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If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes
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Message(#) Sujet: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyMer 2 Jan - 20:41



Esteban est un sang-pur, né(e) le 4 Janvier 2007 à La Havane à Cuba. D'ailleurs il n'y vit plus puisqu'il a déménagé à Inverness en Écosse. Aujourd'hui, Estban a donc 17 ans et est en 7ème année. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'il a un Rat gris qui s'appelle le rat.

Il est bon de savoir que Esteban est adroit, malin, charismatique, attachant et débrouillard mais également bagarreur, indifférent, rancunier, profiteur, arrogant et égocentrique. Il a des goût étranges, par exemple il adore réussir un coup sans se faire prendre, mener la vie dure aux elfes de maison, l'ivresse, briser les codes et le règlement ou encore instaurer le doute chez les gens à propos de ses pensées alors qu'il déteste les cours à Poudlard, les câlins, les préfets, la foule et les gens sérieux qui travaillent.

Sa baguette est composée de bouleau avec un cœur de plume de phénix et mesure 30 centimètres. Grâce à elle, Esteban a le malheur de suivre les cours de Métamorphose, de Potions, de Botanique, de Sortilèges, et de Défense contre les forces du mal.



Esteban Fortuno Reyes
feat. Ezra Miller

ET EN VRAI ?
J'ai 19 ans, mais peut-être que tu le sais déjà parce que je suis Lena, et je n’ai pas dépensé de points pour ce nouveau personnage. Je suis arrivé(e) sur NYL il y a quelques temps et je devrais être là en moyenne beaucoup de jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que j’espère être à la hauteur de ce charmant PV.


Tout le monde a une histoire

C’est en tout début d’année que je vis le jour. Le second enfant mais aussi le second garçon de la famille Reyes. Nous étions l’une des familles les plus importantes de la communauté sorcière à Cuba. Vous avez bien lu, tout cela est du passé. Je ne dirai pas que j’hais mon père pour nous avoir mis sacrément dans le pétrin, mais ma foi il est vrai qu’il n’est pas très malin. Enfin, revenons au début de l’histoire. Je reprends.

Je suis né pendant la meilleure saison antillaise: la saison sèche, avec ses alizées qui caressent la agréablement la peau baignée dans le soleil. Bref, on peut dire que j’étais synonyme non seulement de nouveauté, porté par le quatrième jour de l’année 2007, mais aussi j'apportais de la douceur dans un climat beaucoup trop humide à mon goût. Mais assez parlé météo.
Je suis donc le second fils de l’illustre famille Reyes. Notre père est (ou plutôt était) le Capitaine de la Police à La Havane. Homme très respecté, droit, loyal, vaillant, bla bla bla. C’est grâce à son travail que nous étions aussi riches. C’était évidemment sans se douter qu’il n’avait pas qu’un seul job. Et oui, notre père était un trafiquant de drogue, d’armes, de tout ce que vous voulez. Savoir qu’il avait une occupations des plus sales ne me dérange pas trop, mais ce qui me dégoûte, c’est qu’il a tout foutu en l’air. Je veux dire, il avait réussi à infiltrer la police pour faire passer sa marchandise sans problèmes, il s’était construit la réputation de l’Homme de Cuba, et il a été assez bête pour se faire arrêter. Au moins, maintenant on est sûrs que la bêtise n’est pas héréditaire.
Avant que cette tragédie n’arrive, à mes onze ans, nous vivions dans le luxe absolu, entourés que de l’élite de Cuba, et recevant l’éducation de la meilleure qualité. Nous parlons tous les quatre anglais, espagnol, français et allemand et nous avions été préparés à vivre et nous tenir dans le grand monde. Ma fratrie est une tribu unique et assez particulière. Je suis le second enfant de la famille Reyes. Avant moi il y a eu Pedro, mon grand frère adoré. On peut dire qu’il m’a bien élevé, entre les grenouilles vivantes dans les banquets et le matériel des elfes de maisons trafiqués, il m’en a appris des belles. J’ai grandi en suivant son exemple, à la plus grande peine de nos parents. Nous étions des petits monstres parfois, mais nous connaissions les limites et les notions de savoir-vivre. Nous ne les appliquions juste pas. À quoi bon ? Puis, ce fut au tour de Phoenix de venir au monde. Je ne me souviens plus de la manière dont j’ai reçu la nouvelle, mais j’imagine que je n’étais pas contre un nouvel enfant dans la famille. Pedro avait probablement suggéré que nous aurions une nouvelle recrue, le connaissant. Ma foi, ce n’est absolument pas ce qu’il s’est passé. Phoenix est une véritable princesse qui n’est intéressée qu’à sa petite personne. Elle va jusqu’à dire sans tact qu’elle aurait préféré être fille unique. Je n’ai jamais pris ces affirmations au sérieux. Je sais bien qu’elle pense ce qu’elle dit, mais dommage pour elle, on est là. Le pire c’est quand Izabela est venue au monde. Elle a totalement pété un câble à l’annonce d’un nouvel enfant. Déjà qu’elle ne nous supportait pas, je peux vous dire que c’était hilarant de voir son air outré. Izabela c’est ma sœur préférée. C’est un véritable petit rayon de soleil. Elle se fait souvent rabâcher par Phoenix et même si ça me fait de la peine, ça ne peut que la rendre plus forte. Et puis, comme elle n’a pas vraiment connu le luxe que nous avions, le choc n’a pas été brutal pour elle, heureusement.
Je dois dire que c’était la belle vie, mais je préfère largement ma vie actuelle à la disgrâce que nous avons subi lors de ma première année à l’école de sorcellerie Colombienne. Quand notre père s’est fait prendre, il n’a pas fallu longtemps avant que tout le pays n’apprenne la nouvelle, avant d’être diffusé dans tous les journaux sorciers. Il faut dire que nous étions l’une des familles des plus influentes à l’époque. C’était à l’école que c’était le pire. J’étais si populaire, si adoré de tous et du jour au lendemain personne ne voulait plus s’approcher de moi. Quel calvaire ! Je peux vous assurer que ces rats hypocrites ont morflé. Tous ceux qui nous avait tourné le dos à Pedro et moi, nous les avons fait les pires coups. Malheureusement, si nous avions su que c’étaient nos derniers jours dans cette école, nous aurions fait bien pire. Ces derniers mois furent les plus redoutables en terme de crasses et de farces car ils étaient gouvernés par la colère et la vengeance. Autant aujourd’hui je fous la merde uniquement par plaisir, autant à ce moment-là j’avais d’autres motivations.

Cela fait maintenant six ans que nous avons quittés l’Amérique Latine et cette période est maintenant loin derrière moi. Je me plais bien ici. Personne pour nous pointer du doigt, on est des élèves comme tous les autres. Invisibles nous sommes et j’ai la paix lorsqu’il s'agit de briser le règlement. Enfin, pas toujours. Je suis un garçon assez populaire ici à Poudlard, et même si j’aime me fondre dans la masse, je dois avouer qu’avoir une bande d’admirateurs n’est pas désagréable. Je suis un garçon attachant et les gens aiment traîner avec moi, je n’y peux rien.

C’est assez tôt que j’ai découvert que je préfère les garçons. En fait, je crois que je l’ai toujours su. Regarder le torse musclé des hommes sur la plage a toujours été une passion incontrôlée. C’est vrai qu’il m’arrive d’avoir des vues sur quelques filles mais c’est assez rare, et en général, elles ont un côté naturellement masculin. Les hommes sont des bêtes sensibles et je ne peux pas résister à leurs charmes. Ça a toujours été compliqué de cacher à mon entourage que j’étais différent. Lorsque j'étais petit, je ne savais pas que c'était mal et j'ai commencé à me déguiser en fille, à mettre régulièrement et avec soin les vêtements de ma mère. J'ai vite compris qu'il ne fallait pas que ma famille le voit jusqu'à ce que Pedro me surprenne. Il m'a expliqué que je devais garder tout cela secret et qu'il ne dirait rien. J'aurais bien voulu le faire pour surprendre mon entourage, pour énerver mes parents, mais les risques étaient beaucoup trop grands. J’y ai rapidement pris plaisir et il m’arrive encore aujourd'hui de dissimuler une boucle d’oreille de temps à autres, ou de porter du vernis lorsque je suis dans mon dortoir. À Poudlard, ce genre de fantaisie ne passe pas trop. Mais vous me connaissez, maintenant. Ce n’est certainement pas le regard des autres ou un pauvre règlement qui m’empêchera de le faire. En Colombie c’était dix fois pire. Même si le niveau scolaire y était adéquatement élevé pour la meilleure société qui la fréquentait, l’école était tragiquement et profondément coincée. Absolument rien n’était autorisé. Mais pour Pedro et moi, plus les choses sont interdites, plus on a envie de les faire.

Ici, à Poudlard, non seulement les couloirs sont infestés de nés-moldus et de pauvres, mais en plus, la sécurité est franchement déplorable. Alors oui, c’est une école d’imbéciles et je peux faire ce que je veux sans me faire prendre, mais n’empêche que je n’ai pas l’intention de mourir dans une bataille quelconque.
Je suis arrivé en septembre 2019 en deuxième année. Déjà avant que je n’arrive dans cette école, les choses se gâtaient: une cagoule de mangemort retrouvée, un incendie qui amène les étudiants de l’université à loger à Poudlard, sans parler de l’incompétence des enseignants lors de l’été avant mon arrivée. Je ne pouvais pas croire qu’on puisse être aussi peu professionnel pour laisser des enfants dans de telles conditions. Mais bon, c’est toujours mieux que d’être épié par ses anciens amis comme en Colombie. Mon arrivée à Poudlard, donc, s'est accompagnée de l'arrivée d'un certain Menesis Blackman. Ses discours rimaient avec le genre de discours que l'on entendait en Colombie, alors je n'étais pas trop dépaysé. Et plus l'année avançait, plus je me sentais bien dans ma nouvelle école. Un groupe de Néo-Mangemorts s'était formé et je les ai rejoins en voyant qu'ils étaient devenus les rois de l'école et que parfois, ça en venait aux mains. Cette nouvelle communauté me rappelait la chique société à laquelle j'avais toujours appartenu. Mais le mouvement s'est dissipé et lorsque j'ai vu que de plus en plus d'élèves nous voyait comme des méchants sanguinaires, je me suis fait rapidement distant et j'ai rejoins le camps des neutres. Je ne fais pas attention à mon comportement et aux règles, mais j'essaie tout de même de conserver une réputation. Heureusement que, grâce à mon côté fouteur de trouble et à mon charisme, je suis une personne qui attise naturellement la sympathie.
Bien sûr, après cette année scolaire mouvementée, nous sommes partis en vacances avec l’école. Puisque nous sommes ruinés et que c’est déjà assez compliqué pour ma mère de joindre les deux bouts, si nous voulons avoir ce qui pourrait s’apparenter à des vacances, nous sommes obligés de joindre les pauvres aux voyages organisés. Après le bazar auquel les élèves ont eu droit l’année précédente, je ne m’attendais pas des vacances aussi tranquilles et paradisiaques. Nous étions logés dans des suites qui me rappelaient le luxe auquel j’avais été habitué à Cuba, et le paquebot était absolument gigantesques. En plus, j’étais chanceux parce que mes voisins de chambre étaient tous mes amis sang-purs qui connaissaient, pour la plupart, les codes de l’élite sorcière. Blackman avait fait un bon travail, puisqu’aucune personne de la basse société ne pouvait se mélanger à nous parce que les nés-moldus et sang-mêlés n’avaient pas accès aux ponts supérieurs. C’est vrai que c’est totalement injuste, mais au moins, on avait la place pour nous tout seul. J’ai passé des vacances absolument formidables. Avec Pedro on s’est éclatés.
Mais c’est à partir de ma troisième année que ça s’est réellement gâté. Trois élèves ont trouvé la mort à la fête foraine organisée par l’école. Je dois avouer que j’ai eu très peur ce jour-là et je me suis vite tiré lorsque ça a commencé à dégénérer. Même si j’étais profondément attristé par cette tragédie, nous n’avions pas eu la possibilité de terminer ce tournoi,et je suis sûr que ma maison l’aurait gagné. Mais bon, ce n’était qu’un stupide tournoi d’école avec des imbéciles, il y a plus important.
L’été qui a suivi n’avait malheureusement rien à voir avec la splendide croisière de l’année d’avant. Je n’avais jamais vraiment fait le ménage avant, a part quelques fois chez moi -d’habitude c’est ma mère qui s’occupe de ça. J’aimais bien m’occuper des animaux, mais le fait d’être entassé avec n’importe qui me donnait la nausée.
L’année suivante, Phoenix nous rejoint, Pedro et moi, à Poudlard en première année à Gryffondor. Elle a eu de la chance, l’année fut banale pour tous, n’empêche que j’aurais bien aimé voir sa tête s’il y avait eu une attaque comme l’année précédente. Je fus satisfait lors des vacances organisées par l’école. Puisque nous n’avions pas le choix si nous voulions faire quelque chose de notre été, nous nous y sommes inscrits. C’était le voyage le plus rustique et le plus pénible auquel nous avions eu droit. Encore une fois nous étions mélangés au plus grand regret de Phoenix et le peu d’activités proposées n’étaient pas de grand confort. Pour ma part, je m’y plaisais bien. Je pouvais me battre sans vraiment de raisons lors des entraînements militaire, ça me défoulait. La sécurité n’y étant pas à son plus haut niveau, Pedro et moi y avions le champs libre pour jouer des tours à élèves et enseignants, comme par exemple avec ces champignons hallucinogènes...
Puis, vint la terrible année 2022/2023. Elle n’était pas terrible pour moi, puisque je vivais tout à fait normalement, mais les effectifs des classes avaient radicalement diminués. Tous les nés-moldus avaient été enfermés aux cachots sous les ordres de Menesis Blackman. Comme lors de ma première année, je suis resté dans le camp des neutres. Phoenix, Pedro et moi avions continué à vivre sans nous opposer au nouveau directeur, sachant qu’un doloris nous attendait si nous faisions quelque chose. Malgré l’injustice, je dois dire que c’était beaucoup plus agréable de circuler avec uniquement l’élite sorcière. Parfois je provoquais des nés-moldus pour déclencher une bagarre jusqu’à ce qu’un mangemort se pointe, alors je me barrais en douce. Disons que ça passait le temps. Parce qu’avec la dictature de Blackman nous empêchait de faire quoi que ce soit. Si jadis la surveillance était une véritable passoire, cette année-là, il valait mieux se tenir à carreaux. Pénible année pour Pedro et moi, et notre réputation, mais au moins nous n’avions pas dû redoubler notre année. Apprendre que notre école accueillait autant de redoublants était hilarant. En Colombie, jamais ça ne se serait passé comme ça.
J’ai évidemment pris la fuite, parce que je n’étais d’aucun côté. Et je n’avais pas l’intention de me faire tuer pour aider des nés-moldus ou des psychopathes sadiques. Le pire c’était d’être confiné encore à la campagne dans une ferme pourrie à devoir supporter les traumatismes des nés-moldus et de ces “héros de guerre”. J’avais l’impression de revivre la chute sociale que nous avions subis à Cuba. Ferme, camping, et re-ferme. Où est donc passé le bon vieux temps des paquebots et du respect des classes sociales ?
Enfin bref. L'année dernière s'est avérée plus calme et les choses sérieuses pouvaient recommencer. Sans Pedro, les premières semaines furent fades et déprimantes, mais je me suis relevé et j'ai repris mon poste de fouteur de trouble de premier ordre. Je suis à présent à un bon niveau de farces et maintenant que je manie les sortilèges de septième année, les résultats sont souvent grandioses.

Depuis quelques temps je me suis trouvé une nouvelle passion. Puisque je me fais des blessures toutes les semaines, j'aide l'infirmier Lennox à guérir les blessés. L'une des pièces du château où je me rends le plus souvent est bien l'infirmerie. Et puisqu'on n'ai rien à faire en attendant que la potion recouse sa peau, j'observais le bel infirmier qui a récemment prit ses fonctions. D'abord c'étaient ses fesses que je matais. Puis, mon attention s'est vite portée sur les gestes de soin, les breuvages préparés, la science de la médicomagie. Aucune blessure ne semblait trop compliquée pour Blake. Le courant est rapidement passé entre nous. Il a commencé à me connaitre en détail et m'expliquait son métier passionnant. Dorénavant, je viens chaque semaine pour en apprendre plus sur la médicomagie et le rôle d'infirmier. Ce qui est plutôt étonnant, parce que je n'ai jamais prit soin de qui que ce soit d'autre que moi, et lorsque quelqu'un est tombé dans le lac noir, je l'ai délicieusement ignoré.



Famille et compagnie

Augusto Reyes: Mon père. Sang-pur. En prison. Je n’aime pas vraiment le savoir dans une telle situation, mais disons que je ne suis pas accablé par le chagrin non plus. Je veux dire, il a merdé et c’est sa faute à lui. Je lui en aurais vraiment voulu si nous avions dû rester à Cuba pour une quelconque raison, par exemple. Parce que pendant des mois il nous en a fait bavé à l’école et c’était absolument insupportable. Et pendant longtemps j’ai refusé entendre parler de lui. Mais nous nous en sommes sortis alors je ne m’en intéresse plus trop. Sa punition est tout à fait juste. On communique avec lui de temps en temps (enfin surtout ma mère) mais il ne fait plus réellement partie de nos vies. Voilà. Pardon papa, mais je n’ai pas grand chose d’autre à dire sur toi.

Helen Montgomery Reyes: Ma mère est une femme forte. Si on ignore qu’elle a épousé un tocard. Et qu’elle l’aime toujours. Non en fait ma mère n’est pas si forte que ça, elle a juste bien géré le déménagement, et elle est retombée sur ses pattes après le changement brutal de vie. Elle a trouvé un boulot dans l’événementiel parce qu’elle ne peut pas vivre sans les cocktails et le luxe qu’elle touche du bout des doigts avec ce travail. Avec mon frère, on lui en a fait voir de toutes les couleurs, surtout maintenant qu’elle est seule pour nous élever. Je ne la trouve pas très intelligente ni très intéressante, mais étrangement, je la respecte beaucoup. Sinon, elle vient d’une famille de sang-purs américaine et est fille d’un industriel. Grâce à ça on allait tous les étés à New-York dans l’immense appartement. J’avoue que c’était la classe. On a fait tellement de conneries là dedans. Mais la famille de ma mère a cessé ses relations avec nous quand on a commencé à descendre l’échelle sociale. Franchement, ce n’est pas une grande perte. Ils pètent plus haut que leurs culs ceux-là, c’est agaçant.

Pedro Reyes: Mon complice, mon meilleur ami. Lui et moi on a fait des trucs que je n’oserai même pas raconter. Il a deux ans de plus que moi donc pendant cinq ans on a été dans la même école et dieu sait les conneries qu’on a bien pu faire. En vérité on a quasiment le même caractère, c’est pour ça qu’on s’entend aussi bien. J’avoue qu’il a un peu plus la tête sur les épaules que moi, ce qui est arrangeant au final: lui penses aux répercussions, et moi je peux me défouler comme je veux. On était fait pour être frères. Notre complicité s’est renforcée à ma première année à l’école de sorcellerie Colombienne, lorsque nous avions dégringolé l’échelle sociale. Le jour où les élèves ont appris pour notre père ils nous évitaient comme la peste, alors ils ont payé cher notre imagination pour leur mener la vie dure. Lorsque nous sommes entrés à Poudlard, le climat était plus serein, mais nous ne sommes pas devenus sages pour autant. Aujourd'hui, Pedro est à l'université et étudie les soins aux créatures magiques à Londres. C'est une cause noble, mais c'est plus logique de sauver des sorciers non ?

Phoenix Reyes: Celle-là, ne m’en parlez pas s’il vous plaît. Je ne déteste pas ma soeur, mais disons qu’elle est sacrément chiante. Toujours à vouloir capter l’attention à être une princesse. Moi, ça m’arrange, parce que quand on s’occupe de la précieuse Phoenix, je peux m’éclipser et faire ce que je veux sans que personne ne le remarque, alors tant mieux. Surtout que je m’en contrefout d’être dans son ombre. Elle n’est pas si terrible que ça, elle sait manipuler son entourage et a très bien su remonter la pente à notre arrivée en Écosse. En partant de rien, elle s’est bâti une réputation (qui ne tiendrait plus qu’à un fil si je balançais notre situation avant de quitter Poudlard *mouahaha*). Et puis, je dois avouer que ça me fait rire la manière dont elle essaie de me manipuler comme elle manipule les idiots de ce monde, mais je suis beaucoup trop malin pour elle. Phoenix est ma petite soeur alors je veille un minimum sur elle (ça doit sûrement être l’instinct des mâles, ça), mais on ne peut pas dire que nous soyons très proches. En fait, elle n’est proche d’aucun membre de sa propre famille !

Izabela Reyes: Ma seconde petite soeur. La dernière de la famille. Elle est mignonne et s’en prend plein la gueule avec sa rivale soeurette. Au moins, elle n’en sera que plus forte. Elle a déjà son petit caractère d’ailleurs. Elle est née quand j’avais neuf ans, alors autant vous dire que nous n’avons pas eu l’occasion de passer du temps ensemble. À peine avait-elle appris à prononcer des phrases sensées, que je partais pour l’école de Colombie. Mais lorsque je la vois pendant les vacances je suis toujours étonné de la rapidité à laquelle elle change. Je l’aime beaucoup ma petite Izabela et j’espère en faire une farceuse comme ses deux frères.


La première fois ici


C’est l’inconnu total. Changement de continent, changement de situation financière et sociale, je ne saurais dire si je suis heureux ou complètement ennuyé d'entrer dans une nouvelle école. Si seulement papa n'avait pas fait l'imbécile avec ses affaires de dealer, jamais nous ne en serions arrivés là. Je lui en veut encore terriblement. Et j'espère que cette colère perdurera jusqu'à ma majorité ou jusqu'à ce qu'il sorte de prison, pour que je puisse le battre en duel. Il n'avait pas à nous infliger ça. Je n'ai pas à me plaindre, ma mère a rattrapé le coup lors du déménagement et nous pourrons nous promener dans les couloirs de notre nouvelle école sans que nous soyons pointés du doigt. Je ne pouvais plus supporter l'ambiance et les regard dans l'école de Colombie. Pendant que je range mélancoliquement mes derniers pulls et chaussettes dans ma valise, je repense à ces dernier mois qui ont été les plus difficiles de toute ma vie. La chute sociale avait si mal que je ne suis pas totalement mécontent d'aller à Poudlard, je ne peux pas le nier. Mais ma première année -enfin, uniquement les premier mois- avait été si parfaite que me résoudre à l'oublier m'est trop douloureux. En sortant de la maison chargé de ma volumineuse malle, je m'imagine la route vers l'enfer que j'aurais subi si nous n'avions pas déménagé. Sur la route, j'observe les gouttes de pluie pleurant sur la vitre de la voiture. La météo avait radicalement changée ainsi que nos habitudes depuis que nous vivons en Écosse. De tous les pays, Cuba doit être celui qui s'en apparente le moins. Adieu les plages et le soleil et bonjour les nuages gris et les sapins à perte de vue. Tout bien réfléchi, je crois que je préfère vivre comme un garçon de bas étage si c'est pour recommencer à zéro et avoir une réputation vierge. Dans la vie, il faut bien faire des concessions, enfin surtout quand on est pauvre. Nous n'aurions jamais eu à faire un choix comme celui-là si nous étions restés riches et estimés.

Nous arrivons enfin à la gare qui nous emmènera Pedro et moi dans cette nouvelle école. Je ne tarde pas à souffler à Pedro mes préoccupations: « C'est curieux de nous faire prendre le train dans une gare moldue quand même. Ça donne un bon aperçu du genre de l'école, si tu veux mon avis. », dis-je en haussant un sourcil à la vue des passagers. Je n'ai rien contre les moldus, mais nous faire passer par cette foule pourrait en dégoûter plus d'un, ce qui est assez irrespectueux je trouve. Et puis, il est si facile de se passer de telles méthodes. Si la direction fait le choix de nous mettre en contact direct avec eux, c'est qu'ils sont un peu moins laxistes à ce sujet, déjà qu'ils autorisent les nés-moldus... Jamais la prestigieuse école de Colombie n'aurait toléré ça. Je sens que ça va être le dépaysement total. Enfin. C'est la meilleure école du Royaume-Uni, nous n'avons pas à nous plaindre. Mais c'est surtout eux qui devraient être contents d'accueillir (inconsciemment certes) l'une des plus grande famille d'Amérique Latine.

Sur le quai, c'est un véritable capharnaüm. Des bonnes femmes en vêtements usagés et aux cheveux ébouriffés, des grands hommes en costume moldus, des sorciers en habits traditionnels européens se mélangent parmi les élèves dans un désordre des plus total. Heureusement pour les étudiants pauvres, les uniformes masquent leur statut social. Il va falloir que je suis très vigilant si je ne veux pas faire ami-ami avec le rejeton d'une famille de basse société. Plus j'avance, plus je suis partagé entre l'excitation de connaître de nouveaux enfants qui ne savent pas qui je suis et la gêne d'être dans une école de n'importe qui. Le fait de circuler dans une foule qui ignore nos antécédents me fait si bizarre. Je jette un œil à Pedro qui semble avoir les mêmes pensées que moi, et aperçois soudain un homme dont l'air me rappelle vaguement quelqu'un. Je cherche rapidement dans ma mémoire. Mais oui ! C'est le célèbre Harry Potter. Il est accompagné de ses enfants qui entrent dans une voiture du Poudlard Express. Ils ont l'air d'avoir à peu près le même âge que Pedro et moi. Voir qu'une famille aussi respectée que celle-ci soit inscrite ici me rassure. J'aurais l'occasion de les approcher plus tard, puisque Pedro m'indique la voiture au bout du quai, celle des première années. C'est assez dégradant de faire le voyage avec eux, alors je refuse aimablement mais insolemment d'y monter. Si je veux recommencer à être populaire, ce n'est pas en m'aliénant aux deuxième année que j'y arriverai. « On s'en fout Pedro, allez viens. lui lançais-je en montant dans la voiture précédente. Toi tu vas te trouver un compartiment avec des quatrième année, et moi j'irai avec les deuxième année. Si on veut se trouver des amis, c'est maintenant que ça se joue. ». Avant d'embarquer, nous disons au revoir à notre mère et nos deux petites sœurs. Pedro et moi échangeons un regard en voyant l'air choqué de Phoenix et éclatons de rire en même temps. Elle était visiblement écœurée de voir toutes ces personnes venues d'horizons et de milieu social différent. Et dire qu'elle aura à fréquenter cette école dans deux ans. J'ai hâte d'assister au spectacle. Je dis bonne chance à notre mère, l'embrasse et me faufile dans le Poudlard Express.

Je pousse mon frère dans le couloir à la recherche d'un compartiment adéquat pour l'un de nous deux. J'essaie de faire attention aux effets personnels des passagers afin de tomber sur des enfants de riches. Je passe le voyage en compagnie de deuxième années visiblement bien intrigués par ma situation mais surtout par ma personne. Bien évidemment, j'avais passé l'été à m'inventer un nouveau passé glorieux qui serait le plus proche du réal possible. Technique de menteur numéro 1. « Ma mère est une célèbre organisatrice d'événements à Cuba et elle est tombée amoureuse d'un anglais. Du coup on a déménagé. ». J'avais bien entendu fait part de cette idée à Pedro, afin que nous ne nous retrouvions pas à avoir deux histoires complètement différentes.

Arrivés à Poudlard, je ne suis de suivre les première années à monter dans les barques. Si je ne veux pas sortir de nulle part pour ma répartition devant tout le monde, il vaut mieux que je me fonde dans la masse. Je dis à plus tard à mes compagnons de route et, avec Pedro, je joue le jeu. En voyant les barques, j'ai l’irrésistible envie de placer un Feuxfous de chez Weasley. Quoi de mieux pour admirer le château le nuit qu'un petit feu d'artifice? Mais tant que je suis avec les première années, je sais qu'il ne faut pas que je me fasse remarquer. De toute façon, elles ne s'envoleront pas ces barques, et j'aurais encore l'occasion de faire une surprise aux nouveaux les années d'après. Lorsqu'on arrive à la grande salle, je fais de mon mieux pour me fondre au milieu du troupeau. Je suis appelé et je peux rejoindre certains des élèves avec qui j'avais fait le voyage en train. Ça y est, je ma nouvelle vie peut commencer loin de l'Amérique Latine, loin des erreurs de mon père.


QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, il/elle est le seul témoin de la scène, que fait-il/elle ? – Il est absolument hors de question que je risque ma vie pour ça. Il est maladroit, c'est son problème. Bon je ne suis pas un monstre hein, je vais quand même prévenir quelqu'un quand je rentrerai au château.





Dernière édition par Esteban F. Reyes le Lun 14 Jan - 3:11, édité 11 fois
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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyMer 2 Jan - 21:58

Rebienvenue et bon courage pour ta fiche ! Pompom Girl Coeur
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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyJeu 3 Jan - 0:01

Oh cool ! Bon courage pour la fiche de ce nouveau perso Smile
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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptySam 5 Jan - 19:23

J'ai enfin le net Pompom Girl

Je suis tellement contente que tu tentes mon petit Esteban Perrin N'hésite pas à venir me voir, sous Milo plutôt ça sera plus simple, si tu as des questions ou autre. Je regarde le début de ta fiche ce soir ou demain. Bon courage pour la suite choupette Amoureux Câlin
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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyMar 15 Jan - 2:06

Rebienvenue et surtout amuse-toi à fond avec ce super perso. Coeur
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Le Choixpeau Magique

Le Choixpeau Magique



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Arrivé(e) le : 21/04/2011
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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyMer 16 Jan - 21:23




Bienvenue parmi nous

Et merci d'avoir choisi de tenter le frère de ma Phoenix, ça me fais plaisir de le voir enfin jouer Perrin Juste pour info, Blake est là depuis 2 ans, ça fera 3 ans à la fin de cette année. Du marque qu'il a pris ses fonctions récemment, ça commence un peu à dater maintenant If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes 1434744687 Au delà de ça, tout le reste me va. J'ai hâte de le voir jouer pour voir un peu comment tu vas nous l'incarner et nous le faire évoluer mais en tout cas dans ta fiche, tu as plutôt bien cerné le personnage If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes 1434744687 Après, juste un truc, s'il s'amuse à provoquer des bagarres avec des nés moldus sous le règne de Blackman, y'a moyen quand même que sa réputation de gentil garçon en prenne un coup. Les gens sont gentils mais faut pas trop les prendre pour des jambons, surtout avec un mec qui avait plutôt l'air pro Blackman dès qu'il est arrivé dans l'établissement If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes 1434744687 J'espère que tu t'éclateras avec ce nouveau personnage, n'hésite pas à passer dans ce sujet pour participer à l'évent avec lui ! Et à tout bientôt pour de super RPs avec nos loulous If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes 1434744687 Perrin



Hmm... Intéressant. Tu es assez complexe, tu pourras te plaire dans plusieurs maisons ... mais ... oui je vois, il me semble que celle dans laquelle tu t'épanouiras le plus est ...
SERPENTARD
!
Serpentard Serpentard Serpentard



Quelques conseils pour bien commencer


Maintenant que tu es réparti(e), il ne faut pas te reposer sur tes lauriers. Ta vie NYLienne commence à peine et pour la faire démarrer sur de bonnes bases, il te reste encore pas mal de petites choses à faire. Ne t'inquiètes pas, je vais tout te montrer...

Commence par créer ta fiche de liens, ta fiche de RPs, ainsi que boîte aux lettres qui te permettra aussi de gagner des points RPs en écrivant des lettres de plus de 300 mots et ta boite à hiboux express pour les messages plus courts. Peut-être que tu n'en trouveras pas tout de suite l'utilité, mais ça ne saurait tarder... Alors mieux vaut l'avoir fait tout de suite. Et puis, si jamais tu cherches quelqu'un d'important pour le développement de ton personnage, n'hésite pas à créer un poste vacant.

Aussi, je te conseille d'aller lire comment marche le système de points, si ce n'est pas déjà fait. Ce serait bête de ne pas savoir comment rapporter des points à ta maison. D'ailleurs, tu peux jeter un coup d'oeil aux sabliers pour voir où en est la course à la Coupe. Et comme les votes, c'est le bien, Top-Siter rapporte des points !

N'empêche que le meilleur moyen d'obtenir des points reste d'aller en cours. Et oui, nous sommes dans une école et nos chers professeurs vont se faire une joie de t'apprendre tout ce qu'ils savent. Quand tu te seras bien installé(e) dans ton dortoir, attrape tes bouquins et rends toi vite en classe ! Nos professeurs t'attendent, et pour savoir à qui tu as à faire, tu trouveras la liste ici. La liste des sortilèges par année est disponible .

Il n'y a pas que les points des sabliers qui sont importants ici. Il y a aussi les points défis ! Tu peux aller lire ce sujet pour savoir exactement ce que c'est que les points défis. N'oublie pas de créer ton sujet d'ailleurs, qu'on puisse tous t'en proposer ! Bien sûr, tu peux également savoir combien tu as de points en allant voir la fiche ! Le nombre de point s'initialise automatiquement à 0/0 mais dès que vous avez un point, vous pouvez voir l'évolution de ceux-ci à 1/2000...

Heureusement, il n'y a pas que les cours dans la vie ! Tu vas pouvoir t'entraîner à être une fouine en écoutant les rumeurs qui se baladent dans les couloirs, attraper ton balai pour devenir le plus grand joueur de Quidditch de l'histoire de Poudlard... Enfin, pour être sûr(e) de ne rien louper des activités qui te seront proposées, garde un oeil sur le panneau d'affichage, et sur la Gazette du Sorcier pour être informé(e) de tout ce qui peut bien se passer dans le monde magique.

Le HRP (hors-RP) te donnera également de quoi t'occuper grâce à une partie Flood bien remplie. Tu pourras également faire plaisir aux autres membres en leur offrant des cadeaux. N'oublie pas, à l'occasion, de passer sur la ChatBox, avec un peu de chance, tu tomberas en plein jeu... S'il y a quelque chose que tu ne comprends pas, nous répondrons à toutes tes questions.

Sur ce, je te souhaite beaucoup de plaisir dans cette nouvelle vie qui commence, et plein de merveilleux RPs !


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Message(#) Sujet: Re: If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes If we die, we'll die. But first we'll live ♠ Esteban F. Reyes EmptyMer 16 Jan - 22:24

Merci !!! Danse Serpentard

Ce n'était pas dans mon intention de le faire gentil garçon, my bad si c'est ce que je vous ai fait comprendre. En fait, il est populaire parce qu'il brave les interdits, mais il n'a certainement pas une super réputation. En fait il est populaire davantage auprès des sang-purs. Déso, c'est vrai que c'est pas super clair dans la fiche :/
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