![Rendez-vous aux crépuscules. [Edward] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  (#) Sujet: Rendez-vous aux crépuscules. [Edward] Jeu 17 Oct - 7:20 | |
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Mélusine, Merlin sait combien elle déteste son humble prénom. Mélusine… Prénom de la famille, sa mère le lui avait également transmit car il représentait l’histoire d’une fée. Plus particulièrement, d’une fée qui par une malédiction lancé par sa mère, se retrouvait le corps transformer en queue de serpent tous les samedis. Puis que lorsqu’un malheur touchait un « Lord » elle apparaissait criant un affreux crie. Les moldus transformer cela en légende… bien à eux de se cacher de la vérité. En quelques sens, cela pouvait être charmant pour une verte et argent d’avoir pour homonyme celui d’une femme serpent… Pourtant, la verte et argent avait vite trahit son nom pour se faire nommer Paige. Un prénom sans grande histoire, mais qui va bien avec le caractère, les Paige son dite orgueilleuse, dirigeante, sensible à son image, prétentieuse et qui ne prend pas l’échec.
Était-ce pour cela qu’elle ne voulait pas vraiment affirmer sa relation avec le jeune homme qu’elle allait rejoindre ? Une peur de l’échec? Car il était vrai que de perdre face dans une relation amoureuse était situation fréquente dans cette école et loin d’elle l’idée de vouloir se ridiculisé ainsi devant tous ses pairs. Pourtant, elle et Edward devait représenter un couple parfaitement Arien. Les deux avaient un sang permissible et de bonne valeur transmît par un bon nom. Certe, Paige n’avait jamais vraiment prit pour cette histoire de sang, mais n’était-ce pas pour cela que Ryan tentait de la remettre sur les bonnes voies ? Ne serait-il pas fière pour eux? La blonde se le demandait… Pourtant, malgré le temps qu’ils se fréquentaient, les deux n’avaient jamais vraiment officialisé la relation. Une relation qui avait commencé d’un rien. Il était plus jeune qu’elle, pourtant la salle commune étant petite, ils s’étaient vite trouvés. Les deux se trouvant d’un physique plaisant avait commencé les belles phrases.
Les idées ailleurs, c’est ainsi qu’elle rejoint la salle où elle avait écrit au jeune homme de la rejoindre. Elle lui avait écrit une lettre le matin même afin de le retrouvé dans cette salle. Elle avait toujours préférer rejoindre le bellâtre dans une telle place ou ils se retrouvaient en toute intimité, pas comme lorsqu’ils étaient dans leur salle commune. Sans oublier qu’ils étaient un couple bien peu ouvert devant les autres. Voilà pourquoi la blonde trouvait toujours des endroits éloignés pour être avec la charmant vert et argent qui, avec le temps, l’avait conquise. Les deux avait longtemps était au simple stade de beaux parleurs et du chat et la souri. Les deux flirtait et parfois plus, mais n’était jamais allé dans le romantisme, puis un jour s’était arrivé sans vraiment le vouloir. La pression d’une telle relation était bien dure pour la blonde. Jamais les deux n’avait établi les limites que leurs relation imposait et pourtant, la blonde était une demoiselle bien jalouse.
Avant de se rendre à la salle, la blonde avait pris le temps de retoucher tout son maquillage. Elle tentait toujours d’être charmante pour le jeune Casanova que son cœur avait élu. Elle ne portait plus ses vêtements de classe depuis un bon moment. Dès que son cours avait pris fin, elle avait couru se changer. Elle portait désormais une chemise de soie verte émeraude, telle leur fière maison, cela avec un tout de même bon col en v, pour savoir tenir l’attention du brun. Avec cela un pantalon de jeans blanc et finalement des pichous noir. Ses cheveux, eux, se promenait librement se ses épaules trouvait que les tenir attacher ne serait pas confortable. Puis, elle avait bien décidé de s’y rendre ainsi. Elle avait bien sûr mise une goutte de parfum. Autant elle avait mis du temps à se préparer qu’elle se disait que son amant aurait surement mis moins d’effort à son arriver, bien que le charmeur la surprenait souvent.
Arriver dans la salle, elle poussa la porte. Il faisait sombre, mais par chance il n’y avait pas trop de poussière. Elle sortit sa baguette de sa ceinture et ouvrit les bougies qui ornaient la place. Il semblait en avoir vraiment partout, mais se serait pratique d’avoir autant de chandelle lorsque le soir d’automne ferait son apparition aux fenêtres de la salle. Donc, une fois les bougies allumées voilà que désormais elle voyait quelque chose. Son jules n’était toujours pas arrivé, quoi que étonnait puisqu’elle m’était pourtant pas très ponctuel, elle prit place à ce qui semblait être un ancien bureau de classe. Assise sur son nouveau trône elle inspectait les lieux du regard lors que la porte grinça à nouveau. Son sourire s’anima bien rapidement sur ses lèvres, animant les pommettes qui ornaient ses joues. Elle lança immédiatement, d’une voie qu’elle voulait charmeuse mais également maline…
-« J’ai fallit attendre. »
Puis tourna le regard vers le garçon qu’elle attendait.
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