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【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín
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Message(#) Sujet: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyLun 29 Oct - 20:49


                         
Dylan est une sang-mêlée, née le 02 décembre 2007 à Kinnitty en Irlande. D'ailleurs elle y vit toujours dans les montagnes de Slieve Bloom, dans une cabane perchée aux arbres en Irlande. Aujourd'hui, Dylan a donc 17 ans et est en 7ème année. Et juste pour ta culture personnelle, sache qu'elle a un chat roux aux rayures noires qui s'appelle Ghrian.

Il est bon de savoir que Dylan est intrépide, magnanime, autodidacte, courageuse, polyvalente et idéaliste mais également solitaire, impulsive, opiniâtre, susceptible et distraite. Elle a des goût étranges, par exemple elle aime porter des chapeaux, donner de l'espoir et relativiser, chasser à l'arc, s'isoler pour contempler les étoiles, la nature ou encore jouer du fiddle et de la flûte irlandaise alors qu'elle déteste les choses trop sucrées, les guerres et les morts inutiles, les injustices, le bruit, les personnes présomptueuses et prétentieuses et ne supporte pas qu'on la touche.

Sa baguette est composée de chêne blanc avec un cœur de crin de sombral et mesure 24 centimètres. Grâce à elle, Dylan a le malheur de suivre les cours de soins aux créatures magiques, étude des runes et botanique en plus des cours obligatoires.



Dylan H. O'Dwyer
feat. Annalise Basso

ET EN VRAI ?
J'ai 22 ans. Je suis arrivée sur NYL grâce à un répertoire sur les rpg forum et je devrais être là en moyenne 4 à 6 jours par semaine. Avant de finir j'aimerais juste rajouter que je suis un farfadet – ou pas.


Tout le monde a une histoire

Un souffle de vie s'était insufflé en deux petits corps, deux jumelles qui avaient la vie devant elles. Mais le destin en décida autrement. C'est dans un hiver glacial, suite au passage d'un terrible événement que commença sa vie auprès de Devon. Ses yeux verts posés dans les siens, elles avaient commencées leurs premiers jours dans les contrés d'Offaly, en amont de la montagne de Slieve Bloom. C'est ici, dans cette petite cabane arrangée par les efforts et la sueur d'un seul homme, Fergus, qu'elles avaient été gardées en sécurité, loin des conflits, loin de tout. Fergus était un homme grand, fort, mais surtout il était leur parrain. Le meilleur parrain, et oncle, qu'elles auraient pu rêver d'avoir. Il était autant brave que bienveillant, sachant se servir aussi bien de ses mains que de sa tête, et avait de divers talents. Certes les bois n'étaient pas d'un si grand confort, et une cabane perchée en haut d'un arbre ne l'était pas bien plus, mais il y faisait bon vivre et l'air y était agréable à respirer à pleins poumons.
A l'âge de trois ans Fergus lui offrit son premier fiddle, mais ce n'est qu'après insistance de sa part qu'il se décida à la laisser apprendre seule à en jouer. Il eut raison, puisque quelques temps plus tard elle jouait déjà bien des accords. Il la disait autodidacte, elle elle se voyait comme visionnaire créative. Pas une fois elle ne cessa de l'étonner, tout comme Devon le faisait. Elle était l'artiste, Devon était le génie. Ainsi, la blonde aida leur oncle à organiser un agrandissement de la cabane avec beaucoup plus de créativité qu'il n'en avait à son âge. Mais si il y avait une chose dans lesquelles il excellait était de relater, de raconter des histoires. Il y en avait un tas qu'il leur contait autrefois, comme l'histoire des amants maudits qu'étaient leurs parents, la façon dont leur père avait fuit le pays après la mort de leur mère sans réellement faire état de sa fuite. Il le racontait si bien que dans les oreilles de Devon il ne lui semblait entendre qu'une fiction, l'histoire d'un homme tant rongé par le remord qu'il préféra laisser tout derrière lui. Devon comprenait leur père, ou du moins essayait, et s'était fixée l'idée qu'il avait été trop dur pour lui de revoir le visage de leur mère dans les leur. Cependant, pour Dylan, ce n'était pas le cas. Elle le voyait comme un lâche ayant fuit la bataille qu'était la vie, la dure réalité qui s'était imposée à eux et qui les avaient poussées à vivre ici, cachées de tous, là où rien ne faisait mention d'une quelconque Devon, ni même d'une Dylan O'Dwyer. Dylan, elle, lui jetait la pierre avec raison : il les avaient abandonnées à leur triste sort.

Ce sentiment d'abandon s'intensifia quand le plus rigoureux hiver qu'elles n'avaient jamais connues auparavant s'abattit sur les montagnes, quand un vent polaire emporta les derniers soupirs de sa sœur tant aimée. Elles n'étaient alors âgées que de huit ans lorsque cela se produisit. Mais ce sentiment se renforça d'avantage, car quelques temps plus tard Dylan fût forcée de se charger d'organiser les funérailles sauvages des deux personnes qu'elle avait le plus aimée au monde. Fergus, à son tour, rendit son dernier souffle après une sévère fièvre et de nombreuses chutes négligées. Un bateau construit de ses mains et celles de sa sœur, dont elle pensait ne jamais avoir à se servir, suivit le cour de la rivière, enflammé par ses soins. C'est ainsi que Fergus lui avait apprit à faire, tout comme il lui avait apprit à chasser à l'arc, tout comme il lui avait apprit à faire du feu, à construire et déconstruire toutes choses utiles autant qu'inutiles, tout comme il lui avait apprit un tas de choses afin qu'elle puisse se débrouiller seule, sans l'aide de personne.

Ainsi livrée à elle-même, elle réussit à s'en sortir pendant un temps, finissant même parfois par voler dans les villages avoisinant lorsque la chasse et la récolte ne donnaient rien. Mais un beau jour, elle ne sait comment, on découvrit son existence et un hibou se posa sur la branche juste en face de sa fenêtre, en plein jour, une enveloppe avec un étrange sceau bordeaux qui scellait sûrement la nouvelle qui s'y trouvait. Elle l'ouvrit pour découvrir que son prochain voyage, elle qui n'avait jamais bouger des montagnes de Slieve Bloom, serait l’Écosse. Ce qu'elle accepta plutôt facilement car après tout, elle n'avait plus rien qui ne la retenait ici en dehors de quelques souvenirs, et d'un chez soi vide. Il était temps pour Dylan de découvrir le monde. Par tous les moyens possibles elle partit pour Londres, mais bien vite elle se rendit compte d'une chose cruciale...
En arrivant à Poudlard elle ne parlait pas un mot d'anglais, car jamais Fergus ne leur avait apprit, ou du moins il n'en avait pas eut le temps. Le seul mot dont elle avait connaissance était « Magie », et avait suivit toutes personnes étrange à Londres en faisant mention, ayant jusqu'alors toujours parlée Gaélique. Ce n'est que quelques temps après son admission que ça commença à rentrer et qu'elle commença à comprendre et parler, comme l'avait dit ce cher Fergus qu'elle contredisait toujours : Dylan était autodidacte, et cela était bien pratique dans ce genre de cas en particulier. Mais bien loin de ce qu'elle espérait en venant ici, cherchant une vie meilleure et loin de la souffrance, elle y trouva bien vite une nouvelle source de malheur en ces murs. L'année suivant son arrivée, le chaos se créer déjà entre la cagoule retrouvée, les Serpentard répartit, les étudiants universitaires se rajoutant à la liste des élèves. Dylan n'y comprenait à l'époque pas grand chose, car encore elle avait du mal à assimiler leurs mots à sa langue maternelle, une réflexion qui lui prenait davantage de temps que la moyenne, et pour cela on la pensa stupide – bien qu'en réalité il en était tout autre, mais ça seul Dylan le savait. Après tout, qui était stupide ? Eux qui ne comprendrait pas un seul mot si elle leur parlait en gaélique, ou elle qui parlait déjà une langue bien compliquée et qui en une année de temps avait réussi à apprendre une seconde langue sans aucune aide extérieure ? Enfin, disons seulement que la politique, les affaires de polices et les ragots n'étaient pas son fort.

Cependant, l'été qui suivit lui fit comprendre bien des choses subitement.. un voyage dans le temps qui ne la laissa pas de marbre. Il en fallait beaucoup pour l'effrayer, ou pour lui faire éprouver le moindre frisson de terreur, mais ce voyage bien particulier lui donnait des frissons rien qu'en y repensant. Non seulement ils avaient été lâchés en petits groupes en pleine nature, mais en plus de ça ce n'était pas dans le même univers spatio-temporel que le leur. Ce qui pourtant ne l'empêcha pas de s'amuser, le Moyen-Âge restait un univers collant parfaitement à sa personnalité elle avait aidée les autres à survivre en milieu hostile, et il fallait dire qu'elle avait bien amusée la galerie en jouant de la flûte irlandaise et du fiddle sur le chemin, et aux aubergistes de cette époque. Mais Dylan était bien la seule de ce groupe à qui batailles, propreté négligée, courbettes – et bien d'autres, ça ait put plaire, la seule qui s'était réellement amusée et même, on peut le dire, éclatée ! En revenant à leur époque grâce à leurs efforts combinés, elle est sûrement la seule de ce groupe à être rentrée le sourire aux lèvres et à avoir été impatiente de voir la directrice pour lui demander quand est-ce qu'ils remettraient ça. Mais visiblement, cette dernière semblait être aux abonnés absents. A la place, à leur retour, un nouveau directeur se présente à eux avec sa BSPB, ce qui une fois de plus ne la laisse pas de glace. Elle qui déteste les injustices elle sent venir le coup à peut-être cent kilomètres, de quoi gâcher cette joie que les vacances ont éveillées.
Lorsque enfin, comme elle le pensait, ces derniers mettent leurs plans à exécution elle est la première à s'y opposer. Dylan a perdue sa sœur, elle ne désires donc pas perdre ses amis nés-moldus. La gravure sur la main mettait déjà sa patience et son fort caractère de défiance à rude épreuve, mais que pouvait-elle faire, elle qui n'était qu'en seconde année ? A vrai dire, pas grand chose... Si ce n'est se présenter à la nouvelle organisation d'une Armée de défenseurs au sein de l'école. Bien qu'elle ne fasse qu'acte de figuration pour leur mission au cour du bal, elle y participe tout de même activement en tant que distraction. Quoi de mieux que quelques grandes gueules pour attirer l'attention ? Ce rôle, disons-le, lui va à merveille.
Elle n'a d'ailleurs pas été faire de voyage sur ce pacbo avec l'école cet été là, car elle avait préférée retourner dans son chez toi, après tout si elle avait osée mettre les pieds sur ce bateau, à voir ces injustices absolument partout, la jeune O'Dwyer aurait finit par envoyer son poing directement dans le pif du proviseur imposteur.

Le tournoi, ahh le tournoi des quatre maisons... Un événement qu'elle aurait parfaitement appréciée si il n'y avait pas eut cet étrange rébellion d'attraction, mais après tout « étrange » était un mot qu'elle ne connaissait désormais que trop bien. La fête foraine installée à Pré-Au-Lard lui avait semblé être en soi une bonne idée, afin que les élèves se détendent, prennent le temps de s'amuser avant de retourner aux compétitions. Bien qu'elle n'aime pas particulièrement tout ceci, elle est pourtant fascinée par toutes ces machines magiques, elle n'en a jamais vue de sa vie. Ce qu'elle n'apprécie pas dans cet endroit c'est plutôt le bruit, du bruit et des cris partout, c'est une chose qu'elle a beaucoup de mal à supporter mais pour l'occasion elle a fais un effort. Devon aurait été là, elle lui aurait dit de s'amuser, de profiter de tout ce don elle aurait voulu profiter si elle avait été là. Dylan n'avait donc pas rechignée à la demande de ses quelques rares amis à monter dans une attraction, quand tout ceci tourna au drame. A nouveau, on connu de douloureuses pertes, une bataille contre ces machines qui avant la fascinait mais qui, depuis ce soir là, l'effrayait au plus haut point. Elle s'était même surprise, tout en usant de sa baguette pour se défendre et protéger ses compagnons, amis ou non, à se dire qu'elle aurait mieux fait de ne jamais bouger de sa montagne. Trois morts et beaucoup de blessés à déplorer. Elle fait cependant partie de ceux qui tentent d'apporter les premiers soins et rassembler les blesser, une fois tout ce carnage achevé. Elle a apprit quelques tours depuis sa venue ici, car contre toute attente Dylan s'intéresse de très près à la médecine magique.
Mais l'été qui suivit ne la dérangea pas plus que ça. Bien qu'elle soit une fille de la forêt et non de la ferme, la boue, les corvées, elle y avait été familiarisée déjà très jeune et ça la ramenait simplement un peu plus à sa terre natale. Un réel plaisir que de faire ce genre de choses, mais ça ne fut pas franchement les meilleures vacances qu'elle eu passée. Elle aurais sûrement préférée chasser que de s'occuper d'animaux dont elle n'avait pas connaissance de leur nom en anglais, ou d'un simple et curieux potager. Mais enfin, au moins elle avait pu apprendre beaucoup de mots durant ce séjour à la ferme.

Ça y est, miss O'Dwyer a passée ses BUSEs avec une très bonne mention. Mais tout n'est pas encore joué. ses efforts sont récompensés par les vacances de cette année qui la ramènes aux sources. Elle en est ravie, sûrement bien plus que tous les autres, il faut bien l'admettre : elle se sent ici comme chez elle. Durant ce camping elle donne de ses talents en survie à ses camarades, mais passe le plus clair de son temps perchée sur une branche à jouer de la flûte ou isolée des autres avec ton fiddle. L'Irlande est son pays, elle l'assume et en est fière, et ça tout le monde le ressent rien qu'en la voyant agir si aisément sur ce terrain inconfortable. Tout ce qu'on peut mettre à l'épreuve chez elle, ici, il lui est facile de les passer avec les félicitations de ses supérieurs et de quelques âmes admiratives. La jeune Dylan est même responsable, en partie, de cette expérience avec les champignons hallucinogènes, et en rit rien qu'en ayant le souvenir de ces êtres pures qui n'ont jamais mit pied dans les bois. Mais ces merveilleuses vacances, du moins pour la sauvage, ne furent que de courte durée et la voilà de retour à Poudlard pour entamer sa sixième année.
Comme annoncé deux mois se passent sans encombre, mais vient l'heure du désastre et de l'inquisition des Mangemorts sur l'école, pour la seconde fois. C'est à cet instant que son âme endurcit et combative défie toutes lois, et durant l'attaque elle est sur le premier front, se jetant dans la gueule du loup pour mieux lui asséner un coup fatal. Mais ses efforts, et ceux de ses compatriotes, ne sont pas suffisants pour repousser l'avancé de ses ennemis. Pour la première fois de sa vie Dylan Honoria O'Dwyer plies genoux en espérant leur sauter à la gorge dès que la meilleure occasion se présente. A ses côtés gis le corps inerte de ses camarades de front, et elle-même est blessée, elle n'a donc pas le choix. Mais ce n'est que partie remise. Lorsque la rouquine voit son école, sa maison, « contribuer » à la destruction de certains de ses amis nés-moldus son premier réflexe est de se battre pour eux. Elle commence par s'opposer à plusieurs reprises à leurs convictions, mais surtout à leur traitement. Elle en portes encore les marques sur son frêle corps pâlot, et à plusieurs reprises elle as tentée de résister aux sortilèges Doloris qu'on lui a lancé. Sans qu'ils ne comprennent que tout ça ne lui donnait que plus de raisons de se battre, ce qui la pousse à faire partie de cette rébellion que les élèves montaient en secret, mais cette fois bien loin de n'être qu'une figurante, elle es l'une de celles qui se donne le plus et qui offre une nouvelle lueur d'espoir aux plus faibles. Puis vient le moment qu'elle attendait, la libération de sa colère, le revers de son poing, le bon retour des choses : Ils agissent.
Malgré les nombreuses pertes, malgré tous les corps que la jeune O'Dwyer a vue tomber, elle s'est battue pour la liberté tout comme eux, et a tout fait pour que leur mort, ainsi que celles de ceux qui l'avait accompagnée en première ligne de défense la première fois, ne soit pas veine. Et ce qui devait arriver arriva. Après tout l'acharnement qu'elle y mit, elle se rendit enfin compte des blessures qu'elle avait subit durant la bataille. Quelques soins, en somme très légers pour ce qu'elle avait en réalité, plus tard elle était prête à porter main forte aux autres blessés, les aider à se mettre sur pieds et donner un coup de main aux enseignants pour les transporter dans un endroit plus sûr. Jusqu'à ce qu'à son tour ne succombe à ses blessures et laisse enfin les plus expérimentés la soigner comme il se doit. Sa bravoures est appréciée, et récompensée par la chute du ministère quelques temps plus tard, mais Dylan ne semble se lancer aucune fleur car après tout c'était grâce à leurs efforts combinés qu'ils en soient arrivés là aujourd'hui, que leur monde soit plus sûr. Elle rend alors hommage à toutes ces âmes tombées au combat, à sa façon : érigeant près de l'entrée de la forêt interdite, un monument aux morts de plusieurs pierres, au nombre exact des pertes, empilées les unes sur les autres, taillées et où elle avait sculptée chacun de leur noms sur chacune des pierres afin qu'à jamais tous se souviennent du sacrifice qu'ils ont fait pour la liberté des générations à venir, afin que jamais personne ne les oublient ni n'oublient ce qu'ils ont fait pour eux.

L'année suivante il lui est difficile de retourner à l'école, cependant l'accession de monsieur Londubat au titre de directeur la laisse dubitative, voir même curieuse de voir ça de ses propres yeux, et attire son attention. Miss O'Dwyer ne peux s'empêcher de se dire qu'ils auraient put quand même trouver mieux comme dirigeant. Pourtant elle ne compte pas faire la fine bouche cette année, même si à vrai dire ses craintes se confirment au fil des mois. Voyant les décisions du nouveau directeur prises à l'arrachée, elle passe tout de même les épreuves que ces fameuses décisions impliques, sans grandes convictions et se disant que les temps ont peut-être été durs, mais de là à entraîner des élèves comme des soldats... c'est peut-être un peu rude pour les plus jeunes, selon elle du moins. Mais heureusement pour la rousse, lors du bal de Noël elle était aux abonnés absents, ne subissant fort heureusement pas l'échange de corps. Les séquelles de sa lutte contre les Mangemorts s'étaient à nouveau réveillées à cette période, et l'avait alors forcée passer son décembre entre Sainte-Mangouste et son lit. A la fin de l'année elle passe aussi avec excellence les ateliers proposer par les professeurs, organisé par ce cher Londubat. Malheureusement cette année là un accident se produit. Dylan se retrouve inconsciente, après un faux pas subséquent un vertige, au fond d'un faussé. Sa tête a frappée durement la roche et elle se retrouve de nouveau soignée à l'hôpital, mais la rouquine n'est heureusement pas gravement blessée, cependant elle n'as pas pu passer ses ASPICs, ce pourquoi elle revient en 7ème année pour la seconde fois après les vacances passées à Beauxbâtons. Très bonnes vacances, soi-disant passant, mais un peu trop classieux pour une sauvage comme elle, ou hippie, tout dépend des points de vues.
La voilà donc de retour à Poudlard, pour une année de plus, à espérer que rien cette fois ne vienne pourrir ses études. Mais cet incident a provoqué chez elle quelques effets secondaires en plus de celles accumulées durant sa lutte continuelle contre les vilains, comme la perte de mémoire, la difficulté à parler aussi bien anglais qu'elle ne le faisait depuis quelques années. Ayant regagnée cet accent Irlandais bien prononcé, Dylan a de plus en plus de mal à trouver ses mots en anglais, s'isolant de nouveau bien trop souvent. Et, bien qu'à vrai dire ça ne soit pas vraiment un grand changement, sa concentration en a prit un coup.


Famille et compagnie

Tout ce qu'elle sait de sa famille est ce que son parrain a bien voulu lui dire, c'est une histoire bien triste qu'il aurait préféré ne jamais avoir à raconter à Dylan et sa sœur.
Ce récit commence à Kinnitty, petite bourgade d'Irlande loin de tout, de la civilisation et du monde extérieur. Là, deux familles se confrontaient chaque jours pour tout mais surtout pour rien, se faisant la guerre pour des parcelles de terrain autant que pour des histoires de pouvoir. Dans l'une de ces familles y est née une fille, la plus belle fille de tout le village. Tout homme ici bas se battait pour obtenir ses faveurs. Une belle rousse aux yeux verts qui se nommait Dympna Knowlan. Elle était devenue médecin, et par dessus tout phytothérapeute. Face à eux les O'Dwyer, viles et rusés. C'est chez les O'Dwyer que naît un garçon, un petit blond du nom de Darren. Mais quant à lui, Darren, fut appelé à un bien plus grand destin ; il devint un sorcier accompli, un Auror passionné par son travail. Cependant vint le jour où Darren revint au pays en apprenant que son père était tombé malade. C'est à cette même époque que Darren et Dympna se retrouvèrent, tout d'abord en rivales comme ils l'avaient toujours été, puis en amant comme tous deux l'avaient toujours profondément désirés. Des amants maudits, selon Fergus Knowlan. Tous deux entretenaient une relation restée secrète pendant un temps, puis lorsque Dympna tomba enceinte de Dylan et Devon, sa sœur jumelle, ils furent forcés de fuir dans les montagnes quand le ventre de leur mère commença à prendre de l'ampleur. Mais un homme du nom de Calum, profondément amoureux de Dympna, le découvrit. Il le cria sur tous les toits, mettant un peu plus d'huile sur les feux déjà bien entretenu. Les flammes qui brûlaient en leurs cœurs, ces pauvres fous, prirent de l'envergure et une véritable guerre entre les deux familles débuta. Se battre jusqu'à épuisement n'avait pas suffit à satisfaire la soif de vengeance de Calum, alors il décida de s'en charger seul.
Dylan et Devon venaient de naître lorsque leurs parents apprirent le chaos qu'avait causé leur fuite, ils décidèrent qu'il était temps de prouver la bonté des uns et des autres, de faire taire ces rancœurs qui n'eurent de cesse depuis des siècles, confiant leurs deux magnifiques filles à Fergus, frère aîné de Dympna. Mais sur le chemin furent interrompu par ce vil Calum qui n'avait qu'un but : tuer Darren, en pensant que cela arrangerait tout. Ce pauvre diable manqua sa cible, et abattu la belle Dympna. Sous le choc, les deux hommes se regardèrent dans le blanc des yeux et la folie cessa lorsque Darren ramena sa belle à son père, tandis que Calum, lui, avait décidé de se rendre après cette grave erreur. Jamais personne dans ce village ne su qu'ils avez eut des enfants, car le meurtrier fou garda le silence jusqu'à la fin de ses jours, mais ce que l'on sait c'est que ce jour-là tout le village arrêta de se battre pour pleurer la douce Dympna.

Par la suite, Darren s'en alla, abandonnant ses deux filles qu'il pensait entre de bonnes mains, meilleures que les siennes. Il fuit le pays pour retourner à Londres, reprenant son travail d'Auror au ministère. Du moins, c'est ce que l'on suppose. Jamais Devon et la petite Dylan ne l'avait alors vu de leurs propres yeux, ni même leur mère. Et très vite, il est devenu un inconnu pour la rouquine car à ses yeux son seul père fut son oncle Fergus, et personne d'autre. Encore aujourd'hui elle reproche à son père ce qu'il s'est passé, absolument tout ce qu'il s'est passé dans sa vie, car si il ne les avaient pas abandonnées Devon serait sûrement toujours en vie, et Fergus également.


La première fois ici

Le pas lent, le cœur lourd. Tout ce qui se disait autour d'elle lui donnait tant la migraine qu'elle commençait à regretter d'être partie de son chez soi, si confortable à ses yeux. Dès qu'elle avait reçue cette lettre, Dylan n'avait pas hésité une seconde à partir, emmenant le strict nécessaire avec elle. La petite rousse n'avait aucune notion des lois à cette époque, et prendre une pomme au marché sans payer lui semblait juste et légal. Elle n'avait pas comprise pourquoi ces hommes habillés de noir l'avait poursuivit à travers la ville. Toute cette agitation lui avait fait comprendre qu'en dehors de son cocon les choses étaient bien différentes. Dylan avait fait sa traversée, pendant des jours, allant de ville en ville. La jeune O'Dwyer avait même cherchée de bonnes âmes parlant la même langue qu'elle pour lui indiquer le chemin à prendre. Contrairement à ce qu'on aurait pu penser d'une fille aussi sauvage que Dylan, elle était si propre qu'il en devenait difficile de deviner d'où elle venait. Sans autre moyen, la rouquine avait jouée du fiddle dans la rue pour obtenir les ressources nécessaires afin de pouvoir se payer le voyage jusqu'à Londres. Bien qu'elle ne parlait pas un mot de cette langue, ni ne comprenait les Irlandais qui le parlaient, miss O'Dwyer était parvenue à se faire des amis. Elle était souriante, mais solitaire, le contact avec les autres lui était difficile, comme il l'avait toujours été mais pendant un instant l'enfant avait revêtue la personnalité de sa sœur, Devon, pour atteindre son but et se servir du fond de gentillesse de ces gens à son avantage. Dylan avait toujours été plutôt futée, c'est vrai, bien que Devon avait été la plus maline des deux. Mais se servir des autres n'était pas quelque chose que la rousse appréciait particulièrement. Elle pensait, comme Fergus, que ceux qui étaient vils le paieraient d'une manière ou d'une autre. Le karma avait toujours le dernier mot.
Il ne lui fut cependant pas si difficile d'arriver en plein cœur de Londres, en fraudant, en usant de sa furtivité, en usant de la bonté des passants. Tout moyen était bon. La seule chose qui l'avait motivée, et dont elle se servait pour se pardonner elle-même pour ces exactions, était son père. La jeune Irlandaise avait espérée le rencontrer, le voir pour la première fois, mais en prenant conscience du nombre de la population bien plus élevé ici qu'à Kinnitty, elle avait perdue tout espoir. A ne pas se méprendre, la rouquine rêvait de le revoir pour lui envoyer son poing en pleine face, rien de plus. Elle rêvait de lui dire en face que l'une de ses filles était morte par sa faute, et espérait voir son visage se décrépir devant cette annonce. Dylan le haïssait du plus profond de son être, mais pour Devon elle voulait rester forte et combattre ses démons et les injustices autant que défendre la paix. Car pour toute paix il fallait commencer par mener un combat sur tous les fronts.

Bientôt, Dylan était parvenue à son point d'arrêt. Elle avait suivit intelligemment toutes voix qui prononçait le mot « magie » ou « sorcier », les seuls mots d'anglais que Fergus lui avait apprit avant de mourir. La petite était arrivée au Chaudron Baveur, sûrement par pur hasard, ou bien tout simplement parce qu'elle avait suivit un homme étrange portant un long manteau. Lucide, la petite. Une sorcière bienveillante lui avait alors guidée sur le Chemin de Traverse et l'avait aidée à payer ses fournitures. C'est dans une ruelle sombre, un peu écartée des passants, que la rouquine trouva un petit chaton de quelques mois à peine, perdu et seul, effrayé. Dylan l'avait approchée avec du lait qu'elle avait volée plus tôt dans la journée à une boutique moldu, et l'avait ainsi mit en confiance. L'instant d'après Dylan s'était retrouvée à la gare, le chaton qu'elle avait nommée Ghrian dans ses bras, et faisait chemin dans les allées d'un train. L'Irlandaise avait toujours eut peur de ces machines, leur bruit et leur mécanique ne lui inspirait guère confiance, cependant la petite s'était montrée forte et n'avait rien laissée paraître. Cette fois elle ne le faisait ni pour sa sœur, ni pour son oncle, mais pour le petit être niché dans ses bras. Elle savait que les animaux ressentaient la peur, Dylan savait que si elle avait peur lui aussi aurait peur, alors elle le protégea du monde extérieur sans dire un mot.
Bienveillante, elle l'était, oui. Mais seulement pour les plus faibles. Douce, en revanche, cela ne s'appliquait qu'aux animaux. La survivante aurait cassée le nez du premier qui aurait approché d'un peu trop près Ghrian. Plus que jamais il était devenu un membre de sa famille, le seul être qu'il lui restait, la seule « personne » qui voulait encore d'elle. Le rejet n'avait pourtant jamais été un problème pour Dylan, mais lâchée dans une ville, dans un monde, dont elle ne connaissait ni la langue, ni les règles, elle s'était sentie plus seule que jamais. Mais ne regrettait rien. Elle ne regrettait pas d'avoir fait pas vers Londres, elle ne regrettait pas d'avoir parcouru la moitié de l'Irlande pour s'y rendre, car sans ça elle n'aurait pas trouvée ce chaton et qui sait ce qu'il lui serait arrivé sans son intervention...

Le train fit route vers ce nouveau foyer qu'elle attendait de voir avec impatience, assise seule dans une cabine du wagon, une baguette étrange entre les doigts que son oncle lui avait donné sur son lit de mort. Il disait qu'elle saurait s'en servir le moment venu, qu'elle découvrirait son utilité le jour-j, et lui avait bien précisé de ne pas la faire brûler pour attiser son feu. Aujourd'hui était venu le moment qu'il attendait, que cette baguette attendait pour réveiller son pouvoir. Dylan Honoria O'Dwyer était bornée, et Fergus avait toujours su qu'elle serait faite pour elle. Fergus savait que sa nièce continuerait à vivre avec ou sans eux, qu'elle continuerait à prouver sa force et à se montrer courageuse face à la vie car elle tenait de sa mère.

Tout était si magique en ce monde, tous y voyait des barques avançant sur l'eau sans la moindre aide, tous y voyait un plafond infini et changeant, tous y voyait là l'occasion d'accomplir de grandes choses, des choses extraordinaires. Mais pour Dylan, rien ne se présenta ainsi. Tout ce qu'elle y voyait était du bruit, du blabla de personnes qu'elle ne comprenait pas, de majestueux sapins dans lesquelles elle rêvait déjà de se percher, elle s'était même dit que ça devait être un bon coin de chasse, et où sa musique aurait une belle résonance. Voilà tout ce que Dylan y voyait de ses yeux pervertit par la perte et la dure vie dans les bois qui l'avait forgée. En entrant dans ce château, elle ne put s'empêcher de se sentir oppressée. Elle se sentit tout de suite prisonnière, tout ce qu'elle voulait était de ressortir et retrouver sa liberté. Ces grands murs de pierre lui donnait le vertige, et elle se souvient subitement avoir fait demi-tour en courant pour sortir, bousculant tout le monde. Elle se souvient aussi que quelqu'un, un adulte, était venu la voir. Produisant un sort avec sa baguette qui lui donnait le don de parler sa langue. Cet adulte l'avait rassurée en lui disant qu'une fois le jour levé elle pourrait de nouveau respirer l'air frais, sachant qu'il lui faudrait un temps d'adaptation à cette nouvelle vie, et à cette nouvelle langue.
Dylan avait alors rejoint les rangs pour que la cérémonie puisse poursuivre. Alors pour ne pas essayer de se concentrer sur ce que ses nouveaux camarades disaient, et éviter toute migraine due au bruit, elle s'était mise à chantonner une chanson en Gaélique qu'elle avait apprise étant petite. Mais lorsqu'on prononça enfin son nom, la petite fille releva la tête, pensant qu'elle avait chantée trop fort mais on l'invita simplement à se poser sur le tabouret. Elle fit un pas, puis deux, et monta les marches en se montrant droite. La tête haute, les poings refermés, et pourtant ne semblait pas tendue le moins du monde. Lorsqu'elle s'assit enfin, son regard se posa sur l'audience, inexpressif et même défiant. Puis on installa le Choixpeau sur sa tête. Alors, des passages de sa vie défilèrent dans ses pensées. Elle se revoyait tenir la main de sa sœur mourante, sans aucune larmes. Elle se revoyait traîner son corps et celui de son oncle, emmitouflés dans des draps blancs et cordelés, jusqu'à la grande barque qu'ils avaient construite ensembles, les positionnant sur ce dernier par cet hiver glaciale et enneigé, seule. Elle se revoyait leur dire que la vie était ainsi faite et qu'ils n'auraient pas à s'en faire pour elle, car quoi qu'il puisse arriver Dylan resterait forte pour eux trois, comme elle l'avait toujours fait, qu'elle s'en sortirait et qu'elle parviendrait à survivre seule d'une manière ou d'une autre, même si elle devait se battre de toutes ses forces pour ça. Avant de se revoir bander son arc, et tirer une flèche enflammée sur la barque qui suivait déjà le courant de la rivière. Un sentiment d'accomplissement et de fierté l’envahit subitement, un petit rictus prenant place sur ses lèvres. L'air de dire « m'voyez où j'en suis maintenant grâce à vous », et alors, le Choixpeau lança son verdict.

QUESTION DU CHOIXPEAU
Une personne pas douée tombe dans le lac noir, malheureusement, elle est le seul témoin de la scène, que fait-elle ? – Elle plonge sans hésitation et surtout sans réfléchir pour secourir cette personne, car même la créature géante et monstrueuse du lac ne parvient pas à la faire, ne serait-ce qu'un peu, frémir de peur.





Dernière édition par Dylan O'Dwyer le Jeu 1 Nov - 3:07, édité 16 fois
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyLun 29 Oct - 20:59

Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! Tasha
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyLun 29 Oct - 21:26

Bienvenue parmi nous Savannah
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyLun 29 Oct - 23:01

Merci beaucoup les filles ! Liu
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyMar 30 Oct - 7:56

Bienvenue (officiellement 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 1434744687 ) Dylan 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 303623474
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyMar 30 Oct - 9:47

Bienvenue ici !!! Ange Perrin
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyJeu 1 Nov - 2:42

Merci les amis ! Cool
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyJeu 1 Nov - 16:31

Bonjour Dylan et bienvenue parmi nous Coeur

Tout d'abord, je tiens à dire que je trouve ça vraiment bien que tu intègres aussi bien le contexte à ta fiche, c'est appréciable. Mais il y a deux ou trois détails sur lesquels j'aimerai qu'on revienne.
Tout d'abord l'âge, si j'ai bien compris Dylan a redoublé sa 7ème année, du coup elle ne peut pas avoir seulement 17 ans. Elle aurait eu cet âge si elle venait de rentrer en 7ème année, mais si elle est redoublante, elle a déjà 18 ans et aura 19 ans le 2 décembre

Ensuite, les cours. Les 7èmes années doivent choisir entre 3 et 7 cours. Tu en as mis 3, c'est vrai, mais derrière tu marques "cours obligatoires" et du coup ça porte à confusion

Ca, c'est le plus simple, maintenant ton histoire. A la fin de la lecture, j'ai trouvé ça un peu "too much" pour être honnête Erm Je ne dis pas que tout n'a pas pu se dérouler comme ça, mais c'est un peu trop une accumulation de situations particulières qui donnent la sensation que Dylan est une jeune femme merveilleuse et presque parfaite 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 1434744687 Elle perd sa soeur et son oncle vers les 8 ans c'est ça ? Et personne ne se pose de questions sur cette gamine quand elle va voler dans les villages aux alentours ? J'ai bien compris que personne ne connaissait leurs existences à sa soeur et à elle, mais pourquoi leur parrain n'a pas décidé de vivre dans une ville (ou village), pour offrir une vie plus normale à ces 2 petites filles, au lieu de vivre à la sauvageonne dans la forêt ? Et même si on admet qu'elle réussit à s'en sortir jusqu'à ses 11 ans, elle reçoit une lettre un peu étrange qui parle d'école de magie et elle y va sans se dire que c'est peut-être un peu louche comme histoire ? J'ai dû mal à imaginer une gamine si jeune traverser l'Irlande et l'Angleterre sans que ça ne soulève aucune question. Je veux bien croire que les gens sont naïfs et qu'elle est extraordinairement intelligente mais quand même, il y a une limite à tout. Surtout qu'elle ne parle pas l'anglais et n'est jamais allée à Londres mais comme de part hasard, elle arrive jusqu'au Chaudron Baveur, juste parce qu'elle a suivi un mec qui s'y rendait justement ? Là c'est définitivement trop gros pour moi. On parle quand même de Londres, une très grande ville, avec des milliers de personnes. Et elle y fait quoi là bas d'ailleurs ? Je veux dire en dehors de kidnapper un chaton. Ses fournitures scolaires, elle se les ait payé comment ? Et comment elle est arrivée jusqu'à la gare ? Et comment elle a trouvé le quai ?

Et même si on admet qu'elle a réussi tout ça et qu'elle ait parvenu à Poudlard, j'ai un fort doute que l'école accepte de la laisser rentrer chez elle alors qu'il n'y a aucun tuteur pour s'occuper d'elle. A mon avis elle va plutôt finir dans une famille d'accueil ou l'orphelinat, plutôt qu'un retour aux sources sans que ça ne pose de problème à personne. Et je trouve que le reste de l'histoire est dans la même veine que le début. Ton personnage donne l'impression de tout réussir limite du premier coup, tout ça parce qu'elle est autodidacte. Aux dernières nouvelles, on peut être débrouillard sans être parfait, même les plus grands génies avaient des lacunes dans plein de domaines Erm Alors je ne dis pas qu'elle n'est pas capable de se débrouiller seule dans la forêt grâce aux enseignements de son parrain, mais j'ai un fort doute qu'elle apprenne seule une langue qu'elle ne parle pas, avec limite aucun point de repère et ce, en l'espace d'un an. Elle s'y connait en médecine, elle est un élément vital de la rébellion, elle aide à soigner les blessés et à les déplacer même si elle est elle-même blessée, elle manipule un peu les gens à sa guise parce qu'ils sont naïfs et qu'elle est une très bonne menteuse. Elle se fait des amis alors que c'est une gamine solitaire qui n'a jamais vécu en société et donc qui ne connait certainement pas les codes ... enfin bref, quoi qu'elle fasse, Dylan sait tout faire et à mon sens, c'est pas franchement crédible Erm

Du coup je vais te demander de reprendre ta fiche pour la rendre un peu plus réaliste. Je n'ai rien contre le côté débrouillard et indépendant de ton personnage, mais là c'est un peu trop à mon goût 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 1434744687
Je reviens quand c'est fait, bon courage à toi Câlin
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyJeu 1 Nov - 19:19

Alors, dans l'ordre, ou presque :
Le but était de disparaître, et son parrain vivait déjà bien avant dans les bois à la sauvageonne ce pourquoi il les a élevées là-bas. Ce n'est pas illogique du tout, quand tu vois certaines personnes, même des familles entières vivre en Alaska à 1000km des villes, perdus dans les montagnes ou les forêts, bref. Admettons.
Ensuite, c'est écrit qu'elle s'est fait aidée pour ses fournitures et donc pour aller jusqu'à la gare par une sorcière qui était au Chaudron Baveur. Donc je vois pas trop où est le problème.. Mais admettons aussi.

Pour l'âge, c'est juste que j'avais fais une erreur de calcul et décaler les événements d'un an sans le vouloir du coup j'ai oubliée de modifier.

J'ai absolument pas dis qu'elle était parfaite, pour finir, seulement qu'elle était autodidacte et qu'elle apprenait vite. Ensuite, je n'ai jamais dis qu'elle était un élément essentiel à la rébellion puisque j'ai simplement dis que la première fois elle était figurante, et la seconde a jouée les soutient moraux en précisant "l'une de ceux", et qu'elle a été en ligne de front d'elle-même parce que c'est dans son caractère de tenir tête et de foncer tête baissée.

Bref. J'ai passée un week-end et deux jours sur cette bio en plus de m'être épuisée hier soir à tout corriger parce que je n'avais pas vue que le "tu" était à proscrire. Et maintenant je dois recommencer, j'apprécie. o/
Du coup je ferais ça plus tard, désolée.
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyJeu 1 Nov - 19:39

Ce n'est pas tant qu'elle vive dans la forêt qui me pose problème, il existe en effet des gens qui le font, ce qui me pose problème c'est qu'elle y retourne à chaque vacance comme si ça ne posait aucun problème à l'école et au Ministère de laisser une adolescente de 11 ans et plus vivre seule.

Et j'ai aussi du mal à comprendre comment des gens qui ne la connaissent absolument pas l'aideraient à payer ses fournitures scolaires. On ne parle pas de quelques pièces pour se payer à manger, on parle de payer des habits, un chaudron, des manuels scolaires, des plumes, de l'encre, des parchemins, etc. Les gens ont déjà du mal à mettre la main au portefeuille pour donner 1€ à un SDF, alors refaire la garde robe d'une ado de 11 ans, désolée mais c'est moyennement crédible Erm

Et même si tu n'as en effet pas dit qu'elle était parfaite, c'est malgré tout ce que je ressens en lisant ta fiche. J'ai la sensation qu'elle a un peu trop de facilité d'adaptation alors que très clairement, elle a vécu dans la forêt pendant 11 ans de sa vie. On apprend plus que lire et écrire à l'école, on apprend à cohabiter avec les autres, à se lier d'amitié, à comprendre les codes de notre société et je la vois mal tout capter en une fraction de seconde tout ça parce qu'elle est autodidacte. Elle traverse quand même la moitié de l'Irlande et de l'Angleterre sans trop de difficultés, alors qu'elle ne parle pas l'anglais, qu'elle n'a pas d'argent et qu'elle n'a que 11 ans. Même si l'idée de base est bien, j'aimerai juste que tu rendes ça plus cohérent.

Ton personnage est intéressant, je ne remets absolument pas ça en cause, je trouve juste que malgré les difficultés de la vie, elle s'en sort un peu trop bien et que du coup, c'est dommage. Après c'est mon avis cela va s'en dire.
Je te laisse la modifier, tu as largement le temps jusqu'à la prochaine MàJ Wink
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Message(#) Sujet: Re: 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín 【Dylan H. O'Dwyer】- An fiáin cailín EmptyJeu 1 Nov - 19:47

En fait.. J'ai l'impression que tu as juste lu une phrase sur deux parce que tu me poses questions et me reproche un manque de cohérence/explications pour des choses qui sont déjà expliquées dedans.
Je verrais bien ce que j'en fais. J'ai pas écris certains détails simplement parce que j'aime développer mes histoires dans mes rps.
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