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Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE.
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Message(#) Sujet: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptyDim 6 Oct - 22:30

Déjà un premier mois venait de passer à Poudlard et tout - ou presque avait fini par reprendre son cours normal. De ci ou de là il y avait quand même des changements dont certains n'étaient pas négligeables, bien qu'il essayait de se montrer stoïque, Faust était tout de même assez fier de lui, il avait ainsi pût berner le nouveau directeur, finalement ça n'avait pas été la tâche la plus compliqué qu'il soit, c'était plutôt de s'occuper des trois autres membres de la brigade du directeur. Les Serpentards seraient sa tâche la plus compliqué, l'un était en même année, il le connaissait un peu mais assez pour pouvoir affirmer qu'il n'était pas un Pro-Sang Pur ? De toute façon quoiqu'il venait à dire, sans preuves il ne pourrait rien contre lui, mais ce n'était pas pour autant qu'il ne devait pas avoir un oeil sur lui, tout comme avec le préfet des Verts & Argents, l'ex de sa meilleure amie Amara, il en savait assez pour savoir qu'il serait sans doute un bel obstacle à sa mission secrète mais la difficulté ne faisait pas peur au jeune Churchill. Depuis environ une semaine il avait appris sa nomination au côté d'un collège de Serdaigle et de deux autres serpents, il avait appris son nouveau rôle, ses nouveaux pouvoirs, voilà qu'il allait faire de la concurrence à ses amis, rien de très plaisant mais pour convaincre le directeur qui avait été très clair dans son message, il n'avait pas le choix, fallait jouer le jeu au possible au risque d'en payer le prix. Ce rôle allait lui valoir des méprises, lui qui avait du succès depuis le début de l'année et bien ça n'aurait été que pour un court moment, à moins que les filles raffolent des bad boys ? Comportement peu surprenant mais bon, enlever des points pour se faire plus admirer par ces petites gazelles n'avait rien d'une attitude et d'une réaction normale de leur part, il aurait intérêt de faire très attention à ce qu'il allait faire. Mais bon, il se donnerait à fond, comme il l'avait promis à ses parents. D'ailleurs, en parlant d'eux, il avait terminer sa lettre pour eux dans la semaine mais il avait attendu le week-end pour ne pas paraître et attirer les soupçons, il devenait déjà paranoïaque, ce n'était pas un bon début mais une fois que ses marques seraient prises il se révélerait plus efficace, en plus il avait la chance de ne pas avoir de bâtons dans les roues, il avait très tôt mis au courant ses amis de sa candidature pour la brigade et il leur avait bien entendu expliquer ses motivations même si il n'avait pas tout révélé comme le demandait l'ordre de ses parents. Enfin, la seule personne qui avait surtout le plus mal réagit c'était Arabella, sa soeur avait affirmé détestait Blackman et n'approuvait pas le comportement de son frère, bien qu'il s'attendait à ce genre de réaction il aurait préférait que sa soeur ne lui fasse pas une scène à la sortie d'un cours, c'était très embarrasant pour lui et surtout pour son rôle, en fait il aurait tout simplement bien aimé que sa soeur soit au courant mais le choix des parents Churchill était tout à fait compréhensible et il n'avait rien à dire, suivant à la lettre les instructions qui lui avait été donner.

Arriver près des tours, Faust fût tenter d'utiliser son nouveau pouvoir pour punir deux Serpentards de son années qui se bécotaient juste devant les escaliers menant à la Volière, il était encore un peu en colère que le porte parole soit un de ses serpents mais si il commençait par attaquer cette maison ça ne ferrait pas une très bonne affaire, aussi cela fausserait-il ses dires qu'il avait écrit sur son parchemin. Il se contenta donc de hausser la voix et d'agiter inutilement sa baguette pour faire signe aux deux autres de dégager, c'est ce qu'ils firent bruyamment, une bêtise qui donna encore plus l'idée à l'aiglon d'enlever quelques points. Il se retint, maintenant son calme dont il faisait preuve dans la plupart des cas - c'était la généralité, puis il pris la voie des escaliers un peu sombre. Une voix familière le fit accélérer le pas et il débarqua tout en haut un peu essoufflé de ce sprint soudain. Le passage de l'obscurité à la lumière le fit cligner des yeux, ce qui eût pour effet de lui faire perdre l'effet de surprise avec la jeune fille dont il avait reconnût la voix un peu plus tôt. Les évènements de l'été plus ceux depuis la rentrée avait fait qu'après la scène de la semaine dernière, Arabella redoublait d'effort pour échapper à son grand frère, et l'ayant repérer, elle lâcha sa chouette en vitesse pour la laisser s'envoler avec un parchemin noué à la patte puis se dépêcha de partir. Faust, pas décider à laisser une telle occasion pour discuter avec sa cadette tenta de la retenir mais il n'attrapa sa main que lorsqu'elle avait atteint les escaliers et elle se débattait tellement qu'il avait peur qu'elle ne les entraîne tous les deux dans une chute. « Arabella ! Je t'en prie, je sais que tu ne comprends pas mes agissements mais laisse moi donc le bénéfice du doute quand je te dis que je sais ce que je fais ! » La jeune fille n'en avait que faire, elle ne voulait pas se calmer, les chouettes et hiboux pointaient leurs regards perçants vers eux, c'était déstabilisant et c'est ce qui permit à la cadette des enfants Churchill de se détourner de la prise de son frère et de fuir, le jeune homme n'allait pas s'amuser à la poursuivre dans les escaliers et attirait l'attention en bas, de toute façon ce n'était pas un des meilleurs lieux pour des explications comme il avait à donner. Il se consolait avec des excuses comme celle-ci mais il regrettait de ne pas avoir la compréhension de sa soeur qui serait pour lui essentiel, il aimerait qu'elle puisse jouer un appui mais d'un autre côté il ne la sentait pas prête pour ça, il la considérait encore comme une petite chose fragile, c'était peut-être la raison pour laquelle elle lui fuyait entre les doigts, ça n'était pas la seule personne qui semblait lui échapper, le Serdaigle perdait le contrôle de petites choses qui au fur et à mesure devenait insupportable. Sa relation déjà instable avec Euphrasia allait vers un avenir un peu plus incertain, il avait voulût arranger les choses mais au final avait-il vraiment réussi ? Il s'intéresser enfin aux filles mais pas à celle qui lui courait après, plutôt une autre mais qui au final était peut-être qu'entrain de se jouer de lui. Tant de situations qu'un garçon comme lui ne supportait pas ne pas contrôler.

Pas la peine de s'énerver maintenant, déjà les "oiseaux" étaient tendus par la petite altercation entre les deux enfants Churchill, alors ce n'était pas le moment d'en rajouter en se rendant nerveux tout seul. Il serra les points, pris une grande respiration puis se dirigea vers Strixya, sa chouette lapone dont il était très proche puisque ses parents le lui avait offert alors qu'elle était très jeune, ce qu'il faisait qu'elle était très attachée à son propriétaire, d'ailleurs elle était très gourmande en matière de caresses, le jeune homme savait qu'il n'avait pas à faire l'avare si il voulait que sa chouette soit satisfaite et fasse son travail de bonne humeur. Il passa donc sa main dans les plumes de l'oiseau, c'était parti pour plusieurs minutes de caresses mais cela en valait la peine, elle se dépêcherait ainsi de rejoindre la petite maison de Londres ou lui et sa soeur résidaient en dehors de Poudlard, Faust avait besoin d'une réponse de ses parents pour qu'ils puissent le guider, lui donner leurs impressions et surtout des conseils pour le comportement à adopter face à la suite des évènements qui se préparaient, il était un jeune homme fier mais pour ce genre de chose il ne fallait pas jouer au plus idiot, respecter les indications était signe de réussite, plus que de se laisser aller à avancer dans le noir, complètement au hasard.


Dernière édition par Faust J. Churchill le Mer 13 Nov - 11:27, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptySam 12 Oct - 14:50

Aujourd’hui, Judith avait envie d’écrire à sa famille. Cela faisait déjà un long mois qu’elle était revenue à l’école d‘étudiants en sorcellerie, Poudlard. En un mois c’était passé le premier entraînement de Quidditch, les cours, la rentrée, le nouveau directeur et plein d’autres choses. Il fallait qu’elle envoie sa lettre, et pour ça, elle allait retrouver Julieta, sa superbe chouette blanche. Son parchemin à la main, elle sortit du dortoir où elle était auparavant. Sitôt sortie du dortoir des filles, une gamine d’à peine 12 ans rentra dans Judith.

« Non mais ça va pas ?! Tu sais pas regarder devant toi, je suppose ?! » Cria Judith, énervée, en gesticulant. « Va-t’en, gamine, et que je ne te revois pas de si tôt. »

La petite rougit et tête basse, elle poursuivit son chemin en courant, puis la gamine lança un dernier regard paniqué à Judith, qui pensa qu’elle avait peut-être été trop brusque avec l’enfant, mais cette pensée sortit vite de sa tête, car elle venait d’apercevoir un garçon de première année rigoler avec une fille de troisième année. La jeune fille fut prise d'envie de les frapper. En effet, son meilleur ami à elle n'est pas retourné à Poudlard. La dernière fois qu'elle la vu, c'était cet été, au Chaudron Baveur. Depuis la disparition soudaine de Tom, Judith est triste et énervée quand elle voit deux meilleurs amis rigoler, comme elle le faisait autrefois avec son ami disparu.
La poursuiveuse de l’équipe des Gryffondor se mit en marche vers la Volière. Sa salle commune étant près des tours, son voyage ne lui prit guère de temps, elle arriva aux Tours rapidement. Elle passa près de la salle où se déroulait les cours de Divination et ceux d’Astronomie. Judith avait toujours pensé que ces deux matières ne servait strictement à rien. La DCFM était bien plus utile.

    Elle franchit assez rapidement les premières marches de l’escalier menant à la volière, guidée par deux voix, l’une de jeune homme et l’autre de petite fille. Celle du jeune homme lui était familière. Elle se hâta de monter les nombreuses autres marches, sa baguette tenue fermement dans sa main droite, au cas où elle se faisait attaquée, et arrivée au milieu des marches, elle vit un grand jeune homme tenant par le bras une petite qui se débattait.  La gamine fuit le jeune homme, et bouscula Judith. Elle reçu un choc à l’épaule, qu’elle se tenait de sa main libre, en fermant les yeux. Lorsqu’elle les rouvrit, le jeune homme avait disparu. D’une main elle tenait son épaule, de l’autre sa baguette, elle se dépêcha de franchir la porte de la Volière, si jamais le jeune homme y était. L’aînée des Bourg s’avança, et elle vit l’homme. Judith força sur ses yeux pour tenter de le reconnaître, mais il était à l’autre bout de la grande salle. Lorsqu’elle le reconnut enfin, un cri s’échappa de sa bouche.

« Faust ? C'est toi ? »

Si ce n’était pas lui, Judith aurait honte. Elle s’approcha de plus en plus, essayant de voir plus clairement son visage. Il tenait à la main une chouette que Judith connaissait bien, sachant qu’elle l’avait accueillit chez elle, lors de sa correspondance avec le jeune homme. Ce dernier, alerté par le bruit que faisait la Gryffondor, se tourna. Judith vit son blason brodé sur sa poitrine musclée, où était marqué l’emblème de la maison de Rowena Serdaigle.

« Faust… ? »

Judith tourna son regard vers la multitude d’oiseaux, chouettes et hiboux que contenait cette salle. Elle siffla pour appeler Julieta, sa magnifique chouette. Celle-ci était en train de voler autour de la salle ronde, et répondant au signal de sa maîtresse, elle atterrit en douceur sur le bras de Judith. Cette dernière embrassa son animal sur le front, puis reporta son regard sur l’aiglon. Son épaule ne lui faisait presque plus mal, en présence de sa chouette.
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptySam 12 Oct - 17:00

Les pensées du jeune homme le ramenèrent d'abord au jour ou il avait été pour la première fois de ce changement spécial dont il devrait se méfier, les paroles de ses parents s'inscrivant dans sa mémoire comme une mission capitale dont il était chargé, il s'en faisait trop sûrement mais ça devenait une obsession. A un point que l'aiglon ne s'aperçut pas de l'arrivée d'une élève à l'uniforme aux teintes Rouge & Or, il n'entendit même pas la jeune fille qui le questionna car ses pensées vagabondèrent vers une autre époque, celle de ses jeunes années, à un temps ou il n'était même pas encore un élève de Poudlard. Pourquoi se perdait-il comme ça dans les souvenirs ? La nostalgie avait-elle envie de s'insinuer en lui pour tenter de lui dire quelque chose ? Il n'eût pas le loisir de voir ce qu'elle voulait lui faire comprendre car Strixya, sa jolie chouette se décida à enfin réveillé son maître qui n'avait pas vu la Gryffondor s'approchait de lui pour lui parler. Réagissant à peine au claquement de bec de sa chouette, Faust tourna lentement la tête vers celle qui l'appellait sans pour autant vraiment comprendre à qui il avait à faire.

« Faust... ? » La voix de la jolie blonde atteignit enfin les oreilles du jeune homme, dans un sursaut il se redressa, abandonnant au passage les caresses qu'il donnait à sa chouette - celle-ci protesta mais il n'entendit rien. La jeune Bourg venait d'interrompre les pensées de Faust mais il aurait plus tendance à lui en être reconnaissant plutôt que de lui en vouloir, il n'aurait pas apprécié de rester plus longtemps là, à rêvasser comme un idiot, alors que quiconque pouvait venir et s'en prendre à lui sans qu'il puisse voir le moindre mouvement venir. Se ressaisisant en voyant la mine de la blonde qui semblait s'interroger, l'aiglon retrouva rapidement son humeur habituelle et d'un ton amusé il répondit à la gryfonne. « A moins que l'on m'est piqué un cheveu dans un moment ou j'étais innatentif et que l'on s'est ensuite servi de cet élément provenant de mon corps pour préparer un polynectar, je ne crois pas qu'il y est un autre Faust Churchill dans l'enceinte de ce château. » Il laissa suivre sa réplique d'un petit rire taquin puis regarda la jolie blonde qui avait engagé une correspondance avec lui durant l'été. Certes elle était belle mais il ne l'avait jamais vraiment remarqué même si ce n'est pas ce qu'il avait marqué dans sa lettre lorsqu'il lui avait répondu la première fois, elle avait dit qu'il était était son genre, elle n'était soit disant pas amoureuse de lui, mais il avait plutôt l'impression que ce qu'elle avait dit n'était dût qu'a sa réponse qui lui avait peut-être fait un peu ou autre chose comme ça, seul Merlin savait quoi au juste. Mais ce qui était pourtant évident pour Faust c'est qu'elle avait forcément très envie de s'afficher avec lui, réel sentiments ou non, son comportement le lui avait bien prouvé mais lui ne partageait pas le même avis, il s'était récemment mis en tête de réussir à faire en sorte qu'une vipère accepte enfin de se montrer avec lui mais miss Willow semblait être réticente. D'ailleurs n'était-elle pas cette demoiselle qui s'amusait à flirter un peu partout ? A trop vouloir jouer elle agaçait un peu le Serdaigle qui ne désespérait pas, c'était un bon parti cette fille, amusante aussi, une mise en scène parfaite qui satisferait son égo et sa couverture mais elle était loin d'être docile et jouer ainsi avec lui, cela devenait juste très agaçant à la fin, la Serpentarde n'était pas la seule à pouvoir aller voir n'importe qui pour se divertir et si elle avait du mal à comprendre les messages de plus en plus insistant de Faust, c'est lui qui allait prendre les devants, Freyja ne serait plus seule à s'amuser. Et pourquoi ne passerait-il donc pas à la vitesse supérieur dans ses messages en se servant de la belle blonde en face de lui ? Une possibilité à ne pas oublier, la lionne était très jolie bien que assez différente de la fille de la maison des Verts & Argents mais au moins il pourrait rendre jolie la brune, voir qu'elle se faisait remplacer par une née-moldue ne serait sûrement pas dans ses goûts car si Faust se fichait pas mal de l'ascendance de ses fréquentations, la vipère, elle, détestait ces sorciers qui selon elle n'avait rien à faire à Poudlard. De quoi bien énervée et conduire peut-être à un retournement de situation.

Loin de lui déplaire, cette idée lui semblait très bien, il prévoyait même d'inviter la belle blonde au bal d'Hallowëen, Freyja le verrait donc en compagnie, de quoi bien mettre en place son petit jeu et les deux filles n'y verraient que du feu. Jouer ainsi ne lui faisait pas peur mais rien n'était encore jouer d'avance, et pour cela il n'avait qu'a dire quelques belles paroles et dit-ci peut-être la fin de cette entrevue il aurait une future cavalière pour le bal. Un sourire s'afficha sur ses lèvres et heureusement que la Bourg ne pouvait deviner le motif exacte de ce signe, lui se faisait un plaisir de la conduire en erreur. « A présent je me rends compte que nous n'avions pas eût l'occasion de rediscuter suite à la fête au Chaudron Baveur, ta rentrée c'est bien passé ? » Le caractère de Judith n'était pas difficile à cerner même si il n'avait vraiment parlé avec elle que le temps d'une soirée, quelques mots gentils, des sourires, il ne lui fallait pas grand chose, elle était assez naïve dans le fond et Faust en aurait presque ressenti de la pitié pour elle, si faible mentalement... « Tu arrives à bien suivre les cours ? Sinon tu sais que je suis la pour t'aider. » Continuant dans sa lancée du jeune garçon à l'écoute et attentionné, une part de son attitude n'était pas que du bluff, seulement il n'aurait peut-être pas réagi exactement de la même manière si une idée ne se cachait pas derrière tout ça mais tant que la blonde ne captait rien, ce n'était pas si grave, un dernier sourire pour accompagner le tout et très bientôt Faust ne serait plus le vilain petit canard du trio qu'il composait avec Alekseï et Erwan.
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptyMar 29 Oct - 17:02

« A moins que l'on m'est piqué un cheveu dans un moment ou j'étais innatentif et que l'on s'est ensuite servi de cet élément provenant de mon corps pour préparer un polynectar, je ne crois pas qu'il y est un autre Faust Churchill dans l'enceinte de ce château.»

Judith ne put s'empêcher de sourire. Elle reconnaissait bien Faust, celui à qui elle a dit qu'il lui plaisait, le bel aiglon brun avait un humour bien à lui, que Judith appréciait vraiment.

« A présent je me rends compte que nous n'avions pas eût l'occasion de rediscuter suite à la fête au Chaudron Baveur, ta rentrée c'est bien passé ? »

Depuis cet été, Judith était un peu distante avec Faust, depuis sa correspondance avec son amie Eleonore. En effet, cette jeune fille n'apprécie pas Faust, pour la raison suivante : Il aurait intégré la Brigade Surveillée du Professeur Blackman - soit le directeur. Cette association souhaite "éliminer" les nés-moldus, ou bien les remettre à leur place, soit, pour eux, la place la plus dégradante des sorciers. Selon les mots de la jeune Gryffondor,  ce sont des "racailles qui traînent dans cette organisation sont reconnus pour être relié à la magie noire et la discrimination des nés-moldus..."
La rentrée de Judith c'était bien passé, si on oublie le nouveau directeur, les rumeurs et tout le blabla. A propos du nouveau directeur, Eleonore disait-elle vrai à propos de Faust & des nés-moldus ? Faust avait il des préjugés sur eux ? Elle n'osait pas en parler maintenant, de peur de le vexer. Judith n'avait pas de cavalier pour le bal d'Halloween, et pour sa réputation, elle devait en trouver un, rapidement. Elle en a souvent réfléchi, et elle ce dit qu'il faut qu'elle en trouve un, rapidement. Devant elle se tenait le cavalier idéal, encore fallait-il qu'il n'en ai pas.

« Effectivement, nous ne nous sommes pas revus depuis cet été. Ma rentrée c'est bien passée, en revanche l'arrivée du nouveau directeur ne me met pas à l'aise, du tout... »

Sa dernière phrase allait-elle toucher Faust ? Car selon les rumeurs, ce dernier aurait introduit l'armée du directeur, qui, apparemment, n'apprécie pas vraiment les nés-moldus. Désormais, Judith se méfiait de Faust, car il pouvait très bien trahir la née-moldue, et l'envoyer dans le bureau du directeur, qui n'hésiterait pas à la renvoyer dans sa maison de ville, chez sa mère.

« Tu arrives à bien suivre les cours ? Sinon tu sais que je suis la pour t'aider. »

Cette année, Judith n'avait pris que les cours dans lequels elle était bonne, donc elle n'avait pas besoin d'aide spécial. Elle ne put s'empêcher de fondre devant le sourire craquant du jeune homme vêtu de bleu et bronze. Elle n'osait pas lui demander de la prendre comme cavalière, elle attendait que son doux prince est l'audace de lui demander. Elle fixait intensément les yeux sombres du jeune garçon brun, en attendant la fameuse question. Souhaitant le mettre dans la bonne voie, la jeune blonde le questionna.

« Es-tu au courant pour le fameux bal d'Halloween..? Compte-tu y aller ? »

C'est avec un sourire charmeur qu'elle conclua sa question, attendant avec impatience sa réponse.
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptyMar 29 Oct - 19:00

Au moins son humour faisait toujours mouche sur la lionne, c'était un bon point pour réussir à l'attirer dans ses filets, quoi qu'il ne devrait pas avoir trop de mal. Faust avait eût un léger doute quand Judith avait cessé leur correspondance par lettre après la fête au Chaudron Baveur mais son attitude envers lui depuis la rentrée avait effacé l'idée qui avait germé dans sa tête, comment aurait-elle été déçue durant la soirée alors qu'elle ne lâchait presque plus l'aiglon, ce soudain arrêt de lettre avait été une technique de drague comme une autre, pour ne pas montrer au Churchill que sa conquête n'était pas encore acquise. A vrai dire, à ce moment là il s'en fichait pas mal, il n'avait même pas essayer de renouer la correspondance, ça avait été même un peu une surprise de venir voir la Gryffondor prendre place à ses côtés lors d'un des cours qu'ils avaient en commun. Désormais il était sûr et certain que la blonde en pinçait pour lui et avec un peu de chance ses sentiments n'avaient fait qu'évolués, histoire qu'elle accepte rapidement l'invitation au bal.

« Effectivement, nous ne nous sommes pas revus depuis cet été. Ma rentrée c'est bien passée, en revanche l'arrivée du nouveau directeur ne me met pas à l'aise, du tout... » Tout de même content pour la jolie blonde que sa rentrée se soit bien passé, il fût un peu plus embêté par la suite mais il aurait dût s'en douter, de plus sa nomination à la brigade de ce directeur plus que louche n'était pas passé inaperçue. Judith était naïve mais pas bête, il avait pu voir que la jeune fille avait pas mal de relations, son intégration dans la BSPB n'avait pas dût lui échapper, étais-ce là ou elle voulait en venir en laissant sa phrase en suspension ? Finalement la tâche allait être un peu plus compliqué que prévu mais ce n'est pas au premier obstacle que l'aiglon allait jeter l'éponge. Le problème c'est qu'il ne savait pas trop comment la rassurer, les murs ont des oreilles, surtout dans ce château, si il parlait et qu'il se faisait prendre ça n'allait pas être très bon pour lui, si il devait avoir des ennuis pour avoir tout révélé à la blonde il l'aurait mauvaise, de plus elle était bavarde mais alors lui faire comprendre de ne pas s'en faire serait assez dur. Le cerveau du Serdaigle essayait de trouver la meilleure manière de répondre tandis qu'il gardait la face devant Judith. Il fît mine de suivre le regard électrique de la belle jusqu'à son insigne de membre de la brigade. « Si il en est ainsi je suppose que ceci doit te faire peur. Je comprends tout à fait ta réaction. Tu me connais depuis longtemps, nous avons été dans les même classes alors je suis sûr que tu porteras le bon jugement sur moi. » Il avait pointé son doigt sur son insigne flambant neuf avec un sourire, comme à son habitude mais cette fois-ci il n'y avait rien de moqueur ni d'inquiétant, il ne voulait pas faire peur à la jolie blonde, parce que même en dehors de ses plans avec elle, il ne lui ferrait jamais de mal, il n'avait jamais maltraité les nés-moldus ni autres bêtises, mais il pouvait admettre le fait qu'elle est des doutes après son exposé dont les propos avait été mal interprétés de la part de pas mal d'élèves, son devoir dans sa matière favori lui avait valût quelques commérages sur son sujet, cette fois-ci il aurait été bien content que la plupart des élèves présents soient comme à la coutume, entrain de dormir. Malheureusement ce qui était fait ne pouvait être arranger, il n'avait plus qu'à croire que les sentiments de Judith envers lui seraient assez fort pour qu'elle lui fasse confiance. Pour la rassurer il pourrait lui dire que c'était une mission, il avait plus de chance ainsi qu'elle le croit mais en dire trop serait une erreur. Pour terminer de convaincre la Gryffondor, Faust fixa les beaux yeux vertes de la blonde et y insuffla toute la sincérité dont il été capable, il ne pouvait pas être des plus honnêtes, il ferrait de son mieux pour protéger les nés-moldus.

La situation s'arrangea ou du moins c'est que laissait voir la lionne, plutôt satisfait, Faust enchaîna sur un autre sujet et la blonde suivit. Mais cette discussion n'était pas au goût de tout le monde, la chouette de l'aiglon voyait là un affront de la part de son maître, vexée, celle-ci piqua de son bec le jeune homme qui ne pût s'empêcher de laisser sortir un petit cri assorti d'une bien drôle grimace, ce n'était sans doute pas ce à quoi s'attendez Judith quand elle lui avait demandé si il avait l'intention d'aller au Bal d'Hallowëen. Elle avait lancé le sujet auquel il voulait arriver, elle lui avait tendu la perche en laissant sous entendre qu'elle serait très intéressée de l'accompagner. Il n'allait pas laisser sa chouette lui faire louper cette occasion. Un peu surpris de l'acte de Strixya, il la caressa avant de lui donner quelques graines et de la reposer dans un coin de la volière, maintenant il était question de se remettre dans la conversation. « Hum... Pardonne-moi mais je crois qu'elle n'a pas apprécié que je ne termine pas ce que j'avais commencer. » Le Churchill pouvait dès a présent noter qu'il devrait toujours terminer de s'occuper complètement de sa chouette sous peine de représailles, il n'aurait pas pensé qu'elle allait agir ainsi mais il comprenait, c'était sa faute et la prochaine fois il ferrait plus attention. Il lui devait des excuses, oui, mais pas qu'à elle, il avait laissé la question de Judith en suspend tandis qu'il avait pris quelques minutes pour s'occuper de sa chouette. « Pour répondre à ta question, j'ai bien l'intention de me rendre à ce bal mais je ne veux qu'une seule cavalière à mon bras. Seulement... J'hésiter à lui demander, je n'étais pas sûr qu'elle accepte mais après cet évènement un peu gênant, je me dois de sauter le pas pour me faire pardonner. Judith, accepterais-tu d'être ma cavalière pour le bal ? » Ravie de voir comment il avait réussi à tourner sa phrase, l'aiglon se réjouissait d'avance de la compagnie qu'il aurait au bal, la demoiselle Bourg était très jolie en plus de ça. Sans doute allait-elle accepter, très ravie d'avoir son cavalier. A moins qu'elle n'en ai déjà un mais c'était fort possible, elle n'aurait pas aborder le sujet de cette manière si c'était pour lui dire non après, cela ne lui ressemblait, pour ça elle n'était pas un brin méchante.
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptyLun 11 Nov - 17:36

« Si il en est ainsi je suppose que ceci doit te faire peur. Je comprends tout à fait ta réaction. Tu me connais depuis longtemps, nous avons été dans les même classes alors je suis sûr que tu porteras le bon jugement sur moi. »

La jeune fille ne put s’empêcher de sourire devant les paroles de Faust. Elle redoutait de se faire renvoyée de Poudlard par le directeur, elle avait été mise au courant que deux élèves de sang moldu avaient été renvoyées à cause de leur origine. Cette nouvelle avait fait frissonné Judith, elle avait peur qu’il lui arrive une chose semblable. Le regard de la jolie blonde se fixa sur l’inquiétante insigne puis regarda Faust dans les yeux.

« Je comprend. Ma crainte, c’est d’être renvoyée, avec ce directeur… »


Avait-elle eu l’audace de se confier ? Mais et si Faust répétait ça au directeur ? Impossible, Judith le connaissait bien - cinq années qu’elle le fréquenter déjà, elle savait donc qu‘il ne pouvait la trahir. Les yeux du beau brun invoquaient de la pure sincérité. Judith se décida à croire ses paroles sincères.  Elle entendit un cri aigu et strident venant de la belle chouette du Churchill, qui la caressa et la déposa loin de lui. Judith posa les yeux sur la sienne, qui était restait silencieuse durant tout ce temps. Sa lettre ! Elle l'avait oubliée. Judith fouilla les poches de sa robe sombre, et pris dans sa main le parchemin qu'elle devait envoyer à sa famille, qui contenait ses craintes, ses peurs, ses doutes mais également ses joies, la découverte de son Patronus etc... Si quelqu'un la retrouvait par terre, elle en mourrait. Elle vit un ruban rouge et attacha le bout de parchemin à la patte de la chouette.

« Pour répondre à ta question, j'ai bien l'intention de me rendre à ce bal mais je ne veux qu'une seule cavalière à mon bras. Seulement... J'hésiter à lui demander, je n'étais pas sûr qu'elle accepte mais après cet évènement un peu gênant, je me dois de sauter le pas pour me faire pardonner. Judith, accepterais-tu d'être ma cavalière pour le bal ? »

La jeune Bourg prit son air le plus charmeur et sourit, visiblement heureuse qu’il l’ai invitée - donc compris sa tentative de le mettre sur le bon chemin.  Il ne lui fallut pas plus de deux secondes pour répondre par l’affirmative, essayant de ne pas être trop « excitée » à l’idée de participer au bal d’Halloween, l’évènement qu’elle attendait tant.

« Faust, je me fais un plaisir d’accepté ton invitation. Maintenant, excuse-moi, mais je dois aller en cours. A plus tard, sûrement ! »


Ainsi elle salua Faust puis sortit de la pièce circulaire, avec excitation à la venue de ce prochain évènement, tellement attendu par la grande blonde peut-être amoureuse. Elle réfléchissait à son futur costume, à ses accessoires qui sauront la mettre en valeur. Elle se déguisera en... vampire ? Trop banal. Sorcière ? Bien sur que non, elle en était déjà une. Bref, elle allait prendre son temps pour choisir le parfait costume, afin d'être en parfaite alliance avec son cavalier - ou pas.
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Message(#) Sujet: Re: Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. Faire la part des choses pour savoir se faire plaisir et rire un peu. [Judith/Faust] - TERMINE. EmptyMer 13 Nov - 11:26

Comme il le présentait, Faust avait l'air d'avoir pointé le doigt sur le problème qui chiffonnait la Gryffonfor depuis un certain temps déjà à son avis. Lors de ses différents propos, loin de là l'idée de se servir d'elle, à ce moment là il y avait eût de la sincérité, jamais il ne ferrait de mal à n'importe quel nés-moldus de cette école, certes, c'était pas l'avis de tous les élèves qui commençaient sérieusement à douter de lui et avec l'apparition d'un premier décret dans les prochains jours, il savait déjà qu'il aurait le droit à des regards noirs cachant des envies presque meurtrières pour certains, venant l'accueillir lors de ses entrées en classe ou de ses prises de paroles. Tant pis, il jouait le jeu puis tant que le principal de son entourage le croyait, c'était tout ce qui importait pour le Serdaigle. A ses côtés, pour le soutenir, il avait principalement ses deux meilleurs amis qui n'étaient pas décidés à le lâcher, il avait été honnête avec eux depuis le début malgré qu'il avait dût omettre les explications qui suivaient son geste. Il n'avait pas ressenti un aussi grand soulagement depuis longtemps quand ses deux camarades avaient acceptés tous les deux de lui faire confiance et de ne pas faillir malgré les remarques qui allaient fusaient de plus en plus nombreuses au fil de l'année. Pour les autres c'étaient différents, en fait, tout ceux avec il n'avait aucun lien particulier, comme les camarades de dortoirs tout simplement, n'avaient pas été mis au courant. Yasha savait aussi, c'était important pour lui de savoir qu'il pourrait encore compter sur elle, mais il avait franchît quelques conditions de ses parents, à la base personne ne devait rien savoir du rôle qu'il jouait mais se mettre à dos l'école tout entière n'était pas franchement la meilleure chose qui puisse lui arriver.

« Je comprend. Ma crainte, c’est d’être renvoyée, avec ce directeur… » Comment ne pas comprendre la Gryffondor dont la pureté de sang ne prévoyez rien de bon pour elle d'après le directeur. Si jamais il souhaitait réellement s'investir dans une relation avec la jolie blonde, il aurait tout intérêt à y réfléchir à deux fois plutôt qu'une, une sécurité pour elle, ça dépend des points de vue et celui de Blackman serait sûrement négatif, n'admettant pas qu'un de ses brillants élèves dignes de cet école s'affiche avec une potiche comme la Bourg. Elle en pâtirait sûrement mais elle n'en aurait sûrement pas pour longtemps, en fait il serait un véritable prince charmant puisqu'il prendrait toutes les critiques de la laisser juste quelques semaines après une possible officialisation de leur relation si ça venait à se faire après le Bal. Même si elle est naïve, au vu de ses antécédents, selon le Churchill, elle n'aurait vraiment pas de mal à s'enticher d'un autre garçon du château, rien de compliqué pour elle. Ouais, cette année qui allait lui promettre une popularité pas vraiment voulue mais fortement appréciable allait en fait tourner en un véritable fiasco pour lui mais les roues étaient en marche, même si il venait un jour à expliquer la demande de ses parents et donc le rôle qu'il avait à jouer pour eux, ils ne pourraient jamais effacer le mal qu'il ferrait à la lionne même si il va sans dire que ça ne durerait pas longtemps. En tout cas, au moins ne lui ferait-il pas de blessures physiques, déjà un point important. Il préféra ne pas répondre, le caprice de sa chouette fût un excellent moyen de mettre un terme à ce sujet là.

La conversation tournait déjà vers autre chose, pas ce qu'il aurait pensé en premier mais Judith faisait bien d'évoquer le bal d'Hallowëen avec elle. Sûrement qu'elle espérait qu'il comprenne que c'était à lui de l'inviter mais autant se le dire, en vrai gentleman, il n'avait pas besoin de quelques battements de cils pour savoir ce qu'il avait à faire, c'était son intention de toute manière mais au moins il savait qu'il avait de grandes chances de ne pas redescendre de la volière avec le souvenir d'un râteau violent. A moins que la Gryffondor ne se joue de lui mais d'après le peu qu'il avait pût apprendre d'elle, la demoiselle Bourg ne lui ferrait pas ce genre de mauvais coup, en tout cas pas pour les quelques semaines à venir, par la suite en revanche, c'était à voir. « Faust, je me fais un plaisir d’accepté ton invitation. Maintenant, excuse-moi, mais je dois aller en cours. A plus tard, sûrement ! » Quelques phrases bien tournés et en un tour de main c'était bouclé, dès à présent, l'aiglon était désormais un futur participant au bal de cette année avec pour compagnie Judith. L'enthousiasme de le jeune fille le fit un peu rire silencieusement, elle essayait de masquer sa excitation mais elle n'était pas doué pour ça, par pur courtoisie, Faust se retient de lui faire remarquer, la situation était même comique pour lui. Elle ne savait pas dans quoi elle tombait, sa gentillesse et sa naïveté la perdrait auprès des garçons tels que lui même si comme il le lui avait dit, en dehors de cette histoire, il essayerait de faire de son mieux pour qu'elle reste à Poudlard, elle ferrait partie de ses priorités, c'était la moindre des choses qu'il pouvait pour elle, un rayon de soleil dans la vie parfois monotone du château quand on commence à prendre le pli de la routine, ça ne fait de mal à personne. Dommage qu'elle partait quand même aussi vite, ils auraient pût discuter des costumes, c'était un élément essentiel pour se mettre dans l'ambiance de la fête quand même. Il la salua à son tour, répondant que bien sûr qu'il se reverrait, difficile de se louper quand on est en même année. Lui aussi allait partir, il adressa un regard à sa chouette avant de descendre, mis à part l'échec avec Arabella, la discussion avec Judith c'était bien passer, il leur faudrait juste trouver assez de temps devant eux pour qu'ils puissent s'organiser pour la soirée.
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