Elisa rayonnait, certes elle aurait préféré être encore dans sa salle commune mais c'était beaucoup plus jouissif d'être dans une autre où personne ne peut vous le reprocher et voir les élèves d'une même maison se déchirer entre eux. Elle avait décidée de mette un terme à son plan anti Raïan certes elle ne portait pas le préfet dans son coeur mais après l'avoir observée discrètement elle avait compris qu'il ne représentait aucune menace et qu'il pouvait apporter beaucoup au Serpentard. la dispute entre lucy et bailee à laquelle avait assistait bien calée dans un fauteuil l'avais rendu d'humeur joyeuse.
Vous êtes trop drôles les serdaigles dit elle en s'adressant à personne en particulier
Peut importe qui l'entendait rien ne pouvais la mettre de mauvaise humeur son attitude était tôt simplement celle d'une squatteuse mais le meilleur c'était qu'elle était une squatteuse légale. Ce masque le mangemort bien qu'on ignore toujours le coupable été ce qui lui était arrivé de mieux dans cette école. Elle rêvait de pouvoir allez à préau-lard malheureusement elle n'était quand deuxième année de plus elle avait perdu bailee alors qu'elle c'était promis de découvrir plus sur elle c'était sa cible principale. Voyant différent regard braqué sur elle elle échangea son air pensif par un sourire provocateur!
Dernière édition par Elisa Santuria le Sam 1 Juin - 14:41, édité 1 fois
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(#) Sujet: Re: [ANNEE 2018-2019] Mode espionnage (fini) Mer 29 Mai - 14:53
En cette fin de journée, j’avais décidé de quitter les dortoirs pour partir lire dans la salle commune, et ainsi essayer de me mélanger un peu autres. Ces derniers temps avec les buses, je préférais m’éloigner de toutes et de tous afin de mieux m’y préparer. Mais ce soir, c’était différent. Je saturais. Je ne pouvais plus rien retenir et suite à l’extrême fatigue, je loupais tous mes sorts. Aussi, j’avais décidé de m’accorder un temps de repos, bien mérité ma foi. Je pris un livre, rajusta mon uniforme avant de quitter les dortoirs. En arrivant en bas, je ne croisai pas grand monde : quelques serpentards squattant notre salle commune depuis que cette stupide cagoule fut retrouvée et des Serdaigles, cherchant à travailler. Je partis m’asseoir dans un coin, près de la cheminée, maintenant éteinte. Me plongeant dans mon bouquin, je perdis le fils des événements se passant autour de moi. C’était souvent le cas lorsque je lisais, je n’accordais que peu d’attention à ce qui m’entourait. Cependant, un événement troubla mon silence. Une sorte de différent opposant une année de nos rangs à Lucy Blunt, se fit entendre. Levant le nez de mon livre, j’observai la scène en silence puis, ayant compris que cela n’avait que peu d’importance, replongeai dans mon livre. Toutefois, quelque chose m’énerva et détourna, une nouvelle fois, mon attention.
C’était une vulgaire vipère de seconde année qui se riait de nous. De quoi se mêlait-elle cette fille ? Elle ne valait pas mieux que quiconque ici présent et de plus, ceux qui étaient les plus drôles, c’étaient ces serpents, n’ayant aucun cran pour passer à l’action en face. Préférant agir dans le dos. C’était pitoyable. Ne voulant pas me déplacer pour elle, mais ne souhaitant pas laisser passer cette remarque déplacée, je répondis d’un air froid et certainement plus agressif que je ne l’aurais voulu. Mais je n’y pouvais rien, son sourire provocateur me révulsait.
- C’est l’hôpital qui se fiche de la charité là. Nous ? Drôle ? Excuse-moi, mais nous au moins lorsqu’on a quelque chose à dire ou à faire, on ne le fait pas derrière le dos des gens. Et puis, ne te crois pas tout permis, vipère. Tu n’es pas chez toi ici. Lançai-je amère.
Je me doutais bien qu’après ça, elle ne resterait pas inactive. Mais je ne pouvais pas ne rien dire. Fermant mon livre, j’attendis patiemment qu’elle réponde à son tour, croisant les doigts pour qu’elle ne décide pas d’en venir aux baguettes.
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(#) Sujet: Re: [ANNEE 2018-2019] Mode espionnage (fini) Mer 29 Mai - 21:33
Elisa aimait lancé des bombes c'était une de ses spécialités et elle savait qu'un serdaigle allait répliquer vite fait voila pourquoi elle tendît l'oreille elle n'eut pas à attendre longtemps elle entendit quelqu'un s'approchait et répliquait.
- C’est l’hôpital qui se fiche de la charité là. Nous ? Drôle ? Excuse-moi, mais nous au moins lorsqu’on a quelque chose à dire ou à faire, on ne le fait pas derrière le dos des gens. Et puis, ne te crois pas tout permis, vipère. Tu n’es pas chez toi ici.
Elle se retourna et fit face avec un sourire au Serdaigles elle ne le connaissait pas mais a évalué son âge il devait être en 5ème année justement celle des buses aucune insigne de préfet le pauvre n'avait rien d'intéressant à lui offrir mais elle ne put s'empêcher de répliquer quand même sa ne ferait quelques minutes de révision de moins pour lui de plus il avait l'air déjà bien énervé. Sur attaquer un Serdaigle dans sa propre salle commune était dangereux mais Elisa ne s'inquiéta pas elle doutait qu'aucun deux n'oserais l'attaquer avec un sortilège voila pourquoi elle ne pris même pas la peine de sortir sa baguette, c'était vraiment trop facile un caractère emporté qui répondait une réponse médiocre croyant insulter les serpentard. Elle se retourna afficha son plus beau sourire de vipère.
"Oh tu as réussi a trouver une différence entre nous le problème c'est que ce n'est pas la bonne" répliqua t elle "la principale différence c'est que quand ont a quelque chose à faire ou à dire on le fait ou on le dit, et tu te trompe j'ai été relogée ici bien que ça ne m'enchante guère c'est mieux que chez ses idiots de pouffy ou ses tètes brûles de gryf donc j'ai tout à fait le droit d'être ici je suis autant chez moi que toi."
Elle savait très bien qu'elle allait se mettre à la maison une bonne partie des Serdaigles mais c'était bien évidemment son but
Elle se fichait de moi cette vipère ? Depuis quand ses pauvres dindon psychopathes (1) de serpentards faisaient autant de choses qu’ils n’en disaient ? J’avais certainement loupé un épisode, c’était littéralement le mode à l’envers. Cette fille me mettait vraiment hors de moi. Délaissant mon livre, je me levai et lui fit face. Elle devait être en première ou seconde année, je la dépassai d’au moins deux têtes. Au moins, il fallait bien lui reconnaître de l’audace et de la témérité. Oser me répondre et s’en prendre à moi dans ma propre salle commune…c’était soit un acte de courage, soit un truc très stupide. Je pencherais plus vers la seconde. Je décidai de lui répondre, en me remémorant une phrase entendu dans un film moldu : que la force soit avec toi (2) disait un personnage à un autre. C’était tout à fait ça, j’en avais bien besoin.
- Je n’ai pas de leçons à recevoir d’un blaireau qui a un sens des responsabilités comparables à celui d’une mouette (3). Répliquai-je, en me doutant bien qu’elle ne comprendrait rien. Autrement dit, tu n’as pas à me faire la moral sur votre soit disant franchise. Je te rappelle que pour terminer à serpentard, il faut être vil, fourbe et lâche. Qualité que tu possède puisque tu t’y trouves. Lançai-je, amer. Dans ton cas je rajouterais même stupide. Car s’en prendre à un serdaigle au milieu de sa salle commune, en étant seule, ce n’est pas spécialement une preuve d’intelligence.
Par la suite, je reprit mon souffle et continuai de jauger cette impertinente vipère. Dans ma vie moldue, je n’aurais pas hésité un instant à lui mettre mon poing dans la figure. Cependant, ici c’était différent. Et puis, ce n’était qu’une enfant et une fille…aussi mes principes de gentleman m’interdisait de la frapper. Toutefois, ce n’était pas l’envie qui m’en manquait, croyez-moi ! Lorsque les autres maisons furent évoquées, je sentis la moutarde me monter d’avantage au nez. Pour qui se prenait-elle ? La reine des vipères ? Et bien désolée de la décevoir, mais elle ne valait pas mieux qu’un scrout à pétard dans une merde de Troll. Bouillonnant à l’intérieur de moi, je lui répondis en essayant d’être calme. Elle ne valait pas la peine que je m’époumone.
- Primo, ces idiots de Pouffy comme tu dis, valent bien mieux que toi et tous les autres serpents. Ils vous surpassent tous niveau intelligence. Preuve, ils ne perdent pas de points inutilement eux. Secundo, ces têtes brûlées de Gryf, ont au moins le mérite d’avoir du courage. Ils assument leurs actes et ne se cachent pas derrière des mensonges peu crédibles comme le font certains serpents ou vipères. Tertio, tu as certes été relogé ici, mais tu n’y seras jamais la bienvenue. On ne mélange pas les torchons avec les serviettes. Ta place, c’est dans vos cachots humides et puants. Alors ne t’avise pas de faire comme chez toi, car ce n’es pas le cas. Crachai-je. Tu seras toujours en minorité parmi nous, taches de t’en souvenir.
N’ayant plus rien à dire, je tournai les talons et me dirigeai vers les dortoirs. Cela ne servait plus à rien que je reste ici, ci ce n’est pour user ma salive inutilement. Ce genre de personne était si stupide, qu’elle n’arrivait jamais à se remettre en question ou à admettre leur défaite. La faute à leur fierté démesurée. Cette petite altercation avec cette vipère m’aura conforté dans mes opinions. Jamais je ne pourrais m’entendre avec des serpents. Ils étaient trop fermés d’esprit, trop fier et trop prétentieux pour ça. Ils me dégoûtaient. En arrivant au dortoir, j’espérai y retrouver Khalis ou Alekseï, histoire de me détendre et de penser à autre chose. Sinon, j’allais très mal dormir…trop tendu que j’étais. Enfin, demain est un autre jour (4), ma tension aura certainement disparu.
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