Parce qu'il y a toujours des préfet(e)s sur notre chemin ( PV: Lucy Weasley ) ( Terminé )

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Parce qu'il y a toujours de préfet(e)s sur notre chemin
( PV: Lucy Weasley )

La salle commune des Serpentards grouillaient de monde. C’était normal puisque dehors une tempête de pluie avait décidé de faire ravage. Condamnés à l’intérieur en ce samedi après-midi, la plupart des élèves avaient décidé de bavarder dans la salle commune et c’est pour cette raison que je décidai de me rendre à la bibliothèque. On croirait que ce n’était pas mon genre et que j’avais seulement besoin de renseignements pour faire mon devoir de métamorphose, mais j’aimais tout de même la solitude des étagères couvertes de livres abondants. Malgré que je suis quelqu’un qui adore s’amuser et rigoler, je suis tout de même studieux. Et oui, moi, studieux. Mais bon, c’est seulement dans certains cas où c’est plus favorable, de bonnes volontés qui sont toujours compromises. Bon, alors je ramassai mes affaires, ma plume et son encre ainsi que mon devoir de métamorphose. Je ne comprenais pas comment des gens pouvaient se compliquer la tête et apporter 150 choses qu’ils n’ont pas besoin. Alors, je pris le chemin pour me rendre à la bibliothèque qui se trouve au premier étage. Je croisai quelques personnes sur mon chemin, que je saluai avant de rentrer dans la bibliothèque qui étaient à peu près vide. Je pris une table libre en y déposant mes affaires sur le coin, juste pour dire que j’occupais la place et j’allai me perdre dans les rangées pour trouver un livre qui m’aiderait pour ma rédaction. Quand je revins, à peine dix minutes plus tard, mes choses avaient disparu et une préfète de Griffondor se tenait à la place où j’avais mis mes affaires. Je m’avançai vers elle et lui dit :

- Eum, j’avais mis mes choses là, je désignai le coin de la table, je pourrai savoir ce que tu en as fait ?

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Aujourd’hui il pleuvait, mais moi, ceci ne changeait pas grandes choses. J’irais quand même à la bibliothèque,

m’assurerais de prendre la meilleure place de la bibliothèque et puis j’irais choisir un bouquin sur le quel je ferais

mon projet du cours défense contre les forces du mal. Je sortis de la salle commune qui soit disant était d’une

chaleur étouffante. Après d’avoir descendu plusieurs étages, je vis la bibliothèque et j’y entra. Un atmosphère de

paix régnait dans toute celle-ci. Quelques élèves avaient déjà commencer à s’étaler sur des tables. Je me dirigeai

vers ma table favorite :loin dans la bibliothèque , à proximité d’une fenêtre qui donnait sur la vue du parc et là où

les livres les meilleurs étaient. Je déposai rapidement mes livres , tellement qu’ils tombèrent sur le sol. Je continuai

mon chemin ignorant totalement le bruit causé par mes bouquin. Je ne cherchai pas longtemps, car je trouvai le parfait

ouvrage qui m’aiderait pour ma recherche. Je retournai à ma place, mais au lieu de voir une table vide et des bouquin un

peu éparpiller sur le sol, il y avait des livres parfaitement placés le problème , ses livres ne m’appartenaient pas. Je fis mine

de ramasser les miens et déposer les autres sur une table non-loin de moi. Je commençai ma lecture quand quelqu’un s’approcha

de moi. C’était un serpentard et je le connaissais très bien. On disait de lui qu’il était à demi-vampire, mais ceci ne m’effrayait pas. On

disait aussi qu’il aimait bien enfreindre le règlement. Je n’avais totalement pas peur de lui et plus qu’il s’approchait de moi, plus que le

sentiment colère grandit dans mon estomac: il m’avait sûrement piqué ma place pour m’énerver, car il n’avait rien à faire dans une bibliothèque.

Je fus tirée de mes pensées par sa voix grave.

« Eum, j’avais mis mes choses là, je désignai le coin de la table, je pourrai savoir ce que tu en as fait ? »

« Ah bon ? Désoler j’étais là avant juste que mes livres étaient tombés sur le sol et que tu ne les as pas vus.

Pour tes bouquins à toi, je les ai mis sur la table là »

Je lui pointai la table en question et retournai à ma lecture, mais quelques choses

me disait qu’il était encore là et il voulait me parler…….

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J’étais légèrement en colère. Pourquoi fallait-elle qu’elle prenne la place que j’avais pris? C’est bien beau d’être préfète, mais faut pas exagérer les privilèges tout de même. Non ? C’est alors qu’elle répondit à ma question que j’avais posée quelques secondes auparavant :

- Ah bon ? Désolé j’étais là avant juste que mes livres étaient tombés sur le sol et que tu ne les as pas vus.

- Et puis, qu’à tu fais de mes choses ? dis-je d’un ton rapprocheur.

Mais elle rajouta immédiatement :

- Pour tes bouquins à toi, je les ai mis sur la table là, dit-elle en pointant une table où un deuxième ou troisième année de Serdaigle se trouvait déjà.

Non, mais là. Elle voulait vraiment que je m’assois à côté d’un petit élève qui m’observerait tout le temps? C’était déjà assez difficile de se concentrer comme ça, alors non merci.

- Et pourquoi, toi tu n’irais pas ? dis-je d’un ton tout de même ironique, mais poli.

Il ne fallait pas mettre tout de même en colère cette pauvre préfète. On ne sait jamais, faut ne pas essayer d’attirer les ennuis. Malgré que ce soient toujours eux qui viennent à vous, mais bon. De plus, elle ne semblait pas vouloir répondre, puisqu’ elle continuait à lire tout simplement comme si j’étais une personne invisible. Je n’avais pas le choix, on dirait :

- Hey, c’est à toi que je parle, Weasley.
Elle semblait ne pas vouloir répondre, non mais ce n’était pas possible qu’elle me mettait en colère pour ça ! J’avoue que j’ai tendance à colérique pour rien, mais là, si ça continuait comme ça, je ne finirais jamais ou plutôt commencerais jamais mon devoir…

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Et pourquoi, toi tu n’irais pas ?

J'étais furaxe. comment faisait-il pour avoir un si grand culot de me demander d'aller ailleurs.
C'était bien moi qui était arrivée en premier. Ce n'est pas moi qui va changer de place !
Alors je me contentai de lire mon bouquin et l'ignorer comme il m'avait toujours ignorer
( je suis sûre qu'il n'avait jamais remarquer que j'existais).

- Hey, c’est à toi que je parle, Weasley

Il avait le culot de m'appeller par mon nom de famille !

" Je te l'ai dit. J'étais là bien avant toi ! Désoler "

Il me regardait comme si lui aussi n'était pas de mon avis. L'air de la bibliothèque qui tantôt calme
devenait étouffante et bruyante....

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La sourde oreille semblait lui plaire, mais pas à moi. C’est enfin, qu’après une ou deux minutes de silence qu’elle répondit :

- Je te l'ai dit. J'étais là bien avant toi ! Désolé …

C’était que ça ? Voyons, mais quesque c’était cette histoire enfantine ? On allait rester toute la journée à se dire qu’on était là en premier et que c’était l’autre qui devait s’en aller ? Visiblement, je perdais vraiment patience. Et je fus quelque chose qu’habituellement je n’aurais pas fait. Je contournai la table pour me placer directement devant elle, question qu’elle voit que j’allais rester à cette table avec ou sans elle. Avec de la chance, elle décidera par elle-même de changer de table. Je commençai à ouvrir le livre que j’avais pris pour faire mon devoir de métamorphose. Puis commençai à lire le chapitre qui portait sur mon devoir.

La métamorphose complexe est une succession de métamorphoses conduisant à la métamorphose finale…

Je levai les yeux discrètement, et comme j’y avais pensé la Griffondor me fixait avec des gros yeux. Allait-elle finir par craquer ? Où il serait oubligé de retourner dans la salle commune ? Au pire, j'allais finir rapidement mon devoir et déguerpir le plus vite pour plus LA voir. Puisque, cette situation commençait royalement à m'ennuyer...Moi qui avait cru pouvoir m'amuser un peu ...

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Je n'en revenais pas , il s'avait assis avec moi . Cela me dérangeait point au moins, je pourrais continuer
mon projet. Il sortit un gros bouquin et je le reconnus.

La métamorphose complexe est une succession de métamorphoses conduisant à la métamorphose finale…

Non Non ! Moi aussi je l'avais fait ce devoir. Tout dans le livre était faux pas pour rien que plusieurs élèves l'avait coulé !
Une chance que moi j'avais été futée et j'avais chercher plusieurs livres avant de tomber sur cet ouvrage. Couverture bleu
émeraude et écriture en or rangé dans la section référence. Il fallait que je lui dise.

" ne prend pas ce bouquin , il est bourré de fautes ! J'en connais un qui pourrait t'aider."

Aussitot, sans même entendre une réponse de sa part, je me levai et cherchai le livre en question. Par chance personne
ne l'avait pris. Je revins à ma place et lui donnai le livre.

" Lui est mieux"

Sans dire un mot, je retournai à mes propes affaires.

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Je lisais tranquillement, commençant même à oublier la personne à l’avant de moi. Ah, enfin le calme espéré et la tranquillité pour faire …

- Ne prend pas ce bouquin, il est bourré de fautes !

Elle avait pratiquement crié et toutes les têtes de la bibliothèque se tournèrent vers nous. Et, pour rendre encore l’expérience plus étrange, la Griffondor se leva et dit rapidement :

- J'en connais un qui pourrait t'aider.

Puis elle allait d’un air affolé, comme si quelqu’un allait sortir d’un moment où un autre et allait lui courir à près. Elle courrait pour aller chercher un livre comme si sa vie en dépendait. C’était pathétique ! Elle revient aussi vite qu’elle était partie avec un livre qui avait une reliure bleue. Elle me le remit en main, puis s’installa comme si rien ne s’était produit et puis dit :

- Lui est mieux.

Non, mais elle avait-elle étudié tous les livres de la bibliothèque ? Cette fille commençait à devenir cinglée ou elle l’était déjà naturellement. Fallait mieux utiliser son livre pour en finir le plus rapidement possible. Je n’allais pas tenir une minute de plus dans cet endroit. Je me levai donc de ma chaise et lui remis le livre à côté d’elle.

- Merci pour l’information, miss-je-sais-tout-des-livres …

J’allais maintenant pouvoir franchir la porte de la bibliothèque, enfin débarrasser d’elle !

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-Merci pour l’information, miss-je-sais-tout-des-livres …

comment osait-il ?? je ne voulais que l'aider et je ne connaissais pas les livres de la bibliothèque ,
mais seulement ceux que j'avais emprunté. Désidément, il était éfrontter, mais je n'étais pas si triste.
Le stupide serpentard marchant en trombe vers la porte de sortit. En tant que préfet en chef, une chose était inévitable.
Je devais l'envoyer en colle pour avoir insulté une préfète qui ne cherchait qu'à l'aider! La prochaine
fois, quelle prochaine fois ? Je le ratrappai facilement et lorsque je fus à coté de lui.

-S'avait tu que MISS-JE-SAIS-TOUT-DES-LIVRES ne lit pas que des bouquins mais donne des retenues ?? 2 heures et je suis gentille, l
a prochaine fois n'insulte pas quelqu'un qui fait juste T'aider.

J'étais fière de mes paroles. J'avais afficher mon plus beau sourrir sournois . Peut-être allait-il réaliser combien il était impoli ?

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À peine j'avais franchi le portail de la bibliothèque que j'entendis sa petite vois dire :

- S'avait tu que MISS-JE-SAIS-TOUT-DES-LIVRES ne lit pas que des bouquins mais donne des retenues ?? 2 heures et je suis gentille, la prochaine fois n'insulte pas quelqu'un qui fait juste T'aider.

Quoi ? 2 heures de retenue juste parce que je l'avais supposément blesser dans son petit coeur. Non, mais là... faut pas exagérer. C'était sûrement pas la première fois qu'elle entendait du mal d'elle là et sinon c'est qu'elle était trop occupée à collé les autres pour se rendre compte que les gens parlent dans son dos. J'étais complètement épuisé et il y avait toujours encore cette vague de colère qui montait en moi, simplement par sa présence j'imagine. Je décidai de lui faire un sourire moqueur et de m'en aller réellement de la bibliothèque. Je m'aurai habituellement obtiné, mais là je n'avais qu'une envie: retourner dans les cachots. Je parti donc de la bibliothèque et laissa derrière moi cette préfète avec ses incalculables bouquins et ses réglements appris par coeur. Il y avait une tonne de personnes dans les couloirs, le beau temps n'étaient pas revenu et le souper allait bientôt débuté. Je n'avais pas super faim, peut-être que je mangerai ce soir lorsque la nuit serait tombé. Un petit coucou aux cuisines et voilà, vous mangez aux heures que vous voulez...Ça ne me pris pas beaucoup de temps pour rejoindre le sous-sol et les froids murs des cachots. Je réentra dans ma salle commune et alla voir quelques Serpentards qui parlaient dans un coin pour me changer les idées.

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