Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

Partagez
 
Vert... de jalousie? [Lucy Blunt]
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 30 Oct - 0:48


    Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] 291233tumblrlwcah8cvl41r8wwiao9500
    Aubrey White
    & Lucy Blunt

    La jalousie voit tout, excepté ce qui est.
    Xavier Forneret


    L
    es feuilles étaient tous désormais tous coloré d'orange, de rouge et bien encore de jaune. Quelques une avait même déjà trouver la mort sur l'herbe et se retrouvait sèche et brune. Le parc devenait donc un endroit charmant à fréquenter, malgré le vent qui commençait lentement à la hanté et de manière plus régulière que lors du mois de Septembre. Octobre lui même tirait sur sa fin, laissant lentement sa place à ce qui serait un hivers enneigé pour l'école de sorcellerie Poudlard. Certes, jamais un hivers européen ne serait aussi pire que ceux connu en Amérique, ça la jeune Aubrey White en avait entièrement conscience. Elle avait vécu aux état-unis pendant un bon moment, elle avait vécu de lourd hivers, jeune frileuse qu'elle était, le fait de vivre ou le froid et la présence de neige étaient moins pire la réconfortait grandement chaque année. En cette journée ou les feuilles du parc étaient balayer par le vent, plusieurs première année était simplement aller jouer dans les amas de feuilles. La petite Poufsouffle pour sa part avait prit la décision, sur l'heure du midi d'ailler manger dans le parc, pour ainsi profiter de ce beau paysage. Prenant froid facilement, la blonde avait enfiler par dessus sa cape au couleur des blaireaux, son manteau d'uniforme, ses gang jaunes et des cache oreille jaune. Ce qui était plaisant avec cette couleur, c'est que tout venait s'agencer avec sa chevelure blé et aidait également à faire ressortir la couleur de ses grand yeux bleu. Botte de pluie jaune également, mais avec le semelle d'un rose fushia au pied, au cas de croisé de la boue ou des flaques d'eau, Aubrey prit le chemin du parc. Elle n'y resta cependant que peu longtemps. Elle rentra rapidement, une fois son repas conclu, pour se rendre à la bibliothèque. Il était dimanche, donc elle n'avait aucun cours de l'après midi, cependant les devoirs, eux, devait être fait malgré tout.

    Rentrant par la porte principal, elle prit le chemin de la grande bibliothèque. Bien qu'elle ne soit pas une Serdaigle, elle passait une grande partie de son temps dans cette salle. De plus, elle avait plusieurs amie de la maison des intellectuel tel que Lucy Blunt ou encore Julia Frajor. Pourtant, elle avait vraiment sa place chez les Poufsouffle, par le fait qu'elle était une vraie amie de confiance, qu'elle savait garder leurs secrets et être présente pour elle dès qu'elles en avaient besoin. La blonde avait toujours eux ce pouvoir de mettre les autres assez en confiance pour qu'ils se confies à elle, pourtant elle n'avait jamais utiliser cela à mal. Elle était une fidèle amie exactement comme devait l'être un bon Poufsouffle. Bien que sa première pensée envers cette maison avait été que jamais autant de jaune ne serait jolie avec ses cheveux, elle avait vite compris que au contraire, elle pouvais porter tout ses vêtements de maison sans avoir peur d'être dépareiller! Sans oublier que le jaune devait sans aucun doute être sa couleurs favorite, alors qu'elle était son plaisir que de toujours en être entouré. La seul maison que la jeune White n'aimait pas était celle des lions. Ceux-ci avait toujours un comportement immature et se croyait également supérieur aux autre pour la simple raison qu'ils avaient eux le trio potter. Aubrey ne voyait rien d'impressionnant dans ce fait, ceux qui s'y trouvait présentement n'avait absolument rien en commun avec ses trois élèves, bien que de mauvaise cause, très courageux.

    Bref, désormais dans les couloirs du château, bien que perdu dans ses pensées, la blonde remarqua sans tardé la présence lointaine de son cousin avec qui elle avait eu une soirée complète pour s'expliquer sur leurs situation familiale il y avait de cela peut-être bien une semaine. Depuis, ils s'étaient parler quelques fois, mais sans plus. En ce dimanche, le préfet marchait dans le château, probablement dans l'espoir de trouver des élèves à envoyer en retenu. Pour le grand bonheur de la petite Poufsouffle, il était seule en cette après-midi. Elle prit donc le chemin vers lui, tout souriante et lui souhaita le bonjour timidement. Les élèves les dévisageait un peu. Il n'était pas normal dans ce château de voir un jaune parler avec un vert ainsi. Ryan lui même ne semblait pas parfaitement à l'aise de lui parler ainsi en plein milieu de couloir, bien qu'il faille avouer qu'il ne savait que depuis peu qu'elle était sa cousine, cette situation pouvait être ce qui le dérangeait encore. Après avoir parler une dizaine de minutes avec la Serpentard, Aubrey lui souhaita la bonne journée et reprit le chemin de la bibliothèque. Une fois dans cette grande salle, elle prit place à une table ronde proche des fenêtre afin d'être mieux éclairer que si elle ce plaçait au plein centre. Elle déposa son manteau sur le dossier de la chaise, puisqu'il faisait bien plus chaud dans le château que à l’extérieur. Elle enleva ses caches-oreilles qu'elle déposa sur la table, accompagner de ses petite mitaines jaune. D'un geste rapide, elle tenta de recoiffer sa courte chevelure frisée.

    Puis, elle prit le chemin des étagères, cherchant un livre qui pourrait l'aider sur son devoirs de soins au créatures magique. Elle adorait ce cours plus que tout les autres. Le fait de savoir comment soignée ou juste prendre soins d'une créature rare et pouvant même parfois être dangereuse par ses pouvoirs magiques était fascinant. Sans oublier que la connaissance de ses créatures les différenciant grandement des pauvres moldu qui n'en connaissait aucune. Elle finit par prendre un livre qui parlait des sirènes. Son devoir ne parlait aucunement de ce sujet, or, la blonde savait que le lac du château en contenait, il pourrait être intéressant d'en apprendre plus sur celle-ci. Qui sait si dans le futur elle ne serait pas amener à devoir communiquer avec l'une d'entre elle. De retour à sa place, la blonde ouvrit le livre au tout début, car lorsqu'on lit un livre, il faut le faire du début à la fin et non pas dans un autre ordre pensait telle. Avant de commencer à le lire, par contre, elle prit le temps de sortir, un vieux morceau de parchemin, une plume et un pots d'encre qu'elle avait dans la poche de son manteau, désormais sur le dossier de sa chaise. Un fois prête, elle commença lentement sa lecture prenant soins de noté sur son parchemin ce qu'elle trouvait intéressant à retenir. Elle tapotait également le sol de ses talons avec ses bottes de pluie. Ce n'était pourtant pas le fait qu'elle donne ainsi des coups au sol qui rendrait l'endroit soudainement bruyant et dérangeait, puisqu'il l'était déjà à son arriver et la bibliothécaire semblait résolu à laisser les élèves continuer ainsi pour la journée.

    En effet la bibliothèque, en ce dimanche, comme presque chaque jours de fin de semaine, n'était plus l'endroit calme et apaisant que lui connaissait que normalement. Il y avait plusieurs élèves à chaque table. Aubrey était l'une des rares tables où il n'y avait qu'une seule tête. Ainsi, on entendait des chuchotement à droite et à gauche. Ce qui pouvait être plutôt dérangeant pour ceux qui essayait vraiment de travailler. La blonde détestait être déconcentrer par les élèves qui venait parler dans la bibliothèque. Surtout qu'elle savait très bien que si ceux-ci se trouvait en ses lieux en ce dimanche à parler frénétiquement, c'était pour la simple raison qu'ils avaient de nombreux devoir en retard pour le lendemain et que la panique les prenaient lentement. Voilà pourquoi elle-même faisait toujours ses devoirs à l'avance, ainsi, elle n'avait jamais de stresse d'être en retard pour un travail long et avait toujours une amplitude de temps pour les relire et les corriger avant de les remettre. C'est ainsi qu'elle avait de bonne note en classe. Elle devait être rendu cinq page plus loin dans son recueil, lorsque de pas ce firent entendre et qu'on s'arrêtait devait sa table...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 30 Oct - 8:43

En cette fin d’octobre, le temps devenait particulièrement glacial dehors, et le moindre coup de vent devenait désagréable. La douce brise d’été était loin derrière à présent, et le simple fait de songer qu’il restait encore tout l’hiver à passer avant de pouvoir réapprécier la caresse du vent sur ma peau me rendait maussade. J’aimais bien l’hiver, la neige, le froid, et tout ce qui allait avec, mais le vent qui refroidissait encore plus l’atmosphère et qui agressait le moindre centimètre carré de peau nue… c’était tout bonnement impossible d’apprécier cet acteur de l’hiver. La pluie glacée que nous avions eu dans la semaine laisserait bientôt place à de la neige d’un blanc immaculée qui recouvrirait toutes les surfaces découvertes. Quand ce sera le cas, tous les élèves assez masochistes pour sortir par des temps infernaux, feraient du parc du château leur résidence principale. Je m’y voyais déjà, à observer le parc par la fenêtre de la salle commune, voir les plus jeunes faire des bonhommes de neige, ou encore faire des batailles de boules de neige. Autant, je comprenais l’intérêt de ces dernières dans l’amélioration ou la dégradation des relations sociales, autant le pourquoi les gens faisaient des bonhommes de neige m’échappait. Je ne voyais aucun intérêt si ce n’est celui de se congeler les doigts et de les perdre. Oh, bien sûr, je n’étais pas un exemple de comment se comporter en société, mais au moins, j’avais des principes. Et aucuns d’eux ne parlaient d’aller risquer de mourir d’hypothermie. En pensant à cela, un frisson me parcourut. C’est qu’il faisait froid dans mes pensées… Bref, en tout cas, il faisait encore plutôt bon aujourd’hui, et comme il en fallait plus pour m’enfermer à l’intérieur, j’avais passé toute la matinée dehors, près du lac, à regarder celui-ci dans le blanc des yeux sans rien trouver de mieux à faire en ce dimanche matin. Une bonne partie des élèves devaient encore dormir, et ils avaient bien raison. Plus ils restaient dans leur dortoir, moins j’avais à supporter leur cacophonie incessante.

Mon ventre me ramena à la réalité, et je pus constater qu’il était l’heure de se rassasier. Je me levai, époussetai mes vêtements, plus par réflexe que parce qu’ils étaient sales, et pris la direction du château. Des élèves, qui avaient eux aussi décidés de prendre un bol d’air frais en cette matinée, rentraient pour se remplir l’estomac avant d’aller s’enfermer à l’intérieur pour une après-midi boulot. Je ne comprendrais jamais ça. Même les premières années, qui étaient nouveaux, avaient déjà un mois d’expérience, et tous ici devraient savoir que ça ne servait à rien de travailler à la dernière minute. Déjà que la plupart du temps, les profs donnaient tellement de choses qu’il fallait rester éveillé jusqu’à une heure du matin pour tout finir. Alors forcément, la semaine commençait déjà mal et on était crevé. Ça n’apportait rien de bon de travailler le dimanche. Dans ces cas-là, je préconisais la sèche totale. Ne pas du tout travailler était bien mieux à ce moment-là. Mieux valait éviter de se stresser pour, de toute façon, récolter une mauvaise note. Personnellement, je n’avais pas ce problème-là pour les études, et heureusement. Je travaillais tous les soirs, pour avoir le moins de boulot possible le week-end. Et en général, je m’organisais suffisamment bien pour avoir fini le samedi matin, comme ça tout mon week-end m’appartenais. Je m’installai à la table des Serdaigle, en prenant bien soin d’éviter Bailee, et me servis des petits poids avec un steak. Pas besoin de plus pour survivre. Après avoir fini mon repas, que certains qualifieraient de maigre, je me levai, attrapai un pomme, et sortis de la salle. Il me restait encore tout une après-midi à tuer, et je ne savais pas quoi faire, ni ou le faire. Je restai plantée dans le hall, analysant toute les options qui s’offraient à moi. La bibliothèque ? Qu’est-ce que je pourrais bien y faire ? Le dimanche, elle ressemblait plus à un zoo qu’autre chose. Le parc ? J’y avais déjà passé toute la matinée, je devrais peut-être changer. La salle commune ? Pour y croiser Bailee ? Non merci ! J’avais suffisamment eu à faire avec elle pour le restant de ma vie.

Finalement, j’optai pour aller lire dans le parc. Mais avant, je devais retourner dans ma salle commune pour aller chercher le livre en question. Et donc, je devais monter quatre étages pour un misérable bouquin que je voulais terminer. Qu’est-ce que je ne ferais pas pour être tranquille moi… Arrivée dans mon dortoir, j’en profitais pour enlever mon écharpe – il ne faisait plus si froid maintenant – et je redescendis avec l’objet qui m’avait obligé à faire ce détour. Je dévalai les escaliers, voulant arriver le plus rapidement possible dans le parc, histoire de ne pas faire de mauvaises rencontres, mais une vision me stoppa net. Etait-ce… Aubrey… avec Ryan ? Non, impossible ! Depuis quand les deux s’adressait la parole ? Que pouvait bien se dire deux inconnus un dimanche après-midi, dans un couloir ? Une dizaine de mètres les séparait de moi, mais d’où je me tenais, ils avaient l’air proche. Trop proche à mon goût. Je m’adossais contre le mur le plus proche, en veillant bien à ne pas être vue. Eh bien, on pouvait dire que Ryan ne perdait pas de temps. A peine venait-il de rompre avec Amara qu’il cherchait déjà à la remplacer. Et par Aubrey en plus ! Non pas que j’ai quelque chose contre elle, c’était une très bonne amie au contraire. Mais si elle osait poser ne serait-ce qu’un regard en direction de Ryan, elle finirait en chair à pâté, foi de Blunt ! On pouvait dire qu’elle était plutôt mal barrée, puisque justement, elle faisait un peu plus que de le regarder là. Elle parlait avec lui. En plein milieu d’un couloir ! Qu’est-ce qui lui prenait ? Ce n’était pas dans ses habitudes, elle était beaucoup trop timide pour aborder quelqu’un comme ça. Oh, et puis, même si ce n’était pas de sa faute, ça l’était quand même ! Ryan serait à moi, et il était hors de question qu’une de mes amies ne me fassent de la concurrence. J’avais déjà eu à attendre que son histoire avec Amara soit finie, je n’allais pas supporter une autre de ses pseudo-copines bien longtemps.

Je lançai un coup d’œil en direction de leur position, et remarquai qu’Aubrey n’était plus là. Tant mieux, je ne voulais pas la voir maintenant. Je repris mon chemin vers le parc, et m’y installai, à la même place que ce matin. Je sortis mon livre, et continuai ma lecture, mais je relisais la même ligne cinq fois avant de me rendre compte que ça n’avait aucun sens. Enervée, je refermai brutalement ce fichu bouquin, et le rangeai dans mon sac. Puis je ramenai mes jambes vers moi et les entourai de mes bras en posant ma tête sur mes genoux. Je ne pouvais penser à rien d’autre que Ryan et Aubrey, échangeant de langoureux baisers, et cette vision ne voulait pas sortir de ma tête. C’était insupportable ! N’en pouvant plus, je me levai, et rentrai au château. Il fallait que je trouve Aubrey pour éclaircir cette histoire, et il fallait que je la trouve maintenant. Où diable pouvait-elle être ? Un Poufsouffle m’apparut soudain, comme tombé du ciel, et sans prendre le temps de savoir qui c’était, ni s’il pouvait vraiment m’aider, je le rattrapai et lançai :

« Eh, désolé, tu n’aurais pas vu Aubrey White ? Une Poufsouffle de 5ème année ? »
« La dernière fois que je l’ai vu, c’était à la bibliothèque mais… »


Sans attendre la fin de sa phrase, je partis en direction de la fameuse bibliothèque en le remerciant. Pourquoi était-elle à la bibliothèque aujourd’hui ? Et pourquoi je n’y avais pas pensé plus tôt ? Bonnes questions. J’entrai dans la salle des livres, et me dirigeai vers le fond. Je la connaissais suffisamment pour savoir qu’elle serait seule à une table, et qu’elle prendrait la place la plus calme qu’elle trouverait. En effet, la Poufsouffle était comme je l’avais espérée, seule. Je pris une grande inspiration pour contrôler ma colère et m’approchai d’elle. Elle ne semblait pas encore m’avoir vu.

« Il faut qu’on parle. » Lançai-je d’un ton froid.

Pas de bonjour, ni rien. A bien y réfléchir, j’aurais peut-être dû commencer par des banalités, du style « Salut, ça va ? » « Ouais et toi » « Super ! Mais approche-toi encore une fois de Ryan et je te fais regretter d’être venue au monde. » Ouais, en fait non. C’était très bien comme ça. De toute façon, j’étais en colère, et je n’avais ni le temps ni l’envie de l’entendre s’étendre sur ses problèmes, alors qu’elle faisais partie des miens depuis peu.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 30 Oct - 19:29

    Après avoir manger son repas à l'extérieur, la petite Aubrey était rentrer dans le château dans l'espoir de trouver un coin calme dans la bibliothèque, elle avait, en route, croisé son cousine le préfet des Serpentard et avait prit le temps de lui parler, sachant bien que plusieurs curieux les dévisageait. Les deux avaient parler de la famille et pendant une dzaine de minutes, mais pas plus. Les deux avaient autre chose à faire de leurs journées il fallait avouer. Donc, Aubrey avait rapidement repris la route vers la bibliothèque qui, comme il fallait s'y attendre, n'était pas si calme que cela en un dimanche après-midi. Elle prit tout de même un livre sur les étagères et entrepris sa lecture. La blonde qui était dans la bibliothèque depuis désormais un petit moment ayant pris pour lecture une briques parlant des sirènes et des tritons. Le triton étant simplement la sirène masculine. Chose que d'ailleurs, elle ignorait ne serais-ce que quelque minute auparavant. Des créatures fascinante. Elle ignorait également le fait qu'ils était possible pour les sirènes de respirer en dehors de l'eau, certes pour une courte période, mais déjà s'était mieux que les humains qui en aucun cas, sans magies, ne pouvait en faire autant le visage dans l'eau. L'endroit le plus fréquenté des sirènes était l'Irlande., bien que l'on puisse en retrouver dans le monde entier. Tous cela, elle l'avait lu dans les quelques première pages, et le livre était géant il devait y avoir encore bien plus a apprendre sur les créatures de l'océan elle en était certaine, mais sa lecture fut interrompu alors qu'elle commencer les croyances de ses bêtes marines. En effet, des pas s'approchait vers elle et elle fini par voir son amie Lucy Blunt, de la maison Serdaigle qui s'approchait en lançant, suite à une grande inspiration...

    « Il faut qu’on parle. »

    Pas de bonjours. La conversation commençait tous simplement sec. Normalement, lorsque Lucy venait la voir, elle avait droit à un sourire et aux débuts de conversation conventionnelle, ce qui voulais dire un bonjours et un comment ça va. Sans oublier que normalement elle avait droit à un ton de voix bien plus calme. Quelques chose devait aller mal pour l'aigle blonde. Surtout qu'entendre il faut qu'on parle n'était jamais annonceur de bonne nouvelle. Son ton était étrangement froid et son regard grave. Effectivement, Lucy n'était pas toujours la plus souriante du château, mais Aubrey ne se rappelait pas avoir déjà eu affaire à un ton aussi froid de la part de la Serdaigle. Elle avait eu droit à des silences lorsqu'elle lui parlait, mais jamais à un ton sec. En effet, la première fois qu'elle s'était mise en équipe pour un sortilèges avec l'autre blonde, elle devait avoir eu droit à deux mots toute au long du cours, alors que de son côté elle lui avait tout de même parler plus souvent. C'est cette raison qui l'avait pousser à parler plus souvent avec Lucy. Les deux filles se parlait depuis quasiment le début de leurs études et avec le temps elle était devenu assez proche même. La Poufsouffle avait su se montrer présente pour la bleu et argent sans jamais la pousser à quoi que se soit. Aubrey était d'ailleurs une jeune fille douce et calme, elle ne voyait donc pas pourquoi Lucy aurait à se facher contre elle ainsi... Sauf si on lui avait raconter quelque chose qu'elle aurait bien pu faire de mal...

    D'ailleurs, qu'est-ce qu'elle avait bien pu faire? Venait-elle de découvrir qu'Aubrey, plutôt que de les garder, plaçait ses papier de bonbon mente dans son sac lorsqu'elles avaient cours ensemble? Pourtant, elle devait le faire depuis la première année, alors le sac de la Serdaigle devait déborder si elle ne l'avait pas remarquer auparavant. En fait, la Poufsouffle s'était toujours dit que cela ne devait pas la déranger si elle n'en avait jamais énoncer le fait. Ou encore, peut-être avait telle découverte sa relation avec cette Gryffondor qu'elle avait eu cette été... Oh oui sa devait être sa. Sa n’augurait rien de bon si c'était le sujet. Manifestement Lucy pourrait ce faire des idées et croire qu'Aubrey était intéresser par elle, cela créerait un malaise entre les deux amies et elle ne se parlerait plus. Qui sait, peut-être que le château serait vite mit au courant et la blonde n'aurait plus d'amis et sa famille ne l’accueillerais certes plus chez eux. Une sang-pur ne devait pas avoir de tel déviance, sa elle le savait trop bien, ou du moins elle le pensait. Quoi qu'elle devait avouer que le sujet était souvent mieux prit chez les sorciers que chez les moldu... Pourtant, Lucy ne devrait pas avoir de doute sur ce sujet, puisque encore il y a quelque jours, les deux jeunes fille parlait de garçon ensemble, non pas qu'Aubrey parlait beaucoup sur se sujet, mais disons qu'elle ne voulait pas vraiment son entourage commence à ce poser des questions sur elle. Ou encore, peut-être que Lucy était enceinte? Sa pourrait toujours expliquer le ton grave, mais cette solution était sûrement la plus improbable de toute ses pensées.

    Il semblerait que chercher une réponse dans sa tête était vraiment inutile, elle ne pourrait pas deviner ce qu'il y avait dans la tête de son amie. Surtout qu'elle commençait vraiment à imaginer n'importe quoi et le fait de fixer ainsi l'autre blonde sans parler pourrait la faire passer également pour un vrai écervelée. Le mieux était de lui répondre et tenter d'être éclairer sur la situation le plus rapidement possible. S'il se trouvait, ce n'était qu'un pur malentendu et la situation serait vite régler. Probablement juste une rumeurs lancer par les autres élèves à son sujet et Lucy l'avait prit un peu trop au sérieux ou encore une situation juste imaginer par un événement qui était arriver précédaient. Ce fut donc un peu hésitante sur comment abordé la blonde qui elle l'avait fait assez agressivement que la blonde tenta d'entré dans cette conversation qui la concernait. Aubrey osa tout de même lui adresser un sourire timide malgré tout. Puis, le petite blaireau au regard bleu demanda à son amie d'un ton incertain...

    « Heu... bonjour... Bien sur et je peux savoir de quoi il faut parler? »

    Maintenant qu'elle y faisait attention, les murmures autour d'elle était déjà moins présent et quelques curieux les regardait. Pourtant, Lucy n'avait pas crier, mais les élèves de Poudlard avait toujours ce don de repérer les situations a regarder et écouter pour pouvoir les radoté. Or, il avait vite recommencer à parler entre eux, lorsque Aubrey avait tourner la tête et posé son regard sur quelques uns d'entre eux. Elle était pourtant certaine qu'ils écouterais discrètement la conversation, bien que le fait qu'ils étaient en tain de faire des devoirs de dernière minutes pourrait les dissuader de suivre des ragots. Sans oublier le fait que sa table était tout de même éloigner et proche d'une fenêtre ce qui les empêchait d'être le centre d'attention de la place. Puis si jamais Lucy ce fâchait trop, elles finirait dehors de la Bibliothèque et Aubrey pourrait toujours tenter de se faufiler au loin... Bien que ce comportement ne lui ressemblait guerre et que la situation de son amie l'inquiète tout de même beaucoup. Elle souhaita comprendre ce qu'elle avait fait de mal cette fois-ci, pour mérite un tel ton de voix.


Dernière édition par Aubrey V. White le Mer 31 Oct - 4:58, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMer 31 Oct - 0:05

Aubrey me dévisageait depuis assez longtemps maintenant, et je me demandais si elle avait été congelé par le ton que j’avais employé avec elle, ou alors si elle n’avait tout simplement rien à répondre. Après tout, peut-être connaissait-elle la raison de ma venue, et de mon regard noir, même si cela me paraissait peu probable. Personne, en dehors d’Amara, Ryan et moi n’était au courant. Bien sûr, les filles du dortoir se doutaient bien que quelque chose se tramait au vue de l’intolérance d’Amara pour moi, et pour aucune raison en plus. Je n’avais rien fait après tout, et les deux ex-tourtereaux avaient rompu sans que je n’ais besoin d’intervenir de quelconque manière que ce soit. Si leur rupture était survenue durant l’année dernière, j’aurais pu penser qu’en effet, j’y étais pour quelque chose, mais à peine étaient-ils rentrés à Poudlard qu’ils cassaient. Je savais de source sûre que Ryan et Amara avaient passé quelques jours ensemble pendant les vacances d’été. Il avait dû se passer quelque chose à ce moment-là, qui aurait forcé Ryan à rompre avec la jeune Serdaigle. Je n’allais tout de même pas plaindre Amara pour si peu, j’avais désiré cette rupture, et si elle n’agissait pas comme une écervelée, elle aurait peut-être réussie à sauver son couple du pire. Enfin… pour moi, c’était plutôt la meilleure partie de l’histoire. Il était enfin libre. Et je n’allais certainement pas laisser cette opportunité me passer sous le nez. Après tout, peut-être que c’était la seule chance que j’avais de l’intéresser un tant soit peu. Il était hors de question de la gaspiller pour des futilités. Aussi, lorsque j’avais vu Aubrey discuter avec l’objet de mes convoitises un peu plus tôt dans la journée, j’avais été tenté d’aller arracher les yeux à cette Poufsouffle qui ne pouvait être mon amie. Cela devait être une personne qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau physiquement, mais qui était pourtant assez sociable pour aller à la rencontre d’un garçon plus vieux qu’elle.

Cette Aubrey-là ne pouvait pas être la même Aubrey qui m’avait adressé la parole durant notre première année à Poudlard, ça ne pouvait pas être la Aubrey qui remplissait toujours mon sac de papiers de bonbons parce qu’elle était trop flemmarde pour les jeter elle-même et qui pensait que je ne le remarquai pas. Ça ne pouvait pas être la même Aubrey, avec laquelle j’avais récemment échangé mes commentaires sur les mâles de Poudlard. Parce que cette Aubrey-là savait que je trouvais Ryan attirant. On n’en avait parlé pas plus tard qu’il y a quelques jours. En effet, avec Aubrey, nous parlions de tout, et pour la première fois depuis longtemps, nous avions parlé de garçons. Je m’étais amusé à passer en revue tous les garçons à partir de la cinquième année, de toutes les maisons. Et arriver à Serpentard, j’avais bien insisté sur le fait que le préfet de la maison en question était plutôt bien foutu. Bien entendu, je n’avais pas précisé que cette attirance tendait plus vers de l’obsession, mais j’avais dit la même chose à propos de celui des Poufsouffle, Logan, même s'il ne comptait plus pour moi. J’avais déjà eu à faire à lui, et ça ne s’était pas spécialement bien terminé. Maintenant que j’y pensais, Aubrey avait trouvé la situation comique à propos de Ryan, et je n’avais pas compris pourquoi, sur le moment, mais peut-être que c’était justement parce qu’elle savait qu’il n’était pas intéressé par moi, puisqu’il avait trouvé en Aubrey sa femme idéale. Tout concordait à présent. Le fait qu’elle pouffe comme ça quand j’avais parlé de lui, et leur proximité de tout à l’heure, qui me faisait encore froid dans le dos d’ailleurs.

En tout cas, la Aubrey que j’avais en face de moi ne semblait pas disposée à me répondre tout de suite. A quoi pensait-elle encore ? A la meilleure manière de m’expliquer la situation ? Ça ne servait à rien de toute façon. Il n’y avait jamais de bonnes manières d’annoncer une mauvaise nouvelle, seulement plusieurs degrés de mauvaises manières de le faire. Qu’attendait-elle donc à la fin ? Ce n’était pas si difficile à faire, si ? Si elle était uniquement angoissée à propos de la façon dont j’avais débutée la conversation, elle risquerait de mourir de peur à la fin. Surtout si elle ne me répondait pas maintenant. Je continuai de la fixer d’un regard noir en espérant que celui-ci la dissuade de continuer à faire sa muette. Mais visiblement, il ne servait qu’à lui bloquer les cordes vocales. Comme si j’allais m’apitoyer sur son sort. Pff, et puis quoi encore ! Enfin, elle esquissa un sourire, que j’avais envie d’arracher de son visage, et ouvrit la bouche :

« Heu... bonjour... Bien sûr et je peux savoir de quoi il faut parler? »

Et maintenant, elle faisait son ignorante ! De mieux en mieux. Qu’allait-elle faire par la suite ? Refuser d’admettre qu’elle avait vu Ryan aujourd’hui ? Je l’imaginais bien m’assurer qu’elle avait passé sa journée ici, sans voir personne. Mais elle ne m’aura pas avec son sourire timide cette fois-ci. Elle allait payer son manque de discernement comme il se le devait. Mais si elle voulait vraiment jouer à la petite Poufsouffle innocente et naïve avec moi, alors je n’avais qu’une seule chose à dire : que la partie commence !
Je savais qu’on nous écoutait, même où nous étions, et je n’aimais pas ça du tout. Je ne pourrais pas m’occuper d’Aubrey comme je le voulais, et apparemment, cette situation la gênait elle aussi, puisqu’elle tenta en vain de dissuader les curieux d’écouter notre conversation. Je devais me charger de tout, toute seule, comme d’habitude. Je m’approchais d’une table où deux filles venaient de remettre brusquement leur nez dans leurs cahiers. Je les reconnaissais pour les avoir déjà vu dans la salle commune. Elles étaient en quatrième année. Je posais mes mains sur la table, entre leurs deux cahiers, et leur souris, d’un sourire qui n’avait rien d’amical.

« Je vous dérange mesdemoiselles ? » Demandai-je d’un ton encore plus froid que celui que j’avais employé avec Aubrey, si c’était possible. « Vous voulez peut-être que j’utilise un haut-parleur, comme ça, vous n’auriez aucun mal à entendre notre conversation. »

Les deux filles baissèrent la tête, honteuse de s’être fait repérer, et rangèrent leurs affaires pour se poser ailleurs. Choix judicieux. Je jetai un coup d’œil sur les tables alentours. Aucun élève ne semblait vouloir continuer à se mêler de ce qui ne le regardait pas. Je faisais si peur que ça ? Je n'avais pourtant rien fait... Je retournai vers Aubrey fière de moi, et m’installai à la place en face d’elle. Je la toisai pour la forme, et lançai :

« Je sais pas, à toi de me le dire. T’as pas oublié de me préciser quelque chose sur tes fréquentations par exemple ? »

J’avais repris un ton plus doux pour dire ça, mais ma rancœur restait toujours présente, et elle ne s’en irait pas de sitôt. Pensant que peut-être elle ferait celle qui ne comprenait pas tout de suite de quoi je parlais, j’ajoutai une phrase pour être sûre qu’elle comprenne tout de suite, et qu’elle n’ait pas la possibilité de se méprendre.

« Depuis quand Ryan Quick et toi… tu sais… vous êtes ensemble ? »

Direct, certes. Mais je n’allais pas passer par quatre chemins pour aller au fond des choses. Je voulais savoir pourquoi elle m’avait caché ça, et depuis combien de temps ce petit manège durait. Je ne voulais pas la faire souffrir, mais je serais bien obligé si je voulais récupérer Ryan. Et je ne me gênerai pas.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMer 31 Oct - 4:18

    Lorsqu'elle avait vue Lucy qui s'avançait vers elle, Aubrey avait très surprise du ton employer par Serdaigle. Elle s'était vite mit les méninges au travail afin de déterminer ce qu'elle avait bien pu faire de mal. Qu'avait telle bien pu faire de mal pour mettre l'autre jeune fille dans un tel état. Pourtant, après être rester figé un bon moment, elle avait fini par déterminer que ne rien dire et réfléchir ne l'aiderait pas à connaître la vrai raison de tout ce circle. Elle lui demanda donc incertaine, avec un timide sourire et un bonjour, qu'est-ce qui n'allait pas. Pendant ce temps, les élèves dans la bibliothèque avait sembler trouver grand intérêt dans leur conversation présente. Ou du moins, tout ceux qui n'était pas en train de faire un devoir. Ce qui signifiait, les plus jeunes d’entre eux. Le passe-passe de ragot était un des problèmes majeurs dans ce château, il était impossible d'essayer de parler avec quelqu'un sans qu'un autre élève ai idée d'écouter et d'aller le raconter à droite et à gauche. Aubrey détestait ce fait, elle aimait beaucoup le discrétion. Alors qu'elle avait demander a Lucy de quoi devait-elle parler, la blonde continuait pourtant à chercher ce qu'elle aurait pu faire qui avait déplu autant. Elle était aller manger dehors, bah ce ne pouvait pas être cela puisqu'elle était Poufsouffle alors elle ne mangeait que rarement avec la Serdaigle de toute manière... elle était rentrer s'enfermer dans la bibliothèque... non elle ne voyait pas ou pouvait bien être le problème. Comme elle l'avait pensé plus tôt, ce devait être un événement d'une autre journée.

    Alors que son regard bleu était poser sur Lucy après lui avoir demander de quoi elle devait parler, son timide sourire avait vite été ravaler pour une inquiète expression. Ce regard noir était quelque peu effrayant à voir sur son amie avec qui elle passait pourtant des journées entière à discuter de tout et de rien. Aubrey était refroidit devait cette expression. Pourtant encore il y à quelques jours, Lucy lui disait à quel point elle pouvait trouver les préfet mignons, alors elle ne devait pas être fâcher contre elle depuis longtemps. La blonde se rappelait également à qu'elle point la Serdaigle avait mis l'accent sur le charmant préfet de Serpentard, Ryan. Aussitôt, la blonde n'avait pu s'empêcher de rire. Déjà qu'elle ne trouvait les garçons que peu attirant, lui parler de son cousin n'aidait pas à la conversation. Ah, peut-être était-ce la raison de sa colère. Elle n'avait pas aimer que la blonde rie ainsi de ses goûts personnelle. Pourtant, elle n'avait pas rie lorsqu'elle lui avait parler de celui des Poufsouffle, au contraire elle avait même affirmer être d'accord pour ce dernier. Car elle n'était tout de même pas aveugle et pouvais bien voir que le garçon était mignon... malgré tout. Vraiment, la blonde voyait plusieurs petites raisons mais ne pouvait pas être sûr de l'élément déclencheur de cette réaction, avouons le, assez volcanique de son amie.

    Lucy semblait elle aussi avoir remarquer le regard gênant et les oreilles indiscrète des autres élèves car avant même d'éclairer la blonde sur le sujet de leurs propres conversation, elle ce tourna vers les mêmes filles qu'Aubrey venait de regarder pour qu'elle retourne leur attention à leurs devoirs, chose qu'elle avait faite, pour quelques minutes puisque apparemment elle s'était vite remissent à écouter de nouveau les deux cinquième années. Les deux étaient des Serdaigle, qui maintenant qu'elle y faisait attention, Aubrey voyait bien qu'elle portait leurs uniformes n'importe comment, à commencer par la chemise détacher, la cravate pendante et les bas retrousser dans le bas de leurs chevile, ce qui manquait quelque peu de classe et de fierté. Pour sa part, Aubrey, lors de la journée, portait toujours son uniforme de manière respectable et ne l'enlevait que le soir rendu dans son dortoir. Bref, ainsi, elle était des aigles bleu, chose étonnante car normalement les élèves de cette maison n'était pas les plus indiscret et n'avait pas l'habitude d'écouter les conversations d’autrui. Il fallait avouer que simplement en les regardant, Aubrey ne devait pas être très convaincante pour les dissuader d'écouter, mais il se trouvait qu'elle n'était pas très doué pour jouer les personnes strique. Pour preuve, elle s'était assise parmi tout ce bruit plusieurs fois, sans demander une seule fois le silence et cela depuis la première année. Pourtant, le bruit dans ses lieux qui devait être calme était une chose qui la dérangeait au plus au point. Bref, Lucy s'approcha de leur table, posa ses mains sur la table et leurs demanda d'un ton, encore plus froid que celui employé plus tôt...

    « Je vous dérange mesdemoiselles ? »  déjà, cette question semblait avoir refroidi les deux demoiselles sur leurs envies d'espionnage. « Vous voulez peut-être que j’utilise un haut-parleur, comme ça, vous n’auriez aucun mal à entendre notre conversation. »

    Malgré le fait qu'elle se sentait très mal dans cette situation, Aubrey eu un petit sourire devant le sarcasme utilisé par son amie et l'expression de stupeurs laisser sur le visage des deux demoiselles. La blonde ne savait aucunement qu'est-ce qu'était un haut parler, mais elle pouvait bien imaginer que cela servait à parler plus fort se fiant à l’événement qui se déroulait sous ses yeux, mais également au nom de l'objet. Il n'était pas rare que Lucy était celle qui améliorait l'environnement autour d'elle, comme par exemple lorsqu'un groupe de personne parlait fort empêchant Aubrey de se concentrer, c'était toujours la Serdaigle qui les faisait taire, ou encore, lorsque Aubrey était malade à cause d'un stresse d'examen, c'était également toujours Lucy qui éloignait les curieux et même parfois en les insultant. Peut-être était-ce qui la fâchait, de toujours devoir prendre en charge tout, toute seule. Pourtant, le blaireau, elle, savait être une bonne oreille pour son amie en retour. N'était-ce pas la un échange de bon service? Il ne fut pas long de voir les deux filles partir honteuse et la tête baisser. Elles avaient récupérer leurs matériels et était partie plus loin. Aubrey était certaines qu'elles avaient même du quitter la bibliothèque car il ne fut pas long que la porte ce fit entendre. Puis, l'autre blonde repris le chemin vers la table où était assise la Poufsouffle. Directement, le sourire qui avait pu animer les lèvres de la jaune White s'efface aussitôt. La bleu et argent prit place en face d'elle, sans manquer de la toisé à nouveau, créant la formation de rouge sur les joue de la jaune et noir qui tentait encore, mais en vain, de comprendre ce qui ce déroulait. Lucy la regarda et répondit à sa question...

    « Je sais pas, à toi de me le dire. T’as pas oublié de me préciser quelque chose sur tes fréquentations par exemple ? »

    Premièrement juste pour être clair le fait de demander ne répondait en aucun cas à sa question précédant, si elle le lui avait demander c'est que justement elle n'était pas en fonction de le deviner. Sinon elle n'aurait pas poser de question, elle en serait immédiatement passer au fait et de cette manière, les deux auraient gagner bien du temps. Deuxièmement, elle savait au moins qu'elle n'était pas fâcher pour ses papier de bonbon. Peut-être bien qu'elle ne lavait toujours pas remarquer! Ou encore, peut-être pensé telle que c'était l'esprit frappeur qui les plaçait. Ouff! Elle n'aurait pas à changer cette habitude. Elle n'aimait vraiment pas devoir garder ses papiers de côté pour les mettre elle-même au vidange. Souvent plus par lâcheté que par empêchement de pouvoir se rendre à la poubelle. Troisièmement, désormais elle pouvait être fixer et certaine sur le fait que Lucy était désormais au courant de sa relation avec l'ancienne préfète de Gryffondor, sans oublier qu'elle était une née moldu! Que dirait son entourage s'il l'apprenait. Donc, Lucy devait avoir découvert cette histoire et le lui en voulait sûrement de ne pas lui en avoir parler, ou comment pensé plus tôt de lui avoir cacher cela et désormais elle prendrait tout comme du flirt et ne voudrait peut-être même plus lui parler ou même encore la voir. La panique gagna rapidement la petite blonde et cela devait se lire dans son regard, jamais elle n'aurait penser que la Serdaigle serait mise au courant de cette histoire. Elle avait ouvert la bouche pour répondre, lorsqu'elle fut couper par la Serdaigle qui continua rapidement sur sa lancer pour ajouté...

    « Depuis quand Ryan Quick et toi… tu sais… » non elle ne savait pas car elle ne voyait vraiment pas ou voulait telle en venir avec le nom de Ryan Quick, bien qu'elle soit soulager de savoir que ses peurs à elle était fausse. « vous êtes ensemble ? »

    À l'entente de ses mots, ce fut trop pour la blonde elle s'étouffa avec sa propre salive, quelque peu sous le choc d'entendre de telle propos. Vraiment? Si elle croyait avoir pu penser à tout sur ce qui pouvait tourmenté la Serdaigle, elle n'avait vraiment pas vue cette explication là venir. La Serdaigle était-telle venu à cette conclusion toute seule ou bien un élève qui les avait vue parler de temps en temps s'était amusé à partir de telle rumeurs? Si c'était le cas, de qui pouvait bien provenir cette idée saugrenu! Non mais sérieusement, au nom de Merlin, une telle histoire était tout juste impossible. La blonde était fâcher contre elle car elle croyait, dur comme fer, que elle, la timide Poufsouffle Aubrey fréquentait le préfet des Serpentard trop sur de lui et son cousin de plus est, Ryan Quick? Sans oublier que la blonde savait très bien que son amie le trouvait joli, jamais elle ne lui aurait faite un tel coup! Certes, personne ne savait que le garçon était son cousin et le fait de lui parler ainsi dans les couloirs pouvait être quelque peu étrange par le fait que la blonde soit de nature timide, mais de la à raconter qu'elle sortait avec lui... Puis elle eu un petit rire de nervosité et de soulagement en même temps avant de répondre déjà plus calme par son accent qui se démarquait de celui de son amie britannique, car Aubrey était Américaine...

    « Que, quoi... hein » Bon, comme début de réponse, ce n'était pas très fameux, mais elle s'étouffait encore un peu à ce moment là. Après avoir repris son souffle et le don de la paroles, Aubrey poursuivit plus distinctement. « Lucy! Comment peut tu croire à de tel histoire, tu sais très bien que les garçon prétentieux tel que Ryan Quick ne sont pas vraiment mon type... »

    Elle avait dit sa phrase sur le ton de l'évidence et la petite blonde avait également hocher la tête en parlant pour ainsi appuyer ses mots. Elle avait même retrouver un sourire en expliquant ses mots. Bon d'accord, en fait Lucy ne le savait pas du tout, puisque Aubrey ne lui avait jamais vraiment parler de son type à elle, non pas qu'elle n'avait pas confiance en la bleu et argent, s'était simplement car elle avait peur de ce que le monde en penserait. Elle n'en parlerais pas plus si son type avait été les garçon boutonneux et sans but dans la vie, simplement pour ne pas faire rire d'elle, mais aussi pour rendre la fierté de sa famille dans ses choix. Quoi que depuis un moment elle commençait bien à se douté qu'elle devrait en parler et laisser l'eau couler sous les ponts, car c'était un trait de sa personnalité qu'elle ne pourrait pas changer. Or, pour l'instant, son problème était de faire voir clair à Lucy sur le fait qu'elle ne pouvait vraiment, mais vraiment pas, être en couple avec Ryan Quick. Certes, énoncer son lien de sang avec le garçon aurait purement aider sur le sujet, or la blonde n'était pas certaine si elle devait en parler. Peut-être que cela gênerait le garçon ou encore, déjà que lui même ne devait pas être au courant de lien de famille qui les unissait, il était clair que le reste de l'école ne devait pas l'être, bien qu'elle ne croyait plus en les peurs de sa mère sur se sujet. La vrai raison qu'elle ne l'avait pas énoncer était simplement qu'elle n'y avait pas encore pensé à le dire, pour elle ce lien de sang était une évidence depuis qu'elle était rentrer au château alors devoir le dire à tout le monde n'était pas vraiment une habitude.

    De plus, le fait de traiter Ryan de prétentieux aurait très bien pu être éviter, cependant elle voulait vraiment démontrer son point de vue à Lucy et que celle-ci comprennent bien que le garçon n'était vraiment pas son petit-copain. Bien qu'après avoir été enfermer elle aurait aussi très bien pu dire fermé d'esprit voir le temps qu'elle avait du prendre pour lui faire rentrer dans la tête qu'ils étaient cousin-cousine, ou encore elle aurait pu dire à qu'elle point il était bien trop macho pour elle, se croyant ainsi le meilleur, ou encore que le fait qu'il prennent son pouvoir de préfet trop au sérieux n'était pas non plus à son avantage, mais elle s'était dit que prétentieux était peut-être le meilleur argument, n'avait-il dons pas passer une bonne partie de la soirée à tourner le tout autour de son propre nombril en ce fermant ainsi aux idée de la Poufsouffle, voilà pourquoi elle avait trouver cet adjectif tout simplement parfait pour la situation. Non pas qu'elle le trouvais vraiment prétentieux, mais elle pensait qu'une fille qui n'était pas attiré par lui dirait exactement cette phrase. Pour sa par, il était son cousin, point à la ligne. Personne de sensée ne pouvait être attirer envers son cousin. De nos jours, les mariages co-sanguin n'existait presque plus et avouons que cette situation n'était jamais par amour, mais par obligation par la famille pour garder la pureté du sang. Voilà bien une pratique qu'Aubrey ne partageait pas avec le reste des pro-sang-pur elle trouvait vraiment répugnant d'obliger de tel unions et était bien contente que sa famille ai trop peur d'être repérer pour l'obliger à un tel mariage... Sans oublier qu'elle aurait été bien malheureuse de devoir marier un homme...

    Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMer 31 Oct - 16:48

Quand j’étais entrée dans la bibliothèque, j’avais juste envie de parler avec Aubrey, mettre cette affaire au clair, et l’oublier rapidement. Maintenant, je voulais la tuer. Qu’elle ait été choquée par le ton que j’avais employé avec elle, je m’en fichais totalement. Elle m’avait fait un coup bas. Très bas même. Et je ne pouvais pas l’accepter sans rien dire, comme si cela ne me faisait rien. Elle me le paierait, je me l’étais jurée. Mais je voulais savoir le pourquoi du comment, et le comment du pourquoi. Que faisait-elle avec Lui ? C’était juste impensable ! Comment avait-elle pu me faire ça, et comment osait-elle me sourire ainsi, comme si tout allait pour le mieux, comme si elle ne comprenait pas la raison de ma colère ? Elle ne payait rien pour attendre, elle. Je lui avais parlé froidement, lui faisant comprendre tout le mépris que j’éprouvais pour elle à l’instant. Jamais je n’avais été aussi blessé par le genre humain qu’aujourd’hui. Et moi qui pensais qu’Aubrey était mon amie. C’est décidé, plus jamais je n’accorderais ma confiance à personne. Ça ne servait à rien de toute façon. J’étais bien mieux toute seule qu’en compagnie de tous ces êtres aux airs charmants et sociables. Ce n’était rien d’autre que des apparences, des faux-semblants. Et Aubrey était comme eux en fin de compte. Elle s’était rapprochée de moi pour mieux me poignarder en plein cœur par la suite. Et la métaphore était de mise aujourd’hui. Sa trahison m’avait blessée, et j’avais mal au cœur. En fait j’avais mal partout. Je n’arrivais plus à respirer convenablement en y pensant, et je ne pouvais plus penser à autre chose qu’à ça. Je n’étais plus maître de mes actes, de mes pensées ni de mes mots, et venir la voir alors que je respirai la colère de tout mon être n’était pas vraiment la meilleure idée que j’ai pu avoir jusqu’à présent. Mais je n’y pouvais rien, je ne pouvais, non je ne voulais pas passer à autre chose, sans connaitre l’histoire. Ainsi, je pourrais mettre au point mon plan d’extermination dirigé contre la jeune Poufsouffle au plus vite. J’espérais seulement qu’elle ne se défendrait pas trop et qu’elle avouerait tout, tout de suite, au moment où je lui poserais la question.

J’avais attendu longtemps la réponse de la Poufsouffle, et quand elle avait enfin daigné parler, ses mots m’agacèrent encore plus. Ne pouvait-elle donc pas avouer ses torts tout simplement, plutôt que de me demander de quoi on allait parler ? Elle devrait déjà se douter que ce n’était pas de licornes que nous allions parler, ni de sirènes qui semblaient la fasciner aujourd’hui. En effet, un bouquin sur les êtres royaux des eaux était posé sur sa table. Je me demandai ce qu’elle trouvait d’intéressant aux sirènes, il n’y avait rien à apprendre sur eux, si ce n’est qu’il ne fallait pas les approcher de trop près si on voulait éviter de mourir prématurément. Ce n’était pas des êtres très amicaux d’après le peu que j’en savais, et Aubrey était au contraire, très amicale. Peut-être qu’elle essaierait de les rendre plus sociables en allant leur parler. Après tout, elle avait bien réussi à me faire parler il y a cinq ans, c’était bien la preuve qu’elle était capable de faire des miracles parfois. Même si je commençais légèrement à regretter cette rencontre avec la Jaune et Noir. Je le savais, que j’aurais dû l’envoyer balader quand j’en avais encore l’occasion, je n’aurais pas eu à souffrir autant de cette situation maintenant. Je serais allé la voir, j’aurais poussé un coup de gueule dans l’espoir que ça aurait suffi pour que la Poufsouffle s’éloigne de Ryan, et rien ne m’aurait fait plus plaisir que de la détruire si elle s’était montrée tenace. Mais là… ça devenait plus compliqué. Aubrey était mon amie, et malgré les apparences, je tenais beaucoup à elle. Jamais elle ne m’avait forcé à parler de ce que je ne voulais pas, et comprenait parfaitement qu’il y avait des sujets qu’elle ne devait pas du tout aborder devant moi. Aussi, je ne voulais pas la faire souffrir.

De toute façon, je devrais attendre le bon moment pour adresser la parole au préfet. Je ne savais pas vraiment s’il se souvenait de moi, je ne me souvenais même plus si je lui avais dit mon prénom. Je ne lui avais parlé qu’une seule fois quand il était encore avec Amara, et cette dernière m’avait fait regretter mon geste par la suite. Comme je la comprenais à présent. J’avais beau détester Amara, j’étais un peu comme elle finalement, prête à tout pour avoir Ryan et encore plus pour le garder près de moi autant de temps que je pourrais le supporter. Mais à la différence d’elle, je ne le laisserai pas filer de sitôt, elle avait failli à cette tâche, et je veillerais à ne pas le faire. Encore fallait-il qu’il soit à moi… En m’exprimant de cette manière, on pouvait penser que j’étais possessive, mais ce n’était pas le cas. Pas vraiment tout du moins. Je voulais juste qu’il m’appartienne, quoi qu’il arrive, mais quand ce sera le cas, il sera libre d’avoir une vie à côté, de voir ses amis, même si c’était des filles, tant qu’il ne me trompait pas et qu’il revenait à chaque fois, je n’y voyais pas d’inconvénients. Je ne voudrais pas qu’il se sente oppressé par moi, et qu’il mette fin prématurément à notre (future) histoire comme il l’avait fait avec Amara, pour je ne sais quelle raison d’ailleurs. De plus, la jalousie ne faisait généralement pas partie de mon caractère, c’est pourquoi j’avais eu beaucoup de mal à mettre un mot sur ce que je ressentais envers Aubrey. J’étais jalouse d’elle. De sa relation avec Ryan, de sa proximité avec lui, du fait qu’elle puisse lui parler sans risque qu’Amara lui tombe dessus au détour d’un couloir pour lui arracher les yeux. Elle avait de la chance sur ce point-là… Aussi bizarre que cela puisse paraître, je n’avais pas du tout été jalouse d’Amara, ça ne m’avait même jamais traversé l’esprit. Après tout, elle avait eu Ryan avant que je ne le veuille, et sa réaction envers moi était compréhensible.

Bref, revenons-en à Aubrey, qui était là sans vraiment y être puisqu’elle semblait plongée dans ses pensées pour trouver quoi me dire et quoi penser de la situation. J’avais profité des quelques curieux autour pour tenter de diminuer ma colère, même si les deux filles à qui je m’étais attaquée, n’avaient certainement pas mérité autant de froideur de ma part. Je songeais qu’il valait mieux m’attaquer à elles plutôt qu’à Aubrey, surtout si je devais attendre patiemment d’entendre toute l’histoire pour répliquer et décider si la jeune fille resterait mon amie ou non par la suite. En revenant vers elle, je l’avais vu rougir. Mais de quoi ? Je n’en savais rien. Je devais lui faire un peu peur quand même, elle ne m’avait jamais vu dans cet état-là, et j’aurais préféré qu’elle ne me voit jamais comme ça. Quand je lui demandai depuis quand elle voyait Ryan, Aubrey s’étouffa alors qu’elle n’avait rien dans la bouche, probablement choquée par ce que je venais de lui demander, comme si elle ne s’y attendait vraiment pas.

« Que, quoi... hein. Lucy! Comment peut tu croire à de tel histoire, tu sais très bien que les garçon prétentieux tel que Ryan Quick ne sont pas vraiment mon type... »

Mais oui, bien sûr, et elle pensait vraiment que j’allais la croire ?! Je rêve ! Savait-elle à qui elle parlait ? Je n’étais pas dupe, loin de là, et si elle pensait que j’allais croire à la comédie qu’elle me servait, elle pouvait toujours rêver ! Ses mimiques de surprise, aussi réelles soient-elles ne pouvaient qu’être feintes. Et puis la manière dont elle avait dit sa dernière phrase, comme si c’était évident, en exagérant ses gestes, ça prouvait bien que ce n’était que du cinéma, non ?

« Non, à vrai dire, je n’en sais rien, tu ne parles pas beaucoup de ses choses-là je te rappelle. » Dis-je en sentant la colère monter « Mais c’est peut-être pour ça, qui sait ? Tu as déjà trouvé quelqu’un, alors pas besoin de t’embêter à regarder le buffet. »

Oui, j’avais peut-être bien la fâcheuse manie de comparer les garçons de Poudlard à de la nourriture. Et alors ? Pour ma défense, je me devais de dire que, eux aussi on les goutait. Et puis, beaucoup de mec voyait les filles comme un troupeau qu’il fallait chasser. Je préférais nettement ma comparaison à la leur…

« Et, ne sois pas étonnée si je t’annonce que je ne te crois pas une seule seconde. Pourquoi tu me l’as pas dit ? Tu éprouvais subitement le besoin de ne pas me blesser ? Tu pensais que si je ne l’apprenais pas, tu pourrais continuer votre manège, et tout ça sans que je n’en souffre ?»

Je n’avais jamais remarqué à quel point faire passer sa colère en chuchotant était difficile jusqu’à aujourd’hui. J’avais espéré faire passer suffisamment mes émotions à travers mes mots pour qu’elle comprenne d’elle-même que si elle n’avait pas voulu me blesser, elle n’aurait jamais été tentée de sortir avec Ryan.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyVen 2 Nov - 6:21

Jamais, au grand jamais son amie Lucy n'avait été en telle colère contre elle, de plus, l'idée de la voir ainsi fâcher conter elle un bon jours ne lui aurait simplement jamais traversé l'esprit. En plus de l'inquiéter, cela l’apeurait un peu il fallait l'avouer. Elle avait fait fuir deux petite Serdaigle en leurs demandant le silence avant de vite reporter son attention sur Aubrey qui désormais avait une teinte rouge. Simplement car la situation la rendait énormément mal à l'aise et qu'elle était habituer à une Lucy tellement plus douce, ou du moins avec elle. De plus, lorsqu'elle devenait anxieuse, elle avait par ailleurs aussi la tendance à rougir et oui, elle était en train de devenir anxieuse, ce qui n'était vraiment pas une bonne chose si elle ne voulait pas voir son dîner refaire surface sur un livre de la bibliothèque. Sans oublier qu'elle jouait avec sa plume tentant de faire descendre son stresse et que cela ne semblait pas très effectif. Bien qu'elle devait avouer que de voir la Serdaigle crier après les deux autres filles l'avait un peu calmer, car elle se dissait qu'ainsi, elle aurait peut-être faite descendre sa colère un peu, mais le regard noir qui lui fut lancer lorsqu'elle redevint le sujet des pensé de Lucy lui démontra qu'elle s'était largement tromper sur le sujet. Elle aurait bel et bien droit à toute la colère de son amie si elle ne trouvait pas le problème au plus vite. Ce qui n e fit que augmenter les rougeurs de ses jours. Elle était une personne timide de plus, alors il fallait avouer qu'avoir l'attention du monde de la bibliothèque l'avait déjà grandement gêner ainsi, alors ses joues avait tourner rouge bien avant les accusation et le malaise les avait simplement empirer. Puis, elle finit par s'étouffer avec sa salive lorsque l'aigle blonde lui sortie finalement la raison de sa colère.

Elle croyait que Aubrey White, la Poufsouffle timide et loyal envers ses amies, lui aurait prise le garçon que son amie trouvait joli, et le lui avait spécifier quelque jours auparavant et qui de plus est ce trouvait être son cousin. Le fait de leurs rapprochement était simplement du au fait que les deux avaient été enfermé dans une salle nauséabonde et avait fini par comprendre qu'ils étaient du même sang. Bien que le fait de devoir convaincre le brun qu'elle était vraiment un Quick n'avait pas été des plus simples. Désormais qu'elle avait réussi à lui faire comprendre la vérité, elle se retrouvait devant son amie à devoir lui faire comprendre désormais qu'elle n'était pas avec le brun et qu'elle se faisait des idées. Non mais sérieusement, quand est-ce quelqu'un allait simplement l'écouter et la croire directement! Après s'être remise de son étouffement, elle lui avait bien sûr répliquer que Ryan Quick n'était vraiment, mais vraiment pas son type. Comme aucun garçon du château d'ailleurs, mais sa Lucy ne le savait pas. En fait, la seule à être au courant devait être Zora et cette peste d'Aldreda qui l'avait espionner à son insu et probablement même eu quelques informations de l'ex gryffondor, qui elle n'était pas gêner de cette situation autant anormale elle pouvait-être. Bref la Serdaigle ne perdit pas de temps pour lui répondre, avec toujours ce même regard noir et ce ton froid et colèrique...

« Non, à vrai dire, je n’en sais rien, tu ne parles pas beaucoup de ses choses-là je te rappelle. »  Avait dit Lucy. Ce qui était vrai, elle affirmait parfois les choix de la blonde ou encore les contredisait, mais jamais elle n'allait ajouté un garçon par elle même. Elle laissait la Serdaigle les nommé pour simplement aquiger par la suite. Alors non, son amie ne savait vraiment pas qu'elle pouvait être son type de garçon et certes, elle aurait sûrement du lui dire avant qu'une telle situation ce présente.  « Mais c’est peut-être pour ça, qui sait ? Tu as déjà trouvé quelqu’un, alors pas besoin de t’embêter à regarder le buffet. » 

La stupeur. Voilà l'expression facial de la blonde en ce moment même. Le buffet? Alors selon la blonde, Aubrey ne parlait pas vraiment de garçon simplement parce qu'elle était en couple avec le préfet des Serpentard? Elle commençait vraiment à ce demander qu'elle serait le jours ou quelqu'un l'écouterais parler et la croirait enfin du premier coups sans la contredire et demander plus d'explication. Il était cependant vraiment temps qu'elle mette toute au clair avec son amie si elle ne voulait pas la perdre, chose qui allait arriver si elle restait ainsi à la fixer avec un regard de poisson. De plus, le fait de comparer les garçon à de la nourriture aurait, en tant normal fait rire la blondinette car elle avait toujours trouver cette habitude de la Serdaigle assez drôle, or cette fois-ci, cela ne fit que la rendre un peu plus malaise. Comment allait telle bien pouvoir se sortir de cette situation et au plus vite. En fait, en ce moment même elle souhaitait surtout glisser sur cette table et disparaître, chose assez impossible. Heureusement, plus personne n'osait vraiment porter leurs attentions sur la table grâce à l'intervention de la bleu et argent. Aubrey allait répondre, ce remettant du choc à ce commentaire, lorsque son amie rappliqua de plus belle.

« Et, ne sois pas étonnée si je t’annonce que je ne te crois pas une seule seconde. Pourquoi tu me l’as pas dit ? Tu éprouvais subitement le besoin de ne pas me blesser ? Tu pensais que si je ne l’apprenais pas, tu pourrais continuer votre manège, et tout ça sans que je n’en souffre ?»

Pourquoi ne pas lui avoir dit cette histoire? Tout simplement parce que comme elle venait de lui souligner, Ryan Quick n'était vraiment pas son type. Sans oublier le ton utilisé, une chance que cette histoire n'était que mensonge parce que si elle avait fréquenter le Serpentard, elle se serait sentie comme une traitre et une moins que rien à ce moment présent. Sauf que, la situation étant fausse, elle pouvait être soulager de ne pas être ce genre de personne qui aurait énormément déçu la Serdaigle. La blonde prit son courage à deux mains et regarda la blonde et lui dit d'un claque...

« Lulu, Je ne suis pas avec Ryan Quick, comme je ne pourrais pas être avec aucun garçon du château... ou même de en dehors du château » puis elle baissa littéralement le ton pour être certaine, malgré le fait que les élèves qui les entourait devait désormais avoir peur de Lucy et le fait qu'elles était à une table assez isoler, pour finir sur un ton si bas qu'elle n'était pas vraiment certaine que la Serdaigle comprendrait vraiment ce qu'elle lui disait et cela pour le simple but que personne ne l’entendrais et ajouta « Je... je... préfère les... filles. »

Toute au long de son discours, elle avait fixer la plume noir, qui commençait à avoir de moins en moins de filament sur elle depuis le début de cette conversation entre les deux élèves de cinquième année à force que la Poufsouffle joue avec. Puis son visage, après cette révélation devait être aussi rouge que la cape de Quidditch des lions. Cependant, elle croyait avoir fait la bonne chose, elle et Lucy était amie depuis la première année et Lucy lui disait presque tout sur elle, il était temps qu'elle en fasse simplement autant et ce confie à la blonde et ai confiance qu'elle saurait garder le secret. Sauf que soudainement, elle avait vraiment envie de vomir et son stresse était très fort. Elle n'osait même plus regarder Lucy dans les yeux et ajouta rapidement, en reprenant un ton normal pour être certaine que Lucy entende cette parti, comme pour changer le sujet, peut-être ainsi son amie passerait elle aussi à autre chose et oublierait sa révélation...

« et Ryan Quick est mon cousin, donc je ne voie pas comment je pourrais le trouver de mon goût malgré tout. »


Désormais,elle ne pouvait que prier Salazar pour que ses mots soit prit au sérieux pour une fois et non pas en mensonge. Sauf qu'elle avait bien confiance que son amie la connaissait assez pour voir la vérité en cette nouvelle par le ton de honte et de timidité qu'elle devait avoir eu dans sa voix alors qu'elle lui avait sortie ses deux nouvelles, qui devait même pour son amie être assez choquante. Qui aurait cru que la naïve Poufsouffle aurait de telle préférence et de plus, qu'elle aurait un lien de sang avec le plus pro-sang-pur du château et préfet des Serpentard de plus! Certes, elle même était très pro-sang-pur, mais seulement quelques personnes le savait puisqu'elle n'en parlait pas aussi ouvertement que lui et ne voulait pas la mort des sang-de-bourbe pour autant, elle les trouvait simplement moins important que les sang-pur. Elle continua donc de jouer avec sa plume, la fixant la trouvant soudainement des plus intéressante attendant une réaction, bonne ou mauvaise, de la part de son amie.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyDim 4 Nov - 11:49

Au fur et à mesure de notre discussion, ma colère envers Aubrey, bien loin de redescendre, montai en flèche. Je ne comprenais pas pourquoi elle était aussi bornée. Pourquoi elle n’avouait pas tout de suite ce qu’elle avait fait pour que je puisse enfin la rayer de ma liste d’amis. Mais non, la Poufsouffle s’entêtait à me dire qu’elle ne voyait pas de quoi je parlais, et pire, qu’elle n’était pas avec Ryan. Je les avais pourtant vus tous les deux, moins d’une heure avant de venir la voir, et elle semblait assez proche du serpent. Et maintenant, Ryan avec qui elle parlait il n’y a pas si longtemps, et qui était aussi le mec que j’avais décidée d’avoir à moi quoi qu’il arrivait, ne représentait qu’un de ces nombreux garçons prétentieux à ses yeux ? Elle se fichait de moi, n’est-ce pas ? Elle ne disait ça que pour me convaincre de la vérité de ses propos, et elle utilisait l’un de ses pires défauts pour me forcer à y croire. C’était très futé comme idée, tellement futé que je fus étonnée qu’une Poufsouffle y pense d’elle-même. Elle avait forcément piqué cette idée à quelqu’un, ça ne pouvait pas venir d’elle. Peut-être de Ryan après tout. Je ne le connaissais pas vraiment son caractère et son comportement en détail, mais c’était un Serpentard, il devait être un bon menteur, lui. Je n’avais rien dit sur cette partie de son mensonge, car pour le coup, le fait que Ryan soit prétentieux était vrai, mais je n’allais certainement pas l’avouer devant elle. Mettre des vérités, ici et là dans les mensonges était la meilleure façon de rendre son mensonge vrai. Ingénieux, vraiment. Mais dommage pour elle, je ne la croyais toujours pas. Il fallait faire mieux que ça pour me faire croire à de telles absurdités. Et puis, depuis quand s’entêtait-elle à me mentir ainsi ? Elle qui était toujours honnête avec moi, osait tenter un mensonge aussi énorme devant moi, c’était incroyable, et stupide de sa part.

« Lulu, Je ne suis pas avec Ryan Quick, comme je ne pourrais pas être avec aucun garçon du château... ou même de en dehors du château. »

Sa phrase me laissa perplexe. Là, je devais avouer que je ne comprenais vraiment pas ce qu’elle essayait de me dire. Oui, je sais, j’étais à Serdaigle pourtant, je devrais être futée et tout ce qui va avec, mais là… Je ne voyais pas du tout où elle voulait en venir en disant ça. Et puis, de toute façon, ça n’avait aucun sens, donc c’était normal que je ne comprenne rien. Comment ça elle ne pourrait pas être avec un garçon ? C’était stupide ! Elle avait décidée de se convertir en none et souhaitait resté seule et vierge toute sa vie ? C’est nul de mourir vieille fille… Peut-être que si j’avais compris les derniers mots qu’elle avait dit, tout ceci aurait eu un sens, mais le problème était justement que je n’avais strictement rien compris à sa dernière phrase. Ce n’était pas de ma faute après tout. Elle l’avait prononcée si bas que même avec une ouïe surdéveloppée, je n’aurais rien entendu. Je fis marcher mes méninges pour essayer de trouver ce qu’elle essayait de me dire dans ces mots sans aucuns sens, mais la colère que j’éprouvais envers elle en ce moment m’empêchait légèrement de penser convenablement. Elle m’énervait ! Pourquoi n’avait-elle pas répondu à ma question ? Je ne voulais pas entendre tout un discours bâti sur des mensonges tous plus gros les uns que les autres. Je ne voulais pas d’excuses en tout genre, je voulais des réponses, c’était pourtant clair, non ? Qu’est-ce qu’elle ne comprenait pas là-dedans ?

« Oh, je t’en prie, arrête de me mentir ainsi, je ne supporte pas ça ! » Dis-je en haussant le ton, avant de me calmer et de continuer à parler d’un ton qui laissait percevoir mon incompréhension. « Et puis d’abord, qu’est-ce que tu veux dire par là, je n’arrive pas à te suivre ? Qu’est-ce que t’as dit en dernier ? »

Si je voulais ma réponse, j’étais bien obligée de me calmer un peu quand même. Je ne voulais pas non plus trop la brusquer, parce que, la connaissant, elle se mettrait paniquer, et peut-être même qu’elle irait jusqu’à vomir, et je ne voulais vraiment pas que ça arrive devant autant de témoins. Surtout que la bibliothécaire serait tentée de croire que c’était de ma faute, peu importait ce que dirait Aubrey à ce sujet. Je suis même convaincue que cette vieille peau dirait que je lui faisais trop peur pour qu’elle avoue la vérité à propos de ce qui s’était réellement passé. Et puis, les élèves autour ne seraient pas d’une grande aide vu comment j’avais envoyé balader deux filles de ma propre maison un peu plus tôt. Ils seraient au contraire bien contents de me faire regretter mon geste. Enfin, bref, tout ça pour dire qu’il était hors de question que je me prenne une retenue par sa faute. J’y arrivais très bien toute seule et je n’avais vraiment pas besoin d’aide pour ça. Mais je devais avouer que je commençais à manquer de conviction dans mes propos. Elle ne m’avait jamais menti, et je ne voyais aucune raison pour qu’elle continue à le faire alors que j’étais sur le point de lui sauter à la gorge. Mais aveuglée par la colère, je n’arrivais pas à la croire, je n’y pouvais rien. C’était idiot comme situation, mais si elle me disait la vérité, alors pourquoi est-ce qu’elle s’était retrouvé à parler avec Ryan un peu plus tôt dans la journée ?

« Et Ryan Quick est mon cousin, donc je ne voie pas comment je pourrais le trouver de mon goût malgré tout. »

Bon, bah, j’avais peut-être la réponse à mes interrogations tout compte fait… Attendez, pause ! Qu’est-ce qu’elle venait de dire ? Ryan Quick, son cousin ? Laissez-moi rire ! Alors, là, c’était la meilleure ! Ryan et elle, cousins, Ryan et elle partageant un lien de parenté, non impossible ! Et elle voulait que je croie à des aberrations pareilles ? Non, mais franchement !
Ce n’était pas comme ça que j’avais prévu de passer cette discussion. Je pensais juste crier un grand coup, même si la bibliothèque n’était pas le lieu rêvé pour, et faire une sortie fracassante, comme dans les films moldus. Je pensais que mon regard noir aurait suffi à la faire avouer ses fautes, et qu'elle prendrait maintenant le temps de réfléchir à deux fois avant de tenter quoi que ce soit d’autre avec Ryan. Mais à bien y réfléchir, cette annonce concordait parfaitement avec tout ce qu’elle m’avait dit plus tôt. Et le fait qu’elle lui parle, là aussi ça pouvait être expliqué par le simple fait qu’ils avaient tous deux un lien de parenté. Mais, il fallait regarder les choses en face : ils ne se ressemblaient pas du tout. Aubrey avait les cheveux aussi blonds que moi, tandis que Ryan les avait bruns. Et leurs yeux aussi différaient par leur couleur. Ceux que j’avais en face de moi il y a quelques instants et qui maintenant, fixaient la plume qu’Aubrey tenait dans sa main étaient d’un bleu océan, alors que ceux de Ryan était vert, et je ne pouvais pas oublier ça. Et niveau caractère, c'étaient les deux faces opposées d'une même pièce de monnaie. Là où l'un était confiant, et sûr de lui, l'autre était d'une timidité à en faire pâlir un fantôme, et tout un tas de différence du même style. Ils ne pouvaient pas être du même sang.

« Je… Pardon ? » Murmurai-je encore choquée par la nouvelle que je ne savais dire si elle était vraie ou non. « Comment ça c’est ton cousin ? Je ne te suis pas là. »

Aubrey venait de piquer ma curiosité à vif. Et elle avait intérêt à m’éclairer et vite. Elle ne m’en avait jamais parlé, et elle ne lui avait jamais parlé, à son soi-disant cousin. Pourquoi, tout à coup, venait-elle m’avouer ça ?


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyLun 5 Nov - 6:52

    Aubrey commençait vraiment à se demander si elle n'avait pas un visage de menteuse, car il semblerait que personne dans ce château aucun élève n'était prêt à la croire sans avoir des preuves distincte de ce qu'elle avançait. En fait, elle avait remarquer depuis bien longtemps être invisible dans cette école et souvent ce qu'elle disait n'était même pas écouter et le monde se demandais même qui elle pouvait bien être alors qu'ils partageait la même classe depuis la première année. Le fait d'être invisible au yeux des autres, elle l'avait d'ailleurs remarquer lors de sa première année et elle s'était dit que cela devait être du à sa grande discrétion la majorité du temps. Les enseignants eux-même semblait toujours oublier l’existence de la petite blondinette dans leurs groupes. Elle avait de bonne note, mais ne levais jamais sa main pour répondre et si un professeur posait une question, elle n'était juste jamais choisi. Le seul cours ou elle parlait sans cesse, était celui des soins aux créatures magiques, mais personne n'était vraiment attentif en ce cours assez pour la remarquer. Pourtant, il y avait des élèves pour qui sa présence avait sauté au yeux, tel Julia Frajor qui était venu d'elle-même déranger la Poufsouffle pour la connaître un peu mieux, mais cette situation restait rare. Elle était souvent un fantôme dans la classe. Peut-être était-ce le fait d'être si transparente qui créait cette difficulté pour les autres à la croire.

    En tous cas, le fait que Lucy ne veule pas la croire lui faisait un bien beau point commun avec son coup de cœur du moment qu'elle accusait de fréquenter Aubrey. Pour l'instant, pour cette raisons hors contexte, son amie Lucy était très en colère contre elle. L’accusant ainsi de sortir avec le préfet des Serpentard. Il était vrai qu'Aubrey n'avait pas toujours été honnête sur ses relations envers la blonde, pour preuve le fait qu'elle avait été en couple durant l'été et que la Serdaigle l'ignorait. Or, il restait que si elle avait fréquenter son cousin, elle le lui en aurait fait part et la situation aurait été quelque peu étrange de ce fait. Enfin, la bleu et argent ignorait tout de même que le serpent était son cousin, cela rendant un peu sa version plus raisonnable, mais tout de même. Pourtant, le fait qu'elle ai bien souligner ne pas le fréquenter, Lucy n'avait en rien été convaincu et sa colère semblait décupler à chaque expiration qu'elle effectuait. Aubrey commençait à craindre un peu son amie, bien qu'elle ne la croyait pas capable de la blesser, elle pourrait toujours être étonner. Il ne fallait jamais penser tout savoir de quelqu'un. Pourtant, la blonde était une amie loyal et ne savait pas mentir, alors elle ne voyait pas pourquoi la Serdaigle s'entêtait à ne pas vouloir voir clair dans ce qu'elle lui racontait. Puis, la timidité grandissante, elle fini pour faire sa plus grande déclaration de l'année à son amie. Par la suite, elle avait prise une teinte de rouge inimaginable et s'était vue elle même prise d'un anxiété en accroissement.

    Elle n'osait plus regarder son amie dans les yeux et fixait sa plume avec une grande passion priant intérieurement pour ne pas avoir à répéter ce qu'elle venait de dire en murmure. En fait, elle ne savait pas si elle serait capable de le redire si son amie ne l'avait pas comprit, chose probablement vue qu'elle l'avait marmonner dans sa barde, façon de parler bien sur, puisqu'elle n'avait pas de barbe, sinon cela se saurait. Elle osa un bref regard rapide vers la blonde, qui comme elle le craignait, ne semblait pas avoir réellement comprit ses mots. Il était bien dommage que la Serdaigle n'ai pas une ouïe surdéveloppement, ainsi elle aurait comprit rapidement et Aubrey aurait pu passer à autre chose rapidement, mais la vie semblait en avoir décider autrement. La blonde sentait son cœur frapper contre chaque paroi de son corps et l'entendait palper son sang jusque dans ses oreilles. La situation devenait presque insupportable pour elle ce qui était parfaitement normal à vrai dire, car dire un secret que l'on porte depuis toujours peu autant être une libération une fois faite qu'un supplice lorsqu'on tente de le transmettre. Ainsi plus grand fini par prendre les nerfs et lui répondre d'un ton peut-être aussi pire que celui porter à l'attention des deux fillettes de la table à côté, chose qui fit sursauté légèrement la Poufsouffle lorsque Lucy commença sa phrase :

    « Oh, je t’en prie, arrête de me mentir ainsi, je ne supporte pas ça ! » Puis, elle sembla prendre son souffle et se calmer un peu, ce qui ne pouvait pas être une mauvaise chose. Peut-être que par la suite elle serait moins tête de cochon et voudrait enfin écouter ce que la blonde ce tuait à lui tuer. « Et puis d’abord, qu’est-ce que tu veux dire par là, je n’arrive pas à te suivre ? Qu’est-ce que t’as dit en dernier ? »

    Mais avant même de lui répondre, Aubrey avait maladroitement tenter de changer le sujet et rapporter l'attention sur Ryan Quick. Elle avait ainsi lâcher le fait que le garçon était son cousin. Elle fixait pourtant toujours sa plume qui devenait de plus en plus maigre et amocher pour les doigt de la blonde qui jouait avec dans le vain espoir de se calmer de tout ce stresse. Bien que désormais qu'elle y pensait, le fait de vider son déjeuner ainsi sur la Serdaigle la refroidirait très certainement... mais restait une très mauvaise idée à faire dans la bibliothèque. Il fallait avouer que pour une fille qui gardait ses secrets enfoui en elle-même depuis toujours, mais qui devait être la gardienne de ceux de tout ses amis, elle venait tout de même d'en dire deux gros à la Serdaigle. Bien que son amie ce soit calmer un peu, elle ne semblait pas décider à la croire pour autant. Elle avait également demander à ce qu'elle répète ses mots, mais la blonde avait déjà commencer à la couper par dessus ses mots pour lui expliquer la raison de sa froideur d'attirance devant le grand brun de la maison des Serpentard, maison ou tout sa famille avait été envoyer, sauf elle. Sa mère avait tout fait pour en faire une enfant timide et peureuse qui n'aurait pas l'étoffe de finir dans cette maison.

    En ce moment précis, il fallait avouer qu'elle avait bien réussi. Or, elle restait capable de faire preuve d'un bon caractère ne l'avait-elle pas démontrer dans cette salle avec la brun. De plus, elle était peut-être une anxieuse hors-norme, mais elle avait un sang-froid redoutable et ferait tout pour protèger ses amis et si elle voulait toujours compter Lucy Blunt dans ses amies, il fallait désormais qu'elle mette sa panique de côté, qu'elle se remette du choc prit par le ton de la Serdaigle et l'affronte un peu. Chose qui pourrait être bien dur à lui faire avalé comme pilule était bien le fait d'avoir Ryan Quick, prétentieux et fier comme cousin alors qu'elle même était tout à fait son contraire. Or, qui à dit que tout les membres d'une famille se ressemblait? Elle même n'avait, excepté son physique, que très peu de point commun avec sa propre mère. Après exception rapide, le fait de lui avoir dit son lien de sang avec le Serpentard semblait avoir mis bien en colère l'autre blonde, alors qu'elle venait tout juste de se calmer encore elle repartait. Le fait qu'elle ne la croyait pas ce voyait dans ses yeux. D'accord Aubrey était rouge de malaise et trouvait la situation assez dur, mais manifestement elle commençait elle aussi à bouillir lentement de l'intérieur. Quand est-ce par Merlin la croyait t'ont! Elle devait vraiment aller chercher le vert et argent pour que Lucy la croit? Son amie fini par lui dire, bien que en colère, dans un murmure...

    « Je… Pardon ? » une courte pause, probablement de réflexion avant de poursuivre... « Comment ça c’est ton cousin ? Je ne te suis pas là. »

    Pour le première fois depuis déjà un bon moment dans la conversation, sans que ce soit un coup d’œil rapide, Aubrey posa son regard sur Lucy et tourna sa tête sur le côté avec ce air de désespérante. Elle commençait à vraiment vouloir que son amie comprennent et cesse de tourner autour du pot que ce moment difficile soit passer et qu'elle puisse passer à autre chose. Il n'était pourtant pas difficile à comprendre la phrase Ryan Quick est mon cousin. Certes il avait des yeux vert, mais n'avait-elle pas elle même une mère avec ce même regard vert et elle avait le bleu regard de son paternel? Oui, il était brun, encore une fois, sa propre mère était brune et cela ne l'avait pas empêcher d'avoir la blonde chevelure des Whites. En revenche, les deux avait le sang-pur, malgré que la situation était rare et de plus, croyait encore en la pureté et la grandeur de se statue sanguin. Ce qui démontrait une éducation presque semblable. Bref, Si Lucy elle avait commencer à murmurer et se détendre de sa antécédente colère, la blonde commençait à en avoir assez de se répéter encore et encore et de se faire traiter de menteuse. Elle lui dit donc, bien que en murmurant, mais certe plus fort que auparavant et avec une forte pointe d'agacement dans sa voix...

    « Il est mon cousin car nos parents son frère et sœur, tu sais comme il faut faire pour être cousin-cousine. » puis baissant un peu le ton, mais pas autant que la première fois et ce penchant vers son amie elle répéta... « Et si cela peu te convaincre que je ne fréquente pas ce garçon, je t'ai dit aussi que je ne pouvais pas être la petite amie de Ryan car j'ai une attirance pour les femmes. »

    Aussi rapidement que apparu, son assurance repartie pour la faire rougir de plus belle et retourner son regard sur sa plume. Elle avait également repris sa position coller au dossier de son siège, il était déjà dur d'avouer une telle chose, elle ne resterais certes pas coller au visage de son amie par la suite! Cela rendrait le moment très étrange. Puis elle ajouta, l'agacement encore dans sa voix, mais son ton redevenu calme et doux...

    « Tu me crois maintenant? Ou je dois demander des déclaration écrite de mes parents et de Ryan sur mes liens familiale? »

    Puis, de nouveau, elle posa son regard saphir sur son amie, espérant s'être faite comprise enfin et ne pas avoir à répéter ses mots. En fait, si elle devait le faire, elle finirait pas se demander que faisait son amie dans la maison des aigles bleu si elle n'était même pas capable de comprendre ce qu'elle expliquait assez clairement. Bien qu'elle se le demandait déjà beaucoup puisque la Serdaigle détestait tout simplement étudier et voir même la bibliothèque, alors que elle-même y était toujours.


Dernière édition par Aubrey V. White le Mar 6 Nov - 7:45, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyLun 5 Nov - 18:49

Autant depuis que j’étais entrée dans cette pièce si morose, je maitrisais la situation avec brio, autant maintenant, je commençais légèrement à douter. De ma colère, de mes propos, et même de son soi-disant mensonge. Après tout, sa version des faits était tout à fait plausible si on prenait en compte le fait que Ryan n’était rien de plus ni de moins que son cousin. Quelque chose que je n’arrivais pas à croire de toute façon. Qui pourrait penser que la timide Aubrey White pouvait avoir un lien de parenté avec Ryan Quick, Mr le préfet prétentieux de Serpentard, celui qui se croyait tout permis, c’était même à se demander la somme que ses parents avaient versée pour qu’il puisse être nommé à ce poste. Mais ceci le rendait encore plus attirant à mes yeux. Son côté bad boy à moitié torturé, sortant d’une relation compliquée avec la fille Swann. On ne pouvait pas vraiment dire que son choix de filles était brillant, après tout, il était bien sorti quelques temps avec cette idiote de Robinson alors que ses manières étaient si… arriérées, conventionnelles, et tous les synonymes possibles et imaginables. Bref, tout ça pour dire que c’était tout à fait normal si je ne croyais pas Aubrey, non ? Comment est-ce que je pourrais la croire ne serait-ce qu’une seule seconde de toute façon ? C’était physiquement impossible ! Mais apparemment pas pour elle… Aubrey semblait y croire avec une force incroyable, allant même jusqu’à balayer mes questions pour me le préciser. Elle devait avoir oubliée que je détestais être ignorée. Dommage, je l’aimais bien. Mais bon… c’est la vie.

« Il est mon cousin car nos parents son frère et sœur, tu sais comme il faut faire pour être cousin-cousine. »

« Je sais comment on fait, merci, je ne suis pas idiote. » La coupai-je en l’agressant encore un peu plus.

Décidemment, je n’aimais pas sa manière de me parler aujourd’hui, tout comme elle ne devait pas apprécier la mienne à bien y réfléchir. Mais, ça, je m’en fichais un peu en fait. Mais en entendant ses premiers mots sortir de sa bouche, j’eus envie de les lui faire ravaler sur le champ. Quelle insolence ! C’était moi qui souffrais là, pourquoi elle s’en prenait à moi de cette manière ? Surtout pour m’expliquer comment la vie fonctionnait. Ce n’était pas moi qui avais avoué un peu plus tôt que je ne sortirais avec aucun garçon. J’allais lui demander de m’expliquer cette histoire de garçons quand j’eus enfin ma réponse, que finalement, j’aurais préféré ne pas avoir…

« Et si cela peu te convaincre que je ne fréquente pas ce garçon, je t'ai dit aussi que je ne pouvais pas être la petite amie de Ryan car j'ai une attirance pour les femmes. »

Aussi incroyable que cela puisse paraître, toute ma rage, ou en tout cas, la plus grande partie, s’envola quand elle prononça ses derniers mots d’un ton sec, affirmant ses propos avec vigueur. Maintenant, le problème n’était plus que je ne voulais pas la croire, mais que je ne pouvais pas la croire. C’était juste… impensable. Un combat semblait s’être engagé dans ma tête, et l’issue de cette guerre m’était encore inconnue. Alors comme ça elle… Non ! Vraiment ? Alors là, je tombai des nues. Elle avait un penchant pour les filles. En clair, elle était lesbienne quoi. Aubrey, lesbienne ? Ma Aubrey ?! Non, non, non, non, non ! Hors de question ! Elle parlait toujours avec moi de garçons, et même si elle ne donnait jamais son point de vue en première sur tel ou tel garçon, elle précisait bien qu’elle aussi les trouvait mignon elle aussi, je me trompe ? En même temps, elle était devenue rouge pivoine après avoir dit ses mots, ce qui contrastait énormément avec tout le jaune qu’elle portait sur elle, petite Poufsouffle fière de sa maison de blaireaux. Elle était aussi rouge que les cheveux roux des Weasley, même si je n’en connaissais aucun personnellement. De toute façon, il était inutile de les connaitre pour les reconnaitre dans la foule. D’ailleurs, Irène, avec ses cheveux roux, aurait très bien pu réussir à se faire passer pour l’un d’eux si elle avait eu des taches de rousseur, et qu’elle n’agissait pas en aussi bonne sang-pure. Peut-être que, finalement, c’était pour ça qu’elle agissait de cette manière. Pour ne pas que les gens la confonde avec ses « ignobles traitres à leur sang ».

Pour en revenir à Aubrey, cette coloration, qu’avait pris son visage, montrait tout de même un léger malaise, et donc, une vérité, un secret. Un secret qu’elle m’avait confié semblait-il… Un instant j’eus envie de rire. La situation était vraiment comique quand même. Je connaissais Aubrey depuis cinq ans, cinq longues années pendant lesquelles elle n’avait jamais eu le courage de m’avouer cette particularité pas si étrange que cela de nos jours, et voilà qu’aujourd’hui, elle m’annonçait de but en blanc que le garçon avec qui je l’accusais de sortir en douce était son… son cousin et qu’en plus de cela, elle avait une attirance pour les filles. Elle aurait quand même pus me l’avouer plus tôt, ça aurait évité tous ses débordements d’émotions. Voilà que maintenant, j’étais énervée contre elle parce que je comprenais enfin que depuis tout à l’heure, elle ne m’avait pas menti une seule seconde. J’aurais dû le remarquer quand elle m’avait appelé Lulu, elle ne m’appelait comme ça que quand elle voulait me mettre en confiance, ou je ne savais trop quoi.

« Tu… Oh… »

Maintenant, je me sentais vraiment stupide, et le pire, c’est que je ne savais vraiment pas quoi lui répondre. Une première pour moi. Je n’étais pas habituée à être à court de mots, même si cela m’était déjà arrivé quelques semaines plus tôt avec Bailee. Disons, que cela ne se produisait que très rarement. Tout était redevenu silencieux, puisque je ne parlais plus, et elle non plus. J’entendais même le bruit des plumes contre un parchemin quelques tables plus loin. J’avais envie de me retrouver six pieds sous terre en ce moment. La situation s’était visiblement inversée très rapidement depuis qu’Aubrey avait retrouvé un semblant de courage. C’était à se demander comment s’était arrivé d’ailleurs, et si j’avais vraiment un jour été en colère contre elle. A présent, j’avais du mal à le croire moi-même.

« Tu me crois maintenant? Ou je dois demander des déclarations écrites de mes parents et de Ryan sur mes liens familiaux ? »

Cette fois-ci, un sourire étira mes lèvres, pour finir en éclat de rire, en pleine bibliothèque. Je retrouvais enfin la Aubrey que je connaissais, même si elle était encore légèrement agacée au vu du ton qu’elle avait employé. Ça paraissait assez suspect quand même, que je me mette à rire ainsi alors que quelques minutes plus tôt, je lui exprimais tout le dégoût que j’avais pour elle. La plus étonnée en dehors de moi, devait quand même être Aubrey. Pour une fois qu’elle avait relevé la tête, la vision qu’elle avait devait la rendre perplexe.

« Honnêtement ? » Commençai-je sur le ton de la rigolade avant de redevenir sérieuse. « J’hésite à te le demander, mais c'est ta vie privée. Alors je vais te croire sur paroles quand même. On est amies, non ? Donc tu n’as aucunes raisons de me mentir ? » Lâchai-je avec malgré tout beaucoup de réticence.

Je la regardai dans les yeux, en espérant qu’elle ne les baisse pas brusquement en rougissant et en se confondant en excuses et tout le bordel. C’était à moi de m’excuser, même si je n’avais aucune idée de comment il fallait s’y prendre réellement. Je ne m’étais encore jamais sincèrement excusée. Mon frère ne voulait pas de mes excuses, et j’avais donc appris à éviter que le mot « désolé » sorte de ma bouche trop souvent. Mais là…

« Ecoute Aubrey… Je… »

Je fus incapable de poursuivre ma phrase. J’avais peur que ce soit à son tour de me juger. J’avais peur qu’elle pense que je n’étais pas sincère avec elle en disant ces trois petits mots. Quatre si je rajoutais « sincèrement ». J’avais peur qu’elle me traite comme je venais de la traiter, et je me trouvais vraiment égoïste. Si je ne la dégoutais pas, qu’elle ne s’en inquiète pas, je le faisais toute seule. Et pour une fois, je voulais retirer absolument toutes les horreurs que je venais de lui dire. Bon, si je n’arrivais pas à les dire, autant les penser, non ? Aubrey, je suis désolé pour tout ce que je viens de te dire. Sincèrement.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 6 Nov - 7:45

    Alors que la blonde était arriver complètement en colère contre Aubrey, cela avait bien sur prit un moment avant que toute les cartes soit mise sur la table. Il fut par la suite bien plus évidant de voir qu'il s'agissait ici d'un simple mal entendu, mais malheureusement les mal entendu prennent parfois bien du temps avant d'être régler. En effet, puisque les deux parties doivent expliquer leurs versions complète avant que la vérité soit clair comme de l'eau de roche. La Poufsouffle avait pourtant dit tout ce qu'elle avait à dire sur le sujet, mais Lucy semblait toujours vouloir croire au mensonge, bien qu'un doute semblait commencer à faire place sur ses traits auparavant rempli d'un colère sans précédent. Aubrey, de son côté, se demandais ce qu'elle pourrait bien dire si la bleu et argent continuait à nier tout ce qu'elle lui racontait... N'était-ce pourtant pas si simple de s'assir le sens de la phrase j'aime les femmes ou encore Ryan Quick est mon cousin, les deux raisons, très valable, qui créait la parfaite réponse à pourquoi Aubrey White ne fréquenterais jamais, même si les poules en venait à avoir des dents, le préfet des Serpentard. Dès que Lucy lui demanda ce qu'elle voulait dire en lui disant que le brun était son cousin,la Poufsouffle ne manqua pas de répondre avec une pointe d'agacement dans sa voie que cela devait être car son père était le frère de sa propre mère créant ainsi le lien de sang qu'il faut pour être cousin et cousine.

    Vraisemblablement, Lucy n'aima pas son changement de ton puisque son visage en démontra une réaction rapide de colère qui refaisait surface.Sans oublier que en expliquant ce faire elle était complètement passé par dessus l'explication que Lucy lui avait demander au même moment et elle savait bien que Lucy détestait ne pas se faire répondre lorsqu'elle posait une question. Or, ce n,est pas qu'elle ne voulait pas lui répondre, elle avait simplement voulu changer de sujet au même moment ou elle lui avait poser la question, elle n'aurait qu'a lui redire par la suite. La blonde commençait à ne vraiment pas aimer le comportement de son amie et le sien était en train de changer en conséquence. En effet, un courage semblait lui avoir sortie de nul part et l'instant d'une seconde elle avait mise de côté sa timidité pour affronté la bleu et argent. Il était temps que cette histoire finissent au plus vite, elle avait un livre à lire après tout et des devoirs à faire alors elle ne comptait pas passer la soirée à se faire accusé de tel sottise. Elle pourrait très bien se lever et partir maintenant qu'elle y pensait... Or, elle savait très bien que malgré le petit grain de caractère qui venait de poussé en elle, elle était toujours trop sous le choc et timide pour traverser cette salle convenablement, surtout que après la scène de Lucy avec les deux Serdaigle tous la suivrait du regard et voir, peut-être que certains viendrais lui parler afin d'en savoir plus sur la situation et disons qu'elle n'aimait pas devenir ainsi le centre de l'attention et encore moins se faire abordé par des inconnues, alors sa raison la faisait rester assise à cette place dans le font de la bibliothèque pour entendre la suite de ce que pourrait bien inventé l'aigle bleu pour transformer ses paroles en n'importe quoi encore une fois. Comme elle le pensait se fut avec un tant agressant et plein de rancune envers le ton d'Aubrey que Lucy lui lança en la coupant elle même dans son explication de comment faisait t'ont pour être cousin et cousine...

    « Je sais comment on fait, merci, je ne suis pas idiote. »

    Bah une chance! Une idiote n'aurait pas sa place à Serdaigle. Bien que la blonde l'avait connu bien plus vive d'esprit par le passé. Peut-être bien que le fait de trouver le jeune brun charmant lui voilait les yeux. Comme de quoi l'amour rend vraiment aveugle, car il était simplement impensable qu'Aubrey puisse le fréquenter. De plus, la blonde ne savait pas mentir alors ne pas la croire était toute aussi mal venu de la part de la bleu et argent. Puis, si elle ne voulait pas d'une telle réponse sarcastique, pourquoi avait-elle demander comment cela se faisait-il que Ryan soit son cousin. Plus la journée avançait et plus les deux amies commençait mutuellement à se tomber sur les nerfs par leurs manières de se parler alors que en tant normal elle s'entendait très bien. Comme de quoi de tel commérage pouvait parfois gâcher de belles relations interpersonnel qui pourrait être souvent évité si les histoires était inspecter avant l'accusation. Encore sur sa lancer de courage, Aubrey s'était finalement pencher vers son amie et lui avait répéter son attirance envers les filles. Puis, s'était reculer de nouveau pour retrouver ses couleurs rougeâtre et sa timidité. Si de son côté, elle voulait disparaître sous la table et ne plus réapparaître dans cette école jamais, Lucy elle sembla sous le choc de cette nouvelle. Pourtant, elle aurait très bien pu le découvrir depuis longtemps il y avait des signes ici et là en permanence. Elle ne parlait jamais de garçon par elle même, elle ne les regardait même pas en classe et de plus, elle avait cette obsession envers la sang-pur et Serpentard Irène Robinson depuis comme... toujours. Bref, pour l'instant elle attendait une réaction de la part de son amie tentant un peu de cacher son visage rouge derrière sa blonde chevelure, sans succès. Ce qui ne tarda plus à venir, la blonde ouvrit la bouche pour laisser sortir ses quelques mots, ou babillage.

    « Tu… Oh… »

    L’éloquence dons elle avait fait preuve au début de cette conversation semblait désormais l'avoir quitter pour de bon il fallait croire. Il fallait avouer aussi qu'Aubrey venait tout de même de lui dire deux très gros secret d'une claque alors que en cinq ans, elle ne devait jamais lui en avoir fait part d'un seul, même le plus petit de ses secrets. Cela devait tout de même être un choc pour elle, mais Aubrey aurait espérer peut-être plus de mots, désormais elle commençait à avoir peur que la bleu ne veulent plus lui parler dorénavant. En revanche, n'est-ce pas le meilleurs moyen de lui faire comprendre qu'aucun garçon du château ne l'intéressait, sans qu'elle ai raconté à droite et à gauche qu'elle voulait devenir religieuse pour autant. De plus, en amitié il fallait bien être honnête, alors le temps était venu de lui dire. Sans oublier qu'elle le savait depuis la deuxième année, le cacher plus longtemps ne servirait à rien, elle ne pourrait pas changer cette déviance. N'ayant pas regarder Lucy depuis cette révélation, elle n'avait pas vue si son visage était toujours colérique ou pas, mais en elle, elle sentait toujours cette colère d'avoir été accuser à tord et aussi du comportement de la Serdaigle envers elle, elle lui lança donc, toujours avec un ton plus fort et démontrant son agacement de la situation si elle devait aller chercher des déclarations aux membres de sa famille.

    La situation semblait avoir eu un effet miroir, désormais l'attaquante été la petite Poufsouffle. Son commentaire, bien que lancer agressivement, eu pour effet de faire sourire et même rire son amie. Pas un simple rire, un vrai éclat de rire. Aubrey releva immédiatement son regard vers elle, d'abord choquer, comment pouvait-elle rire alors qu'elle-même était extrêmement irriter de sa présence et en colère contre elle. Puis, regardant son amie rire, trouvant la situation un peu anormale elle fini par sourire légèrement elle aussi, mais n'en ria pour autant. Quelques élèves ne manquèrent pas de se retourner vers la Serdaigle qui riait fort alors qu'elle venait de tous les traumatiser de sa colère il n'y avait que quelque minutes auparavant. Ce qui eu vraiment pour effet de calmer la Poufsouffle qui reprenait lentement, mais surement, un teint de peau pâle et blanc comme à son habitude. Lucy, tentant bien que mal de calmer son rire fini par lui lancer, sur un ton de la rigolade...

    « Honnêtement ? »  Puis, elle revint vers un ton plus sérieux pour poursuivre...  « J’hésite à te le demander, mais c'est ta vie privée. Alors je vais te croire sur paroles quand même. On est amies, non ? Donc tu n’as aucunes raisons de me mentir ? » 

    « Aucune, rappelle toi bien de cela la prochaine fois que tu penseras que je fréquente mon cousin »

    Cela aurait pu être une attaqua, mais Aubrey l'avait dit sur le ton de la plaisanterie elle aussi et avait accompagné ses mots d'un clin d’œil. Elle n'avait jamais pu en vouloir très longtemps à Lucy. La Serdaigle la regardait dans les yeux et Aubrey détestait soutenir le regard des gens. En tant normal, elle aurait rapidement retourner son regard vers le sol, mais les deux blondes avait vraiment besoin de mettre les choses au clair et cesser de se prendre la tête. D'autant plus pour une raison aussi stupide qu'un garçon. Lucy semblait chercher quoi dire et Aubrey garda le silence, sachant que mieux valait ne pas la couper toute suite. La serdaigle fini pour ouvrir la bouche et lancer...

    « Ecoute Aubrey… Je… »

    Manifestement, elle n'avait toujours pas retrouver son éloquance. Aubrey fini donc par lui dire le fin fond de sa penser depuis qu'elle avait découvert le sujet de cette conversation...

    « Tu sais Lucy, j'aurais du te faire part de tout cela avant, désoler de ne pas en avoir eu le courage, nous aurions eu moins d'ennui aujourd'hui. »

    En revanche, grâce à cette conversation, elle n'aurait plus vraiment à donner son avis sur les garçons et aussi... elle était certaine plus que tout que son amie en craquait dur comme le fer sur ton cousin. Sinon pourquoi aurait-elle réagit ainsi devant ce rapprochement entre Aubrey et Ryan. Sans oublier qu'elle avait vraiment mis l'accent sur le fait qu'elle trouvait le garçon charmant lors de leurs dernière conversation sur les mâle du château. Peut-être devrait-elle faire quelque chose sur le sujet...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMer 7 Nov - 6:57

Dans la vie, au début on nait, à la fin on meurt. Et entre les deux, il se passe tout un tas de trucs, et ça dure plus ou moins longtemps en fonction de la durée de vie. Pendant les deux premières années de nos vies, on apprend entre autre le langage. Parce que vivre dans un monde sans savoir s’exprimer et se faire comprendre par les autres, c’est vraiment bête. Pendant tout le reste de notre vie, on se sert de ce langage pour dire des conneries. Et c’est à peu près la seule chose qu’on fait durant notre vie, dire et faire des conneries. Puis tenter de les réparer pour les plus responsables d’entre nous. Malheureusement, cette partie-là ne concerne que peu de monde… Aujourd’hui, en me levant, j’avais espéré pouvoir passer un dimanche pour le moins normal pour une fois, parce que depuis le début de l’année, je n’avais pas l’impression d’avoir eu droit à beaucoup de week-ends normaux. J’avais vraiment eu l’espoir que celui-ci serait meilleur, que pour une fois, j’aurais pu faire ce que je voulais, à savoir aller lire dans le parc, autour de toutes les feuilles qui tombaient les unes après les autres dans un ballet aérien pour le moins coloré. C’était la raison qui faisait que j’aimais l’automne, comme j’aimais l’hiver pour sa neige d’un blanc immaculé qui recouvrait toutes les surfaces accessibles, j’appréciais le printemps pour voir la nature se relever, et renaître, sentir l’odeur des fleurs bourgeonnant, j’appréciais l’été pour le soleil éblouissant qu’il y avait à longueur de journée, même si je passais celles-ci dans la forêt près de chez moi.

Bref, j’aimais toutes les saisons malgré leurs défauts, pour tout ce que chacune d’elles m’apportaient de bien. Bien sûr, il avait fallu que mes plans soient bousculés, à cause d’une petite Poufsouffle que je considérais comme mon amie, même si j’avais eu du mal à le faire. J’avais été choquée, si ce n’est plus, en voyant la petite et timide Aubrey parler dans un couloir très utilisé au préfet de Serpentard. Préfet pour qui j’en pinçai, inutile de se voiler la face plus longtemps. J’avais essayé de contrôler mon envie de meurtre le plus longtemps possible, je ne pouvais pas nier cela, mais le fait est que je n’avais visiblement pas tenu assez longtemps puisque j’étais allé voir Aubrey là où elle se réfugiait tout le temps, même le dimanche : la bibliothèque. C’était à se demander pourquoi, de nous deux, c’était moi qui avait atterri à Serdaigle, alors que c’était elle qui y passait ses journées… Parfois le Choixpeau Magique faisait des choix étranges, mais on ne pouvait pas lui en vouloir pour si peu… Par contre, je pouvais sans problème en vouloir à Aubrey pour m’avoir caché quelque chose d’aussi important qu’une relation avec Ryan Quick. LE Ryan Quick. Après tout, ce n’était pas n’importe qui, et peut-être qu’en d’autres circonstances, je serais allé voir Aubrey, je lui aurais expliqué la situation le plus simplement du monde, et j’aurais écouté sa version des faits. Je lui aurais peut-être dit que Ryan n’était pas forcément un type bien pour elle, et je lui aurais demandé si elle était sûre de vouloir s’aventurer sur une pente aussi glissante avec ce serpent… Mais tout le problème résidait dans les circonstances. Je voulais Ryan pour moi, et elle connaissait mon attirance pour lui, pourtant, elle était allé le voir délibérément. Je me fichais pas mal de savoir si c’était elle ou lui qui avait fait le premier pas vers l’autre. Tous ces détails cumulés faisaient que je ne pouvais pas aller la voir pour lui parler gentiment, comme l’amie que j’étais à ses yeux. J’étais aveuglé par bien trop de colère dirigée contre elle pour que je sois capable d’autant de tact, et Merlin savait à quel point mon impulsivité pouvait me faire faire des trucs stupides…

Bref, tout ça pour dire que finalement, j’avais craqué. Je ne pouvais pas rester ainsi, sans savoir ce qu’il se passait entre eux, même si je m’en doutai fortement. Je détestais être ainsi écartée, et Aubrey devait pourtant le savoir. Bien que je conçois parfaitement le fait qu’elle n’est pas voulu m’en parler directement, elle aurait quand même pus glisser des indices çà et là, pour que je comprenne qu’elle avait envie de sortir avec Ryan. Mais non, rien, pas même un long regard échangé en se croisant dans les couloirs. Bon, je ne le relookais pas non plus dans ces circonstances-là, mais moi, j’avais Amara sur le dos, jusque très récemment en tout cas. Et maintenant que cette folle ne sortait plus avec le vert et argent, j’avais enfin une chance inespérée de pouvoir l’atteindre, d’une manière ou d’une autre. Je ne voulais, non, je ne pouvais pas penser que celle-ci m’étais passée sous le nez aussi bêtement. Je devais vraiment mettre les points sur les i et les barres sur les t avec Aubrey. Pour le coup, sa conduite m’indignait, et j’avais vraiment hâte de m’expliquer avec elle. Ce que j’avais fait. Pas forcément de la meilleure manière d’accord, mais j’avais agis au moins, même si je l’avais fait trop tôt pour pouvoir maîtriser mes émotions. Si mon frère m’avait vu… Je n’osais pas imaginer comment il aurait décrit ma conduite. Inadmissible, pas croyable, indigne, révoltante. Oh, oui, il aurait été déçu qu’une telle personne soit liée à lui par le sang, et il me l’aurait bien fait comprendre. Et je détestai ça au plus profond de moi, le décevoir était trop difficile à supporter. Même si pour l’instant j’avais bien d’autres préoccupations que celle-ci…

J’étais donc allée la voir, pour lui expliquer ma manière de penser sur la situation, et bien qu’au début, je maîtrisais parfaitement la situation, elle m’avait bien échappée au moment où elle avait prononcé la phrase « j’ai une attirance pour les femmes. » J’avoue que je m’attendais à presque toutes les excuses possibles et imaginables, même celles impossible m’avaient traversée l’esprit, mais ça… j’en restais pantoise. Je n’avais rien contre les personnes homosexuelles, mais savoir qu’Aubrey en était une me donnait l’impression de ne pas la connaître aussi bien que je le pensais avant. Là encore, en d’autres circonstances, je lui aurais demandé pourquoi elle ne me l’avait pas dit plus tôt, et par curiosité, je lui aurais demandé en souriant si elle avait déjà eu une aventure. Je l’aurais fait, et on aurait pu inverser les rôles, car je parlais tout le temps de garçons, alors, c’était maintenant à son tour de parler de ses fantasmes les plus inavoués. Bien sûr, il y avait ça, et il y avait aussi le fait que Ryan Quick était… comment elle disait déjà ? Ah oui ! Son cousin. Son cousin !! Et je venais l’accuser de sortir en cachette avec lui. J’étais vraiment une amie minable, il n’y a pas à dire… Le pire, c’est que j’avais osé lui demander si elle me mentirait un jour, alors que c’était Aubrey quoi ! Cette fille était aussi incapable de mentir que moi de respecter un règlement. On pouvait le comprendre aisément, quand on voyait que je m’étais retrouvée morte de rire dans la bibliothèque, le temple du silence. Sauf le dimanche…

« Aucune, rappelle-toi bien de cela la prochaine fois que tu penseras que je fréquente mon cousin »

Je baissais la tête, honteuse. Même si son ton indiquait qu’elle le prenait plutôt bien. Elle venait même de me faire un clin d’œil, c’était pour dire… Je me sentais idiote, de l’avoir accusée ainsi, sans aucune preuve, juste parce que j’étais aveuglé par un sentiment qui me dépassait. Je ne sais pas si j’arriverais à me regarder dans le miroir après ça. Comment avais-je pu penser ne serait-ce qu’une seule seconde qu’Aubrey avait pu me faire un coup pareil ? C’était impossible ! Elle ne faisait de mal à personne, elle avait même besoin de moi pour se faire entendre des autres, alors imaginer qu’elle aurait pu me blesser, moi, délibérément ou pas d’ailleurs, ça relevait de la stupidité à l’état brute. Merlin ce que j’avais honte de moi ! Je ne dis rien, mais relevai la tête. Inutile de me blâmer dans un lieu aussi bondé, de quoi j’aurais l’air ? J’avais ensuite essayé pitoyablement de m’excuser, mais sans grand succès.

« Tu sais Lucy, j'aurais du te faire part de tout cela avant, désoler de ne pas en avoir eu le courage, nous aurions eu moins d'ennui aujourd'hui. »

Attende, pause ! Rembobinez un peu, voilà merci ! Pourquoi… pourquoi Aubrey s’excusait au juste ? Pour m’avoir caché un détail de sa vie ? Ce que je faisais à longueur de journée ? Et puis d’abord pourquoi c’est elle qui s’excusait alors que c’est moi qui avais agis de manière détestable ? Le monde tournait vraiment à l’envers…

« Non, tu n’as pas à t’excuser » Dis-je d’une petite voix. « Ce n’est en rien ta faute. Je… J’aurais dû chercher à comprendre la situation avant de tout te jeter à la figure. Tu n’as pas à t’en vouloir, tu n’as fait qu’essayer de m’expliquer depuis tout à l’heure. C’est moi qui n’ai rien écouté. Je… Je suis désolé pour ça, et je suis désolé d’être une aussi pitoyable amie. » Finis-je en baissant la tête.

Un peu plus, et nous atteignons la pire scène mélodramatique qui puisse exister. Genre, Aubrey et moi finissant en pleurs dans les bras l’une de l’autre, ou quelque chose de bien pathétique comme ça, alors que nous venions d’avoir la pire crise de notre amitié. Je préviens tout de suite, si elle voulait me prendre dans ses bras maintenant, il faudrait tuer tous les témoins… Je relevai la tête, pensant soudainement à un truc. Aubrey venait bien de m’annoncer qu’elle était parente avec Ryan Quick, non ?

« Dis-moi Aubrey… tu me rendrais un petit, tout petit service ? Je sais que c’est beaucoup te demander, mais… tu me présenterais Ryan ? »

Pour certains, en demandant ça, je pouvais ressembler à une impertinente sans gêne et avec beaucoup de culot. J’avoue que je n’étais pas le genre de personne à prendre l’avis des autres en compte, mais là, c’était différent. Je voulais juste savoir si elle accepterait par le plus grand des hasards à me rendre ce service. Et puis, si elle disait non, tant pis. Mais qui ne tente rien n’a rien n’est-ce pas ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 13 Nov - 6:40

    Parfois, il faut se rappeler que l'être humain est drôlement composé. Surement est-ce du au fait qu'il ai un libre arbitre de penser se qu'il veut et faire à sa tête. Le fait d'avoir un cerveau plus volumineux que la majorité des créatures de ce monde devait être une nuisance pour son jugement logique... L'être vivant sans aucun doute le plus difficile à comprendre, probablement la raison de pourquoi il n'était pas sujet au cours de soins au créature. Pourtant, l'homosapien n'était-il pas considérer comme étant l'être le plus évoluer sur terre? Car son sens de la réflexion pouvait vraiment craindre parfois. Pour bon exemple, dans la bibliothèque de Poudlard, en ce moment même, Aubrey qui s'était toujours montré sincère envers ses amis et tout le monde devait savoir que mentir était hors de ses cordes. Pourtant, en ce moment même, elle était accusé de fourberie et de mensonge envers son amie Lucy Blunt. La bleu et argent, avait conclu sans preuve et en sautant à de conclusion attive, que la blonde fréquentait le préfet des vert et argent et qu'elle ne lui en avait pas parler auparavant. Ce qui rendit immédiatement la conversation très difficile à suivre. On retrouvait dans ce tableau un Lucy extrêmement en colère pour une raison inexistante et une Aubrey qui tentait en vain de comprendre ce qu'elle avait bien pu faire de mal. Lui faire comprendre la vérité ne fut pas des plus faciles non plus! La Serdaigle semblait vouloir tout transformer à son avantage et rendre la petite jaune et noir coupable d'un acte non posée. La bibliothèque n'était certes pas l'endroit parfait pour cette conversation, mais la bleu et argent avait attaqué dès son entrer ne laissant aucune possibilité à un changement de place. Ce qui faisait en sorte qu'elle lui criait dessus en murmurant, chose qui aurait pu être assez drôle si elle n'était pas la victime des attaques.

    Pour un dimanche à la bibliothèque bien calme et à lire des livres jugé intéressant, disons que les plan de la jaune et noir avait été quelque peu changé après l'arrivé de son amie. Chose très surprenant d'ailleurs! Rare était les dimanche ou Lucy venait dans la bibliothèque... en fait, rare était les fois qu'elle y venait peu importe le jour de la semaine. Bien qu'elle soit une Serdaigle, elle n'aimait pas les cours ni étudier... Alors que la Poufsouffle adorait ça. Le choipeaux avait peut-être été défectueux l'année de leurs répartitions qui sait... Bref la surprise de voir la bleu et argent entré dans cette salle la fin de semaine l'avait surprise, normalement elle aurait du être dehors, mais si cela l'avait étonner, sa colère le fit encore plus. En effet, la Poufsouffle était celle qui mettant dans son horaire du temps « passer ma fin de semaine à la bibliothèque » la Serdaigle pour sa part profitait pleinement de son congé et elle était aussi l'élève calme entre les deux, jamais son comportement n'aurais pu entraîner une tel colère. C'était plutôt Alexanne avec ses commentaires mal placé et sa manie à se croire meilleure qu’autrui qui aurait du s’attirer un tel colère de leur amie! Pas elle qui n'avait rien fait. Voir Alexanne subir la colère de Lulu ne pourrait que rendre la Poufsouffle secrètement heureuse. Les deux jeunes filles n'était aucunement capable de s'accorder. Aubrey avait fait des efforts pourtant! Minime certes, mais la faut de cette mauvaise relation, selon elle, était entièrement de la faute de la vipère qui de son côté n'avait fait aucun effort et ne faisait que la contredire dès qu'elle parlait et essayer d'avoir toute l'attention de Lulu sur elle. Sans oublier qu'elle passait son temps à insulter les amies qu'Aubrey avait. Il était pourtant rare que la blonde n'apprécie pas un membre de la maison vert et argent... mais bon il fallait toujours des exceptions pour confirmer les règles.

    Mais pour en revenir a Lucy, celle ci s'était mise en tête une bien étrange idée et il lui fallait lui ouvrir les yeux. C'est ainsi que en seulement quelques minutes, elle lui révéla ses deux plus gros secret alors que en cinq longue années à être amie, elle ne lui en avait jamais dit d'aussi gros, préférant être celle qui écoutait et gardait les secret de l’autre. Ainsi, cela devait être assez surprenant pour la blonde en effet, mais sûrement pas au point de ne pas croire un seul mots de ce qu'elle disait! Bree' n'était pas capable de mentir, cela la rendait nerveuse et elle finissait par se reprendre immédiatement après son mensonge pour dire la vérité ne supportant pas le mensonge. D'ailleurs, pour ce qui était de l'histoire des bonbons dans son sac, elle avait toujours été très heureuse que Lulu ne lui demande jamais d'ou pouvait bien venir autant de papier de bonbon qu'elle n'avait jamais manger dans son sac de cours. Ainsi, elle n'avait jamais eu à lui répondre. En revanche, elle venait de lui avouer être lesbienne, ce qui pouvait être une nouvelle assez lourde à prendre d'une claque. Elle ne fut pas surprise par le manque de réponse de la part de son amie, le morceau devait passer et cela pouvait prendre un moment. Par la suite, elle lui avait aussi lancer être la cousine du « beau » préfet de Serpentard, pour reprendre les mots de la bleu et argent, ce qui aussi pouvait être un assez gros morceau a prendre. Cela pouvait en effet être dur à croire, puisque les deux avait peu de point commun, mais était en grande partie des opposés parfait. Or, qu'elle règles obliges les membres d'une famille à tous être faite du même moule? Après ses deux révélation Lucy avait sembler se sentir énormément mal et ne savait plus trop ou trouver ses mots. En revanche le calme pu reprendre sa place habituel dans leurs conversation.

    Puis, elle avait bien rie par la suite. Probablement trouvant sa réaction au final excessive apprenant l'histoire au grand complet. Puis elle avait sortie un blague qui avait fait sourire la blonde et l'avait calmer elle aussi. Elle n'avait fait que lui demander de se rappeler de cette histoire la prochaine fois qu'elle penserait qu'elle fréquentait son cousin. Bien qu'elle l'ai dit sur le ton de la plaisanterie, la Serdaigle avait baisser la tête honteusement, mais Aubrey n'était simplement pas capable de rester en colère contre Lucy. Contre pas grand monde en fait. Puis devant le manque d’éloquence de la bleu et argent, la Poufsouffle avait fini par s'excuser. En effet, si elle lui avait fait part de tout cela bien avant, jamais elles n'auraient au à gérer cette histoire et encore moins à déranger la bibliothèque en ce dimanche après-midi. Or, le visage de Lucy ne semblait pas heureux ou d'accord avec son affirmation, mais plutôt surprit et en désaccord. Chose qu'elle lui fit rapidement part, avec une petite voix.

    « Non, tu n’as pas à t’excuser » 

    Bah... un peu quand même, car elle aurait du être plus honnête par le passé.

     « Ce n’est en rien ta faute. Je… J’aurais dû chercher à comprendre la situation avant de tout te jeter à la figure. Tu n’as pas à t’en vouloir, tu n’as fait qu’essayer de m’expliquer depuis tout à l’heure. C’est moi qui n’ai rien écouté. Je… Je suis désolé pour ça, et je suis désolé d’être une aussi pitoyable amie. » 

    Puis, elle baissa la tête. Il était clair qu'elle s'en voulait d'avoir prit feu rapidement et pour une mauvaise raison. Aubrey préférant d'étendre l'ambiance et sortir de ce mélodramatique tenta de détendre un peu l'atmosphère. Lui souri et lui répliqua après avoir lancer un faux bruit de sursaut exagérément fort elle mit sa main devant sa bouche et lança sur le ton de la plaisanterie toujours...

    « Bah! Tu as raison. Dans ce cas je devrais vite changer d'amie! » Elle fit mine de réfléchir et ajouta... « Je vais prendre Alexanne, elle sera certes un meilleurs choix. »

    Elle rie après sa phrase. Lucy savait très bien la haine qui existait envers les deux demoiselles il était impensable qu'elle soit remplacer par la vipère. Puis, Aubrey de son côté trouvait qu'ils était inutile de rester à jouer dans la colère, la honte et le mélodramatique en ce dimanche après-midi. De plus, la vie était bien trop courte pour s'apitoyé aussi longtemps sur une erreur comme celle-ci. La prochaine fois, les deux n'aurons qu'a mieux s'expliquer et ne pas sauté immédiatement au conclusion. Comme on dit, rien n'arrive pour rien et ce malentendu pouvait servir de leçon pour le futur. Elle souria de nouveau à son amie voulant la faire se sentir mieux et ajouta plus sérieusement...

    « Je ne t'en veux pas, nous avons toute deux notre part de responsabilité, j'aurais du te dire tout cela bien avant et te faire confiance et de ton côté, tu aurais du faire ta Serdaigle et additionner deux plus deux plus tôt. »

    Puis, soudainement, Lucy releva la tête rapidement semblant avoir oublier toute la chicane et lui annonça vivement...

    « Dis-moi Aubrey… tu me rendrais un petit, tout petit service ? Je sais que c’est beaucoup te demander, mais… tu me présenterais Ryan ? »

    Voilà qu'elle retrouvait la Lucy Blunt qu'elle connaissait! En plus, la Poufsouffle savait bien qu'elle avait un faible pour le garçon et il serait en effet assez normal, car c'est ce que les amies font, de l'aider à pouvoir rencontrer son cousin. Alors, Aubrey ria légèrement avant de mettre son main sur l'avant bras de la Serdaigle et lui répondre...

    « Avec grand plaisir! »Puis, elle rapporte sa main sur son menton, et fixa le plafond, le regard pétillant de malice. « Mais il te faudra le mériter. Que pense-tu de devoir être ma servante et avoir à traîner mes cahiers toute la semaine? » Puis elle souria et regarda son amie avant d'ajouter. « Non je rigole, si cela peu te rendre heureuse je veux bien tenter quelque chose. Les amies sa sert après tout. »

    Que diable pourrait telle inventé pour que son cousin accepte de rencontrer Lucy? Et cela sans que le brun face demi-tour dès qu'il remarque que cela était un rendez-vous avec une Serdaigle... Elle aurait le temps de trouver. Pour l'instant, peut-être la Serdaigle allait partir et elle pourrait continuer son livre et peut-être même commencer son devoir. Ou encore, elle pourrait elle-même lui donner des idées pour lui présenter Ryan.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous

Invité

Invité

À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] EmptyMar 20 Nov - 1:09

Après la pluie, vient le beau temps, mais quelle phrase magnifique, vous ne trouvez pas ? Et quel proverbe recherché ! Bien que la pluie me rendait bien plus heureuse que le beau temps, je ne pouvais que constater à quel point cette phrase collait parfaitement à la situation, et pouvait très bien la résumer. En effet, au sens philosophique du terme, et sans prendre la peine de comparer les goûts météorologiques de chacun, cette phrase voulait bien dire qu’après un mauvais coup de la vie, un malheur, ou une dispute par exemple, on en revenait toujours à une situation de paix, ou de profusion d’excuses, en prenant la faute sur soi, et tout ce qui allait avec, je me trompais ? Si bien que parfois, on finissait par se disputer encore pour savoir à qui la faute, ou qui était le plus désolé pour des paroles qu’il ne pansait pas. Bien sûr, je ne m’étais jamais vraiment disputé avec Aubrey, et donc je ne savais pas vraiment si elle faisait partie des 95% de la population qui agissait ainsi, ou si, au contraire, elle me laisserait me confondre en excuse jusqu’à ce qu’elle estime que j’en ai assez dit pour aujourd’hui, et que je devais recommencer le lendemain. Après tout, il faudrait des mois et des mois pour qu’elle veuille bien me pardonner cet affront. La traiter de menteuse, mais où avais-je la tête ? Certainement quelque part dans les nuages, en train de penser au bien de mon futur couple. Oui, j’avais fait cela pour le plus grand bien, comme l’avait dit et fait Dumbledore il y a de cela des centaines d’années au moins. Oui, c’était exactement ce que j’avais fait, j’avais agis dans un intérêt commun, qui serait plus important pour moi que pour les autres. C’est tout. Bon, j’avais conscience de penser comme la pire des égoïste en ce moment-même, mais qu’est-ce que je pouvais y faire ? Est-ce que la phrase « Je veux Ryan Quick pour moi » était difficile à comprendre ?
Enfin, bref… tout ça pour dire que je ne méritais pas son pardon, pas même une seule seconde. Elle ne pouvait pas me pardonner, ce n’était juste pas possible, au vu des accusations que j’avais porté à son égard, il n’y avait pas d’autre possibilités envisageables. Comment alors pouvait-elle s’excuser de ne m’avoir rien dit ? C’était juste totalement stupide de sa part, elle n’avait rien fait de mal, elle. J’étais la seule responsable dans cette histoire. Après tout, elle n’avait pas cherché à se faire traiter de tous les noms, si ? Non mais qu’est-ce que je pouvais être bête parfois ! Je m’en étonnai même moi-même. Comment j’avais pu lui dire de telles choses ? Comment de tels propos avaient-pu sortir de ma bouche ? Il fallait vraiment que j’apprenne à réfléchir, et à vérifier mes sources avant d’ouvrir la bouche, parce que ça devenait vraiment du grand n’importe quoi… Surtout que je l’avais accusé de sortir secrètement avec le garçon que je convoitais alors que… par Merlin, pourquoi je n’avais pas réfléchi avant ? Elle préférait les filles. Je ne m’en étais jamais doutée, pas même une toute petite seconde. Elle était douée pour cacher les choses, puisque je ne l’avais pas découvert en cinq ans. Et j’étais encore plus loin de me douter qu’elle et Ryan avait un lien du sang. Comment était-ce possible d’ailleurs ? Les deux étaient loin de se ressembler, ils n’étaient en rien similaires d’une quelconque manière. Alors les savoir cousins était un choc assez violent. Personne ne pourrait s’en douter sans avoir été mis au courant par l’un des deux, c’était juste impossible.

« Bah! Tu as raison. Dans ce cas je devrais vite changer d'amie ! Je vais prendre Alexanne, elle sera certes un meilleurs choix. »

Finalement, il suffisait de le demander gentiment pour avoir ce qu’on voulait, j’essayerais de m’en souvenir la prochaine fois que je voudrais quelque chose d’Aubrey. Ainsi, je voulais qu’elle accepte mes excuses, et c’est ce qu’elle avait fait. Plus ou moins. Au moins elle ne cherchait plus à rejeter la faute sur elle, c’était déjà ça de gagner. Non mais attendez, comment ça la prochaine fois ? Il était hors de question que je me re dispute avec Aubrey s’il n’y avait pas une bonne raison derrière. Comme... je ne sais pas moi, si elle tuait Ryan, ou si elle me voulait du mal subitement. Mais de toute façon, ça n’arrivera pas, alors je n’allais pas me disputer avec elle, ni pour ça, ni pour savoir qui de nous deux étaient la plus en torts. Alors, elle n’aurait pas besoin de se moquer gentiment de ma faiblesse en disant vouloir d’Alexanne pour amie. Si ces deux-là devenaient amies un jour, c’est qu’on aura vraiment tout vu.

« Très bon choix, en plus tu me le ferais payer en me prenant ma meilleure amie. Je prendrais Julia pour meilleure amie dans ce cas. Mais puisqu’Alexanne ne va pas me laisser partir de sitôt, et encore moins pour Julia, elle m’invitera à chaque fois, et on se retrouvera toutes les quatre, comme si on était les meilleures amies du monde ! » Lançai-je d’un ton enjouée en faisant preuve de toute l’ironie dont j’étais capable « Oh, c’est trop géniale comme idée, je suis impressionnée Aubrey, vraiment. »

Si un jour les deux jeunes filles étaient capables de rester dans la même pièce le temps d’une soirée, alors là, je voulais bien prêter Alexanne à Aubrey, pour qu’elle voie que la vipère n’était pas une mauvaise personne. La preuve, c’était ma meilleure amie, et je ne choisissais pas mes amis sans réfléchir. Pas à ma connaissance tout du moins… Bon c’est vrai que je choisissais mes copains bizarrement, mais là n’était pas la question n’est-ce pas ? Ryan était un parti tout à fait acceptable selon moi. Un sang-pur - même si je n’en avais rien à faire de ce stupide statu sanguin – jeune et agréable à regarder, pour ne pas dire très mignon. Un peu arrogant sur les bords, et légèrement égoïste de ce que je savais de lui. Bon, bien sûr, il se croit plus supérieur qu’il ne l’est réellement, mais c’était peut-être de la faute d’Amara qui n’était pas vraiment un exemple d’humilité non plus…

« Je ne t'en veux pas, nous avons toute deux notre part de responsabilité, j'aurais du te dire tout cela bien avant et te faire confiance et de ton côté, tu aurais du faire ta Serdaigle et additionner deux plus deux plus tôt. »

Finalement, peut-être qu’elle n’avait pas encore compris qu’elle n’avait pas à s’excuser. Il fallait tout lui expliquer plusieurs fois, c’est dingue ça ! Quoique… elle avait raison. Nous avions toutes les deux une part de responsabilité, même si elle n’avait pas précisée que j’avais les trois quart et qu’elle devait se contenter du dernier quart, une toute petite partie, si insignifiante qu’elle pouvait tout aussi bien disparaître sans que personne – en dehors d’Aubrey – ne s’en rende compte.

« Oui, tu aurais dû. Mais ça n’excuse pas ce que je viens te dire. Si je le pouvais, j’effacerais tous les mots blessants que je viens de te dire. Et promis, j’essaierais de réfléchir un peu plus la prochaine fois. Après tout, ça ne peut pas me faire de mal. »

Je baissai la tête, encore honteuse de m’être emportée de cette manière sur Aubrey, la douce et insouciante Aubrey. Elle portait vraiment bien son nom de famille maintenant que j’y pensais. White, comme blanc. Elle était blanche comme neige, insouciante à faire peur, innocente, et gentille. Elle ne méritait pas tous ces noms dont je l’avais affublée en pensées ou en paroles. En aucun cas.
Aussi, maintenant, je me sentais vraiment stupide de lui avoir demandé un truc aussi fou que de me présenter Ryan Quick. Sur le moment, ça m’avait semblé être une idée excellente, mais maintenant que c’était dit, je ne pouvais plus retourner en arrière, et j’avais juste à espérer qu’elle accepterait sans poser trop de conditions.

« Avec grand plaisir! Mais il te faudra le mériter. Que pense-tu de devoir être ma servante et avoir à traîner mes cahiers toute la semaine? »

Je levai les yeux vers la source de ces paroles, étonnée. Aubrey venait-elle de retrouver son éternelle bonne humeur ?

« Euh… Si c’est pour ça que tu veux des amies, je te confie Alexanne quand tu veux. »

Oui, si c’était pour devenir la servante de quelqu’un, même pour une durée déterminée, je préfèrerais encore perdre ma meilleure amie, et devoir me débrouiller toute seule avec Ryan que de perdre ma position d’être humain. Mais apparemment, j’avais parlé trop vite, puisqu’Aubrey ne semblait pas avoir fini.

« Non je rigole, si cela peu te rendre heureuse je veux bien tenter quelque chose. Les amies sa sert après tout. »

Un sourire étira mes lèvres avant qu’elle ne termine sa phrase. Je fis un geste victorieux avec mes bras et me levai, tout en souriant. Je contournai la table et pris Aubrey dans mes bras. Oui, je sais, j’avais dit que je ne voulais surtout pas finir en profusion de joie et tout, mais il s’agissait d’un cas de force majeur, là. Elle venait quand même d’accepter de me présenter à Ryan, ce n’était pas rien, j’avais bien le droit de lui montrer ma gratitude d’une manière ou d’une autre. J’avais choisie celle-là, sous le coup de l’impulsivité. Et puis, au final, le choix n’était pas si horrible que ça.

« Tu sais que je t’aime toi ? Merci infiniment Aubrey, je te revaudrais ça. »

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé



À SAVOIR

DETAILS EN PLUS

Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty
Message(#) Sujet: Re: Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Vert... de jalousie? [Lucy Blunt] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Vert... de jalousie? [Lucy Blunt]
Page 1 sur 1

Sauter vers: