait l'avouer elle le verrait sur son visage, elle le savait. Il pouvait être le meilleur bluffeur du monde, elle était quasiment sûre de pouvoir quand même déchiffrer ses tics, mimiques ou autres qui le trahiraient . Il en aurait c'était obligé, tous le monde en a et même infime, ils se manifesteraient à un moment ou à un autre. Mais visiblement le jeune homme ne mentait pas, il n'y avait aucun signe en tout cas qui le trahissaient. Qui était-il donc ? Elle avait vaguement l'impression de le connaitre, pas personnellement, cela va de soit, mais elle l'avait déjà vu, une seule fois ... C'était lors du bal, c'était lui qui avait emmené les blessés à l'infirmerie. C'était grâce à lui que les trois personnes étaient encore vivantes à cette heure-ci et sans le vouloir, il avait également sauvé Tyler & elle de plus graves sanctions, comme un petit séjour à Azkaban pour meurtre par exemple. Devrait-elle le remercier pour ça alors qu'il ne l'avait pas fait consciemment et qu'en plus si ce n'était pas lui, Naïa avait quand même pensé que les professeurs de cette école auraient été capable de le faire aussi ? Non elle s'abstiendrait, il ne savait même pas qui elle était, elle n'allait pas le mettre sur la piste, elle préférait le laisser dans l'ignorance. Pour une fois qu'une personne en la détestée par dans ce château, en dehors de ses amis, autant en profiter. Et surtout que pour une fois qu'elle n'avait pas envie de se prendre la tête avec une autre personne. Il s'excusa auprès d'elle de ses propos qu'il jugeait certainement trop violent alors qu'elle n'y avait même pas fait attention, trop préoccupée pour y prendre garde. Mais elle y répondit quand même quitte à jouer le jeu jusqu'au bout.*

" - Non ce n'est rien ce n'était qu'une réponse normale à ma propre agressivité. Pardon, j'ai passé une très mauvaise semaine et tu en fais les frais."

*Naïa se serait plutôt arrachée la langue plutôt que de s'excuser pour quelque chose. Elle n'était certes pas complétement sincère, se fichant un peu de comment pouvait se sentir le jeune homme face à ses attaques. Elle l'avait fait surtout pour calmer à son tour le jeu et reprendre une discussion plus calme, qui changerait de celles qu'elle avait en ce moment avec le reste du château. Pour une fois qu'on ne lui lançait pas de pierres autant en profiter et s'il jouait avec elle, il risquerait de toute façon par finir au fond du lac, donc c'était à lui de voir après. Elle esquissa même un petit sourire afin de le rassurer sur ses intentions.*

" - Je n'ai pas le souvenir de t'avoir déjà croisé auparavant. Quel est ton nom ? Peut être que lui me reviendra en mémoire."

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Kyoshiro écouta la réponse de la jeune serpentard qui disait:

" - Tu prêtant que tu ne sais pas qui je suis ? vraiment ? Mais qu'as tu fais toute cette semaine, cette histoire a pourtant fait scandale ..."

Il savait très bien de quoi elle parlait, il avait lui même participé à cette évènement, mais il n'avait voulut participé au reste de l'affaire, il avait juste répondu au question des professeurs en leur disant que se qu'il avait vu, c'est a dire rien du tout. Il la regarda et il lui dit:

"Je pense d'après se que vous m'avez dit, que vous avez eu avoir de loin ou de près avec se qui c'est déroulé au bal. Mais je ne veux pas en savoir plus, cela ne me regarde pas."

Il ne voulait pas savoir son implication, car ce n'était pas ses affaires et puis il vallait mieux qu'il reste en dehors de ça. Puis il l'écouta dire:

" - Non ce n'est rien ce n'était qu'une réponse normale à ma propre agressivité. Pardon, j'ai passé une très mauvaise semaine et tu en fais les frais."

Il lui fit un petit sourire et au fond de lui il se dit qu'il avait de la chance pour une fois d'êtres inconnus au bataillon et d'êtres invisible pour les autres. Il lui dit sur un ton compatissant:

"Je comprend que si tout le monde cherche à vous embêter et à vous provoquer, je comprend que dés fois vous vous laissez emporter. Je ne vous en veux pas."

Il espérer que ses propos lui fasse un peu de bien. Puis elle lui demanda:

" - Je n'ai pas le souvenir de t'avoir déjà croisé auparavant. Quel est ton nom ? Peut être que lui me reviendra en mémoire."

Il lui fit un petit sourire et il dit:

"Je me nomme Kyoshiro Alan Dalton! C'est normal que je ne vous rappelle rien je suis un invisible à l'école. et vous?"

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*Le jeune Poufsouffle venait de faire une déduction de ce que venait de lui dire Naïa. Certes elle n'était pas transcendante, mais c'était tout de même une déduction, on ne pouvait pas y cracher dessus. En effet, elle était impliquée dans ce qui s'était produit au bal et plus de près que de loin c'était une évidence. Elle n'avait même pas cherché à mentir, sachant pertinemment que ce serait inutile et que cela lui ramènerait plus d'ennuis qu'autre chose. Il ne voulait pas connaitre plus de détails et Naïa de toute façon n'avait pas eu l'intention de le lui en fournir. Ils allaient donc bien s'entendre, en tout cas sur ce point. Elle s'était fait suffisamment d'ennemis, elle n'allait pas s'en rajouter inutilement juste pour se venter.*

" - Ne t'inquiètes pas pour ça, il n'y a pas de risque que je t'en dévoile plus. Ce qu'il s'est passé fait parti du passé et je n'aime pas ressasser le passé."

*Elle aurait aimé rajouter que s'il avait eu envie d'en savoir plus, il avait qu'à s'intéresser un peu plus à ce qu'il se passait et se disait dans le château et il aurait été au courant. Mais elle s'en abstint, son but n'était pas qu'il la déteste, pas tout de suite en tout cas. Il fallait tout d'abord qu'elle en apprenne un maximum sur lui pour savoir s'il pouvait devenir un allier, un ennemi, un pion ou ... rien du tout. Elle passa rapidement sur sa réplique sur son emportement et du pourquoi, s'en fichant un peu et alla directement à son nom. Kyoshiro Alan Dalton, voila comment il se nommait, pas compliqué à retenir ... elle l'appellerait Kyo qu'il le veuille ou non. Il lui reposa la question et Naïa ne sut pas si elle allait donner son nom ou en donner un autre. Elle pouvait prétendre s'appeler Bonnie ou June .... mais la croirait-il ? Après tout, autant elle était quasiment sûre que June ne le connaissait pas, autant pour Bonnie c'était un paris risquait. Elle ne connaissait pas du tout les fréquentations de sa camarade de chambrée et s'en fichait. Et puis comment savoir s'il connaissait les réputations des jeunes filles ? Après tout elle ne savait rien sur lui. Bon visiblement il était invisible à l'école, ce qui voudrait dire que même Bonnie ne le connaissait pas, mais cela ne remettait pas en question le fait que lui la connaissait peut être. Sait-on jamais, il aurait pu tomber sous le charme de la belle rousse et il se serait forcément renseigné sur son prénom .... Dilemme.*

" - Je m'appelle ... Naïa Rosenberg et je te mentirais si je te disais que je suis invisible aux yeux de cette école. Mais effectivement je n'ai jamais entendu parlé de toi. Pourtant tu ne m'as pas l'air d'un simple premier année, loin de là ... Comment cela se fait-il qu'on ... ne se soit jamais croisé ?"

*Naïa savait qu'elle snobait les trois quart des gens dans ce château mais elle reconnaissait quand même un élève quand elle le croisait. Elle ne connaissait certes pas son nom, ni son année et bien souvent même pas sa maison, mais son visage lui était tout de même familier. Pourtant pour Kyo rien ne lui revenait, c'était comme s'il était apparu à l'instant ou qu'il l'avait évité ou que vraiment Naïa avait fait fort pour ne pas se rendre compte de son existence.*

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Kyoshiro espéra que la déduction qu'il avait faites n'allait pas replonger leur discutions dans une engueulade. Il fut soulager quand elle lui dit:

" - Ne
t'inquiètes pas pour ça, il n'y a pas de risque que je t'en dévoile
plus. Ce qu'il s'est passé fait parti du passé et je n'aime pas
ressasser le passé."

Avec cette réponse, il savait qu'ils ne reviendront peut êtres pas sur ce sujet, et quelle n'avait pas envie dans parler. Cela ne le dérangé pas, il en avait assez entendu de cette histoire et elle l'avait assez embêté et trop exposé à son gout aux yeux des autres élèves. Il fut sortit de ses pensé par la jeune serpentard qui disait:

" - Je m'appelle
... Naïa Rosenberg et je te mentirais si je te disais que je suis
invisible aux yeux de cette école. Mais effectivement je n'ai jamais
entendu parlé de toi. Pourtant tu ne m'as pas l'air d'un simple premier
année, loin de là ... Comment cela se fait-il qu'on ... ne se soit
jamais croisé ?"

Elle se nommait Naïa Rosenberg, il ne l'appellera jamais par son prénoms sauf si elle lui demande de la tutoyer. Elle lui fit une remarque sur le faite qu'il ne c'était jamais vu. Elle lui fit aussi une sorte de compliment en lui qu'il ne ressemblé pas à un première année loin de là. Il sourit à c'est propos et il lui répondit:

"Je pense mademoiselle Rosenberg, que si on sait jamais croisé, c'est peut êtres que depuis ma première année que je suis ici, j'ai apprit à me fondre dans le décor à telle point que je suis aussi invisible que si je porté une cape d'invisibilité. Bon en se moment je suis beaucoup invisible, mais bon!"

Il savait que d'êtres invisible au yeux des gens n'était pas quelque chose de bien, mais ça avez quelque avantage. Mais pas assez. Il fit une petite tête un peu triste et pour se changer les idée il posa une petite question à Naïa.

"Mademoiselle Rosenberg, si je peux me permettre, il me semblerait que vous aussi, vous n'êtes pas qu'une simple première année, non? Loin de la même encore plus que moi je dirait!"

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"Je pense mademoiselle Rosenberg, que si on sait jamais croisé, c'est peut êtres que depuis ma première année que je suis ici, j'ai apprit à me fondre dans le décor à telle point que je suis aussi invisible que si je porté une cape d'invisibilité. Bon en se moment je suis beaucoup invisible, mais bon!"

*Quel intérêt y avait-il a être invisible aux yeux des gens ? Avait-il des plans secret qui lui demandaient la plus grande discrétion. Comptait-il conquérir l'école, attendant sagement le moment idéal pour mettre en place ses plans ? Naïa divaguait certes un peu, mais après tout elle ne le connaissait pas du tout, il pouvait être n'importe qui. Il se faisait passé pour quelqu'un de bien qui vouvoie les gens par politesse alors que peut être au fond ce n'était qu'une couverture. Il était peut être un gros psychopathe en puissance qui n'attendait qu'une occasion d'enfin laisser afficher sa folie au grand jour. Naïa s'attendait à tout avec les gens, alors un de plus ou un de moins ne changeait pas grand chose. Mais vu qu'elle n'avait rien à faire dans la demi heure qui venait, elle voulait bien lui laisser le bénéfice du doute.*

" - Pourquoi vouloir volontairement devenir invisible aux yeux des gens ? Mise à part pour mettre en place des plans machiavéliques, j'ai du mal à comprendre l'intérêt. A la rigueur tu me dirais que c'est les autres qui te mettent à l'écart, je comprendrais autant là, ta raison m'échappe."

"Mademoiselle Rosenberg, si je peux me permettre, il me semblerait que vous aussi, vous n'êtes pas qu'une simple première année, non? Loin de la même encore plus que moi je dirait!"

*Elle l'écouta continuer sur le sujet et sur le fait qu'elle n'ont plus n'était pas une première année. En plus d'être invisible aux yeux des gens, il ignorait complétement les résidents de cette école. Il devenait un plus gros mystère à ses yeux car pour elle, il fallait savoir un maximum de choses sur les gens pour pouvoir se parer à toutes éventualités. Mais certes quand les gens ne savaient pas que tu existais, pourquoi se prendre la tête à apprendre à les connaitre.*

" - Loin de là même ? ... pourquoi, en quelle année crois tu que je suis ?"

*Voila une bonne question, quel âge pensait-il qu'elle avait ? On s'étonnait souvent de découvrir son véritable âge ou son année, c'était assez amusant, surtout quand les personnes en questions étaient des jeunes hommes qu'elle avait attrapé dans ses filets. Une vraie sirène cette Naïade.*

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Kyoshiro écouta la Naïa Rosenberg lui faire la remarque suivante :

"
- Pourquoi vouloir volontairement devenir invisible aux yeux des gens ?
Mise à part pour mettre en place des plans machiavéliques, j'ai du mal à
comprendre l'intérêt. A la rigueur tu me dirais que c'est les autres
qui te mettent à l'écart, je comprendrais autant là, ta raison
m'échappe."

Cette remarque
était perspicace est plein de vérité, même si la première partie était
fausse. Mais pendant quelque court instant il s’imagina comme un mauvais
garçon arpentant les couloirs la nuit à la recherche de victime
innocente. Cette pensée le fit sourire légèrement et il répondit à la
jeune fille sur un ton légèrement amusé :

«
Non je ne suis pas comme ça mademoiselle Rosenberg, même si cela me
permet quand même de disparaitre de mon dortoir assez facilement, et de
pouvoir me promener dans les couloirs ou dans le parc de nuit sans qu’on
le sache ! »

Puis il ajouta sur un ton plus grave :

«
Je ne suis devenu invisible volontairement, c’est juste que je suis
quelqu’un de très timide qui a beaucoup de mal à se lier d’amitié avec
qui que ce soit, et cela a fait que je suis devenue un élément du
décor. Mais je me soigne ! »

Il
avait prononcé la fin de cette phrase avec un peu plus de légèreté, car
depuis le début de cette année il avait décidé d’améliorer sa
situation.
La jeune serpendard lui répondit au faite qu’elle n’était pas une simple première année par :

" - Loin de là même ? ... pourquoi, en quelle année crois-tu que je suis ?"

Kyoshiro ne s’attendait pas à que Naïa lui réponde par une autres
question. Il devait maintenant deviner en quelle année elle était. Il réfléchit
et en déduis quelle était surement pas dans les quatre premières années. Vu
qu’il ne l’avait jamais vu dans les cours commun des sixièmes années, il en
déduit qu’elle n’en faisait pas partit. Il ne lui restait que deux choix
possible soit la cinquième année ou la septième. Il ne savait pas comment
trouver la réponse et ayant peur que Naïa s’impatiente, il tenta une manœuvre
pour gagner du temps, il allait dire à haute voix tu le cheminement qu’il avait
fait jusque-là pour trouver son année. Et il dit :

« Vous n’êtes surement pas dans les quatre premières années, vu votre heu…

Kyoshiro rougit légèrement et il se reprit :

Pardon mademoiselle
Rosenberg. Vous n’êtes n’ont plus dans la sixième, car je ne vous ai
jamais vu dans les cours commun des sixièmes années. Donc il me reste
que deux choix et là c'est plus dur, donc je vais dire que… »

Il marqua une courte pause le temps de décider de sa réponse et n’ayant pas avancé d’un
iota il décida d’y aller au hasard et il dit :

«Je vais tenter la jeunesse ! Je pense que vous êtes en cinquième année ! »

Il la regarde et croyant cette trompé il ajouta :

« J’ai faux, mademoiselle Rosenberg, non ? »

[hrp: pardon pour le soucis de mise en page, mais si je tente de l'arranger je perd une partie de mon texte désolé]

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*Les "mademoiselles Rosenberg" & les "vous" constants commençaient un peu à lui taper sur le système. Après tout on pouvait être poli et courtois sans pour autant s'acharner à vouvoyer les gens, surtout quand ils étaient plus jeune que vous. Que Kyo soit timide, Naïa voulait bien l'accepter, mais il y avait des limites à la timidité et là ça tournait plus au ridicule qu'autre chose. Mais puisqu'il venait de reprendre la parole autant lui laisser le plaisir de finir avant d'en parler pour mettre les choses au clair tout de suite. Devenir un objet du décor, voilà ce qu'il représentait pour les autres élèves, c'était d'une tristesse déconcertante. Comment pouvait-il laisser faire ça ? Même en étant timide, il devait bien avoir de l'amour propre non ? Parce que là si c'était le cas, le sien servait de paillasson depuis bien longtemps, peut être un peu trop au goût de la jeune Rosenberg. Naïa garda tout de même le silence & attendit qu'il termine vraiment à répondre à toutes ses questions, histoire qu'ils ne se coupent pas mutuellement la parole. Après une longue tirade remplie d'hésitation il finit par lui dire qu'elle était peut être en cinquième année, ce qui était tout à fait vrai, mais une chose dans ce qu'il venait de lui dire l'interpela.*

" - Qu'as tu voulu dire quand tu disais que je ne devais pas être dans les quatre premières année vu mon ... ??? Vu mon quoi ?"

*Naïa aimait bien les phrases qui se terminait par un point et non par une multitude de possibilités, même si elle même le faisait de temps en temps. Bon par quoi allait-elle commencer ? La politesse et les vouvoiement était peut être ce qui était le plus urgent, alors autant commencer par ça.*

" - Que tu sois poli & timide est une chose, mais que tu me colles des "Mademoiselle Rosenberg" et des "vous" sur le dos commence un peu à me courir sur les écailles. Je m'appelle Naïa, mes parents ne m'ont pas donner ce prénom juste pour faire joli, mais bien pour l'utiliser alors n'hésites pas, il ne s'usera pas t'inquiètes pas pour ça il n'y a aucun risque."

*Une légère pointe d’agacement transparaissait dans sa voix mais elle disparue assez rapidement, les choses étaient dites, c'était clair maintenant, s'il était un temps soit peu intelligent, il suivrait son conseil. Des bruits de pas se firent entendre dans les escaliers, en temps normal n'importe qui n'y prit pas garde sauf Naïa qui était toujours sur ses gardes et encore plus en ce moment. La jeune demoiselle fixa les personnes qui venaient à leur rencontre puis fixa un bref instant Kyoshiro & la porte derrière lui.*

" - Et oui je suis en cinquième année, la jeunesse a remporté cette victoire ... Par contre si ça ne te déranges pas je crois que l'on sera plus en sécurité dans la volière qu'ici ... Les personnes qui arrivent ne font pas partis de mes amis, tu devrais peut être mieux t'en aller maintenant pendant que tu peux. C'est d'ailleurs un conseil que je te donne, va-t-en !"

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Kyoshiro espérer ne pas être trompé dans son estimation de son âge, même si, il n’y croyait pas trop. Naïa le regarda et lui demanda ce qu’il avait voulu dire avec la phrase qu’il n’avait pas réussi à finir. Cette question lui fit monter le rouge aux joues légèrement et il se dit :

[Merde ! Comment je vais pouvoir lui dire que j’ai fait cette déduction par rapport à son physique, sans quelle pense que j’en ai profité pour la reluquer !]

Il n’eut pas le temps de répondre, quelle lui dit aussi d’arrêter de la vouvoyer, et de l’appeler par son prénom. Sa manière de le lui demandé fit sourire légèrement Kyoshiro, mais il retient du mieux qu’il put, car elle avait dit cette phrase avec une légère pointe d’agacement dans sa voix. Puis elle reprit d’une voie calme, en lui disant qu’il avait raison, et quelle était bien en cinquième année. Ainsi il avait raison, il avait eu de la chance. Mais elle ajouta qu’il devrait rentrer dans la volière car les élèves qui étaient en train de montrer, semblaient être venus pour en découdre avec elle. Et elle lui proposa même de la laisser seule contre eux.
Kyoshiro la regarda dans les yeux et lui dit :

« Je ne vous, pardon ! Je ne te laisserais pas ! Désolé, mais je déteste les gens comme ça ! »

Il entra dans la volière et ferma la porte. Puis il se retourna vers elle et il lui répondit à ses question tout en sortant sa baguette et en tentant de cacher encore le rougissement qu’il subissait :

« Sinon pour ma phrase que je n’ai point fini. Je voulais dire que je savais que tu ne pouvais pas être dans les quatre premières années, grâce à ta beauté qui a failli me tromper ! »

Il fit sauter légèrement sa baguette dans sa main droite et la saisit par la pointe et la tendit à Naïa et lui dit :

« Prend la ! Vu que ta pas le droit d’utiliser la tienne ! Et ne t’inquiète pas pour moi ! »

Kyoshiro détestait à avoir recours à la violence, mais il ne pouvait pas laisser Naïa seul face à un groupe d’élève vengeur. Même si il se douter bien quelle ne devaitt pas être innocente, il ne pouvait accepter que l’on attaque quelqu’un à plusieurs sans lui laisser une seule chance de se défendre. Et puis même, il allait enfin pouvoir mettre en pratique ses 10 ans d’arts martiaux.
Quand la porte s’ouvrit il se mit entre Naïa et le groupe d’élèves en espérant pouvoir régler le problème sans aucune violence. Il examina rapidement le groupe d’élèves qui était au nombre de cinq. Il y avait deux filles, dont une qui était de sa maison et les autres était des serdaigles et des gryffondors. Il s’approcha est dit d’une voix peut assurer :

« Bonjour, vous venez pour quoi ? »

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*Le groupe de jeunes hommes que Naïa avait vu dans les escaliers était quasiment arrivé vers la porte. C'était la dernière chance de Kyo de s'en aller sans prendre part à toute cette histoire, une fois que la porte serait ouverte, il n'aurait plus aucune chance de sortir, quoi que ? Après tout, il était plus ou moins l'un des leurs, ils n'en voulaient qu'à Naïa, ils arriveraient peut être à l'embrigader avec eux pour blesser Naïa. Cette dernière se tenait prête à tout, rien ne pourrait vraiment la blesser, enfin physiquement ils pouvaient lui faire une misère si, mais moralement elle était blinder, un jour elle aurait sa vengeance et ce jour là c'est elle qui rigolerait en ce souvenant de ce jour. Sauf que les choses ne se déroulèrent pas comme elle s'y attendait. Kyo décida de rester à ses côtés & était prêt à la défendre en cas de besoin. Tout en lui tendant sa propre baguette, sachant qu'elle ne pourrait pas utiliser la sienne, il lui répondit à sa question, chose qu'elle avait un peu oublié avec toute cette histoire.*

" - Heu ... merci !"

*Cette réponse vague & hésitante valait pour les deux sujets, autant la baguette que sa réponse à sa question. Le groupe de jeune hommes pénétra ensuite dans la volière & Naïa toujours un peu étonné, les fixa, tout en chassant toute cette histoire de son esprit. Kyo les salua une fois qu'ils étaient tous là, donc cinq au total, un peu plus du double d'eux, & il leur demanda ce qu'il venait faire ici. Un des jeunes hommes, certainement la tête pensante de cette escouade s'avança pour répondre.*

" - C'est elle qu'on veut, toi tu peux t'en aller l'ami !"

" - Le contraire m'aurait étonné. Alors il faut cinq illettrés pour me faire ma fête ? C'est bien trop d'honneur, vous m'en voyez flattée !"

*Certes Naïa aurait peut être du s'abstenir de tout commentaire, qui avait plus tendance à les énerver qu'à les apaiser, mais elle était comme ça, c'était dans sa nature. Le choc était passé, la voilà pleinement redevenue elle même, tel que l'art & la nature l'avaient façonné. Avec ou sans la baguette de Kyo, ni même sa présence, elle aurait agit ainsi, elle les mettrait plus bas que terre, même en sang, rien ne lui faisait peur dans ce genre de situation, le plus important c'était de garder la tête haute & sa dignité.*

" - Toujours le mot pour rire Rosenberg à ce que je vois. Tu riras moins tout à l'heure ... et abaissa ta baguette, tu ne peux rien nous faire avec, on est tous au courant !"

*Naïa le regarda un instant, abaissa sa baguette en même temps que la tête, avant de la relever brusquement, sourire en coin, tout en pointant le membre qui était le plus près d'elle.*

Expelliarmus

*La stupeur se lisait sur les visages de ses assaillants, ce qui fit encore plus sourire Naïa qui était vraiment amusée de cette situation.*

" - Sauf que ce n'est pas la mienne .... l'ami !"

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