Sixième année : Cours n°1.

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Sixième année :

Cours n°1: Le sortilège du patronus.

En ce jeudi après-midi, Céleste se rendait à son cours, comme d’habitude. Cette après-midi, c’était les sixièmes années. Céleste avait un assez mauvais souvenir de ces années-là. Après tout, les anciennes sixièmes années avaient été des catastrophes comportementales. Regroupant Melrose, Rosenberg et Quick. Autant perturbateurs qu’enquiquineurs. Cette année, elle les retrouvait en septième année, dans un cours ayant lieu demain matin et elle n’avait vraiment pas envie de s’y rendre. Hélas, aussi chiants qu’ils étaient, ils avaient les ASPIC’s en fin d’année, aussi, elle devait d’assurer les cours. Tant pis si elle devait en payer les conséquences, elle ferait son travail envers et contre tous. Enfin, heureusement, aujourd’hui ce n’était que les sixièmes années. Ceux-là ne lui posaient pas trop de soucis et en plus le programme de cette année était chouette. Surtout le cours d’aujourd’hui. Le sortilège du patronus était un bon moyen de voir le niveau des élèves et en prime, la jeune femme était curieuse de découvrir l’animal qui correspondait à chaque élève. Enfin, cela ne serait certainement pas pour aujourd’hui. Il faudrait certainement plusieurs de travail pour que cela fonctionne et qu’un patronus corporel n’apparaisse. Pour elle s’était le loup blanc. Une magnifique créature. Elle se souvenait qu’elle en fut très fière lorsqu’elle le découvrit. Elle s’attendait à ce que ce soit un renard ou quelque chose d’autre, mais un loup lui correspondait assez. C’était l’animal favori de son frère…et comme le patronus est censé représenter tout ce qu’il y a de bien en nous, c’était presque logique.

En parlant de son frère, Céleste se rappela soudain qu’elle lui devait une lettre. Et ça depuis bien longtemps déjà. Elle allait devoir lui raconter tous les derniers évènements et surtout le fait qu’elle soit, enfin, partie s’amuser loin de ses recherches et compagnies. Elle était presque persuadée que son frère se réjouirait pour elle. Depuis qu’il avait retrouvé un semblant de conscience humaine, il n’arrêtait pas de dire à Céleste de se ménager et de penser à elle. Aussi, elle ne sera pas surprise par la réponse de Loukas. Elle était curieuse de savoir si le loup de son frère était toujours vivant, et surtout savoir s’il allait bien. Elle voulait en particulier connaître son état. Savoir si Loukas était encore Loukas ou si le monstre se lui en était réveillé. Si jamais, cela avait été le cas, elle croisait les doigts pour que les victimes ne soient pas trop nombreuses. Elle devait se dépêcher de trouver un remède. Elle le devait. Sinon les victimes seront bien plus nombreuses et son frère deviendrait l’ennemi à abattre. Et cela, il en était hors de questions. Céleste sentit la peur la saisir. Non, elle ne voulait pas perdre son frère, elle tenait trop à lui. C’était la seule famille qu’elle n’avait jamais eu, elle se refusait de le perdre. Cette pensée lui glaça le sang jusqu’au moment où la cloche sonna le début des cours. Super, elle allait être en retard.

Se dépêchant davantage, elle arriva quand même avant ses élèves. Elle profita de ce lapse de temps pour écrire au tableau l’intitulé de son cours et de mentionner l’exposé qui débuteras le 1er janvier. Elle nota également les informations concernant les heures d’approfondissement qu’elle mettra en place dans le courant de l’année. Une foi qu’elle eut tout terminé, les élèves terminèrent d’entrer. Elle ferma la porte et rejoignit son renard face à eux. Il était temps de commencer.

- Je vous souhaite donc un bon retour parmi nous et je suis heureuse de vous retrouver après vos BUSE’s. J’espère que vous avez tous eu de bonnes notes, et je pense que ce fut le cas sinon vous ne serez pas là. Bref, cette année, il n’y a pas d’examen mais ne tombez pas dans le piège de ne rien faire. N’oubliez pas que les ASPIC’s porteront également sur ce programme. De plus, les DCFM sont une matière importante pour la suite de vos études. Enfin, on aura l’occasion d’en reparler.

Après ça, elle indiqua son tableau noir et reprit la parole.

- Comme vous pouvez le voir, cette année j’ai prévu un exposé et des cours de soutiens. Pour les cours de soutiens, je vous exposerais tout cela dans l’année. Quant à l’exposé, le sujet est déjà noté mais il n’aura lieux qu’en Janvier. Vous pouvez commencer à y réfléchir si vous le souhaitais. Peut-être en rajouterais-je un avant janvier, mais je vous en reparlerais. Bien, passons au cours maintenant. Dit-elle en faisant une pause dans son discours, afin de laisser le temps aux élèves d’ingurgiter ces quelques informations. Vous vous souvenez certainement de votre cours sur les détraqueurs. Ces êtres sombres et dénués de tous sentiments. Ils se nourrissent de vos moments de bonheur puis de vos âmes. Lors de ce cours, je vous ai dit que le seul moyen de s’en débarrasser était de réaliser un patronus. Aujourd’hui, c’est ce que nous allons essayer de faire. Aussi, vous pouvez ranger livres et parchemins.

A ces mots, elle se retourna vers son tableau et nota sur son tableau noir la formule pour faire un patronus. Bien que celle-ci ne soit pas dite avant un temps, elle préférait la noter. Ainsi, les élèves ne lui demanderaient pas trente-six mille fois quelle était la formule. Puis, elle se retourna vers ses élèves et repris la parole.

- Vous devez savoir avant de commencer qu’il existe deux sortes de patronus. Une sorte de brume argenté, dite un patronus non corporel, et le patronus corporel. Certainement le plus puissant des deux. Toutefois ce dernier requiert beaucoup d’effort et peu d’entre vous, pour ne pas dire personne, n’arrivera à en créer un aujourd’hui. Cela vous demandera beaucoup de travail et d’effort. Ne perdez pas espoir, vous y arriverez.

Elle voulait se montrer rassurante et optimiste. Car elle savait qu’échouer pouvait être déstabilisant, surtout pour ceux qui se croyaient très fort. Sauf que ce sortilège réclamait une immense puissance magique et une grande volonté, non pas du talent. Quoique, il devait bien y avoir un grain de talent dans ce sortilège et surtout beaucoup de hasard et de chance. Après cette courte pause, elle reprit le fil de son cours.

- Bien, nous allons commencer. Un patronus, c’est l’opposé du détraqueur. Si ce dernier représente vos cauchemars et vos peurs, l’angoisse et la solitude, le froid et l’obscurité, le patronus est ce qui a de plus heureux. En effet, le patronus est une force pure, capable de s’opposer au détraqueurs. Il ne fait pas que ça bien entendu, il peut, en fonction du degré de magie que possède le sorcier, transmettre un message. Par le passé, Severus Rogue réussit à guider Harry Potter vers l’épée de Gryffondor grâce à son patronus. Bien entendu, pour cela, il ne faut se trouver trop loin.

Céleste respira un bon coup, puis reprit la parole.

- Pour réussir à faire apparaître ce genre de créature, il vous suffit de penser à un moment d’extrême bonheur, de vous concentrer dessus et de prononcer la formule : « spero patronum ».

A ces moment, la baguette de Céleste se mit à briller et un magnifique loup argenté en sorti. Il flotta quelques instants en l’aire puis la jeune-femme le fit disparaître pour reprendre son cours. En espérant qu’ils n’aient pas pris cela pour une preuve de vantardise.

- Et normalement, ça fonctionne. Après comme je vous l’ai dit, il vous faudra plusieurs essais pour arriver à un tel résultat et moi-même parfois, j’échoue encore. Avant de passer à la pratique avez-vous des questions à ce sujet-là ?

HJ : J'interviendrais la semaine prochaine pour reprendre le cours. Par la suite, ce ne sera que de la pratique et j'interviendrais parfois en fonction des résultats du lancé de dès. Je vous prierais d'intégrer à vos lancés, les closes suivantes : réussite/ échec : si réussite patronus corporel ou non. Voilà, merci beaucoup et à vous!!

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Après avoir passer ses BUSES, Faust pensait qu'il aurait droit à une sixième année un peu plus relax que la précédente année ou il passait ses examens en fin d'année mais il s'était trompé, l'idée que le corps enseignant de Poudlard avait eu pendant cet été bouleverser un peu ses plans. Il savait bien qu'il ne devrait pas relâcher ses efforts pendant cette année d'entracte à deux examens importants mais il voulait avoir moins de pressions ce qui sur le coup semblait rater, et encore il se sentait plutôt chanceux, faire un exposé exigeait un minimum d'organisation et il n'aurait pas aimé être de ceux qui en plus de ces nouveaux devoirs devaient se charger des révisions pour les BUSES ou ASPICS. Avec un peu de chance il espérait même que cette idée ne serait plus au goût du jour pour l'année précédente, travailler ne le gênait pas mais avoir un peu de temps libre pour décompresser entre devoirs et révisions était plus que nécessaire pour lui alors même si il s'appliquait dans ses devoirs il espérait que d'autres aller se montrer si minable que les professeurs en seront tellement démoralisé qu'ils décideront en coeur de ne pas remettre en place l'idée. Un peu méchant certes mais ça serait dans son avantage alors peu importe. Mais avant d'espérer ce genre de chose il valait mieux se concentrer sur les cours plus que sur ça, de toute manière ce n'était que le début de l'année et personne ne pouvait se faire une vraie opinion de la suite à venir en si peu de temps. Et puis jusqu'à présent il s'était bien débrouillée avec son premier exposé en Histoire de la Magie, il affichait un peu plus ses brillantes capacités à être attentif à tous les cours. Il commençait vraiment à avoir la grosse tête...

C'était pas bon signe et les évènements des derniers temps n'avaient pas arrangés les choses, il était vraiment temps qu'il se calme un peu avant que tout cela est une influence sur ses relations avec ses deux meilleurs amis par exemple. Il n'avait pas à être fier de lui, au moins eux avaient un joli bonheur à partager en couple, Alekseï était avec une sympathique Gryffondor avec qui Faust avait déjà eu l'occasion de discuter une ou deux fois et bien qu'un peu surprenante elle était tout aussi adorable et il comprenait que le russe n'est pas résistait au charme de la lionne, tandis que Erwan lui avait récemment commencer une relation avec Amara, la meilleure amie du jeune Churchill, ils formaient tous les deux un très beau couple, de plus cette année ils étaient les deux nouveaux préfets de Serdaigle. Faust avait été très content d'apprendre que ces deux là étaient ensemble et étaient heureux mais il devait avouer que voir deux de ses meilleurs amis sortir ensemble et être le seul dans le groupe à être célibataire était un peu gênant, il se sentait mis à l'écart au moment ou justement il s'intégrait mieux dans le duo que formait à présent Erwan et Alekseï suite au départ de l'ancien membre de leur trio d'enfer. Une manière de s'occuper pendant les petits moments volés des deux autres couples était de papillonner à droite à gauche, en fait surtout auprès de deux personnes en particulier : une jolie vipère et une lionne influençable. Mais cela n'était pas digne de ses deux autres amis, il était incapable d'être vraiment sincère mais parce qu'une ancienne blessure était toujours présente et malgré ses efforts il n'arrivait à se dévouer entièrement à une personne, du moins c'est ce qu'il avait déduit en essayant d'en apprendre plus sur Judith au Chaudron Baveur après qu'elle lui ai avouée qu'il était à son goût. Contrairement à l'assurance qu'il en ressortait à l'extérieur, Faust n'était pas particulièrement fier de ça mais faute de mieux il faisait avec en se promettant qu'un jour ça irait mieux, qu'il serait de se comporter aussi bien que les deux autres aiglons et qu'il pourrait s'intégrer un peu mieux parmi les deux autres couples.

Ce jour viendrait mais certainement pas avant un bon bout de temps, les études passaient toujours avant pour le jeune homme et ces derniers temps il ne fallait rien lâcher, certaines nouvelles notions étaient assez compliqué à assimiler alors toute l'attention possible était recommandé, surtout dans cette nouvelle leçon en cours de Défense Contre les Forces du Mal, d'après ce que voyait l'aiglon c'était un cours sur les patronus. Parfait, l'année précédente avait été les détraqueurs, c'était le sort qui tombait à pic pour pouvoir enchaîné parfaitement sur les leçons vues précédemment. Mais c'était un sort plutôt compliqué, même la professeur qui venait d'expliquer en quoi consisterait le cours venait d'avouer qu'elle n'y arrivait pas forcément tout le temps, pourtant c'était une de ces professeurs douées, dont on été fier d'être un de ses élèves, difficile à croire qu'il y est des domaines qu'elle ne maîtrisait pas parfaitement du bout de sa baguette. Mais soit, Faust voulait bien la croire, personne n'était parfait et ça prouvait que maîtriser son patronus était plutôt compliqué et qu'il fallait faire preuve d'une extrême concentration à chaque fois qu'on y avait recours, c'était ça qui rendait la difficulté intéressante, le jeune Churchill était d'impatient d'expérimenter la formule et de voir enfin à quoi ressemblerai son patronus, il n'y avait jamais songé mais même maintenant il n'avait aucune idée quel animal le représenterait. C'était le suspens mais il ne fallait pas se laisser dépasser par ce sentiment d'impatience, Faust se concentra un peu plus sur les paroles du professeur Laskovick. Elle expliquait très bien, ce n'était pas nouveau mais il avait toutefois une question qui le tarodait un peu, il attendit alors qu'elle termine de donner ses explications pour ensuite lever la main pour poser sa question. « Vous venez de nous dire que les patronus ne servaient pas qu'à faire fuir les détraqueurs mais aussi à porter des messages, comment s'y prend t-il exactement ? Et peut-il faire autre chose ? » Arriver en cours et en savoir déjà un rayon sur le sujet abordé est toujours impressionnant mais quand on s'appelle Faust Churchill on aime bien prouver qu'on est intéressé en posant des questions pertinentes dès le début. C'était comme ça qu'il se faisait généralement bien voir des différents professeurs du château mais ce n'était pas le but premier, c'était avant tout un plaisir de se faire remarquer par son intérêt dès le début. C'était un aiglon qui aimait bien faire savoir dans quelle maison il appartenait et qu'il avait bien mérité d'y être, il était un brin prétentieux mais juste un peu, assez pour que cela fasse son charme.

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° Alekseï se réveilla d'un coup sec, il venait de faire un cauchemar où il venait de se marier avec Hailey et tout juste après le mariage, on l'a capturé et on l'a ramené en Russie pour qu'il fasse, de force, son service militaire. Et le rêve s'était terminé avec Dimitri qui lui tirait une balle de "Dragonov" en pleine tête. Le début était super mais le reste... Le Bleu et Bronze crut que c'était d'une réalité sans non. Heureusement, qu'à son réveil, il se trouvait dans son même lit, dans le dortoir des garçons, dans la tour des Serdaigle. Il a eu chaud il fallait dire. Du coup, le petit matin était arrivé et s'il ne se trompait pas, il avait un cours de Défense contre les Forces du Mal avec le professeur Laskovick chez qui il vivait pendant les vacances désormais, lui et sa soeur qui fréquentait une école moldue sous la surveillance d'un elfe de maison. Il adorait ce cours, peut-être à cause du prof' mais la matière est généralement bien intéressante. Comme Alekseï aime apprendre, jamais il ne refuse d'en savoir plus si c'est un sujet plus ou moins intéressant. Par contre, il ignorait comment cela allait être en classe. Erwan sortait avec Amara. Est-ce que son meilleur ami allait s'éloigner de lui ainsi que de Faust qui est le nouveau membre de leur trio ? Il fallait expérimenter mais l'aigle ne sait même pas si sa frangine a choisi ce cours. Bien sûr, il n'éprouve aucune jalousie à l'égard d'Erwan, ayant renoué lui-même sa relation avec Hailey, cette semaine. Il n'a pas à s'en plaindre...

° Aleks' s'habilla rapidement et une fois vêtu de son uniforme avec la cravate qui abordait les couleurs de Serdaigle, il prit son matériel nécessaire pour enfin descendre dans la grande salle pour prendre son petit-déjeuner. Erwan était déjà partit donc il fit le chemin seul puisque Faust dormait encore, enfin, quand lui était partit. Dans la grande salle, il s'assit et mangea en silence, un bol de porridge, nourriture qu'il apprécie très peu et mangea un toast avec de la confiture aux fraises. Bordel, il aurait dû attendre Faust. Il termina donc en silence, son déjeuner et prit son sac avant de se diriger vers les escaliers et ainsi monter, de nouveau, les marches pour se rendre en classe. Avant de sortir de la grande salle, il croisa Hailey. Il la caressa dans ses bras avant de lui dire à plus tard. Il faut dire que la lionne entre dans ses BUSEs et par conséquent, ses occupations principales se limitent à l'étude et aux devoirs. Le jeune Marakov s'y connait étant donné qu'il vient tout juste de terminer cette année d'enfer. M'enfin, c'était vraiment une année d'enfer et pour lui en particuliers puisqu'il a perdu son frère d'une certaine façon ainsi que ses parents. Donc voilà quoi ! Il quitta donc Hailey avant de monter sur ces stupides escaliers qui bougeaient sans cesse. Son sens de l'orientation s'était développé depuis l'année passée et avait beaucoup moins de misère pour retrouver ses classes mais la majorité du temps, il suivait ses meilleurs amis. Comme il va à son cours préféré, jamais il ne va oublier l'emplacement de la classe... Après avoir monté le seul étage pour s'y rendre, il vit la même porte habituelle. Alekseï salua Céleste, comme à l'habitude, avant de prendre place. Beaucoup de rumeurs couraient sur le fait que professeur Laskovick était alcoolique mais c'était faut et le Serdaigle était témoins. Il n'a jamais vu le prof' se mettre à boire sans fin, que ce soit en pleine journée ou en pleine nuit, toute une bouteille de boisson forte. Ce que le jeune Marakov ne lui avait pas dit était qu'il avait pigé dans sa réserve de Vodka... Ça c'est une autre histoire. Bref, il avait hâte que le cours débute. Faust était assis, que le jeune Russe avait salué, tout juste à côté et Céleste débuta le cours. Aleks' prit immédiatement sa plume, son encrier et un parchemin et se mit à écrire ce que le professeur dictait. Ce qui attirait l'attention du Bleu et Bronze étaient les Patronous. C'était le seul moyen de se débarrasser d'un Détraqueur ou un gardien d'Azkaban si l'on préfère mais lui, il en a jamais vu et espère ne jamais en voir. Elle énuméra les deux types de Patronous, non-corporel et corporel. Aleks' avait hâte de voir quel forme aurait son Patronous s'il finissait par le réussir, en espérant que ça ne soit pas un truc ridicule... Il aurait honte si la forme serait une souris. C'est pas cool les souris, bestioles fatigantes... Bref, il continua d'écrire tout ce qui était important dans les dires du professeur Laskovick concernant ces Patronous puis elle demanda aux élèves s'ils avaient des questions. C'est Faust ouvrit la bouche pour demander comment on s'y prend pour délivrer des messages sous le sortilège. Question intéressante, la réponse allait l'être aussi ! Tiens, lui aussi avait une question, il leva la main:

« Prrofesseur, j'aimerais savoirr s'il était possible de choisir la forrme exacte de notre Patrronous corporel quand on réussit à le mettre en application. »

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Montaron assistait au cour de Défenses contre les Forces du mal, il connaissait bien la professeur: Laskovick; pas personnellement :Dmais suffisamment pour deviner le sujet du premier cours:
Le Patronus
L'année précédente, il s'était entrainé tous les jours a faire un patronus mais même s'il s'approchait petit à petit du niveau de Laskovick, il lui arrivait encore souvent de le rater.

Donc Montaron, assit à côté d'une fille dont il oubliait tout le temps le nom et d'un serdaigle qui se nommait Maravov, Machavov, bref celui ci n'avait pas l'air d'être dans son assiette.
Macaron écoutait sagement les informations que donnais la prof. Une idée lui trônait dans la tête mais il n'arrivait pas à trouver les mots pour exprimer cela.

"Est-ce que... Non, ça n'iras pas, si j'dis comme ça. Plutôt, comme ça: Un sortilège Impard... Non plus... Le patronus peut - il... Oui comme ça se sera bien!" Pensait -il pendant que Laskovick parlait, soudain il se demanda si elle parlait vraiment des patronus.... Il écouta donc:

<< [...] moments de bonheur puis de vos âmes. Lors de ce cours, je vous ai dit que le seul moyen de s’en débarrasser était de réaliser un patronus. Aujourd’hui, c’est ce que nous allons essayer de faire. Aussi, vous pouvez ranger livres et parchemins. >> Disait-elle, Montaron sourit, elle parlait des détraqueurs, il n'avait du quasiment rien raté vu qu'il connaissait le sujet comme dans toutes les matières qu'il avait reprises: il s’attendait à une année (il a redoublé sa 6ème année) inutile à passer dans la bibliothèque ou dans les Anciennes Salles .

Laskovisk marqua une formule au tableau: spero patronom.
Montaron avait vu juste pour à propos du sujet du premier cours.
Laskovick enchaina avec:
- Bien, nous allons commencer. Un patronus, c’est l’opposé du détraqueur. Si ce dernier représente vos cauchemars et vos peurs, l’angoisse et la solitude, le froid et l’obscurité, le patronus est ce qui a de plus heureux. En effet, le patronus est une force pure, capable de s’opposer au détraqueurs. Il ne fait pas que ça bien entendu, il peut, en fonction du degré de magie que possède le sorcier, transmettre un message. Par le passé, Severus Rogue réussit à guider Harry Potter vers l’épée de Gryffondor grâce à son patronus. Bien entendu, pour cela, il ne faut se trouver trop loin.
Voila une chose qu'il ne savait pas Severus Rogue avait été en capacité de diriger H.Potter grâce a son Patronus; pourquoi pas lui?

Elle repris sa respiration:

- Pour réussir à faire apparaître ce genre de créature, il vous suffit de penser à un moment d’extrême bonheur, de vous concentrer dessus et de prononcer la formule : « spero patronum ».

Voila enfin quelque chose qu'il savait faire et appliquer!

A ces moment, la baguette de Céleste se mit à briller et un magnifique loup argenté en sorti. Il flotta quelques instants en l’aire puis la prof le fit disparaître.

Il avait oublié son magnifique Loup, en fut presque surprit, mais soulagé de voir le patronus de la prof disparaitre: il n'aimait pas trop les crocs et les griffes qu'arboraient les loups! O.o

- Et normalement, ça fonctionne. Après comme je vous l’ai dit, il vous faudra plusieurs essais pour arriver à un tel résultat et moi-même parfois, j’échoue encore. Avant de passer à la pratique avez-vous des questions à ce sujet-là ?

Quand Montaron entendu les deux questions qui lui précédait, il failli éclaté de rire, pour lui même, laissant la prof répondre,il répondit aux questions:
Non, il n'est pas possible de choisir une forme corporelle mais si tu arrives a en faire une, il s'agit d'une forme qui incarne ta manière d'être et de penser.
D'abord, savoir faire un patronus après tu verras.
Car même Montaron ne savait pas les faire les messages par patronus.

Puis Montaron se dis qu'il était le moment de poser sa question, étrange mais qui le tourmentait depuis longtemps et voulait avoir une réponse qui soit posible. Il leva la main et attendit son tour puis au sien dit:
-Madame, Le patronus peut- il arrêter des Sortilèges comme le sortilège du bouclier? Je veux dire des Sortilèges puissants?

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Judith pensa à son petit frère Moldu, Félix, tout en marchant dans les couloirs. En effet, cela faisait environ un mois qu'elle l'avait quitté et elle voulait le revoir, ce qui était pour le moins étrange. En effet, Félix n'avait cesser de l'embêter pendant ces vacances. Il faut bien croire que ses bêtises lui manquaient...
Il était jeudi après-midi, et le cours où Judith devait assister était son cours favori. Ce jour-là était son jour préféré. Elle était grandement fière et heureuse, cette année elle allait savoir quel était son Patronus. Elle se hâta dans les couloirs pour arriver dans les premiers. Les DCFM sont sa matière préférée, elle souhaite en faire son métier. Lorsque la jeune Gryffondor arriva dans la salle, elle vit le professeur toujours en train de noter l’intitulé du cours d'aujourd’hui. Judith salua son ami Faust de la main.

« Salut Faust ! J’ai hâte de savoir quel animal te représente. Le mien aussi d'ailleurs... »

Elle lui fit un clin d’œil puis s’assit sur un pupitre, aux côtés de Faust Churchill, un aiglon plutôt sympathique. Elle s’empara de sa plume et d’un parchemin pour pouvoir noter toutes les informations dictées par le professeur.

« Je vous souhaite donc un bon retour parmi nous et je suis heureuse de vous retrouver après vos BUSE’s. J’espère que vous avez tous eu de bonnes notes, et je pense que ce fut le cas sinon vous ne serez pas là. » Judith pensa à sa note , O, soit Optimal, donc la meilleure note. Elle sentit ses joues devenir couleur cramoisie, tellement elle était fière. « Bref, cette année, il n’y a pas d’examen mais ne tombez pas dans le piège de ne rien faire. N’oubliez pas que les ASPIC’s porteront également sur ce programme. De plus, les DCFM sont une matière importante pour la suite de vos études. Enfin, on aura l’occasion d’en reparler. »

Judith acquiesça du regard, les DCFM sont indispensables. Judith souhaite devenir Auror, ou professeur de DCFM. L'aînée des Bourg vit le professeur tendre la main vers le tableau.

« Comme vous pouvez le voir, cette année j’ai prévu un exposé et des cours de soutiens. Pour les cours de soutiens, je vous exposerais tout cela dans l’année. Quant à l’exposé, le sujet est déjà noté mais il n’aura lieux qu’en Janvier. Vous pouvez commencer à y réfléchir si vous le souhaitais. Peut-être en rajouterais-je un avant janvier, mais je vous en reparlerais. Bien, passons au cours maintenant. » Judith s'empressa de noter ces quelques informations. « Vous vous souvenez certainement de votre cours sur les détraqueurs. Ces êtres sombres et dénués de tous sentiments. Ils se nourrissent de vos moments de bonheur puis de vos âmes. Lors de ce cours, je vous ai dit que le seul moyen de s’en débarrasser était de réaliser un patronus. Aujourd’hui, c’est ce que nous allons essayer de faire. Aussi, vous pouvez ranger livres et parchemins. »

Ainsi donc, les Patronus, c’était pour aujourd’hui. La jeune Bourg frémit d’impatience, afin de connaître enfin son Patronus à elle. Le cours continua, et Judith écoutait patiemment. Enfin, le professeur Laskovick décida de prononcer la fameuse formule : « spero patronum ». Judith vit la baguette du professeur scintiller et un superbe loup de couleur argent sortit de la baguette en bois. Judith était remplie d’admiration envers ce magnifique loup majestueux. Elle songea à quel animal qui pourrait la représenter… Un renard ? Judith n’en savait rien.

« Et normalement, ça fonctionne. Après comme je vous l’ai dit, il vous faudra plusieurs essais pour arriver à un tel résultat et moi-même parfois, j’échoue encore. Avant de passer à la pratique avez-vous des questions à ce sujet-là ? »

Trois aiglons posèrent des questions, et la jeune Gryffone avait bien vu qu'un des trois se retenait de rire aux éclats. Judith le foudroya du regard, elle savait qu'il s’appelait Montagnion ou quelque chose comme ça - Nom étrange, non, Montagnion ? Mais Judith n’avait pas envie de parler, elle voulait absolument passer à la pratique.

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À chaque rentrée, c'était le même refrain. Les cours reprenaient rapidement leur rythme, oubliant que les élèves ne se rappelaient pas de la matière vue l'année d'avant. Il n'y avait que quelques Serdaigles qui s'en rappelaient encore et Amara Swann n'en faisait pas partie. Cet été avait été plutôt mouvementé pour la Serdaigle alors elle n'avait pas eu le temps de faire ses révisons... En réalité, même si elle avait eu tout le temps nécessaire, elle ne l'aurait pas fait du tout. Après tout, les vacances étaient faites pour relaxer et vider son esprit de toute malédiction que pouvait apporter l'école. Les professeurs, eux, c'était une toute autre histoire. On dirait qu'ils ne vivaient que pour enseigner. Et chacun disait que sa matière était la plus important. Avec toutes ces contradictions, les élèves ne savaient plus quoi penser. Quelle était vraiment la matière la plus importante? Pour la jeune Swann, aucune matière n'était importante. Il y avait certaines choses que les sorciers devaient connaître dans la vie de tous les jours, comme certains sortilèges, mais apprendre à faire des potions, là, c'était complètement inutile. Encore, la botanique ne servait à rien. Amara ne toucherait plus jamais aux plantes magiques, c'était fini. Après toutes ces mauvaises expériences, mieux valait travailler avec quelque chose de propre, avait-elle appris. Quelle chance qu'en sixième année, il n'y avait plus de cours obligatoires. Amara avait pu en choisir trois minimums, mais elle en avait pris quatre. Avec tous ces professeurs qui s'absentaient, prendre trois cours aurait été comme en prendre deux. On aurait dit que Poudlard les faisait fuir. Parlant de cours, Amara en avait justement un dans la matinée. C'était avec Professeur Laskovick dans le cadre du cours de Défense contre les forces du mal. Assez intéressant comme cours, car elle apprendra à se défendre de la magie en noire tout en apprenant quel genre de sortilèges se lançaient dans la magie noire. Ce cours aidaient les sorciers à distinguer la magie noire de la magie blanche. Ce que les autres ne savaient pas, c'est qu'Amara aimait bien se servir des notions apprises en classe pour faire de la magie noire. Bien évidemment, elle n'en faisait presque pas de peur de se faire prendre, mais c'était une forme de magie qui l'intéressait beaucoup.

Avec tout le matériel nécessaire, Amara se dirigeait vers le cours de défense contre les forces du mal. Après avoir monté au premier étage, elle entra dans la salle de cours, où il y avait déjà quelques élèves. Elle sourit à ceux qu'elle connaissait et s'assit à côté de son frangin, Alekseï. Le cours débuta et sembla très intéressant pour la préfète. Les patronus n'étaient pas inconnus à Amara. Elle avait déjà essayé d'en faire un l'année précédent, mais avait échoué. C'était difficile d'en faire un sans avoir exactement appris comment s'y prendre. Elle espérait que ce jour-là, elle réussira et verra enfin clairement la forme de son patronus. Elle essaya d'écouter attentivement le Professeur Laskovick parler, mais suivre sans interruption un cours était plus difficile qu'en apparence. La jeune Swann pensait qu'elle avait un problème d'attention, ou quelque chose du genre. Enfin, certains élèves posaient des questions, d'autres, comme Amara, attendaient impatiemment que la partie pratique du cours commence. Elle ne pouvait plus rester là à attendre sur son siège. Enfin, elle se décida à poser une question, vu que tout le monde la faisait, elle pouvait bien intégrer le groupe, n'est-ce pas?

« Quels sont les facteurs qui décident de la forme que prendra notre patronus? »

Elle espéra que cette question n'avait pas été posée plus tôt. La bleu et bronze avait la mauvaise habitude de ne pas trop écouter en classe, et ça lui arrivait souvent de poser les mêmes questions que ceux qui étaient passés avant elle. Était-ce si mal que ça? Certains professeurs s'énervaient alors que d'autres répondaient à nouveau. Chacun son style. En attendant, elle regarda le Professeur Laskovick et espérait qu'elle ne soit pas du genre à s'énerver si c'était une question déjà posée.

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Nouveau jour, nouveaux cours. Chaque fois, c'était la même rengaine. C'était si ennuyant que Freyja ne voulait même pas apprendre l'ordre des cours qui occupaient son emploi du temps. Il lui suffisait de vérifier à la dernière minute quel cours elle avait et le tour était joué. Après tout, elle n'avait pas à se compliquer la vie plus qu'elle ne l'était déjà, elle avait assez à faire avec les Néos, en plus des rumeurs qu'elle prévoyait d'écrire ! Enfin soit, la vert et argent avait un cours de DCFM qui l'attendait et c'était d'un pas nonchalant qu'elle s'y rendit. On avait beau être l'après-midi, la brune désirait plus que tout retourner dans sous sa couette dans le but de se rendormir. Néanmoins c'était son tout premier cours de la matière depuis la rentrée et elle ne voulait pas le manquer, d'une part pour ne pas s'attirer les foudres de Mme Laskovick mais aussi parce que, il fallait l'avouer, le sujet lui plaisait bien. Ils n'apprenaient pas forcément des choses extrêmement intéressantes et utiles, toutefois les sujets qu'ils traitaient étaient le plus souvent captivants. D'ailleurs, elle se demandait bien sur quoi porterait le cours d'aujourd'hui, mais ça, elle le saurait bien vite. Une fois arrivée devant la salle de cours, elle y entra, voyant qu'elle n'était, pour une fois, pas en retard. Elle lança un sourire à la professeure avant de prendre place vers le centre de la pièce. La jeune Willow s'installa tranquillement avant que Laskovick ne prit parole :

« Comme vous pouvez le voir, cette année j’ai prévu un exposé et des cours de soutiens. Pour les cours de soutiens, je vous exposerais tout cela dans l’année. Quant à l’exposé, le sujet est déjà noté mais il n’aura lieux qu’en Janvier. Vous pouvez commencer à y réfléchir si vous le souhaitais. Peut-être en rajouterais-je un avant janvier, mais je vous en reparlerais. Bien, passons au cours maintenant. Vous vous souvenez certainement de votre cours sur les détraqueurs. Ces êtres sombres et dénués de tous sentiments. Ils se nourrissent de vos moments de bonheur puis de vos âmes. Lors de ce cours, je vous ai dit que le seul moyen de s’en débarrasser était de réaliser un patronus. Aujourd’hui, c’est ce que nous allons essayer de faire. Aussi, vous pouvez ranger livres et parchemins. »

Freyja n'avait de toute manière pas sorti de parchemin, s'attendant à en demander un à quelqu'un si jamais elle en avait besoin. Elle n'allait tout de même pas s'encombrer d'une stupide feuille alors qu'elle n'en avait pas forcément besoin, si ? Concernant les exposés que la prof avait prévu, la vipère n'en était pas réellement ravie. Elle avait déjà un exposé en cours de Sortilèges à préparer... Mais heureusement, celui en DCFM était prévu en Janvier, c'était déjà ça de gagné. De plus, elle avait bien peur de finir en cours de soutien si elle continuait à rien faire en cours, mais tant pis, cela occupera ses temps libres... Au pire, elle pourra toujours négocier de ne pas en suivre, elle verrait bien si besoin.

« Vous devez savoir avant de commencer qu’il existe deux sortes de patronus. Une sorte de brume argenté, dite un patronus non corporel, et le patronus corporel. Certainement le plus puissant des deux. Toutefois ce dernier requiert beaucoup d’effort et peu d’entre vous, pour ne pas dire personne, n’arrivera à en créer un aujourd’hui. Cela vous demandera beaucoup de travail et d’effort. Ne perdez pas espoir, vous y arriverez. »

Freyja espérait grandement réussir son patronus corporel, histoire d'en boucher un coin à ses camarades qui la prenaient sans doute pour une stupide fille. Elle se demandait d'ailleurs quelle forme prendrait son patronus, en tout cas elle souhaitait fortement qu'il soit un minimum honorable. Elle ne voulait pas de patronus ridicule représenté par un lapin ou un papillon, cela serait si honteux ! Les papillons volaient tout de travers, aussi certaines sortes de papillons étaient énormes et faisaient plus de 20 cm voire plus si la mémoire de la Serpentard ne lui jouait pas des tours... En résumé, elle voulait quelque chose qui en jetait, mais il lui semblait que l'on ne pouvait choisir à quoi ressemblerait son patronus...

« Bien, nous allons commencer. Un patronus, c’est l’opposé du détraqueur. Si ce dernier représente vos cauchemars et vos peurs, l’angoisse et la solitude, le froid et l’obscurité, le patronus est ce qui a de plus heureux. En effet, le patronus est une force pure, capable de s’opposer au détraqueurs. Il ne fait pas que ça bien entendu, il peut, en fonction du degré de magie que possède le sorcier, transmettre un message. Par le passé, Severus Rogue réussit à guider Harry Potter vers l’épée de Gryffondor grâce à son patronus. Bien entendu, pour cela, il ne faut se trouver trop loin. Pour réussir à faire apparaître ce genre de créature, il vous suffit de penser à un moment d’extrême bonheur, de vous concentrer dessus et de prononcer la formule : « spero patronum ». »

A ses mots, la professeure fit apparaître son patronus, un merveilleux loup argenté qui disparu après quelques secondes. La vipère se demanda à quel moment heureux elle avait pensé, même si elle n'en avait aucune idée. Et elle alors ? A quoi penserait-elle quand ce serait son tour d'essayer ? Elle n'en savait rien, peut-être le jour où elle avait rencontré Isis, ou bien celui quand elle reçut la lettre d'admission à Poudlard. Tout bien réfléchi, aucun moment particulièrement heureux n'avait encore eu lieu, bien qu'elle se sentait particulièrement heureuse. Il fallait qu'elle remédie à cela, mais comment ? Elle ne le savait pas encore, mais elle finirait bien par trouver. Elle avait toute la journée devant elle, voire même toute l'année ou toute la vie... Et puis ce n'était sûrement pas demain la veille qu'elle se ferait attaquer par un détraqueur.

« Et normalement, ça fonctionne. Après comme je vous l’ai dit, il vous faudra plusieurs essais pour arriver à un tel résultat et moi-même parfois, j’échoue encore. Avant de passer à la pratique avez-vous des questions à ce sujet-là ? »

Beaucoup d'élèves eurent des questions à poser, intéressantes pour la plupart. Quant à Freyja, aucune ne traversa son esprit, aussi elle n'avait pas la force d'en chercher une. Elle appuya sa tête sur sa main et fixa le vide, décrochant totalement du cours.

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