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Discussion au coin du feu [Annabeth S. & Leila M.]
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Message(#) Sujet: Discussion au coin du feu [Annabeth S. & Leila M.] Discussion au coin du feu [Annabeth S. & Leila M.] EmptyMer 13 Mar - 20:26



"Annabeth"
&
"Leila"
© Never-Utopia

La nuit était tombée dans le château et tous les élèves revenaient de la salle commune où la directrice McGonnagal venait de nous dire qu'il y avait eue certain problème dans les cachots du château et celui-ci avait dû être évacué. Coup dure pour la maison Serpentard. Enfin je pensais plutôt coup dure pour nous ! En effet, les élèves de la maison Serpentard devait dormir dans les autres dortoirs le temps de régler l'accident. Je ne savais pas exactement de quoi il s'agissait, mais j'avais entendus des premières années dire qu'il y avait un article dans la gazette des sorcier à ce sujet, c'était l'occasion de voir ce qu'il en était vraiment. Je suivis la meute d'élève de ma maison qui se dirigeait vers notre dortoir suivit des élèves de Serpentard qui y avait été assigné.

Cet événement avait eue lieux en décembre, la veuille de Noël, quoi de plus beau cadeau que d'entendre que les Serpentard allaient vivre avec nous. Quand la directrice nous avait parlés cette nouvelle, je pensais que cela serait vite réglé, mais au contraire rien n'avait vraiment bougé à ce sujet, les sorties à pré-au-lard était toujours suspendue et les élève de Serpentard vivait toujours dans notre dortoir. A mon souvenir, plus rien ne fut cité à ce sujet durant les deux derniers mois dans la gazette des sorcier et je me demandais pour quels raisons. Pour moi il y avait deux raisons possibles et qui était à l'opposer l'une de l'autre. La première serait qu'ils n'auraient rien trouvé mais qu'ils ne prennent pas le temps de remettre les choses dans leur état normal. Et la seconde, qui était la plus probable pour moi, c'était qu'il y avait vraiment un problème te qu'il ne nous tient pas informé pour nous épargner, et que personne ne cède à la panique. Dans tous les cas rester dans l'ignorance ne me plaisait pas du tout et ce n'était pas l'envie qui me manquait de faire quelque recherche. L'ennuis, c'est que je ne trouverai pas de réponse dans mes livres, pour la simple et bonne raison que ces réponses sont entre les mains des adulte et que s'ils ne voulaient rien nous dire, ils ne le feraient pas, même si je leur demande.

C'était ce genre de penser qui m'animait alors que je retrouvais assise en biais, les jambes par-dessus l'accoudoir du fauteuil le plus près de la cheminée de la salle commune de Poufsouffle. J'étais remonté assez tôt de la grande salle, ce qui expliquait que ma salle commune soit vide. Soit les autres élèves de ma maison étaient encore en train de diner, ou alors ils traînent dans les couloirs ou ailleurs avant de monter dans la salle commune. Dans un sens ce n'était pas plus mal. Grace à cela, je pouvais mettre mon temps libre à profit pour lire, ou alors réfléchir dans le calme. Et c'était précisément un moment comme celui-ci là. Je tenais dans mes mains le numéro du 24 décembre de la gazette des sorciers, ouvert sur la page concernant Poudlard, le relisant plusieurs fois essayant de trouver un sens caché, une explication pourquoi on ne nous disait rien à ce sujet depuis le début janvier et pourquoi j'avais le sentiment qu'il ne faisait rien ; ce qui devait être faux bien sûre, il était évidemment que le personnel de l'école devait être en train de régler le problème. Mon oeil se posa une dernière fois sur l'article.

Spoiler:

Après cette dernière lecture, je laissai le journal sur la petite table basse qui se trouvait entre mon fauteuil et celui qui était en face de moi, relâchant tous mes muscles fermant les yeux pour profiter de la chaleur ambiance bercer par les cliquetis des braise de la cheminé de la pièce. C'est après quelques minutes que j'entendis du mouvement, les élève remontait vers le dortoir petit à petit en continuant leur conversation et restait ou non dans la pièce. Ma tranquillité partie donc en fumé avec le bourdonnement qui avait envahi la pièce. C'est alors que je vis un visage sympathique rentré, il s'agissait de Leila Macfadyen, une des rare personne avec qui je m'entendais réellement bien et avec je pouvais étudier en paix et avoir des conversations constructives. Cela me changeait de beaucoup de camarade, entre ceux qui m'indifférait et ceux que je ne supportais pas, je n'étais pas vraiment gâté, même si je pensais que la majorité des élève de Poufsouffle (à par quelque cas bien sûre) était des personnes respectables, contrairement à d'autre.

Je lui fis signe de venir histoire de discuter un peu, nous n'avions pas eue le temps de parler ces derniers temps et mine de rien cela me manquait un peu. J'attendis tranquillement qu'elle s'approche, me redressant sur mon siège, pour m'adosser sur le dossier de celui-ci. Une fois qu'elle fut à ma hauteur, je lançai là conversation.

« Bonjour Leila, Comment ça été ta journée, je n’ai eue l’occasion de te le demander ... »


Je fis un signe du menton pour qu’elle s’installe devant moi, attendait sa réponse en lui lança un sourire amical.
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Message(#) Sujet: Re: Discussion au coin du feu [Annabeth S. & Leila M.] Discussion au coin du feu [Annabeth S. & Leila M.] EmptyDim 17 Mar - 3:51

"Pourquoi se moquer de moi les amuse autant?" C'est ce que Leila se demande après chaque moquerie gratuite fait en son honneur. Elle trouvait cela si puérile. Certes, c'était une fille étrange mais ce n’est pas comme si elle était méchante. Au contraire, elle ne dit rien à personne et est au mieux de sa forme quand personne ne lui parle. Les gens sont si immatures. Au début, cela la touchait, la blessait même. Aucune personne de normalement constitué aime se faire insulter. Les premiers mois de cohabitation avec tant de personnes ont été très douloureux mais désormais, elle s'en contre-fiche. Il faut avouer que sans Sasha A. Mayfair, Leila serai dans le même état qu'auparavant. Mais Sasha lui a donné confiance en elle et lui a appris à ne plus faire attention à ce qui se disait dans les couloirs. Ça a tellement bien marché que Leila ne fais attention à rien : ni au gens, ni aux objets, ni à quoi que ce soit d'autre. "C'est sans doute pour cela que je suis si maladroite!" Le prix à payer pour avoir la tête dans les nuages, c'est des bleus partout. Mais la demoiselle s'en fichait puisqu'elle était plus ou moins heureuse.
Leila se demandait pourquoi tant de monde s’acharnait sur elle? Bien sûr, il y avait toutes les rumeurs déplaisantes que lançait Isis sur elle. Mais même avant ça, les gens se foutait d'elle. "Bon je ne vais pas en faire toute une histoire, j'ai quand même quelques amis" Et aussi étonnant que cela puisse être, c'était vrai. La jeune timide avait réussi à créer quelques relations auxquelles elle tenait plus que tout. Ses vrais amis se comptaient sur les doigts. Leila était en train de les compter sur ses jolis doigts quand elle se rendit compte qu'elle n'était pas seule dans le couloir et qu'un gamin la dévisageait. "Quoi, avait-elle compté tout fort ou était-il, comme les autres en train de se foutre d'elle? Qu'importe!!!" La jeune femme avança plus vite pour semer le petit et se retrouva coincé dans le flot des élèves rejoignant la salle commune de Poufsoufle. Un flot trop bruyant pour Leila. D'habitude, elle s'arrange toujours pour arriver avant tout le monde mais ce soir elle s’est planté. "C'est ça d'être tête en l'air!"
Leila entra dans la salle et regarda autour d'elle. "La salle est encore et toujours blindé!" Leila savait pourquoi, évidement mais ça l’agaçait. Non pas parce que la raison de se surpeuplement de la salle commune était dû aux Serpentards mais juste parce qu'elle détestait la folle. Leila ne détestait pas les Serpentards comme beaucoup des autres élèves. Si elle se serait retrouvé là-bas, elle se serait porter aussi bien. Leila avait eu l’occasion de rencontrer des Serpentards très bien et des Poufsoufle stupides comme des pieds. La maison ne faisait pas le caractère de quelqu'un mais le renforçais peut-être. En tout cas, les Poufsoufles la dérangeaient autant que les autres. Le mieux, pour une jeune femme aussi discrète que Leila était de passer inaperçu durant la traversé de la salle et rejoindre son dortoir. Là, elle serait tranquille.
Leila pris une grande inspiration avant de traversé la nuée d'élèves (Nan je n'exagère pas) tout en plaçant sa mèche de cheveux pile devant son visage. Et c'est là qu'elle l’aperçu! Encore une personne à la dévisager! A moins que !!! Cette personne ne la dévisageais peut être pas mais l'observait juste parce qu'elle la connaissait. Leila fit pivote ses cheveux sur le côté d'un mouvement de tête pour voir plus clairement. La fille qui l'observait n'était nullement autre qu’Annabeth, une très bonne amie à Leila. Cette dernière fut soulagée et souri à sa confidente. "Faut que t’arrêtes d'être parano ma vieille !!!"

« Bonjour Leila, Comment ça été ta journée, je n’ai eue l’occasion de te le demander ... »

Leila n'était plus qu'à quelques mètres de son ami quand elle se prit les pieds dans le sac d'un de ses camarades et faillit tomber de tout son long. Elle se rattrapa de justesse au rebord de la table. Quelque ricanement se fit entendre près d'elle. Même si elle avait réussi à se rattraper, sa chute n'avait pas échappé aux vipères de services. Tant pis, ce n’est pas comme si elle n'avait pas l'habitude. Elle sourit à Annabeth et s'installe en face d'elle comme si rien ne c'était passé.

"Bonjours! Quelle arrivé discrète je viens de faire là! Et dire que j'adore me faire remarquer !!!"


Leila dit cela sur le ton de la rigolade. Annabeth était l'une des rares avec qui Leila était naturelle. Elle arrivait à se décoincé et rire. Bien sûr, toute cette phrase n’était qu'ironie. C'est dans des moments comme ça qu'elle aimerait être un véritable fantôme. Mais bon, la vie continue.

"Comment vas-tu? Moi comme tu viens de le remarquer, ma vie n'est qu'un désastre continuel! Je suis un boulet mais je le vis bien. En tout cas, on ne se voit plus trop en ce moment. Ça me manque!"

Leila était on ne peut plus sincère. Les longues conversations sur tel ou tel livre, tel ou tel garçon et autres lui manque beaucoup. Elle n'a ce genre de conversation qu'avec Annabeth. Elle se promit de faire un effort pour se retrouver plus souvent ensembles.

"Alors quoi de neuf? Et que lisais-tu avant que je t’interrompre avec ma cascade?"

Leila avait remarqué le journal que tenait son ami...
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